Généralités. Rôle du rein. Laurent LEFEVRE SAR 2 Hôpital Saint André 3 octobre Généralités. Anatomie fonctionnelle du rein
|
|
- Denise Thomas
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Généralités Laurent LEFEVRE SAR 2 Hôpital Saint André 3 octobre 2012 Anatomie fonctionnelle du rein Le rein Le néphron Les voies urinaires La vascularisation rénale La filtration glomérulaire La régulation du Débit Sanguin Rénal Système Rénine Angiotensine Prostaglandine Autorégulation Réabsorption et sécrétion tubulaire Différents types de transport Tubule proximale Anse de Henlé Tube contourné distal Canal collecteur Appareil juxta glomérulaire Intérèt de la physiologie rénale Évaluation du Débit de Filtration Glomérulaire Rôle du rein Généralités Élaboration de l urine : équilibre hydro-électrolytique et acido-basique respectés déchets et toxiques éliminés fonctions endocrines: régulations de le pression artérielle => S.R.A Érythropoïèse => E.P.O métabolisme osseux => 1α-25(OH)2 D 3
2 2 Unités physiologiques Néphron: fonctions de filtration et réabsorption impliquées dans l homéostasie Appareil juxta-glomérulaire: régulation de la pression artérielle (rénine) érythropoïèse (érythropoïétine) Anatomie fonctionnelle du rein 2 reins position: Anatomie fonctionnelle rétro-péritonéale vertébro-latérale fosses lombaires à la hauteur des premières vertèbres lombaires et des deux dernières côtes sous le foie pour le rein droit, contre la rate pour le rein gauche poids: environ 150 grammes (± 12cm) Coupe anatomique Anatomie fonctionnelle Parenchyme rénal = 2 parties distinctes - Cortex externe (corpuscules rénaux et tubes contournés) et - Médulla interne (anses de Henlé et canaux collecteurs) organisée en pyramides rénales Innervation sympathique (artérioles du glomérule, appareil juxta glomérulaire et tubule rénal) Formation de l urine dans les néphrons ( 10 6 ). 2 types de néphrons corticaux à anse de Henlé courte (plus nombreux) et néphrons juxta-glomérulaires à anse de Henlé longue (rôle de concentration de l urine)
3 Le néphron Unité fonctionnelle néphrons différentes parties: glomérule tubule Le glomérule Corpuscule rénal Glomérule Perfusé par a. afférente Fraction non filtrée recueillie par a. efférente Capsule de Bowman 1 portion recouvre le glomérule (podocytes) 1 portion recueille l ultrafiltrat et le déverse dans tubule proximal structure d ultrafiltration, situé dans le cortex du rein partie initiale du néphron lieu de formation de l urine primitive Peloton capillaire invaginé dans l extrémité borgne du tubule. entouré par la Capsule de Bowman qui s ouvre dans la lumière du tubule proximal Les tubules Le glomérule Entre lumière capillaire et lumière urinaire : La membrane de filtration endothelium vasculaire membrane basale épithelium (podocyte) Tubule : lieu de modification de l ultra filtrat par réabsorption et sécrétion. tubule contourné proximal anse de Henlé : Branche descendantes et ascendantes macula densa tubule contourné distal canaux collecteurs Une seule couche de cellules épithéliales vascularisation tubulaire à partir de l artériole efférente
4 Topographie du néphron Appareil juxta-glomérulaire Composition Néphron cortical vs. néphron juxtamédullaire artériole afférente (cellules granulaires à rénine) tissu interstitiel macula densa (cellules spécialisées de l extrémité de la branche ascendante de l anse de Henlé) Appareil juxta-glomérulaire Double fonction endocrine: sécrétion de rénine prostaglandine rénale sécrétion d érythropoïétine: stimulation production médullaire érythrocytes, Sous la dépendance de pression partielle d oxygène intra rénale calcitriol Voies urinaires Partie terminale du néphron: canal collecteur calices bassinet uretères vessie urètre Vascularisation 2 Artères rénales point de départ aortique en regard de chaque rein division : artères segmentaires artères interlobaires artères arquées artères lobulaires artèrioles afférentes Vascularisation de type terminale
5 Vascularisation. Débit sanguin rénal débit sanguin rénal = 20 % Dc Soit 1000 ml/min pour les 2 reins pression de perfusion rénale: 100 mmhg résistances artérielles ajustables pour conserver le DSR: autorégulation (P = Q x R) Vascularisation. Débit sanguin rénal DSR stable quand 80 < PAM < 160mmHg Filtration glomérulaire PAM < 80mmHg ==> diminution de DSR proportionnellement à la PA Filtration glomérulaire Filtration glomérulaire Facteurs influençant le débit de filtration glomérulaire: débit plasmatique rénal: élévation entraîne une augmentation du débit de filtration pression artérielle systémique (si Pam<80mmHg) coefficient d ultrafiltration (pyélonéphrite) concentration en protéine plasmatique résistances artériolaires rénales 1/5 du débit plasmatique rénal traverse la membrane capillaire: fraction filtrée de 20% filtrat glomérulaire: 120 ml/min (180 l/j) Urine primitive = ultra filtrat du plasma pauvre en protéines évacuation des canaux collecteurs dans les calices, bassinet, uretères et vessie
6 Filtration glomérulaire Filtration glomérulaire composition de l ultra filtrat: pauvre en protéine substances dissoutes non ionisées (PM < 15000Da): même concentration que dans le plasma substances ionisées: transport libre Déterminants de la filtration glomérulaire: Gradient de pression hydrostatique entre capillaire et capsule de Bowman Gradient de pression oncotique capillaire et glomérulaire surface de filtration coefficient de perméabilité à l eau Filtration glomérulaire Filtration glomérulaire Variations des résistances artériolaires rénales Interaction des forces de Starling Hydrostatique (P) Osmotique (π) Pc=45 Pu=10 P P πc=20 πu±0 Coefficient de filtration (K F ) Surface et porosité du filtre DFG=K F x ((Pc-Pu) (πc- πu)) Physiologie humaine, H.Guénard, éd. Pardel 2001 Régulation du débit sanguin rénal Régulation du débit sanguin rénal Système nerveux: stimulation sympathique (α +) diminution du débit sanguin rénal débit de filtration stable (art. efférente) contrôle hormonal système rénine angiotensine prostaglandines (vasodilatation) hormone antidiurétique: diminution de Kf facteur atrial natriurétique: augmentation filtration
7 Système rénine angiotensine Système rénine angiotensine rénine sécrétée par appareil juxta-glomérulaire permet la transformation: angiotensinogène (foie) en angiotensine I angiotensine I en angiotensine II (grâce à l enzyme de conversion) rôle de l angiotensine II: vasoconstriction prédominante A. efférente: maintien du débit de filtration glomérulaire production intra-rénale de PG vasodilatatrices stimulation production aldostérone Système rénine-angiotensine Appareil juxtaglomérulaire volémie => Rénine Hémorragie solutés dans t. contourné distal SN sympathique Angiotensine II Angiotensinogène vasoconstricteur Rénine Angiotensine I Régulation du débit sanguin rénal Prostaglandines PGE2 et PGI2: synthèse par COX à partir de l acide arachidonique vasodilatation des artérioles rénales synthèse inhibée par les antiinflammatoires ECA Angiotensine II Aldostérone Auto-Régulation du débit sanguin rénal Auto-Régulation du débit sanguin rénal Maintien du débit sanguin rénal et filtration glomérulaire pour des PAM de 80 à 160 mmhg DSR L/min 1 Zone autorégulée Ajustement des résistances des artérioles aff et eff mécanisme myogénique: augmentation de pression de perfusion entraîne une vasoconstriction A. afférente rétrocontrôle tubulo-glomérulaire (rôle d un signal perçu au niveau macula densa) Limite inf Limite sup PAM (mmhg)
8 Situation d hypovolémie Situation d hypovolémie hypovolémie noradré angiot I II Synthèse prostaglandines Vasoconstriction Artériole efférente Vasodilatation Artériole afférente DSR peu diminué et DFG normal noradré angiot I II Enzyme de conversion - IEC Vasoconstriction Artériole efférente Vasodilatation Artériole afférente Synthèse prostaglandines - AINS Diminution DSR et DFG Réabsorption et sécrétion tubulaire Réabsorption et sécrétion tubulaire Arrivée de l ultra filtrat au niveau du tubule rénal: même composition que dans le plasma débit de 180 l/j rôle du tubule: maintenir homéostasie Le néphron Différents types de transport utilisés transport passif: en fonction des gradients de concentration transport facilité: intervention d un transporteur transport actif: consommation d énergie
9 Tubule proximal Principale structure de réabsorption situé dans la corticale Principal rôle: Tubule proximal réabsorption d eau et électrolytes réabsorption par endocytose des protéines élimination des produits finals de dégradation du métabolisme début de l acidification des urines (NH4+) Réabsorption de bicarbonates sécrétion de certains médicaments Tubule proximal Tubule proximal Réabsorption de sodium avec réabsorption iso-osmotique d eau: pas de modification de concentration en sodium diminution des concentrations en glucose, acide aminé, phosphate sécrétion de substances organiques endogènes ou exogènes Génération de bicarbonate par la cellule tubulaire Physiologie humaine, H.Guénard, éd. Pardel 2001 Tubule proximal Sortie du tubule proximal: réabsorption de 60 à 70% d eau, de sodium, de potassium et calcium réabsorption de 50% de chlore réabsorption de 75% de phosphate Etablissement d un gradient cortico-papillaire réabsorption d eau le long de la branche descendante: urine hyper osmolaire à l extrémité de la branche descendante branche ascendante fine imperméable à l eau: siège d une absorption de NaCl ==> gradient corticopapillaire branche ascendante large: imperméable à l eau Anse de Henlé
10 Anse de Henlé Tubule contourné distal Sortie de l anse de Henlé: urine hypo-osmotique (100 mosm/l) réabsorption de 20% d eau, 30% de sodium, 25% de potassium, 30% de calcium Responsable de l ajustement de la réabsorption sodée et de l excrétion acide Composé : tube contourné distal tube connecteur canal collecteur cortical Tubule contourné distal réabsorption de sodium et de calcium Responsable de l ajustement de la réabsorption hydrique. Canal collecteur action de l ADH et de l aldostérone sortie: urine isoosmotique Canal collecteur En résumé: Action maximale de l ADH: Synthèse: hypothalamus antérieur Sécrétion hypophyse postérieure Sécrétion sous stimuli: Tension sur la paroi de l OG Osmolalité plasmatique efficace (c.plasmatique Na+) Action: Réabsorption de l eau Vasoconstriction Contraction des cellules mésangiales (diminution du Kf) dans les calices: urines acides avec ph à 5 Réabsorption du Sodium: Tube proximal: 70% Branche ascendante de l anse de Henlé: 30% Tube distal et canal collecteur: qq % Réabsorption de l eau Tube proximal: réabsorption iso-osmotique Canal collecteur sous l action de l ADH
11 Mode d action des diurétiques Quel est l intérêt de la physiologie rénale? On distingue trois catégories principales de diurétiques en fonction des sites d action au niveau du tubule rénal : Ceux qui inhibent la réabsorption du sodium au niveau de la branche ascendante de l anse de Henlé (diurétiques de l anse) : ils inhibent le co-transport Na+, K+ et Cl-. La natriurèse induite est très importante, puisque la réabsorption à ce niveau l est aussi. Ils sont principalement représentés par le furosémide (Lasilix*) et le bumétanide (Burinex*). Ceux qui inhibent la réabsorption de sodium au niveau du tube contourné distal : les thiazides et apparentés. Exemple : l hydrochlorothiazide Ceux qui inhibent la réabsorption de sodium au niveau du tube contourné distal et surtout du tube collecteur (diurétiques distaux). Certains de ceux-ci sont des inhibiteurs compétitifs de l aldostérone. L amplitude de leur effet dépendra donc du niveau de concentration plasmatique de l aldostérone. Quelle évaluation pratique du DFG? 1 / Mesure de la clairance de la créatinine (ClCr): Nécessité d un recueil urinaire sur 24 heures. ClCr (ml/min) = Cr u (µmol/l) x Volume u de 24h (ml) 1440 (min) Cr pl (µmol/l) Valeurs normales : H : 140 +/- 15 ml/mn F : 125 +/- 15 ml/mn Quelle évaluation pratique du DFG? Quelle évaluation pratique du DFG? Deux formules simples permettent d'estimer le DFG (edfg) à partir de la créatininémie : La formule de Cockcroft et Gault La formule issue de l'étude MDRD (Modification of Diet Renal Disease) 2 / Calcul par la formule de Cockroft et Gault Évite le recueil urinaire des 24 heures. Pour une créatininémie exprimée en µmol/l prend en compte le poids, le sexe et l'âge edfg = Clairance créatinine (ml / min) = [(140 - âge (années)) x Poids (kg) x A ]/ créatininémie (µmol/l) A = 1,23 chez l'homme et 1,04 chez la femme.
12 Quelle évaluation pratique du DFG? Quelle formule choisir? 3 / Calcul par la formule MDRD (Modification of Diet Renal Disease) prend en compte l'âge, le sexe et l'origine ethnique (caucasienne ou noire) edfg =186 x créatininémie x âge La figure ci-dessous illustre parfaitement le fait qu'une même créatininémie (60 μmol/l) puisse conduire chez une femme pesant 60 kg pour 160 cm à 2 estimations différentes du DFG en fonction de son âge qui est le seul paramètre à varier sur la courbe (de 20 à 85 ans). corriger par pour les femmes, 1.21 pour les noirs Pour savoir si une formule est meilleure qu'une autre pour évaluer le DFG, il faut la comparer à une technique de référence de mesure du DFG: la clairance de l'inuline. Le tableau ci-dessous compare le biais (différence entre edfg et le DFG mesuré par la clairance de l'inuline) pour les 2 formules (3). Celle qui donne le plus faible biais est soulignée. - MDRD estime mieux le DFG chez l'homme et CG chez la femme. - Quel que soit l'âge et notamment chez les plus de 60 ans, MDRD estime mieux le DFG. CG estime mieux le DFG chez les sujets minces et MDRD chez les sujets en surpoids ou obèse. - Enfin, si la fonction rénale est altérée, le DFG est toujours mieux estimé par la formule du MDRD. DONC La formule du MDRD donne une estimation, en général, plus précise du débit de filtration glomérulaire que celle de Cockcroft et Gault. Donc éviter formule de CG chez : Enfant Patient obèse Femme enceinte Cirrhotique avec ascite. Âge supérieur à 65 ans Et pendant toute pathologie aiguë en général. Classification des différents stades de la maladie rénale Autres marqueurs L'estimation du DFG permet de classer les sujets en : Stade 1 : Maladie rénale chronique DFG > 60 ml / mn et clairance Stade 2 : IRC modérée DFG entre 30 et 59 ml / mn, clairance Stade 3 : IRC sévère DFG entre 15 et 29 ml / mn, clairance Stade 4 : IRC terminale (dialyse ou transplantation) DFG < 15 ml / mn, clairance <15 (le DFG est le débit de filtration glomérulaire, la clairance de la créatinine est exprimée en ml/min/1.73m2) Réanimation 2008, vol. 17, no 8 pp
13 l'interleukine-18 (Il-18), la neutrophil gelatinaseassociated lipocalin (NGAL) et la cystatine C laissent entrevoir des perspectives encourageantes pour l'avenir. FIN
La filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailSOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE
SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailUniversité de Montréal
Université de Montréal Identification et caractérisation de gènes différemment exprimés dans les tubules proximaux de reins diabétiques et impliqués dans le développement de la néphropathie diabétique
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailPas anodine, la créatinine!
Pas anodine, la créatinine! F O R M A T I O N C O N T I N U E M. Rinfret se présente à votre cabinet pour son premier examen. «À 50 ans, j ai encore les reins solides!», vous dit-il. Isabelle Chapdelaine
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailD o s s i e r. d u C N H I M. SARTANS : antagonistes de l angiotensine II. Revue d évaluation sur le médicament SOMMAIRE. Évaluation thérapeutique
D o s s i e r d u C N H I M Revue d évaluation sur le médicament Publication bimestrielle 1999, XX, 4 SOMMAIRE Évaluation thérapeutique SARTANS : antagonistes de l angiotensine II 1999, XX, 4 Centre National
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailL ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013
L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 => QUELLE EST LA FONCTION RENALE DE MON PATIENT? MDRD: COCKROFT: Clairance créatinine ml/min = [140-âge
Plus en détailInsuffisance Cardiaque de l Adulte.
Insuffisance Cardiaque de l Adulte. Pr. Laurent FOURCADE, Service de Cardiologie, HIA Laveran, Marseille. IFSI Croix Rouge, Marseille, 25 mars 2013 Plan I - Insuffisance cardiaque chronique.définitions.généralités,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailHémofiltration continue en réanimation, des aspects très pratiques
Hémofiltration continue en réanimation, des aspects très pratiques Didier Journois Service d Anesthésie-Réanimation, HEGP, 20 rue Leblanc, 75015 Paris 1. Rappel des principes de l hémofiltration 1.1. Le
Plus en détailComprendre et résoudre les problèmes infirmiers de l épuration extra rénale en réanimation
Comprendre et résoudre les problèmes infirmiers de l épuration extra rénale en réanimation C.Simonetti M.Castanier (Marseille) A.Moreau (Hospal France) Epuration extra rénale (EER) en réanimation 1. Améliorer
Plus en détailFiche d information aux parents L HEMODIALYSE
Fiche d information aux parents L HEMODIALYSE L hémodialyse est ce qu on appelle une méthode de suppléance rénale, c est à dire une technique permettant de survivre avec des reins qui ne fonctionnent plus
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailPrise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter
Prise en charge du nouveauné prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Docteur JeanFrançois Magny Institut de Puériculture et de Périnatalogie Problématique double Prise en charge de la prématurité
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTUTORAT UE 6 2014-2015 Initiation à la connaissance du médicament CORRECTION d annales Semaine du
TUTORAT UE 6 2014-2015 Initiation à la connaissance du médicament CORRECTION d annales Semaine du Concours PACES 2013-2014 Semaine du 27/04/2015 QCM n 1 : B, D, E A. Faux. Le monde animal et minéral a
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailDiatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile
DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile Jacques CHANLIAU, François CHARPILLET, Pierre-Yves DURAND, Robert HERVY, Jean-Pierre THOMESSE, Luis VEGA Résumé. DP
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailÉPURATION EXTRA-RÉNALE (EER)
Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale ÉPURATION EXTRA-RÉNALE (EER) PROTOCOLE DU SERVICE 1 SOMMAIRE Principes de l épuration extra-rénale...3 Mise en place et
Plus en détailMÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE
MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailLes NOACs en situation de crise
Les NOACs en situation de crise Vanderhofstadt Quentin Stagiaire en médecine interne (CHHF) Février 2013 Supervision : Dr Guillen 1 Les NOACs en situation de crise Pourquoi un staff à ce sujet R/ de plus
Plus en détailCours 3 : Python, les conditions
Cours 3 : Python, les conditions Conditions Permet d'exécuter des ordres dans certaines conditions : if condition1: code exécuté si condition1 est vraie code exécuté si condition1 est vraie... elif condition2:
Plus en détailFibrillation auriculaire non valvulaire Du bon usage des anticoagulants oraux directs en médecine générale PHILIPPE VORILHON DMG CLERMONT-FERRAND
Fibrillation auriculaire non valvulaire Du bon usage des anticoagulants oraux directs en médecine générale PHILIPPE VORILHON DMG CLERMONT-FERRAND Déclaration de conflit d'intérêt: aucun Risque de survenue
Plus en détailLes traitements du cancer du rein
MARS 2013 Les traitements du cancer du rein COLLECTION GUIDES PATIENTS LES REINS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LES MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX LES PROFESSIONNELS LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailModélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie
Modélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie Laurent Bourguignon To cite this version: Laurent Bourguignon.
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailComposition corporelle
Composition corporelle Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Définition des compartiments... 3 I.1 Le modèle anatomique... 3 I.2 Le modèle biochimique...
Plus en détailPhysiologie du nouveau-né
Physiologie du nouveau-né Jamil Hamza: Praticien hospitalier, DES en anesthésie-réanimation Paul Sacquin: Attaché, département d'anesthésie-réanimation Lionel Simon: Chef de clinique-assistant, département
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailConférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure
Conférence De néphrologie Lille Internat DCEM3 E. Faure 219 : Anomalies du bilan de l eau et du sodium (DCEM3 conf 2) 219 : Anomalies du bilan du potassium (DCEM3 conf 1) 219 : Désordres de l équilibre
Plus en détailLA TRANSPLANTATION RENALE CHEZ L'ADULTE PAR DONNEUR VIVANT EXPERIENCE DU SERVICE D UROLOGIE DU CHU HASSAN II DE FES
UNIVERSITE SIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE FES UNIVERSITESIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH FES Année 2013 Thèse N 031/ 13 LA TRANSPLANTATION RENALE CHEZ L'ADULTE PAR DONNEUR VIVANT
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailOs Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration
MUSCULEUSE OESOPHAGIENNE : 1/3 supérieur : Musculeuse striée longitudinale (Paroi) + S.S.O 1/3 moyen : Musculeuse striée externe longitudinale + circulaire lisse interne 1/3 inférieur : Musculeuse circulaire
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailCATALOGUE ÉLECTRONIQUE D INDICATEURS DE QUALITÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE INDICATEURS DE QUALITÉ POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE
CATALOGUE ÉLECTRONIQUE D INDICATEURS DE QUALITÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE INDICATEURS DE QUALITÉ POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE UN DOCUMENT DE CONSENSUS DE LA SCC Historique des versions :
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailStat Profile Prime Analyseur pour soins intensifs
Stat Profile Prime Analyseur pour soins intensifs La nouvelle orientation axée sur les cartouches utilisant la microélectronique et une nouvelle technologie de microcapteurs a permis de réaliser un analyseur
Plus en détaildabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente
dabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente Gilles Pernod et Pierre Albaladejo, pour le Mise en garde Ce texte concerne la prise en charge des
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailINTRODUCTION A LA PHARMACOCINETIQUE
INTRODUCTION A LA PHARMACOCINETIQUE 1-Devenir du médicament dans l organisme La pharmacocinétique : a pour but d étudier le devenir du médicament dans l organisme. On peut schématiser la pharmacocinétique
Plus en détailLa prise en charge des insuffisants rénaux chroniques au stade terminal État des lieux
La prise en charge des insuffisants rénaux chroniques au stade terminal État des lieux Pr. Larbi ABID La maladie rénale chronique que l on nomme insuffisance rénale chronique (IRC) se définit soit par
Plus en détailLes anti-inflammatoires non stéro. Les antalgiques non opiacés.
Les anti-inflammatoires non stéro roïdiens et stéro roïdiens. Les antalgiques non opiacés. (bases pharmacologiques) DCEM1 Pr.. Laurent Monassier Pharmacologie DCEMI Ce que nous allons voir 1 ère partie:
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailFrench Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.
Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:
Plus en détailLES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE
LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE Pourquoi les Oméga 3 : Les huiles de poisson riches en EPA et DHA constituent les principaux apports en acides gras poly-insaturés de la famille
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailQuand le cœur n y est plus
LA QUALITÉ DE VIE de la personne atteinte d insuffisance cardiaque passe par l optimisation du traitement de sa maladie. Il est possible de freiner l évolution de l insuffisance cardiaque et même de retourner
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailRANDONNÉES. Maladies rénales Diabète Don d organes Informations et dépistages COATAUDON - KERLAURENT DIMANCHE 27 AVRIL 2014. www.air.bretagne.free.
DIMANCHE 27 AVRIL 2014 En matinée COATAUDON - KERLAURENT GUIPAVAS 14 ème édition RANDONNÉES Organisées par les INSUFFISANTS RÉNAUX DU LÉON et l ASSOCIATION SPORTIVE DE TOURBIAN Pédestres Cyclos V.T.T.
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailCORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :
CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détail