Étape 1: Le portrait du commerce de détail
|
|
- Raphaël Roussy
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Étape 1: Le portrait du commerce de détail Introduction au commerce de détail Commerce de détail et opérations MV Cahier 1 préparé par: Monique Vaillancourt 1
2 TABLE DES MATIÈRES 1-Évolution des entreprises de détail au Québec.. p Lesvariables stratégiques d un commerce de détail p Défis du 21 ième siècle pour les détaillants. p La main d oeuvre dans un commerce de détail p Catégorie de commerce de détails. p Classification des commerces selon la marge bénéficiaire et le taux de rotation des stocks.. p Conclusion en statistiques p
3 1. Évolution des entreprises de détail au Québec Simons en 1870 Côte de la Fabrique Simons en 2007 place Ste-Foy 3
4 1. Évolution des entreprises de détail au Québec A. Le magasin général (début du 20ième siècle) Il y a 100 ans, tous les villages, ou presque, avaient leur magasin général. On y passait pour acheter divers types de marchandises; la farine, une pelle, une robe pour la petite dernière... Surtout, on venait s'informer des dernières nouvelles (ou colporter les derniers potins). 4
5 1. Évolution des entreprises de détail au Québec A. Fin 19ième début 20ième siècle Après avoir connu des conditions de vie difficiles, les familles ouvrières voient leur pouvoir d'achat augmenter. À partir des années 1920, elles participent à une activité jusqu'ici réservée aux familles aisées : le magasinage. Il n'est plus rare d'aller dans les grands magasins comme ceux de la rue Sainte-Catherine à Montréal. La société de consommation fait son apparition q.1 Toutefois la crise économique des années 30 freine cette expansion. 5
6 1. Évolution des entreprises de détail au Québec B. L âge d or des magasins à rayon ou grands magasins (fin 19 ième début du 20 ième siècle) Les grands magasins apparaissent dans les grandes villes. Afin de rejoindre les communautés rurales, ces derniers inventent le système de vente par catalogue. v/f 6
7 1. Évolution des entreprises de détail au Québec B. L essor des artères commerciales ( ) Après la fin de la crise, les années 1940 marquent l essor des artères commerciales comme la rue Sainte-Catherine et la rue Saint-Hubert à Montréal. Désormais les commerces se spécialisent! Contrairement au magasin général, les commerces de vêtements, chaussures, et tissus ne vendent que des marchandises sèches dry goods excluant de leur assortiment la nourriture et la quincaillerie Rue Saint-Hubert (octobre 1937) Photographie, Ville de Montréal. Gestion de documents et archives Ville de Montréal. Gestion de documents et archives, (VM94,Z179-2), Héritage Montréal 7
8 1. Évolution des entreprises de détail au Québec C. Le magasin à escompte (1960) À partir de 1960, le magasin à escompte prend place. Ce nouveau concept a raffiné celui du magasin à rayons en proposant des prix inférieurs rendus possibles par un marketing de masse et une distribution à très haut volume. Ce concept a été supporté par le renforcement de la classe moyenne. 8
9 1. Évolution des entreprises de détail au Québec D. La popularité du centre commercial ( ) Une forte croissance démographique de l après-guerre, une hausse du niveau de vie, l exode vers les banlieues et l adoption de l automobile par la grande majorité de la population favorisent l apparition du centre commercial. q.2 Ce concept commercial a connu son essor dans les années 1960 et Les années 1980 ont marqué la fin de la période de croissance de ce concept. q.1 En 1981 une hausse spectaculaire des taux d intérêt et en 1991 l apparition de la TPS et de la TVQ freinent le commerce. 9
10 1. Évolution des entreprises de détail au Québec E. La compétitivité des grandes surfaces ( ) Ce sont des magasins d une surface supérieure aux standards établis qui offrent un très bon rapport qualité-prix. Ils sont souvent situés dans un méga centre / power center qui regroupe des détaillants majeurs afin de concurrencer les centres commerciaux. 10
11 1. Évolution des entreprises de détail au Québec F. Le centre style de vie ou lifestyle ( ) Le centre «style de vie» est apparu au début des années 2000 dans le Sud des États-Unis. C est un power center, mais avec une âme! v/f et q.3 La particularité de ces centres commerciaux «life style», est qu on intègre au magasinage le divertissement On mange, on se fait masser et on termine la soirée par un spectacle à l Étoile En 2008 la récession américaine entraîne un ralentissement du commerce au Canada. Q.1 11
12 1. Évolution des entreprises de détail au Québec G. Les boutiques éphémères ou pop up stores (2011) Des boutiques ouvertes de façon temporaire (de quelques jours à quelques mois) suscitent une frénésie depuis quelques temps. v/f Ex: Aktion la boutique artistique ambulante du designer belge A.F. Vandevorst s installe au Quai 417 de la rue St-Pierre pour le mois de mars 2012., 12
13 1. Évolution des entreprises de détail au Québec H. Le magasin concept concept store ( ) Concept réservé à la haute couture, il est impensable d ouvrir un commerce de détail en 2012 sans thématique Le concept se développe.avec de nouveaux attributs et une réelle valeur ajoutée :offre, merchandising, services, politique de vente, animation Ex: Le Château rénove son concept aux promenades St-Bruno. Il change son logo et l aménagement du magasin. Il laisse entrer en ses murs d'autres marques que la sienne. Blondo, Jessica Simpson, Franco Sarto et Vince Camuto côtoient la marque Le Château. Les prix des chaussures atteignent 150 $. 13
14 1. Évolution des entreprises de détais au Québec H. Le magasin concept ( ) Les 8 clés pour créer un concept : Un positionnement stratégique et marketing Un espace suffisamment «grand» pour s exprimer, circuler, animer, présenter... Une décoration innovante,repérable, identifiable et mémorisable. Une communication Des produits sélectionnés Un bon emplacement Un personnel formé Un merchandising efficace Réf. Jean Claude Prinz La parfumerie Murale au Canada a fait de la luminosité un signe de distinctionimage: lejournaldunet 14
15 1. Évolution des entreprises de détail au Québec H. Le magasin concept ( ) Ces nouveaux concepts seront orientés vers certaines valeurs d avenir telles que : - Le confort - La responsabilité sociale - La gestion du temps - Le bien-être - La sécurité - Les loisirs Réf. Jean Claude Prinz Dans les nouveaux magasins Tous, en Espagne les clients sont accueillis dans des salons aux meubles et fauteuils vintage 19
16 1. Évolution des entreprises de détail au Québec I. Le commerce électronique...e-commerce Les sites des entreprises : Catalogue de produits offerts en ligne. Permettent de voir/acheter les produits sans se déplacer Body Kiss by La SenzaTM Body Kiss Demi Lightly) Les aubaines en ligne: Ebay.france Beyond the Rack Groupon.. 82% de rabais sur pinceaux Big Bad Wolf 20
17 1. Évolution des entreprises de détail au Québec I. Les codes Q.R Le code QR: code barres en 2D "QR" signifie Quick Reponse: le contenu peut être décodé rapidement. QR peut contenir beaucoup d'informations sur les produits et permet de comparer les prix Se lit à l aide d un téléphone portable Vuitton -Muraka 17
18 2. Les variables stratégiques du commerce de détail Message de Sam Walton fondateur de Walmart «Il n y a qu un chef dans l entreprise et c est le consommateur. L avenir même de l entreprise dépend de lui, car il peut licencier tout le personnel, y compris son président en allant dépenser son argent chez les concurrents.» Qu est-ce qui pousse le consommateur à entrer dans un magasin? Qu est-ce qui influence son parcours? 18
19 Le parcours du client 3-Il paye 2-Il se fait servir CE QUI INFLUENCE LE CLIENT 4-Il sort 1-Il entre 5- Il revient! 19
20 2. Les variables stratégiques du commerce de détail Stratégie PPDC ou les 4P 1. Prix 2. Produit 3. Distribution 4. Communication Stratégie 7V PASCCAL 1. Prix 2. Assortiment 3. Service à la clientèle 4. Communication commerciale de masse (CCM) 5. Communication commerciale personnalisée (CCP) 6. Aménagement et présentation des produits 7. Localisation 20
21 2. Lien entre les deux stratégies Stratégie de produit q.4 Stratégie d assortiment : Sélectionner et assortir les produits, services et marques qui, ensemble, créeront un attrait pour le client. Stratégie de distribution Stratégie de localisation : Choisir l endroit le plus approprié pour l emplacement du commerce. Stratégie de SAC : Définir les conditions dans lesquelles le produit est disponible ainsi que les services offerts. Stratégie de prix q.5 Stratégie de prix : Définir la politique des prix qui attirera le consommateur tout en garantissant des profits pour l entreprise. Stratégie de communication Stratégie d aménagement : Communiquer l image de l entreprise Stratégie de CCP : Définir l approche client. Stratégie de CCM : Sélectionner les moyens de communication commerciale de masse (publicité, promotion, marketing direct, commandite, R.P. et CLV). 21
22 3. Réalité du 21 ième siècle: défis pour le détaillant Des frais qui ne cessent d augmenter; il faut accroître la productivité et la rentabilité de chaque point de vente. Une croissance ralentie. Des marchés saturés; une concurrence intense et mondiale. Des marchés qui se fragmentent de plus en plus Le vieillissement de la population. Un mini bébé-boum favorisé par le RQAP. Des clients parfois infidèles à une marque. L embauche d une main d oeuvre adéquate. 22
23 4-L embauche d une main d oeuvre adéquate. Q.6 23
24 4-La main d oeuvre dans une entreprise de détail. Acheteur acheteuse: choisit des fournisseurs, de la marchandise garde un œil sur la concurrence. Caissier caissière: reçoit le paiement, emballe la marchandise balance la caisse. Commis au service à la clientèle: répond aux demandes, s occupe des plaintes Directeur/ gérant: planifie, organise, dirige, contrôle et évalue les activités du commerce. Superviseur: développe, dirige et supervise la mise en marché et l équipe de plusieurs établissements. Conseiller/ conseillère à la vente: conseille la clientèle et vend des produits et services. 24
25 5. Catégories de commerces de détail 25
26 5. Catégories de commerces de détail Indépendant : Les indépendants ont un maximum de trois points de vente qui sont généralement administrés par le propriétaire. La petite entreprise indépendante a quelque chose que la grande n a pas: la liberté et la possibilité d agir rapidement. v/f Chaîne de magasins : Plusieurs boutiques du même nom proposant les mêmes produits et le même aménagement. Les chaînes possèdent au moins quatre boutiques. Les chaînes disposent d un pouvoir d achat accru permettant de réaliser des économies d échelle au niveau de l approvisionnement. 26
27 5. Catégories de commerces de détail Propriété du fabricant : certains fabricants sont propriétaires des magasins de détail qui vendent leur produits. Leurs magasins servent de vitrine pour y proposer toutes les collections qu ils fabriquent et commercialisent. Propriété des consommateurs : Les coopératives de consommateurs sont des magasins appartenant à ceux-ci Poursuivant un but non lucratif, elles permettent aux clients membres de réaliser des économies. Commerce de détail hors magasins : vente par catalogue : vente électronique : vente à domicile : distributeurs automatiques : 27
28 6. Classification des commerces selon la marge bénéficiaire et le taux de rotation des stocks Exemples de marges : q.7a Marge élevée Rotation lente Holt s Coût $ 20 Détail $ 50 Marge $ 30 Marge faible Rotation élevée Tigre Géant Coût $ 20 Détail $ 30 Marge $ 10 28
29 6. Classification des commerces selon la marge bénéficiaire et le taux de rotation des stocks Marge faible - rotation élevée Marchandises pré vendues ou en libre-service Des emplacements isolés Assortiment large et peu profond Prix en dessous de ceux du marché Efforts promotionnels axés sur le prix 29
30 6. Classification des commerces selon la marge bénéficiaire et le taux de rotation des stocks Marge élevée rotation faible Plusieurs services proposés Emplacements regroupés Structure organisationnelle complexe Assortiment restreint et profond Prix au-dessus de ceux du marché Prix justifiés par une excellente réputation 30
31 6. Classification des commerces selon la marge bénéficiaire et le taux de rotation des stocks Marge élevée rotation élevée Dépanneur Service plus important : heures d ouvertures prolongées plusieurs emplacements Structure organisationnelle simple Assortiment large et peu profond Prix au-dessus de ceux du marché Peu ou pas de promotion, marché captif 31
32 En conclusion Le commerce de détail c est: 24,712 établissements ; 14.8% d entre eux vendent des vêtements et 2.4% des chaussures 19 sous-secteurs permettant de regrouper l offre de chaque détaillant. 298,845 employés dont 47.8% sont affectés à la vente ou au service à la clientèle. Ils travaillent en moyenne 28.3 heures/semaine. Le taux de roulement est problématique car les salaires sont peu élevés. 32
33 33
34 Médiagraphie Rapport Altus Géocom section économie Jean-Claude Prinz Nouvelles tendances :la vente au détail de vêtements au Canada Jane Lin Statistiques Canada: Détail Québec comité sectoriel du commerce de détail 34
PLAN. --> PDV (Promotion de ventes) et PLV (Publicité sur lieu de vente)
COURS N 4 : LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION COURS DE MARKETING / Cours n 4 : La politique de distribution --> MSG / IAE --> Novembre 2005 1 --> Introduction --> Les fonctions de la distribution --> Canal
Plus en détailLE MARCHÉ DE LA LOCATION DU
LE MARCHÉ DE LA LOCATION DU COMMERCE DE DÉTAIL É À MONTRÉAL É Plan de la présentation 1 Quelques tendances 2 Les projets en cours 3 Les nouveaux joueurs 2 1. Quelques tendances La demande Évolution des
Plus en détailPas d installations ou d équipement particuliers.
COURS MAM1010 : Niveau : Préalable : Description : Paramètres : MARKÉTING ET GESTION Débutant Aucun L élève acquiert des notions de base en gestion et en markéting et donne des indications sur les meilleures
Plus en détailRédaction d un Plan d affaires
Rédaction d un Plan d affaires Catherine Raymond 2001 INTRODUCTION Raisons qui ont motivé la rédaction du plan d affaires Personnes ou organismes qui ont collaboré à l élaboration du plan d affaires Sommaire
Plus en détailPlan de commercialisation
Plan de commercialisation Plan de commercialisation Organigramme VAliDATiON Du POSiTiONNEMENT ET DE la MiSSiON STrATÉGiES MArKETiNG MESSAGE PuBliciTÉ relations PuBliQuES PrOMOTiONS radio AcTiViTÉS SOciAlES
Plus en détailCOMMENTAIRE PORTAIT COMPARÉ DES CONSOMMATEURS CANADIENS ET AMÉRICAINS. Services économiques TD. Quelques faits stylisés
COMMENTAIRE Services économiques TD PORTAIT COMPARÉ DES CONSOMMATEURS CANADIENS ET AMÉRICAINS Quelques faits stylisés Au cours de la dernière décennie, les sociétés ont eu tendance à vouloir étendre leurs
Plus en détailPour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ
Pour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ Katy Tari, Orange Kiwi Chargée de projet 1. Mise en contexte La Société des musées québécois (SMQ) s intéresse
Plus en détailNote partielle sur le E-Commerce
Note partielle sur le E-Commerce (Centrée sur le marché de l habillement ; source : IFM 2011) 1. Remarques générales ; quelques définitions et orientations 1. Les Pure Player Il s agit du commerce en ligne
Plus en détailFonds tripartite de financement privé de la culture. Modèle de plan d affaires avec exemples. Entreprise ou organisme : Coordonnées :
Fonds tripartite de financement privé de la culture Entreprise ou organisme : Coordonnées : Promoteur responsable : Date : Modèle de plan d affaires avec exemples TABLE DE MATIÈRES RÉSUMÉ Identification...1
Plus en détailUN CONCEPT UN FACTEUR DE SUCCÈS. Décoration et cadeaux pour la maison et le jardin.
UN CONCEPT ATTRACTIF, UN FACTEUR DE SUCCÈS Décoration et cadeaux pour la maison et le jardin. LA PROMESSE CASA Un chez-soi plus agréable pour tous 2 www.casashops.com Page 4 Page 5 Page 6 Page 7 Page 8
Plus en détailSage 100 Entreprise Edition Etendue Module CRM Inclus
Sage 100 Entreprise Edition Etendue Module CRM Inclus Nouveau produit! 1 1 Sommaire 1. Découpage fonctionnel ------------------------------------------------------------------------------ p3 2. Schéma
Plus en détailLE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING
LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailPLUSIEURS OFFRES DE VISIBILITÉ PROMOTIONNELLE CIBLÉES! PROFITEZ DE NOTRE OFFRE COMBO!
DU 22 AU 25 OCTOBRE 2015 AU STADE OLYMPIQUE 50 000 visiteurs / 300 exposants Le seul Salon d automne à Montréal. Plus de 50 000 consommateurs sur place à la recherche de produits et services en habitation
Plus en détailMODÈLE DE PROPOSITION COMMERCIALE D UNE PME AUX GRANDES CHAÎNES
MODÈLE DE PROPOSITION COMMERCIALE D UNE PME AUX GRANDES CHAÎNES Direction du développement des entreprises et des affaires Cet outil de gestion est une initiative conjointe de la Direction du commerce
Plus en détailINTRODUCTION GENERALE AU MARKETING
INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING 1. La notion de marché 2. La définition du Marketing et du Marketing - Mix 3. Les fonctions de l entreprise 4. La stratégie push ( fonction de production ) 5. La stratégie
Plus en détailIntégrez la puissance du. «Où» dans votre entreprise. Obtenez de meilleurs résultats grâce à Esri Location Analytics
Intégrez la puissance du «Où» dans votre entreprise Obtenez de meilleurs résultats grâce à Esri Location Analytics Quand la question est «Quoi», la réponse est «Où» Dans le contexte actuel d explosion
Plus en détailwww.pwc.com/ca/retail Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail
www.pwc.com/ca/retail Prendre la mesure Étude comparative sur le commerce de détail Étude comparative sur le commerce de détail Le groupe Conseils de PwC, en partenariat avec le Conseil canadien du commerce
Plus en détailSommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)
Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...
Plus en détailChap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant :
Chap 3 : La connaissance du client I. Les fondements de la connaissance du client A. D une société de consommation à une société de consommateurs Depuis les années 1980, les mutations sociales ont eu d
Plus en détailComment développer l attractivité d un commerce multiservices?
Comment développer l attractivité d un commerce multiservices? L attractivité pour un commerce multiservices : Comment la déterminer? Quel sens lui donner? Quel sens donnez-vous au mot ATTRACTIVITE, dans
Plus en détailMulti Menu franchising inc. Franchiseur 1700 Boul. St-Elzear Ouest, local 105 Laval, Qc H7L 3N2 1-877-462-0056 info@multimenu.ca
Multi Menu franchising inc. Franchiseur 1700 Boul. St-Elzear Ouest, local 105 Laval, Qc H7L 3N2 1-877-462-0056 info@multimenu.ca Bonjour, Nous vous remercions de votre intérêt pour Multi Menu. Si vous
Plus en détailCHAPITRE 5 Le passif
CHAPITRE 5 Le passif Problème 5.1 L existence et l estimation des éléments de passif a) Oui. La partie des articles que la boutique s est engagée à acheter crée un passif au 25 novembre 20X6, puisque ces
Plus en détailLe Québec, terre de traduction
Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.
Plus en détailCHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE
CHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE 9.1 LE SYSTÈME BANCAIRE AMÉRICAIN Contrairement aux banques de plusieurs pays, les banques américaines ne sont ni détenues ni gérées par le gouvernement. Elles offrent des
Plus en détailMÉTHODOLOGIE D ENQUÊTE
MÉTHODOLOGIE D ENQUÊTE Échantillon de départ tiré de la base de données de Dun and Bradstreet 4 secteurs d activités ciblés (entreprises de 5 employés et plus) : Des entreprises québécoises du secteur
Plus en détailComportement Web des touristes québécois
Comportement Web des touristes québécois Faits saillants - Mai 2011 Sondage Ipsos Descarie Réseau de veille en tourisme En partenariat avec le ministère du Tourisme du Québec Le sondage concernant le comportement
Plus en détailComment préparer une demande de financement
Comment préparer une demande de financement SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Présenter votre entreprise Cibler vos points forts Faire les démarches SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Obtenir des sommes d argent
Plus en détailDES EXEMPLES DE PROJETS PRESENTES EN PDUC
Type d UC Outils du diagnostic Problématique Projet Magasin spécialisé dans la vente de produits pour l équitation Observation Analyse du compte de résultat Enquête clientèle Etude de concurrence Perte
Plus en détailLe commerce. électronique et ses répercussions sur les boutiques
Le commerce électronique et ses répercussions sur les boutiques Table des matières 2 Introduction 3 4 5 6 Le commerce en ligne gruge une partie des ventes au détail Le furetage en magasin est maintenant
Plus en détailRéussir son affiliation
David Sitbon Étienne Naël Réussir son affiliation Comment gagner de l argent avec Internet, 2012 ISBN : 978-2-212-55350-5 1 Comprendre que tout est marketing de rentrer dans le détail, il nous a semblé
Plus en détailBTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR
BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du
Plus en détailLes variables contrôlables et l environnement l marketing
Les variables contrôlables et l environnement l du marketing Denis Pettigrew Normand Turgeon Chapitre 2 Réalisé par Gilbert Rock et adapté par Guy Grégoire Sommaire Le marketing mix Le produit Le prix
Plus en détailLes pourcentages. Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t.
Les pourcentages I Définition : Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t. Exemple : Ecrire sous forme décimale les taux de
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailTraitement de Visa Débit
Traitement de Visa Débit Information à l intention des marchands sur le traitement des transactions du commerce électronique et des commandes par téléphone Table des matières À propos de ce guide 3 Procédures
Plus en détailGuide pratique : Les coûts d emprunt d argent
QUESTION Guide pratique : Les coûts d emprunt Commanditaire fondateur ABC Alpha pour la vie Canada Guide pratique Question : Les coûts d emprunt Faire l épicerie coûte de l argent. Les vêtements coûtent
Plus en détailDu Web to Store au Digital in Store
Livre blanc Du Web to Store au Digital in Store Quand votre audience online se transforme en acheteurs offline www.kontestapp.com Introduction Le commerce digital et le commerce traditionnel évoluent de
Plus en détailÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008
Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils
Plus en détailINVESTIR À propos de Banque Nationale Courtage direct. Prenez le contrôle avec Banque Nationale Courtage direct
Prenez le contrôle avec Banque Nationale Courtage direct 01 Au service des investisseurs canadiens depuis plus de 25 ans Filiale d une des plus grandes institutions financières au pays, offre aux investisseurs
Plus en détailMobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler.
Mobile & achats à la demande Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat tradedoubler.com En Europe, les canaux mobiles de marketing à la performance transforment
Plus en détailNouvelle construction habitation unifamiliale 2009
Nouvelle construction habitation unifamiliale 2009 Remise du sac d'accueil Informations sur les organismes de la Ville Informations sur les commerces de la Ville Information sur les services municipaux
Plus en détailAménager. son point de vente
Aménager son point de vente L aménagement du point de vente est l un des principaux piliers de la réussite d une entreprise commerciale. La conception de l espace marchand doit permettre : une identification
Plus en détailSiS Contrôle d accès. 1 888 463-2867 www.datorsis.com
SiS Contrôle d accès SiS Contrôle d accès est un module qui vous permet de gérer les accès à vos sites et bâtiments, de gérer les entrées et sorties de vos employés et visiteurs grâce à des équipements
Plus en détailM06/3/BUSMT/HP2/FRE/TZ0/XX+ COMMERCE ET Gestion. Mercredi 17 mai 2006 (matin) 2 heures 30 minutes
IB DIPLOMA PROGRAMME PROGRAMME DU DIPLÔME DU BI PROGRAMA DEL DIPLOMA DEL BI COMMERCE ET Gestion Niveau supérieur ÉPREUVE 2 22065024 Mercredi 17 mai 2006 (matin) 2 heures 30 minutes Instructions destinées
Plus en détailGrégory Bressolles L E-MARKETING
Grégory Bressolles L E-MARKETING Conseiller éditorial : Christian Pinson Dunod, Paris, 2012 ISBN 978-2-10-057045-4 SOMMAIRE Avant-propos 5 CHAPITRE 1 Qu est-ce que l e-marketing? I COMMENT INTERNET A-T-IL
Plus en détailSolution d intelligence marketing et CRM
Solution d intelligence marketing et CRM L entreprise d aujourd hui est littéralement ensevelie sous une masse d information générée par son activité commerciale et par les liens qu elle tisse avec ses
Plus en détailStratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les
Plus en détailLa marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global
La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global Historique Les marques existent depuis les premiers échanges commerciaux et servaient essentiellement à authentifier l origine
Plus en détailSuccess Story pour le marché Américain
pour le marché Américain Votre passerelle sur le marchée américain. Al Hamman, Président, Hamman Marketing Associates Avec plus de 30 ans d expériences nationales et internationales derrière nous en marketing
Plus en détailModèle/Exemple - Business plan
Modèle/Exemple - Business plan Insérez ici le logo de votre enseigne/société NOM/Prénom Addresse 1 Addresse 2 Ville Code Postal Téléphone Fax Mobile E-mail Site Internet Sommaire Page 1. Introduction -
Plus en détailPROGRAMME ENTREPRENEURSHIP
PROGRAMME ENTREPRENEURSHIP 12 ateliers 48 heures en partenariat avec Pour information ou inscription : Chambre de commerce du Saguenay 418 543.5941 poste 221 194, rue Price Ouest, Chicoutimi, G7J 1H1 info@ccsaguenay.ca
Plus en détailOmer DeSerres Développement de la Quincaillerie. par JoAnne Labrecque Cahier n o 94-001R Cahier de recherche Janvier 1994 ISSN : 1181-9383
Omer DeSerres Développement de la Quincaillerie par JoAnne Labrecque Cahier n o 94-001R Cahier de recherche Janvier 1994 ISSN : 1181-9383 Copyright 1994. La Chaire de commerce Omer DeSerres, École des
Plus en détailI ON S S IR E OI R ULT U R A MO S AV LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE. Plan d action sur le livre
P A HI S S S T C R I ON M Ê IR E ULT U R A MO V ÉM E O IR E UR S AV OI R E LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE Plan d action sur le livre OCCUPATION : DÉVOREUSE DE LIVRES VOTRE LIBRAIRE, AUTEUR DE PETITS BONHEURS
Plus en détailAGENCE IMMOBILIÈRE SOMMAIRE
AGENCE IMMOBILIÈRE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE... 8 LES POINTS DE VIGILANCE DE L'AGENCE IMMOBILIÈRE...
Plus en détailDes solutions efficaces, économiques, écologiques. Les professionnels de la mobilité durable
Des solutions efficaces, économiques, écologiques Les professionnels de la mobilité durable Mobili-T et la gestion des déplacements Mobili-T, le Centre de gestion des déplacements du Québec métropolitain,
Plus en détailD O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5
D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 GÉANT CASINO FAIT PEAU NEUVE Après une baisse des tarifs sans précédent qui a permis à Géant Casino de devenir leader des prix bas, l enseigne d hypermarchés
Plus en détailLES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal
Orlando G. Cerocchi LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal :: INTRODUCTION :: OBJECTIF DU PROGRAMME :: FESTIVALS ET ÉVÉNEMENTS TOURISTIQUES ADMISSIBLES :: CHAMPS
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailPrésentation du Groupe IKEA
Présentation du Groupe IKEA IKEA dans le monde en quelques chiffres En 62 ans, le Groupe IKEA est devenu le leader mondial sur le marché du meuble. En tant que spécialiste de l ameublement et de la décoration
Plus en détailDossier de presse. 5 commerçants du Vignoble nantais sélectionnés pour la 1 ère étape du concours «Mon commerce a des idées»
Dossier de presse Nantes, le 17/07/2014 5 commerçants du Vignoble nantais sélectionnés pour la 1 ère étape du concours «Mon commerce a des idées» SOMMAIRE Communiqué de presse p. 2 Les membres du jury
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailVOUS AUSSI REJOIGNEZ LE RÉSEAU DES SÉLECTIONNEURS À SUCCÈS
VOUS AUSSI REJOIGNEZ LE RÉSEAU DES SÉLECTIONNEURS À SUCCÈS UNE PASSION, LE SPORT UN MÉTIER, LE COMMERCE UNE FORCE, LA COOPÉRATIVE LA COOPÉRATIVE DE COMMERÇANTS : UN MODÈLE ÉCONOMIQUE À SUCCÈS Le regroupement
Plus en détailConsultations prébudgétaires 2011-2012
Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le
Plus en détailCommuniqué de presse Mardi 12 décembre 2006
Communiqué de presse Mardi 12 décembre 2006 RESULTATS ANNUELS 2006 Chiffre d affaires en hausse de 5,6% : première année de croissance depuis 4 ans Résultat net positif à 5 M vs 3 M en 2005 2006 : une
Plus en détailCommunication intelligente
Communication intelligente Solutions simplifiées pour petites et moyennes entreprises À l intérieur : Solutions voix et IP Casques d écoute et appareils d audioconférence Maintenance et financement Téléphone
Plus en détailENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002. Les Distributeurs du Secteur Dentaire
ENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002 Les Distributeurs du Secteur Dentaire [EDITO]. Le marché du matériel dentaire reste un domaine relativement parcellarisé sur le territoire français. Il est couvert par plus de
Plus en détailLa question financière. www.guidesulysse.com
1 La question financière Connaître le coût des études à Montréal, faire un budget efficace et réaliste, trouver des moyens pour financer ses études et comprendre les conséquences de l endettement, voilà
Plus en détailOffre de services. PHPCreation Inc. info@phpcreation.com - www.phpcreation.com. Date : 2015. Présenté à : À l'attention de : Représentant :
Date : 2015 Offre de services Présenté à : À l'attention de : Représentant : PHPCreation Inc. T- info@phpcreation.com - www.phpcreation.com Table des matières OFFRE DE SERVICES... 3 SOMMAIRE EXÉCUTIF...
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailBienvenue chez desjardins. le premier groupe financier coopératif au canada
Bienvenue chez desjardins le premier groupe financier coopératif au canada 04 Vous accueillir. Vous accompagner. Vous simplifier la vie. desjardins souhaite faciliter votre intégration au pays. dans cette
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Participez au mouvement! Service de Presse EcoTLC :
DOSSIER DE PRESSE Eco TLC met en ligne la première carte de France des points d apport de Textiles, Linge de maison et Chaussures (TLC) usagés sur le site : www.ecotlc.fr Participez au mouvement! Service
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES ÉTUDIANTS CANADIENS
SONDAGE AUPRÈS DES ÉTUDIANTS CANADIENS Sommaire exécutif Présenté par : TABLE DES MATIÈRES PUBLICITÉ SUR CAMPUS P. 3 COMMUNICATIONS MOBILES P. 8 HABITUDES EN LIGNE P. 18 HABITUDES MÉDIA P. 26 MÉTHODOLOGIE
Plus en détailLe meilleur programme de financement par cartes-cadeaux au Canada
Le meilleur programme de financement par cartes-cadeaux au Canada Aperçu du programme Juin 2015 À propos du programme FundScrip FundScrip est un programme de levée de fonds pancanadien qui fait en sorte
Plus en détailL interchange. Ce que c est. Comment ça fonctionne. Et pourquoi c est fondamental pour le système des paiements Visa.
L interchange Ce que c est. Comment ça fonctionne. Et pourquoi c est fondamental pour le système des paiements Visa. Il n y a pas si longtemps, les consommateurs n avaient d autre choix que d utiliser
Plus en détailETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES
ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES SYNTHESE JUILLET 2004 DATAR - AATEC / ARGUYL - 2-29/07/04 OBJECTIF ET CONTEXTE L immobilier d entreprise est un enjeu
Plus en détailDIAGNOSTIC SECTORIEL DE LA MAIN-D ŒUVRE DU COMMERCE DE DÉTAIL AU QUÉBEC 2012-2015
Pour vous éclairer dans le commerce de détail Comité sectoriel de main-d oeuvre du commerce de détail 550, rue Sherbrooke Ouest Bureau 590, tour Ouest Montréal (Québec) H3A 1B9 T 514 (1-888) 393-0222 C
Plus en détailTaxes indirectes. Concepts de base. Premières Nations du Québec
Taxes indirectes Concepts de base Premières Nations du Québec Conférence sur la fiscalité autochtone 4 septembre 2013 Mise en garde Ce document a été conçu uniquement à des fins de formation et ne doit,
Plus en détailExercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)
Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...
Plus en détailMÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION
MÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU PROJET PLAN D AMÉNAGEMENT ET DÉVELOPPEMENT MÉTROPOLITAIN PMAD 13 OCTOBRE 2011 1 INTRODUCTION La communauté
Plus en détailPlace de la librairie thématique et d une ligne éditoriale pour un site culturel Salon du livre Paris, 19 & 20 mars 2015
Place de la librairie thématique et d une ligne éditoriale pour un site culturel Salon du livre Paris, 19 & 20 mars 2015 Durée du salon : vendredi 20 mars au lundi 23 mars 2015 - Porte de Versailles Présentation
Plus en détailL État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada
L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada Mars 2002 icongo, Inc 740, rue St Maurice, bureau 602 Montréal, (Québec) Canada H3C 1L5 Tél. : 514-866-2664 Télécopieur : 514-866-8404
Plus en détailDécembre 2011. Nord-du-Québec
Enquête sur les besoins de main-d œuvre et de formation des entreprises du secteur de l industrie de l information, de l industrie culturelle, des finances, des assurances, des services immobiliers et
Plus en détailPLAN D ACTION À L ÉGARD DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015
DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015 Vice-présidence principale aux ressources humaines et à l administration TABLE DES MATIÈRES MISE EN CONTEXTE... 4 DÉFINITION... 4 PORTRAIT DE
Plus en détailConsommer en 2010 : pas moins, mais mieux!
Paris, 21 janvier 2010 Communiqué de presse 21 ème Observatoire Cetelem de la Consommation Consommer en 2010 : pas moins, mais mieux! Depuis plus de 20 ans, L'Observatoire Cetelem décrypte, analyse et
Plus en détailFinancer la transmission de votre entreprise
Financer la transmission de votre entreprise Laurent Genest Directeur principal, Transfert d entreprises Banque Nationale Claude Lafond Directeur principal, Investissements Caisse de dépôt et placement
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailL ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL LE SAVEZ-VOUS?
L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL LE SAVEZ-VOUS? L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL L électricité est appelée à jouer un rôle de plus en plus important dans les transports collectifs et
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailFRANCHISE. Rejoignez la high-tech expérience
FRANCHISE Rejoignez la high-tech expérience LA PASSION DE L INFORMATIQUE ET DU HIGH-TECH DEPUIS 1996 LDLC.COM, L ESPRIT CONNECTÉ Après avoir créé sa start-up en 1996, Laurent de La Clergerie a participé
Plus en détailLes Affaires Tendances, samedi, 28 février 2009, p. 14. En manchette
Les Affaires Tendances, samedi, 28 février 2009, p. 14 En manchette Le Québec en voie de perdre la bataille du commerce électronique Ventes en ligne. Les sites Internet étrangers gagnent en popularité
Plus en détailMODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS
UGAMA/Centre de Services aux Coopératives Tél : (00250)562096/562097 Fax : (00250)562251 E-mail :ugamacsc@rwanda1.com MODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS Projet commun CSC/UGAMA-WBI-UNDP
Plus en détailManuel de référence Options sur devises
Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à
Plus en détailRésultats de l enquête auprès des consommateurs, des gens d affaires et des travailleurs de Marieville
Résultats de l enquête auprès des consommateurs, des gens d affaires et des travailleurs de Marieville Présentation préparée pour le Comité consultatif de revitalisation du centre-ville de Marieville Caroline
Plus en détailDU COMMERCE CONNECTÉ!
e-commerce+ Magazine d'information d'octave n 14 - Avril 2015 Suivez la tendance DU COMMERCE CONNECTÉ! SOLDES OUVERT ÉVOLUTION DU COMMERCE vers un commerce "CONNECTÉ" CASH PISCINES : Le projet "cross canal"
Plus en détailChef de File Pour la Protection des Mains
Chef de File Pour la Protection des Mains Notre Histoire Watson en Bref Avec près d un siècle d expérience, Watson Gloves est l unique source pour la protection des mains au Canada: pour le travail, la
Plus en détailLes bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire
Réunion d'experts sur Les bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire organisée par le Programme pour la construction et l'équipement de l'éducation et le Programme pour la
Plus en détailDu numérique aux ventes directes. Stratégies numériques pour aider les marques à attirer le consommateur d aujourd hui
Du numérique aux ventes directes Stratégies numériques pour aider les marques à attirer le consommateur d aujourd hui Cette page a été intentionnellement laissée en blanc. Imaginez pouvoir contrôler votre
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détail