4. la cytogénétique moléculaire permet de
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- Diane Meloche
- il y a 7 ans
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1 les LAL sont les cancers de l'enfant les plus fréquents (30 % du total). Il s'agit de proliférations clonales de cellules lymphoïdes immatures. Si les enfants atteints sont majoritairement guéris (75% des cas) grâce a des protocoles de polychimiothérapie, la biologie tient une place centrale dans l'établissement du diagnostic, du pronostic, du suivi et de la compréhension des mécanismes qui pourraient déboucher sur des améliorations thérapeutiques à venir. Rôle diagnostic et pronostic : 1. l'étude microscopique de la morphologie des cellules blastiques sanguines et médullaires reste la clé du diagnostic. La classification FAB n'est plus guère utile que pour la caractérisation des rares formes L3 (Burkitt) traitées comme des lymphomes B matures. 2. l'immunophénotypage par cytométrie de flux permet de caractériser la lignée B (85%) ou T. 3. la cytogénétique classique et la FISH permettent de rechercher les diverses aberrations chromosomiques de nombre et de structure. 4. la cytogénétique moléculaire permet de 1 / 8
2 rechercher les équivalents moléculaires des translocations. A l'issue du bilan initial, on peut non seulement affirmer le diagnostic mais situer l'atteinte dans une échelle pronostique : LAL avec Chr Phi catastrophiques, LAL pro-b et LAL T de mauvais pronostic, LAL avec hyperploïdie > Chr et LAL avec t(1 ;19) de bon pronostic. Les LAL B sans transcrit de fusion ni hyperploïdie sont de pronostic variable. Rôle dans le suivi thérapeutique : la réponse précoce au traitement est un élément pronostic majeur, étudiée à 3 moments clés. 2 / 8
3 Au 8 ème jour sur le sang périphérique : si blastose > 1000 / ml, après 7 j de corticothérapie, mauvais pronostic. Au 15 ème (ou 21 ème ) jour sur le myélogramme : si blastes > 5%, chimiorésistance de mauvais pronostic. Fin du traitement d'induction (J35 - J42) : échec «3 / 8
4 morphologique» rare (3%) mais de très mauvais pronostic (30% de survie), appréciation de l'existence ou non d'une maladie résiduelle par des techniques de biologie moléculaire (détection des réarrangements spécifiques) prédictive du risque de rechute. Rôle dans la compréhension des mécanismes 4 / 8
5 physiopathologiques : les techniques de biologie moléculaire ont permis de prouver que le premier événement génétique leucémogène est anté-natal. Dans le cas des LAL avec Chr Phi, l'activité tyrosine-kinase de la protéine codée par le gène-fusion BCR-ABL aurait une action transformante. De nouvelles techniques de biologie moléculaire telles que les puces à ADN pourraient être 5 / 8
6 prochainement utilisées. Elles permettent d'étudier plusieurs milliers de gènes à partir de sondes oligonucléotidiques coatées sur des lames de verre. On peut ainsi définir pour chaque sujet un profil d'expression caractéristique des différentes catégories de LA : LAL ou LAM, différents sous-groupes de LAL, anomalies génétiques etc. 6 / 8
7 Ces résultats préliminaires laissent envisager des améliorations avec un diagnostic facilité et automatisé, une classification plus précise dont pourraient découler de nouvelles options thérapeutiques, de nouveaux marqueurs pronostiques primaires ou secondaires au traitement et de nouvelles voies métaboliques utilisées 7 / 8
8 par les cellules leucémiques. Elles pourraient être exploitées pour élaborer des traitements ciblés, plus efficaces et/ou moins toxiques que les thérapeutiques actuelles. Journées de Biologie Clinique - RFL - 01/ / 8
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