LES RESULTATS DES ELEVAGES CAPRINS DE POITOU- CHARENTES, VENDEE, MAINE ET LOIRE ET BRETAGNE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES RESULTATS DES ELEVAGES CAPRINS DE POITOU- CHARENTES, VENDEE, MAINE ET LOIRE ET BRETAGNE"

Transcription

1 LES RESULTATS DES ELEVAGES CAPRINS DE POITOU- CHARENTES, VENDEE, MAINE ET LOIRE ET BRETAGNE REPERES TECHNIQUES ET ECONOMIQUES 2010/2011 Récolte 2010 TROIS SYSTEMES A LA LOUPE Fiche 1 : Exploitations caprines système "ensilage de maïs" Fiche 2 : Exploitations caprines système "ration sèche, fourrages" Fiche 3 : Exploitations caprines système "ration sèche, déshydratés et concentrés" Poitou-Charentes, Vendée, Maine et Loire et Bretagne

2 LES RESULTATS DES ELEVAGES LAITIERS DE POITOU-CHARENTES DES REPERES TECHNICO-ECONOMIQUES Pour les éleveurs et leurs conseillers. Pour repérer rapidement les marges de progrès d'une exploitation. Pour comparer les systèmes entre eux. Les repères présentés dans ces fiches sont les résultats moyens et les écarts observés dans la cinquantaine de fermes du Réseau Caprins de Poitou-Charentes, Vendée, Maine et Loire et Bretagne, sur des campagnes comptables clôturées entre le 30 septembre 2010 et le 31 mars Les données concernant les cultures correspondent à la récolte Les exploitations sont classées en fonction de leur système alimentaire. DES REFERENCES ETABLIES AVEC DES ELEVEURS POUR LES ELEVEURS Les exploitations caprines système "ensilage de maïs". Il s'agit d'élevages dont le système alimentaire est basé sur le maïs qui représente en moyenne 45 % des fourrages de la ration (de 24 à 76 %). Dans ce groupe, certaines exploitations sont spécialisées, d'autres ont également un atelier bovins viande et/ou cultures de vente Ensilage maïs 27% Concentrés 41% Autres fourrages 10% Foin 22% Les exploitations caprines système "ration sèche, fourrages". Il s'agit d'élevages dont le système alimentaire est basé sur le foin qui représente en moyenne 92 % des fourrages de la ration (de 65 à 100 %). Dans ce groupe, certaines exploitations sont spécialisées, d'autres ont également un atelier bovins viande et/ou cultures de vente. Autres fourrages 4% Concentrés 46% Foin 50% 2

3 LES RESULTATS DES ELEVAGES LAITIERS DE POITOU-CHARENTES Les exploitations caprines système "ration sèche, déshydratés et concentrés". Il s'agit d'élevages dont le système alimentaire est basé sur l utilisation de déshydratés et/ou d aliments fibreux. Les fourrages représentent moins de 40 % de la ration. Dans ce groupe, certaines exploitations sont spécialisées, d'autres ont également un atelier bovins viande et/ou cultures de vente. Autres fourrages 8% Foin 30% Concentrés/ déshydratés 62% CARACTERISTIQUES DE LA CAMPAGNE 2010 Après la dégringolade de 2008, le revenu disponible par unité de main d œuvre familiale avait repris des couleurs en 2009 et continue sa progression en Malgré une baisse du prix du lait, le produit de l atelier caprin progresse surtout avec l amélioration du litrage par chèvre et aussi la mise en place de la prime à la chèvre. Les charges quant à elles sont plutôt orientées à la baisse. Même si depuis janvier 2010, l Indice IPAMPA Lait de chèvre est reparti à la hausse. L amélioration de la conjoncture s est heurté à des conditions météorologiques difficiles. Le printemps a été froid et sec pénalisant un peu les rendements des cultures de vente et beaucoup ceux des fourrages (maïs et herbe). Certains éleveurs ont dû en acheter afin de satisfaire au besoin Au final, sur le réseau caprins Poitou-Charentes, Vendée et Maine et Loire, le revenu disponible par UMO familiale passe entre 2009 et 2010, de à euros. Evolution mensuelle de l IPAMPA Lait de chèvre Pluviométrie en Poitou Charentes LES SIGLES UTILISES EBE : Excédent Brut d'exploitation PBT : Produit Brut Total. SAU : Surface Agricole Utile. SFP : Surface Fourragère Principale. MAD : Mise à disposition TB : Taux Butyreux. TP : Taux Protéique. UGB : Unité Gros Bovins. UMO : Unité de Main-d'Oeuvre. 3

4 LES RESULTATS DES ELEVAGES LAITIERS DE POITOU-CHARENTES RESEAU CAPRINS : LOCALISATION DES EXPLOITATIONS SUIVIES RENNES VANNES ANGERS LA ROCHE SUR YON POITIERS NIORT LA ROCHELLE ANGOULEME Une cinquantaine d'éleveurs participent aux travaux du Réseau Caprins Poitou-Charentes, Vendée, Maine et Loire et Bretagne Dimension des exploitations suivies : le profil moyen et les écarts CONTACTS Nombre de travailleurs : 2.4 UMO (de 1.4 à 3.4 UMO) Surface : 84 ha (de 27 à 141 ha) Nombre de chèvres : 303 (de 188 à 418 chèvres) Lait produit : litres (de à litres) Harmony Boutin (CA 16 - tél ) ; Sébastien Bessonnet (CA 17 - tél ) ; Angélique Roué (CA 79 - tél ) ; Julia Chemarin (CA 86 - tél ) ; Bernard Poupin (Atlantic Conseil Elevage tél ) ; Carole David (CA 35 - tél ) ; Virgjnie Tardif (BOVIVAP Conseils - tél ) ; Nicole Bossis (Institut de l'elevage - tél ) LES RESEAUX D ELEVAGE Les Réseaux d Élevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Élevage. LES PARTENAIRES FINANCEURS Ce document a reçu l'appui financier de FranceAgriMer. 4 Mars 2012 Document édité par l Institut de l Élevage 149 rue de Bercy Paris CEDEX PUB IE :

5 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "ENSILAGE DE MAÏS" Repères techniques et économiques 2010/2011 Cette fiche a été réalisée pour les éleveurs et leurs conseillers à partir des résultats des exploitations du Réseau caprins Poitou-Charentes, Vendée et Maine et Loire appartenant au système "ensilage de maïs". Il s'agit d'élevages dont le système alimentaire est basé sur le maïs qui représente en moyenne 45 % des fourrages de la ration (de 24 à 76 %). Dans ce groupe, certaines exploitations sont spécialisées, d'autres ont également un atelier bovins viande et/ou cultures de vente. Ensilage maïs 27% Stock Concentrés 41% Autres fourrages 10% Foin 22% CARACTERISTIQUES STRUCTURELLES UMO Dont UMO salariés Référence (litres) Lait produit (litres) Lait produit/umo totales (litres) Nombre de chèvres Nombre UGB caprins Total UGB SAU (ha) Dont cultures de vente Dont SFP SAU/UMO totales (ha) Surfaces en dérobée Surface irriguée Poitou-Charentes, Vendée, Maine et Loire et Bretagne

6 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "ENSILAGE DE MAÏS" CONDUITE DU TROUPEAU Lait produit par chèvre (litres) TB moyen laiterie (g/l) TP moyen laiterie (g/l) Nombre mois à plus 2 million de cellules Taux de réforme (%) Taux mortalité adultes (%) Nombre chevrettes gardées/effectif moyen chèvres Concentrés et déshydratés troupeau En kg par chèvre En g par litre Concentrés et déshydratés chèvres En kg par chèvre En g par litre Prix moyen des concentrés ( /tonne) CONDUITE DES SURFACES FOURRAGERES Nombre chèvres/ha SFP Fourrages stockés en kg par chèvre par an Charges SFP ( /ha SFP) Dont engrais ( /ha SFP) Dont semences ( /ha SFP) Dont phytos ( /ha SFP) Dont fournitures et irrigation ( /ha SFP) ELEMENTS DU BILAN Actif total hors foncier ( ) Dont bâtiments et installations (%) Dont matériel (%) Dont cheptel (%) Actif/UMO familiale ( ) Taux d endettement (%)

7 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "ENSILAGE DE MAÏS" REPERES TECHNIQUES ET ECONOMIQUES 2010/2011 MARGE BRUTE DE L'ATELIER LAIT* Produit de l atelier caprin ( /1000 l) Prix du lait vendu ( /1000 l) Produit viande ( /1000 l) Prix des chèvres de réforme ( /tête) Prix des chevreaux ( /tête) Prix des reproducteurs ( /tête) Aides et autres produits ( /1000l) Charges opérationnelles ( /1000 l) Coût de concentrés et déshydratés ( /1000l) Dont chèvres ( /1000l) Dont chevrettes ( /1000l) Achat de fourrages ( /1000l) Charges SFP ( /1000l) Frais d élevage ( /1000 l) Frais d élevage ( /chèvre) Dont véto ( /chèvre) Dont contrôle de performances ( /chèvre) Dont repro ( /chèvre) Marge brute ( /1000 l) Marge brute/produit (%) Marge brute ( /chèvre) Marge brute ( /ha SFP caprine) * Marge brute ramenée aux l de lait vendu et intégrant les aides couplées et les aides environnementales pour la SFP. BATIMENTS ET MATERIEL Mécanisation avec amortissements (%PBT) Mécanisation avec amortissements ( /ha SAU) Dont carburant ( /ha SAU) Dont entretien ( /ha SAU) Dont amortissements ( /ha SAU) Bâtiments et installations avec amortissements (% PBT) Bâtiments et installations avec amortissements ( /UGB)

8 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "ENSILAGE DE MAÏS" RESULTAT GLOBAL DE L'EXPLOITATION Produit total (=PBT) ( ) Dont aides (%) Dont atelier caprin (%) Dont cultures de vente (%) Dont autres (%) Produit total/umo totales ( ) Charges opérationnelles/pbt Charges de structure/pbt (%) Dont MSA (%) Dont salaires (%) Dont fermages et MAD (%) Dont mécanisation (%) Dont eau et électricité (%) 2 1 à 3 EBE avant main d œuvre/pbt (%) EBE/PBT (%) EBE/UMO familiale ( ) Amortissements/PBT (%) dont bâtiments et installations (%) dont matériel (%) Frais financiers/pbt (%) 2 2 à 3 Revenu agricole/pbt (%) Annuités/PBT (%) Annuités/EBE (%) à 71 Revenu disponible/pbt (%) 17 7 à 28 Revenu disponible/umo familiale ( ) à CONTACTS Harmony Boutin (CA 16 - tél ) ; Sébastien Bessonnet (CA 17 - tél ) ; Angélique Roué (CA 79 - tél ) ; Julia Chemarin (CA 86 - tél ) ; Bernard Poupin (Atlantic Conseil Elevage tél ) ; Carole David (CA 35 - tél ) ; Virgjnie Tardif (BOVIVAP Conseils - tél ) ; Nicole Bossis (Institut de l'elevage - tél ) LES RESEAUX D ELEVAGE Les Réseaux d Élevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Élevage. LES PARTENAIRES FINANCEURS Ce document a reçu l'appui financier de FranceAgriMer. 4 Mars 2012 Document édité par l Institut de l Élevage 149 rue de Bercy Paris CEDEX PUB IE :

9 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "RATION SECHE, FOURRAGES" Repères techniques et économiques 2010/2011 Cette fiche a été réalisée pour les éleveurs et leurs conseillers à partir des résultats des exploitations du Réseau caprins Poitou-Charentes, Vendée et Maine et Loire appartenant au système "ration sèche, fourrages". Il s'agit d'élevages dont le système alimentaire est basé sur le foin qui représente en moyenne 92 % des fourrages de la ration (de 65 à 100 %). Dans ce groupe, certaines exploitations sont spécialisées, d'autres ont également un atelier bovins viande et/ou cultures de vente. Autres fourrages 4% Concentrés 46% Foin 50% CARACTERISTIQUES STRUCTURELLES UMO Dont UMO salariés Référence (litres) Lait produit (litres) Lait produit/umo totales (litres) Nombre de chèvres Nombre UGB caprins Total UGB SAU (ha) Dont cultures de vente Dont SFP à 57 SAU/UMO totales (ha) à 53 Surfaces en dérobée 1 0 à 3 Surface irriguée Poitou-Charentes, Vendée, Maine et Loire et Bretagne

10 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "RATION SECHE, FOURRAGES" CONDUITE DU TROUPEAU Lait produit par chèvre (litres) TB moyen laiterie (g/l) TP moyen laiterie (g/l) Nombre mois à plus 2 million de cellules Taux de réforme (%) Taux mortalité adultes (%) Nombre chevrettes gardées/effectif moyen chèvres Concentrés et déshydratés troupeau En kg par chèvre En g par litre Concentrés et déshydratés chèvres En kg par chèvre En g par litre Prix moyen des concentrés ( /tonne) CONDUITE DES SURFACES FOURRAGERES Nombre chèvres/ha SFP Fourrages stockés en kg par chèvre par an Charges SFP ( /ha SFP) Dont engrais ( /ha SFP) Dont semences ( /ha SFP) Dont phytos ( /ha SFP) Dont fournitures et irrigation ( /ha SFP) ELEMENTS DU BILAN Actif total hors foncier ( ) Dont bâtiments et installations (%) Dont matériel (%) Dont cheptel (%) Actif/UMO familiale ( ) Taux d endettement (%)

11 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "RATION SECHE, FOURRAGES" MARGE BRUTE DE L'ATELIER LAIT* Produit de l atelier caprin ( /1000 l) Prix du lait vendu ( /1000 l) Produit viande ( /1000 l) Prix des chèvres de réforme ( /tête) Prix des chevreaux ( /tête) Prix des reproducteurs ( /tête) Aides et autres produits ( /1000l) Charges opérationnelles ( /1000 l) Coût de concentrés et déshydratés ( /1000l) Dont chèvres ( /1000l) Dont chevrettes ( /1000l) Achat de fourrages ( /1000l) Charges SFP ( /1000l) Frais d élevage ( /1000 l) Frais d élevage ( /chèvre) Dont véto ( /chèvre) Dont contrôle de performances ( /chèvre) Dont repro ( /chèvre) Marge brute ( /1000 l) Marge brute/produit (%) Marge brute ( /chèvre) Marge brute ( /ha SFP caprine) * Marge brute ramenée aux l de lait vendu et intégrant les aides couplées et les aides environnementales pour la SFP. BATIMENTS ET MATERIEL Mécanisation avec amortissements (%PBT) Mécanisation avec amortissements ( /ha SAU) Dont carburant ( /ha SAU) Dont entretien ( /ha SAU) Dont amortissements ( /ha SAU) Bâtiments et installations avec amortissements (% PBT) Bâtiments et installations avec amortissements ( /UGB)

12 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "RATION SECHE, FOURRAGES" RESULTAT GLOBAL DE L'EXPLOITATION Produit total (=PBT) ( ) Dont aides (%) Dont atelier caprin (%) Dont cultures de vente (%) Dont autres (%) Produit total/umo totales ( ) Charges opérationnelles/pbt Charges de structure/pbt (%) Dont MSA (%) Dont salaires (%) Dont fermages et MAD (%) Dont mécanisation (%) Dont eau et électricité (%) EBE avant main d œuvre/pbt (%) EBE/PBT (%) EBE/UMO familiale ( ) Amortissements/PBT (%) dont bâtiments et installations (%) dont matériel (%) Frais financiers/pbt (%) Revenu agricole/pbt (%) Annuités/PBT (%) Annuités/EBE (%) Revenu disponible/pbt (%) Revenu disponible/umo familiale ( ) CONTACTS Harmony Boutin (CA 16 - tél ) ; Sébastien Bessonnet (CA 17 - tél ) ; Angélique Roué (CA 79 - tél ) ; Julia Chemarin (CA 86 - tél ) ; Bernard Poupin (Atlantic Conseil Elevage tél ) ; Carole David (CA 35 - tél ) ; Virgjnie Tardif (BOVIVAP Conseils - tél ) ; Nicole Bossis (Institut de l'elevage - tél ) LES RESEAUX D ELEVAGE Les Réseaux d Élevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Élevage. LES PARTENAIRES FINANCEURS Ce document a reçu l'appui financier de FranceAgriMer. 4 Mars 2012 Document édité par l Institut de l Élevage 149 rue de Bercy Paris CEDEX PUB IE :

13 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "RATION SECHE, DESHYDRATES ET CONCENTRES" Repères techniques et économiques 2010/2011 Cette fiche a été réalisée pour les éleveurs et leurs conseillers à partir des résultats des exploitations du Réseau caprins Poitou-Charentes, Vendée et Maine et Loire appartenant au système "ration sèche, déshydratés et concentrés". Il s'agit d'élevages dont le système alimentaire est basé sur l utilisation de déshydratés et/ou d aliments fibreux. Les fourrages représentent moins de 40 % de la ration. Dans ce groupe, certaines exploitations sont spécialisées, d'autres ont également un atelier bovins viande et/ou cultures de vente. Autres fourrages 8% Stock Foin 30% Concentrés/ déshydratés 62% CARACTERISTIQUES STRUCTURELLES UMO Dont UMO salariés Référence (litres) Lait produit (litres) Lait produit/umo totales (litres) Nombre de chèvres Nombre UGB caprins Total UGB SAU (ha) Dont cultures de vente Dont SFP SAU/UMO totales (ha) Surfaces en dérobée Surface irriguée Poitou-Charentes, Vendée, Maine et Loire et Bretagne

14 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "RATION SECHE, DESHYDRATES ET CONCENTRES" CONDUITE DU TROUPEAU Lait produit par chèvre (litres) TB moyen laiterie (g/l) TP moyen laiterie (g/l) Nombre mois à plus 2 million de cellules Taux de réforme (%) Taux mortalité adultes (%) Nombre chevrettes gardées/effectif moyen chèvres Concentrés et déshydratés troupeau En kg par chèvre En g par litre Concentrés et déshydratés chèvres En kg par chèvre En g par litre Prix moyen des concentrés ( /tonne) CONDUITE DES SURFACES FOURRAGERES Nombre chèvres/ha SFP Fourrages stockés en kg par chèvre par an Charges SFP ( /ha SFP) Dont engrais ( /ha SFP) Dont semences ( /ha SFP) Dont phytos ( /ha SFP) Dont fournitures et irrigation ( /ha SFP) ELEMENTS DU BILAN Actif total hors foncier ( ) Dont bâtiments et installations (%) Dont matériel (%) Dont cheptel (%) Actif/UMO familiale ( ) Taux d endettement (%)

15 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "RATION SECHE, DESHYDRATES ET CONCENTRES" MARGE BRUTE DE L'ATELIER LAIT* Produit de l atelier caprin ( /1000 l) Prix du lait vendu ( /1000 l) Produit viande ( /1000 l) Prix des chèvres de réforme ( /tête) Prix des chevreaux ( /tête) Prix des reproducteurs ( /tête) Aides et autres produits ( /1000l) Charges opérationnelles ( /1000 l) Coût de concentrés et déshydratés ( /1000l) Dont chèvres ( /1000l) Dont chevrettes ( /1000l) Achat de fourrages ( /1000l) Charges SFP ( /1000l) Frais d élevage ( /1000 l) Frais d élevage ( /chèvre) Dont véto ( /chèvre) Dont contrôle de performances ( /chèvre) Dont repro ( /chèvre) Marge brute ( /1000 l) Marge brute/produit (%) Marge brute ( /chèvre) Marge brute ( /ha SFP caprine) * Marge brute ramenée aux l de lait vendu et intégrant les aides couplées et les aides environnementales pour la SFP. BATIMENTS ET MATERIEL Mécanisation avec amortissements (%PBT) Mécanisation avec amortissements ( /ha SAU) Dont carburant ( /ha SAU) Dont entretien ( /ha SAU) Dont amortissements ( /ha SAU) Bâtiments et installations avec amortissements (% PBT) Bâtiments et installations avec amortissements ( /UGB)

16 EXPLOITATIONS CAPRINES SYSTEME "RATION SECHE, DESHYDRATES ET CONCENTRES" RESULTAT GLOBAL DE L'EXPLOITATION Produit total (=PBT) ( ) Dont aides (%) Dont atelier caprin (%) Dont cultures de vente (%) Dont autres (%) Produit total/umo totales ( ) Charges opérationnelles/pbt Charges de structure/pbt (%) Dont MSA (%) Dont salaires (%) Dont fermages et MAD (%) Dont mécanisation (%) Dont eau et électricité (%) EBE avant main d œuvre/pbt (%) EBE/PBT (%) EBE/UMO familiale ( ) Amortissements/PBT (%) dont bâtiments et installations (%) dont matériel (%) Frais financiers/pbt (%) Revenu agricole/pbt (%) Annuités/PBT (%) Annuités/EBE (%) Revenu disponible/pbt (%) Revenu disponible/umo familiale ( ) CONTACTS Harmony Boutin (CA 16 - tél ) ; Sébastien Bessonnet (CA 17 - tél ) ; Angélique Roué (CA 79 - tél ) ; Julia Chemarin (CA 86 - tél ) ; Bernard Poupin (Atlantic Conseil Elevage tél ) ; Carole David (CA 35 - tél ) ; Virgjnie Tardif (BOVIVAP Conseils - tél ) ; Nicole Bossis (Institut de l'elevage - tél ) LES RESEAUX D ELEVAGE Les Réseaux d Élevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Élevage. LES PARTENAIRES FINANCEURS Ce document a reçu l'appui financier de FranceAgriMer. 4 Mars 2012 Document édité par l Institut de l Élevage 149 rue de Bercy Paris CEDEX PUB IE :

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un

Plus en détail

Trajectoires laitières

Trajectoires laitières Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne

Plus en détail

Les systèmes équins du Grand Ouest

Les systèmes équins du Grand Ouest Les systèmes s du Grand Ouest Repères techniques et économiques 0 SOMMAIRE SOMMAIRE... PRÉSENTATION... 3 LE DISPOSITIF RÉFÉRENCES ET DE RÉSEAU ÉQUIN... 3 CONTEXTE 0 ET CONJONCTURE... 3 TYPOLOGIE NATIONALE

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Journée des partenaires de la filière laitière

Journée des partenaires de la filière laitière Journée des partenaires de la filière laitière Grands troupeaux : comment accompagner les éleveurs? Réseau bovins lait Poitou-Charentes 23 Juin 2015 Programme Grands troupeaux : état des lieux en Poitou-Charentes

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois

Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois RÉFÉrences - Réseau Économique de la Filière Équine Haute-Loire Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois Cet élevage de trait Comtois

Plus en détail

Des territoires laitiers contrastés

Des territoires laitiers contrastés Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations

Plus en détail

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

PLAN D'ENTREPRISE - PCAE

PLAN D'ENTREPRISE - PCAE Modèle document national Version du 17/03/2015 PLAN D'ENTREPRISE - PCAE Cadre réservé à l'administration Date de dépôt du dossier : / / 1. RENSEIGNEMENTS SUR LE CANDIDAT Identification Nom / Prénom : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Calcul de la marge brute en production laitière

Calcul de la marge brute en production laitière Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014 Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise

Plus en détail

COMPTE RENDU D'AUDITION DU PLAN RÉGIONAL DE L'AGRICULTURE DURABLE

COMPTE RENDU D'AUDITION DU PLAN RÉGIONAL DE L'AGRICULTURE DURABLE PRÉFET DE LA RÉGION POITOU-CHARENTES Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes Service régional de l'économie agricole, de la forêt et de l environnement

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail. CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage

Plus en détail

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS > Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef

Plus en détail

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012 MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES

Plus en détail

LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE

LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION RÉFÉRENCES LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE DES RÉFÉRENCES POUR LE CONSEIL NORD-PAS-DE-CALAIS, PICARDIE ET NORMANDIE

Plus en détail

La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012

La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée

Plus en détail

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter

Plus en détail

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 2. Économie avicole, calculations 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques

Plus en détail

Fin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d une modélisation bioéconomique

Fin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d une modélisation bioéconomique INRA Prod. Anim., 2012, 25 (1), 67-76 Fin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d une modélisation bioéconomique B. LELYON 1, V. CHATELLIER 2, K. DANIEL 2,3

Plus en détail

Plan de soutien à l élevage français

Plan de soutien à l élevage français Plan de soutien à l élevage français MEMENTO Entreprises fragilisées dans le secteur agricole : quels outils pour quelles problématiques? Ce mémento récapitule de façon synthétique les outils existants

Plus en détail

DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A)

DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Mise à jour 01 décembre 2011 DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Cette demande d aide une fois complétée constitue, avec les justificatifs joints par vos soins,

Plus en détail

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu

Plus en détail

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen

Plus en détail

Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires

Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires > ÉDITION avril 2015 RAPPORT AU PARLEMENT FranceAgriMer 12 rue Henri Rol-Tanguy / TSA 20002 / 93555 Montreuil cedex www.franceagrimer.fr https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr MINISTÈRE DE L

Plus en détail

Observatoire économique Entreprises conchylicoles du réseau Nautil

Observatoire économique Entreprises conchylicoles du réseau Nautil 2013 Observatoire économique Entreprises conchylicoles du réseau Nautil NORMANDIE BRETAGNE SUD PAYS DE LOIRE - VENDÉE CHARENTE MARITIME GIRONDE Lexique Annuités Remboursement annuel des emprunts (capital

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées

Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité

Plus en détail

IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010

IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010 Identification électronique des caprins ELEVEUR IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010 La règlementation Le règlement européen 21/2004: les deux étapes Les textes français

Plus en détail

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement

Plus en détail

La Population des Exploitants agricoles en 2011

La Population des Exploitants agricoles en 2011 Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques Etude juin 2012 La Population des Exploitants agricoles en 2011 www.msa.fr JUIN 2012 LA POPULATION DES EXPLOITANTS AGRICOLES EN 2011 DIRECTION DES

Plus en détail

Référentiel Diversification 2007

Référentiel Diversification 2007 Référentiel Diversification 2007 E L E V A G E D E CHAMBRES D'AGRICULTURE C H E V A U X D E T R A I T LORRAINE A R D E N N A I S CONDITION DE RÉUSSITE DU PROJET DONNÉES GÉNÉRALES Temps de travail Investissement

Plus en détail

L'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique

L'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique L'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique Maurice Desriers* Depuis cinquante ans, la part de l'agriculture dans l'économie nationale

Plus en détail

PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE

PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE ÉTUDE DE FAISABILITÉ PORTANT SUR L ÉTABLISSEMENT D UNE PÉPINIÈRE DE CHEVRETTES AU QUÉBEC PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE remis à Société des éleveurs de chèvres laitières de race du Québec Ministère de l Agriculture

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1 n 13 681*02 MINISTÈRE DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE, DE LA PÊCHE, DE LA RURALITÉ ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION

Plus en détail

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012 PRÉFET DE LA SEINE-MARITIME Direction départementale des Territoires et de la Mer Service d'economie Agricole Rouen, le 8 janvier 2013 Affaire suivie par Laurence MOUTIER Tél. : 02 32 18 94 71 Fax : 02

Plus en détail

PLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES!

FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES! FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES! INTRODUCTION Dans un contexte économique tendu pour la filière caprine, la valorisation des fourrages dans la ration est un levier important pour gérer le coût alimentaire

Plus en détail

Mode de calcul des critères GTE-TB

Mode de calcul des critères GTE-TB Septembre 2009 Mode de calcul des critères GTE-TB Version 1.1 Principales modifications version 1.1 / 1.0 Modification du calcul du montant des charges diverses Saisie distincte des charges Porc / FAF

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments) 15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70

Plus en détail

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS RECUEIL IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 Institut de l Élevage, 149 rue de Bercy, 75595 PARIS Cedex 12 Boucle électronique officielle : questions-réponses

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

CHAPITRE IV - LES AUTRES POSTES COMPTABLES

CHAPITRE IV - LES AUTRES POSTES COMPTABLES CHAPITRE IV - LES AUTRES POSTES COMPTABLES 1. Les subventions d exploitation... 107 2. Les autres impôts sur la production... 109 3. La rémunération des salariés... 112 4. Les intérêts... 114 5. Les charges

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

Commission des Recherches Bovines

Commission des Recherches Bovines Commission des Recherches Bovines Bilan des activités 2002-2006 Composition de la commission Représentants des depts GA (4), PHASE(4+2), SA(3) CEPIA (1), SAE2(1), SAD(1) Représentants des Ecoles Sup Agronomiques

Plus en détail

Références technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011

Références technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011 Références technico-économiques Palmipèdes gras Année 2011 FILIERE LONGUE : ELEVAGE 1-Les points clés de «l'atelier type» élevage d'aujourd'hui DESCRIPTIF 36 000 Volume animal /an 6 000 6 Nb de bandes

Plus en détail

Les Exploitants et Entrepreneurs agricoles en 2012

Les Exploitants et Entrepreneurs agricoles en 2012 Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques ETUDE février 2014 Les Exploitants et Entrepreneurs agricoles en 2012 www.msa.fr FEVRIER 2014 Les exploitants et entrepreneurs agricoles en 2012

Plus en détail

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Formation «Mesures et indicateurs en agriculture durable» - 5 mars et 19 mai 2008- FNCIVAM Indicateurs clés socio-économiques Les indicateurs connus sont

Plus en détail

Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières

Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières > ÉDITION avril 2015 Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières Résultats 2013 LES ÉTUDES DE Présentation de l'étude 4 Objectifs de l'étude Méthode Échantillon Echantillon

Plus en détail

MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE

MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE MEDRIA 2014 DOSSIER DE PRESSE Alimentation-Reproduction-Santé MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE 1/18 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDRIA lance au SPACE 2014 sa dernière innovation, le FeedPhone

Plus en détail

SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03

SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03 SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03 PROCÉDURE DES CALAMITÉS AGRICOLES DEMANDE D'INDEMNISATION DES PERTES Le régime des calamités agricoles a pour but d indemniser des pertes de récolte et/ou des pertes

Plus en détail

Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999

Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Au cours d'un cycle de production, les semaines qui entourent la mise-bas sont capitales : elles conditionnent

Plus en détail

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire

Plus en détail

ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR!

ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! CONFÉRENCIER Doris Pellerin COLLABORATEURS Guy Allard Charles Bachand Raymond Levallois Diane Gilbert Philippe Savoie La rumeur veut que les fourrages

Plus en détail

Demande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS

Demande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS 411-CVDL-2015-07-01 Demande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS INVESTISSEMENTS PRODUCTIFS Type d Opération 4.1.1 du Programme de Développement Rural CENTRE - VAL

Plus en détail

Les réformes de la PAC

Les réformes de la PAC www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français

Plus en détail

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN Pour les éleveurs allaitants dont la principale activité est de faire naître des veaux, il est primordial

Plus en détail

publiqu INTEGRER LE DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LA COMMANDE PUBLIQUE 4 ème Rencontre

publiqu INTEGRER LE DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LA COMMANDE PUBLIQUE 4 ème Rencontre 4 ème Rencontre du Réseau Grand Ouest commande publique et développement durable publiqu INTEGRER LE DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LA COMMANDE PUBLIQUE > Ce que permet le code 2006 des marchés publics > Le

Plus en détail

Techniques Agricoles

Techniques Agricoles Catalogue 2010-2011 Techniques Agricoles modules de formation Siège : Lycée Horticole 130 Rte de Coulonges - BP 2008 79011 Niort Cedex 09 06.15.49.12.60 05.49.73.30.58 force9@educagri.fr Les centres de

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements

Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...

Plus en détail

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.

Plus en détail

672ZA Auxiliaires d'assurances

672ZA Auxiliaires d'assurances STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES

NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES Cette notice présente les principaux points de la réglementation. Lisez-la avant de remplir la demande.

Plus en détail

4. Verdissement, une PAC plus verte

4. Verdissement, une PAC plus verte 4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.

Plus en détail

Concevoir un libre-service à fourrages en bâtiment pour bovins allaitants

Concevoir un libre-service à fourrages en bâtiment pour bovins allaitants collection l essentiel Concevoir un libre-service à fourrages en bâtiment pour bovins allaitants Fiche technique bâtiment d élevage n 2 Depuis quarante ans, le monde de l élevage voit sa main d œuvre disponible

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général

Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général 10 propositions du réseau FNAB pour une nouvelle politique de l eau (2013-2018) Cahier propositionnel du réseau FNAB dans le cadre

Plus en détail

Projet «Typologie des systèmes d exploitation agricole»

Projet «Typologie des systèmes d exploitation agricole» Projet «Typologie des systèmes d exploitation agricole» Le projet mutualisé "Références systèmes", conduit dans le cadre des chantiers "Terres d'avenir", a prévu d'amplifier la mutualisation dans le domaine

Plus en détail

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne

Plus en détail

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :

Plus en détail