INSIA SIGL Bases de données ARCHITECTURE ORACLE
|
|
- Laure Forget
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INSIA SIGL Bases de données ARCHITECTURE ORACLE Bertrand LIAUDET ARCHITECTURE ORACLE 3 Méthodes de connexion 3 La connexion 3 Les fichiers oracle 4 Structure des fichiers de la BD 4 Problème conceptuel : la notion de base de données, BD 5 Architecture de l instance 5 Les processus d arrière-plan et le processus serveur 6 La mémoire : SGA et PGA 6 Le shared pool (pool partagé) 7 Le buffer cache 7 Principe 7 Notion de bloc oracle 7 Bloc oracle et buffer cache 8 L exécution d un requête 8 Principe 8 Le buffer redo log : tampon des journaux de reprise 0 Le java pool 0 Les processus d arrière plan 0 DBWn : DataBase Write 0 LGWR 0 ARCn 0 CKPT SMON PMON Gestion des processus : vue v$session v$process Les fichiers d alerte (alert.log) et de trace (.trc) 2 Principe 2 Localisation 2 Ménage des fichiers de trace! 2 Remarque sur les erreurs 2 Le LISTENER 3 Le contrôleur du Listener : LSNRCTL 3 INSTANCE ET BD 4 INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page /34 - Bertrand LIAUDET
2 Gestion d une instance 4 Notion d instance 4 Utilisateur SYS et SYSTEM 4 Le fichier de paramètres : PFILE 6 Le fichier de paramètres serveur : SPFILE 7 Création d une instance : utilitaire ORADIM 8 Démarrage et arrêt d une instance et d une BD 9 Les vues dynamiques 20 Gestion d une BD 22 Notion de BD 22 Les fichiers de la BD 22 Création manuelle d une BD : CREATE DATABASE 22 Création du dictionnaire 23 Changer d instance pour une BD 23 Sauvegarder : lister tous les fichiers de la BD 24 DICTIONNAIRE 25 Dictionnaire et dictionnaire des données 25 Présentation 25 La vue «dictionnary» ou le synonyme «dict» 25 Dictionnaire des données 26 Premiers usages du dictionnaire des données 26 Les vues du dictionnaires des données 27 Les 3 catalogues 27 Les différents objets 27 Accès aux statistiques 27 Les utilisateurs et leurs privilèges 27 CONTROLE, JOURNAUX ET UNDO 29 Les fichiers de contrôle 29 Les fichiers de journaux 29 Présentation 29 Gestion de base 29 Le segment UNDO 3 TABLESPACE 32 LES ASSISTANTS ORACLE 32 Oracle Net 32 OEM : Oracle Entreprise Manager 32 L assistant DBCA 32 TP 33 Installation d une instance 33 INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 2/34 - Bertrand LIAUDET
3 ARCHITECTURE ORACLE Méthodes de connexion ) client-serveur mono-machine. 2) client-serveur multi-machines. Le lien entre le client et le serveur est assuré par le middleware comprenant Oracle Net et le protocole de communication, généralement TCP/IP. 3) Architecture double serveurs : client serveur d application serveur de BD. Le protocole de communication client-serveur d application est indépendant du protocole serveur d application-serveur de BD. 4) Architecture triple serveurs : client serveur web serveur d application serveur de BD. Le client exécute un navigateur qui communique avec le serveur web via le protocole HTTP. Ce dernier demande l exécution des commandes du client au serveur d applications. Ce dernier est client de la BD et formate les résultats en HTML avant de les retourner au client. 5) Architecture multi serveurs de BD : client serveur de BD serveur de BD. Les BD se situent sur des serveurs séparés et se partagent les données. La connexion Le client est un processus utilisateur (SQL*Plus, une application, etc.) Pour se connecter, il faut un nom et un mot de passe. C :> sqlplus nomutilisateur / password SQL > show user User est : NomUtilisateur INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 3/34 - Bertrand LIAUDET
4 C :> sqlplus / nolog SQL > show user User est : Il existe deux sortes de processus serveurs (oracle.exe) : les serveurs dédiés les serveurs partagés Le principe du serveur dédié est que chaque utilisateur est pris en charge par un serveur dédié. Le principe du serveur partagé est que plusieurs utilisateurs partagent le même serveur. Un processus DISPATCHER gère l ordonnancement des requêtes des utilisateurs. Par défaut, les serveurs sont partagés. Les fichiers oracle Les fichiers oracle sont les suivants : Les fichiers de la BD :. Les fichier de données : les plus volumineux. Fichiers binaires. 2. Les fichiers de contrôle : fichier binaires qui décrivent tous les fichiers oracle. 3. Les fichier journaux (redo-log) : ces fichiers conservent les modifications successives de la BD. Ce sont des journaux de transactions de la base. Ils servent pour une restauration de la BD. Le fichier de paramètres : paramètres de démarrage qui déterminent l environnement. Le fichier de mot de passe : pour établir l authenticité des utilisateurs privilégiés.. Les fichiers journaux archivés : les fichier journaux fonctionnent de façon circulaire. Les fichiers journaux archivés sont des copies des fichiers journaux avant leur réutilisation par circularité. Structure des fichiers de la BD STRUCTURE LOGIQUE STRUCTURE PHYSIQUE BASES DE DONNEES SCHEMAS * * * * TABLESPACES * FICHIERS * * TABLES, INDEX, CLUSTERS, INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 4/34 - Bertrand LIAUDET
5 Niveau logique : Les objets de la BD (tables, indexs, etc.) appartiennent à un schéma et à un tablespace. Schéma et tablespace appartiennent à une BD. Le schéma peut être réparti dans plusieurs tablespace. Un tablespace peut contenir plusieurs schémas. Niveau physique : Un fichier correspond à un tablespace, mais un tablespace peut être réparti sur plusieurs fichiers. Rappel sur les objets logiques de la BD : Tables, vues, procédures, fonctions, déclencheurs (triggers), packages (regroupements de procédures et de fonctions) Tables temporaires : créée le temps d une session ou d une transaction. Clusters : Un cluster est constitué par plusieurs tables stockées physiquement ensemble. L objectif est d optimiser les temps de traitement en lecture-écriture. Index : table triée pour accéder aux données. Il existe des index de table, de clusters et bitmap (pour les attributs avec peu de valeurs distinctes). Tables organisées en index : toute la table est indexée à partir de sa clé primaire. Séquences : pour gérer les auto-incréments Vues matérialisées : pour synthétiser, répliquer ou distribuer des données. Synonymes : pointeur vers n importe quel objet Liens de BD : pointeur vers n importe quelle BD. Problème conceptuel : la notion de base de données, BD Le terme BD est polysémique : il peut se rapporter à :. L instance (mémoire vive) et les fichiers physiques de la base (au SGBD et à la BD), c est-àdire la totalité de la mémoire (vive et fichiers) utilisée par la BD. 2. La structure logique des données. 3. Les fichiers de données de la BD. L usage le plus courant est le premier. Architecture de l instance Une instance est l ensemble des : processus d arrière-plan zones mémoires allouées qui permettent l exploitation d une base de données. Show parameter INSTANCE_NAME INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 5/34 - Bertrand LIAUDET
6 Généralement, le nom de l instance (SGBD) et de la BD (de la structure logiques) sont identiques. Les processus d arrière-plan et le processus serveur Ce sont les processus qu Oracle utilise, en plus du serveur, pour gérer la BD. Le processus serveur prend en charge les requêtes des processus utilisateurs (SQL-Plus, applications, etc.) Les processus d arrière-plan ont chacun une tâche déterminée pour la gestion des données : écriture sur disques, calcul, gestion mémoire, etc. La mémoire : SGA et PGA le SGA Quand on interroge une BD, les données des fichiers sont chargées en mémoire. Oracle gère la mémoire pour améliorer les performances. Le SGA (System Global Area) est la principale zone mémoire employée. Le SGA contient particulièrement : Un shared pool (pool partagé) Un buffer cache Un buffer redo-log Un java pool La taille maximum du SGA peuvent être paramétrée dans le fichier de paramètres. Elle n est pas modifiable dynamiquement. Show parameter SGA_MAX_SIZE La taille de chaque composant mémoire peuvent être paramétrée dynamiquement. Show parameter SHARED_POOL_SIZE Show parameter DB_CACHE_SIZE Show parameter LOG_BUFFER Alter system set SHARED_POOL_SIZE = 0M le PGA L augmentation de la taille des composants mémoire permet une amélioration des performances. Le PGA (Program Global Area) est la zone mémoire allouée pour le fonctionnement de chaque processus utilisateur. Le PGA contient : Un buffer pour la gestion des tris Un buffer pour les informations de la session Un buffer pour les curseurs Un buffer pour les variables utilisées par la session INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 6/34 - Bertrand LIAUDET
7 A noter que les buffers de tri et de session sont dans le PGA si le serveur est dédié et dans le shared pool si le serveur est partagé. Le shared pool (pool partagé) Le shared pool est une zone mémoire du SGA est constitué de : Le cache du dictionnaire des données Le cache de bibliothèque Le cache de tri et de session (UGA : user global area). Le cache du dictionnaire des données permet de stocker les données du dictionnaire des données (comptes utilisateur, fichiers de données, tables, privilèges). Ce cache se remplit au fur et à mesure de l utilisation de la BD. Quand il est plein, l algorithme de gestion retire les données dont l utilisation est la plus ancienne : algorithme LRU (Least Recently Used) de gestion de file (on cherche dans la file l élément cherché. S il n y ait pas, on le récupère dans les fichiers. Dans tous les cas, on le sort de la file pour le ré-enfiler. Si la file est pleine, on défile un élément). Le cache de bibliothèque permet de stocker les plans d exécution des requêtes les plus courantes. Il est géré par un algorithme LRU. Le cache de tri est de session permet de gérer les ordres de tri et les informations de session dans le cas d un serveur partagé. Si le serveur est dédié, le shared pool ne contient plus cette mémoire qui se retrouve dans la PGA. Le buffer cache Principe Le buffer cache est une zone mémoire du SGA qui permet de stocker les données des requêtes de consultation et de modification ( Select et DML ). Le buffer cache permet donc de limiter les accès disque. Notion de bloc oracle Présentation Un bloc oracle est une structure logique de données qui contient des enregistrements d une table. La taille d un bloc oracle est un multiple du bloc physique manipulé par l OS. Le bloc oracle permet de faciliter les échanges entre les fichiers, la mémoire et les processus. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 7/34 - Bertrand LIAUDET
8 STRUCTURE LOGIQUE STRUCTURE PHYSIQUE BASES DE DONNEES SCHEMAS * * * * TABLESPACES * FICHIERS * * TABLES, INDEX, CLUSTERS, * * BLOCS ORACLE * BLOCS OS Taille du bloc oracle Une fois la BD créée, la valeur du DB_BLOCK_SIZE ne peut plus être modifiée (en KO). Pour visualiser le DB_BLOCK_SIZE : Show parameter DB_BLOCK_SIZE L augmentation de la valeur du BD_BLOCK_SIZE limite les accès disques. Bloc oracle et buffer cache Le buffer cache contient les blocs oracle où sont stockés les données des requêtes SQL (Select et DML). Il est géré par un algorithme LRU (Least Recently Used, gestion de file). La taille du buffer cache est un paramètre important de l optimisation. Généralement, ce cache représente à 2% de la taille de la BD. L exécution d un requête Principe L exécution d une requête se fait en trois temps L analyse («parse») L exécution La récupération des résultats («fetch») L analyse : «parse» INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 8/34 - Bertrand LIAUDET
9 L analyse consiste d abord à vérifier la syntaxe et les contrôles de sécurité (droits d accès aux données). L analyse consiste ensuite à chercher si l instruction, son arbre d exécution et son plan d exécution sont déjà dans le cache de librairie. Si ce n est pas le cas, l analyse va produire l arbre et le plan d exécution et les mettre dans le cache de librairie. Ensuite le processus serveur valide l existence des objets et de la requête (tables, vues, etc.) et de leurs composants (attributs, etc.), les droits de l utilisateur à partir des informations du cache du dictionnaire des données si possible ou à partir des fichiers de données sinon. L exécution L exécution consiste à appliquer le plan d exécution. Le processus détermine les blocs qui doivent être chargés à partir des fichiers, en accès direct par indexation ou en accès séquentiel. Les blocs qui ne sont pas déjà dans le cache sont chargés et mis dans le buffer cache. Le calcul (filtre des lignes et des colonnes) est effectués à partir des données des blocs du buffer cache. La récupération des résultats : «fetch» Le processus serveur renvoie les lignes sélectionnées et mise en forme. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 9/34 - Bertrand LIAUDET
10 Le buffer redo log : tampon des journaux de reprise Le tampon des journaux de reprise permet d assurer la cohérence du système même en cas d échec. En cas de modifications des structures ou des données (DDL ou DML), le processus de traitement écrit dans le tampon des journaux de reprise l image des lignes avant la modifications. Ce tampon est de petite taille et utilisé de manière circulaire. Le java pool L initialisation du moteur Java dans la base de données Oracle est facultative. Si le moteur Java est installé, le Java pool est obligatoire et stocke les commandes java préanalysées. Les processus d arrière plan Les processus d arrière plan gère les relations entre les buffers et les fichiers ainsi que les processus eux-mêmes. DBWn : DataBase Write Processus d écriture par lots des blocs de données modifiées du buffer cache dans les fichiers de la BD. Buffer Cache -----> DBWn -----> Fichier de données > LGWR L écriture se fait par lots : donc certains événements déclenche cette écriture : toutes les 3 secondes, au delà d un certain nombre de blocs modifiés, à chaque checkpoint (processus CKPT), etc. Le processus DBWn lance d abord un processus LGWR LGWR Processus d écriture séquentielle par lots des entrées du buffer redo log dans les fichiers journaux. Buffer Redo Log -----> LGWR -----> Fichier journaux C est le processus LGWR qui maintient l état le plus à jour de la BD (et pas le processus DBWn). L écriture du buffer redo log doit donc être terminée pour valider une transaction. L écriture se fait par lots : toutes les 3 secondes, à chaque COMMIT, au delà d un certain taux de remplissage du buffer redo log,, à chaque chedkpoint, par le processus DBWn. ARCn INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 0/34 - Bertrand LIAUDET
11 Le processus ARCn s occupe de copier un fichier journal plein dans un fichier journal archivé. Ce n est pas un processus obligatoire. CKPT Le processus checkpoint gère les points de synchronisation dans la BD qui faciliteront sa récupération en cas de défaillance. Il signale l échéance de déclenchement au processus DBWn (toutes les 3 secondes) et commence par mettre à jours l en-tête des fichiers de données. CKPT -----> Fichier de données > DBWn SMON Le processus SMON assure le monitoring (la surveillance) du système. Il se charge particulièrement des redémarrage après un arrêt brutal. Il se charge aussi de faire le ménage dans la mémoire : mémoire des tris, regroupement des espaces libres des fichiers de données. PMON Le processus PMON assure le monitoring des processus utilisateur défaillant. Gestion des processus : vue v$session v$process consultation SQL> column sid format 9999 SQL> column username format a2 SQL> column machine format a8 SQL> column program format a20 SQL> select sid, serial#, username, machine, program from v$session; SID SERIAL# USERNAME MACHINE PROGRAM LIAUDET ORACLE.EXE (q000) 29 5 BERTRAND MSHOME\LIAUDET sqlplus.exe 3 23 SYS MSHOME\LIAUDET sqlplus.exe LIAUDET LIAUDET ORACLE.EXE (QMNC) ORACLE.EXE (MMON) 37 5 LIAUDET ORACLE.EXE (q00) 39 LIAUDET ORACLE.EXE (MMNL) 4 LIAUDET ORACLE.EXE (CJQ0) LIAUDET LIAUDET ORACLE.EXE (RECO) ORACLE.EXE (SMON) 44 LIAUDET ORACLE.EXE (CKPT) LIAUDET LIAUDET ORACLE.EXE (LGWR) ORACLE.EXE (DBW0) LIAUDET LIAUDET ORACLE.EXE (MMAN) ORACLE.EXE (PSP0) 49 LIAUDET ORACLE.EXE (PMON) 6 ligne(s) sélectionnée(s). Ici, on voit que deux clients sqlplus sont connectés. On voit aussi les processus d arrière plan du serveur oracle.exe : DBW0, LGWR, etc. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page /34 - Bertrand LIAUDET
12 La liste des processus d arrière plan peut être obtenue par la commande : SQL> select username, program, background from v$process 2 order by background, program ; ou, sous unix, par ps ef grep ora_ Suppression Les champs SID et SERIAL# identifient une session. On peut supprimer les sessions utilisateurs (les clients). La commande : SQL> alter system kill session '29,5'; va déconnecter l utilisateur «Bertrand». Les fichiers d alerte (alert.log) et de trace (.trc) Principe Le fichier d alerte (alert_<sys>.log) est un tableau de bord historique de tous les événements de la BD. C est un outil vital pour la gestion quotidienne d une BD. Les fichiers de trace (.trc) sont générés pas chaque processus d arrière plan. Ils donnent des détails supplémentaires par rapport au fichier d alerte Localisation Dans le paramètre : background_dump_test...\app\oracle\admin\<sys>\bdump A noter que le paramètre : user_dump_test permet d accéder aux alertes du serveur. Ménage des fichiers de trace! A noter que le processus MMON génère des fichiers <SID>_mmon_XXXX.trc de taille importante (plusieurs mégas) régulièrement (toutes les x minutes) dans le répertoire C:\oraclexe\app\oracle\admin\XE\bdump! Ces fichiers *.trc peuvent être supprimées sans risques d erreur. Le paramètre MAX_DUMP_FILE_SIZE permet de limiter la taille de ces fichiers. Remarque sur les erreurs Les erreurs Oracle sont numérotées : ORA-XXXX A partir de ce n, on peut trouver des explications sur l erreur en cherchant sur internet. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 2/34 - Bertrand LIAUDET
13 Le LISTENER La connexion au serveur est établie via un processus d écoute : le LISTENER. Le protocole est le suivant :. L application demande la connexion au LISTENER 2. Le LISTENER transmet la demande au serveur 3. Le serveur demande confirmation au client 4. Le client confirme 5. Le serveur notifie la connexion Ce mécanisme permet, entre autre, de protéger le serveur de demandes de connexion intempestives Connection : Connect nomuser / password@ // nomduserveur:nomduport / service Un processus application sur la machine serveur peut contourner le LISTENER. Une fois connecté, le LISTENER n intervient plus dans la vie des processus applications. Le contrôleur du Listener : LSNRCTL LSNRCTL.exe permet d entrer dans le contrôleur du LISTENER. Help : liste les commandes disponibles. Status : pour connaître l état du LISTENER. Stop : pour arrêter le LISTENER. Start : pour démarrer le LISTENER (ou start LISTENER). INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 3/34 - Bertrand LIAUDET
14 INSTANCE ET BD Gestion d une instance Notion d instance Les concepts d instance et de base de données sont les concepts centraux de l architecture Oracle. La base de données (BD) correspond essentiellement aux fichiers de données. Une instance est l ensemble des processus d arrière plan et des zones mémoires qui permettent l exploitation d une BD. Une instance peut être vue comme une instanciation du serveur pour une BD donnée. Les caractéristiques de l instance (nom du ficher de contrôle, nombre de processus pouvant se connecter simultanément, taille d un bloc de données, etc.) sont contenues dans le fichier de paramètres associé à l instance. Une instance correspond à une BD et une seule. Une BD peut être utilisées par plusieurs instances. Pour accéder à la BD, il faut que l instance soit disponible. Le démarrage et l arrêt de l instance sont des tâches d administration. L utilisateur se connecte à la base de données, avec des droits, à travers une instance. Utilisateur SYS et SYSTEM SYS et SYSTEM sont deux utilisateurs administrateurs créés automatiquement à l installation d Oracle. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 4/34 - Bertrand LIAUDET
15 «SYS» désigne en général l instance. L utilisateur SYS a tous les privilèges, dont celui d administrer l instance. SYSTEM peut créer tous les objets de la base mais ne peut pas administrer l instance. Rappels sur les utilisateurs et la connexion SYSDBA est un rôle qui donne tous les privilèges (c est le rôle de l administrateur : «DBA» de l instance «SYS») : privilèges sur l instance et sur la BD. Connect sys / password as sysdba L utilisateur est SYS. SYSOPER est un rôle équivalent à SYSDBA sans la possibilité de créer une BD. Connect sys / password as sysoper L utilisateur est PUBLIC. Pour se connecter en tant que SYSTEM : Connect system / password L utilisateur est SYSTEM Consultation de l utilisateur connecté : Show user Rappels sur les privilèges Vue SESSION_PRIVS : privilèges de l utilisateur Select * from session_privs order by privilege ; Vue DBA_SYS_PRIV : privilèges système de tous les utilisateurs de la base Select privilege, admin_option from dba_sys_privs ; Les vues DBA_TAB_PRIVS et DBA_COL_PRIVS listent les privilèges accordés aux tables et aux colonnes ; L authentification des administrateurs Pour se connecter à la base en tant qu administrateur, on peut être authentifier par l OS ou par un fichier de mots de passe d Oracle. L authentification par l OS L utilisateur qui a installé le serveur est membre du groupe ORA_DBA. Le groupe ORA_DBA est un groupe d utilisateurs qui reçoit les privilèges SYSDBA. Connect / as sysdba L utilisateur est SYS. Le «/» veut dire «pas de nom d utilisateur / pas de mot de passe» L authentification par fichier de mot de passe Un fichier de mots de passe permet d authentifier les utilisateurs. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 5/34 - Bertrand LIAUDET
16 Ce fichier peut se créer avec l utilitaire ORAPWD. Nom et localisation du fichier : ORACLE_HOME / database / pwd<sid>.ora ORACLE_HOME est le nom du répertoire dans lequel on trouve les programmes Oracle. <SID> est le nom de l instance Création du fichier : ORAPWD L outil ORAPWD permet de créer un fichier de mots de passe Modification du fichier : Alter La commande SQL > alter user system identified by newpassword Permet de donner un nouveau mot de passe à l administrateur SYSTEM. Le fichier de paramètres : PFILE Le fichier de paramètres décrit les caractéristiques du serveurs tel que la taille du SGA, le nombre de processus utilisateurs maximum, etc. Il existe un fichier de paramètres par instance. C est un fichier texte. Nom et localisation du fichier ORACLE_HOME / database / init<sid>.ora ORACLE_HOME est le nom du répertoire dans lequel on trouve les programmes Oracle. <SID> est le nom de l instance Typologie des paramètres Il existe plus de 250 paramètres dont 250 documentés. Les paramètres non documenté ont un nom commençant par «_» Les paramètres documentés se divisent en paramètres de base (environ 30) et paramètres avancés. Quelques paramètres de base DB_BLOCK_SIZE : taille du bloc Oracle DB_CREATE_FILE_DEST : répertoire des fichiers de données, de contrôle et journaux. DB_NAME : nom de la BD. Non modifiable. INSTACE_NAME : nom de l instance. NLS_LANGUAGE : langue par défaut PROCESSES : nombre maximal de processus utilisateurs connectés simultanément. REMOTE_LOGIN_PASSWORDFILE : authentification des administrateur par OS ou fichier. SESSIONS : nombre max. de sessions (toujours supérieur à PROCESSES : sessions récursives). SGA_TARGET : taille max. du SGA. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 6/34 - Bertrand LIAUDET
17 Consultation des paramètres utilisés : la vue V$PARAMETER SQL> select name, type, value from v$parameter where name like 'nls_language'; est équivalent à : SQL> show parameter nls_language Résultats : NAME TYPE VALUE nls_language string AMERICAN Modification dynamique des paramètres Modification au niveau de la session (du processus utilisateur connecté) : SQL> Alter session set nomparamètre=valeur ; Modification au niveau de l instance (pour tous les processus utilisateurs connectés) : SQL> Alter system set nomparamètre=valeur ; Pour savoir à quel niveau on peut modifier un paramètre : Attributs ISSES_MODIFIABLE et ISSYSMODIFIABLE de la vue V$PARAMETER SQL> Select name, isses_modifiable, issys_modifiable from v$parameter where name='nls_language'; NAME ISSES ISSYS_MOD nls_language TRUE FALSE Exemple : SQL> alter session set nls_language='italian'; Modificata sessione. SQL> select to_char(sysdate,'dd month yyyy') from dual; TO_CHAR(SYSDATE,'DDMONTHYYYY') febbraio 200 SQL> show parameter nls_language NAME TYPE VALUE nls_language string AMERICAN A noter que la valeur ITALIEN a bien été prise en compte dans le traitement, mais on ne la retrouve pas dans les paramètres. On verra à la fin du paragraphe où on peut la retrouver! Ce qui n est pas évident!!! Le fichier de paramètres serveur : SPFILE Le fichier de paramètres serveur est un fichier binaire et dynamique géré par le serveur oracle. Nom et localisation du fichier ORACLE_HOME / database / spfile<sid>.ora INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 7/34 - Bertrand LIAUDET
18 ORACLE_HOME est le nom du répertoire dans lequel on trouve les programmes Oracle. <SID> est le nom de l instance Dans le fichier, les paramètres «spfile» et «ifile» déterminent l emplacement du SPFILE et d un éventuel fichier complémentaire. Priorité entre les fichiers de paramètres Le SPFILE, s il existe, est prioritaire sur le PFILE. Le serveur choisit prioritairement dans l ordre : spfile<sid>.ora spfile.ora init<sid>.ora Toutefois, au démarrage d une instance, on peut forcer le choix d un fichier plutôt que d un autre. Création d un SPFILE par copie du PFILE SQL >Create spfile from pfile Création d un PFILE par copie du SPFILE SQL >Create pfile from spfile Création d une instance : utilitaire ORADIM L étape OS : utilitaire ORADIM Les répertoires de travail Il existe trois répertoires de travail à noter: un pour les fichiers d administration : C:\oraclexe\app\oracle\admin\maBase un pour les fichiers de données : C:\oraclexe\oradata\maBase Pour créer le service Windows : C:\>set oracle_sid=mabase C:\>ORADIM new sid mabase intpwd monpwd startmod a Pour supprimer le service Windows : C:\>ORADIM delete sid mabase Pour que le service démarre automatiquement C:\>ORADIM edit sid mabase srvcstart system ORADIM permet aussi de lancer et d arrêter une instance. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 8/34 - Bertrand LIAUDET
19 Pour plus de détails : C:\>ORADIM \? Pour créer le fichier de paramètres SPFILE : C:\>set oracle_sid=mabase C:\ sqlplus /as sysdba Connecté à une instance inactive SQL>create spfile from pfile= C:\...\initMaBase.ora ; Fichier créé PFILE = C:\oraclexe\app\oracle\product\0.2.0\server\database/initMABASE.ora SPFILE = 'C:\oraclexe\app\oracle\product\0.2.0\server\dbs/spfileMABASE.ora' Pour lancer l instance SQL>startup nomount Instance oracle lancée Démarrage et arrêt d une instance et d une BD Les 3 étapes du démarrage : nomount, mount et open L étape «nomount» : démarrage de l instance Lire le fichier de paramètres Allouer la mémoire du SGA Démarrer les processus d arrière plan Ouvrir les fichiers de trace et d alerte L étape «mount» : montage de la BD Associer la BD à l instance démarrée Ouvrir les fichiers de contrôle. A cette étape, seul les administrateurs SYSDBA ou SYSOPER peuvent accéder à la BD. L étape open : ouverture de la BD Vérifier que les fichiers de données et les fichiers journaux sont accessibles. Permettre la connexion de tous les utilisateurs. Lancer un processus d arrière plan SMON pour restaurer la BD si nécessaire. La commande startup Startup permet de démarrer l instance et la BD. SQL > startup On peut limiter le startup au «nomount» ou au «mount». SQL > startup mount On peut préciser le fichier de paramètres. INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 9/34 - Bertrand LIAUDET
20 SQL > help startup La commande alter database La commande alter database permet de passer d un état («mount») à un autre («open»). SQL > startup nomount SQL > alter database open; Les 4 types d arrêt Shutdown abort Arrêt le plus brutal et le plus rapide. Pas de rollback avant pendant l arrêt. Ce shutdown nécessite une récupération d instance au redémarrage. Shutdown immediate Ce shutdown évite de perdre des données mais les transactions en cours sont arrêtées avec un rollback. C est le mode qui, associé au redémarrage est le plus rapide, car le redémarrage ne nécessite pas de récupération. Shutdown transactionnal Ce shutdown évite de perdre des données et attend que toutes les transactions en cours soient validées par un commit. Aucune nouvelle transaction n est autorisée. Shutdown normal Ce shutdown évite de perdre des données et attend que toutes les connexions en cours soient arrêtées. Aucune nouvelle connexion n est autorisée. Les vues dynamiques Les vues associées aux étapes de démarrage Vues dynamiques Etapes Eléments montés V$PARAMETER NOMOUNT Fichier de paramètres V$SPPARAMETER Instance (SGA, V$SGA processus d arrière plan) V$SGA_DYNAMIC_COMPONENTS V$OPTION V$SESSION V$INSTANCE V$CONTROLFILE MOUNT Fichier de contrôle V$DATABASE V$DATAFILE V$LOGFILE Vues du dictionnaire OPEN Fichiers de données INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 20/34 - Bertrand LIAUDET
21 des données Fichiers journaux La vue de toutes les vues dynamique : V$FIXED_TABLE Dans cette vue on peut trouver : SQL> select * from v$fixed_table where name like 'V$%PARAM%'; NAME OBJECT_ID TYPE TABLE_NUM V$PARAMETER VIEW V$SYSTEM_PARAMETER V$PARAMETER VIEW VIEW V$SYSTEM_PARAMETER VIEW V$OBSOLETE_PARAMETER VIEW V$SPPARAMETER VIEW V$PARAMETER_VALID_VALUES VIEW V$NLS_PARAMETERS VIEW V$LOGMNR_PARAMETERS VIEW V$HS_PARAMETER VIEW ligne(s) sélectionnée(s). Dans la vue V$NLS_PARAMETERS, on trouve : SQL> select * from v$nls_parameters where parameter='nls_language'; PARAMETER VALUE NLS_LANGUAGE FRENCH SQL> alter session set nls_language='italian'; Modificata sessione. SQL> select * from v$nls_parameters where parameter='nls_language'; PARAMETER VALUE NLS_LANGUAGE ITALIAN A noter qu il y a 383 vues dans la vue V$FIXED_TABLE!!! INSIA - BASES DE DONNÉES SIGL ARCHITECTURE ORACLE - page 2/34 - Bertrand LIAUDET
INSIA Bases de données ORACLE Installation SQL*Plus SQL-Developer
INSIA Bases de données ORACLE Installation SQL*Plus SQL-Developer http://st-curriculum.oracle.com/tutorial/dbxetutorial/index.htm http://st-curriculum.oracle.com/ http://www.oracle.com/ Bertrand LIAUDET
Plus en détailCOMPOSANTS DE L ARCHITECTURE D UN SGBD. Chapitre 1
1 COMPOSANTS DE L ARCHITECTURE D UN SGBD Chapitre 1 Généralité 2 Les composants principaux de l architecture d un SGBD Sont: Les processus Les structures mémoires Les fichiers P1 P2 Pn SGA Fichiers Oracle
Plus en détail3. La SGA ou System global Area
1/11 L'instance Oracle Oracle est une base de données composée de 3 parties différentes : L'instance Les fichiers de données Les fichiers de données facultatifs (fichier d'initialisation, fichier de mots
Plus en détailNotion de base de données
Notion de base de données Collection de données opérationnelles enregistrées sur un support adressable et utilisées par les systèmes et les applications Les données doivent être structurées indépendamment
Plus en détailOracle : Administration
Oracle : Administration 2crit & présenté par Abdoul Aziz Ciss Dept GIT EPT Email: aaciss@ept.sn Contenu Introduction Installation du logiciel Oracle Database Création de bases de données Configuration
Plus en détailAdministration des bases de données relationnelles Part I
Administration des bases de données relationnelles Part I L administration des bases de données requiert une bonne connaissance - de l organisation et du fonctionnement interne du SGBDR : structures logiques
Plus en détailChapitre III Architecture de Base de Données Oracle
LP Informatique(DA2I UF7 : Administration Système, Réseaux et Base de données 15/12/2007, Enseignant : M. Nakechbnadi mail : nakech@free.fr Première parie : Administration d une BD Chapitre III Architecture
Plus en détailCHAPITRE 1 ARCHITECTURE
07/04/2014 Université des sciences et de la Technologie Houari Boumediene USTHB Alger Département d Informatique ADMINISTRATION ET TUNING DE BASES DE DONNÉES CHAPITRE 1 ARCHITECTURE RESPONSABLE DR K. BOUKHALFA
Plus en détailAdministration des bases de données sous Oracle. 10g. Fabien De Marchi, Jean-Marc Petit. Université de Lyon. November 22, 2007 1/96
1/96 Administration des bases de données sous Oracle 10g Fabien De Marchi, Jean-Marc Petit Université de Lyon November 22, 2007 2/96 Sur le cours Prérequis et objectifs Prérequis Modèle relationnel (structure,
Plus en détailProgramme détaillé. Administrateur de Base de Données Oracle - SQLServer - MySQL. Objectifs de la formation. Les métiers
Programme détaillé Objectifs de la formation Les systèmes de gestion de bases de données prennent aujourd'hui une importance considérable au regard des données qu'ils hébergent. Véritable épine dorsale
Plus en détailAdministration de Base de Données Notes de cours
Administration de Base de Données Notes de cours 1 Élément de connexion Oracle Thomas Année universitaire 2005-2006 La connexion à une base Oracle fait intervenir quatres éléments :
Plus en détailOracle Maximum Availability Architecture
Oracle Maximum Availability Architecture Disponibilité des systèmes d informations Technologies et recommandations 1 Qu est-ce que Oracle Maximum Availability Architecture (MAA)? 1. Objectif : Disponibilité
Plus en détailGestion des utilisateurs et de leurs droits
Gestion des utilisateurs et de leurs droits Chap. 12, page 323 à 360 Lors de la création d'un utilisateur vous devez indiquer son nom, ses attributs, son profil, la méthode d'authentification (par le SE
Plus en détailPerformances. Gestion des serveurs (2/2) Clustering. Grid Computing
Présentation d Oracle 10g Chapitre VII Présentation d ORACLE 10g 7.1 Nouvelles fonctionnalités 7.2 Architecture d Oracle 10g 7.3 Outils annexes 7.4 Conclusions 7.1 Nouvelles fonctionnalités Gestion des
Plus en détailVersion Description Date
- 1 - Telephone : +243970808519, +243897779961 Site internet : Numéro du document : 0.4 Auteur : Danny Nkutua Kalombo Date de publication : Septembre 2010 Dernière mise à jour : Avril 2012 Résumé des modifications
Plus en détailOracle 11g. Exploitation. Document Tellora Page 1/205. Auteur : Clotilde Attouche. Société TELLORA. Version 1.2. Du 6 Mai 2010
Oracle 11g Exploitation Auteur : Clotilde Attouche Société TELLORA Version 1.2 Du 6 Mai 2010 Page 1/205 Sommaire 1 Présentation... 7 1.1 Les produit Database proposes par Oracle... 8 1.2 Notion de Grid
Plus en détailAdministration des Bases de Données Oracle
Administration des Bases de Données Oracle Plan Introduction à l administration de données Structure d une base de données Architecture interne d Oracle Sécurité des données Utilitaires Administration
Plus en détailOracle 10g Administration +
Oracle 10g Administration + FAC-SIMILE Ce fac-simile contient : - la table des matières, - le préambule, - un extrait du chapitre 10 Auteur Razvan Bizoi GUIDE DE FORMATION La marque TSOFT est une marque
Plus en détailPREPARATION AU PTI SGBD
PREPARATION AU PTI SGBD On complètera ce cours avec les informations du site developpez.com 1.1 Introduction 1.1.1 Qu est ce qu un SGBD? Définition : logiciel qui stocke des données de façon organisée
Plus en détailOracle 11g - Dataguard
Oracle 11g - Dataguard Ecole INSTA Paris http://www.insta.fr/site/ Document et projet réalisé Candy Scordia le 29/07/2011 par Dataguard Oracle 11g R2 Kubuntu 11.04 64 bits Téléchargement de Oracle 11g
Plus en détailAdministration d'une base de données
Administration d'une base de données Soors Aurore 1 Table des matières 1. Architecture d'une base de données...4 1.1. La structure logique...4 1.1.1. Les tablespaces...4 1.1.2. Les segments, extensions
Plus en détailModule n 2 CREER UNE BASE DE DONNEES 1Z0-001
Module n 2 CREER UNE BASE DE DONNEES 1Z0-001 Auteur : Aurélie Vuaroqueaux Version 1.3 7 août 2003 Nombre de pages : 53 Ecole Supérieure d Informatique de Paris 23. rue Château Landon 75010 PARIS www.supinfo.com
Plus en détailCours Bases de données 2ème année IUT
Cours Bases de données 2ème année IUT Cours 13 : Organisation d une base de données, ou comment soulever (un peu) le voile Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Les clusters de table
Plus en détailCréation d'une nouvelle base de données
199 Chapitre 7 Création d'une nouvelle base de données 1. Vue d'ensemble Création d'une nouvelle base de données 1.1 Étapes de création d'une nouvelle base de données pour une application Le processus
Plus en détailDépartement Informatique de l Institut Universitaire de Technologie de l Université Bordeaux 1 Bases de Données Oracle : administration (cours)
Département Informatique de l Institut Universitaire de Technologie de l Université Bordeaux 1 Bases de Données Oracle : administration (cours) Olivier Guibert Rappelons que l administrateur d une base
Plus en détailSecteur Tertiaire Informatique Filière étude - développement. Accueil. Apprentissage. Période en entreprise. Evaluation.
Secteur Tertiaire Informatique Filière étude - développement Activité «Développer la persistance des» Sauvegarde et restauration Oracle 11g Accueil Apprentissage Période en entreprise Evaluation Code barre
Plus en détail//////////////////////////////////////////////////////////////////// Administration bases de données
////////////////////// Administration bases de données / INTRODUCTION Système d informations Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données
Plus en détailet Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11747-7
Tsoft et Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11747-7 Il est possible, pour des objets, de visualiser ou modifier le contenu. La présentation des objets dans le navigateur peut être paramétrée ; vous trouverez
Plus en détailORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION. Distribution de données avec Oracle. G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010
ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION Distribution de données avec Oracle G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010 1 Plan 12. Distribution de données 12.1 Génération des architectures C/S et Oracle
Plus en détailCHAPITRE 4 POLITIQUES DE CONTRÔLES DES ACCÈS SOUS ORACLE ADMINISTRATION ET TUNING DE BASES DE DONNÉES 10/05/2015 RESPONSABLE DR K.
Université des sciences et de la Technologie Houari Boumediene USTHB Alger Département d Informatique CHAPITRE 4 ADMINISTRATION ET TUNING DE BASES DE DONNÉES RESPONSABLE DR K. BOUKHALFA POLITIQUES DE CONTRÔLES
Plus en détailNœud Suisse du Projet International GBIF (Global Biodiversity Information Facility)
Nœud Suisse du Projet International GBIF (Global Biodiversity Information Facility) Présentation de la solution de backup Oracle de la base de données test GBIF et déploiement de la solution en production
Plus en détailOracle 11g Optimisez vos bases de données en production (ressources matérielles, stockage, mémoire, requêtes)
Avant-propos 1. Lectorat 11 2. Pré-requis 12 3. Objectifs 12 4. Environnement technique 13 Choisir la bonne architecture matérielle 1. Introduction 15 2. Architecture disque 16 2.1 La problématique de
Plus en détailIntroduction aux SGBDR
1 Introduction aux SGBDR Pour optimiser une base Oracle, il est important d avoir une idée de la manière dont elle fonctionne. La connaissance des éléments sous-jacents à son fonctionnement permet de mieux
Plus en détailBases de données et sites WEB
Bases de données et sites WEB Cours2 : Sécurité et contrôles d accès Anne Doucet 1 Authentification Autorisation Privilèges Rôles Profils Limitations de ressources Plan Audit Contrôle d accès via les vues
Plus en détailCOMPRENDRE LES DIFFERENTS TYPES DE CONNEXION LORS DE LA
COMPRENDRE LES DIFFERENTS TYPES DE CONNEXION LORS DE LA DEFINITION D UNE BIBLIOTHEQUE D ACCES A UNE BASE DE DONNEES Cet article s adresse aux administrateurs SAS en charge de la mise à disposition des
Plus en détailTP Contraintes - Triggers
TP Contraintes - Triggers 1. Préambule Oracle est accessible sur le serveur Venus et vous êtes autorisés à accéder à une instance licence. Vous utiliserez l interface d accés SQL*Plus qui permet l exécution
Plus en détailPlan Général. Administration Oracle 10G Partie I. Plan Général. Plan Général
Plan Général Administration Oracle 10G Partie I G. Mopolo-Moké prof. MBDS / UNSA NICE 2005/ 2006 1. Introduction 1.1 Objectifs du cours 1.2 Les tâches de l'administrateur 1.3 L'offre Oracle 1.4 Oracle
Plus en détailCYCLE CERTIFIANT ADMINISTRATEUR BASES DE DONNÉES
SGBD / Aide à la décision CYCLE CERTIFIANT ADMINISTRATEUR BASES DE DONNÉES Réf: KAO Durée : 15 jours (7 heures) OBJECTIFS DE LA FORMATION Ce cycle complet vous apportera les connaissances nécessaires pour
Plus en détailDu 10 Fév. au 14 Mars 2014
Interconnexion des Sites - Design et Implémentation des Réseaux informatiques - Sécurité et Audit des systèmes - IT CATALOGUE DE FORMATION SIS 2014 1 FORMATION ORACLE 10G 11G 10 FEV 2014 DOUALA CAMEROUN
Plus en détailet Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11747-7
Tsoft et Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11747-7 OEM Console Java OEM Console HTTP OEM Database Control Oracle Net Manager 6 Module 6 : Oracle Enterprise Manager Objectifs Contenu A la fin de ce module,
Plus en détailModule 25 : Correction des exercices
Module 25 : Correction des exercices Tsoft/Eyrolles Oracle 10g Administration 1 Atelier 1 Questions 1-1 Quelle est l unité d'échange entre les fichiers, la mémoire et les processus? D 1 2 Quelles sont
Plus en détailAuto-évaluation Oracle: cours de base
Auto-évaluation Oracle: cours de base Document: F0475Test.fm 14/01/2008 ABIS Training & Consulting P.O. Box 220 B-3000 Leuven Belgium TRAINING & CONSULTING INTRODUCTION AUTO-ÉVALUATION ORACLE: COURS DE
Plus en détailMise en oeuvre TSM 6.1
Mise en oeuvre TSM 6.1 «Bonnes pratiques» pour la base de données TSM DB2 Powered by Qui sommes nous? Des spécialistes dans le domaine de la sauvegarde et de la protection des données 10 ans d expertise
Plus en détail420-PK6-SL Banques de données Avancées. UTILISATEURS (suite)
420-PK6-SL Banques de données Avancées Gestion des UTILISATEURS (suite) RÉCAPITULATIF Un UTILISATEUR ORACLE est donc une combinaison de deux concepts usuels des banques de données. Un objet de contrôle
Plus en détailTechniques de stockage. Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43
Techniques de stockage Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43 Techniques de stockage Contenu de ce cours : 1. Stockage de données. Supports, fonctionnement d un disque, technologie RAID 2. Organisation
Plus en détailRECOVERY MANAGER G. Mopolo-Moké prof. MBDS UNSA 2005/ 2006
RECOVERY MANAGER G. Mopolo-Moké prof. MBDS UNSA 2005/ 2006 1 Plan Général Plan 1. A propos de RMAN 2. Pourquoi utiliser RMAN? 3. Vue d ensemble de l environnement RMAN 4. Se connecter aux bases de données
Plus en détailStructure fonctionnelle d un SGBD
Fichiers et Disques Structure fonctionnelle d un SGBD Requetes Optimiseur de requetes Operateurs relationnels Methodes d acces Gestion de tampon Gestion de disque BD 1 Fichiers et Disques Lecture : Transfert
Plus en détailPrésentation de l'outil RMAN d'oracle
Présentation de l'outil RMAN d'oracle Ce document constitue une première présentation de l'outil RMAN d'oracle permettant de sauvegarder et restaurer des bases de données. L'article abordera également
Plus en détailTP11 - Administration/Tuning
TP11 - Administration/Tuning MIAGE #3-2006/2007 January 9, 2007 1 Architecture physique d une base Oracle 1.1 La structure physique Une base de données Oracle est composé de fichiers (au sens du système
Plus en détailBases de Données Avancées
1/116 Bases de Données Avancées Implantation d une BD Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR Léonard de Vinci 74, rue
Plus en détailBases de données et sites WEB Licence d informatique LI345
Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345 Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr http://www-bd.lip6.fr/ens/li345-2013/index.php/lescours 1 Contenu Transactions en pratique Modèle relationnel-objet
Plus en détailPlan de formation : Certification OCA Oracle 11g. Les administrateurs de base de données (DBA) Oracle gèrent les systèmes informatiques
Plan de formation : Certification OCA Oracle 11g Description Les administrateurs de base de données (DBA) Oracle gèrent les systèmes informatiques industriels les plus avancés. Cette formation permettra
Plus en détailBUFFER CACHE SHARED POOL LRU
1 2 3 Taille des CACHEs de l instance La taille de la SGA est principalement dépendante de la taille du «BUFFER CACHE» et de l espace «SHARED POOL». L algorithme de gestion de ces espaces de mémoire est
Plus en détailInstallation du client
1 Oracle NET Installation du client Étapes similaires à l installation du serveur. Un client Oracle doit au minimum le composant Oracle Net qui permet d accéder à une base Oracle du réseau. Types d installation:
Plus en détailCOMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2
SQL Sommaire : COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE MANIPULATION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE CONTROLE TRANSACTIONNEL... 2 COMMANDES DE REQUETE DE DONNEES... 2 COMMANDES
Plus en détailGroupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11707-8
Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11707-8 Table des matières Avant-propos................................................ Objectifs de ce livre.......................................... Partie I : Oracle
Plus en détailPartie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3
Sommaire Partie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3 1- Créer deux TableSpaces votre_nom-tbs et Votre_nom-TempTBS :... 3 2. Créer un utilisateur qui porte votre nom :... 3 3. Attribuer à
Plus en détailSGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles)
SGBDR Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) Plan Approches Les tâches du SGBD Les transactions Approche 1 Systèmes traditionnels basés sur des fichiers Application 1 Gestion clients
Plus en détailTP Administration Oracle
Ingénieurs 2000 Informatique et Réseaux TP Administration Oracle DIOP Ngoné ESSAIDI Abderrahim Février 2008 1 Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 3 1. Déploiement d application... 4 1.1 Résumé du besoin...
Plus en détailDescription de SQL SERVER. historique
Description de SQL SERVER SQLServer est un SGBDR qui accepte et traite des requêtes concurrentes provenant de divers clients. Il envoie les réponses aux clients concernés via des API (Application Programming
Plus en détailI/ Présentation. On considère une BD CIRQUE dont le schema conceptuel : PERSONNEL _CIRQUE (NOM, ROLE) ;
Université du Havre, UFR Sciences, Master Prof. Info.,, TP1, 22/11/2013, SIRES3(BDD Enseignants : Nakechbandi M Thème : Implémentation d une BD Répartie L objectif du TP est d implémenter une base de données
Plus en détailTP Bases de données réparties
page 1 TP Bases de données réparties requêtes réparties Version corrigée Auteur : Hubert Naacke, révision 5 mars 2003 Mots-clés: bases de données réparties, fragmentation, schéma de placement, lien, jointure
Plus en détailNotes de cours : bases de données distribuées et repliquées
Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées Loïc Paulevé, Nassim Hadj-Rabia (2009), Pierre Levasseur (2008) Licence professionnelle SIL de Nantes, 2009, version 1 Ces notes ont été élaborées
Plus en détailADMINISTRATION D'UNE BASE DE DONNEES
Administration ADMINISTRATION D'UNE BASE DE DONNEES I-ADMINISTRATION D'UNE BASE DE DONNEES Les principales tâches d un administrateur d une base de données sont les suivantes: * Installation et mise à
Plus en détailDéveloppement d une base de données relationnelle. Exploitation des statistiques de pêche au thon tropical
Développement d une base de données relationnelle Exploitation des statistiques de pêche au thon tropical IFREMER, Olivier Barbaroux Stage réalisé au centre IRD de Brest Responsable : M. Jean-Jacques Lechauve
Plus en détailJérôme FESSY. IUT de Paris 5. Base de Données. Cours Introductif. Base de Données
Base de Données Cours Introductif Base de Données Quelques chiffres Évolution annuelle moyenne 2004/2000 15% +20% 12% 5% 0.5% 2000 2004 L3G IA SG mono poste : Part de marché 5% 5% 10% Paradox 65% SG 15%
Plus en détailTUTORIEL D INSTALLATION D ORACLE ET DE SQL DEVELOPPER TUTORIEL D INSTALLATION D ORACLE...1 ET DE SQL DEVELOPPER...1
TUTORIEL D INSTALLATION D ORACLE ET DE SQL DEVELOPPER Sur Windows Contenu TUTORIEL D INSTALLATION D ORACLE...1 ET DE SQL DEVELOPPER...1 I-Installation d «Oracle Database Express Edition»...2 Etape 1 :
Plus en détailAdministration des bases de données. Jean-Yves Antoine http://www.info.univ-tours.fr/~antoine/
Administration des bases de données Jean-Yves Antoine http://www.info.univ-tours.fr/~antoine/ Administration des bases de données II Objets avancés dans les bases de données OBJECTIFS 2.1. NOTIONS 2.1.1.
Plus en détailLes transactions 1/46. I même en cas de panne logicielle ou matérielle. I Concept de transaction. I Gestion de la concurrence : les solutions
1/46 2/46 Pourquoi? Anne-Cécile Caron Master MAGE - SGBD 1er trimestre 2014-2015 Le concept de transaction va permettre de définir des processus garantissant que l état de la base est toujours cohérent
Plus en détailFascicule des Travaux Pratiques Oracle
Fascicule des Travaux Pratiques Oracle Module : Administration des Bases de Données ORACLE Elaboré par : Mme. KHARRAT CHAKER Fatma TP N 1 Connexion Description des champs d une table Liste des tables créées
Plus en détail4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation
Base de données S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Présentation du module Contenu général Notion de bases de données Fondements / Conception Utilisation :
Plus en détailGuide de démarrage Intellipool Network Monitor
Guide de démarrage Intellipool Network Monitor Sommaire Glossaire... 3 Icônes... 3 Page de connexion... 4 Page d accueil... 5 Saisie de la clé de licence... 7 My settings... 8 Création d un compte... 9
Plus en détailPHP. Bertrand Estellon. 26 avril 2012. Aix-Marseille Université. Bertrand Estellon (AMU) PHP 26 avril 2012 1 / 214
PHP Bertrand Estellon Aix-Marseille Université 26 avril 2012 Bertrand Estellon (AMU) PHP 26 avril 2012 1 / 214 SQLite et PDO Base de données SQLite et PDO SQLite écrit les données relatives à la base dans
Plus en détailConfigurer la supervision pour une base MS SQL Server Viadéis Services
Configurer la supervision pour une base MS SQL Server Référence : 11588 Version N : 2.2 : Créé par : Téléphone : 0811 656 002 Sommaire 1. Création utilisateur MS SQL Server... 3 2. Configuration de l accès
Plus en détailCESI Bases de données
CESI Bases de données Introduction septembre 2006 Bertrand LIAUDET EPF - BASE DE DONNÉES - septembre 2005 - page 1 PRÉSENTATION GÉNÉRALE 1. Objectifs généraux L objectif de ce document est de faire comprendre
Plus en détail1 2 3 4 5 Faisons le point - Où en êtes-vous dans votre cursus? Quel est votre parcours? A quelle étape en êtes-vous? Vers où allez-vous? - Quels sont vos objectifs? Quel est le challenge? Quels sont vos
Plus en détailProcédure serveur : gestion des environnements X3 et bases de données ORACLE
Procédure serveur : gestion des environnements X3 et bases de données ORACLE LUIS Maxime Un environnement X3 se définit en plusieurs parties selon le schéma suivant : Serveur Traitement Base de donnée
Plus en détailSECURIDAY 2012 Pro Edition
SECURINETS CLUB DE LA SECURITE INFORMATIQUE INSAT SECURIDAY 2012 Pro Edition Atelier audit de base de données Chef Atelier : Bilel BARHOUMI (GL 3) Ahmed BEN REHAYEM (RT 3) Maha ROMDHANI (RT 3) Oussema
Plus en détailBases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion
III.1- Définition de schémas Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion RAPPELS Contraintes d intégrité sous Oracle Notion de vue Typage des attributs Contrainte d intégrité Intra-relation
Plus en détailFileMaker Server 14. Aide FileMaker Server
FileMaker Server 14 Aide FileMaker Server 2007-2015 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054 FileMaker et FileMaker Go sont des marques
Plus en détailRootkits sous Oracle
Focus Alexander Kornbrust Degré de difficulté Les rootkits dans les systèmes d'exploitation ne sont pas nouveaux. Les intrus s'en servent depuis des années pour cacher leurs traces. Rares sont ceux qui
Plus en détailLe langage SQL (première partie) c Olivier Caron
Le langage SQL (première partie) 1 Plan Le S.G.B.D. postgres Le langage SQL Langage de manipulation de données Langage de requêtes 2 Quelques mots sur Postgres (1/2) Travaux de Stonebraker (Univ. Berkeley)
Plus en détailEléments de base de la sécurité des bases de données
Eléments de base de la sécurité des bases de données N. Boudjlida UHP Nancy 1, LORIA, Campus scientifique, BP 239 54506 Vandœuvre Lès Nancy CEDEX (F) Nacer.Boudjlida@loria.fr, http://www.loria.fr/ nacer
Plus en détailL annuaire et le Service DNS
L annuaire et le Service DNS Rappel concernant la solution des noms Un nom d hôte est un alias assigné à un ordinateur. Pour l identifier dans un réseau TCP/IP, ce nom peut être différent du nom NETBIOS.
Plus en détailLangage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes
Langage SQL (1) Sébastien Limet Denys Duchier IUT Orléans 4 septembre 2007 Notions de base qu est-ce qu une base de données? SGBD différents type de bases de données quelques systèmes existants Définition
Plus en détailSQL Historique 1982 1986 1992
SQL Historique 1950-1960: gestion par simple fichier texte 1960: COBOL (début de notion de base de données) 1968: premier produit de sgbdr structuré (IBM -> IDMS) 1970-74: élaboration de l'outil d'analyse
Plus en détailTutorial sur SQL Server 2000
Tutorial sur SQL Server 2000 Système d'exploitation est 2000 pro et Serveur 2000 Sommaire 1 - Installation... 2 2 - Mise à jour... 5 3 - Présentation... 7 3-1 - Service Manager (Démarrer/Programmes/Microsoft
Plus en détailISC21-1 --- Système d Information Architecture et Administration d un SGBD Compléments SQL
ISC21-1 --- Système d Information Architecture et Administration d un SGBD Compléments SQL Jean-Marie Pécatte jean-marie.pecatte@iut-tlse3.fr 16 novembre 2006 ISIS - Jean-Marie PECATTE 1 Valeur de clé
Plus en détailWDpStats Procédure d installation
WDpStats Procédure d installation Table de matières WDpStats... 1 Procédure d installation... 1 Table de matières... 1 Résumé... 2 Réquisits... 2 Installation... 2 Difficultés... 6 Lancement... 7 wdpstats_install_oracle_fr.xml
Plus en détailE-mail : contact@nqicorp.com - Web : http://www.nqicorp.com
- 5, rue Soutrane - 06560 Valbonne Sophia-Antipolis E-mail : contact@nqicorp.com - Web : http://www.nqicorp.com NQI Orchestra 3.3 - Guide d'installation Linux....................................................................
Plus en détailCours 6. Sécurisation d un SGBD. DBA - M1ASR - Université Evry 1
Cours 6 Sécurisation d un SGBD DBA - M1ASR - Université Evry 1 Sécurisation? Recette d une application Vérification des fonctionnalités Vérification de l impact sur le SI existant Gestion du changement
Plus en détailJava et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige.
: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java Michel Bonjour http://cuiwww.unige.ch/~bonjour Plan JDBC: API bas niveau pour l accès aux BD (SQL) - Introduction - JDBC et : Java, ODBC, SQL
Plus en détailNFA 008. Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013
NFA 008 Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013 1 NoSQL, c'est à dire? Les bases de données NoSQL restent des bases de données mais on met l'accent sur L'aspect NON-relationnel L'architecture distribuée
Plus en détailMySQL - Réplication. Fichiers de relais et de statut de la réplication. Mise en place de la réplication
MySQL - Réplication Réplication MySQL MySQL supporte la réplication unidirectionnelle interne. Un serveur sert de maître, et les autres servent d esclaves. Le serveur entretient des logs binaires, ainsi
Plus en détailLe Langage De Description De Données(LDD)
Base de données Le Langage De Description De Données(LDD) Créer des tables Décrire les différents types de données utilisables pour les définitions de colonne Modifier la définition des tables Supprimer,
Plus en détailDevoir Data WareHouse
Université Paris XIII Institut Galilée Master 2-EID BENSI Ahmed CHARIFOU Evelyne Devoir Data WareHouse Optimisation, Transformation et Mise à jour utilisées par un ETL Mr R. NEFOUSSI Année 2007-2008 FICHE
Plus en détailBases de Données Avancées
1/88 Bases de Données Avancées Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR Léonard de Vinci 74, rue Marcel Cachin, F-93017
Plus en détailModule Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS
Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS 1. Introduction Nous allons aborder la notion de surcouche procédurale au sein des SGBDS relationnels tels que Oracle (PLSQL)
Plus en détail«clustering» et «load balancing» avec Zope et ZEO
IN53 Printemps 2003 «clustering» et «load balancing» avec Zope et ZEO Professeur : M. Mignot Etudiants : Boureliou Sylvain et Meyer Pierre Sommaire Introduction...3 1. Présentation générale de ZEO...4
Plus en détailCours Bases de données
Informations sur le cours Cours Bases de données 9 (10) séances de 3h Polycopié (Cours + TD/TP) 3 année (MISI) Antoine Cornuéjols www.lri.fr/~antoine antoine.cornuejols@agroparistech.fr Transparents Disponibles
Plus en détail