Reseau Régional de Référents en anti-infectieux Exemple du Languedoc-Roussillon. Pourquoi?

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1 Reseau Régional de Référents en anti-infectieux Exemple du Languedoc-Roussillon Dr Catherine Lechiche Service de Maladies Infectieuses et Tropicales CHRU Caremeau - Nîmes Pourquoi? Décret n du 20 septembre 2013 modifiant les dispositions relatives à la commission médicale d'établissement et aux transformations des établissements publics de santé et à la politique du médicament dans les établissements de santé Nomination par les CME d un réfèrent antibiotique dans chaque établissement de santé» Bon usage des antibiotiques et suivi» Conseil thérapeutique et diagnostique 1

2 Pourquoi? Succès des journées des référents parallèle aux journées nationales d infectiologie de la SPILF depuis 2006 Avec en 2013 un atelier «besoin et attente des référents?» (P. André et B. Garo)» Rencontre régionale annuelle associée à une rencontre annuelle nationale Comment? 2

3 Comment? Comité de pilotage Dr P. André : infectiologue libéral Montpellier Dr E. Schwartzentruber : médecin ARS LR Dr T. Fraisse. Infectiologue CH Ales Dr D. Morquin. Infectiologue CHRU Montpellier Dr A. Eden. Infectiologue CH Perpignan Dr C. Mourlan. ARLIN LR Dr G. Benistand. Anesthésiste PGS Nîmes Dr C. Lechiche. Infectiologue CHRU Nîmes Dr B. Stephan. Pharmacienne ARS LR Dr JM Kinowski OMEDIT LR Comment? Recensement des référents en LR envoi par l ARS à chaque directeur d établissement de santé d une demande du nom de son référent ATB 100 établissements ayant fourni le nom d 1, 2 (ou 3 ) référents sur 135 établissements invitation des ces référents à la journée régionale par Mme la directrice de l ARS via les directions 3

4 Journée régionale des référents en antibiothérapie Où et Mardi quand 20 mai 2014 à partir? de 9 h 45 ARS Languedoc-Roussilon 1025 rue Henri Becquerel Parc Club du Millénaire MONTPELLIER Accueil des participants à partir de 9H45, autour d un café 10h - Accueil Dr Martine Aoustin, Directeur Général ARS LR 10h15 - Présentation des résultats de l évaluation des besoins et attentes et de la journée 10h30-12h15 - Travail en atelier (1 atelier au choix / 2 ; Préinscription nécessaire) Atelier 1 Atelier 2 Rôle du référent en antibiothérapie en pratique Formation et ressources des référents : quelles solutions en pratique? Repas libre 12h30-13h30 (cafétéria sur place, repas à la charge des participants) 13h30-15h15 - Travail en atelier (1 atelier au choix / 2 ; Préinscription nécessaire) Animateurs : Catherine Lechiche, Gilles Benistand Animateurs : David Morquin, Thibaut Fraisse Atelier 3 Atelier 4 Maîtrise de l émergence des BMR : bon usage des antibiotiques et prévention de la transmission croisée Comment être convaincant? (ou convaincre)? Animateurs : Cécile Mourlan, Anne Lotthe Animateurs : Aurelia Eden, Pascal André 15h 15-17h - Retour en Plénière Points forts de chaque atelier 10 mn + Actualités-Mise au point («Best Of» sur le thème de l atelier 10 mn + 5 mn discussion) + Evaluation Comment? Inscription préalable aux ateliers Envoi d un pré-test basé sur celui réalisé à la journée nationale des référents en 2013 «besoins et attentes des référents» 65 inscrits 32 pré tests complétés 4

5 Les référents en Languedeoc Roussillon Qui sont ils? Pharmaciens : 1/3!!! (10% SPILF 2010) «Partage» Pharmaciens : petites structures Médecins cliniciens : structures de taille moyenne (SSR, Cliniques spécialisées, ) Infectiologues : CHG, CHRU Leur date de nomination : Avant 2002 et la 1ere référence en ATBtt : 1 Entre 2002 et 2013 : 21 Depuis fin 2013 (obligation aux CME) : 13 Souvent «d office» car déjà : Membre du CLIN : 22 (2/3) Membre du CAI : 23 Membres du CLUD : 5 5

6 Rôle des référents Selon le décret : Bon usage des ATB et mise en place d indicateurs de suivi Conseil diagnostique Conseil thérapeutique Rôle des référents Selon eux: Bon usage des ATB et mise en place d indicateurs de suivi : 16 (50%) Protocoles ATB : 19 (60%) Gestion des BMR, BLSE, EPC, : 17 (53%) Conseil thérapeutique : 15 (47%) Conseil diagnostique : 8 (1/4) 1/3 de non clinicien idée d un binôme référent pharmacien-clinicien 6

7 Points forts du travail de référent Travail transversal Aide apportée aux collègues ET aux patients ET à l établissement Points faibles : Manque de formation Nécessité +++ / Ateliers >> formations plus lourdes Manque de temps Manque de légitimité Propositions pour assoir sa reconnaissance Politique de bon usage des antibiotiques doit se décliner par service: Les demandeurs: service «pro» Les indifférents: service crescendo Les récalcitrants: service à la carte avec tentative d immersion détournée (exp HAA)!!» Dr Eden CH Perpignan 7

8 Freins Manque de formation (1/3 : DU, infectiologue : DESC, autre : RIEN) Manque de reconnaissance au niveau de l établissement ET financière (pour soi, pour des outils, pour de la formation) Nécessité d un réseau d aide Appel à un ami Où se renseigner? Infectiologues débordés! Conventions Gestion des BMR Moins de problème car souvent «double casquette» hygiéniste-référent ATB Problème principal : manque d information à l entrée du patient Rôle via la régulation des prescriptions ATB +++ 8

9 Post test Messages clefs Prévention de la transmission des BMR Dialoguer/Echanger/Collaborer Formation = nécessité Travail PLURIDISCIPLINAIRE En résumé de cette 1ere journée Echanges +++ entre les différents référents faisant ressortir Les différences Les difficultés Les besoins Aide Reconnaissance Formation 9

10 D où : 2 e journée des référents en Antibiothérapie du Languedoc Roussillon Le 21 Mai 2015 dans les locaux de l ARS à Montpellier Venez nombreux!!! 10

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