40 I Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique Financial Center, Abu Dhabi, UAE
|
|
- Odette Vincent
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 40 I Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique Financial Center, Abu Dhabi, UAE
2 4 Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique 4.1 Le verre et le rayonnement solaire Le verre se distingue par sa grande perméabilité au rayonnement dans le spectre solaire. Dans la pratique, le comportement spécifique en termes de rayonnement solaire est donc un élément distinctif important lorsque l on compare différents types de verre. Il s exprime sous la forme des caractéristiques du verre, qui sont des valeurs de comparaison physiques en matière de rayonnement. 4 Distribution spectrale du rayonnement solaire Type de rayonnement Plage de longueur d onde Part (énergétique) Rayons ultraviolets 320 à 380 nm env. 4% Rayons lumineux visibles 380 à 780 nm env. 45% Rayons infrarouges 780 à 3000 nm env. 51% Le rayonnement solaire peut atteindre 800 W/m 2 ou plus, en fonction de l angle de rayonnement, du lieu, de l heure et des conditions atmosphériques. 4.2 L effet de serre Le verre flotté se caractérise par une perméabilité (transmission) élevée du rayonnement solaire. Ainsi, la plus grande partie de l énergie solaire arrivant sur le vitrage est transmise à l intérieur par transmission directe. T: 6000 K Rayonnement extraterrestre λ = nm 1353 W/m W/m 2 Verre flotté 6 mm Atmosphère λ = 30 Rayonnement global Rayonnement transmis λ = nm 576 W/m T: 300 K Rayonnement secondaire 2 λ = 7000 nm Absorption Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique I 41
3 A l intérieur, le rayonnement solaire est absorbé par les murs, le sol et les personnes sous forme de chaleur. Cette énergie absorbée est alors retransmise en tant que rayonnement infrarouge à ondes longues. Comme le verre est pratiquement imperméable à ce genre de rayonnement, la température du local augmente, car l énergie ne cesse de pénétrer depuis l extérieur sans qu il y ait une évacuation suffisante vers l extérieur. Le principal facteur responsable de l effet de serre est la différence de perméabilité (transmission) du verre flotté pour les rayonnements à ondes courtes et à ondes longues. 4.3 Comportement en présence d un rayonnement Expressions importantes liées aux verres de protection solaire (caractéristiques physiques): Transmission, réflexion et absorption En matière de verres de protection solaire, trois termes (correspondant à trois valeurs clés) sont particulièrement importants. Réflexion renvoi des rayons solaires. Effet miroir. Transmission passage des rayons solaires. Absorption retenue des rayons solaires. Surfaces foncées. Réflexion Transmission Absorption Le verre en tant que matériau ne présente aucune de ces propriétés à l état pur. Tout verre laisse passer une certaine quantité de rayons (transmission), en retient une partie (absorption) et en renvoie également une certaine quantité (réflexion). La somme des parties réfléchies, absorbées et transmises est systématiquement égale à 100%. On distingue la lumière (partie visible du spectre, 380 à 780 nm) et le spectre solaire complet (320 à 3000 nm). Les caractéristiques physiques sont également définies en conséquence. 100% UV visible infrarouge 100% UV visible infrarouge 90% 80% Energie totale 90% 80% Lumière 70% 70% 60% 60% 50% 50% 40% 30% 40% 30% 20% 20% 10% 10% 0% 0% Longueur d onde en nm Longueur d onde en nm 42 I Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique
4 Energie (largeur totale du spectre) Lumière (partie visible du spectre) Transmission Transmission du rayonnement Transmission de la lumière Réflexion Réflexion du rayonnement Réflexion de la lumière Absorption Absorption du rayonnement Absorption de la lumière 100% Transmission Réflexion Rayonnement et convexion Rayonnement et convexion Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique I 43
5 4.4 Valeurs caractéristiques du verre Les valeurs caractéristiques du verre sont des éléments importants pour déterminer les performances des vitrages et les distinguer les uns des autres. Elles peuvent être déterminées par une mesure, pour les verres simples comme pour les vitrages isolants complexes composés de plusieurs couches. Dans la pratique, ces caractéristiques sont cependant aujourd hui établies le plus souvent en suivant des procédures de calcul certifiées. La lumière et le verre Transmission de la lumière / taux de transmission lumineuse (TL) Le taux TL d un vitrage correspond à la proportion en pour-cent du rayonnement solaire dans la plage de lumière visible (380 à 780 nm) transmise de l extérieur vers l intérieur Absorption de la lumière / taux d absorption lumineuse (AL) Le taux AL correspond à la proportion du rayonnement solaire dans la plage de lumière visible (380 à 780 nm) absorbée par le vitrage. L absorption de la lumière est une valeur caractéristique moins utilisée que les autres Réflexion de la lumière / taux de réflexion lumineuse (RL) Le taux RL exprime la proportion en pour-cent du rayonnement solaire dans la plage de lumière visible (380 à 780 nm) réfléchie par le vitrage. L énergie totale et le verre Transmission du rayonnement / taux de transmission énergétique directe (TED) Le taux de transmission énergétique désigne la proportion du rayonnement de l ensemble du spectre solaire susceptible de traverser le vitrage Absorption du rayonnement / taux d absorption énergétique (AE) Le taux d absorption énergétique exprime la proportion du rayonnement de l ensemble du spectre solaire absorbée par le vitrage Réflexion du rayonnement / taux de réflexion énergétique (RE) Le taux de réflexion énergétique exprime la proportion du rayonnement de l ensemble du spectre solaire réfléchie directement vers l extérieur par le vitrage. 44 I Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique
6 Transmission secondaire de chaleur La part de rayonnement absorbée par le vitrage est rejetée sous la forme d un rayonnement infrarouge (ondes longues). Ce phénomène est aussi désigné par transmission énergétique secondaire qui, en règle générale, se subdivise en deux parties égales (transmission secondaire de chaleur vers l extérieur et transmission secondaire de chaleur vers l intérieur). Transmission secondaire de chaleur vers l extérieur Qa Transmission secondaire de chaleur vers l intérieur Qi Transmission énergétique globale / facteur solaire (g) Le facteur solaire (g) exprime la transmission énergétique globale, c est-à-dire le résultat obtenu par addition de la transmission énergétique directe (TED) et de la transmission secondaire de chaleur vers l intérieur (Qi). TED + Qi = g TED Avec le coefficient U, le facteur solaire est la valeur caractéristique la plus importante pour les vitrages. Il indique la quantité d énergie solaire provenant de l extérieur qui finit par pénétrer dans les pièces intérieures d un bâtiment. Pour obtenir une exploitation passive optimale de l énergie solaire, le facteur g doit être le plus élevé possible. Pour une protection maximale contre le rayonnement solaire, il doit être le plus faible possible. Qi Coefficient d ombre Le coefficient d ombre est une valeur caractéristique dérivée du facteur solaire (g). Deux calculs sont possibles : Coefficient d ombre = facteur solaire g : 0,80 (utilisable en Allemagne) Coefficient d ombre = facteur solaire g : 0,87 (utilisable en Angleterre et aux États-Unis) Le coefficient d ombre est conçu pour comparer l effet produit par l ombre sur un vitrage avec l effet produit par l ombre sur un double vitrage isolant usuel non revêtu (facteur solaire g = 0,80) ou sur un verre simple flotté de 6 mm d épaisseur (facteur solaire g = 0,87). Souvent, les directives applicables au calcul des charges de refroidissement ne se basent pas sur le facteur solaire g, mais sur le coefficient d ombre. Afin d éviter les malentendus, il est dans tous les cas recommandé de définir précisément les bases de calcul lors de l indication des coefficients d ombre. Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique I 45
7 4.4.9 Indice de sélectivité L indice de sélectivité représente le rapport entre le taux de transmission lumineuse et le facteur solaire. Indice de sélectivité = taux de transmission lumineuse facteur solaire L indice de sélectivité est particulièrement important pour les vitrages de protection solaire. Un indice de sélectivité élevé (>1,5) est synonyme d une bonne protection solaire, tout en permettant une bonne luminosité naturelle. Exemple SILVERSTAR SUPERSELEKT 60/27 T : transmission lumineuse = 60%, facteur solaire = 27% Indice de sélectivité = 2, Indice de rendu des couleurs général (R a ) L indice de rendu des couleurs général permet d évaluer le niveau de modification de la lumière dû à un vitrage, c est-à-dire l influence de ce dernier sur la perception des couleurs (8 tons normalisés différents sont évalués). Plus l indice de rendu des couleurs est élevé, moins les couleurs sont modifiées par le vitrage. Un indice de rendu des couleurs de 95 à 100 est synonyme de très faibles modifications des couleurs. Un indice de 90 à 95 est lui synonyme de faibles modifications des couleurs. L indice de rendu des couleurs peut être un critère de choix décisif pour les musées, les galeries d art ainsi que les activités artisanales et commerciales pour lesquelles les couleurs jouent un rôle important Transmission des UV En règle générale, la transmission des UV par les verres de protection solaire subit une réduction proportionnelle au facteur solaire g. Une possibilité de protection supplémentaire contre les UV consiste à placer un film absorbant dans un verre feuilleté de sécurité. Cela permet de réduire considérablement le rayonnement UV. A partir de 380 nm, les rayons photochimiques deviennent très actifs, ce qui peut altérer les couleurs. Il faut être particulièrement prudent à partir de 600 m d altitude lorsqu il s agit de choisir des vitrages pour des vitrines, des musées ou autres. 4.5 Le coefficient U Le coefficient de transmission thermique (coefficient U) est une unité de mesure permettant de connaître la déperdition thermique au niveau d un élément de construction. Il exprime la quantité de chaleur passant à travers une surface de 1 m 2 pendant une unité de temps en présence d une différence de température de 1 kelvin. Plus la valeur du coefficient U est faible, plus la déperdition de chaleur vers l extérieur est limitée, ce qui se traduit par une réduction sensible de la consommation d énergie. 46 I Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique
8 Pour les vitrages isolants, le coefficient U (désigné par la formule Ug selon la norme de contrôle SN EN 674) est la valeur caractéristique la plus importante. Dans la pratique, il est possible de déterminer avec précision la valeur Ug pour chaque composition de vitrage isolant en utilisant une procédure de calcul certifiée. Il convient de noter que la valeur Ug ne s applique qu à la zone dite «non perturbée», c est-àdire hors influence de la zone de bord (dans laquelle le flux thermique est significativement plus élevé). L assemblage périphérique est donc non significatif pour la valeur Ug. Il n entre en ligne de compte que pour le calcul du coefficient U pour l ensemble de la fenêtre, comprenant le verre et le cadre de la fenêtre. Ce coefficient global correspond à la valeur U w. Grâce à des revêtements isolants de grande efficacité, les vitrages isolants SILVERSTAR atteignent des valeurs Ug allant jusqu à 0,4 W/m 2 K. Cela correspond à l isolation d une paroi en bois d au moins 25 cm d épaisseur. Dans le verre isolant, le transport de chaleur et d énergie se fait de trois façons différentes : par conduction, à travers les différents verres et à travers le gaz ou l air présent dans les espaces intercalaires ; par convexion, en raison du gaz ou de l air se déplaçant dans les espaces intercalaires ; par rayonnement, via la dissipation de chaleur (rayonnement infrarouge à ondes longues) au niveau de la surface du verre. C est le rayonnement de chaleur qui contribue le plus à la déperdition de chaleur (env. deuxtiers). Grâce à des revêtements isolants extrêmement fins et pratiquement invisibles, il est possible d améliorer de manière significative le niveau d isolation thermique. Revêtement isolant Conduction Conduction 33% 33% Convexion Convexion Rayonnement 67% Rayonnement 7% Transport d énergie dans le verre isolant sans revêtement isolant Transport d énergie dans le verre isolant avec revêtement isolant Caractéristiques du verre et expressions clés du domaine de la physique I 47
Rayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailollection Films professionnels pour vitrages auto. Collection.
ollection Films professionnels pour vitrages auto. Collection. 1.1 1.2 1.3 1.4 Caractéristiques techniques EspritSeries a b ATC 05 CH SR HPR ATC 15 CH SR HPR ATC 35 CH SR HPR ATC 50 CH SR HPR EspritCharcoal05
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailCoulissant. Confort 160 : le coulissant très grandes dimensions. Sapa Building System
Coulissant Confort 160 : le coulissant très grandes dimensions Sapa Building System Confort 160 : le coulissant très grandes dimensions Avec un design judicieusement élaboré, Confort 160 est un système
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailVII. TABLEAUX RÉCAPITULATIFS DES PERFORMANCES. 1 Introduction 542 2 Tableaux récapitulatifs 544
VII. TABLEAUX RÉCAPITULATIFS DES PERFORMANCES 1 Introduction 542 2 Tableaux récapitulatifs 544 2.1 Planibel clair, Clearvision, Linea Azzurra 545 2.2 Planibel coloré 546 2.3 Thermobel 546 2.4 Thermobel
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailOrigines. Données techniques 0104
vitrages hautes performances Origines Données techniques 0104 Demande de documentation INTERPANE Vitrage France Mégazone de Moselle Est Parc d'activité de Farébersviller F 57455 Seingbouse Tél: +33 (0)
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailSECURITE CERTIFIEE! a ces 3 criteres : Stabilite Etancheite aux flammes Isolation thermique
SECURITE CERTIFIEE! J Le feu et surtout Ia fumee se propagent de maniere verticale et horizontals le long de toutes les ouvertures disponibles. Afin de contrer ce phenomena, les batiments sont divises
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailZone Région de Bruxelles Capitale
Objet Zone Au Fédéral Région Wallonne Région de Bruxelles Capitale Région Flamande Audit énergétique Thermographie infrarouge Pour audit énergétique (auditeur agréé PAE1 ou 2) dans habitation existante,
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailGAMME UVILINE 9100 & 9400
GAMME UVILINE 9100 & 9400 SPECTROPHOTOMÈTRES UV & VISIBLE NOUVEAU Sipper avec effet peltier Une combinaison intelligente d innovations EXCELLENTE PRÉCISION DE MESURE GRÂCE À UNE OPTIQUE HAUT DE GAMME Gain
Plus en détailde l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur
de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailRt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats
6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.
Plus en détailNOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL
1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers
Plus en détailConseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w
Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailCentre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique
Plus en détailGUIDE DE CHOIX DES VITRAGES
GUIDE DE CHOIX DES VITRAGES Façade Aménagement Décoration SAINT-GOBAIN GLASS CLIMAT VITRAGES POUR LA FAÇADE Transmission lumineuse (TL) Réflexion lumineuse extérieure (RL ext ) Facteur solaire (g) 100
Plus en détailAide de calculation en construction métallique
Index Aide de calculation en construction métallique Index 1 Balustrade CAN (chap. articles principaux) 1.1 Balustrade avec barreaudage 334 800, 612 500 1.2 Balustrade avec traverse 334 800 1.3 Balustrade
Plus en détailListe et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE
À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique
Plus en détailGAMME UviLine 9100 & 9400
Agro-alimentaire/Biotechnologie/Enseignement/Recherche/Santé/Industrie GAMME UviLine 9100 & 9400 Spectrophotomètres UV & Visible Une combinaison intelligente d innovations n Excellente précision de mesure
Plus en détailCassettes. flexible building. sustainable thinking.
Cassettes flexible building. sustainable thinking. flexible building. sustainable thinking. ALUFORM se met au vert : investir et bâtir en étant responsable pour l avenir Aujourd hui plus que jamais avec
Plus en détailRetour d expérience, portage de code Promes dans le cadre de l appel à projets CAPS-GENCI
, portage de code Promes dans le cadre de l appel à projets CAPS-GENCI PROMES (UPR 8521 CNRS) Université de Perpignan France 29 juin 2011 1 Contexte 2 3 4 Sommaire Contexte 1 Contexte 2 3 4 Laboratoire
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailPRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240
I.N.S.. DE ROUEN Laboratoire de Chimie nalytique U.V. N PRISE EN MIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMDZU U.V. 240. OBJECTIFS - Choix des paramètres nécessaires pour un tracé de spectre. - Utilisation
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailNous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle
Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle 2009 NADICO Ltd. Germany www.nadico.de Le revêtement Titan Effect TE1022 améliorer la rentabilité des installations solaires
Plus en détailFluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation
Fluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation Auteurs_ Pr. Irina K. Lutskaya, Dr Natalia V. Novak & Valery P. Kavetsky, République de Biélorussie Fig. 1 Fig. 2 Fig. 1_Revêtements
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailCe dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.
FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même
Plus en détailROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite. Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0
ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0 Nouvelle solution eau chaude solaire auto-vidangeable estampillée NF CESI et Bleu Ciel
Plus en détailTABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE
TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface
Plus en détailLA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE
GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER
Plus en détailMultivac Vision System (MVS) : Détection visuelle d objets et inspection qualité. * Le meilleur de l emballage
Multivac Vision System (MVS) : Détection visuelle d objets et inspection qualité * * Le meilleur de l emballage MVS Composants Domaines d application Données techniques Automatisation efficace de la production
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailEtude et amélioration du comportement thermique d une habitation
Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailProtection thermique d été. Facteurs d influence et méthodologie de planification.
Protection thermique d été. Facteurs d influence et méthodologie de planification. La protection thermique d été prend de l importance. L homme a pris conscience que notre train de vie actuel est en partie
Plus en détailLe marquage CE est avant tout un principe de protection du consommateur
Le marquage CE est avant tout un principe de protection du consommateur il ne faut pas le confondre avec les différentes obligations : les justificatifs pour crédits d impôts et pour les marchés publics
Plus en détail1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01
Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)
Plus en détailAide de calculation en construction métallique
Index Aide de calculation en construction métallique Index 1 Balustrade 1.1 Balustrade avec barreaudage 1.2 Balustrade avec traverse 1.3 Balustrade avec câble inox 1.4 Balustrade avec remplissage en verre
Plus en détailBundesdruckerei Berlin
Europaisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets @ Numéro de publication : 0 359 622 A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (S) Numéro de dépôt: 89402410.8 @ Date de dépôt: 05.09.89 (g)
Plus en détailMONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort
MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort www.monier.be MONIER systèmes d isolation de toiture à l extérieur Savez-vous que
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailManuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/A-) ECO
Version: Mars 2014 Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/-) ECO 1. Introduction e présent document permet de calculer facilement le degré de lumière naturelle pour la demande Minergie-Eco.
Plus en détailInformation Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower
Information Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower On parle de «derating» en température lorsque l onduleur réduit sa puissance afin de protéger les composants contre toute
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailCERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE
Rue Knapen 11 100 SCHAERBEEK Superficie brute: 242 m² 1 Performance énergétique du bâtiment Très économe
Plus en détailEcole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009
Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailComparaison des performances d'éclairages
Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence
Plus en détaili.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL
i.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL voitures / desktop à technologie NCCO FR Modèle: WS908 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIERES Informations Importantes
Plus en détailSoumise à l effet du vent, à la différence
CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux
Plus en détailPage : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :
Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification
Plus en détailSOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup
SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailQUIZ 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ
QUIZ? 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ Testez vos enfants 10 questions pour jouer avec vos enfants 2. Nous sommes tous sensibles au soleil. VRAI! Le soleil est dangereux pour
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailDouche Couture :Xetis révolutionne l architecture de la salle de bains
Douche Couture :Xetis révolutionne l architecture de la salle de bains Le receveur de douche émaillé à écoulement mural intégré de Kaldewei pose de nouveaux jalons dans l agencement de salle de bain moderne
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détailRC System - Elegance 52 Façades et verrières. Sapa Building System
RC System - Elegance 52 Façades et verrières Sapa Building System Elegance 52 Façades & verrières Elegance 52 est un mur-rideau aux multiples applications qui combine, d une part, technologie et modernité,
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailLes enjeux. 20 % de déperditions d énergie en moins l hiver* L enjeu «Énergie» L enjeu «Lumière»
Les enjeux L enjeu «Énergie» 20 % de déperditions d énergie en moins l hiver (par rapport à une fenêtre Tout Confort 2012)*. 2 fois moins de déperditions d énergie en remplacement d une fenêtre de plus
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailLes stations météo Vantage Pro2.
Les stations météo Vantage Pro2. La précision et la grande variété des mesures à un prix abordable par tous. Nos stations météo Vantage Pro sont de très bonne qualité, polyvalentes et évolutives. Elles
Plus en détailMini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB
Mini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB Dossier de conception 1/21 1. PRESENTATION GENERALE DU MINI PROJET 1.1 Contexte de l étude Situation existante avec un problème. Présentation de l objectif
Plus en détailFormation Bâtiment Durable :
Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et
Plus en détail