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1 MASTER Les pensées du projet L ARCHITECTURE COMME DISCIPLINE

2 EQUIPE ENSEIGNANTE Christian Blachot ingénieur, responsable de l équipe Patrick Chedal-Anglay Charles Chifflet Anne Coste -historienne Guy Depollier Dominique Putz Cedric Roze Mathieu Grenier Catherine Romeyer Juliette Pommier Stephane Sadoux 1

3 L architecture est toujours l expression spatiale d une decision intellectuelle Miss Van Der Rohe Présentation générale 2 Cette option vise la formation d s capables d assumer l ensemble des responsabilités (culturelles et techniques) liées aux missions de maîtrise d œuvre architecturales : c est-à-dire capables de comprendre les enjeux et les dynamiques en œuvre dans la transformation des territoires contemporains, et capables de s impliquer effectivement dans la conception et la réalisation des constructions, de toutes natures, qui participent à cette transformation, voire la déterminent. Elle solidarise les enseignants sur un centrage disciplinaire fort (à l origine de son nom) qui met le projet au cœur des enseignements comme objectif premier de la formation, mais aussi comme mode privilégié d apprentissage de l architecture : outil d analyse et d expérimentation tout autant qu objet de connaissance, de recherche et de théorisation. Nous pensons qu il y a un statut singulier de l activité architecturale, toujours entre le penser et le faire ( ou plutôt toujours les deux à la fois ) où théorie et pratique ne sont pas dissociables. C est pourquoi l équipe enseignante est réunie par une même volonté, voire nécessité : - de soutenir en master une pratique du projet où l expérimentation ( hypothèses, vérification mais aussi hasards ou imprévisibilité du «faire») est une voie privilégiée. - de constituer des savoirs partagés et communicables quant aux «matériaux» que le projet réunit, visant leur identification et leur explicitation. Cet ancrage disciplinaire nous apparaît comme une nécessité pour au moins trois raisons : - prévenir le risque d une séparation de plus en plus marquée entre savoir théoriques et pratiques. - contribuer à l élaboration de ce qui nous apparaît largement absent dans le paysage dominant des recherches «architecturales» ( différence entre des recherches sur l architecture et des recherches en architecture ) - favoriser les échanges avec d autres disciplines qui peuvent ainsi rester garantes, elles aussi, de leur propre cohérence disciplinaire. Elle tient fondamentalement aux spécificités du projet d architecture qui consiste à réunir des éléments totalement hétérogènes pour produire une forme cohérente ( une unité, même fragmentée ou paradoxale ) : ainsi, il s agit d un travail de composition ( c est-à-dire d assemblage, de mise en relation d éléments pour engendrer un tout ), mais caractérisé par le fait que les éléments n existent pas a priori; ils doivent d abord être pensés, transformés, en matériaux d architecture, ce qui nécessite jugement critique, hiérarchisation, prise de position. C est ce qui fait que dans une œuvre architecturale, tout doit avoir une raison d être ainsi et que l aboutissement d un projet architectural peut se mesurer à l aune de sa résistance à la transformation ; c est aussi pourquoi ces «raisons», qui donnent à l œuvre sa cohérence d ensemble, même si elles ne sont pas uniquement rationnelles ( le processus de conception n est pas strictement déductif ), doivent pouvoir être pour l essentiel explicitées ( argumentées ) ou révélées par l analyse, et soumises au débat critique. 3

4 TABLEAU DES ENSEIGNEMENTS 1 ère année du master (4 ème année) studio 1 : Formes d habiter Responsable : D. CHAPUIS Il s agit de faire projeter les étudiants sur le logement, d une manière théorique et exploratoire pour les confronter ensuite aux multiples échelles que celui-ci implique lorsqu on le situe dans un contexte. Comment l on transpose le «désir d habiter» dans un dispositif architectural qui devra être convaincant. Comment le logement collectif, de par sa nécessaire répétition peut et doit produire de la qualité. Comment le lieu peut avoir une influence sur le logement et comment un projet de logements peur avoir une influence sur le lieu. séminaire 1 : Les «matériaux» du projet Responsable : A. COSTE, D. CHAPUIS Ce séminaire contribue à une explication des «matériaux» de l architecture en proposant un panel d interventions sur des problématiques projectuelles liées à la question de l habitat. et du logement. Il contribuera à construire une pensée théorique sur la «représentation-conception» autour de l habiter. -Typologie du logement /morphologie urbaine -Rapports structure/espace -Les figures de l habiter -Les matériaux comme expression du projet Plusieurs séances prises en charge par Anne Coste seront consacrées à une approche épistémologique de la discipline architecturale et une initiation à la méthodologie de la recherche 1 er semestre 2 e semestre 1 er semestre 2 e semestre studio 2 : Edifice et territoire studio 3 : Thème, lieu, projet Projet de Fin d Etudes Responsable : D. CHAPUIS Responsable : D. CHAPUIS Responsable : G. DEPOLLIER L objectif de ce studio est de montrer quelles peuvent Sur un territoire suffisamment large pour offrir une être les différentes attitudes et prises de po- grande diversité de situations de projet, chaque sition dans un territoire lors de la conception d un étudiant s engage dans un travail permettant d explorer, équipement. Il s agit de faire travailler l étudiant par le projet architectural et urbain, les sur les rapports très subtils que le projet peut établir connivences qui peuvent s établir entre un site, avec le lieu dans sa dimension géographique, des modèles ou références, des typologies et des topographique, historique et paysagère. programmes. séminaire 2 : Modèles, figures, références Responsable : A. COSTE Ce séminaire est construit autour des recherches du Collectif de recherche architecturale de l EN- SAG. Il vise la formation à la recherche des étudiants par la réalisation de travaux privilégiant un ancrage fort dans les problématiques et méthodes spécifiques à la discipline architecturale. Le travail des étudiants se conclut par la soutenance d un mémoire qui constitue la séance de clôture du séminaire. 2 ème année du master (5 ème année) séminaire 3 : Les pensées du projet Responsable : A. COSTE Ce séminaire est construit autour des expérimentations menées par les étudiants dans le studio 3. Il s agit prioritairement d interroger les rapports existant entre les caractères spécifiques et génériques de tout territoire de projet ( à la fois ici et ailleurs ), soit une autre manière d interroger la question de la référence ( origine, utilisation, pertinence ). L objectif de ce séminaire est aussi d aider l étudiant dans la préparation de son mémoire de PFE. Le P.F.E. doit permettre à chaque étudiant, sur les bases du travail réalisé au 1er semestre, d affirmer ses positions et thématiques privilégiées. Les pistes de travail ( explorations nouvelles ou approfondissement ) comme les échelles et modes de représentation adoptés pour la soutenance sont donc volontairement laissés ouverts. L étudiant doit démontrer sa capacité à établir un lien explicite et théorisé entre les caractéristiques formelles de son projet et un territoire d intervention défini comme une forme historique. Mention Recherche Responsable : A. COSTE Optionnelle et soutenue en septembre après validation du projet en juillet, la mention recherche sanctionne un développement théorique et projectuel (expérimental) contribuant à une critique systématique de la notion de référence en architecture. 4 5

5 Formes d habiter - Le logement et la ville MASTER 1 Studio 1 Séminaire 1 Studio 2 Séminaire 2 MASTER 2 Studio 3 Séminaire 3 Projet de fin d études, responsable de l équipe 6 «Désir d habiter» _ Il s agit de se plonger d emblée dans une phase individuelle de conception théorique : Dans un temps relativement court, chaque étudiant doit projeter son «logement familial idéal» avec pour seule contrainte,mais cependant non négligeable, que celui-ci puisse se développer dans un tissu horizontal ou vertical. L objectif est de mettre l étudiant dans une situation projectuelle d habitat collectif en partant de la cellule familiale, et non l inverse. Il s agit ensuite de confronter cette liberté d expression formelle personnelle de l unité d habitation à l idée de fabrication d un tissu par la répétition de cette unité.on s attachera à mettre en évidence comment cette répétition doit contribuer à produire de la qualité architecturale. Ce travail se fera uniquement sous forme de maquette en volumes. «Thème et dispositif» _ Analyse collective des différentes propositions de «logement idéal» et regroupement de celles-ci par familles et par «thèmes». A ce moment sont proposées aux étudiants une série de références en fonction des «thèmes» mis en œuvre. Ils devront reconstruire ces références par l analyse, essentiellement sous forme de maquettes. Celles-ci serviront à confirmer ou réorienter les esquisses produites en première phase. Ce moment important servira de base au développement du projet non plus seulement comme «logement idéal»,mais comme dispositif et système d habitat théorique «Les données du site» _ Cette phase peut commencer en synergie avec la phase précédente. Elle consiste à se nourrir des données du site, et développer son projet en intelligence avec celui-ci. Il s agit pour l étudiant d en transformer les conditions actuelles par la mise en œuvre du système d habitat qu il a projeté. Le choix de l implantation servira plus à illustrer et mettre en valeur les rapport qui peuvent s établir entre «l habitat» et son environnement,plutôt que de résoudre une problématique urbaine complexe. L attendu au final étant de nous donner envie d habiter et de nous projeter dans les différentes propositions qui seront,bien sur,en intelligence avec le site. 7

6 les «matériaux» du projet de l idée à la forme MASTER 1 Studio 1 Séminaire 1 Studio 2 Séminaire 2 MASTER 2 Studio 3 Séminaire 3 Christian Blachot ingénieur, responsable de l équipe Patrick Chedal-Anglay Anne Coste -historienne Guy Depollier Gabriel Ducroq Juliette Pommier Dominique Putz 8 Projet de fin d études Le séminaire organise de façon progressive et coordonnée avec le M1A, une explication des «matériaux» de l architecture en développant les problématiques projectuelles liées à la question de l habitat. D autre part, il s agit de revenir sur l ensemble des thèmes qui sous tendent toute démarche de projet, en dépassant un premier niveau qui peut les considérer comme des outils à connaître et à utiliser au profit d un deuxième niveau qui les saisit comme moyen d interroger la pensée du projet. Le séminaire s attachera ainsi à construire une pensée théorique sur le thème double et ouvert de la «représentation-conception autour de l habiter». C est-à-dire qu il propose une suite de cours personnalisés abordant la problématique de «le représentation comme pensée du projet» d une part, ainsi qu une réflexion sur les «éléments de composition» liés à la conception d un projet d habitat d autre part. D une manière générale, il s agit d organiser un cours abordant des éléments de réflexion sur la conception du projet et sa complexité. Comment passer de l idée à la forme. Il s agit de prendre conscience que la composition et les dualités qu elle doit réunir sont la question même de toute démarche projectuelle. Certaines séances seront consacrées à l introduction de notions et de méthodes, préalable à la préparation du mémoire au semestre suivant. Elles se répartiront entre éléments épistémologiques (discipline, concepts, méthodes) ainsi qu à l élaboration collective d une bibliographie spécifique à la problématique de l équipe (L architecture comme discipline) et d un corpus lié aux questions traitées en studio (Formes d habiter). 9

7 Edifice et territoire le projet, entre histoire et paysage MASTER 1 Studio 1 Séminaire 1 Studio 2 Séminaire 2 MASTER 2 Studio 3 Séminaire 3 Projet de fin d études, responsable de l équipe L objectif de cette unité d enseignement est d amener les étudiants à projeter en prenant en compte l ensemble des matériaux de l architecture, prendre position sur la ville et le territoire, s inscrire dans une continuité architecturale (ou une rupture), argumenter leur projet en s appuyant sur des connaissances et des références, une culture au sens large. Dans le cadre de cette thématique, l idée est de montrer quelles peuvent être les différentes attitudes et prises de position dans un territoire lors de la conception d un équipement. Il s agit de faire travailler l étudiant sur les rapports très subtils que le projet peut établir avec le lieu dans sa dimension géographique, topographique, historique et paysagère. L étudiant devra investir le site avec tous les outils de prédilection de l : dessin, maquette, croquis, photos etc Cet investissement se fera à la fois de manière collective et individuelle. Il sera la nourriture essentielle à sa future prise de position. Le but de cette approche est d amener chaque étudiant à développer sa capacité de lecture et d interprétation critique d un site. A partir d un programme d équipement, établir la règle architecturale qu il faudra appliquer sur le site pour affirmer ses potentialités. Définir le dispositif architectural d aménagement qui rendra lisible la prise de position dans le site et sa transformation. Développer un projet en cohérence avec cette prise de position

8 Le séminaire a pour objectif l initiation des étudiants aux méthodes et objets spécifiques à la recherche architecturale, c est à dire une recherche centrée sur le projet d architecture. Il s agissait à l origine de montrer que les problématiques architecturales échappent pour l essentiel aux approches périphériques et à leurs cadrages «académiques» et doivent faire l objet d approches spécifiques ayant une visée opératoire pour le projet d architecture. Modèles, figures, références MASTER 1 Studio 1 Séminaire 1 Studio 2 Séminaire 2 MASTER 2 Studio 3 Séminaire 3 Projet de fin d études Christian Blachot ingénieur Patrick Chedal-Anglay Anne Coste -historienne L originalité de notre positionnement est de nous appuyer, quelle que soit la nature des questions que nous abordons, sur une double dynamique fondamentale : - la première est de ne s attacher qu aux caractéristiques formelles des objets étudiés ; ceci suppose une capacité à les reconnaître qui, elle-même, mobilise une double compétence : une culture des types, conventions, règles et modèles qui fondent le processus d identification/différenciation de tout édifice ; une pensée architecturale des éléments de la composition que l analyse va dissocier à partir de catégories qui sont propres au projet. - la deuxième consiste à projeter effectivement, pour mieux comprendre certaines caractéristiques des objets étudiés : qu il s agisse de tenter de mieux comprendre les caractéristiques essentielles «cachées» d un bâtiment en le soumettant à des transformations expérimentales, ou qu il s agisse de confronter une référence à un autre site (ce qui permet aussi de révéler certaines caractéristiques du site), à un autre programme, etc.. La liste des pistes et des méthodes est ici quasi infinie. Guy Depollier Juliette Pommier Dominique Putz 12 Précisément, il s agit d une recherche qui à la fois s appuie sur les compétences particulières d un (projeter) et à la fois vise la constitution d outils pour le projet. C est pourquoi la question de la référence y est centrale, par la double affirmation qu elle contient de fait : son lien absolu avec les questions de l analyse et de la critique ; sa dimension opératoire dans le projet et pour l expérimentation. Après une présentation par les enseignants des travaux de recherche qu ils dirigent, les étudiants développent un travail spécifique s inscrivant directement dans l une de ces problématiques. Ce travail se conclut par la rédaction et la soutenance d un mémoire qui a aussi vocation à fournir le ou les thèmes d expérimentation privilégiés pour l année suivante. «Echelle domestique / Echelle territoriale, motif et répétition : le cas des trois tours de Grenoble», 2008 Florence BALESTRIERI, Mariette DUPARC Directeur de mémoire : Marie-Astrid CREPS «(Re)visite de «Architecture sans s» de Bernard Rudofsky», 2007 Mathieu CHOGNARD, Gang LIU Directeur de mémoire : Dominique CHAPUIS «L expression de la forme architecturale à travers la lumière naturelle», 2007 Alexis BALLANSAT, Hakan BUYUKCOLAK, Thomas MANIAQUE Directeur de mémoire : : Guy DEPOLLIER 13

9 Thème, SITE, projet MASTER 1 Studio 1 Séminaire 1 Studio 2 Séminaire 2 MASTER 2 Studio 3 Séminaire 3 Projet de fin d études Enseignants du studio :, responsable de l équipe Guy Depollier Equipe enseignante : Christian Blachot ingénieur Patrick Chedal-Anglay Charles Chifflet Dominique Putz 14 Il est bon de rappeler que le studio du semestre est indissociable du séminaire qui lui est rattaché. Cet atelier semestriel va s aborder de deux mani eres : Un thème, un site, un projet : Dans la suite logique du séminaire de 4e année et de ses apports théoriques, dans lesquels chaque étudiant a pu esquisser, voire développer un ou plusieurs thèmes de recherche liés au propos théorique globalisé sous l intitulé «modèles,figures, références», l étudiant va commencer par projeter ex situ à partir du thème sur lequel il voudrait travailler. Il s agit d un travail assez théorique, mais un vrai travail de recherche par le projet. C est un travail expérimental, sans considérations programmatiques précises à priori. Un développement continu de recherche formelle sur un dispositif architectural, une figure ou une typologie sans aboutissement prédéterminé autre que celui de montrer et de mettre en évidence l évolution d une idée architecturale que l on veut mettre en œuvre. Un site, un thème, un projet : Très rapidement après son expérimentation architecturale, l étudiant prend connaissance du site sur lequel il va pouvoir confronter ses «manipulations formelles».l atelier choisit un site (territoire» suffisamment large pour offrir des occasions très diverses de projets.apres une présentation des éléments de compréhension du site, chaque étudiant va pouvoir choisir un lieu d intervention. Ce lieu d intervention va lui permettre soit d étayer sa recherche par un site qui va lui servir de faire valoir, soit lui permettre d orienter ou de réorienter rapidement son expérimentation sur un lieu réel. Dans ce cas l étudiant est invité à relier le plus possible son thème de travail avec le lieu précis qu il choisit, tenant compte de ses caractéristiques. Une attention particulière est portée aux qualités du lieu et à aux potentialités projectuelles qu il suscite. L expérimentation architecturale, ainsi située, devrait logiquement se poursuivre dans une exploration progressive de dispositifs architecturaux déjà mis en œuvre de manière théorique et en cohérence avec une prise de position pertinente sur le lieu. Dans cette phase, au travers de cette prise de position, c est l exploration des possibles et de ses limites qui nous intéresse, et qui doit déboucher vers le travail et les hypothèses du PFE. De préférence à un projet abouti, nous privilégions l exploration des possibles et l ouverture ( repérage des thèmes, pistes, alternatives ) et nous insistons sur la nécessité d articuler en permanence théorisation et projétation: une «pratique théorique» du projet qui engage l étudiant dans un processus d expérimentation par le projet architectural et urbain. Un processus a priori sans fin, uniquement limité par la nécessité d aboutir, dans le temps d un semestre, à une proposition présentable et argumentable. La critique collective de fin de semestre s attache en priorité à définir les hypothèses de prolongement souhaitable ou possible vers le PFE. 15

10 Les pensées du projet MASTER 1 Studio 1 Séminaire 1 Studio 2 Séminaire 2 MASTER 2 Studio 3 Séminaire 3 Projet de fin d études Enseignants du studio : Christian Blachot Le séminaire de 5ème année a pour objectif l encadrement théorique des mémoires de PFE. Il ingénieur doit aider l étudiant à construire et expliciter les liens qu il s efforce d établir entre un mémoire de 4ème année visant à explorer, autour de la question de la référence en architecture, une, responsable de l équipe problématique spécifique au projet architectural et un site de projet en 5ème année considéré comme une forme historique en mutation. Patrick Chedal-Anglay Charles Chifflet Anne Coste -historienne Guy Depollier Dominique Putz 16 Entre le lieu réel et toutes ses dimensions ( géographiques, historiques, topographiques ) et le lieu «théorique» (ou lieu comme représentation) se joue la dialectique permanente de tout projet architectural entre le générique et le spécifique. C est sur cette dernière que peut se fonder un processus d expérimentation par le projet, prenant à la fois position quant au site particulier tout en en tirant matière, voire prétexte, à explorer une thématique qui le dépasse largement. Parce que cette dualité est complexe, parce qu il est a priori tout aussi pensable et légitime d engager un processus de projet en imposant une référence extérieure au lieu qu en réinterprétant les typologies existantes, puisque, en fin de compte, s établira forcément un équilibre ( une tension ) entre ces deux sources, il est clair que seul le débat critique autour des projets permet d en expliciter les «raisons» ( principe de cohérence ) et de fixer les limites de l expérimentation ( principe de pertinence ). C est le rôle de ce séminaire que d organiser une critique théorique des travaux en cours, collective et partagée, dans la perspective de la construction du PFE. Outre les apports méthodologiques et thématiques continus, le séminaire est structuré autour de trois temps forts qui se calent sur la progression des travaux : - présenter et argumenter une déclaration d intention de travail : c est-à-dire, ici, répondre précisément à la question de la provocation du lieu en termes de prise de position et d expérimentation. - soumettre à la critique une première étape du travail : faire le point sur une expérimentation en cours, sur une première évaluation des résultats en regard des attendus énoncés, sur les perspectives ( ouverture, resserrement, réorientation ) - défendre un travail de projet comme démonstration de la validité ( et des limites ) des hypothèses, positionnement, thèmes d où il tire ses caractéristiques formelles ( ses «raisons» ), et en conclure les fondements du PFE. 17

11 PROJET de FIN d ETUDES MASTER 1 Studio 1 Séminaire 1 Studio 2 Christian Blachot ingénieur Patrick Chedal-Anglay Charles Chifflet Guy Depollier Dominique Putz 18 Séminaire 2 MASTER 2 Le sujet des PFE est défini pour chaque étudiant lors de la critique finale des travaux du 1er semestre : le bilan des explorations est mis en discussion et permet de dégager les pistes de prolongement, soit par approfondissement de telle ou telle attitude, soit par réorientation autour d un nouveau thème apparemment plus riche ou plus pertinent. Une grande ouverture est laissée afin que le PFE soit aussi un travail personnel, à travers lequel chaque étudiant va pouvoir approfondir ses thèmes privilégiés dans le master, voire rejoindre une piste d expérimentation nouvelle : les thématiques et échelles de travail présentées lors de la soutenance des PFE, Studio 3 Séminaire 3 Projet de fin d études ainsi que les modes de représentation qu elles requièrent, seront ainsi assez différentes et pourront s enrichir de leur confrontation. Ce qui reste attendu de chaque étudiant lors de la soutenance du PFE est sa capacité à démontrer, par le projet, les rapports dialectiques établis avec le lieu considéré comme une forme historique en mutation : comment l un et l autre se nourrissent réciproquement, les cohérences programmatiques et typologiques qui en résultent, leurs incidences à l échelle constructive 19

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