Comparaisons 1 ers trimestres 2014 et 2015

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1 Comparaisons 1 ers trimestres 2014 et 2015 ENTREPRISES Créations d entreprises Liquidations judiciaires Crédits à l équipement Permis de construire de locaux Investissements des entreprises Chiffres d Affaires des entreprises COMMERCE EXTERIEUR Valeur des exportations EMPLOI CHOMAGE Emploi salarié (4 ème trim. 2014) Chômage MENAGES LOGEMENT Consommation des ménages Permis de construire (logements neufs) Crédits à l habitat Crédits à la consommation Immatriculations de voitures Allocataires du RSA TOURISME AGRICULTURE Animaux abattus Produits de la pêche Taux de satisfaction des professionnels du tourisme SYNTHESE En lien avec la progression de la consommation des ménages, la conjoncture économique du 1 er trimestre 2015 présente, en Côtes d Armor, de nombreux signes d embellie : hausse des investissements, reprise des exportations, recul des liquidations judiciaires des entreprises et progression des créations Egalement perçues au plan national, ces tendances encourageantes ne profitent pas encore à l emploi qui continue de se replier et la construction, au niveau des logements neufs mis en chantier, reste très mal orientée. Les données du Tableau de bord des Côtes d Armor sont actualisées aux dates suivantes : début pour les données du 1 er trimestre début embre pour les données du 2 ème trimestre début embre pour les données du 3 ème trimestre début pour les données du 4 ème trimestre. CAD Côtes d Armor Développement 1/15

2 ENTREPRISES EVOLUTIONS 1 ers trimestres Stabilité des Chiffres d Affaires + 1,5 % d entreprises créées - 34 % de liquidations judiciaires ACTIVITÉ DES ENTREPRISES Chiffres d affaires des entreprises (en %) Données des 1 ers trimestres de chaque année Source : Direction Départementale des Finances Publiques Créations d entreprises Données des 1 ers trimestres de chaque année + 6 % TVA déductible (investissements) + 0,5 points de crédits à l équipement + 15,8 % de m² de locaux autorisés CHIFFRE D AFFAIRES 5,729 milliards d de Chiffres d Affaires ont été larés par les entreprises costarmoricaines au cours du 1 er trimestre 2015, soit environ le même montant qu au 1 er trimestre 2014 (- 0,06 %). L évolution, à un an d intervalle, des 3 principaux secteurs d activité en termes de CA est contrastée : le commerce/réparation d automobiles et l agriculture sont en retrait (respectivement 2 % et 5 %) tandis que l industrie progresse de 2 %. A noter, le CA de la construction qui progresse de 10 % après avoir enregistré un retrait de l ordre de 5 % entre les 1 ers trimestres 2013/2014. CREATIONS ET DEPOTS DE BILAN 874 entreprises ont été créées au cours du 1 er trimestre 2015 (+ 1,5 % par rapport au 1 er trimestre 2014). Cette amélioration intervient malgré la forte diminution (- 27 %) des créations par les autoentrepreneurs (ou microentreprises) qui a été largement compensée par les créations d entreprises en nom propre. A noter que les créations d entreprises sont en recul au niveau régional (- 3,1 %) et national (- 4,6 %). Source : INSEE 111 procédures de redressements et liquidations judiciaires ont été ouvertes au cours du premier trimestre, contre 169 au 1 er trimestre 2014 (- 34 %). La tendance à la baisse amorcée courant 2014 se confirme. Cette amélioration se retrouve également au niveau régional (- 3 %) tandis qu au niveau national on enregistre une progression des défaillances de l ordre de + 6 %. CAD Côtes d Armor Développement 2/15

3 ENTREPRISES INVESTISSEMENT DES ENTREPRISES Investissement des entreprises (en millions d ) Données des 1 ers trimestres de chaque année Source : Direction Départementale des Finances Publiques INVESTISSEMENT Le montant de TVA déductible sur immobilisations, utilisé comme indicateur de l investissement des entreprises, s est élevé à 54 millions d euros au 1 er trimestre 2015, soit une augmentation de 6 % à un an d intervalle. Ce nouveau rebond de l investissement représente un indicateur favorable pour une reprise de l activité. CREDITS A L EQUIPEMENT L encours des crédits à l équipement est en très légère hausse (+ 0,5 point) à un an d intervalle. Il est à peu près stable depuis 2012 aux alentours de 4,5 milliards d. Après avoir enregistré en 2014 une importante progression de son encours, l épargne financière des entreprises et entrepreneurs s inscrit en baisse de - 1,9 point par rapport à Surfaces locaux professionnels autorisés et commencés (en m²) Données trimestrielles Source : DREAL m² Surfaces locaux prof.autorisés Surfaces locaux prof commencés CONSTRUCTION Avec m² de locaux commencés, la construction de bâtiments professionnels est en retrait de 5,6 % à un an d intervalle, du fait des importants reculs enregistrés au niveau des locaux destinés à la santé (- 95 %) et au commerce (- 44 %). Les autres destinations sont toutes en progression, notamment les exploitations agricoles et les bureaux. Au niveau des surfaces autorisées ( m²), la tendance est nettement meilleure avec une croissance de 15,8 % sur un an. Les permis de construire d exploitations agricoles, d hébergements hôteliers et de services publics sont en forte progression. CAD Côtes d Armor Développement 3/15

4 COMMERCE EXTERIEUR EVOLUTIONS 1 ers trimestres % d exportations + 9,8 % d importations + 38 millions d pour le solde commercial IMPORTATIONS ET EXPORTATIONS Importations et exportations (en millions d courants) Données trimestrielles en millions d' Total Exportations Total Importations T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T Source : Direction Régionale des Douanes Bretagne Principaux produits exportés (en millions d courants) Données des 1 ers trimestres 2014 et 2015 en millions d' IAA Textiles, habillement, cuir et chaussures Produits pharmaceutiques Produits informatiques, electroniques et optiques Produits metallurgiques et metalliques Produits agricoles Produits chimiques, parfums et cosmetiques Produits en caoutchouc et plastique, produits miniers Machines industrielles et agricoles, machines diverses Materiels de transport Source : Direction Régionale des Douanes Bretagne IMPORTATIONS ET EXPORTATIONS Les exportations se sont élevées à 311 millions d euros au cours du 1 er trimestre 2015, soit une progression de 7 % par rapport au 1 er trimestre La progression est pratiquement la même si l on ne tient pas compte de l inflation. Le montant des exportations atteint un record pour un 1 er trimestre. Les exportations de produits agricoles et agro-alimentaires sont les principales bénéficiaires de cette amélioration (respectivement + 10 millions et + 5 millions d ). Ces deux postes représentent 65 % des exportations. Les exportations de produits électroniques, informatiques et optiques sont également bien orientés (+ 4 millions d ) tandis que les exportations de matériels de transport refluent (- 3 millions d ) et retrouvent un niveau plus conforme aux valeurs des 1 ers trimestres antérieurs. 273 millions d d importations Le montant des importations est parmi les plus élevés jamais enregistrés et s inscrit en hausse de 9,8 % par rapport au 1 er trimestre Les plus fortes progressions concernent les importations de produits électroniques, informatiques et optiques (+ 11 millions d ) et de produits chimiques, parfums et cosmétiques (+ 10 millions d ). SOLDE COMMERCIAL Le solde commercial reste excédentaire (+ 38 millions d ) tandis que la Bretagne enregistre à nouveau un solde négatif (- 150 millions d ). Le solde commercial de la France est toujours négatif (- 12 milliards d ) mais un peu moins élevé qu il y a un an (- 14 milliards d ). CAD Côtes d Armor Développement 4/15

5 EMPLOI ET CHÔMAGE EVOLUTIONS 1 ers trimestres ,8 % d emplois salariés dans le privé (évolution 4 èmes trimestres 2013/2014) + 7,5 % demandeurs d emploi + 0,2 % d emplois en intérim (embre) - 21 % d heures de chômage partiel - 41 % de licenciements économiques + 18,7 % de ruptures conventionnelles CDI EMPLOIS SALARIES SECTEUR PRIVE (4 ème trimestre 2014) Evolution de l emploi salarié privé par secteur Données brutes Décembre Décembre Variation Côtes d'armor mois Industrie ,4 % Construction ,1 % Commerce ,4 % Hôtels, cafés, restaurants ,9 % Autres services ,0 % Intérim ,9 % Total emploi salarié ,8 % Bretagne Industrie ,2 % Construction ,9 % Commerce ,7 % Hôtels, cafés, restaurants ,0 % Autres services ,8 % Intérim ,3 % Total emploi salarié ,1 % Source : Urssaf Bretagne (emploi salarié secteur privé, hors secteur agricole) Evolution trimestrielle de l emploi salarié privé Côtes d Armor Données brutes COMPARAISON COTES D ARMOR, BRETAGNE ET FRANCE Entre embre 2013 et embre 2014, 963 emplois salariés ont disparu en Côtes d Armor, soit un recul de 0,8 % (Bretagne : - 0,1 %, France : - 0,2 %). Le BTP est le secteur le plus touché par ces destructions d emplois, la perte de 518 emplois en 2014 s ajoutant par ailleurs aux 523 déjà perdus en Les autres secteurs ne sont pas épargnés, l industrie notamment qui connait une accélération de ses pertes d emplois (- 343 emplois contre 140 en 2013). A l inverse, les reculs au niveau des commerces et des H, C, R sont moins importants que l année dernière. Le nombre d emplois dans les «autres services» (transport, activités financières, assurances, activités immobilières, santé, action sociale, etc ) est stable et l intérim, considéré comme un indicateur avancé de l emploi, est en progression à un an d intervalle. Evolution par Pays de l emploi salarié 4 èmes trimestres (hors agriculture) PAYS DU TREGOR GOELO GUINGAMP SAINT-MALO PAYS DU CENTRE OUEST BRETAGNE SAINT-BRIEUC PAYS DU CENTRE BRETAGNE DINAN Source : Urssaf Bretagne (emploi salarié secteur privé, hors secteur agricole) Evolution positive Evolution faiblement négative Evolution négative Source : Urssaf Bretagne CAD Côtes d Armor Développement 5/15

6 EMPLOI ET CHÔMAGE LE CHÔMAGE EN CÔTES D ARMOR Parmi les demandeurs d emploi en Côtes d Armor : Chômeurs inscrits depuis plus d'un an 43,7% Moins de 25 ans Source : Direccte 15,5% Fem mes Séniors Demandeurs d emploi en fin de mois de catégories A, B, C (Données brutes trimestrielles Base 100 en 2004) ,1% 24,0% Côtes d'armor Bretagne France métropolitaine LES DEMANDEURS D EMPLOI EN COTES D ARMOR Au , Pôle Emploi recensait demandeurs d emploi (données brutes, catégories A, B, C), soit personnes de plus qu il y a un an (+ 7,5 %) : après avoir connu une période d accalmie, la progression du chômage est repartie à la hausse depuis la fin Si toutes les catégories sont touchées, cette progression affecte plus fortement les hommes (+ 9,3 % sur un an) que les femmes (+ 5,9 %), les séniors (+ 8,5 %) que les jeunes (+ 6,7 %) et les chômeurs de longue durée qui représentent désormais près de 44 % des demandeurs d emploi (contre 40 % en 2013). La situation est un peu moins défavorable si l on ne retient que les demandeurs d emploi de catégorie A (n ayant pas travaillé dans le mois) puisque leur nombre (27.750) n a progressé «que» de 5,1 % à un an d intervalle. De plus, cette augmentation est en recul par rapport à celle enregistrée en 2014 (+ 6,9 %). Comme les trimestres précédents, la progression du nombre de demandeurs d emploi (que ce soit pour la catégorie A ou bien les catégories A, B, C) reste plus élevée en Côtes d Armor qu en Bretagne ou qu au niveau national (+ 6,4 %) offres d emplois ont été collectées par Pôle Emploi depuis le début de l année, soit un recul de l ordre de 7 % par rapport à l année précédente. Le trimestre se termine toutefois sur des chiffres plus positifs avec un mois de qui enregistre une progression de 1,4 %. Les offres d emplois durables ne représentent toujours que 35 % de l ensemble des offres. CAD Côtes d Armor Développement 6/15

7 EMPLOI ET CHÔMAGE Nombre d heures de chômage partiel Données des 1 ers trimestres de chaque année LE CHÔMAGE PARTIEL Avec un total de heures effectives au 1 er trimestre 2015, l activité partielle est en net recul (- 21 %) à un an d intervalle. Les estimations étaient beaucoup moins optimistes puisque l activité partielle prévisible s élevait à heures Nombre de licenciements économiques Données trimestrielles LICENCIEMENTS ET RUPTURES CONVENTIONNELLES DE CDI 163 licenciements économiques ont eu lieu au cours du 1 er trimestre 2015, soit un recul de 41 % à un an d intervalle. Le nombre de licenciements économiques n a jamais été aussi faible depuis Source : Direccte Nombre de demandes de ruptures conventionnelles de CDI reçues Données trimestrielles Par contre, 655 demandes de ruptures conventionnelles de CDI ont été reçues, soit une progression de 18,7 % par rapport au 1 er trimestre 2014 : c est le plus haut niveau enregistré depuis 2008 pour un 1 er trimestre. L EMPLOI TEMPORAIRE L emploi temporaire est resté quasi stable entre embre 2013 et embre 2014 avec emplois équivalents temps plein (+ 0,2 %). Les progressions d activité dans l industrie alimentaire et le transport ont compensé le recul enregistré dans la construction. Durant la même période, on enregistre un recul de - 1,3 % au niveau Bretagne Source : Direccte CAD Côtes d Armor Développement 7/15

8 EMPLOI ET CHÔMAGE LE CHÔMAGE : COMPARAISON REGIONALE ET NATIONALE DEFM Variation entre 2014 et 2015 Taux de chômage au 31 embre 2014 Côtes + 7,5 % 9,2 % d Armor Bretagne + 7,2 % 8,9 % France + 6,8 % 10 % Sources : Direccte/Pôle Emploi Taux de chômage localisés par ZE Données trimestrielles TAUX DE CHÔMAGE Au 4 ème trimestre 2014, le taux de chômage localisé départemental était de 9,2 %, compris entre celui de la Bretagne (8,9 %) et celui de la France métropolitaine (10 %). Sa progression sur un an, + 0,4 point, est semblable à celle enregistrée au niveau régional et national. TAUX DE CHÔMAGE PAR ZONE D EMPLOI La zone d emploi de Guingamp détient le double record du taux de chômage breton le plus élevé (10,5 %) et de la plus forte progression sur un an (+ 0,8 point). Les zones de Dinan et Lannion font partie des six zones d emploi bretonnes ayant atteint ou dépassé la barre des 10 % de taux de chômage. En un an, la progression de leur taux est de l ordre de 0,5 point. Source : Insee Le taux de chômage de la zone de Saint- Brieuc s établit à 9 % (+ 0,4 point sur un an). Celui de la zone d emploi de Loudéac (7,2 %) est, avec celui de Vitré, l un des plus faibles de Bretagne. Toutefois, sa progression sur un an, jusqu ici de l ordre de 0,2 point, a atteint 0,5 point entre les 4 èmes trimestres 2014 et CAD Côtes d Armor Développement 8/15

9 MENAGES ET LOGEMENT EVOLUTIONS 1 ers trimestres ,3 % de TVA collectée + 7,5 points de crédits à l habitat + 9,7 % d immatriculations de véhicules de tourisme neufs + 1,7 % de permis de construire de logements neufs + 4,6 % d allocataires du RSA LA CONSOMMATION DES MENAGES TVA collectée (en millions d ) Données des 1 ers trimestres de chaque année en millions d' Source : Direction Départementale des Finances Publiques Evolution des indices des crédits aux particuliers Source : Banque de France Crédits à la consommation Crédits à l'habitat Immatriculations de véhicules de tourisme neufs Données des 1 ers trimestres de chaque année Source : Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie LA TVA COLLECTEE 154 millions de TVA ont été collectés au cours du 1 er trimestre 2015, soit une augmentation de 3,3 % à un an d intervalle. Indicateur de la consommation des ménages, le montant de TVA collecté reste, comme au plan national, le moteur de croissance de l économie. LE CREDIT L encours des crédits à l habitat progresse à nouveau à un an d intervalle (+ 7,5 points par rapport à 2014). Il est de l ordre de 7,8 milliards d. Après une tendance à la baisse depuis 2012, l encours des crédits à la consommation des particuliers repart à la hausse (+ 1,6 point sur un an). L épargne financière est également en progression modérée (+ 1,3 point). IMMATRICULATION DES VEHICULES véhicules de tourisme neufs ont été immatriculés au cours du 1 er trimestre 2015, soit une amélioration de 9,7 % par rapport au 1 er trimestre 2014 : les immatriculations sont en hausse pour la deuxième année consécutive. La situation s améliore également aux niveaux régional (+ 4,4 %) et national (+ 6,9 %). L embellie ne concerne pas les poids lourds dont le nombre d immatriculations continue de diminuer (- 8,2 % à un an d intervalle). CAD Côtes d Armor Développement 9/15

10 MENAGES ET LOGEMENT LA CONSTRUCTION DE LOGEMENTS NEUFS Evolution du nombre de logements autorisés Données des 1 ers trimestres de chaque année Source : DREAL Evolution 1 ers trimestres 2014/2015 du nombre de logements mis en chantier par Pays LES LOGEMENTS NEUFS La construction de 722 logements a été autorisée au cours du 1 er trimestre 2015, ce qui représente une progression de 1,7 % à un an d intervalle. Toutefois, le niveau de construction du 1 er trimestre 2014 était le plus bas jamais atteint. La construction de logements individuels est mieux orientée (+ 10 %) que celle des logements collectifs qui est en repli de 26 %. Selon la nouvelle méthodologie appliquée depuis cette année pour corriger une sous-estimation au niveau des mises en chantier, 624 logements auraient été commencés au cours du trimestre. Toutefois, selon l ancienne série, le nombre de logements mis en chantier serait de 476, soit un recul de près de 20 % à un an d intervalle. Cette diminution est en opposition à celle enregistrée au niveau Bretagne (+ 27 %). Source : DREAL PAYS DU TREGOR GOELO GUINGAMP PAYS DU CENTRE OUEST BRETAGNE SAINT-BRIEUC PAYS DU CENTRE BRETAGNE Positive (+ 11 %) Négative (- 21 % à - 69 %) SAINT-MALO DINAN Variation 1 ers trimestres 2014/2015 par Pays Le Pays de Saint-Brieuc est le seul à enregistrer une progression au niveau du nombre de logements commencés entre les 1 ers trimestres 2014 et 2015 (+ 11 %). Le recul est particulièrement important au niveau des Pays du Centre Bretagne (- 69 %) et de Guingamp (- 43 %) qui atteignent leur niveau le plus bas depuis Le nombre de logements commencés est également en retrait pour les Pays de Dinan (- 29 %), du Trégor-Goëlo (- 28 %) et du Centre Ouest Bretagne (- 21 %). CAD Côtes d Armor Développement 10/15

11 MENAGES ET LOGEMENT LA PRECARITE Evolution du nombre d allocataires du RSA Source : Caisse d Allocations Familiales des Côtes d Armor REVENU SOLIDARITÉ ACTIVE En 2015, personnes percevaient le Revenu de Solidarité Active, soit 4,6 % de plus qu en 2014 : la progression du nombre d allocataires du RSA se poursuit mais à un rythme beaucoup moins élevé que les années précédentes (+ 7 % entre 2012 et 2013, + 7,5 % entre 2013 et 2014). Le nombre d allocataires du RSA socle, c est-àdire n ayant pas d autres revenus d activité, enregistre une hausse de 3,5 % à un an d intervalle, nettement plus faible que celles des deux autres catégories «RSA activité» et «RSA socle et activité». A noter, la répartition entre les différents types d allocataires reste globalement stable depuis la mise en place de la prestation : les allocataires du «RSA socle seul» représentent 61 % du total, ceux du «RSA activité» 26 % et ceux du «RSA socle et activité» 13 %. CAD Côtes d Armor Développement 11/15

12 TOURISME - AGRICULTURE EVOLUTIONS 1 ers trimestres ,8 points de fréquentation des hôtels et satisfaction des professionnels en hausse pour le printemps LE TOURISME Taux d occupation des hôtels aux 1 ers trimestres Source : DGCIS Morgoat Hôtel Evolution par Pays du TO 2015/2014 Taux de satisfaction avril ,6 % tonnes de produits de la pêche vendues en criées (+ 12,5 % en valeur) Hausse des abattages d animaux mais cours des produits en baisse Fréquentation des hôtels Les hôtels des Côtes d Armor ont enregistré un taux d occupation de 40,9 % lors du 1 er trimestre 2015, en hausse de 4,8 pts par rapport à Les nuitées ( ) progressent de 11 % sur le trimestre avec notamment une forte hausse des nuitées étrangères (+ 28 %) principalement anglaises, belges et allemandes. En Centre- Bretagne, les hôtels enregistrent une stabilisation de leur taux d occupation, dans les autres territoires les taux d occupation hôteliers progressent de 4 à 5 pts par rapport au 1 er trimestre Tendance printemps et perspective été 2015 Les taux de satisfaction des professionnels du tourisme en avril et mai (77 %) sont supérieurs à ceux enregistrés en 2014 (66 % en avril et 63 % en mai). La moitié des professionnels indiquent enregistrer une progression de leur chiffre d affaires. La bonne météo du mois d avril (chaud et ensoleillée) et la concentration de ponts en mai ont été favorable à l activité touristique. Les perspectives pour la suite de la saison sont bien orientées avec 74 % d avis favorable contre 60 % en Les réservations sont d ores et déjà supérieures à la saison précédente pour 40 % des hébergeurs. Source : CAD CAD Côtes d Armor Développement 12/15

13 TOURISME - AGRICULTURE LA PECHE ET L AGRICULTURE Comparaison des indicateurs 1 er trimestre 2014 et 1 er trimestre 2015 Livraisons de lait (milliers d'hl) Abattages gros bovins (têtes) Abattages veaux (têtes) Abattages porcins (têtes) Abattages poulets (milliers) Abattages dindes (milliers) Pêche-ventes en criées (tonnes) Pêche-ventes en criées (milliers d' ) Sources : Draaf/CAD T T Investissement en agriculture Variation ,1 % ,3 % ,1 % ,7 % ,9 % % ,6 % ,443 12,5 % LA PÊCHE tonnes de produits de la mer ont été débarquées en criées au cours du 1 er trimestre 2015, pour un montant de 14,4 millions d. Les progressions à un an d intervalle sont de + 0,6 % au niveau des tonnages et de + 12,5 % pour les valeurs. La baisse des débarquements de poissons (- 283 tonnes) a été compensée par une augmentation du prix moyen (qui s établit à 2,70 /kg, soit une augmentation de 22 % à un an d intervalle) et une progression en volume des céphalopodes (+ 344 tonnes), notamment des seiches, dont les débarquements ont atteint 456 tonnes contre 140 en Les apports en crustacés et coquillages, dont la Coquille Saint-Jacques, sont restés quasi stables sur un an. L AGRICULTURE Tous les indicateurs sont au vert en termes d abattages, en particulier les abattages de porcs (+ 4,7 %), de poulets (+ 8,9 %) et de dindes dont le nombre progresse après deux années consécutives de baisse. Les livraisons de lait, en retrait de 4,1 % par rapport au record de 2014, retrouvent un niveau plus conforme aux années précédentes. Concernant les investissements en agriculture, la tendance à la hausse enregistrée au cours de l année 2014 risque de s inverser en 2015, conséquence d une dégradation prévisible des revenus en production laitière et d une conjoncture nettement moins favorable en production porcine. (*) Analyse sur près de exploitations agricoles professionnelles en croisière (hors installations notamment) Source : CER FRANCE CAD Côtes d Armor Développement 13/15

14 TOURISME - AGRICULTURE LA PECHE ET L AGRICULTURE Prix de base du porc au Marché du Porc Breton en /kg de carcasse* 1,5 1,4 1,3 1,184 1,2 1,1 1,0 1,343 1,468 1,437 1, * Les producteurs perçoivent des plus-values liées à la qualité et au respect de différents cahiers des charges Source : CER France Prix de base du lait dans les Côtes d Armor (Moyenne des deux principaux acheteurs) en /1.000 litres de lait * , ,98 306,32 354,66 344, * Les producteurs perçoivent des compléments de prix liés à la composition et à la qualité L AGRICULTURE (SUITE) Prix du porc : En 2014, le prix moyen du porc (1,33 /kg) était en recul de 9 % par rapport à Il est encore en baisse en 2015 (1,29 /kg) et l année s annonce très difficile. La ision de la Russie de fermer ses importations fin janvier 2014 est à l origine de ce rochage. L embargo, reconduit jusqu en aout 2015, associé à une hausse de la production européenne, provoque une forte concurrence sur les marchés et une pression sur les prix. Actuellement, le prix du porc ne couvre pas le coût de revient et la tendance est plutôt à la hausse au niveau du prix des aliments. Prix du lait : Le prix de base du lait annuel a atteint un niveau record en 2014 à 361,5 pour litres, soit une augmentation de 6,3 % par rapport à Toutefois, le prix de base a commencé à fléchir fin 2014 et la tendance s est poursuivie au cours du 1 er trimestre Après une hausse des revenus des producteurs en 2014 (prix du lait élevé, hausse des volumes livrés, baisse des coûts des aliments), l inversion de la conjoncture laitière risque d être très difficile à supporter pour les producteurs les plus fragiles. Source : CER France CAD Côtes d Armor Développement 14/15

15 LES PARTENAIRES CE BULLETIN DE CONJONCTURE A ETE REALISE EN COLLABORATION AVEC : La Direction Départementale des Finances Publiques L Insee Bretagne La Banque de France La Direction Régionale de l Environnement, de l Aménagement et du Logement (DREAL) La Direction Régionale de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt (DRAAF) Les Directions Régionale et Départementale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l Emploi (DIRECCTE) La Direction Régionale des Douanes La Cellule Economique du BTP La Caisse d Allocations Familiales CER France CAD Côtes d Armor Développement 15/15

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