SMART BETA UN CONCEPT MAIS PLUSIEURS APPROCHES DÉBATS & OPINIONS. Entretien avec. Yves Choueifaty Tobam Président
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- Isaac Labelle
- il y a 8 ans
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1 DÉBATS & OPINIONS SMART BETA UN CONCEPT MAIS PLUSIEURS APPROCHES Entretien avec Yves Choueifaty Tobam Président Nicolas Just Seeyond Responsable Smart Beta François Millet Lyxor ETF Responsable du Développement Produits ETF et indiciels Supplément publié dans l édition de L AGEFI Hebdo du 27 novembre Réalisé en collaboration avec L AGEFI et avec le soutien de Tobam, Seeyond et Lyxor ETF.
2 LES DIFFÉRENTES APPROCHES ONT EN COMMUN DE REMETTRE EN CAUSE LA PERTINENCE DE L UTILISATION, COMME BENCH- MARK, DES INDICES PONDÉRÉS PAR LES CAPITALISATIONS. MAIS AU-DELÀ, LE SMART BETA APPARAÎT DAVANTAGE COMME UN CONCEPT QUE COMME UN CONTENU. CHACUN EN A SA PROPRE DÉFINITION ET LA MANIÈRE DONT IL DOIT ÊTRE MIS EN OEUVRE, NOTAMMENT EN CE QUI CONCERNE LE CHOIX ET LA PRISE EN COMPTE OU NON DES FACTEURS DE RISQUE. L AGEFI : Quelle définition donnez-vous du smart beta? Nicolas Just : Chacun a sa propre définition du smart beta. C est une catégorie un peu «fourre-tout», qui se veut plus un concept qu un contenu très clair. Pour une gestion, il s agit de se positionner sur les différents beta, c est-àdire les expositions à des facteurs dont on veut capter les primes. La gestion smart beta consiste à combiner ces expositions de manière intelligente et à les contrôler. François Millet : Une définition large et simple consiste à dire que c est toute méthode de construction de portefeuille basée sur des règles, qui ne repose pas sur les poids des capitalisations boursières. Cela comprend des stratégies qui sont conduites par des objectifs comme minimiser les risques, maximiser la diversification au risque, le ratio de Sharpe, représenter fondamentalement l univers Cela comprend, et c est la nouvelle génération de smart beta, les indices de facteurs de risque qui sont créés pour capturer intentionnellement un seul facteur. Ils ne peuvent pas être utilisés isolément et doivent être alloués et diversifiés. Ces deux familles de produits se développent en parallèle. Yves Choueifaty : Pour ma part, je n encourage pas la confusion entre smart beta et gestion systématique, cette dernière ne cherche pas forcément à construire une exposition à un beta. Ce qui doit caractériser l appartenance au monde du smart beta, c est une notion de portefeuille d équilibre. A contrario, quand on achète des facteurs parce qu ils sont bon marché ou qu on les fuit parce qu ils sont chers, c est l exploitation d une information sur le futur et c est contradictoire avec la notion d équilibre. Pour moi, le smart beta consiste à répondre à la déficience des indices capi-pondérés en essayant de fabriquer un autre cadre d équilibre. Nicolas Just : Nous ne souhaitons pas opposer smart beta et risk factor investing, dans la mesure où smart beta veut dire essayer d investir en utilisant les beta, donc des LE SMART BETA SE VEUT PLUS UN CONCEPT QU UN CONTENU TRÈS CLAIR. Nicolas Just facteurs qu ils soient de risque ou d une autre nature. On utilise ces facteurs parce qu on y trouve un intérêt : un intérêt de cherté, donc tactique, ou un intérêt stratégique lorsqu un facteur permet d exploiter une inefficience structurelle de marché. On peut parler de facteurs de risque, de style ou de liquidité. Mais un facteur qu on arrive à identifier et pour lequel on peut prouver qu il y a une prime de risque stratégique peut être un investissement en lui-même, sans chercher à savoir s il y a une notion de cherté ou pas. Il y a donc deux approches possibles du facteur : stratégique (prime de risque) et tactique (cherté ou pas). Dans ce cadre, investir sur un ou plusieurs facteurs, de manière simple ou de manière dynamique en les combinant, définit pour nous la gestion smart beta. Yves Choueifaty : Je voudrais rebondir sur le terme d efficience que vous avez utilisé. Il y a pour moi plusieurs termes qui sont très ambigus et qui entretiennent une confusion très importante dans le marché. C est le cas par exemple entre passivité et neutralité. Il ne faut pas 2
3 croire que lorsque l on achète un portefeuille de gestion passive, on implémente un portefeuille qui est neutre en matière d allocation du risque. C est un portefeuille qui est extrêmement biaisé, qui adopte la somme de toutes les spéculations en surpondérant les facteurs de risque les plus achetés par les autres. La seconde confusion est derrière le terme d efficience qui est utilisé dans deux contextes complètement différents. Un portefeuille efficient rémunère proprement le risque, soit ex ante, soit ex post. Un marché efficient est un marché non prévisible et il y est impossible de mettre en place des arbitrages. Si votre fonction d utilité est formée par le risque et le rendement et que vous ne savez pas prévoir l avenir, vous n avez qu une seule manière d investir rationnellement dans un marché efficient, c est de diversifier. C est là que je vais un peu diverger de votre analyse en opposant le risk factor investing avec le smart beta. Le risk factor investing va chercher à exploiter des inefficiences. Exploiter une efficience, c est très attaché à la notion d alpha. Nicolas Just : Il s agit de ne pas de se limiter dans son approche en amont. Que le marché soit efficient ou pas n est pas le problème. S il est efficient, investir dans du smart beta permet de maximiser la performance par unité de risque pris ; s il est inefficient, il devient possible d investir dans du smart beta en le rendant plus performant si on arrive à exploiter cette inefficience. L AGEFI : Quels sont les facteurs que vous prenez en compte? François Millet : Le smart beta contient passivement, ex post, un certain nombre de facteurs, mais il n est pas conçu intentionnellement pour capturer ces facteurs. Il est intéressant de préciser ce que sont les risk factors. SEULS QUELQUES NOUS POUVONS ÊTRE FACTEURS DE INVESTIS RISQUE À HAUTEUR DE 10% SONT RÉELLEMENT HORS ZONE EURO, DÈS LORS RÉMUNÉRÉS SUR QU IL S AGIT DE SOCIÉTÉS LE MARCHÉ. SENSIBLES À LA REPRISE EURO- François Millet PÉENNE Régis Bégué LA SEULE MANIÈRE D INVESTIR RATIONNELLEMENT DANS UN MARCHÉ EFFICIENT EST DE DIVERSIFIER. Yves Choueifaty En prenant des actions individuellement et en essayant d expliquer leur variance sur une longue période, on s aperçoit bien entendu qu il y a le beta du marché et la contribution des facteurs de risque. Je vais en citer cinq principaux : le facteur value, le facteur small cap, le facteur low beta, le facteur momentum et le facteur quality. On explique une proportion assez faible de la variance des actions par ces facteurs. Mais dès qu un portefeuille commence à être large et diversifié, la capacité à capturer les risques idiosyncratiques diminue dramatiquement. Dans un portefeuille de 35 ou 40 valeurs, l essentiel de la performance peut alors être constituée par le CAPM (Capital Asset Pricing Model, modèle d évaluation des actifs financiers), c est-à-dire le beta du marché, et par les beta de ces facteurs additionnels quand ils sont bien choisis. Nous avons nous-mêmes suivi un grand nombre de fonds de gestion actifs mondiaux et il en ressort qu en moyenne, % de la performance à long terme de ces fonds peuvent être expliqués par quatre facteurs de risque. Ces facteurs de risque sont un outil puissant, mais peuventils être des outils d investissement stratégique? C est très à la mode depuis la fin de l année dernière, tout le monde se met à parler de construction de portefeuille par facteurs de risque. C est en fait une matière extrêmement difficile à implémenter. Si ce sont des facteurs de risque, et qu on les appelle comme tels, c est bien qu ils vont capturer une prime compensant un risque à long terme. Sur les 350 facteurs identifiés, qualifiés de zoo par Cochrane, une grande partie n a absolument aucun sens. Seuls quelquesuns sont réellement rémunérés sur le marché. En outre, les facteurs ont des retours à la moyenne qui peuvent être autour de cinq ou six ans. Il est très dangereux de construire un portefeuille uniquement avec des facteurs sans avoir une bonne règle d allocation et de diversification entre ces facteurs. Pour le smart beta, cela va être 3
4 différent. Un portefeuille de smart beta pourra être un portefeuille stratégique qu on va garder pour le long terme, sans nécessairement de dynamique d allocation. Nicolas Just : Dans notre approche, nous ne définissons pas un référentiel factoriel. On sait, si on accepte la théorie moderne de portefeuille, et notamment l Arbitrage Pricing Theory (APT), qu on peut expliquer le marché par un ensemble de facteurs, mais on ne sait pas quels facteurs retenir. Le référentiel a l inconvénient d être statique. Il peut être pertinent à un moment et ne plus l être ensuite. En outre, certains facteurs apparaissent (comme le quality) et d autres disparaissent, remettant en cause l idée de référentiel. Comment donc être smart dans l approche de ces facteurs? Notre travail consiste à combiner les facteurs le mieux possible, tout en veillant à faire évoluer cette combinaison dans le temps. On retrouvera toujours les mêmes facteurs (value, volatilité, small cap, momentum, liquidité, carry et bien d autres) mais on se doit de les redéfinir en permanence pour essayer de voir comment ils peuvent être une réponse aux clients, et ensuite essayer de comprendre leurs interactions les uns avec les autres pour en tirer le meilleur résultat. La combinaison de ces facteurs dépendra du but recherché par le client. Certains veulent une gestion fondamentale, pour laquelle il faudra privilégier des facteurs qui sont liés à l activité des entreprises, un peu à l image du private equity. D autres souhaitent une gestion plus comportementale, qui est un peu plus subjective dans sa définition. Prenons le cas du Japon, par exemple. Certains estiment que le marché japonais est «drivé» non pas par le résultat des sociétés et la macroéconomie, mais par la politique. Voyez ce que les hommes politiques font et investissez en conséquence. Mais il est également possible de combiner ces deux approches car on se rend compte que des biais comportementaux se marient très bien avec des biais fondamentaux. Yves Choueifaty : Nous n avons pas besoin d identifier des facteurs ex ante pour les equipondérer. Nous cherchons à fabriquer le portefeuille le plus diversifié, qui n a donc pas de biais. Une manière simple de physiquement l imaginer, c est de regarder la pièce dans laquelle nous nous trouvons. Je sais la décrire parfaitement en utilisant trois axes X, Y et Z, mais je peux utiliser trois autres axes. Il existe une infinité de manières de définir des axes dans cette pièce. Je suis néanmoins capable de vous fabriquer une forme dans cette pièce qui est également exposée à tous les axes de la pièce. Cette forme, c est la sphère. Si vous introduisez une sphère dans cet espace, quels que soient les axes que vous allez utiliser, vous allez pouvoir démontrer que la sphère n est pas biaisée sur un axe plutôt que sur un autre. En fait, on n a pas besoin de définir des axes pour savoir définir une sphère. L anti-benchmark, qui est notre portefeuille, c est la sphère. LES APPROCHES SMART BETA PRENNENT TOUTES ACTE DE LA NON- «SMARTITUDE» DE L INDICE CAPI-PONDÉRÉ. Yves Choueifaty L AGEFI : Chacun d entre vous a finalement une approche très particulière du smart beta... Yves Choueifaty : Je pense que le principal point commun de toutes les approches smart beta n est pas tellement qu elles savent prouver la «smartitude» d une solution, mais que clairement elles prennent toutes acte de la non- «smartitude» de l indice capi-pondéré. J ai donné une conférence devant un parterre de régulateurs européens début novembre et j ai essayé de les sensibiliser aux travers de cette tendance qui semble émerger un peu partout en Europe et qui vise à se rapprocher des benchmarks. Cherchant à promouvoir la gestion passive, elle est très marquée aux Pays-Bas et, dans une moindre mesure, au Royaume-Uni. Les gestions actives ont toujours pris l habitude d observer le benchmark, mais elles avaient pleinement conscience que ce dernier est seulement un output. C est la somme de toutes les gestions actives qui produit le benchmark. Or aujourd hui, on a de plus en plus tendance à le considérer comme un input ou comme un modèle. Si on veut prendre une image, on pourrait dire que c est comme gouverner avec des sondages, au lieu de faire preuve de leadership. Ou comme demander à un chien de suivre sa queue. Il n ira pas très loin. La seule manière rationnelle de justifier sur le long terme qu on achète le benchmark, c est penser que le CAC 40 va disparaître pour devenir le CAC 1. Si cela ne se produit pas, on est certain que c est une manière inefficiente de travailler. Le grand enseignement commun, c est, une bonne fois pour toutes, qu il faut écarter la gestion passive de tous les portefeuilles d investisseurs de long terme. Cela n a aucun sens d investir passivement. D ailleurs, la gestion passive est un oxymore. Comment peut-on à la fois gérer et être passif? La gestion passive, ce n est pas de l asset management, c est du custody. 4
5 François Millet : La gestion indicielle est quand même la stratégie qui a la plus forte capacité d investissement. Elle présente trois avantages : la représentativité, le coût de gestion plus faible et une performance plus élevée que la gestion active. Nicolas Just : Mais la gestion passive induit un gros risque de démission. Si elle devient ultra-dominante, l allocation n existe plus. François Millet : On n en est pas encore là pour le moment. Selon une étude du Boston Consulting Group de juillet, 15 % des actifs sont gérés de manière passive, c est-àdire à travers des ETF, fonds et mandats indiciels. Cela ne comprend pas les actifs gérés en direct par certains fonds souverains et des institutionnels de type fonds de pension qui ont des gestions internes. Mais effectivement, un marché a besoin d un mécanisme de formation des prix et ce n est pas la gestion passive qui peut le créer. Yves Choueifaty : Chaque fois que vous mettez en place un arbitrage, vous contribuez à éteindre l opportunité d arbitrage. C est ce qui fait que la somme de la gestion active ne peut pas battre le benchmark. Le rôle du gérant n est pas de dépasser le benchmark, mais de faire en sorte que l économie se développe en investissant dans l innovation, son principal moteur. Il y a deux manières de rémunérer le risque d un client. Soit vous investissez dans l innovation, soit vous êtes capables de rémunérer du risque en faisant de la prévision. C est comme cela que je définis la frontière entre beta - que je ne qualifie pas de smart ou non - et alpha. Nicolas Just : A ce stade, il faut séparer le rôle qu on donne à la gestion active de celui qu on attribue au gérant actif. Ce n est pas pareil. Le rôle du gérant actif n est pas d être un acteur de l économie, mais de délivrer la meilleure performance pour ses clients dans le respect de leurs besoins et contraintes. Le client peut décider d un objectif de surperformance par rapport à un benchmark qui est capi-pondéré. Le problème est qu avec la somme de toutes ces demandes faites à tous les gérants actifs, on en arrive à ce qu a décrit Yves. Le travail que doivent faire les détenteurs de capitaux est de chercher un bon gérant qui soit capable de remplir son contrat, mais avec le risque d être déçus. C est ce risque que les investisseurs sont de moins en moins nombreux à vouloir prendre. Mais je pense qu on oppose trop facilement gestion active et passive car derrière chaque indice, il y a un travail important qui doit être fourni. Quand un fournisseur d indices crée un indice low volatility, il prend des risques car il choisit des hypothèses discrétionnaires. Il y a un parti-pris dès le départ dont on ne parle jamais dans la gestion passive qui est de faire des choix actifs. IL FAUT SÉPARER LE RÔLE QU ON DONNE À LA GESTION ACTIVE DE CELUI QU ON ATTRIBUE AU GÉRANT ACTIF. Nicolas Just Le problème est que, bien trop souvent, ces choix restent figés pendant trop longtemps. L AGEFI : Quelles stratégies sont les plus adaptées au contexte de marché actuel? Yves Choueifaty : Actuellement, on ne sait pas prévoir plus qu avant. Si quelqu un peut prévoir, il aurait tort de diversifier son investissement. Je crois néanmoins à l économie de marché, à l investissement actions. J essaie de délivrer à mes clients la prime de risque qui vient purement des compétences des salariés dans les entreprises dans lesquelles j investis, sans biais. TOBAM a une offre qui repose sur une seule stratégie de gestion, basée non pas sur une méthode empirique mais sur une approche théorique, absolument fondée mathématiquement. On ne s adapte pas aux besoins des clients, mais on fabrique ce que l on sait faire, et cela depuis juin On gère aujourd hui 6,5 milliards de dollars, on devrait être à un peu plus de 8 milliards à la fin de l année et plus de 10 milliards de dollars en Nous travaillons avec des clients emblématiques comme CalPERS qui est d ailleurs entré dans notre capital. Nous avons également mis en place des partenariats de distribution, avec Amundi par exemple, très présent en Asie et au Moyen-Orient. François Millet : Chez Lyxor, nous ne sommes pas concentrés sur une stratégie unique, parce que nous sommes un gros fournisseur d ETF (nous gérons 48 milliards de dollars d ETF). Nos stratégies de smart beta propriétaires sont construites par nos équipes de recherche, sous la houlette de Thierry Roncalli. Ce sont des stratégies que nous appelons de contributions égales en risque sur les actions qui vont proposer les portefeuilles 5
6 les plus diversifiés en termes de distribution des risques et qui capturent encore mieux le beta du marché qu un indice capi-pondéré. Elles viennent compléter les ETF classiques pour capturer le beta du marché, mais également des solutions plus tactiques comme les ETF de facteurs quality, les «value beta», les small cap bien entendu et, dans le futur, de nouveaux produits de facteur de risque individuels. Il existe également un domaine où le smart beta va se développer rapidement, celui des produits de taux fixe. Le problème de cette classe d actifs est peut-être encore plus cruel que celui des actions puisque les portefeuilles indiciels sont proportionnels aux montants de dettes émises. La différence, c est que la pénétration de la gestion passive est beaucoup plus faible dans le domaine obligataire. Près de 85 % des obligations sont détenues en buy and hold par le marché, la partie flottante étant assez faible. Néanmoins, le domaine qui, proportionnellement, croît le plus vite aujourd hui en gestion passive, c est quand même celui de la gestion obligataire. Il suffit de regarder encore la collecte d octobre. Là aussi, il va y avoir un énorme besoin pour des solutions d indices qui ne sont plus pondérées à la capitalisation boursière, c est-à-dire aux montants de dettes émises, mais sur d autres logiques. Il existe déjà des indices obligataires fondamentaux. On a certains indices d emprunts d Etat qui sont déjà macro weighted partiellement. Il y aura dans le futur des indices obligataires qui seront aussi basés sur le risque comme cela existe déjà pour les actions. Ce sera sans doute un nouveau segment, avec la multiplication également de produits factoriels, d extension du marché smart beta en fin d année et en Nicolas Just : De notre côté, chez Natixis, nous nous sommes intéressés aux investissements par allocation en facteurs de risque dès , et en particulier au smart beta dès Notre équipe travaillait déjà à l époque sur l ensemble des facteurs de risque. Nous avions l impression que les investisseurs se focalisaient sur la recherche de performance en oubliant les expositions aux risques qu ils étaient amenés à prendre. La crise de 2008 est passée par là et les comportements ont changé. Nous avons actuellement près de 2,8 milliards d euros en gestion active sur différentes stratégies smart beta (dont un peu plus de 600 millions d euros en minimum variance), à travers plusieurs fonds s adressant à des clientèles différentes (clients institutionnels, pour la clientèle retail des Banques Populaires et des Caisses d Epargne). Pour les clients retail ou gestion privée, les benchmarks sont moins importants LE SMART BETA S IMPOSE AUSSI COMME UN INSTRUMENT POLITIQUE ÉCONOMIQUE AU JAPON. François Millet et les solutions à faible volatilité sont aussi adaptées à leur besoin. Le second pan de développement concerne le risk factor investing. On s aperçoit qu il y a une énorme demande sur cette stratégie depuis la crise de , d autant plus multifactorielle qu on a maintenant les capacités pour comprendre l interaction entre ces facteurs. Nous essayons de proposer des modèles adaptatifs. L objectif est de délivrer à nos clients des portefeuilles innovants qui battent les portefeuilles dits «risk-parity», c est-à-dire investissant sur ces facteurs en partageant à égalité le budget de risque sur chaque facteur. François Millet : Il faut noter que le smart beta s impose aussi comme un instrument politique économique au Japon. Un indice de smart beta y a été créé, le Nikkei 400 qui est pondéré à 40 % par le retour sur investissement, à 40 % par les résultats historiques sur trois ans et à 20 % en fonction d un score de gouvernance. Ce nouveau benchmark doit remplacer le Nikkei 225 qui est critiqué. Le premier fonds de pension du monde (GPIF qui gère 1,2 trillion de dollars au Japon) l a ajouté à ses benchmarks. Les autorités japonaises y sont favorables et on s attend à ce que GPIF et peut-être la Banque du Japon investissent directement dans ce nouvel indice de smart beta pour inciter les entreprises japonaises à mieux utiliser leurs fonds propres. C est intéressant, car on voit maintenant des décideurs utiliser des indices de smart beta comme outil de politique économique, en plus du quantitative easing et des réformes structurelles. 6
7 LYXOR ETF Gaëtan Delculee - gaetan.delculee@lyxor.com Parmi les acteurs les plus expérimentés du marché, Lyxor est le troisième fournisseur d ETF en Europe (deuxième en termes de liquidité), avec un encours sous gestion de plus de 38 milliards d euros*. Avec 197 ETF cotés sur 13 places financières, Lyxor met à la disposition des investisseurs des solutions d investissement hautement flexibles afin de diversifier leur allocation à travers l ensemble des classes d actifs (actions, obligations, marchés monétaires, matières premières). Preuve de son engagement sur la qualité, Lyxor a mis en place une charte de qualité ETF permettant à Lyxor de veiller à ce que chaque ETF réponde aux normes les plus strictes en matière de performance, de gestion des risques, de liquidité et de transparence. *Equivalent à US$ 47,8 milliards - encours sous gestion au 30 septembre SEEYOND Seeyond est le pôle d expertise en gestions de volatilité et de produits structurés de Natixis Asset Management. Pour offrir des placements alliant la recherche de performance et de réduction du risque, Seeyond met en œuvre des stratégies d investissement allant au-delà de la gestion active traditionnelle. Pour chercher à transformer l incertitude des marchés en opportunités d investissement, Seeyond développe une gamme complète de fonds dans 3 domaines d expertise : > gestions structurée et active protégée, > gestions modélisées actions, > gestion allocation flexible et volatilité Les équipes de gestion s appuient sur une plateforme de recherche quantitative dédiée. Avec 34 collaborateurs, Seeyond gère 15,1 milliards d euros au 30/09/2014. TOBAM Christophe Roehri - christophe.roehri@tobam.fr TOBAM a été créée par Yves Choueifaty en TOBAM, majoritairement détenue par ses salariés, a deux actionnaires minoritaires : d une part le fonds de pension public américain CalPERS, et d autre part Amundi, également partenaire non exclusif de distribution. TOBAM met en œuvre un processus d investissement unique, l approche Maximum Diversification, pour l intégralité de ses actifs sous gestion et offre une seule stratégie d investissement, l Anti-Benchmark, déclinée sur une multitude d univers d investissement. Le processus de gestion purement quantitatif vise à collecter la prime de risque en évitant les risques de concentration et les biais des indices de référence. Il a pour objectif d offrir aux investisseurs la possibilité d accéder à une exposition plus diversifiée que les indices capi-pondérés, sur les classes d actifs actions et obligations. Après le doublement de ses actifs sous gestion en 2013, TOBAM continue à afficher une forte croissance en 2014, dépassant le seuil des 6 milliards de dollars (EUR 4.6 milliards) d encours (à fin juin 2014). 7
8 DÉBATS & OPINIONS I SMART BETA Nicolas Just Yves Choueifaty François Millet Responsable Smart Beta Président de TOBAM Nicolas Just a commencé chez Natixis AM en 2006 comme gérant actions internationales, et est aujourd hui Responsable Smart Beta. Précédemment, il a travaillé chez Exane-BNP Paribas comme responsable de l équipe de recherche actions sur le secteur de la distribution alimentaire. Il a commencé sa carrière comme trader sur produits dérivés à la Société Générale. Nicolas Just est diplômé d HEC Paris et a obtenu un Master en Finance Internationale de l Université Luigi Bocconi (Milan). Il est également diplômé du CFA Institute. Yves Choueifaty est président fondateur de TOBAM. De 2005 à 2006, il a été Responsable de la gestion quantitative pour l Europe chez Lehman Brothers Asset Management. Auparavant, il était Directeur Général de Crédit Lyonnais Asset Management (CLAM) et avant cela, Responsable de la gestion de CLAM depuis 2000, avec la responsabilité directe de la direction de la gestion, du marketing et de la vente. De 1998 à 2000, il était à la tête de l ingénierie financière et de la gestion quantitative, après y avoir développé depuis 1992 les produits structurés et les métiers d ingénierie financière. Yves Choueifaty est diplômé de l ENSAE (1992). Responsable du Développement Produits ETF et indiciels François Millet supervise la stratégie produits de Lyxor sur les ETF et solutions indicielles et smart beta à l échelon global. Il a rejoint Lyxor en 2009 après avoir occupé les fonctions de Directeur des fonds indiciels et ETF chez SGAM, où il a développé à compter de 2004 l activité de fonds passifs et lancé en 2005 la première gamme d ETF structurés en Europe. Avant cela, il a travaillé pendant 14 ans chez SG Corporate & Investment Banking, où il a occupé plusieurs postes exécutifs et de direction au sein de l activité Equity Capital Markets. François Millet est titulaire d un Master en Economie, et de troisièmes cycles en Monnaie & Finance de l Université de La Sorbonne. Nos prochaines thématiques L Agence économique et financière fondée en 1911, 8 rue du Sentier Paris Tel. : Site Internet : irecteur général, directeur de la publication, directeur éditorial : Philippe Mudry (2704) D Directeur général délégué en charge de la gestion et de développement : François Robin (2634) Directeur commercial : Laurent Luiset (2692), Directeur de la Publicité : Anne-Sophie Belin (2680) Directeur de Clientèle : Angélique Bertaut (2637), Chef de Publicité : Claire Vanel (2644) Directeur de Clientèle Publicité financière : Adeline Tisseyre (2603) Directeur (Publicité internationale ) : David Caussieu ( ) L Agefi Hebdo est édité par : AGEFI SA au capital de euros - Siège social : 8, rue du Sentier Paris RCS : Paris B N Siret : N TVA intracommunautaire : FR , Principal actionnaire : FININTEL Impression : Imprimerie de Compiègne - 2, avenue Berthelot - ZAC des mercières - BP Compiègne Cedex - N CPPAP : 0215 T N ISSN : X 8 Multi asset Gestion flexible Corporate loans Actions européennes Obligations convertibles Long short equity La silver économie Assurance vie-eurocroissance PEA PME ANI
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