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1 l infection urinaire en pédiatrie Dr Kabouya SPO Adrar décembre2015

2 Quelques chiffres sur l IU DC exceptionnel ENFANTS < 7ans Hospitalisation 40% Séquelles 5% Filles (8-10%) Garçons(1-2%) Récidives 10 à 30% RVU. Filles Instabilité vésicale

3 Les IU sont fréquentes - A 7ans, déjà 8% des filles et 2-3% des garçons en eu une IU. - 5% des NRS fébriles ont une PNA Potentiellement morbide que l on tente de prévenir -On retrouve 5% de Cicatrices rénales donnant des IRC et HTA

4 DIAGNOSTIC INFECTION URINAIRE = Bactériurie >10 5 germes / ml Selon KASS Un diagnostic présumé d IU repose sur une sémiologie urinaire et une analyse d urine positive

5 Sémiologie de l IU Le tableau clinique est variable selon l âge et la localisation de l infection urinaire

6 Nouveau-Né Intervalle libre Signes d infection néonale. Troubles digestifs Déshydratation Perturbations ioniques Ictère Insuffisance rénale (atteinte bilatérale) «La recherche d une infection urinaire est systématique devant toute infection néonatale»

7 Nourrisson S. urinaires difficilement appréciables Tableau clinique trompeur : Hyperthermie isolée Stagnation pondérale Symptômes digestifs au premier plan vomissements douleurs abdominales diarrhée «Il faut un ECBU facile chez le nourrisson qui fait de la fièvre sans cause évidente»

8 Grand Enfant Cystite Fillette++ Signes vésicaux nets dysurie pollakiurie énurésie brûlures mictionnelles Pyélonéphrite Altération EG Fièvre élevée Frissons Douleurs - abdominales - lombaires Signes vésicaux au second plan

9 Ue Bilan urinaire Enfants à risques: Garçons < 3mois (phimosis) Atcd de PNA ou uropathie Fièvre >39 >48h Bandelettes urinaires

10 Valeurs prédictives des BU ( VP) GPIP/SFP -Si BU négative VP négative est de 90% Si leucocytes et Nitrites VP positive 90% -Leucocyte seul faible VP+ 78% -Nitrites + très bonne VP+ 97% ( faux( )dans le cas du pseudomonase et staphylocoque) Au moindre doute recourir à d autres méthode de prelèvements au jet, sondage ou ponction sus pubienne (gold standard) -Car l Ecoli du périnée difficile à éliminer par la désinfection ECB : leucocyturie sensibilité 73% bactériurie sensibilité 81%

11 Epidémiologie bactérienne A.TROUSSEAU ACTIV AFPA CANASTEL Germes E.COLI 46 % 82 % 69 % PROTEUS - 11,6 % 9,3 % KLEBSIELLES - 2 % 8 % ENTEROCOQUES 10,6 % 1,2 % 8 % AUTRES - 1 % 3 % NON IDENTIFIE - - 2,6 %

12 Dés qu un doute significatif pour une IU est présent il faut amorcer le TRT Comment traiter une infection urinaire? Fonction du niveau de l IU IU base (cystite) IU haute (PNA)

13 Localisation du niveau de l IU Renseignements PNA Cystite Cliniques Température > 38,5 < 38 Signes généraux + 0 Signes vésicaux Douleurs Lombo-abdominales Abdomino-pelviennes Palpation lombaire Douloureuse Indolore Par acliniques Hématurie Protéinurie CRP /procalcitonine Elevée Normale Echographie Ur Volume rénale élevé Reins normaux Parois pyéliques épaissies Vessie épaissie

14 Protocoles thérapeutiques des IU 1-cystite 1 épisode: souvent incontinence rarement malformation: TRT de la première épisode: Cotrimoxazole 25mg/kg/j ou Céfixime: 8mg/kg ( sulfaméthaxazol /triméthoprime) Puis adaptation selon Antibiogramme Echo-abdomino pelvienne +/- correction des troubles urinaires. Cystite récidivante : rechercher une malformation(rvu??) Antibioprophylaxie sans consensus sur la Cotrimoxazole 10mg/J ou Nitrofurantoine (Furadantine 50mg) > 6ans à 1-2mg/kg

15 La mise en route du TRT par dans un délais< 4j Par rapport au début des signes réduit le risque de cicatrices rénales 2-PNA C3G la ceftriaxone( rocéphine) injectable en hôpital ou ambulatoire Céfotaxime (claforan) enfant hospitalisé

16 PNA Association : gentamycine à 3mg/kg + C3G privilégier dans : les PN sévère Enfant< 3mois Uropathie malformative Septicémie ou immunodéprimé Infection à entérocoques A hospitaliser

17 Stratégie thérapeutique 1- PNA sans signes de sévérités : Céfriaxone à 50mg/kg pendant 2 à 4jours Suivie d ATB orale céfixime ou Cotrimoxazole durée totale du TRT 10à14j. 2- PNA sévère: Genta + C3G ECB de contrôle est inutile sauf mauvaise évolution pour adapter un TRT

18 Toute infection urinaire doit être considéré comme secondaire et amène à discuter des investigations urologique Fréquence des malformations Présente dans % Reflux Vésico-urétéral ++++ Bilan uro-radiologique systématique : * échographie abdominopelvienne (75) * cystographie rétrograde * scintigraphie rénale * +/- UIV

19 Malformations retrouvées Etude rétrospective 01/02 à12/03 à l EHS Canastel sur 75 patients Type N % RVU 8 36% Anomalies 6 27% jonction PU/C Bifidité PU 5 22% Lithiase 2 9% Valve de U post 1 4,5%

20 RVU 40% Anomalie de jonction PU 25% Bifidité urétrale 20%

21 RVU 4O% des malformations RVU fonctionnel RVU malformatif fréquent - enfant Nné/NRS grade1-3 (echo-nl) > 3 jonction UV nl anormale ATBioprophylaxie et trt incontinence chirurgie

22 conclusion IU nécessite une rigueur cytobactériologique au diagnostic et un dépistage et TRT rapide et selon les protocoles sus cités au risque d avoir des séquelles (5% IRC ) particulièrement dans les IU haute révélant souvent une uropathie malformative (30à 60%) ou des cystites répétées (incontinence)compliqués d un RVU.

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