DIFFICULTES DU GROUPAGE SANGUIN
|
|
- Marie-Christine Lanthier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DIFFICULTES DU GROUPAGE SANGUIN
2 DIFFICULTES DU GROUPAGE SANGUIN INTRODUCTION Détermination du groupe sanguin ABO-Rh : examen essentiel à la sécurité transfusionnelle La réalisation exige le respect de la législation en vigueur : - Relative aux réactifs - Relative aux Groupages Sanguins
3 DIFFICULTES DU GROUPAGE SANGUIN INTRODUCTION Difficultés de groupage : Discordance entre l épreuve globulaire et sérique Résultat ininterprétable Avant de parler de difficultés il faut Vérifier les conditions de réalisation Eliminer les fausses agglutinations
4 les meilleures conditions de réalisation
5 DIFFICULTES DU GROUPAGE SANGUIN INTRODUCTION Détermination ABO : Épreuve globulaire : Beth Vincent Épreuve sérique Témoins : : Simonin-Michon Témoin - allo :épreuve sérique Témoin -AB : épreuve globulaire Témoin - auto :épreuve globulaire + épreuve sérique
6 ECARTER LES FAUSSES AGGLUTINATIONS
7 LES FAUSSES AGGLUTINATIONS PHENOMENE DE ROULEAUX forte concentration de Fg protéines anormales :myélome - cirrhose élément d orientation :lecture microscopique Solutions : - épreuve globulaire : Lavage des hématies - épreuve sérique :Dilution du sérum ds Eφ
8 AGGLUTINATIONS IMCOMPLETES DOUBLE POPULATION Savoir identifier une double population Sur plaque :Agglutination sur un fond rose ( GR libre ) En gel :GR au fond +GR dans le dispositif ne constitue pas une difficulté
9 AGGLUTINATIONS IMCOMPLETES DOUBLE POPULATION ne constitue pas une difficulté élément d orientation qui participe à la classification des phénotypes faibles : A3,A end Permet d évoquer certaines situations cliniques :transfusion non iso groupe : prématuré, : greffe de moelle : chimère
10 DIFFICULTES DU GROUPAGE ABO
11 Les difficultés de groupage ABO Rhésus Le meilleur garant d'un résultat correct est la concordance entre les épreuves globulaires et sériques. Toute difficulté se traduit par une discordance entre ces deux épreuves. Une exception le phénotype Bombay: sans réactif anti-h sans hématies-tests O.
12 DIFFICULTES DU GROUPAGE ABO Discordance entre l épreuve globulaire et sérique En relation avec un problème d interprétation d une ou de plusieurs réactions. En relation avec la positivité de l un des Témoins.
13 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE : DIFFICULTES D INTERPRETATION
14 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE GR A1 GR A2 GR B GR O Anti B Anti A Anti AB T
15 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE Hypothèse :Groupe A ou B faible / Am- Bm Confirmer l hypothèse avancée : Prouver la présence de l Ag faible Moyens IH à disposition: épreuve de fixation élution recherche de subst. A, B, H dans la salive enquête génétique
16 PHENOTYPES A FAIBLES Phénotypes A faibles: A3, A end, Ax,Am, Ay, Ael Répartis en deux groupes - Hématies sont agglutinées: A3, A end, Ax - Hématies ne sont pas agglutinées : Am, Ay, Ael 03/11/2016 HS 16
17 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE (2) GR A1 GR A2 GR B GR O Anti B Anti A Anti AB T
18 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE(2) Hypothèse : Taux faible d iso-hémagglutinine N Né (normal) Immunodéprimé Hypo-gammaglobulinèmie congénitale ou acquise
19 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE(2) Solution : Sensibiliser l épreuve sérique - épreuve :en tube en colonne - Incubation à + 4 C - augmentation du rapport plasma / hématies
20 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE(2) Confirmation : dosage des immunoglobulines Immunoélectrophorèse
21 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE(3) GR A GR B # A # B # AB T
22 DISCORDANCE ENTRE L EPREUVE GLOBULAIRE ET SERIQUE(3) Hypothèse :Ac naturel irrégulier du système ABO /A faible avec un anti A1 ;A2B avec Anti A1 Confirmation : GR A1 GR A2 # A # B # AB #A1 # H T
23 ANTICORPS NATURELS IRREGULIERS DU SYSTEME ABO Anti A1 = Ac naturels irréguliers = Titre très variable ( faible ) = Optimum thermique: +4 C = Sans incidence transfusionnelle Transfusion = Avec du sang O par mesures de sécurité
24 DIFFICULTES DUGROUPAGE SANGUIN TEMOIN POSITIF
25 TEMOIN ALLO POSITIF GR A1 GR A2 GR B GR O # A # B # AB Témoin Allo - Garant de l épreuve sérique - Traduit la présence d allo -Ac ( en dehors du système ABO )
26 TEMOIN ALLO POSITIF Démarche pratique : -Identifier l allo Ac :panel érythrocytaire : BFI à 22 c -Sélectionner des GR tests dépourvus de l Ag correspondant à l Ac identifié -Refaire l épreuve sérique
27 TEMOIN ALLO POSITIF Différents Allo - Ac rencontrés Ac naturels irréguliers spécifiques des GS = P, Lewis, MNS = Rares anti H des sujets A1 ou A1B Allo Ac d immunisation - Non actifs dans les conditions de l épreuve - Généralement n interfèrent pas au niveau du groupage ABO
28 TEMOIN AB POSITIF Évoque le phénomène de poly-agglytinabilité Anomalie globulaire : relativement rare GR «poly-agglutinable» = agglutinés par des sérums humains normaux, ABO compatibles. Agglutination liée à l expression d un Ag anormal ou cryptique démasqué
29 TEMOIN AB POSITIF Relève principalement de : L utilisation des réactifs poly-clonaux L utilisation des réactifs monoclonaux : a supprimé la difficulté Certains clones d Ac monoclonaux reconnaissent des Ag de poly - agglutinabilité
30 TEMOIN AUTO POSITIF AGGLUTININES FROIDES GR A1 GR A2 GR B GR O Anti B AntiA Anti AB T (+++) (+++) Témoin auto : +++ RAI : +++ TCD : ++ type cpt
31 TEMOIN AUTO POSITIF Démarche pratique Epreuve globulaire Solution = en général 2-3 lavage Eφ à 37 c sont suffisants pour éluer l Ac = Élution à 50 C ou 56 C Epreuve sérique Faire épreuve sérique à 37 C Adsorption sur GR O : plusieurs adsorptions sont nécessaires
32 DIFFICULTE DUGROUPAGE RHESUS TEMOIN ALBUMINEUX POSITIF
33 DIFFICULTE DUGROUPAGE RHESUS TEMOIN ALBUMINEUX POSITIF Anti D : milieu albumineux Point fondamental = Les hématies sensibilisées par un Ac de type IgG agglutination (sédimentation) en milieu macromoléculaire
34 GROUPAGE RHESUS Plaque chauffante ( 37 C 40 C ) 1 goutte de GR à tester à 50 % dans leur plasma + 1 goutte anti D en milieu albumineux ou salin Témoin négatif : impératif
35 DIFFICULTE DUGROUPAGE RHESUS TEMOIN ALBUMINEUX POSITIF Malades : AHAI de type IgG : MHNN Groupage rhésus positif même si le rhésus est réellement Négatif
36 TEMOIN ALBUMINEUX POSITIF Ce risque justifie l introduction systématique du témoin albumineux Solution = Éluer l Ac = Éliminer l albumine du sérum test = anti D salin ( IgM)
37 CONCLUSION Groupage sanguin :examen de réalisation simple Réalisation nécessite le respect certaines règles: La pratique de l épreuve globulaire et sérique L utilisation de réactif de qualité Utilisation de témoin en cas de difficulté
38 Merci pour votre attention
39 DIFFICULTES DE GROUPAGE Contexte de Greffe de CSH
40 Greffe de CSH ABO incompatible Rappel Majeure = R : GS = O = D : GS = A -B -AB Mineure = R : GS = A - B - AB = D : GS = O Mixte = R : GS = A ou B = D : GS = A ou B
41 Greffe de CSH ABO incompatible Rappel Incompatibilités ABO mineure: Disparition de l Ac dirigé contre le groupe initial du receveur Disparition :persiste plusieurs années et peut rester à vie
42 Greffe de CSH ABO incompatible Ex Donneur = O Receveur = A - En post greffe épreuve globulaire : GS = O épreuve sérique : GS = A GR A GR B # A # B # AB
43 Greffe de CSH ABO incompatible image de A faible Incompatibilités ABO mineures: Chez les sujets sécréteurs (Se): adsorption des substances ABH plasmatique sur les GR :O Image :A faible (en colonne de filtration) GR A GR B # A # B # AB
44 TEMOIN ALBUMINEUX POSITIF Ce risque justifie l introduction systématique du témoin albumineux Solution = Éluer l Ac = Éliminer l albumine du sérum test = anti D salin
45 CONCLUSION Groupage sanguin :examen de réalisation simple Réalisation nécessite le respect certaines règles: La pratique de l épreuve globulaire et sérique L utilisation de réactif de qualité Utilisation de témoin en cas de difficulté
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailLES BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES
Les Bonnes Pratiques Transfusionnelles République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme Hospitalière Agence Nationale du Sang LES BONNES PRATIQUES
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailLE DIRECTEUR GENERAL DE LA SANTE LE DIRECTEUR DE L'HOSPITALISATION ET DE L'ORGANISATION DES SOINS
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Direction générale Paris, de la santé Sous direction de la politique des produits de santé (SD3) Sous direction de la qualité du système
Plus en détailAurélia Chambaz 47 ème volée ESSanté Stage d immuno-hématologie à l UMT, BH-18 CHUV SRTS VD Lausanne 05.11.07-11.04.08 Responsable accompagnante :
Aurélia Chambaz 47 ème volée ESSanté Stage d immuno-hématologie à l UMT, BH-18 CHUV SRTS VD Lausanne 05.11.07-11.04.08 Responsable accompagnante : Mme Jocelyne Conne Résumé Ce travail en immuno-hématologie
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailTransfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005
Transfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005 Objectifs pédagogiques : Expliquer les risques transfusionnels, les règles de prévention,
Plus en détailELISA PeliClass human IgG subclass kit REF M1551
Sanquin Reagents Plesmanlaan 5 0 CX Amsterdam The Netherlands Phone: +.0.5.599 Fax: +.0.5.570 Email: reagents@sanquin.nl Website: www.sanquinreagents.com M55/ November 007 ELISA PeliClass human IgG subclass
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailwww.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses
www.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses E.R.A. L EFS, les Etablissements de Santé et les laboratoires effectuant des analyses d I.H. pour des patients susceptibles
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES CATALOGUE DES FORMATIONS Formation continue Formation universitaire Développement Professionnel
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailGuide d utilisation. Version 2.0
Guide d utilisation Version du guide d utilisation Guide Logiciel Date Description d utilisation V1.0 V2.4/V3.0.x 31 octobre 2006 Version commercialisée V2.0 V3.1 17 juin 2008 Version actuel Version de
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailPUIS-JE DONNER UN REIN?
Registre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires PUIS-JE DONNER UN REIN? Réponses aux questions que se posent les personnes souhaitant faire un don de rein non dirigé Vous vous posez beaucoup
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailMANUEL D AIDE A LA FORMATION EN TRANSFUSION SANGUINE
MANUEL D AIDE A LA FORMATION EN TRANSFUSION SANGUINE Coordination Régionale d Hémovigilance Docteur Mahdi TAZEROUT Madame Yolande GALINIER Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales Midi-Pyrénées
Plus en détailExercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) :
Eercice a Développer les epressions suivantes : A-(-) - + B-0(3 ²+3-0) -0 3²+-0 3+00 B -30²-30+00 C-3(-) -3 + 3-3²+6 D-(-) + ² Eerciceb Parmi les epressions suivantes, lesquelles sont sous forme réduite?
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailPUIS-JE DONNER UN REIN?
Registre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires PUIS-JE DONNER UN REIN? Réponses aux questions que se posent les personnes souhaitant faire un don de rein non dirigé UN DON DE REIN DE
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailPour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer
H A B I T A T Assurance de Prêt ( AdP ) Solution Risques spéciaux Pour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer Vos Garanties - 2005/2006 Une tarification sur mesure pour : les maladies aggravées,
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailApproches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain
Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Claudio Daniel RIBEIRO A l'heure actuelle les différentes possibilités thérapeutiques proposées pour le traitement du paludisme rencontrent
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détailSPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET
AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Concours interne et de 3 ème voie Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France SESSION 2015 Epreuve écrite d admissibilité Vérification
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailRegistre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires. Qu est-ce qu une greffe de rein par échange de bénéficiaires?
Registre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires Qu est-ce qu une greffe de rein par échange de bénéficiaires? Le Registre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires. Notre
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailFEUILLET TECHNIQUE. Réactif VITROS Chemistry Products IgA
FEUILLET TECHNIQUE Réactif VITROS Chemistry Products IgA IgA 680 1732 Application Pour usage in vitro. Le réactif VITROS Chemistry Products IgA permet d effectuer le dosage quantitatif de l immunoglobuline
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailTRAIT FALCIFORME. Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique
TRAIT FALCIFORME Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique Une analyse sanguine a été effectuée chez votre enfant, soit à la naissance, soit à la demande de votre médecin. Cette analyse a démontré
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailGuide destiné aux patients atteints d un myélome multiple
Guide destiné aux patients atteints d un myélome multiple ÉDUCATION CONNAISSANCE ACCÈS RECHERCHE Exclusivement au service de la communauté canadienne du myélome Introduction Ce document s adresse aux :
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailFEUILLET TECHNIQUE. Plaques CRP VITROS Chemistry Products
Plaques VITROS Chemistry Products 192 6740 809 7990 Application Pour usage in vitro uniquement. Les plaques VITROS Chemistry Products mesurent la concentration de la protéine C-réactive () contenue dans
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailParvo B19 IgG-ELISA medac. Français
Parvo B19 IgG-ELISA medac Immunoessai enzymatique pour la détection des anticorps IgG anti Parvovirus B19 Français VP-F-195.070202 FABRICANT medac Gesellschaft für klinische Spezialpräparate mbh Fehlandtstraße
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailAJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailAnalyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés
Analyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés Module 12 Détection quantitative du soja Roundup Ready par ELISA F. Eyquem WORLD HEALTH ORGANIZATION REGIONAL OFFICE
Plus en détailR 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21.
0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE INSTITUT NATIONAL DE LA. PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE 0 N de publication : 2 615 623 là n'utiliser que pour les commendes de reproduction) N d'enregistrement national : 87 07263 PARIS
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailINFORMATIONS DIVERSES
Nom de l'adhérent : N d'adhérent :.. INFORMATIONS DIVERSES Rubrique Nom de la personne à contacter AD Date de début exercice N BA Date de fin exercice N BB Date d'arrêté provisoire BC DECLARATION RECTIFICATIVE
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détail3. E. La thyroglobuline (Tg)
88 3. E. La thyroglobuline (Tg) La thyroglobuline (Tg), protéine précurseur de la synthèse des hormones thyroïdiennes est détectable dans le sérum de la plupart des individus normaux en utilisant une méthode
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détail