I QUATRE PROPOSITIONS POUR MAINTENIR PERSONNES DANS L EMPLOI
|
|
- Nicole Pierre
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LIVRE BLANC 8 PROPOSITIONS POUR EMPLOIS
2 Sommaire INTRODUCTION 3 I QUATRE PROPOSITIONS POUR MAINTENIR PERSONNES DANS L EMPLOI 5 A Maintenir personnes dans l emploi en réduisant de 20 % le nombre de licenciements économiques 5 Proposition n 1 : Accompagner les entreprises en diffi culté et les salariés menacés 5 Proposition n 2 : Activer les dispositifs de sécurisation professionnelle 6 B Maintenir seniors dans l emploi en développant des formes d emploi adaptées 6 Proposition n 3 : Sécuriser l emploi des seniors 7 Proposition n 4 : Favoriser l autonomie professionnelle des seniors 7 II QUATRE PROPOSITIONS POUR CRÉER EMPLOIS 8 Proposition n 1 : Satisfaire chaque année offres non pourvues 8 Proposition n 2 : Décloisonner le reclassement des demandeurs d emploi en renforçant la complémentarité entre opérateurs publics et privés 9 Proposition n 3 : Renforcer l engagement en faveur de l emploi des jeunes 10 Proposition n 4 : Mettre en place un nouveau contrat : le Contrat de Mission à Durée Indéterminée (CMDI) 11 CONCLUSION 12 Annexe 1 : Données de cadrage 13 Annexe 2 : L action des agences d emploi améliore le fonctionnement du marché du travail 14 Annexe 3 : Un modèle de fl exisécurité à part entière 15 2
3 Introduction La France est malade de son marché du travail et les symptômes sont bien connus : les créations d emploi sont insuffi santes et le chômage représente 9,7 % 1 de la population active chaque année, ce sont pourtant offres d emploi qui ne peuvent être pourvues 2 ; la formation professionnelle est souvent inadaptée aux besoins des entreprises ; et l insertion est particulièrement diffi cile pour les moins de 25 ans pour qui le taux de chômage représente 22,5 % 3 ; les entreprises rechignent à embaucher des salariés de plus de 50 ans et dans le même temps, faute de disposer d une véritable expertise dans le domaine des ressources humaines, des PME renoncent à se développer ; l accompagnement vers l emploi apparaît largement insuffi sant ainsi, la durée moyenne du chômage (15 mois 4 ) est bien supérieure en France comparée à la moyenne européenne. La critique est facile mais trouver le remède effi cace l est moins. Les salariés permanents des agences d emploi 5, au contact quotidien du marché du travail, sont probablement les mieux placés pour ressentir la réalité de la situation. Ils connaissent précisément les attentes des entreprises, des salariés, des demandeurs d emploi. Inlassablement en recherche d opportunités pour les candidats, ils ont également une idée précise de ce qui fonctionne et de ce qui ne marche pas. À la veille d échéances électorales décisives, les agences d emploi souhaitent partager leur expérience et ainsi contribuer à la réfl exion collective. Le PRISME a donné la parole aux professionnels : à partir des observations de terrain et des témoignages recueillis, des propositions ont été formulées. Les acteurs sont unanimes : deux principes doivent guider la politique de l emploi ; le pragmatisme et l innovation sociale. Le pragmatisme tout d abord : chaque emploi doit être cherché dans les moindres recoins. Aucune piste ne doit être négligée. En suggérant quelques aménagements, simples à mettre en œuvre, sans surcoût pour les fi nances publiques, les agences d emploi sont convaincues que la situation peut s améliorer. Le modèle économique des agences, centré sur la création d emploi, est socialement effi cace. Plus une agence trouve rapidement du travail à ses candidats et plus elle est motivée. Dans ces conditions, pourquoi ne pas lever certains freins à l exercice de l activité des agences pour développer l emploi? Le réseau des agences d emploi s est déployé de manière à se rapprocher des candidats, des entreprises et des emplois, y compris dans des communes de moins de habitants. Leur réactivité et leur proximité permettent aux entreprises de recruter rapidement. Ne serait-il pas opportun de s appuyer sur cette organisation pour développer de nouveaux services pour l emploi? Par ailleurs, il apparaît dommage que certaines pratiques ayant fait leurs preuves à l étranger ne soient pas adaptées à la situation française et transposées. 1 Source : INSEE (3 e trimestre 2011) - 2 Source : ANDRH - 3 Source : INSEE (3 e trimestre 2011) - 4 Source : DARES (octobre 2011) 5 Les agences d emploi (anciennement agences d intérim) proposent depuis la loi de cohésion sociale de 2005, en plus de l intérim, des services de recrutement et d accompagnement des demandeurs d emploi. 3
4 Introduction L innovation sociale ensuite : des schémas inédits doivent être expérimentés. Le marché du travail manque de fl uidité, quelles solutions peuvent être mises en œuvre pour améliorer la mobilité, comment et sous quelle forme? Depuis près de 30 ans, la branche professionnelle des agences d emploi a mis en place un véritable laboratoire d innovation sociale. En négociant en permanence avec les partenaires sociaux et en créant notamment un modèle de fl exisécurité à part entière pour les intérimaires. En mettant en œuvre des services répondant à des besoins du marché du travail qui n étaient pas satisfaits. Ce fut le cas lorsqu en 2005 la loi de cohésion sociale a élargi le champ d action des agences : elles ont alors développé de nouvelles prestations de recrutement profi tant majoritairement à des profi ls de salariés (employés, ouvriers qualifi és et techniciens) et à des catégories d entreprises (PME régionales) qui jusqu alors n accédaient pas à ce type de services. En matière d emploi, il n existe pas de remède miracle. Les agences d emploi ne peuvent pas, et n ont pas la prétention, à elle seules, de régler l ensemble des déséquilibres du marché du travail. Elles sont toutefois conscientes de contribuer à améliorer son fonctionnement et sont convaincues qu avec davantage d espace pour agir, elles pourraient faire plus et mieux pour l emploi. Les agences d emploi formulent des propositions et veulent s engager. C est la raison pour laquelle le PRISME et les professionnels ont évalué les effets attendus des solutions présentées. L enjeu est de l ordre de emplois créés ou maintenus et ce sans surcoût pour les finances publiques, ce qui est décisif en cette période. Si les agences d emploi font le pari de l imagination, elles ont également pour habitude de faire preuve de réalisme et de détermination. 4
5 IQUATRE PROPOSITIONS POUR MAINTENIR PERSONNES DANS L EMPLOI Chaque année, le nombre de licenciés économiques représente en moyenne personnes. Depuis septembre 2011, l annonce d un ralentissement économique laisse craindre un accroissement des plans sociaux pour Or, ces salariés licenciés, souvent ouvriers dans les secteurs industriels, retrouvent diffi cilement un emploi. Afi n de limiter le risque de licenciement pour ces publics, les pouvoirs publics doivent envisager de nouveaux schémas d intervention. A - Maintenir personnes dans l emploi en réduisant de 20 % le nombre de licenciements économiques Le chômage est à lui seul une source d exclusion, il est donc impératif d intervenir auprès des salariés menacés le plus tôt possible, et de préférence lorsqu ils sont encore en emploi. Les agences d emploi ont une expertise reconnue dans l accompagnement et la transformation des métiers. C est pourquoi leur rôle, aujourd hui centré sur les personnes sans emploi, pourrait être étendu à des personnes en emploi. Nombre de licenciements économiques Source : Pôle emploi Objectif : en réduire le nombre de 20 %. Engagement : maintenir emplois. PROPOSITION N 1 Accompagner les entreprises en difficulté et les salariés menacés Il est indispensable de proposer des solutions pour éviter les licenciements. Les agences d emploi sont en mesure d apporter une offre modulable adaptée à chaque situation, véritable ingénierie du maintien en emploi. Elles pourraient, par exemple dans le cadre de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), intervenir auprès des entreprises pour sécuriser les parcours. Elles identifi eraient les emplois menacés par les évolutions économiques ou technologiques. Elles coordonneraient les actions d évaluation, de formation et de reclassement pour des personnes en poste susceptibles d éviter leur licenciement. Dans ce cadre, il serait opportun d autoriser les agences à organiser une délégation temporaire auprès d un autre employeur quand la conjoncture ne permet provisoirement pas à une entreprise de maintenir un emploi. À noter par ailleurs que les PME, qui n ont souvent pas de service RH, pourraient s appuyer sur l agence d emploi, interlocuteur unique, pour les aider à faire face à une situation économique diffi cile et ne pas licencier. Cela paraît d autant plus nécessaire que dans la galaxie de l emploi et de la formation, parmi la multitude d opérateurs spécialisés, il est complexe pour une PME de s y retrouver. Les agences d emploi peuvent renforcer la visibilité en leur proposant des solutions clé en main. (suite) >>> 5
6 I QUATRE PROPOSITIONS POUR MAINTENIR PERSONNES DANS L EMPLOI PROPOSITION N 1 (suite) Permettre aux agences d emploi d opérer auprès des entreprises en fonction de leurs besoins (ingénierie de formation, diagnostic RH, action d évaluation et d orientation), diminuerait le risque de licenciement, grâce à une prise en charge en amont des salariés menacés. Autoriser, sous l égide d une agence d emploi, le principe d aller-retour possible pour un salarié entre plusieurs employeurs permettrait de réduire les licenciements économiques et le chômage partiel. Cela renforcerait par ailleurs l expérience et l employabilité du salarié. PROPOSITION N 2 Activer les dispositifs de sécurisation professionnelle CONTRAT DE SÉCURISATION PROFESSIONNELLE Créé par la loi du 28 juillet 2011, le contrat de sécurisation professionnelle (CSP) s adresse aux salariés dont le licenciement économique est envisagé dans une entreprise de moins de salariés. D une durée maximale de 12 mois, il a pour objet l organisation et le déroulement d un parcours de retour à l emploi, le cas échéant au moyen d une reconversion, d une création ou d une reprise d entreprise. Ce parcours débute par une phase de pré-bilan, d évaluation des compétences et d orientation profesionnelles en vue de l élaboration d un projet professionnel. Il comprend des mesures d accompagnement ainsi que des périodes de formation et de travail. Ainsi, le bénéfi ciaire d un CSP peut réaliser deux périodes d activités pofessionnelles en entreprise sous la forme de contrat d intérim ou de CDD d une durée minimale d un mois, et dont la durée totale ne pourra excéder trois mois. Pendant la durée de ce contrat, et en dehors des périodes durant lesquelles il exerce une activité rémunérée, le titulaire du CSP perçoit une allocation spécifi que de sécurisation professionnelle égale à 80 % du salaire journalier de référence pour les salariés justifi ant d un an d ancienneté dans l entreprise (dans le cas contraire, il bénéfi cie de l allocation d aide au retour à l emploi). Une des clés pour réussir le contrat de sécurisation professionnelle (CSP) est de l inscrire dans la dimension locale du marché du travail Et la force d action locale des agences d emploi constitue un atout pour activer les bons dispositifs. Le réseau des agences d emploi, est tout à fait légitime, aux côtés des 950 agences de Pôle emploi, pour accompagner les bénéfi ciaires de CSP. Et ce, d autant plus que le bénéfi ciaire peut réaliser deux missions d intérim pendant la durée du CSP. Autoriser les agences d emploi à prescrire, au même titre que Pôle emploi, les mesures d accompagnement du CSP permettrait d inscrire la démarche au plus près des besoins des entreprises. Leur intervention augmenterait le taux de réussite et serait sans surcoût pour les fi nances publiques dès lors que cette intervention serait prise en charge dans le cadre de dispositifs déjà existants (cofi nancement du Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels - FPSPP). B - Maintenir seniors dans l emploi en développant des formes d emploi adaptées Le nombre de seniors (plus de 50 ans) au chômage augmente de façon continue depuis plusieurs années et représente désormais personnes 6. 6 Source : Catégorie A, Pôle emploi, octobre
7 La réforme des retraites et l allongement de la durée des cotisations risquent malheureusement d accroître mécaniquement ce nombre. Les entreprises considèrent souvent qu elles prennent un risque lorsqu elles recrutent un senior. L intervention d un intermédiaire, bénéfi ciant de la confi ance des employeurs et mettant en valeur les compétences et l expertise des salariés peut changer les choses. La mise en place d un type de mission et d un mode de rémunération adapté aux attentes des seniors et des entreprises permettrait de contenir une partie de la hausse du chômage des seniors. Nombre de demandeurs d emploi de 50 ans et plus octobre 2011 (catégorie A) : Source : Pôle emploi Objectif : réduire le chômage des seniors de 5 %. Engagement : maintenir emplois. PROPOSITION N 3 Sécuriser l emploi des seniors La France souffre du plus faible taux d activité des seniors de l Union Européenne. Alors que les entreprises hésitent à embaucher des seniors, les missions d intérim représentent une double opportunité : pour les seniors : un maintien dans l emploi, une sécurisation de leur situation avant l âge de la retraite et la poursuite de la constitution de droits ; pour les entreprises utilisatrices : elles satisfont des projets ponctuels pouvant seulement être assumés par des salariés très expérimentés. Avec une rémunération qui correspond à leur grille de salaires pour la même fonction. Les seniors sont de plus en plus nombreux à se tourner vers l intérim qui représente pour eux un moyen de retrouver rapidement un emploi et une solution viable jusqu à l âge de la retraite. Or, la législation limite la durée du contrat de travail temporaire à dix-huit mois (alors même que les CDD peuvent être renouvelés jusqu à une durée de 36 mois). Pour favoriser le maintien dans l emploi des plus de 50 ans, et ce jusqu à la retraite, il convient d abandonner le principe de limitation de la durée des contrats pour cette catégorie d intérimaires. PROPOSITION N 4 Favoriser l autonomie professionnelle des seniors Au cours de ces dernières années, un certain nombre de pratiques sont apparues plus ou moins en marge de la légalité, telles que le portage salarial. D autres formes, plus institutionnelles, telles que le salariat indépendant ou le travail en freelance se développent. Ces nouvelles façons de travailler répondent à un véritable besoin social et pourraient constituer une solution pour une partie des seniors menacés par le chômage. Toutefois, trop souvent, les autonomes faute de contrats n ont pas la possibilité de travailler aussi souvent qu ils le désirent. En outre, l absence d un véritable cadre de travail sécurisé ne permet pas d accéder à des garanties en matière de rémunération ou de droits sociaux. La crise économique mettant à mal toutes formes non stabilisées d emplois, il paraît urgent d en sécuriser l organisation. Les professionnels des agences d emploi pourraient accueillir ces salariés atypiques. Ceux-ci, tout en conservant leur autonomie, bénéfi cieraient d un véritable service de ressources humaines (gestion des contrats et des clauses légales, fi ches de paie, déclaration auprès des caisses ), d un statut (droit à la formation, garanties de rémunération ). Ils pourraient profi ter de l effet réseau et être accompagnés dans leur recherche de missions. La mise en place d un cas de recours adapté permettrait aux agences d emploi de gérer cette délégation d experts autonomes et de proposer un environnement favorable au maintien dans l emploi de seniors expérimentés. 7
8 PROPOSITIONS POUR CRÉER IIQUATRE EMPLOIS Le chômage des jeunes touche près d un quart d entre eux 7. Il est urgent de trouver des solutions opérantes pour favoriser leur accès au marché du travail. Quel que soit l âge de la personne, aucun statut ne préserve aujourd hui du chômage. Sur un marché du travail en mutation constante, il faut développer de nouvelles sécurités sociales centrées sur les parcours professionnels. La question de la formation est capitale : le marché du travail évolue à grande vitesse et les savoir-faire deviennent rapidement obsolètes. Le prêt à l emploi n existe plus, ce qui nécessite d adapter continuellement les qualifi cations. Les fl uctuations économiques sont de plus en plus imprévisibles et fréquentes. Dans ce contexte, il apparaît indispensable d inscrire les contrats à durée limitée dans un parcours stable et sécurisé. Simplifi er les règles de l intérim permettrait non seulement aux agences de développer les opportunités mais également de disposer de plus de latitude pour investir dans de nouveaux schémas de sécurisation des parcours professionnels. 7 Source : 22,5 %, INSEE (3 e trimestre 2011) 8 PROPOSITION N 1 Satisfaire chaque année offres non pourvues Les agences d emploi mettent chaque année en œuvre, pour les salariés intérimaires, formations très opérationnelles. Celles-ci, généralement de courte durée, permettent d adapter rapidement les compétences à l environnement de travail. Sur le marché du travail, le décalage entre les compétences et les besoins des entreprises, demeure un frein et génère des déséquilibres. Cette situation est d autant plus absurde que le chômage est élevé. Pour les demandeurs d emploi, les formations prescrites sont trop souvent mal adaptées aux besoins. Ainsi, alors que 3 millions de personnes sont sans emploi, chaque année, offres d emploi ne trouvent pas preneurs et des secteurs restent confrontés à des pénuries de personnel. Renforcer l effi cacité de la formation professionnelle nécessite d inscrire cette démarche au plus près des besoins des entreprises. Les agences d emploi peuvent participer à ce rapprochement. Toutefois, leur capacité d intermédiation se limite aujourd hui aux seules formations des salariés intérimaires. Les entreprises rencontrant des difficultés de recrutement doivent pouvoir faire appel aux agences d emploi pour coordonner leurs formations. L intervention des agences d emploi dans le champ de la formation des entreprises réduirait potentiellement de 10 % le nombre d offres non satisfaites, soit emplois supplémentaires. Nombre d offres d emploi vacantes : Source : ANDRH Objectif : réduire les offres non pourvues de 10 %. Engagement : créer emplois.
9 PROPOSITION N 2 Décloisonner le reclassement des demandeurs d emploi en renforçant la complémentarité entre opérateurs publics et privés Pour les salariés, le chômage représente une course contre la montre : plus sa durée augmente, plus la probabilité d en sortir se réduit. Ainsi, un noyau dur de 40 % des chômeurs inscrits à Pôle emploi se trouve au chômage depuis plus d un an 8 et ne parvient pas à (ré)intégrer le marché du travail. Pôle emploi fait actuellement face à un affl ux d inscriptions, ce qui suscite mécaniquement une augmentation de la durée moyenne du chômage et un mécontentement parmi les usagers. Orienter directement les demandeurs d emploi, selon leurs profils et leurs besoins vers un opérateur public ou privé faciliterait la gestion des flux d entrée et de sortie du chômage. Une meilleure répartition des tâches réduirait l effet file d attente en favorisant un retour plus rapide vers l emploi des chômeurs dont les compétences sont recherchées. Pôle emploi pourrait ainsi se concentrer sur les missions de service public et consacrer davantage d énergie aux demandeurs d emploi de longue durée. En réduisant le poids de l inertie, cette coordination, améliorerait la qualité du service et réduirait chaque année le chômage frictionnel d au moins personnes. 8 Source : Pôle emploi Les pouvoirs publics doivent agir avec pragmatisme : dans un contexte budgétaire diffi cile, la solution peut passer par une meilleure coordination entre les acteurs. Déjà engagés depuis de nombreuses années, les partenariats entre Pôle emploi et les agences d emploi devraient être renforcés avec une politique de cotraitance de plus grande ampleur, mise en place au niveau local. Répartition des demandeurs d emploi selon leur ancienneté au chômage : Moins de 3 mois 28 % 3 à 6 mois 15 % 6 à 12 mois 19 % 1 à 2 ans 19 % 2 à 3 ans 9 % 3 ans et + 10 % Source : Pôle emploi Objectif : accélérer de 5 jours en moyenne le retour vers l emploi pour les personnes les moins éloignées du marché du travail (au chômage depuis moins de 6 mois) afi n de réduire d 1 jour la durée moyenne de chômage. Engagement : réduire le nombre de demandeurs d emploi d au moins personnes (- 0,2 %). 9
10 II QUATRE PROPOSITIONS POUR CRÉER EMPLOIS PROPOSITION N 3 Renforcer l engagement en faveur de l emploi des jeunes Chaque année, jeunes quittent le système éducatif sans qualifi cation. Il est indispensable de développer un plan d action à deux niveaux : le premier, au niveau du système éducatif pour réduire les voies de garage. Le second, au niveau des opérateurs de l emploi (publics et privés), pour accompagner ces jeunes vers l entreprise. Développer l employabilité en proposant de véritables parcours d insertion. Vecteur d intégration pour jeunes (soit équivalents emplois temps plein), les agences d emploi sont souvent les seules entreprises à faire confi ance et à former des jeunes actifs peu qualifi és et/ou sans expérience. Certaines règles, élaborées à une époque où les contraintes juridiques étaient véritablement nécessaires, freinent aujourd hui inutilement leur accès à l emploi. Difficultés d intégration des jeunes : jeunes sortis du système scolaire sans diplôme. Source : Ministère de l Éducation nationale à partir du SIEI (Système interministériel d échange d informations) 1 million des 8 millions de 15 à 24 ans ne sont ni en formation, ni à l école, ni dans l emploi. Objectif : augmenter de 10 % le nombre de missions d intérim en assouplissant certaines contraintes inadaptées. Source : Rapport Bain/Eurociett, 2007 Engagement : créer emplois supplémentaires. Le délai de carence, égal au tiers ou à la moitié de la durée du contrat d intérim arrivé à expiration, fait peser un risque inutile sur les intérimaires et tout particulièrement sur les plus jeunes. En début de carrière, les salariés peu expérimentés développent leur employabilité en cumulant les expériences. Leur interdire l accès à l emploi en raison du délai de carence les pénalise fortement. Supprimer le délai de carence pour les missions d une durée supérieure à 15 jours favoriserait l emploi et encouragerait les clients à rallonger la durée des missions. De même, la limitation du renouvellement des missions apparaît contre-productive. L absence de visibilité incite les entreprises à s appuyer durablement sur l intérim, sans lequel elles ne créeraient pas d emplois mais des heures supplémentaires. Or, les entreprises ne peuvent renouveler plus d une fois les contrats d intérim. Autoriser les entreprises à renouveler les missions selon leurs besoins tout en conservant une durée maximale de l enchaînement des contrats de travail temporaire permettrait d éviter les ruptures tout en augmentant la durée des missions. Le rapport Bain/Eurociett 9 indique qu assouplir ces règles augmenterait potentiellement le volume des contrats de près de 10 % et créerait, au global, emplois en équivalents temps plein supplémentaires. Actualiser certaines règles de l intérim faciliterait l effi cacité quotidienne des professionnels des agences au service de l emploi. Ce qui leur permettrait de disposer de plus de latitude pour innover et investir dans la sécurisation des parcours professionnels. 9 Source : More work opportunities for more people Bain / Eurociett,
11 PROPOSITION N 4 Mettre en place un nouveau contrat : le Contrat de Mission à Durée Indéterminée (CMDI) Un nombre croissant de salariés souhaite gérer sa carrière comme une succession de missions, tout en bénéfi ciant d un statut protecteur entre les missions. Développement du volume d emplois proposés par les agences d emploi liés à la mise en place d un CDI Pays-Bas 5 % Sources : ABU, ASSOLAVORO Italie 5 % Objectifs : sécuriser les parcours, favoriser le partage des compétences et augmenter à moyen terme le volume d emplois des agences de 3 %. Engagement : créer emplois en Contrat de Mission à Durée Indéterminée (CMDI). En contrepartie d un assouplissement du recours à l intérim, les agences d emploi pourraient mettre en œuvre un nouveau type de contrat répondant à ces objectifs : le Contrat de Mission à Durée Indéterminée (CMDI). Les candidats concernés bénéfi cieraient auprès des agences d emploi d un contrat à la carte adapté à leur manière de travailler. Ils disposeraient, entre les missions, non seulement d un accompagnement (formation, prospection) mais aussi d une rémunération. En outre, les conditions de rupture seraient défi nies dès le début du contrat. Les agences d emploi proposeraient donc à titre optionnel un Contrat de Mission à Durée Indéterminée qui présenterait l avantage de répondre au besoin de fl exisécurité des candidats et au transfert de compétences dans les entreprises. Les partenaires sociaux, puis le législateur pourraient s inspirer de l Allemagne qui a déjà défi ni le cadre technique garantissant le niveau de rémunération, et les modalités de rupture adaptées. C est le sens de la Directive européenne sur le travail temporaire qui démontre l exigence d une convergence des modèles d emploi. Dans les pays où cette offre de service existe, le volume d emplois proposé par les agences a progressé en moyenne de 5 %. La montée en puissance progressive du dispositif en France permettrait d augmenter à moyen terme le volume d emplois de 3 %, soit CMDI. En effet, rendre les règles de l intérim plus lisibles et plus simples permettrait aux professionnels des agences de disposer du temps nécessaire pour gérer les périodes d intermission et accompagner davantage les salariés (évaluation des acquis, construction des carrières, prospection auprès des entreprises ). 11
12 Conclusion Ce Livre Blanc se veut d abord un outil de dialogue et de réflexion. Dialogue direct et constructif avec les pouvoirs publics, le futur Gouvernement et sa majorité parlementaire, les partenaires sociaux et tous les acteurs engagés qui souhaitent, avec le PRISME, participer à l amélioration du fonctionnement du marché du travail. Réfl exion afi n d innover, de proposer un véritable projet pour l emploi, porteur d un marché du travail à la fois moderne et régulé. Mais au-delà des mots, les agences s engagent concrètement, et l observation du marché du travail montre qu elles tiennent leurs promesses pour développer l emploi de qualité. Elles ont contribué à hauteur de 12 % des créations nettes d emplois enregistrées au cours des 15 dernières années 10 Pour des emplois de qualité avec le statut social du salarié intérimaire le plus protecteur d Europe. La prévention des accidents du travail demeure cependant un domaine qui doit être amélioré. Le salarié intérimaire est sous la responsabilité de l entreprise dans laquelle il est en mission. Pourtant, en cas d accident, la réglementation n engage pas fi nancièrement sa responsabilité. Ainsi, certaines entreprises utilisatrices s impliquent insuffi samment dans la prévention des risques des intérimaires. Une répartition identique du coût de l accident du travail entre l agence et le client inciterait ce dernier à s engager systématiquement dans la prévention des risques professionnels. Leur intervention dans le domaine du recrutement, a permis, comme elles s y étaient engagées à faire bénéfi cier à des PME locales, à des employés, des techniciens et des ouvriers, de services de recrutement auxquels ils n avaient jusqu à présent pas accès. Elles souhaitent aujourd hui aller plus loin et s engager avec : une méthode : être plus offensif dans la lutte contre le chômage sur tous les fronts. Intérim, recrutement en CDD et en CDI, Contrat de Mission à Durée Indéterminée, délégation d experts, gestion des transitions, adaptation aux postes de travail ; un objectif chiffré : maintenir dans l emploi salariés menacés et créer emplois supplémentaires ; un suivi : avec la communication d un bilan annuel. L action est l antidote au renoncement. C est cette formule que les agences d emploi proposent pour lutter contre le chômage. 10 Sur 2,2 millions d emplois créés entre le 3 e trimestre 2006 et le 3 e trimestre 2011, l ont été en intérim (Dares). 12
13 ANNEXE 1 DONNÉES DE CADRAGE L INTÉRIM EN entreprises et agences d emploi Nombre d intérimaires en équivalent emplois temps plein : (+14,8 % par rapport à 2009) Nombre de missions : 15,7 millions (+16,0 % par rapport à 2009) Taux de recours (emploi salarié) : 3,0 % RÉPARTITION DE L ACTIVITÉ PAR SECTEUR Industrie : 43,5 % BTP : 20,4 % Tertiaire : 35,6 % RÉPARTITION DES INTÉRIMAIRES PAR QUALIFICATION Cadres : 1,7 % Professions intermédiaires : 7,9 % Employés : 13,4 % Ouvriers qualifi és : 39,5 % Ouvriers non qualifi és : 37,4 % PART DES MOINS DE 25 ANS : 27,9 % (soit ETP) LE RECRUTEMENT EN 2010 NOMBRE DE RECRUTEMENTS : (+ 28 % par rapport à 2009) RÉPARTITION PAR TAILLE D ENTREPRISES CLIENTES Moins de 50 salariés : 44 % Plus de 50 salariés : 56 % RÉPARTITION DE L ACTIVITÉ PAR SECTEUR Industrie : 26 % BTP : 8 % Tertiaire : 66 % RÉPARTITION DES PERSONNES RECRUTÉES PAR QUALIFICATION Cadres : 16 % Professions intermédiaires : 18 % Employés : 54 % Ouvriers qualifi és : 9 % Ouvriers non qualifi és : 3 % PART DES 50 ANS ET PLUS : 8,7 % (soit ETP) CONTRIBUTION À LA CRÉATION NETTE D EMPLOIS EN 2010 : 78 % 13
14 ANNEXE 2 L ACTION DES AGENCES D EMPLOI AMÉLIORE LE FONCTIONNEMENT DU MARCHÉ DU TRAVAIL Les agences d emploi sont indispensables au bon fonctionnement du marché du travail Dans la crise et l immédiat après crise et face à un marché du travail dont la volatilité et la complexité s accroissent sans cesse, l intérim joue un rôle économique crucial. Il permet aux entreprises d ajuster leurs capacités de production dans un environnement incertain et ainsi accélère et amplifi e les créations d emplois. Les agences d emploi créent des emplois qui n auraient autrement pas existé L intérim ne se substitue pas à d autres types de contrats : si les entreprises n avaient pas recours à l intérim, près de 80 % d entre elles n auraient pas embauché de salariés (en utilisant alors des heures supplémentaires ou sans réaliser la charge de travail additionnelle). L action des agences d emploi favorise l accès à l emploi L intérim est un tremplin effi cace vers l emploi : en 2010, les intérimaires ont été 4 fois moins concernés que les salariés en CDD par le chômage. Autrement dit, près de 4 fois plus de salariés en fi n de CDD s inscrivent au chômage. L intérim joue un rôle décisif pour l insertion des chômeurs et des jeunes 80 % des personnes à leur entrée dans l intérim sont en dehors du marché du travail. Un an plus tard, moins du quart d entre elles sont dans cette situation jeunes (moins de 25 ans) passent chaque année par l intérim (soit équivalents temps plein) et plus de 80 % d entre eux n avaient aucune expérience professionnelle. Un an plus tard, 60 % ont un emploi. L intérim, un frein à la délocalisation Au cœur du débat sur la délocalisation, une étude récente du ministère du Travail révèle que l intérim est devenu un facteur clé de compétitivité pour les entreprises : le recours croissant au travail temporaire a permis aux secteurs industriels de résister et de se renforcer en accentuant leur réactivité face à la conjoncture et à leurs clients. Une profession engagée dans une juste rémunération de l emploi La pratique de l intérim, strictement encadrée en France, assure l égalité et la sécurité en matière de garanties de ressources : la rémunération de l intérimaire ne peut être inférieure à celle que percevrait un salarié en CDI de même qualifi cation effectuant les mêmes tâches. De plus, au terme de son contrat, l intérimaire bénéfi cie d une indemnité compensatrice de congés payés de 10 % et d une indemnité de fi n de mission, représentant 10 % de la rémunération totale. 14
15 ANNEXE 3 UN MODÈLE DE FLEXISÉCURITÉ À PART ENTIÈRE Depuis près de 30 ans, les partenaires sociaux de la branche du travail temporaire ont élaboré un statut social de l intérimaire, le plus protecteur d Europe. La formation Afi n de répondre à des besoins en compétence non satisfaits et pour adapter les qualifi cations aux évolutions récentes du marché du travail, les agences d emploi ont investi en 2010, au-delà des obligations légales, 300 millions d euros dans la formation professionnelle. Ce sont ainsi formations opérationnelles qui ont été mises en œuvre. L action sociale Le Fonds d action sociale du travail temporaire (Fastt) met à disposition des salariés intérimaires un ensemble de services et d avantages sociaux destinés à leur favoriser l accès à l emploi, au logement, au crédit ou à les aider dans la vie quotidienne. En 2010, près de prestations ont été délivrées par le Fastt afi n de : faciliter l accès à l emploi : service de location de véhicules à prix réduit, solutions de prêt pour l acquisition d un véhicule ; favoriser l accès au logement : conseils apportés par le Fastt pour organiser la recherche, outils pour valoriser la candidature du salarié intérimaire auprès du bailleur, garanties de paiement pour sécuriser le loyer, mise en relation avec des bailleurs et des agences immobilières ; sécuriser l accès au crédit : conseils et études de projet, solutions de prêt (pour des projets réalisables sans risque identifi é de surendettement, le Fastt en partenariat avec des organismes fi nanciers, facilite l accès à des solutions de prêt) ; proposer une mutuelle permettant à des salariés intérimaires de se doter d une complémentaire santé. La prévoyance La profession a mis en place un régime d indemnisation complémentaire pour les risques de maladie, d invalidité, d accidents du travail, de trajet, de maternité, de décès, accessible dès la première heure travaillée. Des droits transférables d une mission à l autre (chômage, formation, prévoyance) Le Conseil d Orientation pour l Emploi (COE), dans le document de travail intitulé : Organisation du travail et Flex-sécurité à la Française précise que la profession du travail temporaire, pour juguler les effets indésirables de la discontinuité du travail temporaire, a permis aux intérimaires de conserver certains droits qu ils acquièrent à l occasion de chaque mission et de sécuriser ces droits par-delà la nécessaire mobilité qu implique cette forme de travail. À cet égard, les partenaires sociaux sont parvenus à s affranchir du cadre statique du contrat de travail et à raisonner dans celui plus dynamique de parcours professionnel. 15
16 PRISME 56, rue Laffitte Paris Cedex 09 Tél. : Fax : Édité par Sogestt R.C. PARIS
Propositions des Professionnels de l intérim pour développer l emploi.
Livre Blanc Propositions des Professionnels de l intérim pour développer l emploi. Sommaire Contributions économiques et sociales de l intérim p. 5 Propositions pour favoriser le maintien dans l emploi
Plus en détailLMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat.
LMD COLLECTION Expertise comptable Le meilleur du DCG 3 Droit social 2 e ÉDITION Marie-Paule Schneider Maryse Ravat Sup FOUCHER «Le photocopillage, c est l usage abusif et collectif de la photocopie sans
Plus en détailPortage salarial : effets de l ordonnance n 2015-380 du 2 avril 2015
CIRCULAIRE N 2015-10 DU 11 JUIN 2015 Direction des Affaires Juridiques INSX011-ACE Titre Portage salarial : effets de l ordonnance n 2015-380 du 2 avril 2015 Objet Suppression de l attestation spécifique
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailL intergénérationnel, un enjeu pour tous
www.limousin.gouv.fr 1 2 L intergénérationnel, un enjeu pour tous 3 SOMMAIRE COMMUNIQUE DE SYNTHESE page 4 CONTEXTE page 6 Le contrat de génération en Limousin L appui-conseil au contrat de génération
Plus en détailLE BEL AVENIR DU TRAVAIL PRÉCAIRE
AVANT-PROPOS Il est des matières qui puisent leur vie et leur contenu dans l actualité. Ainsi, quoi de plus évident qu une matière comme les «Questions sociales», dont le périmètre et la défi nition se
Plus en détailKoopL. Le portage salarial à portée de main. Une autre approche de votre travail, Rester indépendant en toute tranquillité
KoopL Le portage salarial à portée de main Une autre approche de votre travail, Rester indépendant en toute tranquillité Simplifiez-vous le portage Les activités de services recrutent. Nombreuses sont
Plus en détailAccord relatif à l activité de portage salarial
Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité de portage salarial. Les personnes portées sont titulaires d un contrat de travail conclu
Plus en détailLe Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI)
Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) 1 Définition du CDDI un contrat de travail à durée déterminée dont le motif de recours est spécifique : favoriser le recrutement de certaines catégories
Plus en détailACCORD DU 24 JUIN 2010
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL (Portage salarial) ACCORD DU 24 JUIN 2010 RELATIF AU PORTAGE
Plus en détailBien CHOISIR un CONTRAT de travail
Juin 2012 GUIDE PRATIQUE Bien CHOISIR un CONTRAT de travail 2 Introduction Vous devez développer de nouveaux marchés, faire face à une commande exceptionnelle, trouver le remplaçant de votre directeur
Plus en détailLa Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective
Un appui au recrutement de vos futurs salariés intérimaires La Préparation L essentiel de la POEC A la différence de la POE Individuelle, la POE n est pas conditionnée au dépôt préalable d une offre d
Plus en détailMobilisation en faveur de l emploi des seniors
Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mesures retenues par le Gouvernement à l issue de la concertation avec les partenaires sociaux dans le cadre du rendez-vous 2008 sur les retraites Dès la
Plus en détailLA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE. Questions/réponses
LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE Questions/réponses QUI EST CONCERNÉ PAR LA LOI DU 3 AOÜT 2009 RELATIVE A LA MOBILITÉ ET AUX PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION
Plus en détailUN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE
UN MARCHE DU RECRUTEMENT EN PHASE AVEC l EVOLUTION DU MARCHE COMPTABLE RECRUTEMENT 74% DES EMPLOYEURS ONT RECRUTE SUR L ANNEE 2013/2014 Raisons des recrutements quelles évolutions depuis 3 ans? Le recrutement
Plus en détailJuin. Modernisation du Marché du Travail
Juin Modernisation du Marché du Travail 2008 les fiches argumentaires du medef Les dispositions de l accord national interprofessionnel du 11 janvier 2008, dont la mise en œuvre requiert un support législatif,
Plus en détailSEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION...
P9703-F1/2 291 SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... 292 II. L URGENCE : LEGIFERER PAR ORDONNANCES... 295 III.
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL Ordonnance n o 2015-380 du 2 avril 2015 relative au portage salarial
Plus en détailL allocation d aide au retour à l emploi (ARE)
indemnisation L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) Pour les 50 ans et plus L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) Pour les 50 ans et plus Pour qui? Pour vous si : vous n avez pas atteint
Plus en détailLe contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE MISSION FORMATION «POLE ALTERNANCE»
GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE Le contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier MISSION FORMATION CONTINUE ET APPRENTISSAGE «POLE ALTERNANCE» LE CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION
Plus en détailNEGOCIATIONS EN COURS...2 EVOLUTIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES...2 A RETENIR...3 CONTACTS...4 SITE CFTC...5
Tous les mois, l actualité en bref de la Confédération sur l emploi et le chômage SOMMAIRE NEGOCIATIONS EN COURS...2 Signature Convention tripartite triennale 2012/2014: abstention de la CFTC... 2 Auditions
Plus en détailTableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation
Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Attention : Ce document a été établit en juin 2015. Les informations qu il contient peuvent avoir évoluées en fonction des lois
Plus en détailORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social TEXTE SOUMIS A LA DELIBERATION DU CONSEIL DES MINISTRES ORDONNANCE relative au portage salarial
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE Préambule Considérant la situation économique et, notamment, l impact de celle ci sur le marché de l emploi et le
Plus en détailMANIFESTE POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000 EMPLOIS À LA CLÉ! DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DU PORTAGE SALARIAL
MANIFESTE DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DU PORTAGE SALARIAL POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000 EMPLOIS À LA CLÉ! POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000
Plus en détailAssessment & development center
LEROY Consultants Assessment & development center Apporter une appréciation objective sur les potentiels et les développer Un lieu une démarche Le capital humain est reconnu comme un enjeu stratégique
Plus en détailPROJET. Accord cadre relatif à l activité de portage salarial
PROJET Accord cadre relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord cadre a pour finalité de fixer un cadre général de l activité du portage salarial et sera complété, en tant que
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailVeille sociale au 12 septembre 2014
( Veille sociale au 12 septembre 2014 La veille sociale présentée dans cette revue actualise la veille présentée le mois dernier. Les sujets qui n ont pas évolué ne sont pas repris. ( I ) Projets sociaux
Plus en détailAujourd hui, il est consultant dans les domaines de Paie, Déclarations et Ressources Humaines.
Emploi Salarié Retraité Document réalisé par Albert CREPALDI, septembre 2008 Présentation : Albert CREPALDI a passé toute sa carrière depuis 1970 dans le monde du service paie et RH, au sein d une grande
Plus en détailLe portage salarial. Cette ordonnance fixe les conditions de recours au portage et précise les principes applicables aux salariés portés.
les infos DAS - n 075 24 juin 2015 Le portage salarial A la suite de l ordonnance du 2 avril 2015 1 qui donne un nouveau fondement juridique au portage salarial, il nous a paru nécessaire de faire le point
Plus en détailAccord relatif à l activité de portage salarial
Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité du portage salarial et s applique aux personnes titulaires d un contrat de travail en
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailA Absence lors de la journée de solidarité... 3
Partie 1 - L actualité 2011.... 1 A Absence lors de la journée de solidarité... 3 Absence pour maladie sans justification... 9 Absences répétées pour maladie et évolution professionnelle.... 10 Accident
Plus en détailCOTISATIONS ET POINTS DE
GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO COTISATIONS ET POINTS DE LA RETRAITE COMPLÉMENTAIRE Guide salariés n o 3 Cotisations et points de la retraite complémentaire Sommaire La retraite, en bref...
Plus en détailJ ai beau être son superpapa, je ne suis pas immortel.
RASSURCAP SOLUTIONS J ai beau être son superpapa, je ne suis pas immortel. Assurance décès Capital à partir de 7500 mgen.fr Mutuelle Santé Prévoyance Autonomie Retraite RASSURCAP SOLUTIONS Le pouvoir de
Plus en détailLES RÈGLES D INDEMNISATION DE L ASSURANCE CHÔMAGE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE DU 14 MAI 2014
LES RÈGLES D INDEMNISATION DE L ASSURANCE CHÔMAGE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE DU 14 MAI 2014 SOMMAIRE Page 04 QU EST-CE que l Assurance chômage? Page 06 QUI est assuré contre la perte d emploi? Page
Plus en détailRECAPITULATIF DES PROPOSITIONS
77 RECAPITULATIF DES PROPOSITIONS PROPOSITIONS THEMATIQUES LOGEMENT 1. Mieux faire connaître aux personnes propriétaires de leur logement en France et s établissant temporairement à l étranger : 1 les
Plus en détailLETTRE CIRCULAIRE N 2008-081
Montreuil, le 16/10/2008 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE DIRRES LETTRE CIRCULAIRE N 2008-081 OBJET : Loi n 2008-596 du 25 juin 2008 portant modernisation du marché du
Plus en détailNOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE
IMPACT de la NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE MAI 2014 Page 1 sur 26 1. Impact global Issues de l accord signé en mars 2014 et valables pour 2 ans, les nouvelles règles d Assurance chômage ont été
Plus en détailLa réforme : une opportunité pour la fonction formation
Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon
Plus en détailL IMPACT DE LA LOI DE SECURISATION DE L EMPLOI SUR LES ENTREPRISES DE
L IMPACT DE LA LOI DE SECURISATION DE L EMPLOI SUR LES ENTREPRISES DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE La Loi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l'emploi a été publiée au Journal officiel
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détail- 29 - TABLEAU COMPARATIF
- 29 - TABLEAU COMPARATIF Projet de loi portant modernisation du marché du travail Article 1 er I. - L article L. 1221-2 du code du travail est ainsi modifié : 1 Le premier alinéa est ainsi rédigé : «Le
Plus en détailAGENCE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE L EMPLOI
AGENCE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE L EMPLOI 1 AGENCE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE L EMPLOI Sommaire Code du Travail (tel qu il a été modifié) (Extrait: Art. L. 621-1 - 623-3).....................................
Plus en détailComment m informer au mieux?
Comment m informer au mieux? Pour suivre le versement de ma pension d invalidité, j ouvre mon compte sur JE SUIS ACCOMPAGNÉ EN CAS D INVALIDITÉ L'ASSURANCE MALADIE EN LIGNE Pour en savoir plus sur l information
Plus en détailGuide de création d une entreprise de travail temporaire
Guide de création d une entreprise de travail temporaire I préambule... p.3 II L objet d une entreprise de travail temporaire... p.4 Une définition contractuelle Une définition légale Modèle d objet social
Plus en détailFICHE THÉMATIQUE Protection sociale
FICHE THÉMATIQUE Protection sociale C Ce document vous apporte des informations utiles sur vos droits en matière de protection sociale et sur vos régimes de retraite obligatoires dans le cadre du plan
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailDirection des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF
CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF SOMMAIRE PREAMBULE P. 4 DISPOSITIONS GENERALES : I. Généralités P. 05 I.1. Définition de la classification P. 05 I.2. Relation classification emploi P. 05 I.3.
Plus en détailPOUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017
LE PACTE : un outil pragmatique et partenarial au service des habitants et des acteurs économiques POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 Depuis sa création Est Ensemble a fait du
Plus en détailALLOCATIONS CHOMAGE. Effet au 01/07/2014
Questions sociales Note d information n 14-15 du 6 août 2014 ALLOCATIONS CHOMAGE Effet au 01/07/2014 Références Arrêté du 25 juin 2014 portant agrément de la convention du 14 mai 2014 relative à l indemnisation
Plus en détailLoi n 2011-893 du 28 Juillet pour le développement de l alternance et la sécurisation des parcours professionnels
Loi n 2011-893 du 28 Juillet pour le développement de l alternance et la sécurisation des parcours professionnels La loi n 2011-893 du 28 juillet 2011 comporte différentes mesures visant notamment à développer
Plus en détailLa loi sur la mobilité des fonctionnaires
MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT La loi sur la mobilité des fonctionnaires De nouveaux outils au service d une vraie carrière collection Ressources
Plus en détailÉPARGNE TEMPS DÉCRET CIRCULAIRE DECRET
LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS DÉCRET N 2004-878 DU 26 AOÛT 2004 MODIFIE CIRCULAIRE DU 31 MAI 2010 SUR LA REFORME DU CET DANS LA FONCTION PUBLIQUE DECRET 2010-531 DU 21 MAI 2010 Le compte épargne temps (CET)
Plus en détailQue pensez-vous des formes atypiques d emploi, notamment du portage salarial et de l auto-entreprenariat
Entretien avec Ivan Béraud et Christian Janin Des formes d emploi à encadrer Pour une sécurisation des parcours professionnels La CFDT et la fédération Culture, Conseil, Communication (F3C) ne sont pas
Plus en détailSÉCURISATION DE L EMPLOI
Accompagner les dirigeants de l ess dans la gestion des ressources humaines DOSSIER JURIDIQUE SÉCURISATION DE L EMPLOI Réalisé par : La Loi sur la sécurisation de l emploi La loi de sécurisation de l emploi
Plus en détailREGIME DE PREVOYANCE CONVENTIONNEL OBLIGATOIRE
Votre centre de gestion CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES ENTREPRISES DE COMMISSION, DE COURTAGE ET DE COMMERCE INTRA-COMMUNAUTAIRE ET D IMPORTATION- EXPORTATION DE FRANCE METROPOLITAINE PERSONNEL CONCERNE
Plus en détailNotice d information. Prévoyance. Convention collective nationale des Distributeurs conseils hors domicile [brochure n 3121 - IDCC 1536]
Prévoyance Régime inaptitude à la conduite ou au portage Notice d information Convention collective nationale des Distributeurs conseils hors domicile [brochure n 3121 - IDCC 1536] Personnel non cadre
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3255 Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES ACCORD DU
Plus en détailACCORD DU 18 JUIN 2010 PRÉAMBULE
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3367 Convention collective nationale IDCC : 2847. PÔLE EMPLOI ACCORD DU 18 JUIN 2010 RELATIF AU TRANSFERT
Plus en détailLES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010
LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...
Plus en détailLE GUIDE DE VOTRE RECHERCHE D EMPLOI
MAI 2013 LA COOPÉRATIVE - William Daniels - Mai 2013 - Réf. 500 LE GUIDE DE VOTRE RECHERCHE POLE-EMPLOI.FR POLE-EMPLOI.FR PÔLE EMPLOI VOUS ACCOMPAGNE DURANT TOUTE VOTRE RECHERCHE Le chômage est une période
Plus en détailLOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013
LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 Les changements concernant la protection sociale complémentaire Les dates clés 11 janv. 2013 : Signature de l Accord National Interprofessionnel
Plus en détailconseils en assurances, crédit, gestion patrimoniale
L INDEPENDANCE D UN GROUPE conseils en assurances, crédit, gestion patrimoniale LE GROUPE EUROPEA «La qualité s apprécie dans la durée» Cabinet de Courtage en Assurances, Crédits et Gestion de Patrimoine
Plus en détailRENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE
RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE La CFTC demande l organisation d un marathon social. Il s agira d élaborer une liste lors de cette réunion du 18
Plus en détailtravailler en france frontalière Guide pratique du travailleur frontalier
travailler en france frontalière Guide pratique du travailleur frontalier 1 Vous exercez votre activité professionnelle, salariée ou indépendante, sur le territoire français mais résidez sur le territoire
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailVotre contrat Prévoyance / Dépendance Entreprise
Prévoyance / Dépendance - PME Votre contrat Prévoyance / Dépendance Entreprise Livret de l entreprise Votre contrat Vos cotisations Les mouvements de personnel Les prestations pour vos salariés Vos contacts
Plus en détailMINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3257 Convention collective nationale IDCC : 1601. BOURSE (3 e édition. Juin 2004) ACCORD DU 8 JUILLET 2005
Plus en détailACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007
ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 Préambule Dans le prolongement de la loi du 9 mai 2001 relative
Plus en détailFélicitations! Manpower, ce n est pas que de l intérim! Nous pouvons aussi vous proposer des contrats en CDI, CDD et alternance.
MON GUIDE MANPOWER Félicitations! Vous avez passé avec succès nos étapes de sélection et d évaluation et nous sommes très heureux de débuter ensemble cette collaboration. Devenir salarié intérimaire chez
Plus en détailDescriptif du projet
Novembre 2014 Titre du projet Projet nouveau Descriptif du projet Apprentissage en Agriculture en Aquitaine Projet récurrent Année et session concernées Janvier 2015 Organisme demandeur AREFA Association
Plus en détailLes ressources humaines
Crédit photo : Reza Estakhrian/Stone Déterminer la couverture d un risque, cerner les besoins des assurés et y répondre sont des opérations complexes et en grande partie immatérielles qui font de l assurance
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération
FICHE TECHNIQUE Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération SOMMAIRE : I) LES ACCORDS ET PLANS D ACTION EN FAVEUR DES SALARIES
Plus en détailPortage salarial : caractéristiques et formalités obligatoires du CDD
Portage salarial : caractéristiques et formalités obligatoires du CDD Article juridique publié le 20/04/2015, vu 986 fois, Auteur : MAITRE ANTHONY BEM Selon l Ordonnance n 2015-380 du 2 avril 2015, le
Plus en détailAGECFA - VOYAGEURS GUIDE DU CONGE DE FIN D ACTIVITE
AGECFA - VOYAGEURS GUIDE DU CONGE DE FIN D ACTIVITE SOMMAIRE 04 Introduction OBJET FINANCEMENT FONCTIONNEMENT 10 Les entreprises et le Congé de Fin d Activité ADHeSION à L AGECFA-Voyageurs PERSONNEL AFFILIe
Plus en détailPLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
Plus en détailConvention d assurance chômage
Aux Union Départementales Aux Fédérations Nationales Paris, le 28 mars 2014 Secteur Formation Professionnelle Emploi/Assurance chômage Réf. : JCM/SL/DD Circ. : n 058-2014 Convention d assurance chômage
Plus en détailL allocation d aide au retour à l emploi (ARE)
INDEMNISATION L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) Pour les moins de 50 ans L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) Pour les moins de 50 ans Pour qui? Pour vous si : vous avez travaillé
Plus en détailDossier d information. DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application
DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application MARS 2015 DROITS RECHARGEABLES Mars 2015 SOMMAIRE Une application problématique dans
Plus en détailfiche pratique Les salaires de votre salarié à domicile
fiche pratique Les salaires de votre salarié à domicile (Hors assistant maternel agréé) Vous recrutez un(e) salarié(e) pour vous aider à entretenir votre domicile et repasser votre linge. Vous souhaitez
Plus en détailRéforme de la formation professionnelle
MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes
Plus en détailLes seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS
Les seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS Journée d information et d échanges organisée par l Equipe de droit social, UMR 7354 DRES La prévention des facteurs de pénibilité,
Plus en détailMÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
Plus en détailSage Suite RH Le logiciel de paie moderne qui valorise votre meilleur atout : le capital humain.
Fiche produit Sage Suite RH Le logiciel de paie moderne qui valorise votre meilleur atout : le capital humain. Optez pour une gestion optimisée de la Paie et des Ressources Humaines Les données conjoncturelles
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailGUIDE DE L EMPLOYEUR
Unité Territoriale de Paris GUIDE DE L EMPLOYEUR Actualisé le 07 août 2013 CONTRAT UNIQUE D INSERTION(CUI) : 1. CONTRAT D ACCOMPAGNEMENT DANS L EMPLOI (CAE) 2. CONTRAT INITIATIVE EMPLOI (CIE) 3. EMPLOIS
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Assurance maladie, maternité, décès. Direction de la sécurité sociale
Protection sociale Assurance maladie, maternité, décès MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES _ MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la sécurité sociale Sous-direction de l accès
Plus en détailAVENANT N 3 DU 6 JUILLET 2010
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3173 Convention collective nationale IDCC : 1810. ENTREPRISES DE PROPRETÉ AVENANT N 3 DU 6 JUILLET 2010
Plus en détailLes métiers de la banque et des assurances
18 juin 2015 Les métiers de la banque et des assurances Auteure : Itto BEN HADDOU-MOUSSET 1. Un secteur en mutation depuis les années 1980 L Ile-de-France est la région qui abrite les effectifs bancaires
Plus en détailSommaire. Recruter et intégrer des seniors
Fiche 5 Bonnes pratiques des entreprises en matière de maintien et de retour en activité professionnelle des seniors. Guide pour l action Recruter et intégrer des seniors Recruter des seniors, c est d
Plus en détailateliers Aravis - les ateliers Aravis - les ateliers Aravis les ateliers Aravis - les ateliers Aravis Formes d emploi et de travail atypiques
Formes d emploi et de travail atypiques GLOSSAIRE document de travail A------------------------------------------------------------------------------------------------------ Auto-entrepreneur DEFINITION
Plus en détailACCORD RELATIF A L'APPLICATION DE L'AMENAGEMENT ET DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL AUX INTERIMAIRES
ACCORD RELATIF A L'APPLICATION DE L'AMENAGEMENT ET DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL AUX INTERIMAIRES PREAMBULE Les organisations signataires veulent par le présent accord, préciser la situation des
Plus en détailACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 11 JANVIER 2008 SUR LA MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 11 JANVIER 2008 SUR LA MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL I - FACILITER L ENTRÉE DANS L ENTREPRISE ET AMÉLIORER LE PARCOURS EN EMPLOI Article 1 : Les contrats de travail
Plus en détailPROJET DE LOI ------ Article 1 er. I. - L article L. 1221-2 du code du travail est ainsi modifié :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité NOR : MTSX0805954L/Bleue-1 PROJET DE LOI portant modernisation du marché du travail ------ Article 1
Plus en détailRecruter et intégrer des seniors
Recruter et intégrer des seniors Fiche 5 Enjeux Le recrutement de seniors correspond à des enjeux spécifiques pour les entreprises, que cette action relève d une politique affichée de lutte contre les
Plus en détailImplantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte :
1/9 Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte : - Pour vous tous : Devenez indépendant avec un statut salarié : Saisissez toutes les opportunités de mission
Plus en détail