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2 REMERCIEMENTS Le mois de septembre 2005 a été marqué par le départ d un pilier de notre organisation. Maryse Lévesque nous a quittés alors qu elle avait atteint un niveau de maturité professionnelle et personnelle très important. L ensemble de l organisation a pleuré ce départ si hâtif dans la vie. Merci Maryse pour ton passage parmi nous. Nous retenons de toi des leçons fondamentales, soient : Ton amour pour la vie et tes valeurs, Ton importante implication dans l organisation, Ton dynamisme et ta combativité. Les membres du conseil d administration, les gestionnaires et le personnel de l organisation gardent un souvenir intense de ton passage parmi nous. Conception Centre de réadaptation InterVal Centre de réadaptation en déficience physique de la Mauricie et du Centre-du-Québec Réalisation du rapport M. Serge Lemieux, directeur général M. Guy Laliberté, directeur des services professionnels et de réadaptation M. Serge Trudel, directeur du développement organisationnel et des services administratifs M me Suzanne Bouillé, conseillère cadre à la direction générale M. Yvon Legris, conseiller cadre à la direction des services professionnels et de réadaptation M me Isabelle Rioux, conseillère en communication Conception graphique Absolu communication marketing Dans ce document, le générique masculin est utilisé dans le seul but d alléger le texte et désigne tant les femmes que les hommes. Toute reproduction totale ou partielle de ce document est autorisée, à condition que la source soit mentionnée. Document disponible sur le site Internet du Centre de réadaptation InterVal Les membres du conseil d administration et la direction du Centre InterVal disent merci! À tous les membres du personnel et aux médecins du Centre de réadaptation InterVal pour la qualité et l implication dans le travail accompli au cours de l année.

3 TABLE DES MATIÈRES Historique... p.2 Mission... p.2 Valeurs... p.2 Philosophie et orientation de la gestion... p.3 Organigramme du Centre de réadaptation InterVal... p.4 Membres du Conseil d administration... p.5 Membres du Comité administratif... p.5 Membres du Comité de vérification... p.5 Membres du Comité de planification stratégique... p.5 Membres du Comité d évaluation du directeur général... p.5 Membres qui ont quitté durant l année... p.5 Mot du président et du directeur général... p.6 Rapport de la direction des services professionnels et de réadaptation... p.8 Données statistiques sur les services... p.9 Rapport de l application de la politique d amélioration continue de la qualité des services...p.13 Rapport des activités reliées à l enseignement clinique pour l année p.13 Rapport des activités de recherche pour l année...p.14 Rapport du Commissaire aux plaintes et à la qualité... p.15 Rapport du Comité de gestion des risques... p.18 Rapport sur la politique de gestion des risques... p.20 Rapport de la direction du développement organisationnel et des services administratifs...p.22 Ressources financières... p.22 États financiers au 31 mars p.22 Ressources humaines... p.23 Ressources matérielles et techniques... p.23 Ressources informationnelles... p.23 Rapport du Comité des usagers... p.24 Rapport du Conseil multidisciplinaire... p.25 Rapport de la Fondation du Centre de réadaptation InterVal...p.26 Déclaration de fiabilité des données... p.27 Éthique et déontologie... p.27 Prix d Excellence InterVal et Prix d Excellence Denis Luneau p.28 1

4 CENTRE DE RÉADAPTATION INTERVAL Historique Le Centre de réadaptation InterVal a été fondé en 1995, suite à l intégration des services de réadaptation physique du CHSLD Cooke à la Clinique de réadaptation pour enfants de Trois- Rivières. La Clinique de réadaptation fut fondée en 1953 sous le nom de Clinique de réhabilitation pour enfants infirmes Inc. avec le soutien du Club Rotary et de la Société de secours aux enfants infirmes. En 1959, le gouvernement provincial reconnaît cette clinique comme institution publique. Jusqu au début des années quatre-vingt-dix, le centre assurait les services de réadaptation aux enfants ayant une déficience motrice et des problèmes de la parole et du langage. Puis, l établissement a développé des services pour les personnes de tous âges ayant des problèmes sensoriels (visuel auditif ). À son origine en 1930, l Hôpital Cooke accueillait les personnes atteintes de tuberculose de la région 04. Dans les années 1960, le contrôle de la tuberculose s affermissant, de nouvelles clientèles ont été reçues en soins de longue durée, en pneumologie, en médecine, en réadaptation physique ou en convalescence. Progressivement, le Sanatorium Cooke s est transformé pour devenir un établissement spécialisé en réadaptation, avec l arrivée des premiers services de physiothérapie. Les services étaient exclusivement réservés à une clientèle adulte. L Hôpital Cooke a donc vu ses activités s étendre vers la réadaptation. En 1995, lors de la réorganisation des services de santé et des services sociaux, la Régie régionale de la Mauricie et du Centre-du-Québec (aujourd hui l Agence de la santé et des services sociaux) a regroupé les programmes de réadaptation et d intégration sociale s adressant aux personnes ayant une déficience physique sous une même entité administrative. C est lors de ce regroupement qu est né le Centre de réadaptation InterVal, auquel a été confié un mandat régional. Mission Le Centre de réadaptation InterVal est un établissement public de réadaptation pour les personnes ayant une déficience physique. Il dessert la population de la Mauricie et du Centre-du-Québec. Ses services spécialisés s adressent à toute personne (enfant, adolescent, adulte et personne âgée) ayant des incapacités significatives et persistantes découlant d une déficience physique. Le développement des aptitudes et la réduction des obstacles physiques et sociaux permettent à ces personnes d exercer une plus grande autonomie et d accroître leur participation sociale. Valeurs Respect de la personne L établissement estime que le respect de la personne, de son intégrité, de son individualité, de son droit à la liberté et à l égalité est une valeur fondamentale. Autonomie de la personne Les membres de l organisation croient en l autonomie de la personne et en sa capacité à s autodéterminer. Ouverture de la personne Le Centre InterVal est convaincu que la mobilisation de la personne passe nécessairement par l écoute, la considération, l information, la concertation et la coopération. Qualité dans l accomplissement de la mission Le centre juge que chacun doit accomplir sa mission avec un souci constant de qualité. Cette qualité doit se refléter autant au niveau de la manière d être et des façons de faire que dans la mise en œuvre des services. En 2005, le Centre de réadaptation InterVal soulignait ses dix ans d existence sous le vocable InterVal. Le centre offre ses services à toute la population de la Mauricie et du Centre-du- Québec dans ses neuf (9) points de service répartis dans les municipalités de Trois-Rivières, Shawinigan, Drummondville et Victoriaville. 2

5 PHILOSOPHIE ET ORIENTATION DE LA GESTION La raison d être de la gestion est de permettre à l établissement de réaliser sa mission au plan des services d adaptation, de réadaptation et d intégration sociale aux personnes ayant une déficience physique. La gestion n aura donc du sens que si elle supporte l actualisation des services à la clientèle. La philosophie de gestion prend assise sur la reconnaissance de la compétence et de la contribution du personnel du centre ainsi que sur la reconnaissance de la compétence et des rôles de l équipe de gestion. Caractéristiques de l orientation de la gestion Souci de compétence o Développement des compétences à la fois techniques, pratiques et relationnelles. o Expertise à la fine pointe. o Garantie de qualité des services. o Compétence au plan de la gestion. Souci de cohérence o Constance entre le «dire» et le «faire». o Cohérence interne entre la philosophie de gestion et les outils ou techniques. o Consensus sur l orientation de gestion. o Constante qui s adapte aux données de l environnement. Souci de qualité o À l écoute du système client. o Évaluation du niveau de satisfaction de la clientèle. o Accomplissement professionnel des tâches. o Innovation. Efficience o Image globale de la performance organisationnelle. o Meilleur rapport résultats/ressources. o Utilisation optimale des ressources. o Bons choix. Responsabilisation o Capacité d assumer son travail de façon autonome. o Présomption d une bonne connaissance des objectifs, responsabilités et rôles. o Nécessité d un accès à l information et d outils de suivi. Décentralisation o Pouvoir réparti et proche de l action. o Plus d autonomie par secteur. o Implication des gens concernés dans la décision. o Outils de support fournis. Approche participative et consultation des employés o Consultation pour nourrir une réflexion. o Consultation des personnes concernées. o Précision des règles du processus. o Favorisation des moments et des lieux d échanges. Communication rapide et constante de l information o Heure juste donné rapidement en acceptant l incertitude. o Compte-rendu des résultats. o Systématisation de la communication organisationnelle. o Souci de la communication interne et externe. Collaboration et concertation o Faire ensemble dans le respect des rôles. o S appuyer et se faire confiance. o Adhérer à une direction commune. o Mettre en commun les expertises et les ressources. Partenariat o Ouverture à travailler avec d autres. o Interrelations dans le réseau. o Assurance du continuum de services. o Approche gagnant-gagnant. Respect des personnes o À la base de la confiance mutuelle. o Reconnaissance et acceptation des rôles dans l action. o Reconnaissance des compétences. o Reconnaissance des capacités à participer. 3

6 ORGANIGRAMME DU CENTRE DE RÉADAPTATION INTERVAL 4

7 MEMBRES DU CONSEIL D ADMINISTRATION MEMBRES COLLÈGES ÉLECTORAUX LOCALITÉS DE PROVENANCE BÉDARD, Paul, président Agence de la santé et de services sociaux réadaptation Trois-Rivières BROUILLARD, Simon Conseil multidisciplinaire Drummondville CARIGNAN, Lise Cooptation Victoriaville D AMOURS, Roland Agence de la santé et de services sociaux milieu scolaire Ste-Gertrude DROLET, Françoise Fondation Trois-Rivières GÉLINAS, Pierre Comité des usagers Shawinigan LAFRENIÈRE, Yvon Population Trois-Rivières LEMIEUX, Pierre Agence de la santé et de services sociaux réadaptation St-Rémi-de-Tingwick LEMIEUX, Serge, secrétaire Directeur général Trois-Rivières RICHARD, Gilles Cooptation Trois-Rivières RIVARD, Eddy Population Lac-à-la-Tortue RIVARD, Thérèse C.A. des établissements La Tuque VADNAIS, Ginette, vice-présidente Population Trois-Rivières Membres du Comité administratif BÉDARD, Paul LEMIEUX, Pierre LEMIEUX, Serge RIVARD, Eddy VADNAIS, Ginette Membres du Comité de vérification BÉDARD, Paul DROLET, Françoise LAFRENIÈRE, Yvon VADNAIS, Ginette Président du conseil d administration Administrateur du conseil d administration Directeur général Administrateur du conseil d administration Vice-présidente du conseil d administration Président du conseil d administration Présidente de la Fondation Membres du Comité de planification stratégique BÉDARD, Paul LEMIEUX, Serge RIVARD, Eddy RIVARD, Thérèse Administrateur du conseil d administration Vice-présidente du conseil d administration Président du conseil d administration Directeur général Membres du Comité d évaluation du directeur général BÉDARD, Paul D AMOURS, Roland VADNAIS, Ginette Membres qui ont quitté durant l année WILSON, Charles Administrateur du conseil d administration Administrateur du conseil d administration Président du conseil d administration Administrateur du conseil d administration Vice-présidente du conseil d administration Administrateur du conseil d administration 5

8 MOT DU PRÉSIDENT ET DU DIRECTEUR GÉNÉRAL M. Serge Lemieux directeur général M. Paul Bédard président Le Centre de réadaptation InterVal s est donné le mandat, en, de maximiser ses efforts pour le développement d une expertise de pointe en déficience physique, au bénéfice des citoyens et citoyennes de la Mauricie et du Centre-du- Québec. L enjeu majeur est la rétention et le développement des services spécialisés afin que la population dispose d un meilleur accès et d une meilleure continuité de services dans le réseau de la santé et des services sociaux de la région. En tant qu intervenant majeur dans le développement des services spécialisés en réadaptation physique de la région, le Centre de réadaptation InterVal s inscrit dans la foulée d une contribution très active à la mise en place des 8 réseaux locaux de services (RLS) de la Mauricie et du Centre-du-Québec. Des outils adaptés et formalisés Dans le but de formaliser ces grands enjeux, la direction de l établissement, avec les membres du personnel, a reçu la certification du Conseil Québécois d Agrément (CQA), en janvier Cette reconnaissance a permis de mieux connaître l importante mobilisation des ressources humaines, l excellente qualité des services rendus aux usagers et les éléments de mise à jour de nos processus. Un plan d action a été élaboré, adopté, et servira de guide pour les trois prochaines années. Toujours dans cet esprit, le conseil d administration a adopté un nouveau plan d organisation qui permet un ajustement et une cohésion dans les orientations cliniques et de gestion, en fonction des responsabilités spécifiques du centre. La création des réseaux locaux a également donné l occasion de faire une réflexion sur l offre de service régionale du centre. Le document décrivant cette offre servira de base pour la conclusion des ententes avec les CSSS en Elle aura permis au centre d avoir une meilleure visibilité sur la nature et sur le niveau de services qu il rend. Cet exercice permettra également une meilleure cohésion interne de l offre de service. Bilan positif Ces pièces majeures dans le cheminement de l organisation en furent appuyées par plusieurs réalisations : une entente de complémentarité de la gestion des services administratifs avec le Centre de réadaptation Domrémy Mauricie / Centre-du-Québec, la reconnaissance du centre dans le consortium en neurotraumatologie enfant de l ouest du Québec, l adoption d une politique d accueil des nouveaux employés, l atteinte de l équilibre budgétaire, le respect des objectifs de l entente de gestion conclue avec l Agence de la santé et des services sociaux, une meilleure emphase sur les communications internes et externes, une entente de service avec l UQTR concernant les stages en soins infirmiers, l octroi par l AERDPQ d un prix d excellence dans la catégorie «Innovation technologique». 6

9 L ensemble des éléments du bilan aura permis un meilleur positionnement à l externe de l organisation et une gestion interne plus formalisée, incluant une connaissance plus approfondie de l implication des ressources humaines et des services rendus. Un projet passionnant La mise en place des RLS exigera de tous les membres du personnel, une modification en profondeur de nos valeurs et façons de faire. Ainsi, la notion de «contribution au développement des services généraux et spécialisés» sur chacun des huit (8) territoires devra être au cœur de nos préoccupations. Nous devrons continuer d exercer un rôle très actif et conclure une entente de service avec chacun des huit (8) CSSS en D autres défis sont importants à relever : coordonner les processus d élection et de désignation pour la formation du CA, faire évaluer de façon très tangible le regroupement de nos services à Trois-Rivières, appliquer différents éléments du projet de la Loi 83, particulièrement au niveau de la gouverne, poursuivre l opération du plan d amélioration de l agrément, intégrer les éléments du nouveau plan d organisation et finaliser les négociations locales avec les instances syndicales. Un travail professionnel à tous les niveaux Nous prenons ce moment pour saluer le niveau d implication et de vision des membres du conseil d administration qui donnent un sens au développement de l organisation. Ces bénévoles de la communauté ont une responsabilité d administrateur, mais ils sont également une voix importante de la communauté. Ces mêmes salutations s adressent au personnel d encadrement qui relève de grands défis dans le contexte d une organisation de Une organisation régionale, avec neuf (9) points de service répartis sur un territoire de kilomètres carrés, représentant près de de population, demande un exercice de cohérence quotidien dans la gestion. L équipe a relevé le défi. «La création des réseaux locaux a également donné l occasion de faire une réflexion sur l offre de service régionale du centre.» De plus, nous prenons ce moment pour souligner l apport indéfectible de l ensemble du personnel pour la livraison d un service de qualité à la population de la région. Que ce soient les professionnels qui sont en service direct, le personnel de soutien qui contribue en fonction de ses compétences à l amélioration de la gestion clinique et administrative, nous avons la conviction du devoir accompli. Nous ne saurions passer sous silence l équipe médicale composée du Dre Josée Fortier, physiatre, Dre Louise Dumas et Dre Julie Walsh, omnipraticiennes, qui exercent leurs activités avec une implication remarquée. À toutes ces personnes, nous sommes reconnaissants au nom de ceux et celles pour qui nous travaillons, c est-à-dire les usagers et la population de la Mauricie et du Centre-du-Québec. M. Paul Bédard, président M. Serge Lemieux, directeur général 7

10 RAPPORT DE LA DIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS ET DE RÉADAPTATION M. Guy Laliberté directeur des services professionnels et de réadaptation Plus qu hier, moins que demain Les années se suivent et se ressemblent! Nuancées par un coefficient plus élevé quant aux exigences de travail et aux besoins des usagers, les années se conjuguent au passé, au présent et au futur dans une belle continuité. Plus grande efficience, souci constant de l amélioration de la qualité des services, défi quotidien au plan de la communication, dans un contexte d augmentation des besoins, d autonomie régionale et de reddition de comptes, tels sont les éléments fondamentaux qui nous guident et nous motivent. Nos impressionnantes statistiques et la certification du Conseil Québécois d Agrément (CQA) témoignent éloquemment de ces préoccupations qui nous habitent. Les années se suivent et nous rassemblent! La réalité des projets cliniques nous convie à fournir une réponse rapide et en continuité, d où notre engagement avec les CSSS dans chacun des huit (8) territoires des réseaux locaux de services, en collaboration avec nos partenaires régionaux et même nationaux. Il s agit là d une démarche de concertation soucieuse des besoins des personnes, qui s avère exigeante, mais combien riche en promesses, quant à l amélioration des services à la clientèle. Les années se suivent et nous ressemblent! Nos services évoluent au rythme de nos croyances, de notre philosophie et de notre expertise, respectueux des valeurs d une société vieillissante, qui n hésite pas à manifester de grands besoins et même à préciser la teneur de la réponse attendue. Ensemble! Merci à vous tous, précieux collaborateurs du Centre de réadaptation InterVal, des réseaux de la santé et de l éducation, membres actifs des associations, acteurs essentiels de la réadaptation, de l intégration et de la participation sociale des personnes qui présentent des incapacités en lien avec une déficience physique. Bienvenue aux nouveaux employés de ce vaste réseau, merci à ceux et celles qui nous ont quittés. Satisfait d hier, mais résolument tourné vers demain! M. Guy Laliberté, directeur des services professionnels et de réadaptation 8

11 DONNÉES STATISTIQUES SUR LES SERVICES STATISTIQUES CLIENTÈLE RÉPARTITION DES USAGERS DESSERVIS SELON LE SEXE Nombre % Hommes % Femmes % TOTAL % RÉPARTITION PAR GROUPE D ÂGE DES USAGERS DESSERVIS Nombre % 0 à 17 ans % 18 à 64 ans % 65 ans et plus % TOTAL % RÉPARTITION DES USAGERS DESSERVIS PAR DÉFICIENCE (ADMIS ET INSCRITS) Nombre % Déficience motrice % Déficience auditive % Déficience visuelle % Déficience du langage % TOTAL % SUIVI DE L ENTENTE DE GESTION USAGERS AYANT REÇU DES SERVICES PAR TYPE DE DÉFICIENCE Programmes Cibles Réel Réel Déficience motrice (enfant et adulte) Déficience visuelle (enfant et adulte) Déficience auditive (enfant et adulte) Déficience du langage * Certains usagers peuvent avoir été vus dans plus d un programme. Les cibles à atteindre sont déterminées par le MSSS à l intérieur d un plan quinquennal et sont reprises sur une base annuelle à l intérieur de l entente de gestion signée avec l Agence de la santé et des services sociaux. Certaines cibles n ont pas été atteintes en raison de la difficulté de remplacer des intervenants faisant partie de disciplines en pénurie au Québec : orthophonistes et agents de réadaptation en déficience visuelle. 9

12 STATISTIQUES DES USAGERS PAR TERRITOIRE RÉPARTITION DES USAGERS PAR TERRITOIRE DE CSSS Ce tableau illustre bien que les usagers du CR InterVal sont répartis proportionnellement sur l ensemble des territoires de la Mauricie et du Centre-du-Québec. RÉPARTITION DES USAGERS PAR TERRITOIRE DE CSSS % de pop Auditive Déficience Motrice adulte Motrice enfant Visuelle Du langage Non définie TOTAL % des usagers CSSS de Trois-Rivières 27 % % CSSS de Maskinongé 5 % % CSSS de la Vallée-de-la-Batiscan 5 % % CSSS de l Énergie 13 % % CSSS Bécancour-Nicolet-Yamaska 9 % % CSSS du Haut-Saint-Maurice 3 % % CSSS Drummond 19 % % CSSS d Arthabaska-Érable 19 % % Autres % TOTAL 100 % % % des usagers 9 % 38 % 19 % 19 % 12 % 2 % 100 % * Pour faciliter la compréhension des autres tableaux, précisons que les usagers de la catégorie non définie sont inclus en déficience motrice. Ce tableau ne tient pas compte des usagers qui reçoivent uniquement des services d aides techniques. 10

13 USAGERS ET HEURES DE PRESTATION DE SERVICES (HPS) NOMBRE D USAGERS ET HPS Nombre de personnes Programmes enfants adultes TOTAL HPS Déficience motrice Déficience visuelle Déficience auditive Déficience du langage TOTAL * Certains usagers peuvent avoir été vus dans plus d un programme. Il est à noter que les enfants reçoivent généralement des services sur une plus longue période (années). USAGERS EN ATTENTE DE SERVICES 0-17 ans ans 65 ans et plus Programmes Déficience motrice Déficience visuelle Déficience auditive Déficience du langage Nombre Délai d attente Nombre Délai d attente Nombre Délai d attente Nombre Délai d attente jrs 1 48 jrs 8 36 jrs jrs jrs 3 54 jrs jrs jrs jrs jrs jrs jrs 8 31 jrs 6 52 jrs jrs jrs jrs Total d usagers en attente * Les données reflètent la réalité de la liste d attente au 31 mars de chaque année. L augmentation des délais d attente en déficience visuelle s explique par la difficulté de remplacer du personnel, en absence maladie, faisant partie d une discipline en grave pénurie (agent de réadaptation en déficience visuelle) jrs jrs jrs

14 STATISTIQUES DE L UNITÉ DE RÉADAPTATION FONCTIONNELLE INTENSIVE (URFI) USAGERS ADMIS À L UNITÉ DE RÉADAPTATION FONCTIONNELLE INTENSIVE (URFI) Nouveaux usagers * Séjour moyen Total dans l année jours % d occupation 82,2 % 70 % jours Séjour moyen* jours Moins de 65 ans jours et plus 12 7 Plus de 65 ans Sexe 85 H et 46 F 84 H et 42 F Provenance (entrée) 90 % (CH) 86 % (CH) Orientation (sortie) 87 % (domicile) 83 % (domicile) * Il est important de signaler que 87 % des usagers ont été orientés à domicile à la sortie de l URFI. Le nombre d usagers orientés en CHSLD a été de 8 (6 %) en et de 9 (7 %) en ACTIVITÉS AU SERVICE D AIDES TECHNIQUES (SAT) Le service d aides techniques (SAT) a connu une excellente performance en avec 11 % des appareils distribués au Québec alors que la population de la région représente 6 % de la population provinciale. De plus, on remarque que le CR InterVal effectue plus de valorisations que la moyenne provinciale (37 % vs 29 %). PROVINCIAL Attributions Valorisations TOTAL FR manuel % % 4709 FR motorisé % % 1296 Positionnement % % 2199 TOTAL % % 8204 CR INTERVAL Attributions Valorisations TOTAL % provincial FR manuel % % % FR motorisé % % % Positionnement % % % TOTAL % % % VENTE DE FAUTEUIL ROULANT 3 E VIE TOTAL Provincial 382 CR InterVal 37 L attribution réfère au fauteuil roulant (FR) neuf attribué à l usager alors que la valorisation implique qu un fauteuil roulant récupéré a été remis en état et fourni à l usager. 12

15 RAPPORT DE L APPLICATION DE LA POLITIQUE D AMÉLIORATION CONTINUE DE LA QUALITÉ DES SERVICES M. Yvon Legris conseiller cadre à la direction des services professionnels et de réadaptation Les activités d amélioration continue de la qualité des services au cours de l année ont été : o L élaboration de protocoles de prévention et de contrôle des infections. o L élaboration d une politique d aide aux employés lors d une situation menaçante pour la santé et la sécurité dans l exercice de leur fonction. o L adoption d une politique portant sur les mesures de contention et de contrôle. o L amorce des travaux du comité interne visant à planifier la réaction de l établissement vis-à-vis une éventuelle pandémie d influenza. o La mise en place d un comité sur la santé et la sécurité au travail. o La poursuite des travaux du comité de gestion des risques en conformité avec les dispositions législatives en vigueur. Le comité en est à sa deuxième année complète d opération. Le registre des accidents et incidents a permis d identifier la nature des accidents plus fréquents (chutes et erreurs de médication). o La mise en place d un système de planification de la formation et du développement des compétences du personnel par la production d un plan de formation annuel pour chacune des équipes. o La mise en opération d un comité visant à préciser les orientations de l établissement vis-à-vis certaines approches d intervention versus la formation des intervenants. o La poursuite des travaux d écriture de la programmation clinique et de l évaluation de programme, particulièrement au programme de traumatologie. o La poursuite du déploiement de la coordination professionnelle au sein des équipes. o La définition de l offre de service de l établissement dans le cadre de l élaboration des projets cliniques de chacun des réseaux locaux de la région. o L obtention par le centre, au début de l année 2006, de la certification du Conseil Québécois d Agrément. C était la première démarche d agrément du Centre de réadaptation InterVal. RAPPORT DES ACTIVITÉS DE RECHERCHE AU COURS DE L ANNÉE Activités initiées et conduites à l interne Étude exploratoire de la clientèle des blessés orthopédiques graves au Centre de réadaptation InterVal. Programme en traumatologie Évaluation de la participation des clients et de leurs proches à l identification de leurs besoins et attentes dans le cadre des plans d intervention. Programme en traumatologie Projet d interaction à distance et en temps réel Programme en déficience auditive Activités initiées à l externe et conduites à l interne «Validation d un nouvel instrument de mesure de l indépendance dans les activités de la vie quotidienne pour les personnes ayant subi un traumatisme crânien : études de fidélité et de validité». (CRIR ) Programme en traumatologie Madame Carolina Botari «La réintégration professionnelle des personnes ayant subi un traumatisme cranio-cérébral : la pratique des ergothérapeutes en milieu réel de travail». (CRIR ) Programme en traumatologie Madame Caroline Lachapelle M. Yvon Legris, conseiller cadre à la direction des services professionnels et de réadaptation 13

16 RAPPORT DES ACTIVITÉS RELIÉES À L ENSEIGNEMENT CLINIQUE POUR L ANNÉE 2005 (Couvre la période du 1 er janvier 2005 au 31 décembre 2005) Un total de vingt-quatre (24) stagiaires en provenance d établissements d enseignement universitaire et un (1) du Collège d enseignement général et professionnel de Trois-Rivières ont été accueillis dans l établissement. L ensemble des stages totalise heures de présence de stagiaires. L Université du Québec à Trois-Rivières (1 155 heures), l Université Laval (2 429 heures), l Université de Montréal (644 heures) et le Cégep de Trois-Rivières (52 heures) sont nos principaux partenaires. Année 2003 Année 2004 Année 2005 Université de Montréal (12) Université de Montréal (7) Université de Montréal (7) audiologie (2) orthophonie (10) physiothérapie (0) Total des heures : 924 audiologie (1) orthophonie (5) physiothérapie (1) Total des heures : 469 audiologie (0) orthophonie (7) physiothérapie (0) Total des heures : 644 Université Laval (10) Université Laval (8) Université Laval (14) ergothérapie (4) orthophonie (1) physiothérapie (5) services sociaux (0) Total des heures : ergothérapie (2) orthophonie (2) physiothérapie (3) services sociaux (1) Total des heures : ergothérapie (6) orthophonie (4) physiothérapie (3) services sociaux (1) Total des heures : UQTR (7) UQTR (4) UQTR (3) communication sociale (1) neuropsychologie (1) psychoéducation (2) psychologie (0) sciences infirmières (3) Total des heures : communication sociale (0) neuropsychologie (1) psychoéducation (1) psychologie (2) sciences infirmières (0) Total des heures : communication sociale (0) neuropsychologie (0) psychoéducation (2) psychologie (1) sciences infirmières (0) Total des heures : Université de Sherbrooke (1) Université Dalhousie (1) Cegep de Trois-Rivières (1) travail social (1) Total des heures : 420 orthophonie (1) Total des heures : 469 technique diététique (1) Total des heures : 52 TOTAL DE STAGIAIRES TOTAL DE STAGIAIRES TOTAL DE STAGIAIRES HEURES SUPERVISION HEURES SUPERVISION HEURES SUPERVISION heures heures heures M. Yvon Legris, conseiller cadre à la direction des services professionnels et de réadaptation 14

17 RAPPORT DU COMMISSAIRE AUX PLAINTES ET À LA QUALITÉ M. Yvon Legris commissaire aux plaintes et à la qualité Au cours de l année, neuf (9) plaintes ont été déposées. Parmi les plaintes traitées par le Commissaire aux plaintes et à la qualité, cinq (5) étaient en provenance de la clientèle recevant des services en déficience motrice alors que les quatre (4) autres étaient en provenance de la clientèle recevant des services en déficience visuelle. Pour ce qui est des cinq (5) plaintes concernant la clientèle en déficience motrice; quatre (4) étaient conclues au 31 mars 2006 alors qu une (1) était en voie d être conclue. Concernant la clientèle en déficience visuelle; une (1) était conclue au 31 mars 2006 alors que trois (3) étaient en voie d être conclues. Aucune plainte n était dirigée vers le médecin examinateur plaintes 6 plaintes 10 plaintes 9 plaintes 9 plaintes 10 objets 10 objets 16 objets 13 objets 12 objets Les neuf (9) plaintes déposées mettent en lumière douze (12) objets. L accessibilité aux services, les soins et services dispensés, l insuffisance des ressources, le transfert d établissement et la sécurité des lieux sont identifiés par les plaignants. Au total, dix-neuf (19) recommandations ont été adressées à la direction de l établissement. Temps moyen accordé au traitement des objets de plaintes 33 jours ( ) jours ( ) 36 jours () *Une plainte a été traitée dans un délai de 66 jours après entente avec le plaignant. Dossiers de consultation Trois (3) dossiers de consultation ont été constitués au cours de l année, les demandes étaient adressées au commissaire aux plaintes par des membres du personnel dans le but de clarifier des éléments précis de la prestation de nos services. Dossier d intervention Un (1) seul dossier d intervention a été activé au cours de l année. Une rencontre visant à élaborer un plan d intervention à l usager a permis de répondre aux interrogations soulevées et à clarifier le suivi à accorder aux besoins identifiés. Nombre de plaintes Nombre d objets 9 12 Objets 5 Accessibilité et continuité des services; Soins et services dispensés; 3 Insuffisance des ressources; 1 Transfert d établissement; 1 Sécurité des lieux. Au cours de l année, aucun dossier n a été conduit au Protecteur des usagers. 15

18 Recommandations (extraites des réponses adressées aux plaignants) 1. Que l équipe de réadaptation dédiée à cette clientèle mette sur pied un comité de travail qui devra se pencher sur la problématique clinique à laquelle l équipe a été confrontée. Ce comité de travail aurait pour mandat de préciser un cadre d intervention spécifique aux situations de même nature. Dans un premier temps, je suggère que des mesures de sensibilisation et de formation soient mises en œuvre (répétées) auprès de l ensemble des intervenants du programme, qu il s agisse de l équipe interne ou de l équipe externe, sur l importance d une rigueur constante dans la tenue des dossiers des usagers; 2. Que la constitution d un dossier central unique soit une réalité et que les notes rédigées par chacun des intervenants soient accessibles le plus tôt possible à ceux qui sont impliqués dans un même dossier et pour qui ces informations sont nécessaires à l ajustement de leurs interventions. Il s agit d une des facettes pouvant augmenter le potentiel d une approche interdisciplinaire; 3. Que des mécanismes de contrôle formels soient instaurés afin de s assurer de l efficacité et de la permanence des moyens mis en place pour assurer cette intégration des informations cliniques dans un dossier unique; 4. Qu on s assure que les formulaires de consentement aux soins et services soient signés par l usager autant à son admission (à l interne) qu à son inscription (à l externe); 5. Qu on s assure du consentement de l usager à se mobiliser dans l actualisation du plan d intervention qui est élaboré en sa collaboration en lui demandant d apposer sa signature au bas du document après en avoir pris connaissance; 6. Qu on identifie formellement de quelle manière les coordonnateurs cliniques peuvent déposer leurs observations pertinentes au dossier de l usager; 7. Qu on s assure que les décisions qui sont prises touchant l interruption ou le changement de parcours des activités de réadaptation soient faites en consultant, à chaque fois, l équipe d intervention. Seule l équipe d intervention peut juger de la nécessité ou de la pertinence des changements d orientation. Ces décisions doivent obligatoirement se faire en concertation entre l usager, l équipe d intervention et le conseiller de la SAAQ; 8. Que des mécanismes d autorégulation concernant la gestion précoce des insatisfactions des usagers et de leurs proches soient formalisés et actualisés afin qu une conciliation ou une médiation soit possible lorsqu une situation potentiellement conflictuelle émerge; 9. Qu un plan de services soit élaboré dès que les partenaires seront disposés à se rencontrer, en vue d aligner les services à rendre dans une vision globale des besoins actuels et futurs; 10. Que la description de l offre de service du Centre de réadaptation InterVal soit explicite à propos de son niveau de responsabilité à l égard des personnes ayant une blessure médullaire d origine traumatique; 11. Que cette description d une offre de service spécifique soit connue non seulement des partenaires qui ont à diriger des usagers vers le Centre de réadaptation InterVal mais aussi des médecins référents; 12. Que le protocole 1 et son annexe (documents requis lors d un transfert d un usager de l un des établissements du Centre d expertise vers le Centre de réadaptation InterVal) soient remis, en rappel, aux membres du comité d admission de l unité de réadaptation fonctionnelle intensive du Centre de réadaptation InterVal; 16

19 13. Qu on examine la situation particulière de l accumulation d eau et de glace à l endroit exact où se situe l arrêt d autobus et donnant accès à la bande de trottoir conduisant à l entrée de l immeuble. Cette recommandation s inscrit dans une perspective de prévention et de gestion des risques vis-à-vis la clientèle; 14. Il m apparaît important qu une rencontre réunissant les principaux acteurs du Centre de réadaptation InterVal concernés par les besoins actuels de votre fille soient réunis à une même table en votre présence. Cette rencontre devrait être centrée sur l identification des besoins de votre fille. Le but de la rencontre serait de développer une compréhension commune, intervenants et parents, des besoins de votre fille de même que des éléments pouvant justifier l intervention ou le suivi qui pourrait en découler; 15. Il serait important, lorsqu une Table de services intégrés devient nécessaire pour clarifier une situation ou coordonner les services entre différents partenaires, qu un document faisant état des grandes lignes des sujets discutés soit produit et déposé au dossier de l usager; 16. Aussi, il serait important que les demandes d autorisation à divulguer ou partager des informations avec des partenaires soient explicites lorsqu on demande à l usager ou à son représentant d y apposer sa signature. Il serait opportun de justifier la participation ou la non participation (en terme de présence) de l usager ou de son représentant; 17. Il m apparaît important qu à chaque fois qu un parent désire assister à une rencontre, à une évaluation ou à une séance de traitement, qu un dialogue s installe entre les intervenants et le parent afin que soient présentés les arguments qui soutiennent ou justifient les stratégies d intervention proposées; 18. Qu une stratégie de communication adaptée soit élaborée pour joindre toutes clientèles ciblées lorsqu on prévoit un changement de lieu physique de prestation des services. La stratégie devrait aussi prévoir des moyens pour joindre la population en général et les différents partenaires; 19. Que des ajustements soient faits auprès de Bell Canada dans le but que les renseignements précisant les coordonnées téléphoniques ainsi que l adresse postale du lieu de prestation des services de réadaptation pour les usagers ayant une déficience visuelle soient rendus plus explicites dans les annuaires téléphoniques et par le fait même au centre d information de Bell Canada. «Seule l équipe d intervention peut juger de la nécessité ou de la pertinence des changements d orientation.» 1 Protocole d entente entre le Centre d expertise pour les personnes blessées médullaires de l ouest du Québec Formé par l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, l Institut de réadaptation de Montréal, le Centre de réadaptation Lucie-Bruneau et le Centre de réadaptation InterVal relativement aux services aux personnes ayant subi une blessure médullaire. M. Yvon Legris, commissaire aux plaintes et à la qualité 17

20 RAPPORT DU COMITÉ DE GESTION DES RISQUES «La gestion des risques est une approche préventive.» 18 Le comité de gestion des risques a tenu trois réunions au cours de l année. Ce comité est composé de Messieurs Daniel Mailhot et Donald Pinet, représentants des usagers, Mesdames Louise Goyette, Lorraine Harnois et Suzanne Tremblay, représentantes du personnel clinique, de Messieurs Guy Laliberté et Serge Trudel, représentants de la direction et de Monsieur Yvon Legris, coordonnateur du comité. Monsieur Donald Pinet remettait sa démission en toute fin de l année. Modification du mandat du comité de gestion des risques Modification législative apportée aux fonctions du comité de gestion des risques suite à l adoption de la Loi 83. La modification se lit comme suit : «Ce comité a notamment pour fonctions de rechercher, de développer, et de promouvoir des moyens visant à : identifier et analyser les risques d incident ou d accident en vue d assurer la sécurité des usagers et, plus particulièrement dans le cas des infections nosocomiales, en prévenir l apparition et en contrôler la récurrence.» Rappel de la philosophie de gestion des risques La gestion des risques est une approche préventive. C est une approche de gestion qui vise à prévenir la réalisation des risques ou, s ils se réalisent, à en réduire les conséquences. Données principales du registre des incidents et accidents Le registre présente 71 accidents déclarés et 3 incidents : 40 événements sont reliés à des chutes; 17 sont reliés à des erreurs reliées à la médication; 10 des événements concernent la clientèle enfant; 64 concernent la clientèle adulte. Faits saillants des travaux du comité Les travaux du comité ont permis de mieux définir le support à apporter aux usagers et à leurs proches en cas de circonstances pouvant entraîner des conséquences à leur santé ou bienêtre. Il a aussi été possible de préciser les démarches que le personnel pouvait mettre en application en situation difficile ou en situation de crise. Ces travaux se traduiront par l ajout de procédures qui seront mises en annexe des règlements en vigueur. Une documentation plus précise des événements a permis de mieux comprendre les circonstances des accidents et incidents reliés aux erreurs de médicaments et aux chutes, les 2 causes les plus fréquentes. Ces données serviront éventuellement à mieux cibler les actions préventives. Enfin, la démarche d agrément aura permis de prendre conscience de la méconnaissance du processus par la majorité du personnel. L année permettra au comité d actualiser des activités de sensibilisation, d information et de formation auprès du personnel.

21 SOMMAIRE DES INCIDENTS ET ACCIDENTS Période Nbre d accidents Nbre d incidents Total Point de service Nbre d incidents ou d accidents Notre-Dame 0 0 Drummondville 1 2 Labadie 12 7 Marc Quessy 1 0 Résidence Lamy 1 5 SAT 0 0 Shawinigan 4 4 Ste-Marguerite Victoriaville 2 4 Total : Catégorie Nbre d incidents ou d accidents Chute Matériel de thérapie 2 0 Environnement physique 2 8 Erreur médicament 8 17 Matériel d aide à la marche 1 0 Matériel d aide aux déplacements 1 0 Supervision professionnelle 1 1 Mesure de contrôle 1 1 Manipulation du matériel 2 3 Manoeuvre de transfert 1 4 Total : Usager Nbre d incidents ou d accidents Enfant Adulte Total : M. Yvon Legris, conseiller cadre à la direction des services professionnels et de réadaptation 19

22 RAPPORT SUR LA POLITIQUE DE GESTION DES RISQUES 1. Comité de gestion des risques et de la qualité 1.1 Adoption par le conseil d administration du règlement instituant le comité : Oui Non 1.2 Date de la mise en place du comité (JJ/MM/AAAA) : Avril Nombre de membres : 8 Fonction 1.4 Membres : Usager 1 Usager 2 Directeur des services professionnels et de réadaptation 3 Directeur du développement organisationnel et des services administratifs 4 Intervenant 5 Intervenant 6 Intervenant 7 Conseiller cadre 8 Fonction 1.5 Nombre de réunions tenues par le comité pour l année budgétaire en cours : Les problèmes que le comité priorisera l an prochain : Erreurs médicaments 1.7 Deux programmes de gestion des risques (implantation ou évaluation) qui seront appliqués l an prochain : Nous sommes à la formation et la sensibilisation du personnel. 2. Divulgation de tout accident 2.1 Adoption par le conseil d administration du règlement sur les règles relatives : - à la divulgation de toute l information nécessaire lorsque survient un accident : - aux mesures de soutien incluant les soins appropriés : - aux mesures pour prévenir la récurrence d un tel accident : Oui Oui Oui Non Non Non 2.2 Si oui, date de mise en vigueur du règlement (JJ/MM/AAAA) : Avril Les règles de divulgation sont respectées : Jamais Quelques fois La plupart du temps Difficile à savoir 2.4 Une analyse pour évaluer les causes souches est effectuée lors d un accident avec conséquences graves : Jamais Quelques fois La plupart du temps Difficile à savoir 2.5 Les solutions pour éviter la récurrence sont appliquées suite à une analyse approfondie : Jamais Quelques fois La plupart du temps Difficile à savoir 2.6 De la formation quant à la divulgation a été donnée aux personnes concernées de votre organisation pendant l année en cours : Oui Non 20

23 3. Déclaration de tout incident et accident et constitution d un registre local 3.1 Nombre d incidents déclarés pour l année budgétaire en cours : Nombre d incidents déclarés ayant fait l objet d analyse : 0 20 % 40 % 60 % 80 % 100 % 3.3 Nombre d incidents déclarés où des mesures ont été prises pour en prévenir la récurrence : 0 20 % 40 % 60 % 80 % 100 % 3.4 Nombre d accidents déclarés pour l année budgétaire en cours : Nombre d accidents déclarés ayant fait l objet d analyse approfondie : 20 % 40 % 60 % 80 % 100 % 3.6 Nombre d accidents déclarés où des mesures ont été prises pour en prévenir la récurrence : 20 % 40 % 60 % 80 % 100 % 3.7 Nombre d accidents déclarés où il y a eu décès : Durée moyenne de jours additionnels d hospitalisation (prolongation) consécutifs aux accidents déclarés : Mise en place d un registre local des incidents et des accidents : Oui Non 3.10 Si oui, date de sa mise en place (JJ/MM/AAAA) : Avril Nombre de rapports transmis à l agence de la santé sur les incidents ou accidents déclarés pour l année budgétaire en cours : 0 4. Agrément des services dispensés 4.1 Sollicitation d un organisme d agrément : Oui Non 4.2 Si oui, nom de l organisme sollicité : Conseil Québécois d Agrément 4.3 Si non, nom de l organisme qui sera sollicité : 4.4 Date à laquelle cet organisme sera sollicité (JJ/MM/AAAA) : 4.5 Agrément obtenu : Oui Non 4.6 Si oui, type d agrément obtenu : Qualité des services Rapport(s) abrégé(s) d agrément transmis : - au ministre : - à l agence de la santé : - aux ordres professionnels concernés : Oui Oui Oui Non Non Non 21

24 RAPPORT DE LA DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT ORGANISATIONNEL ET DES SERVICES ADMINISTRATIFS M. Serge Trudel directeur du développement organisationnel et des services administratifs Ressources financières L année financière se termine avec un surplus de $, soit un surplus de $ aux activités principales et un surplus de $ aux activités accessoires. Le solde de fonds est de $. États financiers au 31 mars 2006 FONDS D EXPLOITATION ÉTAT DES REVENUS ET DES CHARGES POUR L EXERCICE SE TERMINANT LE 31 MARS 2006 Activités principales revenus ASSS Usagers Autres TOTAL Charges Salaires Autres TOTAL Excédent des charges sur les revenus ( ) Activités accessoires Revenus Charges Excédent des revenus sur les charges Excédent des revenus sur les charges du fonds d exploitation Solde du fonds au début Solde du fonds à la fin

25 Ressources humaines Les principaux dossiers traités en furent : Politique sur la reconnaissance Des retraités se sont vus souligner leur départ en décembre Les années de services ainsi que d autres retraités ont été honorés lors de la Journée annuelle de l employé, en juin Au total, 16 personnes ont reçu des honneurs pour : 30 ans de services 2 personnes 25 ans de services 4 personnes 20 ans de services 1 personne Retraites Félicitations à tous les jubilaires. 9 personnes Loi 30 Les négociations locales ont débuté avec la CSN-FSSS, qui représente le groupe 2 (paratechniques, services auxiliaires et métiers) et le groupe 3 (personnel de bureau, techniciens et professionnels). La politique d accueil fut adoptée et mise en application. Le comité santé sécurité au travail a été relancé. Un comité a été formé pour revoir le processus de développement des ressources humaines. Il y a eu 23 embauches et 11 départs. Les principaux dossiers de l année seront : Poursuivre et terminer les négociations locales avec les trois (3) syndicats représentant les quatre (4) groupes d employés. Formation : En, $ furent consacrés à la formation, pour un total de heures. SUIVI DE L ENTENTE DE GESTION Indicateur Cible Réel Réel Assurance salaire 4,61 % 4,05 % 5,91 % Ressources matérielles et techniques En, plusieurs réalisations ont vu le jour : L aménagement d un nouveau point de service sur la rue Vachon à Trois-Rivières, secteur Cap-de-la-Madeleine. L aménagement d espaces additionnels au point de service Ste-Marguerite et la réfection d une partie des espaces existants. Des travaux de réfection au point de service Labadie. L installation du nouveau système téléphonique aux points de service Vachon et Labadie. La formation du comité COPIN (comité de planification et d intervention pour les mesures d urgence) pour préparer le plan local contre la pandémie d influenza. L adoption du protocole sur l influenza et la politique sur l asepsie. En , les principaux projets prévus sont : Diffuser et mettre en pratique le plan des mesures d urgence; Effectuer les travaux de réaménagement au point de service de Drummondville; Continuer l installation du nouveau système téléphonique; Procéder à des travaux de réfection du système de drainage au point de service Marc Quessy; Climatiser le gymnase au point de service Ste-Marguerite; Restructurer le service des ressources matérielles; Déposer un programme fonctionnel et technique pour la relocalisation des services à Trois-Rivières. SUIVI DE L ENTENTE DE GESTION Indicateur Cible Réel Réel Giga joules / m Ressources informationnelles Les travaux de la dernière année et de sont axés prioritairement sur l aspect de la sécurité informatique et de la catégorisation des actifs. Les bandes passantes seront rehaussées afin d améliorer la rapidité des liens et inclure la téléphonie. En terminant, je tiens à remercier et féliciter toute l équipe de la direction des services administratifs pour leur excellent travail et leur support. Merci! M. Serge Trudel, directeur du développement organisationnel et des services administratifs 23

26 RAPPORT DU COMITÉ DES USAGERS M. Pierre Gélinas président du Comité des usagers L année constituait une étape de consolidation des démarches qui ont été entreprises au cours de l année précédente. Sur le plan des activités manuelles de l exécutif, nous prévoyons organiser pour le printemps 2007, une grande activité pour les usagers du centre afin de souligner le 10 e anniversaire de celui-ci. Je tiens à remercier tous les membres de l exécutif pour leur implication constante tout au long de l année. Le comité est actif dans le suivi du plan d amélioration de la qualité, la politique de gestion des risques et au Conseil d administration de l établissement. Encore cette année, le comité a participé à la remise des Prix d Excellence du Centre InterVal et du Prix d Excellence Denis Luneau du Comité des usagers, qui se déroulait dans le cadre de la Journée annuelle de l employé. L arrivée de M me Marcelle-Anne Champoux sur une base permanente a permis de mettre en évidence les situations vécues par les personnes ayant une déficience visuelle. COMPOSITION DE L EXÉCUTIF DU COMITÉ DES USAGERS M. Pierre Gélinas Président M. Syvain Arseneault Secrétaire-trésorier M me Diane Gauthier M. Daniel Mailhot M me Marylène Morin M. Ronald Délisle M. Serge Lemieux Directeur général M me Marcelle-Anne Champoux Vice-présidente Le comité a adopté un plan d activités pour l année L année qui s en vient permettra de faire face à de nouveaux enjeux. Ainsi, avec les élections dans les établissements publics à l automne 2006, nous aurons à désigner deux (2) personnes au conseil d administration du Centre de réadaptation InterVal. Nous intégrerons également le comité de vigilance qui relèvera du CA. M. Pierre Gélinas, président du Comité des usagers 24

27 RAPPORT DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE M. Alain Guy président du Conseil multidisciplinaire L année en fut une très chargée pour les membres de l exécutif du Conseil multidisciplinaire. Le comité exécutif a tenu neuf (9) réunions d une durée moyenne de trois (3) heures. Suite à la rencontre avec l équipe visiteuse d évaluation de l agrément, un comité a été formé au sein de l exécutif (directeur général, conseiller à la qualité et président du Conseil multidisciplinaire) afin de valider que le mandat exercé par le Conseil multidisciplinaire, à partir du cadre légal, s arrimait efficacement aux préoccupations de l organisation. L exercice a généré l amorce d un ajustement des liens fonctionnels qui doivent exister entre le Conseil multidisciplinaire, les regroupements professionnels et les différents comités mis en place afin de favoriser le développement de l expertise professionnelle. Le Conseil multidisciplinaire a également eu un représentant sur le comité de vigie formation, le comité de suivi de l agrément et le comité aviseur sur les modèles de pratique. Voici la liste des principaux thèmes abordés à l exécutif durant l année : Centration sur le rôle du Conseil multidisciplinaire. Comité aviseur sur les modèles de pratique. Service d intégration socio-professionnelle au Centre InterVal. Politique d accueil des nouveaux employés. Développement de l expertise des membres du Conseil multidisciplinaire ne faisant pas partie d un regroupement professionnel. Politique «Aide aux employés lors d une situation menaçante pour la santé et la sécurité dans l exercice de leurs fonctions.» Comité de suivi de l agrément. Conduite automobile. Comité aviseur de la bibliothèque. Achat d équipements spécialisés. Politique de formation et modèle de fonctionnement. Pour ce qui est de l année , voici les objectifs et préoccupations de départ du nouvel exécutif : Moyens et méthodes utilisés par le Conseil multidisciplinaire pour encadrer l appréciation et l amélioration de la qualité de la pratique professionnelle. Vécu des professionnels oeuvrant sur plusieurs programmes et points de service. Lien du Conseil multidisciplinaire avec le nouveau comité de vigilance et qualité. Impact de l implantation des projets cliniques sur les pratiques professionnelles. CIGI et comité aviseur bibliothèque. Reconnaissance des membres. Le Conseil multidisciplinaire occupe maintenant une place importante au Centre InterVal et je souhaite que son influence continue à contribuer au maintien et à l amélioration de la qualité de la pratique professionnelle. COMPOSITION DE L EXÉCUTIF DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE M. Patrick Bourassa Psychologue délégué M me Céline Gamelin Travailleuse sociale / Secrétaire M me Louise Goyette Ergothérapeute / Vice-présidente M. Alain Guy Psychoéducateur / Président M. Guy Laliberté Directeur des services professionnels et de réadaptation M. Yvon Legris Conseiller cadre à la direction des services professionnels et de réadaptation M. Serge Lemieux Directeur général M. Alain Montplaisir Éducateur physique délégué M me Dominique Morin Orthophoniste Responsable des communications M me Sonia Sauvageau Physiothérapeute déléguée M. Alain Guy, président du Conseil multidisciplinaire 25

28 RAPPORT DE LA FONDATION DU CENTRE DE RÉADAPTATION INTERVAL M me Françoise Drolet présidente de la Fondation La Fondation du Centre de réadaptation InterVal a été très active au cours de l année. D abord, nous avons recruté trois (3) nouveaux membres qui, par leur implication, sauront être un atout à notre Fondation. Messieurs Michel Pellerin, Pierre Tessier et Jean Turcotte, complètent notre équipe de quatorze (14) administrateurs. Je profite de l occasion pour remercier tous les administrateurs pour leur inlassable dévouement et leur contribution au bien-être des personnes ayant une déficience physique. Je désire également remercier le directeur général du Centre de réadaptation InterVal, M. Serge Lemieux, ainsi que M. Jean-Paul Brouillette, coordonnateur de la Fondation, pour leur importante collaboration. La Fondation a réalisé plusieurs activités de financement en qui se résument ainsi : Campagne de financement Avec un support médiatique, a eu lieu la 2 e campagne de financement auprès de la population, du milieu des affaires, des usagers du Centre de réadaptation InterVal de même qu auprès des employés et des retraités du centre. M. Denis Normandin a agit à titre de président d honneur et M me Jessyca Marchand, usagère au Centre InterVal, comme porte-parole. Tournoi de golf Pro-Am Le 8 septembre 2005 se tenait la 18 e édition du tournoi de golf Pro-Am au Club de golf Ki-8-Eb. Cette activité a permis d amasser environ $. Un merci spécial à M. Michel Cyrenne pour son implication, aux nombreux commanditaires et aux participants qui nous soutiennent par leur fidélité. Cocktail-bénéfice Le 20 octobre 2005 avait lieu la 1 ère édition du Cocktail-bénéfice, au Musée québécois de la culture populaire, dont les dépenses ont été entièrement défrayées par le Groupe Investors et ses conseillers. Quelques 300 billets ont été vendus. Un profit d environ $ a été recueilli pour la Fondation. La Fondation ne fait pas qu amasser des fonds. Sa mission est de financer des projets soumis par le Centre InterVal et qui servent à améliorer l autonomie et la qualité de vie des usagers du Centre de réadaptation InterVal. Environ $ ont été octroyés au centre au cours de la dernière année. Trois (3) bourses d études, cumulant un montant de $, ont été remises pour permettre à des jeunes ayant une déficience physique de poursuivre leurs études. De plus, un montant de $ a été attribué pour des aides techniques directement aux usagers. Une année qui fut bien remplie, au service des personnes ayant une déficience physique! M me Françoise Drolet, présidente de la Fondation 26

29 DÉCLARATION DE FIABILITÉ DES DONNÉES M. Serge Lemieux directeur général Déclaration de fiabilité des données Les informations contenues dans le présent rapport annuel de gestion relèvent de ma responsabilité. Cette responsabilité porte sur la fiabilité des données contenues dans le rapport et des contrôles afférents. Les résultats et les données du rapport de gestion de l exercice du Centre de réadaptation InterVal : décrivent fidèlement la mission, les mandats, les valeurs et les orientations stratégiques de l établissement, présentent les indicateurs, les cibles et les résultats obtenus, présentent des données exactes et fiables. Je déclare que les données contenues dans le présent rapport annuel de gestion ainsi que les contrôles afférents à ces données sont fiables et qu elles correspondent à la situation telle qu elle se présentait pour l exercice terminé le 31 mars Éthique et déontologie Au cours de l année, aucune situation de manquement de la part d un administrateur aux règles d éthique et de déontologie prévues par la Loi sur les Services de santé et les Services sociaux ou par les règles d éthique et de déontologie des membres du conseil d administration du Centre de réadaptation InterVal n a fait l objet d une étude. Les règles d éthique et de déontologie sont disponibles à la direction générale de l établissement. Le Code d éthique de l établissement ainsi que le dépliant d information «Appréciation des services et droits de recours en cas d insatisfaction», qui donne l information nécessaire sur les procédures à suivre pour manifester une insatisfaction ou rédiger une plainte, ont été mis à jour au cours de la dernière année. Les documents sont disponibles dans tous les points de service du Centre InterVal. M. Serge Lemieux, directeur général 27

30 PRIX D EXCELLENCE INTERVAL ET DENIS LUNEAU 2006 Pour une seconde année, dans le cadre de la Journée annuelle de l employé, le service des ressources humaines a remis, tel que prévu dans la politique de reconnaissance de l établissement, les Prix d Excellence du Centre InterVal ainsi que le Prix d excellence Denis Luneau, du Comité des usagers. Le Prix Denis Luneau a été remporté par l équipe initiatrice d Adaptaforme. Sur la photo, on aperçoit M. Pierre Gélinas, président du Comité des usagers, qui a remis le prix ainsi que la bourse de formation de 500 $ à messieurs Martin Fiset, Patrick Théorêt et Alain Montplaisir. Depuis près de trois ans, Adaptaforme contribue au mieux-être des personnes adultes ayant des incapacités motrices persistantes. C est grâce à des professionnels d exception que cet organisme a pu prendre son envol. Cet honneur constitue donc une reconnaissance officielle de Le Prix d excellence d InterVal, catégorie personnel administratif, de soutien et d encadrement, a été remporté par M me Francine Auger, secrétaire médicale. Sur la photo, on aperçoit M me Auger recevant la statuette ainsi que la bourse de formation de 500 $ des mains de M. Serge Lemieux, directeur général. M me Auger est au service du programme de déficience motrice adulte, volet AIS depuis Personne autonome et organisée, cela transparaît sur l organisation du travail de toute l équipe. Elle est au fait des nouveautés de la langue française et en bureautique et maintient à jour ses connaissances dans son domaine. Elle a été initiatrice de plusieurs procédures, fonctionnements et s est impliquée dans plusieurs comités. En conclusion, depuis 25 ans, M me Auger a su maintenir un haut standard de qualité au niveau du secrétariat de l AIS. Le Prix d excellence d InterVal, catégorie personnel clinique, a été accordé à l équipe de déficience motrice adulte du point de service de Victoriaville, dont les membres sont: Mélanie Blais, Nathalie Côté, Nancy Deshaies, Julie Desrochers, Danielle Jacob, Luce Laurendeau et Nathalie Perreault. Sur la photo, des membres de l équipe reçoivent le prix ainsi que la bourse de formation de 500 $ des mains du directeur général, M. Serge Lemieux pour leur effort important dans l intégration du guide d élaboration du plan d intervention. Toutes les étapes du guide ont déterminé la façon de faire les rencontres préliminaires. Un outil d évaluation des habitudes de vie a été construit afin de répondre aux besoins de l équipe. L attribution de ce prix est une reconnaissance de la contribution essentielle de cette équipe à l essor et au développement de l établissement. 28

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