LA NEUROREHABILITATION

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1 LA NEUROREHABILITATION 3 ème assises régionales de l AVC 1

2 L A.V.C. est un problème majeur de santé publique. A.V.C. : 3 petites lettres qui font de gros dégâts. A ACCIDENT : BRUTAL VIOLENT URGENT Il s agit d un déficit neurologique focal et brutal. AGIR VITE : l AVC est une urgence thérapeutique 2

3 Les américains utilisent le message : F.A.S.T Face Arm Speech Time to call Bouche de Bras Troubles Je regarde l heure/ de travers qui tombe de la parole j appelle le SAMU) Un seul de ces 3 signes a une valeur prédictive positive d A.V.C. de 72 % 3

4 En France, le F.A.S.T. est devenu le VITE : V I T E Inertie Troubles En urgence, faites le 15 Visage du membre de la parole 4

5 V VASCULAIRE : L A.V.C désigne l obstruction ou la rupture d un vaisseau à l intérieur du cerveau : AVC ischémique : 80 % / AVC hémorragique : 20 % Aucun signe clinique ne permet de différencier un accident ischémique et un accident hémorragique. 5

6 C CEREBRAL : L AVC pour le cerveau est un tsunami. La gravité des séquelles est fonction de l étendue des lésions et leur expression clinique fonction de la région du cerveau atteinte. 6

7 QUELQUES CHIFFRES : L A.V.C. : 1 ère cause de handicap acquis de l adulte en France 3 ème cause de mortalité L A.V.C. touche chaque année environ nouveaux patients dont 25 % sont âgés de moins de 65 ans et 10 % âgés de moins de 45 ans 7

8 Chaque année 10 à personnes de moins de 45 ans en pleine activité voient leur vie bouleversées par l A.V.C. 8

9 L A.V.C. est une urgence absolue. Plus le diagnostic est précoce, plus le traitement adapté est rapide, moins le risque de séquelles définitives et lourdes est important. 9

10 LA VIE APRES L A.V.C. Quel itinéraire de neuroréhabilitation pour les patients victimes d un A.V.C.???? L itinéraire de neuroréhabilitation débute dans les services hospitaliers de soins aigus avec pour buts de limiter les complications et débuter la rééducation aussi précocement que possible. La neuroréhabilitation se décline en 3 dimensions : La rééducation La réadaptation et la réinsertion 10

11 La rééducation : Techniques visant à réduire les déficiences et les incapacités La réadaptation : Ensemble des moyens mis en œuvre pour aider le patient à s adapter à ses incapacités lorsqu elle. deviennent stabilisées et persistantes. La réinsertion : Ensemble des mesures médicosociales visant à optimiser le retour dans la société en évitant les processus d exclusion. 11

12 L AVC bouleverse la vie du patient mais également de son entourage. Ainsi, parler de l itinéraire des personnes atteintes d un A.V.C c est parler aussi de celui de nombreux intervenants impliqués dans leur prise en charge : parents, amis, collègues, soignants, thérapeutes, services sociaux, etc 12

13 Dans le processus de réinsertion, le handicap «invisible» constitué des séquelles cognitives, des troubles du comportement ou de l humeur doit être recherché. Il représente un obstacle aux mesures de réinsertion tant socio-familiale que professionnelle. 13

14 Les modifications du caractère, du comportement peuvent survenir après un A.V.C. Elles sont fréquentes, et assez peu connues (et donc peu reconnues) : fatigue et fatigabilité troubles de l attention et de la concentration réduction/perte de motivation, d initiative instabilité émotionnelle, hyperémotivité dépression crise d angoisse détérioration cognitive, démence. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

15 FATIGUE ET FATIGABILITE: Moindre résistance à l effort: un besoin de s allonger, de faire la sieste, un manque d énergie peu amélioré par le repos. Ce trouble est fréquent : 50 à 70 % des personnes ayant fait un AVC s en plaignent 9 mois après un A.V.C Chez des sujets jeunes, ce chiffre atteint 80 %. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

16 Elle persiste dans le temps : 50 % des A.V.C. âgés de 16 à 49 ans se plaignent encore de fatigue six ans après l A.V.C. Entrave nette à la réinsertion professionnelle Liée à la sévérité de l A.V.C. (intensité du déficit et des séquelles) mais pas uniquement. Il n est pas rare de voir cette plainte après un A.V.C. mineur ou même après un accident transitoire. Dans ce dernier, la fatigue parait plus liée au stress généré par l hospitalisation, les examens prescrits, le diagnostic annoncé, la crainte de la récidive. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

17 La distinction entre une fatigue pathologique liée à l A.V.C. et un syndrome dépressif post A.V.C. lui aussi fréquent est parfois difficile. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

18 Ménager des temps de repos, Réorganiser le quotidien (sieste par exemple), Reprise progressive des exercices, des activités antérieures, de l activité professionnelle, Tenue d un journal (activités, sommeil, horaires ) Il est très important d informer le patient et ses proches de l éventualité de survenue de ce symptôme avant la sortie de l hôpital et le retour à domicile ou lors des consultations de suivi si la fatigue se manifeste. 18

19 Les troubles de l attention et de la concentration 80 à 90 % des personnes ayant fait un AVC sont concernées Les personnes ont le sentiment de vite «décrocher» dans une conversation, dans le suivi d une émission, ou alors l inattention qui est à l origine d une «distractibilité» entrainant une sensation de perte de la mémoire, qui en fait est une difficulté à fixer ce qui vient d être dit. 19

20 Perte de motivation et d initiative : Les troubles peuvent fortement interférer sur les AVQ et imposer aux proches une présence importante. 20

21 Troubles de l humeur Dépression ou état euphorique. : Plus souvent, hyperémotivité ou fragilité émotionnelle : les personnes se plaignent alors d une expression excessive des sentiments (ex : pleurs faciles) ou encore un émoussement affectif (relative indifférence aux émotions), des conduites d agressivité, une intolérance à la frustration ou à l inverse, une tolérance excessive à des situations considérées comme inadmissibles antérieurement à l A.V.C. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

22 Les troubles de l humeur sont très invalidants pour les proches et peuvent entraver les relations sociales. Crises d angoisse (Attaques de panique qui durent quelques minutes à quelques heures) Des phobies (espace, magasin, vertige ) 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

23 Ces modifications du comportement ou du caractère secondaires à l A.V.C. vont avoir un retentissement sur les proches, les relations, les activités sociales et professionnelles. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

24 Ces troubles doivent être bien identifiés. En informer le patient et surtout ses proches pour réduire l effet déstabilisant de retrouver une personne proche différente de celle que l on connaissait avant l A.V.C., particulièrement lors du retour à domicile. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

25 Les répercussions sur les proches ne sont pas négligeables. Environ 50 à 75 % des conjoints présentent une dépression à un moment donné, Parmi les enfants adolescents des patients, la majorité souffre d un sentiment d insécurité, d une difficulté à exprimer leurs sentiments, de problèmes scolaires, d isolement et de symptômes physiques. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

26 Place du secteur médico-social dans l itinéraire de neuroréhabilitation des patients victimes d A.V.C. «Expérience d une plateforme spécialisée» La plateforme spécialisée permet des prises en charge adaptatives aux besoins et aux souhaits de la personne cérébro-lésée permettant d adapter l accompagnement dans ce parcours vers l autonomie et la réinsertion. Elle dispose d un S.A.V.S.-S.A.M.S.A.H. et d un F.A.M. 3ème Assises régionales de l A.V.C. Dr Baya SOUA

27 Le mot clef et également l objectif de la réadaptation: «La réinsertion». Tout est mis en œuvre pour assurer le retour de la personne dans un cadre de vie (foyer, études, emploi, loisirs, culture, ) qui lui permette de retrouver la qualité de vie la plus appropriée à son état. 27

28 S.A.V.S. Il assure des prestations au domicile de la personne ainsi que dans tous les lieux où s exercent des activités sociales, de formation et professionnelles, en milieu ordinaire et protégé et également dans les locaux du service S.A.M.S.A.H. Il assure les mêmes prestations que le S.A.V.S avec le volet «SOINS» en plus. 28

29 F.A.M. : Les modalités proposées par le Foyer d Accueil médicalisé sont : Un hébergement permanent Un hébergement temporaire Un accueil de jour 29

30 L Hébergement temporaire permet : Une évaluation en situation écologique d orientation Une évaluation en situation écologique d évolution et de suivi Pour assurer cette évaluation, une équipe pluridisciplinaire: (Médecin, I.D.E., Aide soignante, Neuropsychologue, Kinésithérapeute, Ergothérapeute, Orthophoniste et également toute une équipe socioéducative) 30

31 EVALUATION/ORIENTATION/ACTION Bilan médical: Anamnèse, Origine de la lésion cérébrale, Parcours sanitaire et de vie ATCD personnels et familiaux Facteurs de risque Traitements et contrôles (diabète, troubles du métabolisme des graisses, anticoagulants, HTA), surveillances biologiques, Bilan clinique 31

32 EVALUATION INFIRMIERE Objectifs globaux : Evaluer les capacités et les besoins pour mettre en place des actions adaptées et les moyens associés, Organiser et coordonner des ateliers et des prises en charge individuelle dans le cadre d une promotion et d une éducation à la santé 32

33 Education thérapeutique et prévention secondaire sont essentielles: surveillance du poids Contrôle de la T.A. : plus contrôle compliance du traitement si H.T.A. Activités physiques et sportives régulières, Education nutritionnelle spécifique, Aide et accompagnement à l arrêt du tabac 33

34 BILAN NEUROPSPYCHOLOGIQUE Objectifs: Permettre d établir un profil neuropsychologique comportant la sphère cognitive affective et comportementale afin de déterminer les besoins et les souhaits de la personne pour son futur projet 34

35 Propositions de pistes de travail pour un nouveau projet de vie : Différentes prises en charge cognitives (individuelles ou en ateliers collectifs) Mise en place d outils palliatifs pour compenser certains troubles (agendas, fiche de planifications ) et apprentissage de leur utilisation 35

36 Aide à l organisation, à la planification des actions pour les activités (ex : cuisine, entretien du logement ) Travail d orientation dans l espace de divers endroits (FAM, magasins, quartiers ), relais pris ensuite par les équipes de terrain. Aides aux équipes d accompagnement dans une gestion optimale du quotidien de l usager 36

37 L évaluation en situation écologique est indispensable à la proposition d un nouveau projet de vie et le suivi de son évolution. En effet, il est difficile de mesurer l impact réel des troubles cognitifs, comportementaux et émotionnels en vie quotidienne quand l usager vit au domicile, notamment quand il est en famille et que c est cette famille qui assure la plupart des AVQ. C est pourquoi les séjours d évaluation au FAM permettent d évaluer le réel degré d autonomie, très souvent il est constaté qu un réapprentissage et une aide à l autonomie sont nécessaires (AVQ, reprise d activités de loisirs ) alors que la famille nous certifiait une bonne autonomie. 37

38 BILAN DE KINESITHERAPIE Il permet de repérer les éventuelles séquelles motrices, leurs impacts sur l autonomie et les propositions de travail et de compensation. 38

39 BILAN EN ERGOTHERAPIE Il permet : Une évaluation complète des capacités physiques et fonctionnelles des personnes, Une évaluation en situation écologique des différents AVQ (toilette, habillage, utilisation des WC, prise des repas et déplacements). En collaboration avec les équipes éducatives, repérage des difficultés rencontrées durant les différentes activités journalières (préparation des repas, faire les courses ), 39

40 Il permet également de: D accompagner dans la définition et/ou l orientation vers des matériels et équipements divers devant permettre un maintien, voire un gain d autonomie fonctionnelle au quotidien. Proposer un aménagement de l habitat afin de limiter les éventuelles mises en danger liées à l environnement et favoriser l autonomie de la personne. 40

41 BILAN ORTHOPHONIQUE Permet un diagnostic orthophonique, et propose un plan de rééducation adapté. L intervention peut s effectuer au niveau: -de la compréhension et de l expression orales et écrites, de la communication non verbale, de la voix. -- de la déglutition. 41

42 Evaluation des actes de la vie quotidienne en situation écologique Les AVQ sont regroupés dans différents temps : Les temps des levers et couchers Les temps des repas Les moments de soins d hygiène La gestion du budget et des consommations diverses Les courses et les repérages dans l espace. L objectif général étant de favoriser l autonomie en utilisant les AVQ comme support d apprentissage. 42

43 CONCLUSION L A.V.C. laisse le plus souvent un handicap chronique fréquemment partiellement invisible. Il est important de rechercher d éventuels troubles cognitifs, de l humeur et comportementaux qui pourraient engendrer des difficultés à la réinsertion familiale, sociale et professionnelle. 43

44 CONCLUSION L itinéraire des patients victimes d un A.V.C. est un long parcours, impliquant de nombreux intervenants nécessitant une bonne communication, et une bonne coordination entre eux. Il vise à concrétiser un nouveau projet de vie pour le patient et ses proches. Cet itinéraire peut être optimisé par la coordination de la prise en charge, ce qui serait largement favorisé par la mise en place d une filière de neuroréhabilitation. 44

45 Merci pour votre attention 45

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