RESEAU DE SURVEILLANCE APICOLE

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1 EID Atlantique / Rochefort sur Mer / Janvier 2011 ÉVALUATION DES EFFETS EVENTUELS DE LA PRÉPARATION LARVICIDE ISSUE du Bacillus thuringiensis israelensis SUR L'ABEILLE DOMESTIQUE Apis mellifera m. Frank ALETRU, Président du Centre Vendéen de Recherche et Sélection Apicoles de la Vendée RESEAU DE SURVEILLANCE APICOLE 1. OBJET DU RESEAU DE SURVEILLANCE APICOLE Ce réseau a pour but de vérifier l innocuité de la préparation larvicide à base de Bti en traitement terrestre en zones humides sur les colonies d'abeilles. L'évaluation d un effet éventuel du traitement portera sur : l'observation de l'activité de butinage le comportement des abeilles le développement des colonies la mesure des mortalités. Le plan de surveillance décrit ci-après présente les caractéristiques suivantes : Sur le terrain : Ce plan de surveillance s applique à des conditions habituelles d emploi du larvicide évalué et sera réalisé sur des surfaces pertinentes pour l activité des butineuses. Vis-à-vis des abeilles : Ce plan de surveillance permet d utiliser des colonies fortes, telles que celles en production dans les ruchers professionnels. Les abeilles de ces colonies se comportent en plein champ sans stress expérimental, les surfaces à leur disposition permettant une activité normale des butineuses. Par ailleurs, ce réseau permet un suivi des colonies à moyen terme et offre la possibilité de réaliser des prélèvements significatifs de différentes matrices à des fins d analyses. 1

2 2. CONTEXTE DE MISE EN ŒUVRE 2.1 Biologie Il convient de rappeler quelques caractéristiques de la biologie de l'abeille domestique qui peuvent avoir une grande importance sur les effets possibles des préparations insecticides larvicides et/ou adulticides utilisées dans l environnement. Sa vie et sa survie sont particulièrement concernées par la réalisation de certains traitements. Les intoxications des larves et des adultes d'abeilles peuvent se produire par contact, ingestion ou inhalation. 2.2 La pollinisation On sait que l'abeille participe d une manière très importante à la pollinisation des plantes entomophiles et que, à ce titre, elle est un auxiliaire indispensable à la production de la plupart des fruits et des graines. C'est un insecte qui n'est pas attaché qu à une plante ou une famille de plantes et qui est attiré par toutes les productions de pollen, nectar ou miellat. L'abeille est présente sur la plupart des plantes durant la floraison ou au cours des périodes de production d'exsudat. Dès lors que la température extérieure dépasse 7 C, l abeille est apte à effectuer ses activités à l'extérieur de la ruche, mais c'est à partir de 15 C qu'elle devient remarquablement active, lors des opérations de fécondation des fleurs par le processus du transport du pollen dans la pollinisation croisée. Le rayon d'action de l abeille est généralement de 3 kilomètres (environ) autour de sa ruche, mais il peut être plus étendu, en présence d'une floraison attractive et si les conditions microclimatiques sont favorables. Ainsi, un champ de colza de 50ha en pleine floraison, par exemple, peut attirer les abeilles sur une distance de 6 à 8 kilomètres alentour. L alimentation des abeilles en sucres et protéines est entièrement issue des végétaux. Pour ses besoins en eau, notons que l abeille préfère les eaux tièdes et stagnantes. 2.3 La récolte du pollen Le pollen est rapporté à la ruche par des butineuses momentanément affectées à cette tâche. Il est ensuite stocké dans les alvéoles des cadres pour une utilisation ultérieure, au fur et à mesure des besoins de la colonie, et notamment pour l'alimentation des larves - les abeilles adultes n'utilisant que peu de matière protéique. Du pollen contaminé peut être recouvert par du pollen sain récolté consécutivement au fil de la saison. Les pollens présentent, en surface, des graisses, sur lesquelles se fixent les insecticides lipophiles. Le processus de stockage dans la ruche de pollens contaminés induit ainsi un problème de mortalités larvaires différées, qui peut conduire à l anéantissement de toute la colonie. 2.4 La récolte du nectar et de l'exsudat La butineuse qui rentre à la ruche avec le jabot chargé de nectar transmet aussitôt sa récolte à d'autres abeilles chargées de le stocker dans les alvéoles. Ces échanges de nourritures entre individus - la trophallaxie, sont la méthode que les abeilles emploient pour se nourrir. 2

3 3. CONDITIONS EXPERIMENTALES 3.1 Choix de la région Les observations sont conduites dans des espaces naturels accueillant des gîtes larvaires où l'apiculture peut être pratiquée. 3.2 Environnement et abeilles Observations sur fleurs Les observations sur fleurs sont réalisées sur les fleurs sauvages et/ou les fleurs des cultures situées sur un rayon de 50 métres autour de la zone traitée avec le Bti Choix des abeilles Les observations sont réalisées avec des colonies d'abeilles domestiques adaptées aux zones d'implantation des expérimentations, et qui auront préalablement subi une visite sanitaire permettant de vérifier : L état général satisfaisant L absence de symptômes pathologiques et/ou d intoxication L historique (miellée, traitements sanitaires ) depuis l hivernage précédent Choix de la période d expérimentation L observation est réalisée tout au long des périodes habituelles d utilisation de la préparation Bti. 3.3 Critères d implantation des ruchers Les ruchers sont implantés dans des zones regroupant une quantité importante de gîtes larvaires, éloignées des maisons d habitation. A raison d un rucher en zone traitée pour chacun des cinq départements concernés. Et d un rucher témoin installé sur un seul des cinq départements. 3.4 Intérêt du rucher témoin Inclus dans le dispositif de l observation, le rucher témoin est exposé au même environnement que les autres ruchers. Il permettra de : suivre l'évolution de l'activité des abeilles comparer les modalités étudiées mesurer l'effet éventuel de la préparation Bti. Le témoin participe ainsi à la validation de l étude. 3.5 Dispositif d observation Zones d observations Une modalité observée est définie par un produit à une dose donnée et un positionnement dans le temps et dans l espace. Le témoin est une zone non traitée avec Bti, située dans un environnement naturel comparable avec les autres zones traitées du point de vue des ressources pollenifères et mellifères ainsi que des ressources en eau. / 3

4 La distance entre le rucher de la parcelle témoin et les parcelles traitées est d au moins 3 km - ce qui correspond au rayon de butinage habituel des abeilles. Une distance de 6 km peut permettre d exclure toute éventualité d un butinage croisé. Dans le cadre de la validation de l observation, il est nécessaire de s assurer de l exposition réelle des abeilles. On prendra soin de vérifier les trois critères suivants : Les espèces végétales environnantes, susceptibles d être atteintes par les matières toxiques lors du traitement par pulvérisation sous l effet du vent, doivent être attractives, donc en floraison. Les observations doivent avoir lieu en période de floraison. Les surfaces traitées doivent être suffisamment étendues pour être significatives. L exposition des abeilles sera observée après chaque application du traitement, à travers : L activité des colonies et la comparaison entre modalités L état sanitaire des colonies. Dans certains cas particuliers, il est possible de réaliser des analyses complémentaires de résidus à partir de prélèvements : de butineuses de pollen (ou de boutons floraux) de nectar frais, de pain d abeille, de cire (prélèvements effectués dans la ruche) Critères de sélection et préparation des colonies Chacune des colonies doit être pourvue d une reine : si possible marquée, de même origine maternelle, de même âge et au plus âgée de 2 ans. Les colonies, pour être homogènes, doivent être similaires en termes de : densité des populations préparation (c/f historique : environnement botanique, développement, etc..) composition du couvain et réserves de nourriture. Les ruches sont préparées suffisamment tôt pour être conformes aux besoins de l étude, soit bien avant leur installation sur les zones d observation, et homogènes entre elles. L homogénéité des colonies, dont la population est représentative de la bonne pratique apicole (voir ci-dessous), est importante pour la fiabilité de l étude. Il est conseillé de répartir la colonie sur 10 à 12 cadres, comprenant au moins : 5 cadres de couvain, 2 à 3 cadres de réserves, 1 à 2 cadres bâtis vides, pour faciliter l'extension de la colonie. Au cours de l observation, le volume de la ruche sera augmenté si nécessaire par la pose de hausses. 4

5 3.5.3 Installation des ruches Les ruches sont installées en bordure de la zone d observation quelques jours avant la réalisation des traitements, afin de permettre à la colonie de s'adapter au milieu. Compte-tenu des surfaces traitées recommandées, il est conseillé d installer 4 ruches par modalité observée, dont 2 sont équipées de trappes à pollen et toutes sont équipées d un dispositif de collecte de la mortalité (cf. Observations. Mortalité). Certaines ruches seront posées sur des balances électroniques, interrogeables à distance Alimentation des colonies En zones mellifères, l'alimentation est assurée par le nectar et le pollen des fleurs sauvages et/ou cultivées. 4.1 Dose employée 4. TRAITEMENT L'étude d impact du traitement se fait à partir de la dose maximum employée sur le terrain à laquelle se trouvent exposées les abeilles. 4.2 Période de traitement Les observations ont lieu de préférence lors des périodes de traitement concomitantes à une période de floraison ou d exsudation de nectar ou de miellat. 4.3 Réalisation des traitements Les traitements sont réalisés sur l ensemble des gîtes larvaires dans chaque zone d observation. La pulvérisation est réalisée sur l ensemble de la zone avec un pulvérisateur en conformité avec la réglementation (entretien, calibrage). 4.4 Entretien et contrôle sanitaire des colonies d abeilles Les traitements contre le varroa sont réalisés en fin de campagne apicole précédente avec des produits vétérinaires autorisés. Tout autre traitement, tel que antibiotique, est interdit. Les colonies pourront faire l objet de visites sanitaires apicoles, soit au sein de l exploitation d origine, soit à l occasion de la mise en oeuvre de l étude. 5. OBSERVATIONS ET NOTATIONS Elles portent sur l'activité de butinage, les mortalités et le comportement des abeilles et sont effectuées, pour chaque zone d observation, avant et après les traitements. / 5

6 5.1 Observations principales Activité de butinage en zone mellifère Les observations consistent à évaluer l activité des butineuses selon les conditions météo et aux horaires propices à l activité de butinage. L'activité de butinage aura été observée au minimum une fois avant le traitement. Après le traitement, l observation est préconisée dans les 24 à 48 heures suivant l application. L observation effectuée au cours des jours suivant le traitement permet d évaluer la durée de son impact sur l'activité du butinage et/ou sur les mortalités Mortalités L'observation de la mortalité consiste à dénombrer les abeilles mortes collectées devant chaque colonie (ouvrières, faux-bourdons, et nymphes éventuelles). Le dispositif consiste en un film poreux de 1m² ou d un cadre grillagé disposé à l extrémité de la planche d envol. Cet échantillonnage d abeilles mortes est un indicateur de l évolution des mortalités par ruche. Le dénombrement de la mortalité est effectué le jour précédant les applications. Les observations réalisées au cours des jours suivant le traitement permettent de quantifier l impact éventuel du traitement sur la mortalité à J+1, J+2, puis une fois par semaine jusqu à la fin de l observation Observation des abeilles dans la ruche et sur la planche d envol Lors des visites de ruches, et plus généralement à l occasion des observations de butinage et de mortalité, il est procédé à des observations de comportement en vérifiant notamment : l'agressivité, le regroupement des abeilles à l'entrée de la ruche, le filtrage des entrées, les symptômes d intoxication (tremblements, nettoyage excessif ) Évolution des colonies Trois visites complètes des colonies sont réalisées au cours de la période d observation : la première au début, la seconde en milieu d essai, la troisième à la fin. Les observations portent sur l'importance de la population, l'état qualitatif et quantitatif du couvain et l'état des réserves. Elles permettent d analyser le développement des colonies. Ces visites peuvent se poursuivre, hors cadre expérimental, avant et/ou après l hivernage des colonies. 5.2 Observations complémentaires Prélèvements complémentaires Des visites apicoles peuvent avoir pour objet le prélèvement de matrices spécifiques (abeilles et couvain) à des fins d analyses pathologiques ou de résidus. 6

7 Données climatiques Pendant toute la durée de l'étude, on enregistre les données climatiques journalières suivantes : Température minimale et température maximale, Hygrométrie minimale et hygrométrie maximale, Pluviosité. Au moment du traitement, on note la température, l'hygrométrie, la force du vent ainsi que la couverture nuageuse. 6. INTERPRETATION DES RESULTATS L'interprétation des résultats ne peut être faite qu'à partir d'observations valides. Les critères de validation sont les suivants : AVANT TRAITEMENT : La mortalité entre les ruches des deux modalités doit être similaire. Pour information une mortalité de l ordre d une cinquantaine d abeilles par ruche et par jour peut être observée sans problème particulier. L activité de butinage entre les modalités doit être comparable. APRES TRAITEMENT : La mortalité dans le témoin doit être comparable avant et après le traitement, c està-dire que la mortalité, le lendemain du traitement, ne doit pas excéder de plus de 50 % la moyenne des mortalités observée la veille du traitement. Tous autres éléments jugés anormaux. 7. PRESENTATION DES RESULTATS 7.1 Butinage L'activité de butinage de chaque modalité est exprimée en nombre total d'abeilles observées sur les zones délimitées, et selon un barème d évaluation des sorties des butineuses. 7.2 Mortalités La mortalité est exprimée en nombre d'abeilles mortes pour chaque date d observation. Les résultats peuvent être présentés sous forme de tableaux et de graphes en nombres bruts d abeilles mortes par jour et en nombres cumulés d abeilles mortes après traitements. 7.3 Observations à la ruche Les données observées sur les planches d envol et à l intérieur des ruches doivent permettre de lister les troubles et les symptômes relevés. Les fréquences d apparition de ces troubles sont comparées entre modalités et peuvent être représentées sous forme de graphes. 7.4 Visites apicoles Les données observées lors des visites de ruches sont présentées sous formes de tableaux permettant de distinguer les évolutions entre les visites. Si nécessaire, les commentaires peuvent être complétés de présentation sous forme de graphes. 7

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