Intérêt de l'association ribavirine-interféron alpha dans le traitement de l'hépatite chronique C
|
|
- Angèle Denis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Revue critique de l'actualité scientifique internationale sur le VIH et les virus des hépatites n 68 - septembre 98 THERAPEUTIQUE, CLINIQUE Intérêt de l'association ribavirine-interféron alpha dans le traitement de l'hépatite chronique C Stanislas Pol Hôpital Necker (Paris) Randomised, double-blind, placebocontrolled trial of interferon alpha-2b with and without ribavirin for chronic hepatits C Reichard O., Norkrans G., Frydén A., Braconier J.- H., Sönnerborg A., Weiland O. for the Swedish Study Group The Lancet, 1998, 351, Si la ribavirine en monothérapie a peu d'indication dans le traitement de l'hépatite chronique C, l'association (1 sur 8) [24/06/ :15:54]
2 ribavirine/interféron est très largement supérieure à l'interféron seul chez des patients naïfs, rechuteurs et à un moindre degré non répondeurs. Les études pilotes suggèrent que les patients ayant une hépatite chronique liée au virus de l'hépatite C ont plus souvent une réponse virologique soutenue lorsqu'ils reçoivent une combinaison ribavirine/interféron alpha que lorsqu'ils reçoivent de l'interféron alpha seul. Les auteurs ont analysé les réponses biologiques et virologiques et la tolérance de la combinaison comparée à la monothérapie par interféron alpha. Dans un essai en double aveugle, 100 patients ont reçu l'interféron alpha (3 MU 3 fois par semaine) en association à la ribavirine (1000 ou 1200 mg/j) ou à un placebo pour 24 semaines. Le suivi complet était d'un an après l'arrêt du traitement. Le critère de jugement principal était la réponse virologique soutenue définie par un ARN du VHC non détectable à la 24e et à la 48e semaine. L'analyse était réalisée en intention de traiter. Une réponse virologique soutenue était notée chez 18 des 50 patients (36%) du groupe recevant la combinaison et chez 9 des 50 (18%) traités par l'interféron alpha seul (p=0,047). Après un an de suivi, les taux respectifs étaient de 42 versus 20% (p=0,03). Les patients ayant une virémie préthérapeutique supérieure à équivalents génomes/ml avaient une réponse virologique plus fréquente lorsqu'ils étaient traités par la combinaison que par l'interféron seul (12/29 versus 1/26, p= 0,009), ce qui n'était pas le cas des patients ayant une virémie inférieure à équivalents génomes/ml. Le génotype ne modifiait pas clairement la réponse. Les auteurs suggèrent que la combinaison est supérieure à l'interféron alpha pour induire une réponse virologique à long terme et qu'elle sera proposée aux sujets ayant une virémie élevée. Le but du traitement antiviral des hépatites chroniques C est l'éradication complète du virus afin d'éviter une dégradation histologique vers la cirrhose (observée chez 10 à 20% des patients infectés) voire le carcinome hépatocellulaire (dont l'incidence annuelle est de 3% lorsque la cirrhose est (2 sur 8) [24/06/ :15:54]
3 constituée). La posologie usuelle de l'interféron alpha était de 3 MU trois fois par semaine par voie sous-cutanée pour une durée de 12 mois. Avec ce schéma, une normalisation des transaminases survenait chez la moitié des patients dits "épondeurs". A l'arrêt du traitement, la moitié des répondeurs rechutaient. Ainsi, l'espoir d'une réponse à long terme (définie par une normalisation durable des transaminases au moins 6 mois après l'arrêt du traitement) n'était observée que chez 20 à 25% des patients; l'éradication virale semblait acquise chez 2/3 d'entre eux -pour lesquels on tend à parler de guérison. L'efficacité thérapeutique s'accompagnait d'une amélioration significative des index histologiques. Ces résultats intéressants mais clairement insuffisants ont justifié le développement de nouvelles stratégies thérapeutiques: de nombreuses associations à l'interféron (ursodiol, déplétion en fer, AINS, G-CSF, amantadine...) n'ont pas fait la preuve de leur efficacité. La seule stratégie actuellement supérieure à l'interféron seul est la combinaison ribavirine/interféron, et ce travail le confirme. Analogue de la guanosine, la ribavirine est un antiviral ayant une activité large in vitro contre les virus à ADN et à ARN, ce qui a conduit à son utilisation in vivo dans de nombreuses pathologies virales. Son activité est suggérée ou prouvée dans les infections à virus respiratoire syncitial, la fièvre de Lassa ou l'infection virale C, mais elle n'a pas d'activité antivirale claire dans les infections par le VIH, le VHB ou le VHD. Les mécanismes de l'activité antivirale in vivo ne sont pas élucidés et il n'est pas établi que les nombreux modes d'action décrits in vitro soient efficaces in vivo. L'efficacité de la ribavirine au cours de l'infection virale C a été suggérée par une normalisation de l'hypertransaminasémie sous monothérapie par ribavirine, mais celle-ci n'est pas durable et il n'y a pas d'activité antivirale propre (absence de diminution ou de négativation de la charge virale). Cependant, l'activité histologique -particulièrement l'inflammation intra-lobulaireparaît réduite par le traitement. Cette relative efficacité histologique, contrastant avec l'absence d'efficacité antivirale, témoigne probablement des effets immunomodulateurs de la molécule (inhibition des réponses de type TH2 et préservation des réponses de type TH1). Ainsi la ribavirine semble en monothérapie peu efficace dans le traitement de l'hépatite chronique C et pourra être proposée, sans conviction, à des patients ayant des contre-indications à l'utilisation de l'interféron telles que les dysthyroïdies sévères, des contrehttp://publications.crips.asso.fr/transcriptase/68_963.htm (3 sur 8) [24/06/ :15:54]
4 indications hématologiques, des cryoglobulinémies mixtes symptomatiques sévères ne répondant pas au traitement antiviral. La tendance actuelle dans le traitement des maladies virales est de proposer des associations de molécules antivirales qui permettent d'espérer d'une part une correction plus efficace et plus rapide de la multiplication virale et d'autre part une diminution du risque d'induction de résistances génotypiques. Plusieurs essais, incluant cette étude suédoise, confirment l'intérêt synergique de la combinaison, qu'il s'agisse de patients naïfs de tout traitement ou de rechuteurs. Pour les patients naïfs, l'association ribavirine/interféron alpha a été proposée dans plusieurs études randomisées. L'association a été comparée à un traitement par ribavirine seule et à un traitement interféron seul (3 MU 3 fois par semaine pour 6 mois). Si le pourcentage de normalisation des transaminases n'était pas clairement différent (pas de différence de la réponse primaire) chez les patients recevant la combinaison comparée aux autres, le pourcentage de réponse à long terme est significativement plus élevé dans le groupe traité par la combinaison (47 %) que chez les patients traités par ribavirine seule (0 %) ou interféron seul (25 %) un an après l'arrêt du traitement. Les facteurs prédictifs de réponse usuels à l'interféron (génotype non 1, charge virale faible) se vérifient aussi avec la combinaison bien que dans ce travail une différence significative entre les 2 groupes ne soit observée que pour la seule virémie préthérapeutique élevée. Les groupes "mauvais répondeurs" (génotypes 1, charge virale préthérapeutique élevée) semblent tirer un réel bénéfice de durées de traitements combinés de 12 mois par comparaison à 6 mois (résultats en cours de présentation). A l'inverse, pour les groupes bon répondeurs (génotypes 2 ou 3, charge virale faible), le bénéfice apporté par des traitements prolongés n'apparaît pas. Ainsi, alors que l'interféron en monothérapie ne permettait d'espérer que 7 à 30% de réponse virologique prolongée (éradication virale maintenue un an après l'arrêt du traitement), la combinaison permet 30 à 65% d'efficacité. Pour le traitement des rechuteurs ou des non-répondeurs, les premiers résultats encourageants obtenus dans des études pilotes viennent d'être confirmés par une étude randomisée (4 sur 8) [24/06/ :15:54]
5 multicentrique internationale incluant plus de 700 rechuteurs (c'est-à-dire ayant eu une réponse pendant un premier traitement par interféron mais ayant rechuté à l'arrêt); ils ont reçu pendant 6 mois l'interféron (3 MU) ou l'association ribavirine (1000 ou 1200 mg) et interféron (3 MU): une éradication virale était obtenue chez 4,5% des premiers et 47% des sujets recevant l'association; l'amélioration histologique était significativement plus fréquente dans ce groupe. A l'inverse, chez les patients non répondeurs, les résultats sont moins satisfaisants. Cela semble confirmé par des résultats préliminaires que nous avons obtenus dans la comparaison d'une combinaison séquentielle ribavirine/interféron alpha à l'interféron seul chez des patients non-répondeurs à un premier traitement par interféron. En effet, le pourcentage de normalisation des transaminases et le pourcentage de négativation de la virémie 4 mois après le début du traitement (38 et 37 %) étaient comparables; si le pourcentage de virémie négative 12 mois après le début du traitement était significativement différent (6 versus 22%, p=0,05) 6 mois après l'arrêt du traitement, suggérant que l'association diminue le risque d'échappement en cas de réponse virologique initiale. Si, en fin de traitement, le taux de virémie négative n'était que de 9% dans les 2 groupes, le pourcentage d'amélioration histologique était plus élevé en cas de traitement combiné (65 versus 38%). Ces résultats insuffisants demandent une confirmation ou une infirmation par les études contrôlées utilisant de fortes doses (quotidiennes ou trihebdomadaires) associées à une association simultanée avec la ribavirine pour des durées prolongées. Les effets secondaires de la ribavirine limitent rarement l'utilisation du traitement. Des effets tératogéniques et des fétopathies ont été décrits dans les modèles expérimentaux concernant les rongeurs ou les embryons de lapin. Aucun effet de ce type n'a été observé chez le babouin mais on déconseillera l'utilisation de la ribavirine chez les sujets désirant une maternité ou une paternité prochaine, qui ne seront envisagées que plus de 6 mois après l'arrêt du traitement. Chez l'homme, dans les essais cliniques, les effets secondaires usuels sont habituellement minimes et réversibles, et dominés (5 sur 8) [24/06/ :15:54]
6 par: - un inconfort abdominal spontanément résolutif malgré la poursuite du traitement; - une hyperuricémie asymptomatique; - une anémie hémolytique souvent modérée avec une diminution de l'ordre de 1,5 g de l'hémoglobinémie ne justifiant qu'exceptionnellement des modifications thérapeutiques mais pouvant être responsable d'une augmentation du fer intra-hépatique après les traitements. Des effets rares peuvent être observés (prurit, toxidermie, gingivite, toux sèche ou dyspnée) ne justifiant que rarement l'arrêt du traitement. Les autres effets secondaires (neutropénie, thrombopénie, alopécie, syndrome pseudogrippal ou syndrome sec) sont a rapporter au seul interféron. Il apparaît donc que son utilisation pose peu de problèmes, mais son coût reste élevé (de l'ordre de francs pour un traitement de 6 mois à 1g/j). L'ensemble de ces résultats montrent que si la ribavirine en monothérapie a peu d'indication dans le traitement de l'hépatite chronique C, l'association ribavirine/interféron est très largement supérieure à l'interféron seul chez des patients naïfs, rechuteurs et, à un moindre degré, non répondeurs. Ceci a été confirmé par deux récentes méta-analyses montrant que la combinaison dans l'ensemble des populations traitées multiplie par un facteur 2 ou 3 l'activité de l'interféron. Même si de nombreuses interrogations persistent sur les choix stratégiques (combinaison d'emblée ou après inefficacité virologique d'une monothérapie par interféron pendant 3 mois, durée et posologies des drogues combinées, influence du génotype ou de la virémie quantitative), il ne fait aucun doute que l'association ribavirine/interféron est aujourd'hui le traitement de référence de l'hépatite chronique C et qu'il doit donc être loyalement considéré comme le traitement de première intention. Si cette étape est majeure pour l'ensemble de la communauté des patients, on ne méconnaîtra pas que quelques interrogations doivent être élucidées (place de la combinaison chez les immunodéprimés, notamment infectés par le VIH; diminution de la phosphorylation de certains analogues nucléosidiques par la ribavirine in vitro faisant craindre une diminution de l'efficacité des trithérapies antirétrovirales; (6 sur 8) [24/06/ :15:54]
7 intérêt dans le traitement de la cirrhose). Autre point: la prise en charge thérapeutique des patients rechuteurs ou non répondeurs à la combinaison, qui devront bénéficier d'autres traitements. On attend ainsi les résultats des traitements d'induction (utilisation quotidienne de l'interféron), des nouveaux interférons pégylés (à libération prolongée autorisant une et non plus trois injections hebdomadaires) et surtout la disponibilité d'inhibiteurs de protéases spécifiques du VHC qui pourront être combinés aux traitements déjà disponibles. Comme pour le VIH ces dernières années, le traitement du VHC est entré dans une nouvelle phase avec de solides espoirs d'éradication, renforçant l'intérêt des politiques de dépistage. DiBisceglie AM, Conjeevaram HS, Fried MW et al. "Ribavirin as therapy for chronic hepatitis C. A randomized, doubleblind, placebo-controlled trial" Ann Intern Med, 1995, 123, Reichard O, Andersson J, Schvarcz R, Weiland O. "Ribavirin treatment for chronic hepatitis C" Lancet, 1991, 337, Ning Q, Brown D, Parodo J et al. "Ribavirin inhibits viral induced macrophage production of tumor necrosis factor, interleukin 1 and procoagulant activity and preserves TH1 cytokine production, but inhibits TH2 cytokine response" Hepatology, 1996, 24, 355 A (Abstract) Lai M-Y, Kao J-H, Yang P-M et al. "Long-term efficacy of Ribavirin plus Interferon alfa in the treatment of chronic hepatitis C" Gastroenterology, 1996, 111, Chemello L, Cavaletto L, Bernardinello E et al. "The effect of interferon alfa and ribavirin combination therapy in naive patients with chronic hepatitis C" J Hepatol, 1995, 23, 8-12 Brillanti S, Garson J, Foli M et al. "A pilot study of combination with Ribavirin plus Interferon alfa for Interferon alfa-resistant chronic hepatitis C" Gastroenterology, 1994, 107, (7 sur 8) [24/06/ :15:54]
8 Schvarcz R, Yun ZB, Sonnerborg A, Weiland O. "Combined treatment with interferon alpha-2b and ribavirin for chronic hepatitis C in patients with a previous non-response or non-sustained response to interferon alone" J Med Virol, 1995, 46, Scotto G, Ferrara S, Mangano A et al. "Treatment with ribavirin + alpha interferon in HCV chronic active hepatitis non-responders to interferon alone: preliminary results" J Chemother, 1995, 7, Camps J, Garcia N, Riezu-Boj JI et al. "Ribavirin treatment of chronic hepatitis C unresponsive to alfa interferon" J Hepatol, 1993, 19, Reichard O, Norkrans G, Frydén A et al. "Interferon-alpha and ribavirin versus interferon-alpha alone as therapy for chronic hepatitis C. A randomized double-blind placebo-controlled" Hepatology, 1996, 24, 356 A (Abstract) Pol S, Berthelot P, Bréchot C and a multicenter group "A randomised trial of ribavirin and interferon-alpha versus interferonalpha alone in patients with chronic hepatitis C non responders to a previous treatment" Hepatology, 1996, 24, 355 A (Abstract) Davis GL, Esteban-Mur R, Rustgi V et al. and the International Hepatits Interventional Therapy Group "Retreatment of relapse after interferon therapy for chronic hepatits C: an international randomized controlled trial of interferon plus ribavirine versus interferon alone" Hepatology, 1997, 26, 247 A (Abstract) (8 sur 8) [24/06/ :15:54]
Traitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailPlace du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailF ZOULIM. Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux
F ZOULIM Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux - Connaître les objectifs du traitement - Connaître les résultats immédiats et à long terme des traitements - Savoir choisir une option thérapeutique
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218
Plus en détailUSAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS
USAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS RAPPELS Répartition des patients VHC 15% Nosocomial 20% Autres + Inconnue 3% Activité prof. 37 % Transfusion 1 % sexuel 25 % Toxicomanie IV D'après
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailTraitement des Hépatites Chroniques Virales B et C
Réunion Tunisienne de Consensus Organisée par La Société Tunisienne de Gastro-entérologie Sous l égide de La Société Tunisienne des Sciences Médicales Traitement des Hépatites Chroniques Virales B et C
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailTraitement des hépatites virales
Traitement des hépatites virales IFMT Séminaire hépatites mai 2006. IFMT-MS-Sémin Hépatites-2006 1 Principes de base 1. Hépatites aigues : on ne traite pas! (VHA, VHE, VHB aigue) aucun traitement n a fait
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailPrise en charge du non répondeur à une bithérapie Pégylée
Prise en charge du non répondeur à une bithérapie Pégylée Marc Bourlière Service d'hépatologie et de Gastroentérologie, Hôpital Saint-Joseph, Marseille Points clés Devant une non réponse à une bithérapie
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailTraitement de l hépatite B : dernière heure
Traitement de l hépatite B : dernière heure Patrick Marcellin, Service d'hépatologie et INSERM U481 Hôpital Beaujon, Clichy. Traitement actuel Trois médicaments sont actuellement disponibles pour le traitement
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détailSolutions pratiques dans le traitement de l hépatite chronique virale C
INFECTIONS VIRALES Solutions pratiques dans le traitement de l hépatite chronique virale C DENIS OUZAN Solutions pratiques dans le traitement de l hépatite chronique virale C DENIS OUZAN Médecin hépatologue
Plus en détail1. Différentes hépatites/ différents traitements
III. Traitements 55 1. Différentes hépatites/ différents traitements Se faire soigner 1.1 Traitements des hépatites virales D après les expériences pratiques et la littérature scientifique, le traitement
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailTraitement des hépatites virales
Traitement des hépatites virales Philippe Sogni Hépato-gatroentérologie gatroentérologie,, Hôpital Cochin et Faculté de Médecine Paris 5 Sogni 1 Hépatite chronique C Sogni 2 Prévalence en France des Ac..
Plus en détailDocument de synthèse : Hépatite B et hépatite C. Sommaire :
Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C Sommaire : Au Canada, l hépatite B et l hépatite C demeurent de graves enjeux de santé publique en raison de taux de prévalence élevés, de coûts élevés pour
Plus en détailTraitement des hépatites virales chroniques Treatment of chronic viral hepatitis
Réanimation (2007) 16, 618 625 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/reaurg/ MISE AU POINT Traitement des hépatites virales chroniques Treatment
Plus en détailHépatite. Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients DOCUMENT À L USAGE DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ
DOCUMENT À L USAGE DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ Hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients Etat des connaissances : Août 2001 Table des matières 4page 4 8page 8 Indications
Plus en détailConférence de consensus Traitement de l hépatite C
Sociétés savantes copromotrices Avec la participation de FEDERATION NATIONALE DES POLES DE REFERENCES ET RESEAUX HEPATITES Conférence de consensus Traitement de l hépatite C Mercredi 27 et jeudi 28 février
Plus en détailConcepts cliniques et intervention efficaces
Concepts cliniques et intervention efficaces Traitement de l hépatite B chronique: Pourquoi, quand et comment? Pr Jean-Michel Pawlotsky Université Paris XII Créteil, France Cas clinique: Les choix en matière
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLe point sur le traitement de l hépatite C chronique
nouveautés en gastroentérologie et hépatologie Le point sur le traitement de l hépatite C chronique Rev Med Suisse 2010 ; 6 : 174-9 F. Bihl I. Pache J. Hess D. Moradpour Drs Florian Bihl, Isabelle Pache
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailHEPATITES VIRALES CHRONIQUES ET AIGUES
HEPATITES VIRALES CHRONIQUES ET AIGUES INFORMATIONS Pré-requis : Durée de l'item : Auteur(s) : Professeur Louis Buscail (mail : ) Objectifs : RAPPEL : LE DIAGNOSTIC D HEPATITE CHRONIQUE La fréquence de
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailPrise en charge des effets secondaires des traitements de l hépatite C. Jean Delwaide CHU Sart Tilman Liège
Prise en charge des effets secondaires des traitements de l hépatite C Jean Delwaide CHU Sart Tilman Liège Efficacité de PegInterféron et Ribavirine Génotype 1 Génotype 2 Génotype 3 Génotype 4 50% 90%
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailNouvelles thérapeutiques du VHC: progrès vers l éradication virale
Nouvelles thérapeutiques du VHC: progrès vers l éradication virale Fabien Zoulim Service d hépatologie, Hospices Civils de Lyon & Laboratoire des Hépatites, INSERM U1052 Université de Lyon, France Prévalence
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailActualités sur l hépatite C. 20 Janvier 2004
Actualités sur l hépatite C 20 Janvier 2004 Guérison sans séroconversion? CONTAMINATION 4 à 12 semaines HEPATITE AIGUE 15-45 % 55-85 % GUERISON ARN VHC- 25-40% INFECTION CHRONIQUE ARN VHC+ 60-75% ALAT
Plus en détail4 octobre 2011. Le consentement dit «éclairé» Der sogenannte «informed consent» Pr B. Hirschel
4 octobre 2011 Le consentement dit «éclairé» Der sogenannte «informed consent» Pr B. Hirschel Préambule (1) Le consentement informé est un processus: Explication orales Discussion avec des proches Réponses
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailHépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients
DOCUMENT À L USAGE DES PATIENTS Également disponible : L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients (document à l usage des professionnels de santé) Document édité et diffusé
Plus en détailMONOGRAPHIE. Pr PEGASYS. peginterféron alfa-2a injectable. Seringues préremplies : 180 µg/0,5 ml. Flacons à usage unique : 180 µg/1 ml
MONOGRAPHIE Pr PEGASYS peginterféron alfa2a injectable Seringues préremplies : 180 µg/0,5 ml Flacons à usage unique : 180 µg/1 ml Autoinjecteur ProClick : 180 µg/0,5 ml Modificateur de la réponse biologique
Plus en détailMon traitement n a pas marché.
tirer profit des différents traitements et soins disponibles être hépatant 13 Mon traitement n a pas marché. Que faire? Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une meilleure prise en charge
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailTraitement de l hépatite C chez le sujet infecté par le VIH Actualités 2004
Traitement de l hépatite C chez le sujet infecté par le VIH Actualités 2004 Pr C. PERRONNE Service des Maladies Infectieuses et Tropicales Hôpital Raymond Poincaré Faculté de Médecine Paris - Ile de France
Plus en détailVirus de l hépatite C
Virus de l hépatite C Dr Dominique Bettinger Laboratoire de Virologie CHU Saint Jacques Besançon Le 17 Avril 2004 Historique La transfusion en masse a été à l origine de nbreuses hépatites post-transfusionnelles
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailGestion des effets indésirables liés aux traitements par interféron et ribavirine au cours de l hépatite chronique C
Gestion des effets indésirables liés aux traitements par interféron et ribavirine au cours de l hépatite chronique C Albert Tran Service d'hépatologie et de Gastroentérologie, Hôpital de l Archet 2, Nice
Plus en détailComité d organisation
Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire
Plus en détailHépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006
Hépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006 1. Hépatites virales : étude clinique 1.1. Hépatite aiguë 1.1.1. Forme typique C est la forme clinique
Plus en détailActualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris
Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier
Plus en détailInteractions entre les virus de I'Immunodeflclence humaine et de I'hepatite C
Rev Med Interne 1998 ; 19: 885-91 Elsevier, Paris Mise au point Interactions entre les virus de I'Immunodeflclence humaine et de I'hepatite C S Pol, H Zylberberg Unite d' hepatologie, hopital Necker, 149,
Plus en détailL. Clivaz Mariotti. Médecine interne FMH RFSM
L. Clivaz Mariotti Médecine interne FMH RFSM Conflits d intérêts Pas de conflit d intérêt Première partie : problèmes somatiques courants Problèmes cutanés Problèmes nutritionnels Problèmes dentaires Problèmes
Plus en détailTRAITEMENT ACTUEL DE L HÉPATITE C : PLACE DE LA RIBAVIRINE
Évaluation thérapeutique : TRAITEMENT ACTUEL DE L HÉPATITE C : PLACE DE LA RIBAVIRINE 1. Évaluation clinique 2. Évaluation pharmaco-économique 5 É d i t o r i a l Depuis 10 ans, date à laquelle le virus
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailLe Pegasys FEUILLET D INFORMATION. En bref. Comment les personnes vivant avec le VIH utilisent-elles le Pegasys? Qu est-ce que le Pegasys?
FEUILLET D INFORMATION Le Pegasys En bref Pegasys est le nom d une forme d interféron-alpha-2a à action prolongée. Il est utilisé pour le traitement de l infection au virus de l hépatite C (VHC). Le Pegasys
Plus en détailhépatite C MISE À JOUR DE L INFORMATION MÉDICALE transmission diagnostic prise en charge clinique traitement
Fondation canadienne du foie Programme national d éducation sur l hépatite C hépatite C MISE À JOUR DE L INFORMATION MÉDICALE transmission diagnostic prise en charge clinique traitement Une initiative
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailL ABC DES HÉPATITES VIRALES
2008, 63, n 1 Journal de Pharmacie de Belgique 15 F. Van Bambeke L ABC DES HÉPATITES VIRALES PharmD, PhD, Maître de recherches du FRS, Unité de Pharmacologie cellulaire et moléculaire, Université Catholique
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailMise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick
Bulletin n 902 le 6 mars 2015 Mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick Cette mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick entre en
Plus en détailL hépatite C. 50 questions et réponses. Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny
L hépatite C 50 questions et réponses Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny A qui s adresse cette brochure? Cette brochure est destinée aux personnes souffrant
Plus en détailAvis 6 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailLa prise en charge médicale des patients atteints
Presse Med 2003; 32: 299-303 2003, Masson, Paris C ONTRIBUTIONS P. Pugliese 1,L.Cuzin 2, P. Enel 3,R.Agher 4, S.Alfandari 5,E.Billaud 6, P. Druard 3,C.Duvivier 4, M. Perez 2,D. Salmi 7, C. Pradier 8 NADIS
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détail