HISTORIQUE DE LA STERILISATION
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- Luc Delisle
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1 HISTORIQUE DE LA STERILISATION D.U. de STERILISATION Novembre 2012 DU Sté 2012/2013 V. Marque 1
2 «On ne connaît t bien une science que lorsqu on on en connaît t l histoirel histoire» Auguste Comte, cours de Philosophie positive ( ). 1842). DU Sté 2012/2013 V. Marque 2
3 Un peu d histoire... d La stérilisation est un ensemble de techniques conçues pour «inactiver» les micro-organismes organismes présents sur ou dans des objets jusqu à ce que leur nombre soit suffisamment faible pour qu ils soient considérés s comme stériles. DU Sté 2012/2013 V. Marque 3
4 L art de la désinfectiond A la PREHISTOIRE. L homme primitif fumait le gibier qu il voulait conserver l hiver l (essences d arbres d riches en composés s phénoliques) le combattant blessé cautérisait au fer rouge ses plaies pour éviter la gangrène. ne. L homme préhistorique ignorait qu il pratiquait l art l de la désinfection. DU Sté 2012/2013 V. Marque 4
5 L art de la désinfectiond Dans l ANTIQUITE... L art des embaumeurs de l Egypte l antique : désinfection chimique. La momification réservr servée e aux pharaons était le passeport pour l éternité.. L él état désinfectd sinfecté de la momie était préserv servé dans des sarcophages emboîtés, étanches, mettant la momie à l abri de la recontamination.. L exposition L dans des vitrines non étanches est à l origine de détérioration d nécessitant n une restérilisation rilisation. DU Sté 2012/2013 V. Marque 5
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10 Les étapes de la momification DU Sté 2012/2013 V. Marque 10
11 Les étapes de la momification DU Sté 2012/2013 V. Marque 11
12 Les étapes de la momification DU Sté 2012/2013 V. Marque 12
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22 L art de la désinfectiond Usage du feu comme moyen de purification : littérature grecque : Ulysse fait désinfecter d la salle de banquet en y faisant brûler du soufre (HOMERE dans l Odyssée). Hippocrate ( av JC) préconise de l eau l bouillie pour le lavage des mains des chirurgiens. Aristote ( av JC) recommande aux soldats d Alexandre le Grand de faire bouillir l eau l pour la rendre potable. DU Sté 2012/2013 V. Marque 22
23 De l antiquitl antiquitéau au moyen âge Aucune évolution car tout le monde est convaincu de la notion de générations g spontanées. Difficulté d une démonstration d expérimentale. DU Sté 2012/2013 V. Marque 23
24 L Hygiène Hospitalière La salubritéexemplaire des hôpitaux du Moyen Age : Construction des premiers hôpitaux à Paris et sur les routes menant à St Jacques de Compostelle. La déficience d des connaissances médicales m est en partie compensée e par l instauration l d une d hygiène rigoureuse et d une d organisation irréprochable. (établissements( exemplaires) Il faudra attendre plusieurs siècles pour que les règles r d hygiène élémentaires soient à nouveau observées es dans les hôpitaux d Europe. DU Sté 2012/2013 V. Marque 24
25 A la Renaissance : Les premiers pas de la Au XVI ème me si Microbiologie... siècle 1546 : Fracastor soupçonne onne l existence l d imperceptibles germes de maladie «qui se multiplient rapidement». Au XVII ème me si siècle 1674 : Van LEEUWENHOEK : premières res observations microscopiques : découverte d des micro- organismes. DU Sté 2012/2013 V. Marque 25
26 A la Renaissance : Les premiers pas de la Microbiologie... Francesco REDI ( ) 1698) auteur d une d Histoire Naturelle écrivait : «les insectes ne naissent de l âme l ni des plantes, ni des animaux, mais naissent tous des œufs déposd posés par les mouches».. Sa renommée e lui vaut sa statue à Florence dans la colonnade des offices. Ces observations ébranlèrent rent sérieusement s la croyance dans les générations g spontanées. L histoire de la stérilisation est désormais d inséparable de celle de la microbiologie. DU Sté 2012/2013 V. Marque 26
27 L Hygiène Hospitalière Le déclin d de l hygil hygiène à la Renaissance : L état des hôpitaux se dégrade d en dépit d de la justesse de quelques hypothèses sur l origine l de l infection l (J.Fracastor) Début de l èl ère des «hôpitaux-prisons prisons»,, de l enfermement des pauvres dans des conditions sanitaires de plus en plus préjudiciables à la santé individuelle et collective. DU Sté 2012/2013 V. Marque 27
28 L Hygiène Hospitalière Pour la première fois dans l histoire, l Fracastor propose pour traiter l infection l de s attaquer directement àla source du mal (les germes) : «S il était possible de les détruire d par l emploi l de caustiques, il n y ny aurait pas de meilleur remède. Mais comme ces matières ne peuvent être employées es sans danger pour l organe, l il faut chercher à le soigner à travers les organes voisins. Si la maladie n en n est plus à sa période p de début, on peut chercher à attaquer les germes et la matière. Mais il faut toujours se souvenir que le plus important est de combattre le germe g et de s opposer à la contagion» Cette phrase est tellement révolutionnaire r pour l él époque qu il est malheureusement évident qu elle ne pouvait pas être prise au sérieuxs rieux. DU Sté 2012/2013 V. Marque 28
29 L Hygiène Hospitalière Les carences de l hygil hygiène aux XVII èmes XVIII èmes siècles (jusqu en 1786) : et mes et La séparation s entre "bons" et "mauvais " pauvres et l enfermement "politico-médical " constituent les principes sur lesquels repose le fonctionnement du système hospitalier jusqu à la Révolution. R Des hôpitaux généraux g sont construits dans toutes les grandes villes. L hygiène hospitalière est déplorable d : on meurt plus dans les hôpitaux qu on y guérit. Prise de conscience par Tenon (chirurgien,1786) qui aborde les problèmes d hygid hygiène hospitalière. DU Sté 2012/2013 V. Marque 29
30 Premières res notions de stérilisation De L ALIMENTATIONL ALIMENTATION : John John Needham (Londres) introduit pour la première fois l idée e de stérilisation : vases clos exposés à l action du feu. Expérience avec du jus de viande de mouton 1780 : James Watt James Watt domestique la vapeur d eau dans une machine à usage industriel 1787 : Spallanzani Spallanzani introduit la notion de germes qui résistent r un certain temps à la violence du feu, mais qui à la fin, y succombent. DU Sté 2012/2013 V. Marque 30
31 Premières res notions de stérilisation De L ALIMENTATIONL ALIMENTATION : Nicolas Appert Nicolas Appert découvre l art l de conserver pendant plusieurs années toutes substances animales ou végétales v par l action du feu : c est c le «Père de la conserve» : Stérilisation au bain marie à une température <ou= à 100 C. Nicolas Appert fut nommé «bienfaiteur de l humanitl humanité» en : le chimiste Favre recommande la stérilisation dans un bain d eau d salée e dont la température d éd ébullition est supérieure à 100 C DU Sté 2012/2013 V. Marque 31
32 Principe de conservation selon APPERT Nicolas Appert a mis au point et publié en 1831 un procédé de conservation des aliments par chauffage, notamment du lait et de la bière. Il n a a pas su expliquer scientifiquement l efficacitl efficacité de ce procédé qu on appela l appertisation l L industrie de la conserve s organisait, s bien que la stérilisation au bain- marie, à une température au plus égale à 100 C, ait un effet stérilisant très s insuffisant. DU Sté 2012/2013 V. Marque 32
33 Principe de conservation selon PASTEUR Louis Pasteur s ints intéressa à cette technique (appertisation) et déposa en 1865 un brevet pour un procédé de conservation du vin par chauffage : on parle de pasteurisation La pasteurisation du lait date de Les températures de pasteurisation varient entre 62 C et 88 C. Si cette température est dépassd passée, on attaque l intl intégrité chimique de certains éléments du produit Selon l aliment l traité,, on a le choix technique d une d pasteurisation haute (75 C) ou basse (65 C) Après s la pasteurisation, il est important de réfrigr frigérer rer les aliments autour de 3 à 4 C C afin de prévenir la multiplication des bactéries. DU Sté 2012/2013 V. Marque 33
34 AUTRES TECHNIQUES Stérilisation UHT : la température atteint jusqu à 150 C C afin de détruire d tous les micro- organismes mais perte des qualités s gustatives à cause de la haute température Thermisation : traitement thermique moins poussé que la pasteurisation (vers 60 à 62 C) Tyndallisation : procédé de stérilisation modérée; chauffage discontinu à des températures de 60 C. DU Sté 2012/2013 V. Marque 34
35 Le triomphe de la bactériologie Pasteur fait éclater la véritv rité et doit lutter contre les esprits réactionnaires. r En 1864, il déclare d : «la génération g spontanée des êtres microscopiques est une chimère» La naissance de l asepsie l et de l antisepsie l préfigure l apparition l des premiers «hôpitaux propres» DU Sté 2012/2013 V. Marque 35
36 LOUIS PASTEUR DU Sté 2012/2013 V. Marque 36
37 PASTEUR (1862) Pasteur présente un mémoire m moire à l académie des sciences intitulé : «les corpuscules organisés s qui existent dans l atmosphl atmosphère» à l académie des sciences : le chirurgien SEDILLOT propose le mot de microbe pour désigner l ensemble l des «petites vies» C est la preuve définitive d de l inexistence l des générations spontanées DU Sté 2012/2013 V. Marque 37
38 Les Pionniers de l asepsiel 1846 : l obstétricientricien Semmelweis (Vienne) démontre l l importance de l l hygiène des mains. «la fièvre puerpérale rale est causée e par des particules cadavériques qui adhèrent aux mains des médecins m qui examinent les femmes en couches et il est de la plus grande importance de se laver soigneusement les mains avant d examiner les patientes» 18 % des femmes meurent de fièvre puerpérale rale à la suite de leur accouchement Après s lavage des mains : 18% 1.27% 1.27% 1847 : le chirurgien le chirurgien Holmer (Boston) : lavage des mains à l eau de Javel. DU Sté 2012/2013 V. Marque 38
39 Les Pionniers de l asepsiel 1867 : le chirurgien Lister (Angleterre): commence commence à mettre au point les règles r de l asepsiel : «il faut prévenir l entrl entrée e des germes dans la plaie pendant et après s l opl opération, si les germes sont présents dans la plaie, il faut éviter de les disperser après s l opl opération, les germes à l extérieur ou autour de la plaie doivent être détruits, tous les instruments, linges et d une d manière générale, g tout ce qui entre en contact avec l opl opération, y compris les mains des chirurgiens et de leurs assistants doivent être aseptisés». En chirurgie osseuse : la mortalité passe de 45% à 9% DU Sté 2012/2013 V. Marque 39
40 Méthode de Lister DU Sté 2012/2013 V. Marque 40
41 Pasteur définit d le principe de la chirurgie aseptique : «si j avais l honneur l d être d chirurgien, je n emploierais que du matériel préalablement exposées es dans un air porté à la température de 130 C à 150 C ; je n emploierais n jamais qu une une eau qui aurait subi la température de 110 à 120 C». A cette époque, la principale innovation consiste à se laver les mains avant les opérations au lieu de se les laver après. DU Sté 2012/2013 V. Marque 41
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46 État de l hygil hygiène et des hôpitaux à l aube du XX è me siècle Fort des enseignements de Pasteur, Semmelweis et de Lister, le processus de l infection l est compris dans son mécanisme et commence à être maîtris trisé. «L hôpital hébergementh» laisse place à l hôpital pavillonnaire oùo s impose l asepsie. l Un important effort de formation du personnel infirmier est engagé. Création des premières res écoles d infirmid infirmières. DU Sté 2012/2013 V. Marque 46
47 Évolution des machines à stériliser... C est l alimentation et non pas l hygiène qui joua le rôle moteur dans le développement des techniques de stérilisation et de l établissement des lois qui gouvernent les différents procédés s de stérilisation. DU Sté 2012/2013 V. Marque 47
48 Techniques de stérilisation De L ALIMENTATIONL ALIMENTATION : Denis Papin invente la soupape sans laquelle les récipients chauffés s seraient irrémédiablement condamnés à exploser et effectue des expériences sur la conservation de la nourriture : Raymond Chevallier Raymond Chevallier-Appert réalise le premier autoclave de stérilisation qui, en plus de la soupape de Papin, est équipé d une colonne à mercure servant de manomètre et permettant de suivre l él évolution de pression dans l appareil. l Regnault lui fournit les instruments de physique destinés à mesurer les caractéristiques ristiques de la vapeur d eau. d DU Sté 2012/2013 V. Marque 48
49 Techniques de stérilisation.. A L HYGIL HYGIÈNE : Pasteur, Pasteur, en jetant les bases de la microbiologie moderne fait progresser les notions de stérilisation : Chamberland Chamberland, élève de Pasteur, introduit l usage l de l autoclave en microbiologie. Il fait construire et commercialiser par la maison Lequeux son autoclave, ancêtre historique de nos stérilisateurs à la vapeur. DU Sté 2012/2013 V. Marque 49
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52 Évolution des machines à stériliser : : Apparition des premiers Poupinel : stérilisation à la chaleur sèches 1945 : Premier papier non pelable 1949 : stérilisation à l oxyde d éd éthylène 1956 : stérilisation par les rayonnements ionisants 1960 : L.J Pflug enseigne et vulgarise le concept moderne de valeur stérilisatrice F0 DU Sté 2012/2013 V. Marque 52
53 Évolution des machines à stériliser : Tambour de stérilisation ou boîtes métalliques m à éclisses remplacés s par des conteneurs avec soupapes et purgeurs thermiques 1963 : Bowie et Dick découvrent d le test utilisé quotidiennement 1968 : Premier brevet concernant la stérilisation par l utilisation d un plasma 1970 : Sachets pelables vapeur et rayonnement 1980 : Conteneur avec double couvercle ou couvercle bouclier DU Sté 2012/2013 V. Marque 53
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55 L Hygiène Hospitalière contemporaine ( ) 1992) Les grandes réformes r médicales m préparent parent la «renaissance» hospitalière : création d d «hôpitaux géants». L invention du matériel à usage unique vient bouleverser les techniques de soins Trois exemples de maladies nosocomiales d un d genre nouveau remettent en question les techniques d hygid hygiène hospitalières : le sang contaminé la maladie de Creuzfeldt jakob les spondylodiscites à mycobactérium xenopi DU Sté 2012/2013 V. Marque 55
56 Conclusion Comme l Histoire, celle de la stérilisation ne sera jamais achevée. e. L homme devra toujours s adapter s à de nouveaux agresseurs comme les prions encore inconnus il y a vingt ans. Grippe aviaire, grippe A etc. DU Sté 2012/2013 V. Marque 56
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