Partie : La convergence lithosphérique.
|
|
- Florence Chénier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Partie : La convergence lithosphérique. Introduction à cette partie : L an dernier, vous avez étudié les zones de divergence (dorsales, rift intracontinentaux) qui entraînent un éloignement des plaques et une expansion des lithosphères océaniques. Mais que se passe-t-il dans les zones de convergence, lorsque 2 plaques se confrontent inéluctablement (puisque la surface terrestre n est pas «extensible») Convergence lithosphérique : rapprochement de 2 plaques lithosphériques qui se traduit soit par une subduction soit par une collision Un site très complet et ludique si, si. Introduction: Partie 1 : La subduction. Subduction : phénomène de convergence lithosphérique, marquée par la disparition de la lithosphère océanique froide et dense (= plaque plongeante, chevauchée) dans une asthénosphère moins dense, sous une plaque lithosphérique chevauchante qui est soit continentale, ex : Andes soit océanique. ex : Japon Problématiques : Comment reconnaître à la surface de la Terre qu une zone donnée est une zone de subduction? Pourquoi une lithosphère océanique entre-elle en subduction?
2 I) Les marqueurs de la subduction ( fiche 1/1) PB : Comment reconnaître une zone de subduction à la surface de la Terre? Tp1: Les marqueurs de la subduction (voir correction rubrique TP et fiche d activité) 1. Présence de reliefs particuliers (Pages 212/213) On observe les reliefs de deux marges actives ( marges passives vues en 1S ) Topographie de la marge active des Andes : Topographie de la arge active du japon Fosse Cordillère Fosse Bassin arrière arc Arc insulaire. Images «sismolog» :: Il est ainsi possible de constater la présence de reliefs positifs et négatifs au niveau des marges actives:. Fosse océanique,(-). Cordillère ou îles volcaniques (+) Et éventuellement:. Un bassin océanique arrière arc.(-) lié à des forces de distension en arrière du relief positif.. Un prisme d accrétion(+) au niveau de la fosse Les sédiments qui surmontent le plancher basaltique subissent ces mouvements horizontaux, mais moins denses et peu solidaires de ce plancher, ils sont moins facilement engloutis, s'accumulent et se chevauchent. (page 215) Parfois ce bourrelet peut s'épaissir jusqu'à émerger localement: c'est le cas de la Barbade, dans les Caraïbes : Sujet bac : Antilles 2006 : Tous ces reliefs témoignent de déformations importantes qui résultent de contraintes, de forces compressives. -Présence de plis et de failles inverses, parallèles à l axe de la fosse, témoigne d une tectonique en compression entraînant un raccourcissement horizontal de la lithosphère.
3 2. Présence d une forte activité *activité volcanique (page214) La répartition des volcans à la surface de la terre montre leur localisation - Aux frontières de plaques, dans les zones de divergence (dorsales 1S) de type basaltique, dans les zones de convergence de type andésitique - Au centre des plaques (points chauds 1S) Dans les zones de convergence, les volcans s alignent parallèlement à la marge (Ex : Asie, ceinture de Feu du Pacifique, Cordillères ouest américaines, Méditerranée),ils constituent les reliefs positifs. Ces volcans témoignent d une activité magmatique importante qui se traduit par du volcanisme explosif très différent du volcanisme des zones divergentes. La lave produite est très épaisse, visqueuse elle produit une roche caractéristique : l Andésite. Ce magmatisme s'accompagne d'un plutonisme important notamment au niveau des cordillères.(remontée de laves qui refroidissent dans la croûte, sans être émises à l extérieur) (NB : Donc, Présence de roches spécifiques dans les zones de subduction ). Les volcans les plus dangereux se trouvent au niveau des marges actives: Des volcans à découvrir : - Soufrière aux Antilles : - Mont St Hellens (USA) - Montagne Pelée (Martinique) - Krakatoa (Indonésie) - Pinatubo (Philippines) - Popocatépetl (Mexique) - Vésuve (Italie) * sismique(216/217) La répartition des séismes à la surface de la terre, se superpose à celle des volcans. Ils marquent les limites de plaques, mais - Dans les zones de divergence, ils restent superficiels ou intermédiaires. - Dans les zones de convergence, ils peuvent être anormalement profonds. Lorsque l on visualise la profondeur des séismes, on constate que les séismes sont situés d un seul côté de la fosse (vers la plaque portant le relief positif): plus les séismes sont situés près de la fosse, moins leurs foyers sont profonds.
4 Exemple des Andes. On peut alors tracer le plan dans lequel s inscrivent tous les foyers des séismes. Ce plan s appelle le plan de Wadati-Bénioff et il matérialise le plongement de la lithosphère océanique à l intérieur du manteau, qui est plus chaud et plus dense que la lithosphère plongeante. Les foyers des séismes sont d autant plus profonds qu ils sont loin de la fosse. En coupe, les séismes se répartissent en profondeur sur une surface inclinée peu épaisse (100Km) appelée le plan de subduction ou plan de wadati-benioff. La présence des séismes profonds implique la présence en profondeur, d un matériel «cassant» (!!!) Ce plan est la preuve de la présence en profondeur d une plaque froide et rigide cassante, assimilée à une plaque lithosphérique océanique plongeante. Les foyers des sismes. L inclinaison du plan de Wadati-Bénioff est variable selon les zones de subduction. (exo 2 p. 233) NB : La plaque lithosphérique qui plonge peut présenter une pente raide type subduction intraocéanique de Tonga, des petites Antilles ou une pente plus douce, type subduction Andine. 3. Présence d une double anomalie thermique. (Page218) Les mineurs le savent très bien, plus on s'enfonce dans la croûte terrestre plus il fait chaud! Il existe au sein du globe terrestre un gradient thermique. En moyenne de 1 C/30m dans la croûte continentale, ce gradient thermique peut atteindre 1 C/10m dans certaines régions. La moyenne du flux thermique est de 80mW/m 2. Nous voyons que la T augmente au niveau de l arc volcanique, tandis qu elle diminue au niveau de la fosse Donc : -Anomalie + au niveau du relief + -Anomalie au niveau du relief - Une anomalie négative : faible flux de chaleur au niveau de la fosse. Le flux négatif est une preuve supplémentaire de la subduction d'une lithosphère océanique froide, dense et rigide dans le manteau asthénosphérique plus chaud et plus ductile. L'enfoncement rapide (quelques cm/an) ne permet pas aux roches de la lithosphère de se rééquilibrer thermiquement au contact de l'asthénosphère. Les roches rigides, cassantes de la lithosphère plongeante subissent des déformations avec rupture à l'origine des séismes. Vers 700 Km de profondeur, la
5 lithosphère devient plus ductile (augmentation de la température) d'où la disparition des séismes. Une anomalie positive : fort flux de chaleur au niveau de l arc insulaire ou au niveau de la cordillère. Ce flux élevé au niveau des reliefs positifs s'explique en partie par le volcanisme. Les isothermes, courbes reliant les points de même température, plongent au niveau des zones de subduction confortant l idée de la subduction d une plaque lithosphérique froide en profondeur. Bilan Une zone de subduction est donc une marge active, Marge : zone de transition entre la lithosphère océanique et la lithosphère continentale. marge active : présence d activité sismique et volcanique. - La transition océan/continent correspond à une frontière de 2 plaques lithosphériques : l une océanique, l autre continentale. - La transition océan/océan correspond à une frontière de 2 plaques lithosphériques : l une océanique, l autre océanique. (s oppose à la marge passive, pas d activité sismique ni volcanique car la transition océan/continent s effectue au niveau d une même plaque, ex : Marge française de l Océan Atlantique) Schéma bilan (sismolog) de la zone andine. Schéma bilan du Japon.
6 Elles se caractérisent par des marqueurs, topographiques (reliefs), morphologiques (déformations), volcaniques, sismiques et thermiques. EXO japon Voir correction dans la rubrique «corrections» PB : Quelle est le moteur de la subduction Synthèse : voir annexe.
7 2) Le moteur de la subduction (page 219) TP td2 : moteur de la subduction /litho. Océanique. En s éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique - vieillit - se refroidit au contact de l eau de mer donc l isotherme 1300 C, marquant la limite entre la lithosphère et l asthénosphère, s enfonce dans le manteau donc la lithosphère océanique s épaissit. Donc la lithosphère océanique devient plus dense. Le manteau lithosphérique (lithosphère) et l'asthénosphère ont la même composition chimique et minéralogique (péridotite). La séparation de ces 2 couches repose sur des propriétés (physiques) différentes liées à la température. Le manteau lithosphérique plus froid est rigide cassant. L'asthénosphère plus chaude est moins rigide plus visqueuse avec un comportement ductile. La séparation entre les 2 couches (et le moment où la lithosphère passe de l état cassant à l état ductile) correspond à l'isotherme 1300 C. Question n 1+2 : Les données tomographiques confirment que la lithosphère subduite est froide jusqu à plus de 600 Km de profondeur. La lithosphère s enfonce plus vite qu elle ne se réchauffe au niveau des zones de subduction. La présence de séismes anormalement profonds indique que ce matériel est resté cassant. Question n 3 : La densité de la lithosphère (manteau lithosphérique) subduite (3.37/3,45) est toujours > à la densité de la lithosphère océanique ou continentale non subduite (2.98) et > à la densité de l'asthénosphère de La densité de la lithosphère augmente avec la profondeur. Hypothèse : La densité de la lithosphère subduite augmente par rapport à une lithosphère non subduite (3.3->3.45). La densité > à la densité de l'asthénosphère permet à la plaque lithosphérique de plonger dans le manteau. L augmentation de la densité de la lithosphère océanique est le moteur de la subduction. Comment expliquer l'augmentation de la densité de la lithosphère océanique? Question n 3/4 : Le flux thermique de la lithosphère océanique décroît avec l'éloignement à l'axe de la dorsale. La lithosphère se refroidie donc plus elle s'éloigne de la dorsale donc plus elle est âgée. Proche de la dorsale le flux est fort et l'isotherme 1300 c est proche de la surface ce qui conduit à une lithosphère peut épaisse. En s'éloignant de la dorsale la lithosphère se refroidit, ce qui provoque un abaissement de l'isotherme 1300 C donc une couche de lithosphère froide plus épaisse. La lithosphère en s'éloignant de la dorsale se refroidie, l'isotherme 1300 C s'abaisse ce qui implique un épaississement progressif par ajout de manteau froid et dense de la lithosphère (/à l asthénosphère). Question 5 : - Calculer la densité moyenne de la lithosphère a 30 KM de la dorsale. Densité de 3.1 donc - dense que l'asthénosphère. Cette densité moyenne est valable car on admet que la lithosphère vers 30 Km est représentée par moitié 50% de croûte océanique (2.9) et de 50 % de manteau lithosphérique (3.3). La lithosphère flotte sur l'asthénosphère. ((6x2.9) + (4x3.3))/10 = Calculer la densité moyenne de la lithosphère a 50 KM de la dorsale. L épaisseur du manteau lithosphérique augmente (25 Km) et la densité de la lithosphère océanique augmente aussi. ((6x2.9) + (25x3.3))/31 = Cette densité reste < à la densité de l asthénosphère (3.3) la plaque ne peut plonger par subduction. En s'éloignant de l'axe de la dorsale la lithosphère océanique augmente par un apport de manteau lithosphérique, l'épaisseur de la croûte océanique ne varie pas. Cet apport concerne un matériel de densité de 3.3. La densité moyenne de la lithosphère océanique augmente donc en refroidissant, en vieillissant. La densité moyenne de la lithosphère océanique âgée de 150 Ma estimée en tenant compte de la part de la croûte et du manteau est de 3.26 > à la densité de l'asthénosphère. En théorie la lithosphère océanique peut plonger. Bilan : En s'éloignant de la dorsale océanique la lithosphère se refroidit, l'isotherme 1300 C s'abaisse. Comme la limite entre lithosphère et asthénosphère est uniquement physique (comportement différent lié à la température), le manteau lithosphérique s'épaissit au dépend
8 de l'asthénosphère. Cet apport important de matériaux froid de densité 3.3 conduit à une densité moyenne (globale) de la lithosphère (Co+manteau lithosphérique) qui augmente et passe de 3.1 au niveau de la dorsale à une densité de 3.25 pour une lithosphère de 40 Ma. Vers 30 à 50 Ma la lithosphère plus dense que l'asthénosphère peut en théorie plonger par subduction. Cependant l'atmosphère bien que moins dense est solide et résiste fortement à l'enfoncement de la lithosphère. Ceci retarde la subduction de plusieurs millions d'années. L'age de la lithosphère océanique en surface n'excède cependant jamais 180Ma. Remarque : Si le manteau lithosphérique représente 100% de la lithosphère (sans co), la densité serait de 3.3 au maximum suffisante pour amorcer la subduction. Comment expliquer des lithosphères subduites où la densité est de 3.37, 3.45? Au cours de l'enfoncement dans le manteau, les roches de la croûte océanique (basalte et gabbro 2.9) se transforment en éclogites (roches métamorphiques) de densité > 3.5. Cette particularité augmente la densité moyenne de la lithosphère. L'augmentation de la densité moyenne de la lithosphère lors de son expansion est le principal moteur de la subduction. PB : Comment un matériel froid qui plonge en profondeur peut-il être à l'origine d'une activité magmatique importante? II - Le magmatisme des zones de subduction 1. Les roches magmatiques des zones de subduction livre page 221/223 Les zones de subduction sont des lieux d'une importance activité magmatique. On distingue : Les roches magmatiques volcaniques comme les andésites, les rhyolites Il s'agit de roches de structure microlitique. Le magma débute sa cristallisation dans des chambres magmatiques et remonte rapidement en surface pour donner le volcanisme explosif (volcanisme andésitique) des zones de subduction. Les roches magmatiques plutoniques comme le granite ou les granodiorites. Il s'agit de roche de structure grenue. Le magma cristallise lentement en profondeur dans des chambres magmatiques et donne naissance à des plutons. Les plutons sont très nombreux au niveau des zones de subduction entre une lithosphère océanique et une lithosphère continentale comme pour la marge active du Pérou. Les plutons participent à la formation de la croûte continentale. Il s'agit de structures profondes que des phénomènes complexes (érosion et autres) peuvent rendre accessibles Transparent + tableau page 221 Pb : Quelle est l'origine du magma des zones de subduction? Quelle condition particulière conditionne sa genèse? 2. Les conditions de formation du magma au niveau des zones de subduction Exo 2 page 233 L'observation du volcanise et du plan de subduction permet de proposer une origine du magma située vers 100 à 150 km de profondeur. A cette profondeur se situe la péridotite du manteau (lithosphérique ou asthénosphérique). Fiche 1/2 A cette profondeur les conditions de t et P rendent la péridotite solide. En effet le géotherme (évolution de la t en fonction de la profondeur, de la pression) des zones de subduction ne permet pas à la péridotite sèche de fondre (le géotherme ne recoupe pas le solidus). Par contre l'apport d'eau abaisse la température de fusion partielle de la péridotite (solidus hydraté). Ainsi vers 80 à 150 Km de profondeur, la température de 1000 C suffit à provoquer la fusion partielle de la péridotite et donne naissance à un magma (le géotherme des zones de subduction recoupe le solidus hydraté). Le solidus correspond aux conditions de T et pression qui permettent à la péridotite de passer de l état solide à l état solide + liquide (magma) (fusion partielle de la péridotite). Le magma chaud, fluide et moins dense s'élève. Lors de sa remonté le magma peut séjourner en profondeur dans la CC et donner naissance aux plutons de granodiorites et granites. Le magma peut arriver rapidement en surface pour donner naissance aux volcanismes explosifs andésitiques, rhyolitiques. (Minéraux hydratés) Exo : IIA Pb : D'où provient l'eau nécessaire à la fusion partielle de la péridotite du manteau asthénosphérique au niveau d'une zone de subduction?
Thème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailGéodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1
Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailSéquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques
Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques
Plus en détailDocuments sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole
Laboratoire de Sciences de la Vie et de la Terre Mise à l épreuve de l idée d une dérive des continents Première S Au début du XXe siècle, les premières idées évoquant une mobilité horizontale des continents
Plus en détailSéquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.
Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailGOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités
GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités Google Earth est un logiciel, permettant une visualisation de la Terre (et d autres astres!) avec un assemblage de photographies aériennes
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailB- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements
B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition
Plus en détailLes calottes polaires Isostasie Champ de température
1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailIFFO-RME. Informations. Si la France est un pays de. LLa terre a tremblé le 21 novembre 2004 en Guadeloupe et aux Saintes, www.iffo-rme.
4 Informations Brèves L y était En partenariat avec l, l association Prévention 2000 organise une grande commémoration de la crue de la Loire de 1856 sous la forme d une rencontre francophone des «Ambassadeurs
Plus en détailFICHE INFORMATION. Répartition individuelle des frais de chauffage. Guide d'information à l'usage des occupants
FICHE INFORMATION Répartition individuelle des frais de chauffage Guide d'information à l'usage des occupants LE RÉPARTITEUR ÉLECTRONIQUE TECHEM Compter une énergie précieuse Vos répartiteurs de chauffage
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailUn volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.
Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme
Plus en détailL océan, un Eldorado pour les ressources du futur?
Les ressources minérales du futur sont-elles au fond des mers? «Il existe au fond des mers des mines de zinc, de fer, d argent, d or, dont l exploitation serait très certainement praticable.» Jules Verne
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailDesclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :
Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée
Plus en détailLA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE.
LA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE. 3 - La partie externe de la Terre est formée de plaques mobiles 4 - Les mouvements des
Plus en détailTravaux Pratiques. Sondage Radar de Vénus
Travaux Pratiques Sondage Radar de Vénus Introduction Vénus est la deuxième planète en partant du Soleil. Elle se trouve entre Mercure et la Terre. Vénus est une planète tellurique tout comme la Terre.
Plus en détailACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques.
ACTIVITÉ Configuration de la pression en surface Lorsque vous aurez complété cette activité, vous devriez être en mesure de : Dessiner des lignes d'égale pression (isobares) pour présenter la configuration
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailRUBIS. Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée. www.magnumgs.fr
RUS Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée www.magnumgs.fr Producteurs d'eau chaude instantanés RUS Le système intégré de production d'eau chaude sanitaire instantané permet, à
Plus en détailAquitaine Thermographie
Recherches de fuites par thermographie infrarouge Aquitaine Thermographie La thermographie La thermographie est une technologie précise et efficace, un allié fiable dans le domaine du bâtiment, de la maintenance
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailGénéralités. Front froid
Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailLe point de vue du contrôleur technique
Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle
Plus en détailLes précautions indispensables pour bétonner par temps froid. Holcim Bétons
Les précautions indispensables pour bétonner par temps froid Holcim Bétons Action du gel sur le béton frais L'action du froid sur le béton frais agit de façon néfaste sur les caractéristiques des bétons
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailQue savons-nous de notre planète?
Que savons-nous de notre planète? par Jacques Deferne et Nora Engel Née en même temps que le Soleil de la contraction d'un immense nuage d'hydrogène, d'hélium et de poussière, la Terre est la seule planète
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailRéalisation d un zonage sismique de la plaque caraïbe préalable aux choix de scénarios de tsunamis aux Antilles françaises. Rapport intermédiaire
Réalisation d un zonage sismique de la plaque caraïbe préalable aux choix de scénarios de tsunamis aux Antilles françaises Rapport intermédiaire BRGM/RP-55376-FR Mai 2007 Mots clés : zonage, séismes,
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailCafetière. Mode d Emploi. 1Notice cafetière v1.0
Cafetière Mode d Emploi 1Notice cafetière v1.0 SOMMAIRE 1 CONSIGNES DE SÉCURITÉ... 3 2INSTALLATION DE L APPAREIL EN TOUTE SÉCURITÉ...4 3PRECAUTION CONCERNANT L UTILISATION DE L APPAREIL...5 4DESCRIPTION
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailMesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations
Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détail[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang)
[1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [2] La quantité de mouvement et le moment angulaire [3] Calcul de l énergie de liaison des nucléons dans le noyau d un élément [4] Les
Plus en détailFORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)
FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailDEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie.
DEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie. Après parution de mon article sur les modèles numériques dans le «Swiss Glider» d avril, qui parlait entre autres
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailRt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats
6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailLe chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020
Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailEtablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil
Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailConstruire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques
La construction face au risque sismique Nouvelle réglementation Auch 27 novembre 2012 Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques Albane RAMBAUD Sandrine MARNAC CETE du Sud Ouest / DALET
Plus en détailVisite de la cité des Sciences et de l industrie.
Nom :. Prénom :. Classe :. Visite de la cité des Sciences et de l industrie. Organisation de la journée. Heure Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3 Groupe 4 Groupe 5 Groupe 6 8h30 Départ de la gare Arrivée à la
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailMesurer les altitudes avec une carte
www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte Mesurer les altitudes avec une carte Les cartes topographiques ne sont pas uniquement une représentation plane de la surface
Plus en détailLYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE
TP. TET LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES GENIE ELECTROTECHNIQUE Durée : 3 heures Tp relais statique 10-11 RELAIS STATIQUE S.T.I. Pré-requis : Laboratoire des systèmes Cours sur les
Plus en détailTHERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailRay-grass anglais auto-regarnissant
Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR
Plus en détailJournée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR
Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster 18 Mars 2014 ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR 1 CIPN/GC - Groupe Séisme Sommaire Description de la pince vapeur et du contexte Présentation des diagnostics
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Matériaux
SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailSoltherm Personnes morales
Soltherm Personnes morales Annexe technique Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt le 1 er janvier 2015 ou dans des maisons unifamiliales/appartements dont la déclaration
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailPOINT DROIT. Pour obtenir le point droit triple renforcé, tournez la molette de longueur de point à la position «S1».
POINT DROIT Point droit - position d aiguille au centre Tournez le sélecteur de point jusqu à ce que le «A» apparaisse dans la fenêtre d af chage du point. Installez le pied-de-biche standard. Réglez la
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailLAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.
SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailMesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre
Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détailL énergie grâce à l eau ça coule de source!
Bacheliers en Electromécanique Implantation de Seraing L énergie grâce à l eau ça coule de source! Mars 2013 - Quai Van Beneden Par B. Jansen, A. Hay, F. Laureiro, V. Rosso, E. Simon et F. Simonis Contact:
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailSéminaire OSPHARM. Au Costa Rica. Du DIMANCHE 17 au lundi 25 novembre 2013. 9 jours / 7 nuits
Séminaire OSPHARM Au Costa Rica Du DIMANCHE 17 au lundi 25 novembre 2013 9 jours / 7 nuits 1 Le Costa Rica Merveilleux jardin tropical, blotti entre Caraïbe et Pacifique, le Costa Rica n en finit pas de
Plus en détailLes effets de température
Les effets de température 1. Introduction La chaleur issue du combustible est transférée au caloporteur (eau) grâce au gradient de température qui existe entre ces deux milieux. Combustible Gaine Eau Profil
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailManuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques
Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailLe béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures
TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications
Plus en détailDéfi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK
Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détail