Champs produits par des circuits simples

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Champs produits par des circuits simples"

Transcription

1 Champs produits par des circuits simples A. Symétries et notion de vecteur axial Comme en électrostatique l utilisation d éventuelles symétries et/ou invariances de la distribution de courants peut simplifier la détermination du champ magnétique. Nous devons cependant avoir conscience de la nature particulière du champ magnétique. Revenons à la loi de Biot et Savart. Considérons le champ db créé en un point M par un élément de courant filiforme i dl passant par un point P. Comme indiqué sur la figure suivante, intéressons-nous à la situation symétrique par rapport à un plan (Π). Les points P, M et l élément i dl représentent les symétriques. Par contre le champ magnétique db est obtenu par un produit vectoriel : db' = K i dl ' u' r 2 Nous constatons facilement sur la figure (et cela se vérifie par calcul) que celui-ci est en fait égal à l opposé du symétrique du vecteur db, noté db". Le champ magnétique est un vecteur antisymétrique, un pseudo-vecteur ou encore un vecteur axial. Il a le même comportement qu un vecteur rotation Ω en mécanique. Fig. 1 : Symétrie par rapport à un plan du champ magnétique créé par un élément de courant. Ainsi s il existe un plan de symétrie dans la distribution de courants le champ magnétique est antisymétrique par rapport à ce plan. Au point M symétrique de M le champ magnétique est S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 1

2 opposé au symétrique du champ en M. En particulier en tout point du plan de symétrie le champ magnétique, devant être son propre antisymétrique, est normal au plan. D autre part, s il existe un plan d antisymétrie dans la distribution de courants le champ magnétique est symétrique par rapport à ce plan. En particulier en tout point du plan d antisymétrie le champ magnétique, devant être son propre symétrique, est tangent au plan. B. Courants à distribution circulaire ou cylindrique B.1. Champ magnétique sur l axe d une spire Considérons une spire plane, de rayon R, conductrice filiforme parcourue par un courant (fig. 2). Nous choisissons une orientation de la spire et nous notons i la valeur algébrique de l intensité du courant parcourant celle-ci. Soit Oz l axe passant par le centre O de la spire et orienté en conformité avec la spire (tire-bouchon). Nous cherchons à calculer le champ magnétique créé par la spire en un point M de cet axe. Fig. 2 : Spire parcourue par un courant. Tout plan contenant l axe Oz est plan d antisymétrie pour le courant. Le champ magnétique se situe donc dans ce plan. L axe Oz étant l intersection de deux de ces plans, le champ magnétique est porté par l axe. Calculons la projection sur l axe Oz du champ magnétique créé par un élément de courant i dl. Pour cela nous nous plaçons dans le plan contenant l axe et le point P. Les variables utilisées sont explicitées sur la figure 3. Fig. 3 : Spire parcourue par un courant. En valeur algébrique nous avons : db z = μ 0 i dl r 2 sinθ S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 2

3 où r représente la distance PM. Si nous sommons la contribution de l ensemble de la spire il vient : L angle θ est défini par : Ce qui nous donne : B= μ 0 i 2 π R r 2 sinθ sinθ= R r B= μ 0 i 2 R 2 r 3 Nous pouvons exprimer la distance r en fonction du rayon de la spire et de la coordonnée z du point M : r 2 =R 2 +z 2 r 2 R 2=1+z2 R 2 Nous avons donc pour l expression du champ magnétique en fonction de z : B(z)= μ / 0 i 2 R 1+z2 R 2 La courbe présentée sur la figure suivante indique l allure de cette fonction. Fig. 4 : Allure de l intensité du champ magnétique créé par une spire. Déterminons les positions du maximum et des points d inflexion. Pour simplifier le calcul des dérivées nous pouvons écrire : B z =B r r z Reprenons l expression de B en fonction de la distance r : B= μ 0 i 2 R 2 =A r-3 r3 S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 3

4 Nous avons pour sa dérivée : D autre part nous avons : Ce qui nous donne : B r = 3 A r-4 r 2 =R 2 +z 2 2 r dr=2 z dz r z =z r Nous pouvons donc calculer la dérivée du champ magnétique par rapport à la variable z : Le champ magnétique est maximum en z = 0 : B z = 3 A r-4 z r = 3 A r-5 z Pour la dérivée seconde il vient : B 0 = μ 0 i 2 R B r = 3 A 5 r-6 z2 z z+r-5 B z 2 = 3 A 5 r-6 z r z+r-5 B z 2 =3 A r-7 (5 z 2 r 2 ) Celle-ci s annule pour : 5 z 2 =r 2 =R 2 +z 2 z 2 = R2 4 La courbe de la figure 4 présente deux points d inflexion pour : B.2. Bobines de Helmholtz z=± R 2 Considérons deux spires identiques, de rayon R, parcourues par des courants de même sens et de même intensité i. Nous disposons ces deux spires normalement à un axe Oz de telle sorte que leurs centres se situent sur cet axe (fig. 5). Nous choisissons l origine O au milieu du segment joignant les deux centres. Nous notons d la longueur de ce segment. D après le principe de superposition le champ magnétique créé par ces deux spires est la somme des champs induits par chacune des spires : B(M)=B 1 (M)+B 2 (M) S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 4

5 Pour un point M d abscisse z sur l axe Oz nous avons donc : B(z)=B 1 (z 1 )+B 2 (z 2 ) où B 1 et B 2 représentent le champ magnétique créé par une spire, calculé au paragraphe précédent, et avec : z 1 =z+ d 2 et z 2 =z- d 2 Fig. 5 : Bobines de Helmholtz. Sur la figure 6 nous avons tracé l allure de cette somme pour deux situations assez différentes. A droite les deux spires sont côte-à-côte (d = 0), la courbe est évidemment similaire à celle d une seule spire, avec une amplitude du champ double. A gauche les deux spires sont relativement écartées. On observe un minimum en O et des maxima au niveau des deux centres. Fig. 6 : Champ créé par des bobines de Helmholtz très proches (à droite) ou assez éloignées (à gauche). Considérons la courbure de ces courbes en z = 0. Celle-ci est négative pour la courbe de droite et positive pour la courbe de gauche. Il doit donc exister une situation pour laquelle la courbure à l origine s annule. Déterminons quelle est alors la distance entre les deux bobines. La courbure est déterminée par la dérivée seconde : B z 2(z)= B 1 z 2 (z 1)+ B 2 z 2 B 2 S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 5

6 Avec les notations du paragraphe précédent nous pouvons écrire : Et : B 1 z 2 (z 1)=3 A r 1-7 (5 z 1 2 r 1 2 ) B 2 z 2 (z 2)=3 A r 2-7 (5 z 2 2 r 2 2 ) Pour z = 0 nous avons : z 1 = d 2 et z 2= d 2 r 1 =r 2 Nous pouvons donc écrire : B z 2(0)=6 A r 1-7 (5 z 1 2 r 1 2 ) Nous avons vu que cette expression s annule pour : z 1 =± R 2 La courbure en z = 0 de la courbe représentant le champ magnétique créé par les deux spires est donc nulle pour d = R. C est ce que nous pouvons constater sur la figure 7. Dans cette situation les bobines créent un champ magnétique uniforme dans un volume assez grand autour de O. Fig. 7 : Champ créé par des bobines de Helmholtz en position optimale. B.3. Solénoïde Un solénoïde à spires jointives (fig. 8) constitue la réalisation pratique d une nappe de courant cylindrique. Si nous notons n le nombre de spires par unité de longueur nous avons pour la densité surfacique de courant équivalente : j S =n i S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 6

7 Nous cherchons à calculer le champ magnétique en un point M situé sur l axe du solénoïde. Celui-ci étant axe d antisymétrie pour la distribution de courants, le champ est porté par l axe. Commençons par considérer le champ élémentaire créé par une tranche du solénoïde. Pour ce calcul nous choisissons le point M comme origine sur l axe z. L orientation du courant dans le solénoïde définit celle de l axe. Nous notons z l abscisse du centre de la tranche et dz son épaisseur infinitésimale. Fig. 8 : Calcul du champ magnétique sur l axe d un solénoïde. Nous pouvons assimiler cette tranche de solénoïde à une spire de rayon R ayant pour contribution au champ magnétique en M : db(z)= μ 0 I 2 L intensité I du courant circulant dans cette spire est proportionnelle à l épaisseur de la tranche : I=j S dz=n i dz La longueur r et l angle θ (fig. 8) sont directement reliés à l abscisse z de la spire et à son rayon R : r= R sinθ R 2 r 3 z=r cosθ= R tanθ La largeur dz de la tranche correspond à un angle dθ : z θ = R sin 2 θ dz= R dθ sin 2 θ En reportant les expressions de r et dz, nous pouvons écrire pour le magnétique en M : S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 7

8 Soit en simplifiant : db(θ)= μ 0 n i 2 R dθ sin 2 θ R 2 sin θ R 3 db(θ)= μ 0 n i 2 sinθdθ Le champ magnétique créé par l ensemble du solénoïde correspond à la superposition des contributions de toutes les tranches. Ce qui nous donne : z 2 B(M)= db(x) z 1 θ 2 = db(θ) θ 1 où z 1 et z 2 (θ 1 et θ 2 ) désignent les abscisses des deux extrémités du solénoïde par rapport au point M, comme indiqué sur la figure 8. L intégration par rapport à θ nous conduit à : B(M)= μ 0 n i 2 (cosθ 2 cosθ 1 ) La figure suivant illustre l allure du champ magnétique le long de l axe Oz d un solénoïde de longueur L. Fig. 9 : Champ le long de l axe d un solénoïde de longueur L. Au centre O du solénoïde nous avons : B 0 =μ 0 n i cosθ avec pour un solénoïde de rayon R et de longueur L : tanθ= 2 R L Pour un solénoïde infini (θ = 0) le champ est constant : B=μ 0 n i S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 8

9 C. Champ produit par un tore Un tore de révolution désigne la surface obtenue par la rotation d une courbe plane fermée (la section du tore) autour d une droite située dans le plan de la courbe. Par exemple la figure 10 présente le tore obtenu par rotation d un cercle vertical autour d une droite verticale située à une distance au centre du cercle supérieure à son rayon. Fig. 10 : Tore de révolution de section circulaire. Considérons un tore de section quelconque sur lequel sont enroulées N spires jointives traversées par un courant d intensité i. Etant donnée la symétrie cylindrique du tore nous pouvons affirmer que les lignes de champ sont des cercles orthogonaux à l axe de révolution et centrés sur celui-ci. Appliquons le théorème d Ampère le long d un de ces cercles de rayon r. Nous avons pour la circulation du champ magnétique : B dl (Γ) =2 π r B(r) Celle-ci est proportionnelle à l intensité enlacée I. Nous devons distinguer deux situations : - le cercle se situe à l extérieur du tore : I = 0 ; - le cercle se situe à l intérieur du tore : I = N i. Le champ magnétique est donc nul à l extérieur du tore. A l intérieurr du tore il a pour module : B(r)= μ 0 N i 2 π r où r représente la distance à l axe de symétrie du tore. Si R représente le rayon de la trajectoire du barycentre de la section nous pouvons écrire : B(R)= μ 0 N i 2 π R =μ 0 n i où n représente le nombre de spires par unité de longueur. Le champ médian du tore a une expression similaire à celui d un solénoïde de longueur infinie. S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 9

10 D. Dipôle magnétique Au début de ce chapitre nous avons évalué le champ magnétique créé par une spire le long de son axe. Nous intéressons ici au champ magnétique induit en un point quelconque situé à grande distance de la spire. Fig. 11 : Calcul du potentiel vecteur induit par une spire. Commençons par évaluer le potentiel vecteur. Pour un circuit linéique (orienté) traversé par un courant d intensité i (algébrique), en utilisant la jauge de Coulomb, nous avons au point M : A(M)= μ 0 i dl P r le point P circulant sur la spire dans le sens positif. Pour alléger les expressions la variable r représente ici la distance PM. Plaçons nous dans un repère orthonormé (O,e x,e y,e z ) avec O pris au barycentre de la spire (celle-ci n est pas nécessairement plane). Considérons une des composantes du potentiel vecteur, par exemple A x : A x =A e x = μ 0 i e x r dl P Cette expression fait apparaître la circulation d un vecteur e x le long du circuit. Le théorème r de Stokes nous permet de transformer cette circulation en un flux : e x r dl () = rot P e x r ds () où (Σ) est une surface orientée s appuyant sur la spire (Γ). Comme la distance r dépend de M et de P, l indice P indique que le rotationnel porte sur les coordonnées de P (pour M fixe). D autre part nous avons : Le vecteur e x étant fixe il reste : rot P e x r =1 r rot P e x +grad P 1 r e x rot P e x r =grad P 1 r e x S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 10

11 Dans le paragraphe D.2 du chapitre précédent nous avons trouvé que : grad 1 r = 1 r 2 u P où u P est le vecteur unitaire dirigé de P vers M. Reportons ce résultat dans l expression de la composante du potentiel vecteur. Nous obtenons : A x = μ 0 i u P r 2 e xds () En utilisant l invariance du produit mixte par permutation circulaire il vient : A x = μ 0 i ds u P r 2e x () En suivant la même démarche pour les deux autres composantes nous aurions obtenu des résultats similaires. Nous pouvons donc écrire pour le potentiel vecteur : Ce résultat est valable pour tout point M. A(M)= μ 0 i ds u P r 2 Considérons un point situé à grande distance de la spire (r grand devant les dimensions de la spire) nous pouvons considérer qu au premier ordre : () PM OM =r u où r représente cette fois la distance OM et u le vecteur unitaire dirigé de O vers M. Nous pouvons donc considérer cette distance et ce vecteur constant dans l intégration. Ce qui nous permet d écrire : avec : A(r)= μ 0 m u r 2 = μ 0 m=i ds () m r r 3 Cette expression du potentiel vecteur est similaire à celle obtenue pour le potentiel électrostatique d un dipôle. Pour cette raison la spire est également appelée dipôle magnétique et la quantité m représente son moment magnétique. Pour une spire plane nous avons : m=i S Dans le système international d unités le moment magnétique s exprime en A m 2. Remarque : La surface de la spire peut s écrire : S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 11

12 S= 1 2 dl OP (Γ) La figure suivante illustre le potentiel vecteur pour une telle spire. Fig. 12 : Potentiel vecteur en un point éloigné de la spire. Connaissant le potentiel vecteur nous pouvons évaluer le champ magnétique créé par un dipôle magnétique en utilisant la relation : B=rot M A Pour plus de clarté par rapport à la discussion précédente, nous avons introduit un indice M pour rappeler que le rotationnel ici est à calculer par rapport aux coordonnées du point M. Pour simplifier le calcul nous utilisons des coordonnées sphériques prises par rapport à un repère orthonormé direct (O,e x,e y,e z ) avec le vecteur unitaire e z choisi parallèle au moment magnétique : m=m e z Fig. 13 : Coordonnées polaires dans le plan défini par le moment magnétique et le point M. Nous avons alors : m u=m e z u=msinθe φ S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 12

13 Le potentiel vecteur s écrit donc : A(r)= μ 0 msinθ r 2 e φ Par rapport repère (e r,e θ,e φ ) seule sa troisième composante A φ est non nulle. En coordonnées sphériques le rotationnel a pour expression : rot A 1 rsinθ θ (sinθa φ) θ φ 1 r 1 A r sinθφ r r A φ 1 r r (r A θ) A r θ L expression du champ magnétique se limite donc à : B B r = 1 B θ = 1 r B φ =0 rsinθθ (sinθa φ) r r A φ La troisième composante étant nulle le champ magnétique se trouve dans le plan défini par le moment magnétique m et le point M. Partant de : Il vient : A φ = μ 0 msinθ r 2 sinθa φ = μ 0 msin θ r 2 θ (sinθa φ)= μ 0 2 msinθcosθ r 2 Ce qui nous donne pour la première composante du champ magnétique : Ce que nous pouvons encore écrire : D autre part : B r = μ 0 B r = μ 0 2 mcosθ r 3 2 m u r 3 S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 13

14 r A φ = μ 0 msinθ r r r A φ= μ 0 msinθ r 2 Ce qui nous donne pour la seconde composante du champ magnétique : B θ = μ 0 msinθ r 3 Nous obtenons pour le champ magnétique créé par un dipôle magnétique des composantes similaires à ce que nous avions pour le dipôle électrostatique. Les études des lignes de champs d un dipôle électrostatique sont donc transposables aux lignes de champ magnétique. Par exemple la figure suivante visualise ces lignes de champ pour un moment magnétique vertical (matérialisé par le vecteur). Fig. 14 : Lignes d induction magnétique d un dipôle. Un barreau aimanté (aimant permanent) à grande distance peut être assimilé à un dipôle magnétique dont le moment magnétique est dirigé du Sud vers le Nord de l aimant. Les lignes de champ magnétique (à l extérieur du barreau) sont orientées du Nord vers le Sud. Par analogie nous pouvons définir des pôles pour des circuits. La figure suivante illustre ces pôles pour une spire en fonction du sens du courant. Le tire-bouchon s enfonce du Sud vers le Nord. Fig. 15 : Pôles Sud et Nord d une spire. S. Tisserant PHY11 : Electromagnétisme VIII - 14

Repérage d un point - Vitesse et

Repérage d un point - Vitesse et PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées

Plus en détail

Cours de Mécanique du point matériel

Cours de Mécanique du point matériel Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels

Plus en détail

Travaux dirigés de magnétisme

Travaux dirigés de magnétisme Travaux dirigés de magnétisme Année 2011-2012 Christophe GATEL Arnaud LE PADELLEC gatel@cemesfr alepadellec@irapompeu Travaux dirigés de magnétisme page 2 Travaux dirigés de magnétisme page 3 P r é s e

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

Chapitre 1 Cinématique du point matériel

Chapitre 1 Cinématique du point matériel Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la

Plus en détail

Michel Henry Nicolas Delorme

Michel Henry Nicolas Delorme Michel Henry Nicolas Delorme Mécanique du point Cours + Exos Michel Henry Maître de conférences à l IUFM des Pays de Loire (Le Mans) Agrégé de physique Nicolas Delorme Maître de conférences à l université

Plus en détail

Cercle trigonométrique et mesures d angles

Cercle trigonométrique et mesures d angles Cercle trigonométrique et mesures d angles I) Le cercle trigonométrique Définition : Le cercle trigonométrique de centre O est un cercle qui a pour rayon 1 et qui est muni d un sens direct : le sens inverse

Plus en détail

Propriétés électriques de la matière

Propriétés électriques de la matière 1 Propriétés électriques de la matière La matière montre des propriétés électriques qui ont été observées depuis l antiquité. Nous allons distinguer les plus fondamentales de ces propriétés. 1 Propriétés

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Chapitre 0 Introduction à la cinématique

Chapitre 0 Introduction à la cinématique Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à

Plus en détail

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.

Plus en détail

Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S )

Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble

Plus en détail

1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.

1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R. Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation

Plus en détail

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2 Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page

Plus en détail

1S Modèles de rédaction Enoncés

1S Modèles de rédaction Enoncés Par l équipe des professeurs de 1S du lycée Parc de Vilgénis 1S Modèles de rédaction Enoncés Produit scalaire & Corrigés Exercice 1 : définition du produit scalaire Soit ABC un triangle tel que AB, AC

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

Représentation géométrique d un nombre complexe

Représentation géométrique d un nombre complexe CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres

Plus en détail

Nombres complexes. cours, exercices corrigés, programmation

Nombres complexes. cours, exercices corrigés, programmation 1 Nombres complexes cours, exercices corrigés, programmation Nous allons partir des nombres réels pour définir les nombres complexes. Au cours de cette construction, les nombres complexes vont être munis

Plus en détail

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet

Plus en détail

Cours IV Mise en orbite

Cours IV Mise en orbite Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction

Plus en détail

MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE

MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

Analyse statique d une pièce

Analyse statique d une pièce Analyse statique d une pièce Contrainte de Von Mises sur une chape taillée dans la masse 1 Comportement d un dynamomètre On considère le dynamomètre de forme globalement circulaire, excepté les bossages

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point

Plus en détail

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue

Plus en détail

SUJET ZÉRO Epreuve d'informatique et modélisation de systèmes physiques

SUJET ZÉRO Epreuve d'informatique et modélisation de systèmes physiques SUJET ZÉRO Epreuve d'informatique et modélisation de systèmes physiques Durée 4 h Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui semble être une erreur d énoncé, d une part il le signale au chef

Plus en détail

Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie

Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Système formé de deux points

Système formé de deux points MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2

Plus en détail

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

Quelques contrôle de Première S

Quelques contrôle de Première S Quelques contrôle de Première S Gilles Auriol auriolg@free.fr http ://auriolg.free.fr Voici l énoncé de 7 devoirs de Première S, intégralement corrigés. Malgré tout les devoirs et 5 nécessitent l usage

Plus en détail

F = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres

F = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des

Plus en détail

PHY2723 Hiver 2015. Champs magnétiques statiques. cgigault@uottawa.ca. Notes partielles accompagnant le cours.

PHY2723 Hiver 2015. Champs magnétiques statiques. cgigault@uottawa.ca. Notes partielles accompagnant le cours. PHY2723 Hiver 2015 Champs magnétiques statiques cgigault@uottawa.ca otes partielles accompagnant le cours. Champs magnétiques statiques (Chapitre 5) Charges électriques statiques ρ v créent champ électrique

Plus en détail

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et

Plus en détail

Intégrales doubles et triples - M

Intégrales doubles et triples - M Intégrales s et - fournie@mip.ups-tlse.fr 1/27 - Intégrales (rappel) Rappels Approximation éfinition : Intégrale définie Soit f définie continue sur I = [a, b] telle que f (x) > 3 2.5 2 1.5 1.5.5 1 1.5

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur.

C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur. C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur. La CFAO réunit dans une même démarche informatique les actions de conception et de fabrication d un objet. La technique utilisée permet à

Plus en détail

Calculs de probabilités avec la loi normale

Calculs de probabilités avec la loi normale Calculs de probabilités avec la loi normale Olivier Torrès 20 janvier 2012 Rappels pour la licence EMO/IIES Ce document au format PDF est conçu pour être visualisé en mode présentation. Sélectionnez ce

Plus en détail

C est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position OM est constant et il est égal au

C est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position OM est constant et il est égal au 1 2 C est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position est constant et il est égal au rayon du cercle. = 3 A- ouvement circulaire non uniforme

Plus en détail

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité

Plus en détail

Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.

Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin. Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours. Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I

Plus en détail

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette

Plus en détail

LES APPAREILS A DEVIATION EN COURANT CONTINU ( LES APPREILS MAGNETOELECTRIQUES)

LES APPAREILS A DEVIATION EN COURANT CONTINU ( LES APPREILS MAGNETOELECTRIQUES) Chapitre 3 LES APPARELS A DEVATON EN COURANT CONTNU ( LES APPRELS MAGNETOELECTRQUES) - PRNCPE DE FONCTONNEMENT : Le principe de fonctionnement d un appareil magnéto-électrique est basé sur les forces agissant

Plus en détail

Séquence 2. Repérage dans le plan Équations de droites. Sommaire

Séquence 2. Repérage dans le plan Équations de droites. Sommaire Séquence Repérage dans le plan Équations de droites Sommaire 1 Prérequis Repérage dans le plan 3 Équations de droites 4 Synthèse de la séquence 5 Exercices d approfondissement Séquence MA0 1 1 Prérequis

Plus en détail

CHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.

CHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées. CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,

Plus en détail

Si deux droites sont parallèles à une même troisième. alors les deux droites sont parallèles entre elles. alors

Si deux droites sont parallèles à une même troisième. alors les deux droites sont parallèles entre elles. alors N I) Pour démontrer que deux droites (ou segments) sont parallèles (d) // (d ) (d) // (d ) deux droites sont parallèles à une même troisième les deux droites sont parallèles entre elles (d) // (d) deux

Plus en détail

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle

Plus en détail

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux

Fonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................

Plus en détail

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout

Plus en détail

1 Complément sur la projection du nuage des individus

1 Complément sur la projection du nuage des individus TP 0 : Analyse en composantes principales (II) Le but de ce TP est d approfondir nos connaissances concernant l analyse en composantes principales (ACP). Pour cela, on reprend les notations du précédent

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

Etude de fonctions: procédure et exemple

Etude de fonctions: procédure et exemple Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons

Plus en détail

Cours d Electromagnétisme

Cours d Electromagnétisme Année Universitaire 2012-2013 Licence de Physique (S4) Cours d Electromagnétisme Chargé du Cours : M. Gagou Yaovi Maître de Conférences, HDR à l Université de Picardie Jules Verne, Amiens yaovi.gagou@u-picardie.fr

Plus en détail

Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker

Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction

Plus en détail

SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX

SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX 1. EXPERIENCE 1 : APPLICATION DE LA LOI FONDAMENTALE DE LA DYNAMIQUE a) On incline d un angle α la table à digitaliser (deuxième ou troisième cran de la table).

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

Continuité d une fonction de plusieurs variables

Continuité d une fonction de plusieurs variables Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs

Plus en détail

Plan du cours : électricité 1

Plan du cours : électricité 1 Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)

Plus en détail

Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique

Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On

Plus en détail

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette

Plus en détail

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2 Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2012 OBLIGATOIRE MATHÉMATIQUES. Série S. Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient : 7 ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2012 OBLIGATOIRE MATHÉMATIQUES. Série S. Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient : 7 ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2012 MATHÉMATIQUES Série S Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient : 7 ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE Les calculatrices électroniques de poche sont autorisées, conformément à la

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

Commun à tous les candidats

Commun à tous les candidats EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

Baccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS

Baccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS Baccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS N o Lieu et date Q.C.M. Algébrique Géométrie 1 Asie juin 2012 2 Métropole juin

Plus en détail

Leçon N 4 : Statistiques à deux variables

Leçon N 4 : Statistiques à deux variables Leçon N 4 : Statistiques à deux variables En premier lieu, il te faut relire les cours de première sur les statistiques à une variable, il y a tout un langage à se remémorer : étude d un échantillon d

Plus en détail

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 % 23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une

Plus en détail

GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban

GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban Gabriel Cormier, Ph.D., ing. Université de Moncton Hiver 2012 Gabriel Cormier (UdeM) GELE5222 Chapitre 9 Hiver 2012 1 / 51 Introduction Gabriel Cormier (UdeM)

Plus en détail

Cours Fonctions de deux variables

Cours Fonctions de deux variables Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté

Plus en détail

Cours 1. Bases physiques de l électronique

Cours 1. Bases physiques de l électronique Cours 1. Bases physiques de l électronique Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 2005 1 Champ électrique et ses propriétés Ce premier cours introduit

Plus en détail

Examen d informatique première session 2004

Examen d informatique première session 2004 Examen d informatique première session 2004 Le chiffre à côté du titre de la question indique le nombre de points sur 40. I) Lentille électrostatique à fente (14) Le problème étudié est à deux dimensions.

Plus en détail

CHAPITRE. Le mouvement en deux dimensions CORRIGÉ DES EXERCICES

CHAPITRE. Le mouvement en deux dimensions CORRIGÉ DES EXERCICES CHAPITRE Le mouvement en deux dimensions CORRIGÉ DES EXERCICES Exercices. Les vecteurs du mouvement SECTION. 5. Une montgolfière, initialement au repos, se déplace à vitesse constante. En 5 min, elle

Plus en détail

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

M6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL

M6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL M6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL OBJECTIFS Jusqu à présent, nous avons rencontré deux méthodes pour obtenir l équation du mouvement d un point matériel : - l utilisation du P.F.D. - et celle du

Plus en détail

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble.. 1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

Seconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.

Seconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction. Seconde Généralités sur les fonctions Exercices Notion de fonction. Exercice. Une fonction définie par une formule. On considère la fonction f définie sur R par = x + x. a) Calculer les images de, 0 et

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Cinétique et dynamique des systèmes de solides

Cinétique et dynamique des systèmes de solides Cinétique et dynamique des systèmes de solides Page 2/30 CINÉTIQUE des systèmes matériels... 3 1.) Notion de masse...3 2.) Centre de masse d'un ensemble matériel...4 3.) Torseurs cinétique et dynamique...6

Plus en détail

Angles orientés et trigonométrie

Angles orientés et trigonométrie Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

NOTICE DOUBLE DIPLÔME

NOTICE DOUBLE DIPLÔME NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des

Plus en détail

Université de Caen. Relativité générale. C. LONGUEMARE Applications version 2.0. 4 mars 2014

Université de Caen. Relativité générale. C. LONGUEMARE Applications version 2.0. 4 mars 2014 Université de Caen LMNO Relativité générale C. LONGUEMARE Applications version.0 4 mars 014 Plan 1. Rappels de dynamique classique La force de Coulomb Le principe de moindre action : lagrangien, hamiltonien

Plus en détail

Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN.

Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. TD 6 corrigé - PFS Résolution analytique (Loi entrée-sortie statique) Page 1/1 Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. Question : Réaliser le graphe de structure, puis compléter

Plus en détail

Manipulateurs Pleinement Parallèles

Manipulateurs Pleinement Parallèles Séparation des Solutions aux Modèles Géométriques Direct et Inverse pour les Manipulateurs Pleinement Parallèles Chablat Damien, Wenger Philippe Institut de Recherche en Communications et Cybernétique

Plus en détail