L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
|
|
- Josiane Larivière
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie, maternité de Port Royal, Paris Dr C. Fallet-Bianco, neuropathologie, hôpital Sainte-Anne, Paris Dr C. André, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Pr C. Adamsbaum, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris
2 Il s agit d une revue iconographique ayant pour objectifs : - Insister sur les éléments sémiologiques caractéristiques en imagerie de cette pathologie - Discuter les corrélations anatomo-pathologiques - Rapporter le devenir clinique des enfants ayant survécu
3 Abréviations ACR : arrêt cardio-respiratoire ETF : échographie trans-fontanellaire H : hyperéchogénicité HIV : hémorragie intra-ventriculaire grade I : saignement dans la région sous-épendymaire grade II : extension aux plexus ventriculaires grade III : distension variable des ventricules grade IV : association à une hémorragie dans la zone germinale IMF : infection materno fœtale LPV : leucomalacie péri-ventriculaire MAP : menace d accouchement prématuré SA : semaines d aménorrhée
4 Patients et méthodes Étude rétrospective incluant 19 cas (17 prématurés) Critères d inclusion Hyperéchogénicité périventriculaire précoce (avant J8) unilatérale, systématisée Sans signe neurologique focal Sans marqueur infectieux Groupe I : 11 enfants (9 prématurés de terme moyen 28 SA 3J et 2 à terme) suivis cliniquement, avec ETF et IRM (recul moyen de 12,5 mois, de 1 mois à 3 ans 7 mois) Groupe II : 8 grands prématurés (terme moyen 26 SA 6J) décédés avant J7 (suivis avec ETF) dont 3 examens neuropathologiques
5 Résultats Groupe I n = 11 (5 filles/ 6 garçons) Survie, suivi clinique 9 prématurés terme moyen 28 SA 3J poids de naissance moyen 1261 g 2 à terme poids de naissance moyen 3362 g Évolution clinique assez favorable avec parfois déficits spastiques des extrémités (n= 5) (recul moyen de 12,5 mois, de 1 mois à 3 ans 7 mois) Groupe II n = 8 (2 filles/ 6 garçons) Décès avant J7 3 examens neuropathologiques Grands prématurés terme moyen 26 SA 6J poids de naissance moyen 744 g Décès J4 2/3 du fait de complications de la grande prématurité
6 - Hématome intra-parenchymateux frontal gauche Cas n 9 (prématuré de 27 SA) ETF coupe frontale : hyperéchogénicité frontale IRM coupes frontale et axiales en pondération T1 et T2
7 Tableau A : résultats biométriques du groupe I * 5 6 Terme 40 SA + 1 J 27 SA 26 SA + 4J 28SA +3J 32 SA + 5J 39 SA Poids de naissance (en grammes) Sexe M F M M M M Motif de la prématurité Anomalies cérébrales échographiques au dernier trimestre MAP MAP MAP sévère Rupture prématurée des membranes Altération rythme cardiaque Anomalies hématologiques anémie thrombopénie anémie Infection maternofœtale OUI Streptocoque B Evolution clinique Peu de recul 24 mois : hypertonie des membres inférieurs (G>D) Grasping du pied gauche à 2 mois 15 mois : pas de séquelle Pas de recul Pas de suivi * Correspond à une grossesse gémellaire
8 Tableau A bis : résultats biométriques groupe I (suite) 7 8* Terme 26 SA + 5 J 28 SA + 6J 27 SA+ 1J 31 SA + 5 J 27 SA + 2 J Poids de naissance (en grammes) Sexe F F F M F Motif de la prématurité Oligoamnios et troubles du rythme cardiaque Gémellité Rupture prématurée des membranes MAP sévère Pré-éclampsie Anomalies hématologiques Anémie Anémie Thrombopénie anémie Infection materno-fœtale Evolution clinique Pas de séquelle à 9 mois Examen neurologique normal Pas de recul 31 mois : hémiparésie droite 17 mois : spasticité du pied droit 3 ans 7 mois : monoparésie brachiale droite 9 mois : spasticité du membre inférieur gauche * Correspond à une grossesse gémellaire
9 Tableau B : résultats biométriques du groupe II 12* * 17* 18* 19 Terme sexe 25 SA + 3J M 27 SA + 3J* M 24 SA + 5J M 28 SA + 2J M 25 SA + 3J F 29 SA + 6J M 25 SA + 2J M 28 SA + 2J F Poids de naissance (en grammes) Motif de la prématurité Rupture des membranes IMF Anamnios Pré-éclampsie MAP, état de mort apparente Souffrance fœtale chronique et aiguë MAP sévère MAP sévère Age de décès 5 jours 5 jours 1 jour 5 jours 4 jours 7 jours 4 jours 6 jours Causes du décès Hémorragie pulmonaire ACR ACR Défaillance multi viscérale Complica tions de la prématurité Syndrome hémorragique Syndrome hémorragique ACR, complications de la prématurité Anomalies hématologiques Anémie thrombopénie Anémie thrombopénie Anémie Anémie thrombopénie Anémie, thrombopénie, CIVD Anémie thrombopénie Anémie anémie Infection maternofœtale Oui (Echerichia Coli) * Correspond à une grossesse gémellaire
10 Tableaux C et C bis : imagerie du groupe I ETF : localisation de l hyperéchogénicité HIV grade II Frontale gauche ante natale HIV IV Pariétale droite J1 HIV III Frontale droite J4 HIV III Frontale droite J2 HIV II Pariéto occipitale gauche J3 HIV III Fronto-pariétal gauche J3 Evolution échographique Pas de cavitation Cavitation J60 Cavitation J11 Pas de cavitation Pas de recul Suivi disponible Délai avant IRM 7 jours 14 jours 12 jours 18 jours 8 jours 20 jours Localisation IRM Frontale gauche péri ventriculaire Fronto-pariétale et noyaux gris centraux droits Frontale et noyaux gris centraux droits Frontale droite Pariéto occipitale gauche Frontal gauche et noyaux gris centraux ETF : localisation de l hyperéchogénicité HIV II Frontale gauche J1 HIV II Parenchyme gauche J8 HIV II Frontale gauche J1 HIV II Fronto-pariétale gauche J3 HIV III Pariétal droit J2 Evolution échographique Cavitation à J 23 Pas de recul Cavitation dès le 2 jour J 11 Porencéphalie à 6 mois Cavitation à J 76 Délai avant IRM 12 jours 17 jours 10 jours 9 jours 13 jours Localisation IRM Frontale gauche et noyau caudé Frontale gauche Frontale gauche Cavité porencéphalique Frontale gauche Pariéto-temporal droit et thalamus
11 Tableau D : imagerie du groupe II ETF Localisation de l hyperéchogénicité HIV III Normale à J2 H gauche à J5 (frontale) HIV II Normale à J1 H pariétale gauche à J2 HIV III H frontale gauche à H7 HIV II H frontopariétale droite J1 HIV II H en mottes à gauche HIV IV H parenchymateuse bilatérale HIV II Normale à J1 H prédominant à droite à J3 Fronto-pariétale HIV III Normale à J1 H des noyaux gris centraux gauches à J3 Evolution échographique Cavitation à J6 Cavitation à J4 Début de cavitation à H19 H occipitale gauche à J3 H frontale prédominant à gauche Majoration à J4 Bilatéralisation à J5 Examen neuropathologique oui oui oui Suffusions hémorragiques périventriculaire s gauches avec thrombose veineuse, Hématome cérébelleux droit Hémorragie intra parenchymateuse probablement d origine veineuse Lésions de leucomalacie débutante Hémorragie du centre ovale gauche probablement d origine veineuse Foyer de leucomalacie à droite
12 Cas n 5 : hématome occipital Groupe I : hématome unilatéral Droit n=4 Frontal : 8 Fronto-pariétal : 1 Pariéto-occipital : 1 Pariéto-temporal : 1 Association HIV II - III constante Cavitation : n=6 (moyenne 30 jours) Groupe II : hématome unilatéral Droit n=2 Frontal : 4 Pariétal : 1 Fronto-pariétal : 2 Occipital : 1 Association HIV II - III constante Cavitation : n=3 (moyenne 3 jours)
13 Hématome à J1 Cas n 10 : évolution de l hématome ETF itératives, coupes frontales J7 : l hématome s organise, dilatation ventriculaire modérée, début de cavitation J15 : plusieurs cavités kystiques M2 : confluence des formations kystiques qui deviennent une cavité porencéphalique
14 Cas n 3 ETF coupe frontale Hyperéchogénicité frontale droite au contact du ventricule Parois ventriculaires hyperéchogènes et dilatation modérée (HIV II) IRM pondération T1, coupes frontale et axiale, plage en hypersignal de la substance blanche frontale droite Séquelle d hémorragie sous épendymaire droite En pondération T2 coupe axiale transverse, hématome en hypo- et asignal.
15 Cas n 10 Cas n 11
16 Discussion J. Volpe est le premier à s intéresser à la physiopathologie de l ischémie veineuse avec transformation hémorragique [1] à partir d une série de prématurés examinés seulement en ETF Quelques séries sont publiées depuis, parfois avec un grand nombre de patients, mais toujours étudiés en ETF [2-3] Il n y a pas à notre connaissance de grande série d infarctus veineux hémorragique prouvé en IRM ou en neuropathologie, publiée à ce jour Intérêt de la présente série corrélant ETF soit avec une IRM soit la neuropathologie, et le suivi clinique.
17 Discussion : Là où ses prédécesseurs voyaient une extension parenchymateuse d une HIV, J. Volpe a décrit un mécanisme physiopathologique d ischémie par thrombose veineuse secondairement hémorragique [1, 5]. Cette entité est différente de la thrombophlébite de l adulte car elle concerne des veines immatures de la zone germinale. Elle concerne exclusivement le nouveau-né, principalement prématuré.
18 Discussion Nous retrouvons une bonne corrélation de nos résultats avec les études précédentes : risque inversement proportionnel au poids de naissance et à l âge gestationnel localisation frontale prédominante, apparition précoce et évolution sous forme de cavitation [1 à 4] Nous décrivons la sémiologie en IRM de l IVH : aspect d hématome systématisé sans atteinte corticale pas de thrombus veineux mis en évidence
19 Discussion : aspects anatomopathologiques Cas n 19 HIV avec hématome et thrombus dans la région sous-épendymaire, zone de drainage normale des veines médullaires de la substance blanche. La thrombose crée un obstacle au retour veineux et donc une dilatation des veines d amont. La paroi veineuse est immature, contenant une couche de péricytes sans paroi musculaire périphérique, sans résistance à la dilatation et donc sans possibilité d autorégulation du flux sanguin.
20 Discussion : aspects anatomopathologiques La distension mécanique pariétale veineuse et l hypoxie entraînent une nécrose avec rupture de la paroi, une suffusion hémorragique puis un hématome parenchymateux. C est l infarcissement hémorragique, terme préconisé par les neuropathologistes. La microglie activée se transforme en macrophages qui assurent la détersion du foyer hémorragique en se chargeant de pigments hémosidériniques, laissant ensuite une cavité porencéphalique.
21 Cas n 17 : étude ETF, macro- et microscopique ETF coupe frontale hyperéchogénicité gauche frontale Examen microscopique après coloration : pétéchies parenchymateuses frontales gauches Etude macroscopique : hématome intra-ventriculaire gauche, plage d hématome intraparenchymateux en regard
22 Suffusions hémorragiques périventriculaires Cas n 17 : étude microscopique Fort grossissement : thrombus dans une veine de drainage parenchymateux de la zone germinale
23 Discussion : devenir clinique et pronostic Même s il existe dans un nombre de cas significatif des séquelles neurologiques à type de déficits spastiques des membres ou extrémités (n=5 sur 11 suivis dans notre série), le pronostic est plutôt favorable, en comparaison à la leucomalacie périventriculaire (LPV), maladie la plus fréquente du prématuré, liée à des phénomènes complexes (facteurs vasculaires, hémodynamiques, inflammatoires, cascade excito-toxique complexe). Notre suivi moyen est de 12,5 mois (de 1 mois à 3 ans 7 mois), ce qui constitue une des limites de l étude, dans la mesure où les troubles de l apprentissage ne s apprécient qu à partir de l âge scolaire.
24 Discussion : intérêt de l IRM Bilan de l étendue des lésions avant décisions thérapeutiques ou éthiques (arrêt des soins), chez des nouveau-nés dont l examen clinique est très limité et peu contributif. Diagnostic différentiel Toutes les lésions cérébrales sont hyperéchogènes en échographie. Les critères d inclusion utilisés dans cette étude expliquent l absence d autre pathologie recrutée et confirment l aspect d emblée suggestif en échographie du diagnostic d IVH.
25 Discussion : intérêt de l IRM Théoriquement le diagnostic différentiel de l IVH inclut : La LPV qui atteint également électivement le prématuré : le plus souvent bilatérale et postérieure, elle peut être asymétrique mais elle est rarement strictement unilatérale. De plus, l hyperéchogénicité est rarement observée dans les premiers jours. C est cependant ce diagnostic différentiel, grevé d un pronostic péjoratif qui justifie à lui seul la réalisation d une IRM cérébrale. L accident vasculaire ischémique artériel : souvent chez le nouveauné à terme, l hyperéchogénicité est systématisée et il existe une atteinte corticale. La transformation hémorragique massive est rarement observée. L encéphalite présuppurative, mais il existe un contexte infectieux. Une thrombose veineuse peut se voir dans ce contexte.
26 Conclusion L infarctus veineux hémorragique du nouveau-né est donc une entité particulière par son pronostic favorable parmi les accidents ischémo-hémorragiques péri-nataux et doit être connue et reconnue pour telle.
27 Bibliographie [1] Volpe JJ. Current concepts of brain injury in the premature infant. Am J Roentgenol 1989;153: [2] Perlman J, Rollins N, Burns D, Risser R. Relationship between periventricular intraparenchymal echodensities and germinal matrixintraventricular hemorrhage in the very low birth weight neonate. Pediatrics 1993;91: [3] Kirton S, de Veber G, Pontigon AM, Macgregor D, Shroff M. Presumed perinatal ischemic stroke: vascular classification predicts outcome. Ann Neurol 2008;63: [4] Bassan H, Benson CB, Limperopoulos C, Feldman HA, Ringer SA, Veracruz E, Stewart JE, Soul JS, DiSalvo DN, Volpe JJ, du Plessis AJ. Ultrasonographic features and severity scoring of periventricular hemorrhagic infarction in relation to risk factors and outcome. Pediatrics 2006;117: [5] Volpe JJ. Brain injury in the premature infant. Neuropathology, clinical aspects, pathogenesis, and prevention. Clin Perinatol 1997;24(3):
LA TRES GRANDE PREMATURITE:QUEL PRONOSTIC POUR L ENFANT? DELABY BEATRICE COURS DES ROUEN LE 9 MARS 2005
LA TRES GRANDE PREMATURITE:QUEL PRONOSTIC POUR L ENFANT? DELABY BEATRICE COURS DES ROUEN LE 9 MARS 2005 LA TRES GRANDE PREMATURITE DEFINITION - La très grande prématurité se définit comme une naissance
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailFemmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé
RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre Méthode «Recommandations pour la pratique clinique» RECOMMANDATIONS Novembre
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLaetitia SELLAM. Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie. CHU Clermont Ferrand. 9 octobre 2009
Devenir à court terme des prématurés nés entre 24 SA et 26 SA: l expérience Clermontoise Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie 9 octobre 2009 Laetitia SELLAM CHU Clermont Ferrand Introduction Amélioration
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailTROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ
8 ÈME JOURNÉE RÉGIONALE DES RÉSEAUX DE PÉRINATALITÉ DE L ILE DE FRANCE 17 OCTOBRE 2013 TROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ DR PATRICIA DWORZAK PÉDIATRE, MEMBRE DU RÉSEAU PSOF RESPONSABLE DE L UNITÉ
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailENZO : LES SEQUELLES A L AGE SCOLAIRE D UN ANCIEN GRAND PREMATURE
Université Paul Sabatier Faculté de Médecine Toulouse Rangueil Institut de Formation en Psychomotricité ENZO : LES SEQUELLES A L AGE SCOLAIRE D UN ANCIEN GRAND PREMATURE Mémoire en vue de l obtention du
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailUn guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE
Un guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE Table des matières Introduction...2 Qu est-ce que la conscience?...3 Comment la conscience
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détail