Changement. Certitudes et incertitudes. David Salas y Mélia, Centre National de Recherches Météorologiques 12 mars 2007, Observatoire de Meudon
|
|
- Francis Léonard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Changement Climatique Certitudes et incertitudes David Salas y Mélia, Centre National de Recherches Météorologiques 12 mars 2007, Observatoire de Meudon
2 Sommaire Prévision du temps et prévision saisonnière Évolutions climatiques observées L effet de serre Comment modélise-t-on le climat? Projections du changement climatique (21ème siècle) 2
3 Prévision du temps Obs. radiosondages Principe d un modèle numérique ETAT DE L'ATMOSPHERE Obs. satellitaires RESEAU de MESURE J+10 jours Jour J 12h UTC to 12h UTC to+ t tf 3
4 Prévision du temps Principe d un modèle numérique ETAT DE L'ATMOSPHERE RESEAU de MESURE CALCUL et ORDINATEUR J+10 jours Jour J 12h UTC to EQUATIONS D'EVOLUTION 12h UTC to+ t tf 4
5 Prévision du temps Principe d un modèle numérique ETAT DE L'ATMOSPHERE RESEAU de MESURE CALCUL et ORDINATEUR PREVISION CARTE de CHAMP PREVU J+10 jours Jour J 12h UTC to EQUATIONS D'EVOLUTION 12h UTC to+ t tf 5
6 Prévision du temps Un exemple de visualisation de l incertitude: le panache valeur du paramètre prévu à cette échéance: zone de plus forte probabilité prévision déterministe échéance instant initial 6
7 Prévision du temps Le modèle de prévision global français: ARPEGE Modèle spectral (T359) - résolution 23km sur la France km aux antipodes - 41 niveaux verticaux Collaboration avec le CEPMMT (Centre Européen de Prévision Météorologique à Moyen Terme) Grille du modèle ARPEGE 7
8 Prévision du temps Le modèle de prévision global français: ARPEGE Traitement de schémas semi-implicites, diffusion: formulation spectrale base choisie orthonormale choisie: vecteurs propres de l opérateur Laplacien sur sphère de rayon R, avec λ: longitude, φ latitude, µ=sin(φ) : Y mn =P mn μ eim λ valeurs propres associées n(n+1) / R2 Si m<0 P mn μ =P m n μ ΔY m = n n n 1 R 2 Ym n traitement rapide, mais problèmes de non-conservativité Traitement des termes non-linéaires et de la physique passage à une grille de collocation (espace physique) 8
9 Prévision du temps Le futur modèle de prévision français: AROME 9
10 Prévision saisonnière Position du problème T air Sud-ouest de la France JJA
11 Prévision saisonnière Position du problème: sources de prévisibilité Etat de l océan de surface (chaud? froid?) Humidité des sols Couverture de neige Glaces marines Ozone, basse stratosphère?? 11
12 Prévision saisonnière Position du problème: sources de prévisibilité Température de l air à 2m (été)
13 Prévision saisonnière Position du problème: sources de prévisibilité Température de surface de l océan (été)
14 Prévision saisonnière Position du problème T air Sud-ouest de la France JJA
15 Prévision saisonnière Position du problème T air Sud-ouest de la France JJA 1976 Bonne prévision Mauvaise prévision 15
16 Prévision saisonnière Prévision effectuées début mai 2003 pour juin-juillet-août Met Office : p(t>tm) IRI : p(t>t66%) et p(t<t33%) CEPMMT : p(t>t66%) Météo-France: T 16
17 L Observation des évolutions climatiques L évolution du climat depuis ans - Reconstructions à partir de carottages et d observations récentes (Antarctique) 17
18 L Observation des évolutions climatiques L évolution du climat depuis l an 700 Reconstruction de la température moyenne de l hémisphère nord ( C), GIEC (2007) 18
19 L Observation des évolutions climatiques L évolution du climat depuis à l échelle de la planète Température moyenne globale Niveau de la mer Couverture de neige au printemps (HN) GIEC (2007) 19
20 L Observation des évolutions climatiques L évolution du climat depuis à l échelle de la planète Depuis 1900 : températures maxi / mini plus élevées, plus de jours de forte chaleur et moins de jours de gel sur la plupart des régions continentales, plus de précipitations dans de nombreuses régions Depuis 1900 : nombre et intensité des cyclones tropicaux et des tempêtes de moyennes latitudes : variable mais pas de tendance marquée 20
21 L Observation des évolutions climatiques L évolution du climat depuis en France Variation des températures moyennes et de l amplitude diurne entre 1901 et 2000 (en C/siècle) Températures Moyennes Amplitude Diurne 21
22 L Observation des évolutions climatiques L évolution du climat depuis en France Variation des températures minimales et maximales entre 1901 et 2000 (en C/siècle) Températures Minimales Températures Maximales 22
23 L Observation des évolutions climatiques L évolution du climat depuis en France Evolution du volume des précipitations dans les départements français Baisse significative Baisse non significative Hausse non significative Hausse significative ANNEE 0% 10% 55% 35% PRINTEMPS 0% 32% 62% 5% ETE 0% 65% 32% 2% AUTOMNE 0% 10% 80% 10% HIVER 0% 0% 65% 35% 23
24 L effet de serre Un phénomène naturel nécessaire à la vie «C est ainsi que la température est augmentée par l interposition de l atmosphère, parce que la chaleur trouve moins d obstacle pour pénétrer l air, étant à l état de lumière, qu elle n en trouve pour repasser dans l air lorsqu elle est convertie en chaleur obscure.» (Joseph Fourier, ) 24
25 L effet de serre Un phénomène naturel nécessaire à la vie Planète terre sans effet de serre Température moyenne = -18 C! 239 W.m W.m W.m-2 25
26 L effet de serre L évolution des concentrations de gaz à effet de serre depuis ans (GIEC, 2007) CO2 CH4 N2O L augmentation inédite des concentrations de gaz à effet de serre (GES) depuis 1850 est dûe aux activités humaines 26
27 L effet de serre Estimation des forçages climatiques sur la période (GIEC, 2007) (Rappel: énergie absorbée par la planète en moyenne: 239 W.m-2) 27
28 La modélisation du système climatique 28
29 La modélisation du système climatique Un exemple de «système-terre» : le modèle couplé CNRMCM3 Données aérosols Chimie de l ozone MOBIDIC O3 10 ans Atmosphère ARPEGE-Climat 24 h Glace de mer Gelato Océan OPA Statistiques zonales Surfaces continentales ISBA 24 h 24 h Routage des Fleuves TRIP 29
30 La modélisation du système climatique Evolution de la T2m simulée et observée au 20ème siècle (GIEC, 2007) Simulations climatiques Facteurs pris en compte : Facteurs naturels seulement Facteurs naturels + émissions anthropiques 30
31 Les projections du changement climatique Scénarios de concentration et d émissions pour le 21ème siècle (GIEC, 2001) 31
32 Les projections du changement climatique Scénarios de concentration et d émissions pour le 21ème siècle (GIEC, 2001) Concentration de gaz carbonique (ppm) Émissions de SO2 (MTS/an) 32
33 Les projections du changement climatique Changement climatique simulé et observé : (GIEC, 2007) 33
34 Les projections du changement climatique Changement climatique simulé: et (GIEC, 2007) 34
35 Les projections du changement climatique Moyennes multi-modèles et intervalles estimés du réchauffement global en surface et (GIEC, 2007) 35
36 Les projections du changement climatique Deux scénarios extrêmes vus par les deux modèles français : température CNRM IPSL A2 B1 36
37 Les projections du changement climatique Deux scénarios extrêmes vus par les deux modèles français : précipitations CNRM IPSL A2 B1 37
38 Les projections du changement climatique Banquise simulée en Arctique par différents modèles /03 38
39 Les projections du changement climatique Banquise simulée en Arctique par différents modèles /09 39
40 Les projections du changement climatique Banquise simulée en Arctique par différents modèles (A1B) /09 40
41 Les projections du changement climatique Banquise simulée en Arctique par différents modèles (A1B) /03 41
42 Les projections du changement climatique Fin du 21ème siècle (Europe) Hiver Été Simulation du changement de la température en surface ( C) Régionalisation du modèle couplé global CNRM-CM2 de Météo-France 42
43 Les projections du changement climatique Fin du 21ème siècle (Europe) Hiver Été Simulation du changement de précipitations (mm/jour) Régionalisation du modèle couplé global CNRM-CM2 de Météo-France 43
44 Les projections du changement climatique 21ème siècle (France) Observations Simulations Température moyenne estivale en France Régionalisation du modèle couplé global CNRM-CM2 de Météo-France 44
45 Les projections du changement climatique Fin du 21ème siècle (France) - enneigement dans les Alpes Simulation du changement du nombre annuel de jours de neige dans les Alpes à 1500m à horizon fin du XXIème siècle 45
46 Conclusion Quelle température pour la planète? (Rappel: concentration actuelle du CO2 atmosphérique: 380 ppm) 46
47 Conclusion Lien concentrations CO2 / niveau d émissions (GIEC, 2001) appel: concentration actuelle du CO2 atmosphérique: 380 ppm) Bonne prévision Répartition des émissions CO2 dans le monde de 47
48 Conclusion Importance des observations : locales, globales, indicateurs accompagnent les progrès de la météorologie et de la climatologie Nombreuses applications possibles de la prévision météo et des sciences du climat à toutes les échelles de temps Evaluation des changements climatiques récents et projections futures : des incertitudes demeurent (modèles : rôle des aérosols, nuages ), d autres devraient persister (scénarios) mais la tendance au réchauffement se poursuivra très probablement. 48
Évolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailLe projet DRIAS : premières études et documents
Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailLa modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation
La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr
Plus en détailRéunion de lancement du projet LEFE DEPHY2
Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Développement et Evaluation des PHYsiques des modèles atmosphériques BILAN 45 participants 25 CNRM, 12 LMD, 4 LGGE, 2LA, 1 LSCE, 1 GET 8-9-10 septembre 2014 Observatoire
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailCONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)
Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION
Plus en détailDéveloppement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques
Développement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques Motivations : Augmenter la confiance dans les prévision du changement climatique. 1. nécessite d'utiliser les modèles le plus "physiques"
Plus en détailQuestions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :
Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes
Plus en détailSynthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA
Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA Fatima Driouech et Atika Kasmi Le travail effectué par l équipe de la DMN, dans le cadre du projet et durant cette première période,
Plus en détailCHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013
CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l intention des décideurs GT I CONTRIBUTION DU GROUPE DE TRAVAIL I AU CINQUIÈME RAPPORT D ÉVALUATION DU GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL
Plus en détailRoyaume du Maroc Secrétariat d État auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement, Chargé de l Eau et de l Environnement Direction de la Météorologie Nationale Variabilité
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailCours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel
Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Liens utiles pour les prévisions météorologiques http://meteo.chamonix.org/ 0900 55 21 65 (Haute Savoie) 0900 55 21 68 (Alpes romandes) Par SMS au numéro
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détailLa gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société
La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises
Plus en détailChangements Climatiques 2007
Changements Climatiques 2007 R apport de sy nthèse OMM Un rapport du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat PNUE Bilan 2007 des changements climatiques : Rapport de synthèse Publié
Plus en détailModèle de Climat de Titan
Planétologie - GSMA - Université de Reims Champagne-Ardenne Modèle de Climat de Titan Le contexte général : Titan, le plus gros satellite de Saturne, possède une atmosphère dense de 1.4 bar essentiellement
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailClimat : vers le point de rupture?
Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique BRIEFING Avril 2009 Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailEtudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes
Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages
Plus en détailLSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement
LSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement octobre 2011 CONTACTS PRESSE : Service de presse de CEA - Tél : 01 64 50 16 49 presse@ceafr Service de presse du CNRS - Tél : 01 44 96 51 51
Plus en détailChangements climatiques 2001: Rapport de synthèse
Changements climatiques 2001: Rapport de synthèse Rapport de synthèse Evaluation du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Ce résumé, intégralement approuvé à la XVIII e session
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailaoût La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel
août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel Bienvenue Tribond - La danse de la pluie L oeil dans la météo A yous que la météo fit dans mon programme Météo everywhere
Plus en détailLa diversité des climats
Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailThe Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE
The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailIV.1 Descente d échelle dynamique... 11 IV.2 Descente d échelle statistique... 14
Table des matières Rapport de l étude «Evaluation des changements climatiques futurs au niveau des zones oasiennes marocaines»... 1 élaborée pour le projet... 1 «Adaptation aux changements climatiques
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailProfils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012
T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailVI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland)
Z(km)= 112 96 80 64 48 32 16 0 VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Thermosphère Mésosphère Stratosphère Troposphère Dans
Plus en détailCOMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?
Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire
Plus en détailRapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair
N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailNous avons soumis la question au (( Bureau sur les changements climatiques du ministère de l'environnement D qui nous a fait la réponse suivante :
Première question de la Commission 180 DB26 Dragage d'entretien du chenal entre Hudson et Oka Lac des Deux-Montagnes 6211.02-104 c Est-ce que vous savez si les gouvernements, provincial et fédéral, ont
Plus en détailContrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B
Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B C. Rio, J.-Y. Grandpeix, F. Hourdin, F. Guichard, F. Couvreux, J.-P. Lafore, A. Fridlind, A. Mrowiec, S. Bony, N. Rochetin,
Plus en détailRédaction générale et coordination. Claude DesJarlais, Anne Blondlot. Auteurs principaux par section
Rédaction générale et coordination Claude DesJarlais, Anne Blondlot Auteurs principaux par section Michel Allard : le Nord Alain Bourque : sommaire et conclusion Diane Chaumont : le climat du Québec et
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailCompte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy
Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur
Plus en détailGénéralités. Front froid
Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détailPRODIGUER un noeud français de distribution de données GIEC/IPCC
PRODIGUER un noeud français de distribution de données GIEC/IPCC Sébastien Denvil et Olivier Marti Pôle de Modélisation, IPSL Prodiguer - Mercredi 18 juin 2008 1 Le contexte : le compte à rebours du rapport
Plus en détailRépondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions
Répondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions extérieures. Lorsque les conditions sont rudes... Les villes,
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailQ U E S T I O N S. 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie
1 Q U E S T I O N S 1/ Le soleil est : Une étoile Une planète 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie 3/ Le soleil tourne-t-il
Plus en détailRÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS
RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS Les missions de l agent AFIS s articulent autour de trois objets L exécution de fonctions opérationnelles La tenue de documents L exercice de relations avec la
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE
ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailRISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur
LES RISQUES MAJEURS Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT Toutes les informations sur Définition des Risques majeurs Quels risques à Niort? Le territoire de la commune se trouve
Plus en détailMétéo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n
Météo Marine Benjamin Aymard Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie 1/41 18 Février 2014, UPMC aymard@ann.jussieu.fr Météo Marine Cours Météo pratique Pourquoi les prévisions météo
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailLa gestion du risque chez AXA
Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailBaromètre hiver 2011/2012 SymphonyIRI Group / Climpact
13 avril 2012 1 Baromètre hiver 2011/2012!es i&pacts de la &-t-o sur la structure d1ac2at des ménages sont traditionnellement moins marqués en hiver que lors des autres saisons. Malgré cela, la vie des
Plus en détailExpertise INRA Stocker du carbone dans les sols agricoles? Préface
2 2 Expertise INRA Stocker du carbone dans les sols agricoles? Préface Mettre à disposition du ministère chargé de l environnement et des acteurs de l environnement des références de recherche et d observation,
Plus en détailTout commence avec une histoire de masses d'air. Lorsque 2 masses d'air se rencontrent, des fronts se forment.
Tout commence avec une histoire de masses d'air. 2. Lorsque 2 masses d'air se rencontrent, des fronts se forment. Des nuages se forment dans le ciel, dont certains provoquent...... des hydrométéores, 4....
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailPiegeage et stockage du CO 2
Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)
Plus en détailpar Maxime Lalonde-Filion
ANALYSE DES IMPACTS ÉNERGÉTIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX ASSOCIÉS À L'IMPLANTATION MASSIVE DES VÉHICULES HYBRIDES ÉLECTRIQUES RECHARGÉS PAR LE RÉSEAU (PLUG-IN HYBRID ELECTRIC VEHICLE : PHEV) AUX ÉTATS-UNIS
Plus en détailComment adapter le territoire parisien aux futures canicules Pistes et stratégies d adaptation au changement climatique
Comment adapter le territoire parisien aux futures canicules Pistes et stratégies d adaptation au changement climatique Qu est-ce qu une canicule dans une ville dense? Qu est-ce qu une canicule? Le mot
Plus en détailBilan décennal des catastrophes naturelles en France
Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES
Plus en détailSYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE
TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE *Des solutions polymères à l infini www.rehau.fr Bâtiment Automobile Industrie Les bâtiments tertiaires possèdent des équipements
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailPerformances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.
Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailPISO Plan Intempéries Sud Ouest
PREFECTURE DE LA ZONE DE DEFENSE ET DE SECURITE SUD OUEST PISO Plan Intempéries Sud Ouest Bilan zonal de l'hiver 2014 2015 Juin 2015 Le présent document établit le bilan zonal de mise en œuvre du Plan
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailPrésentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013
Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE Journée technique du Cedre Brest 14 novembre 2013 1 Déroulement Fiches techniques Contexte Description technique Démonstration Questions 2 Fiches
Plus en détailVENTILATION POUR LE CONFORT D ETE
le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température
Plus en détailDURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE
DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de
Plus en détailÉclairage : votre projet solaire en toute simplicité. Brochure informative à l intention des porteurs de petits projets solaires
Éclairage : votre projet solaire en toute simplicité Brochure informative à l intention des porteurs de petits projets solaires Concrétiser Cette brochure est destinée aux porteurs de projets de petites
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailLe nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement
Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailTRANSPORT CONVECTIF TROPOSPHERE-STRATOSPHERE Importance l échelle globale? Jean-Pierre Pommereau CNRS LATMOS, Guyancourt, France
TRANSPORT CONVECTIF TROPOSPHERE-STRATOSPHERE Importance l échelle globale? Jean-Pierre Pommereau CNRS LATMOS, Guyancourt, France Transport Troposphere-Stratosphere 0-14 km Convection. Rapide (heures) jusqu
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailFRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat
UNITED NATIONS NATIONS UNIES FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat Atelier de formation à la mise en oeuvre des programmes
Plus en détailSimuler le cumul pour valider
Énergies renouvelables et eau chaude Simuler le cumul pour valider Est-il opportun de cumuler les énergies pour améliorer les installations de production d eau chaude sanitaire? Quelles sont les interactions
Plus en détailDonnées générales à propos de l Estonie
Données générales à propos de l Estonie Nom complet: République d Estonie Surface: 45,227 km² Capitale: Tallinn Autres grandes villes: Tartu, Narva et Pärnu Division régionale: il y a 15 comtés, 33 villes
Plus en détailPaysage de nuages. Objectif. Matériel. Vue d ensemble. Résultats didactiques. Durée. Niveau
Objectif Aider les élèves à identifier certaines caractéristiques des nuages. Permettre aux élèves d observer les nuages, de les décrire avec un vocabulaire simple et de comparer leurs descriptions avec
Plus en détail