Politique sectorielle à l égard de problèmes de santé : exemple de la nutrition.

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1 Politique sectorielle à l égard de problèmes de santé : exemple de la nutrition Ldauchet@yahoo.fr

2 Politique Sectorielle en matière Diagnostic: de santé publique Définition et mesure du problème (épidémiologie, littérature scientifique, avis d expert ) Remède : Action (prévention organisation des soins ) Évaluation : Des processus : qu est ce qui a été réellement mis en place? Des Résultats : indicateur de l état de santé.

3 Politique nutritionnelle : Diagnostic relation alimentation <=> pathologie Outils Exemple: alimentation cancer Comportements alimentaires inadaptés Données sur les comportements alimentaires des français. Les enjeux en France

4 Politique nutritionnelle : Diagnostic Données scientifi ques INSERM CRNS INRA.. Connaissance des mécanismes : Littérature internationale Epidémiol ogie analytique Biologies / expérimentation animale Expert -Enjeux -Proposition d action Politique Action INVS Ampleur du problème : Données locales épidemiologie descriptive

5 Diagnostic : Relation alimentation <=> pathologie Les outils épidémiologiques. Les enquêtes écologiques. Données monica: Incidence de l infarctus du myocarde

6 Diagnostic : Relation alimentation <=> pathologie Les outils épidémiologiques. Etudes Cas témoins Etudes de cohorte => problème: mesure de la consommation alimentaire très difficile => de nombreux facteurs de confusion Meta-analyse

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8 Diagnostic: Relation alimentation <=> pathologie Les outils épidémiologiques. Essai de prévention: Quasi expérimental: effet d'une intervention. Ici ailleurs/ avant après. Randomisé vs placebo (gold standard) : Limité à des supplémentations. Très lourd, très long. (pas à l'abri de mauvaises surprises)

9 Diagnostic : Relation alimentation <=> pathologie Les outils épidémiologiques. Quelques rares essais de régime randomisé: ex étude DASH

10 Diagnostic Exemple: nutrition/cancer

11 Diagnostic : Alimentation et cancer Cancer = 29 % de l'ensemble des décès en 1995 L'alimentation contribuerait pour 30 à 40 %? des cancers chez les hommes et 60 %? chez les femmes Évolution des questions qu'est ce qui est dangereux=> qu'est ce qui protège

12 Diagnostic : Alimentation et Les consensus: Fruits et légumes: cancer Mécanismes : anti-oxydant (essais randomisé -) fibre phytochemicale??? protecteur: bouche pharynx œsophage colon rectum poumon

13 Diagnostic : Alimentation et Les consensus: Surpoids et obésité: Mécanismes : hormonal, hyperinsulinisme augmentation du risque: endomètre, sein, colon? Prostate? Activité physique: cancer insuline, obésité, glucose, lipide circulant. Protecteur: colon sein prostate? Endomètre? poumon?

14 Diagnostic : Alimentation et cancer Les consensus: Alcool augmentation du risque des cancers des VADS + Colon rectum et Sein (méta-analyse) Les débats: charcuterie cuisson à haute température, sel et salaison, graisse, fibres alimentaires (discordance cas témoins-cohortes), café, antioxydant, phyto-oestrogènes, Folates.

15 Conclusion du WCRF Encore de nombreuses incertitudes

16 Mais il ne faut pas attendre pour agir : Les incertitudes ne doivent pas empêcher d émettre des recommandations

17 Diagnostic : Comportements alimentaires des français Source de données alimentaires(1). Bilans des disponibilités alimentaires: Dérivé des statistiques agricoles internationales enquêtes sur les achats alimentaires des ménages Type Insee, Secodip... Statistiques nationales sur la consommation fournies annuellement par l'insee (annuaire Statistique de la France moyennes estimées à partir des disponibilités par habitant

18 Diagnostic : Comportements alimentaires des français Source de données alimentaires(1). Les principales enquêtes individuelle menées en France ces dernières années. Suvimax 6 rappels de 24h/an De 1997 à 2002 Inca enregistrement de 7 jours FLVS II 1 fréquentiel sur l'année 1999 Baromètre santé nutrition 1 fréquentiel sur 24 h 1 fréquentiel sur 15 jours 2002

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21 Diagnostic : Les français ont ils des apports alimentaires adaptés?

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24 Diagnostic : Les français ont ils des apports alimentaires adaptés? 17,8 16,4

25 Diagnostic : Les français ont ils des apports alimentaires adaptés?

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27 Diagnostic : rapport d expert

28 Diagnostic 1) l alimentation est une cause de bonne/mauvaise santé. 2) Les comportements alimentaires des Francais <> optimal => Il faut agir (Objectif: améliorer la santé)

29 Diagnostic : Les enjeux principaux en France Les maladies cardiovasculaires sont aujourd'hui la première cause de mortalité en France (32 %des décès), à l origine de près de décès chaque année. Les tumeurs malignes représentent 29 % de l ensemble des décès chez l homme et 23 % chez la femme. Le nombre de nouveaux cas est estimé à par an. L'obésité concerne 7 à 10 % des adultes et 10 à 12,5 % des enfants de 5 à 12 ans. Sa prévalence augmente, chez les enfants, de façon dramatique depuis quelques années. L'ostéoporose, à l'origine d'une fragilité osseuse exposant les patients à un risque de fractures concernerait 10 % des femmes à 50 ans, 20 % à 60 ans et 40 % à 75 ans. La prévalence du diabète, tous âges confondus, est estimée à 2-2,5 %. Près d un adulte sur 5 présente une cholestérolémie supérieure à 2,50 g/l.

30 Action : Le PNNS

31 Action : Le PNNS Introduction Le programme national nutrition santé a été annoncé par le Premier ministre lors du discours de clôture des États généraux de l alimentation le 13 décembre S appuyant sur les travaux réalisés notamment par le Haut comité de la santé publique, le programme national nutrition santé a été lancé par le ministre chargé de la santé le 31 janvier 2001.

32 1.1.2 Caractéristiques générales du programme national nutrition santé Il s agit d un programme complet de santé publique, qui met en place les outils de son évaluation ; il prend en compte les multiples dimensions de la nutrition : santé, plaisir, culture, économie, échange. La nutrition, un déterminant de santé majeur lié aux principales pathologies fréquentes dans la population et dépendant de comportements et pratiques quotidiens soumis à des influences multiples. Une santé positive : le programme vise la promotion d une alimentation et d un mode de vie favorable à la santé et la réduction du risque de maladie chronique. Il bannit l interdit. Une nutrition globale : l état nutritionnel est une alchimie complexe entre des apports nutritionnels, un passé nutritionnel et des dépenses énergétiques ; c est l ensemble qui doit être pris en compte et non seulement des problèmes particuliers à un moment précis de la vie. Plurisectorialité, comme le prouve la composition de son comité stratégique et les modalités de mise en place. Partenariat avec de multiples acteurs : ministères, Caisse nationale d assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS), Institut National de Prévention et d'education pour la Santé (INPES), scientifiques, agences, secteur privé de l alimentation Cohérence afin de donner aux français les repères qu ils demandent devant une foison d informations aux origines diverses et une offre alimentaire toujours plus grande et attrayante. Synergie entre les actions développées : de multiples actions dans des champs variés, à destination de publics divers pour l atteinte des divers objectifs. Professionnels : le programme s appuie sur les professionnels qui interviennent auprès de la population et des individus.

33 PNNS objectifs 1. augmenter la consommation de fruits et légumes afin de réduire le nombre de petitsconsommateurs de fruits et légumes d'au moins 25 % 2. augmenter la consommation de calcium, 3. réduire la contribution moyenne des apports lipidiques totaux à moins 4. augmenter la consommation de glucides 5. réduire l apport d'alcool 6. réduire de 5 % la cholestérolémie moyenne 7. réduire de 10 mm de mercure la pression artérielle systolique chez les adultes, 8. réduire de 20 % la prévalence du surpoids et de l'obésité (IMC > 25 kg/m²) chez les adultes et interrompre l augmentation, particulièrement élevée au cours des dernières années, de la prévalence de l obésité chez les enfants, 9. augmenter l'activité physique

34 Action : Le PNNS axes stratégiques 1 Informer et orienter

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36 6 axes stratégiques 2. Prévenir, dépister et prendre en charge les troubles nutritionnels dans le système de soins 3. Impliquer les industriels de l agro-alimentaire et la restauration collective ainsi que les consommateurs au travers des associations de consommateurs et de leurs structures techniques 4. Mettre en place des systèmes de surveillance alimentaire et nutritionnelle de la population 5. Développer la recherche en nutrition humaine : recherches épidémiologiques, comportementales et cliniques 6. Engager des mesures et actions de santé publique complémentaires destinées à des groupes spécifiques de population

37 Le PNNS en HN

38 Le PNNS en HN

39 Le PNNS en HN

40 Évaluation

41 Evaluation : processus

42 Evaluation : processus

43 Evaluation : processus 6 pages

44 Le PNNS en HN

45 Evaluation : processus Nécessité d enquêtes spécifiques: sondage audit ect.pour évaluer chaque action 6 pages

46 Evaluation : processus Communication retenue et comprise?

47 Évaluation de processus: Le PNNS

48 Action : Le PNNS Campagnes annuelles : Fruits et légumes

49 Activité Physique

50 Produit sucré féculent

51 Fruits et légumes: consensus parent enseignant Mise à disposition variable/ concurrence dessert Goût facilité d accès préparation disponibilité pb>> coût Amélioration des comportements à l école maternelle/ pas d effet au collège Amélioration de la connaissance chez les collégiens Amélioration des parents d enfant à l école maternelle

52 Évaluation :Résultats

53 Évaluation résultats

54 La suite? PNNS Proposition du rapport HERCBERG (26 actions) Abaisser le prix des fruits et légumes: Baisse de la TVA de 5.5% à 2.1% Réduction charge sociales Améliorer la disponibilité des fruits et légumes Ticket restaurant, distributeur Chèques fruits et légumes aux populations défavorisées Améliorer les qualités nutritionnelles du pain Farine 55 plutôt que 65 Diminuer teneur en sel

55 La suite? PNNS Fontaine d eau Améliorer l offre alimentaire dans les établissement scolaires. Créer un fond de promotion de la nutrition 0,1% du CA agro-alimentaire, restauration collective, jeux vidéo. 0,3% du CA des enseignes de distribution => possibilité d exonération partielle si signature de chartes

56 Evaluation Contexte local Experts Population Bénéficie Action Donnée scientifiques propose Saisie Vote décide Politique????

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