Statistiques quantiques. Limite classique
|
|
- Ghislain Michel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Statistiques quantiques. Limite classique 1 Statistiques quantiques 1.1 Particules identiques discernables et indiscernables Dans cette partie, nous considérons des particules identiques sans interactions. Dans un système S constitué de N particules sans interactions, le hamiltonien H du système est la somme des N hamiltoniens individuels h i des particules. Ces hamiltoniens sont tous identiques 1. On note λ un état propre du hamiltonien individuel h et ǫ λ l énergie associée à cet état propre. Les particules étant indépendantes, un état r du système S peut être identifié par la donnée des N états individuels, un pour chaque particule r (λ 1, λ 2,..., λ N ). (.1) L énergie E r de l état r est la somme des énergies des N états individuels. E r = ǫ λ1 + ǫ λ2 + + ǫ λn 2. Il existe deux types de particules identiques. Les particules identiques discernables et les particules identiques indiscernables. Particules identiques discernables Les particules identiques et discernables correspondent au cas de particules que l on peut indexer. C est par exemple le cas de particules situées aux noeuds d un réseau cristallin. Dans ce cas, l état du système est décrit par la donnée de l état de chaque particule située à chaque noeud du réseau. C est une liste ordonnée de N états individuels où l ordre est fixé par l indexation des noeuds du réseau. Ainsi un état (λ 1, λ 2,..., λ N ) est différent d un état (λ 2, λ 1,...,λ N ). Particules identiques indiscernables Dans le cas de particules identiques indiscernables, comme par exemple un gaz, il n est pas possible d indexer les particules. Un état r est toujours défini par la donnée de N états individuels, mais il n est plus possible d attribuer 1 Si il existe un potentiel d interaction entre chaque particule i et j V (r i,r j ), le hamiltonien n est plus une somme de hamiltoniens individuels. Néanmoins, lorsque les interactions ne sont pas négligeables, on peut en première approximation se ramener à un modèle de particules indépendantes dans lequel l influence sur une particule des autres particules est décrite par un potentiel moyen ne dépendant que de la position et des caractéristiques de la particule considérée. 2 Cette expression reste valable pour des particules subissant des interactions modélisées par un potentiel moyen ne dépendant que de la position et des caractéristiques de la particule considérée (voir note précédente).
2 1 Statistiques quantiques 2 chaque état individuel à une particule bien déterminée. Cette liste n est plus ordonnée. En particulier dans le cas de particules identiques indiscernables, (λ 1, λ 2,...,λ N ) = (λ 2, λ 1,..., λ N ) Au lieu de décrire un état par une liste d états individuels qui n est donc plus une description unique de l état, on décrira un état r du système S par la donnée des nombres d occupation N λ des différents états individuels λ. r {N λ } (.2) La somme des nombres d occupation est égale au nombre de particules. N λ = N (.3) L énergie de l état r est donnée par λ E r = λ N λ ǫ λ (.4) Néanmoins, il existe une contrainte sur la liste (.2). Des particules identiques doivent respecter le postulat de symétrisation. Si ce sont des bosons, N λ peut prendre n importe quelle valeur. Si ce sont des fermions, N λ ne peut valoir que ou Fonction de partition Fonction de partition canonique Particules identiques discernables Calculons la fonction de partition canonique Z du système S dans le cas de particules identiques discernables. Ainsi Z = e βer = e β(ǫ λ 1 +ǫ λ2 + +ǫ λn ) = e βǫ1 e βǫ2 e βǫn r λ 1 λ 2 λ N (λ 1,λ 2,...,λ N ) La troisième égalité provient du fait que des différents λ i peuvent varier les uns indépendamment des autres. En introduisant finalement ζ = λ e βǫ λ, Z = ζ N (.5) Particules identiques indiscernables Pour des particules indiscernables, le calcul de la fonction de partition canonique ne se simplifie pas 3. Il est pratique pour les calculs de se placer dans l ensemble représentatif grand canonique. 3 Calculons la fonction de partition canonique pour des particules indiscernables. On peut toujours écrire Z = r e βer = (λ 1,λ 2,...,λ N) e β(ǫ λ 1 +ǫ λ2 + +ǫ λn ) Mais à chaque état l correspond une liste non ordonnée. Si on fait varier les λ i indépendamment les uns des autres, on compte comme si la liste était ordonnée. On compte donc trop de termes d un facteur
3 1 Statistiques quantiques 3 Fonction de partition grand canonique En l absence d hypothèses supplémentaires, il est plus pratique d utiliser l ensemble grand canonique pour traiter les problèmes portant sur des particules identiques et indiscernables. Lorsque le nombre de particules considérées est grand (limite thermodynamique), les ensembles représentatifs canonique et grand canonique sont équivalents. La fonction de partition grand canonique s écrit par définition [ ] Ξ = {Nλ} exp β λ N λ (ǫ λ µ) (.8) Cette fonction de partition se factorise. En effet, il n existe plus de contrainte sur le nombre de particules dans la caractérisation d un état. La donnée d un état l = {N λ } est donc la donnée des nombres d occupation {N λ } pour chacun des états individuels λ sans autre contrainte. Dans la sommation précédente il faut donc sommer sur tous les nombres d occupation possibles. De plus, l exponentielle de la somme sur les états individuels s écrit comme un produit d exponentielles. Ainsi Ξ = exp [ βn λ (ǫ λ µ)] = ξ λ (.9) λ N λ λ On obtient à partir de Ξ les valeurs moyennes des grandeurs thermodynamiques. On montre notamment que le nombre moyen de particules N = 1/β ln Ξ/ µ du système et l énergie moyenne E = ln Ξ/ β + µn du système s écrivent N = λ N λ et E = λ N λǫ λ où N λ = 1 β µ (ln ξ λ) est le nombre moyen de particules dans l état λ ou encore le nombre d occupation moyen dans l état λ. 1.3 Nombre moyen d occupation Fermions Pour des fermions, la somme dans l expression de ξ λ se limite à deux termes : ξ λ = 1 + e β(ǫ λ µ). On en déduit le nombre moyen d occupation pour les fermions N λ = 1 e β(ǫ λ µ) + 1 N!/( λ N λ!). Si l on a des bosons Z = λ N λ! e β(ǫ λ 1 +ǫ λ2 + +ǫ λn ) N! λ 1 λ 2 Pour des fermions, il n est pas possible que N λ soit supérieur à 1. D où Z = λ α(n λ) e β(ǫ λ 1 +ǫ λ2 + +ǫ λn ) N! λ 1 λ 2 λ N λ N (.1) où α(n λ ) = 1 pour N λ valant où 1 et α(n λ ) = sinon. On voit donc que sans hypothèses supplémentaires, il n est pas possible d obtenir une expression simple pour la fonction de partition canonique pour des particules indiscernables. (.6) (.7)
4 2 Limite classique 4 Bosons Pour les bosons, ξ λ est une série géométrique : ξ λ = + N λ = [ e β(ǫ λ µ) ] N λ = 1 1 e β(ǫ λ µ) Notons que pour que cette série soit convergente, il faut que le potentiel chimique µ soit inférieur à toute énergie ǫ λ. On voit donc que dans un système à l équilibre, la condition précédente devant être valable pour tous les états λ, le potentiel chimique devra être inférieur au niveau d énergie le plus petit. Dans ces conditions, on trouve : N λ = 1 e β(ǫ λ µ) 1 (.11) 2 Limite classique 2.1 Limite classique et distribution de Maxwell-Boltzmann Lorsque les nombres d occupation sont petits, c est-à-dire lorsque e β(ǫλ µ) 1, les nombres d occupation des bosons et des fermions tendent vers une même limite appelée distribution de Maxwell-Boltzmann N λ = e β(ǫ λ µ) (.12) C est la limite classique. Notons qu à cette limite lnξ λ = e β(ǫλ µ). Écrivons la fonction de partition grand canonique dans cette approximation : ln Ξ = λ ln ξ λ = e βµ λ e βǫ λ = ζe βµ (.13) où ζ est la fonction de partition d une particule. Soit finalement Ξ = exp[ζe βµ ] = + N= βµn ζn e N! (.14) D autre part, comme il a été vu au chapitre précédent, la fonction de partition grand canonique peut s écrire Ξ = + N= e βµn Z(N) (.15) où Z(N) est la fonction de partition canonique. En identifiant avec l expression précédente, on trouve qu à la limite classique Z(N) = ζ N /N!. Condition suffisante pour la limite classique Dans le cas d un grand nombre de particules, ce qui est le cas pour un gaz, on peut confondre le nombre de particules du gaz N avec sa valeur moyenne N. Dans ce cas, N = λ N λ = ζe βµ (.16)
5 2 Limite classique 5 Pour obtenir une condition suffisante pour la limite classique, on remplace la condition e β(ǫ λ µ) 1 par e βµ 1. Cette condition s écrit encore à l aide de (.16) comme ζ/n 1 (.17) La fonction de partition à une particule ζ peut s écrire comme le produit d une fonction de partition de translation ζ tr = V (2πm/h 2 β) 3/2 par la fonction de partition due aux autres formes d énergie 4. En prenant la convention que le plus bas niveau d énergie vaut, cette dernière fonction de partition est toujours supérieure à 1. La condition suffisante sur la limite classique s écrira ζ tr N, soit λ DB ( ) 1/3 V = d (.18) N où λ DB = h 2 β/2πm est la longueur d onde de De Broglie 5 et d est la distance moyenne entre les particules. Lorsque la longueur d onde de De Broglie est inférieure à la distance moyenne entre les molécules, les fonctions d onde des particules ne se recouvrent pas et les effets quantiques sont négligeables. C est la limite classique. 2.2 Distribution des vitesses de Maxwell-Boltzmann Nous allons chercher ici à obtenir à l équilibre le nombre de particules dn d un gaz de particules identiques sans interactions dans un élément de volume d 3 r qui ont la vitesse v à d 3 v près. Ce nombre est égal au produit de la densité d états par le nombre moyen d occupation de ces états. Si on suppose les conditions de l approximation classique réunies, alors la densité d états est d 3 rd 3 p h 3 si on considère les conditions de la limite classique vérifiées, alors le nombre moyen d occupation des états est donné par la distribution de Maxwell-Boltzmann N λ = e β(ǫ λ µ). Comme il a été indiqué précédemment, dans le cas d un grand nombre de particules N = λ N λ = ζe βµ. On en déduit dn = N e βmv2 /2 ζ d 3 rd 3 p h 3 En reportant ζ = V (2πm/h 2 β) 3/2, en définissant n = N/V et la distribution f (v) de Maxwell-Boltzmann à l équilibre comme dn = f (v)d 3 rd 3 v alors ( m ) ) 3/2 f (v) = n exp ( mv2 (.19) 2πkT 2kT 4 le hamiltonien d une particule individuelle peut se mettre sous la forme h = h tr + h en où l indice en désigne les autres formes d énergie. La fonction de partition s écrit alors ζ = λ e β(ǫ trλ+ǫ enλ ) = λ e βǫ trλ λ e βǫ enλ = ζ tr ζ en 5 On définit la longueur d onde de de Broglie en écrivant que λ DB = p/h. On peut en faire une estimation en reliant p à la température à l aide de p 2 = 3mkT. On obtient alors l expression utilisée à un facteur numérique près.
6 3 Gaz de fermions indépendants μ -2kT μ μ +2kT Fig..1: Distribution de Fermi-Dirac à température non nulle. 2.3 Théorème d équipartition de l énergie Soit un système de particules identiques pour lequel les conditions de la limite classique sont remplies et pour lequel les conditions de l approximation classique sont satisfaites pour une forme d énergie. Supposons de plus que le hamiltonien d une particule s écrive sous la forme h = ap 2 m + b alors la valeur moyenne de ap 2 m s exprime comme suit : ap 2 m = ap 2 m exp[ βap 2 m] n i=1 dp idq i exp[ βap 2 m ] n i=1 dp idq i = kt 2 (.2) On obtient un résultat identique avec un hamiltonien de la forme h = aq 2 m +b. Ainsi quand les conditions de la limite classique sont remplies, l énergie par particule est kt/2 par degré de liberté apparaissant quadratiquement dans l hamiltonien. Ceci constitue le théorème de l équipartition de l énergie. 3 Gaz de fermions indépendants 3.1 Facteur de Fermi-Dirac Le nombre d occupation N λ, c est-à-dire le nombre moyen de fermions occupant l état λ est donné par (.1). À température nulle, N λ vaut 1 pour ǫ λ < µ et vaut si ǫ λ > µ. À température non nulle, on voit que si ǫ λ = µ alors N λ = 1/2. De plus si on calcule la dérivée de la fonction N = 1/[exp β(ǫ µ) + 1], on trouve une dérivée égale à 1/4kT lorsque ǫ est égal au potentiel chimique (Fig..1). 3.2 Gaz libre Les formules grand canoniques permettent de calculer les valeurs moyennes des grandeurs thermodynamiques usuelles pour tout système de fermions en contact avec un réservoir de
7 3 Gaz de fermions indépendants 7 température β et de potentiel chimique µ. Néanmoins, pour les systèmes à grand nombre de particules, les formules grand canoniques permettent aussi d obtenir des résultats pour des systèmes où le nombre de particules est fixé. Le potentiel chimique est alors donné dans le cas de fermions par la relation implicite suivante N = 1 ρ(ǫ)dǫ = 4π e β(ǫ µ) + 1 ( ) 3/2 2m V h 2 ǫ 1/2 dǫ e β(ǫ µ) + 1 (.21) où ρ(ǫ) = 4π(2m/h 2 ) 3/2 V ǫ 1/2 est la densité énergétique d états pour des particules de spin 1/2. L énergie est donnée par ( ) 3/2 2m E = 4π V h 2 ǫ 3/2 dǫ e β(ǫ µ) + 1 (.22) Le grand potentiel J = 1/β ln Ξ est utile pour calculer l entropie S = ( J/ T) µ,v et la pression p = ( J/ V ) µ,t. On trouve pour les fermions J = 2/3E(V, T) et p = 2E/(3V ). 3.3 Gaz de fermions à température nulle Niveau de Fermi Lorsque la température est nulle, les expressions précédentes se simplifient. Il est par exemple possible de relier explicitement le potentiel chimique µ F à température nulle au nombre de particules N. En effet, à T = ( ) 3/2 2m N = 4π V h 2 µf On en déduit le potentiel chimique de Fermi ou niveau de Fermi ǫ 1/2 dǫ (.23) ( ) 2/3 µ F = h2 3N (.24) 8m πv Les énergies inférieures à ce nombre correspondent toutes à des états individuels occupés, les énergies supérieures à des états inoccupés. On introduit aussi une température de Fermi T F définie comme T F = µ F /k. Pression quantique De la même manière, on calcule l énergie d un gaz de fermions à température nulle : ( ) 3/2 2m E F = 4π V h 2 µf ǫ 3/2 dǫ = 3 5 NkT F = 3 5 Nµ F (.25) La pression dans un gaz de fermions étant donnée par 2E F /(3V ), on trouve pour la pression à température nulle p F = 2 ( ) 1 h 3 2/3 ( ) 5/3 3 N = 2 Nµ F (.26) 15 m 4π 2 V 5 V
8 3 Gaz de fermions indépendants 8 Ce résultat est surprenant. Même à température nulle, il existe une pression non nulle dans un gaz de fermions. C est un phénomène purement quantique dû au principe d exclusion de Pauli. Les fermions ne pouvant pas être dans le même état, il ne peuvent pas tous avoir une quantité de mouvement nulle. Il en existe au contraire un grand nombre qui ont une quantité de mouvement différente de zéro ce qui fait que dans un tel gaz, même à température nulle, il y aura des chocs contre les parois. Notons que ce phénomène est responsable de la stabilité des étoiles en fin de vie lorsque la fusion thermonucléaire s arrête. On a alors une naine blanche ou une étoile à neutrons. Discernabilité et indiscernabilité. Notion de nombre moyen d occupation Limite classique Equipartition de l énergie Points clés
8 Ensemble grand-canonique
Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailCours de Physique Statistique. Éric Brunet, Jérôme Beugnon
Cours de Physique Statistique Éric Brunet, Jérôme Beugnon 7 octobre 2014 On sait en quoi consiste ce mouvement brownien. Quand on observe au microscope une particule inanimée quelconque au sein d un fluide
Plus en détailStabilité et Réactivité Nucléaire
Chapitre 1 Stabilité et Réactivité Nucléaire Les expériences, maintes fois répétées, montraient chaque fois que les déflexions subies par les particules chargées en interaction avec les noyaux ne correspondaient
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailProbabilités III Introduction à l évaluation d options
Probabilités III Introduction à l évaluation d options Jacques Printems Promotion 2012 2013 1 Modèle à temps discret 2 Introduction aux modèles en temps continu Limite du modèle binomial lorsque N + Un
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailCHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE. EQUATIONS DIFFERENTIELLES.
CHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE EQUATIONS DIFFERENTIELLES Le but de ce chapitre est la résolution des deux types de systèmes différentiels linéaires
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailChaînes de Markov au lycée
Journées APMEP Metz Atelier P1-32 du dimanche 28 octobre 2012 Louis-Marie BONNEVAL Chaînes de Markov au lycée Andreï Markov (1856-1922) , série S Problème 1 Bonus et malus en assurance automobile Un contrat
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailExo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs
Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailConception. de systèmes électroniques. analogiques
Christian JUTTEN Conception de systèmes électroniques analogiques Université Joseph Fourier - Polytech Grenoble Cours de deuxième année du département 3i Janvier 2007 Table des matières Modèle mathématique
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailSéminaire TEST. 1 Présentation du sujet. October 18th, 2013
Séminaire ES Andrés SÁNCHEZ PÉREZ October 8th, 03 Présentation du sujet Le problème de régression non-paramétrique se pose de la façon suivante : Supposons que l on dispose de n couples indépendantes de
Plus en détailLe modèle de Black et Scholes
Le modèle de Black et Scholes Alexandre Popier février 21 1 Introduction : exemple très simple de modèle financier On considère un marché avec une seule action cotée, sur une période donnée T. Dans un
Plus en détailPrécision d un résultat et calculs d incertitudes
Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCours de Physique statistique
Licence de Physique Fondamentale et Appliquée Année 2014-2015 Parcours Physique et Applications UNIVERSITÉ PARIS-SUD mention Physique ORSAY Cours de Physique statistique Compilation de textes de A. Abada,
Plus en détailPremier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K
Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K + τ.p. K.e τ K.e /τ τ 86% 95% 63% 5% τ τ 3τ 4τ 5τ Temps Caractéristiques remarquables de la réponse à un échelon e(t) = e.u(t). La valeur
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailFiltrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales
Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales Adriana Climescu-Haulica Laboratoire de Modélisation et Calcul Institut d Informatique et Mathématiques Appliquées de
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailCONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)
CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détail1 Systèmes triphasés symétriques
1 Systèmes triphasés symétriques 1.1 Introduction Un système triphasé est un ensemble de grandeurs (tensions ou courants) sinusoïdales de même fréquence, déphasées les unes par rapport aux autres. Le système
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détailApproximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2
Approximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2 Albert Cohen Dans ce cours, on s intéresse à l approximation numérique d équations aux dérivées partielles linéaires qui admettent une formulation
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailTP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options
Université de Lorraine Modélisation Stochastique Master 2 IMOI 2014-2015 TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options 1 Les options Le but de ce
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailavec des nombres entiers
Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailINTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE
INTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE I) PRINCIPE Considérons l'énergie de liaison par nucléons pour différents noyaux (Fig. I.1). En examinant la figure I-1, nous constatons que deux types de réactions
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailSuites numériques 4. 1 Autres recettes pour calculer les limites
Suites numériques 4 1 Autres recettes pour calculer les limites La propriété suivante permet de calculer certaines limites comme on verra dans les exemples qui suivent. Propriété 1. Si u n l et fx) est
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détail5. Les conducteurs électriques
5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,
Plus en détailDérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.
Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailTechniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité
Techniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité Andreea Grigoriu avec Jean-Michel Coron, Cătălin Lefter and Gabriel Turinici CEREMADE-Université Paris Dauphine
Plus en détailObjectifs du cours d aujourd hui. Informatique II : Cours d introduction à l informatique et à la programmation objet. Complexité d un problème (2)
Objectifs du cours d aujourd hui Informatique II : Cours d introduction à l informatique et à la programmation objet Complexité des problèmes Introduire la notion de complexité d un problème Présenter
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailValorisation d es des options Novembre 2007
Valorisation des options Novembre 2007 Plan Rappels Relations de prix Le modèle binomial Le modèle de Black-Scholes Les grecques Page 2 Rappels (1) Définition Une option est un contrat financier qui confère
Plus en détailÉquations non linéaires
Équations non linéaires Objectif : trouver les zéros de fonctions (ou systèmes) non linéaires, c-à-d les valeurs α R telles que f(α) = 0. y f(x) α 1 α 2 α 3 x Equations non lineaires p. 1/49 Exemples et
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailFinance, Navier-Stokes, et la calibration
Finance, Navier-Stokes, et la calibration non linéarités en finance 1 1 www.crimere.com/blog Avril 2013 Lignes directrices Non-linéarités en Finance 1 Non-linéarités en Finance Les équations de Fokker-Planck
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailNOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION
NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui
Plus en détailDéfinitions. Numéro à préciser. (Durée : )
Numéro à préciser (Durée : ) On étudie dans ce problème l ordre lexicographique pour les mots sur un alphabet fini et plusieurs constructions des cycles de De Bruijn. Les trois parties sont largement indépendantes.
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailSYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières
Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailUne réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen
Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen Manière heuristique d'introduire l'approximation de champ moyen : on néglige les termes de fluctuations
Plus en détailSystème formé de deux points
MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailCOURS DE MÉCANIQUE STATISTIQUE UNIVERSITÉ LYON-1. Monique Combescure. 3 janvier 1970
COURS DE MÉCANIQUE STATISTIQUE MASTER PREMIÈRE ANNÉE UNIVERSITÉ LYON-1 Monique Combescure 3 janvier 1970 TABLE DES MATIÈRES I] QUELQUES NOTIONS ÉLÉMENTAIRES EN STATISTIQUE I-1 Variables aléatoires I-2
Plus en détail