ÉQUIPEMENT DE PROCÉDÉ FICHE D INFORMATION TECHNIQUE
|
|
- Claude Aubé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ÉQUIPEMENT DE PROCÉDÉ FICHE D INFORMATION TECHNIQUE Réacteur biologique à garnissage en suspension (RBGS) Ecoprocess TM MBBR Domaines d application : Niveau de développement : Commercial, institutionnel et communautaire Standard Février 2014
2 1- DONNÉES GÉNÉRALES Nom de l équipement de procédé Réacteur biologique à garnissage en suspension (RBGS) Ecoprocess TM MBBR Cadre juridique régissant l installation de l équipement de procédé Chaque installation nécessite une autorisation préalable du ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs en vertu de l article 32 de la Loi sur la qualité de l environnement. Nom et coordonnées du fournisseur Premier Tech Aqua 1, avenue Premier Rivière-du-Loup (Québec) G5R 6C1 Personne-ressource : Mme Marie-Christine Bélanger, ing., M. Sc. A. Tél. : Téléc. : Courriel : belm2@premiertech.com Site Web : 2- DESCRIPTION DE L ÉQUIPEMENT DE PROCÉDÉ Généralités Le réacteur biologique à garnissage en suspension Ecoprocess TM MBBR est un équipement de procédé de traitement biologique à culture fixée sur un garnissage immergé qui est maintenu en mouvement dans la masse liquide. La biomasse qui se détache du garnissage est évacuée au fil de l eau. Celle qui s accumule sur le garnissage est mise en contact avec le substrat, les nutriments et l oxygène dissous grâce à l agitation de la masse liquide dans les réacteurs. Le procédé ne requiert pas nécessairement de recirculation des boues en amont de la filière de traitement. Par conséquent, il n exige pas non plus de contrôles particuliers du rapport F/M (DBO 5 C/matières volatiles en suspension) ni de l âge des boues. Un système d aération assure le transfert d oxygène ainsi que le brassage de la phase liquide et du garnissage. Il favorise aussi le détachement de la biomasse produite au cours du processus de traitement. Description détaillée Garnissage Le garnissage est en polyéthylène haute densité, extrudé en forme de rondelle, avec un diamètre extérieur de 18 mm et une épaisseur de 14 mm. Il a une densité nominale de 0,96 et une surface volumique effective minimale de 590 m 2 par mètre cube. Les réacteurs Ecoprocess TM MBBR sont dotés de grilles de retenue du garnissage avec des ouvertures maximales de 10 mm. 2 de 9
3 Aération Chaque bioréacteur est muni d un système d aération à moyennes bulles pour assurer l oxygénation de la biomasse et le maintien en suspension du garnissage. Schéma du procédé Affluent Prétraitement ou traitement primaire Ecoprocess TM MBBR réacteur 1 Ecoprocess TM MBBR réacteur 2 (optionnel) Traitement subséquent Effluent Air Avec garnissage Description de l équipement de procédé évalué au cours des essais expérimentaux Site expérimental Le suivi expérimental a été effectué du 24 octobre 2012 au 4 septembre 2013 à la station expérimentale de Premier Tech Aqua à Rivière-du-Loup. Cette station est alimentée en eaux usées à partir de l affluent prétraité (après le dégrillage et le dessablage) de la station de traitement des eaux usées de la Ville de Rivière-du-Loup. Deux fosses septiques ont été installées en série afin de servir de prétraitement au RBGS Ecoprocess TM MBBR. Chacune d elles avait un temps de rétention hydraulique de 1,6 heure (volume effectif de 6 m 3 et débit appliqué de 92 m 3 /d). À partir du 22 novembre 2012, la première fosse septique a été contournée afin de réduire le temps de rétention hydraulique et d augmenter les charges à l entrée du RBGS Ecoprocess TM MBBR. La filière de traitement était constituée de deux réacteurs RBGS Ecoprocess TM MBBR d un volume liquide individuel de 480 litres chacun. Chaque bassin était rempli de 169 litres de garnissage, ce qui donne un taux de remplissage de 35 % et une surface effective de garnissage de 99,7 m 2. L aération des réacteurs était assurée par des diffuseurs d air à moyennes bulles. Le taux d aération maintenu dans l installation pilote était de 27,7 Nm 3 /h dans le premier réacteur et de 19,1 Nm 3 /h dans le second réacteur. Les bioréacteurs étaient alimentés par doses à l aide d une station de pompage située en aval des fosses septiques. Les temps de marche et de repos des pompes étaient constants et minutés tout au long de la journée. Ceux-ci ont été modifiés à quelques reprises durant les essais. Les valeurs de débit moyen, minimal et maximal sont présentées au tableau de la page suivante. Le débit horaire dans les bioréacteurs ne changeait pas au cours d une journée et le débit journalier a été maintenu constant durant les essais. Ainsi, à défaut d avoir des données de suivi sur la performance de la filière de traitement à des débits plus élevés, le débit journalier observé de 2,62 m 3 /d doit être considéré comme un débit journalier maximal à ne pas dépasser afin de respecter les limites de rejet (LRMA, LRMS et LRMP) indiquées dans la présente fiche d information. 3 de 9
4 Description et taux de charge observés lors des essais expérimentaux RBGS Ecoprocess TM MBBR Nombre de réacteurs en série : 2 Temps de rétention hydraulique correspondant au débit moyen lors des essais : 8,8 h au site des essais (4,4 h par réacteur) Taux du remplissage de garnissage lors des essais : 35 % du volume de chaque réacteur Charge appliquée lors des essais : Taux de charge organique superficielle moyen : 2,8 g DBO 5 C/d par mètre carré de garnissage sur le premier réacteur et 1,4 g DBO 5 C/d par mètre carré de garnissage sur les deux réacteurs Charge organique soluble superficielle moyenne : 1,7 g DBO 5 C soluble /d par mètre carré de garnissage sur le premier réacteur et 0,85 g DBO 5 C soluble /d par mètre carré de garnissage sur les deux réacteurs Charge appliquée favorable à la nitrification lors des essais : Charge organique soluble superficielle moyenne : 0,85 g DBO 5 C soluble /d par mètre carré de garnissage sur l ensemble des deux réacteurs Charge superficielle moyenne en azote ammoniacal : 0,22 g N-NH 4 /d par mètre carré de garnissage sur l ensemble des deux réacteurs Aération : Au cours des essais, la concentration d oxygène dissous moyenne dans le premier réacteur a été de 10,5 mg/l, avec des variations de 5,5 à 16,9 mg/l. Les concentrations dans le deuxième réacteur ont varié de 6,6 à 16,1 mg/l, avec une moyenne de 11,1 mg/l. Les taux moyens d air appliqués ont été de 27,7 Nm 3 /h par mètre cube dans le premier réacteur et de 19,1 Nm 3 /h par mètre cube dans le deuxième. 3- PERFORMANCES ÉPURATOIRES OBTENUES AU COURS DES ESSAIS Durant toute la période des essais, les eaux usées brutes provenaient d un réseau municipal et étaient de nature domestique. Les concentrations observées à l affluent des bioréacteurs (effluent de la ou des fosses septiques) sont les suivantes : 4 de 9
5 Caractéristiques observées à l affluent des bioréacteurs (1) Paramètre moyenne minimale maximale Écart type DCO (mg/l) DBO 5 C (mg/l) DBO 5 C soluble (mg/l) MES (mg/l) Pt (mg/l) 3,2 1,4 13,7 2,3 NTK (mg-n/l) ,1 NH 4 (mg-n/l) 16,4 9,8 25 4,2 Coliformes fécaux (UFC/100 ml) (2) s. o. Température ( o C) 12,0 4,8 19,6 3,9 Débit (m 3 /d) 2,620 2,085 3,070 0,185 (1) Données basées sur 31 résultats d analyse, sauf pour les coliformes fécaux (93 résultats) et la température (59 résultats). (2) Moyenne géométrique. Dans les conditions d application décrites à la section 2, les concentrations obtenues à l effluent du premier bioréacteur au cours des essais expérimentaux sont les suivantes : Caractéristiques observées à l effluent du premier bioréacteur (1) Paramètre moyenne Écart type LRMA (2) LRMS (3) LRMP (4) DCO (mg/l) (5) s. o DBO 5 C (mg/l) (5) s. o. 544 DBO 5 C Imhoff (mg/l) (6),(7) 23 8,7 31 s. o. 38,7 DBO 5 C soluble (mg/l) (5) 8,7 4,5 12,1 s. o. 18,4 MES (mg/l) (5) s. o MES Imhoff (mg/l) (6),(7) 44 12,5 55 s. o. 65 Pt (mg/l) (5) 6,3 6,5 10,2 14,9 20,5 NH 4 (mg-n/l) (6) 4,8 6,2 10,2 12,5 15,7 NO 2 -NO 3 (mg-n/l) 5,7 5,5 s. o. s. o. s. o. Coliformes fécaux (UFC/100 ml) (5) (7) s. o ph 7,0 0,2 s. o. s. o. s. o. Transmittance UV (%) 29,4 13,6 s. o. s. o. s. o. Température ( o C) 11,5 4,2 s. o. s. o. s. o. (1) Données basées sur 31 résultats d analyse, sauf pour les coliformes fécaux (93 résultats), NH 4, NO 2 -NO 3 et transmittance (29 résultats chacun), et la température (59 résultats). (2) Limite de rejet en moyenne annuelle (LRMA) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 12 résultats. (3) Limite de rejet en moyenne saisonnière (LRMS) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 6 résultats. 5 de 9
6 (4) Limite de rejet en moyenne périodique (LRMP) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 3 résultats. (5) Selon une distribution lognormale. (6) Selon une distribution normale. (7) Échantillons du surnageant après une heure de décantation en cône Imhoff. (8) Moyenne géométrique. Dans les conditions d application décrites à la section 2, les concentrations obtenues à l effluent du second bioréacteur au cours des essais expérimentaux sont les suivantes : Caractéristiques observées à l effluent du second bioréacteur (1) Paramètre moyenne Écart type LRMA (2) LRMS (3) LRMP (4) DCO (mg/l) (5) s. o. 265 DBO 5 C (mg/l) (6) s. o. 94 DBO 5 C Imhoff (mg/l) (5),(7) 15,6 7,5 22 s. o. 33 DBO 5 C soluble (mg/l) (5) 5,5 3,6 7,8 s. o. 12,4 MES (mg/l) (6) s. o. 188 MES Imhoff (mg/l) (5),(7) 36 13,7 49 s. o. 70 Pt (mg/l) (5) 2,0 1,14 3,0 3,9 5,0 NH 4 (mg N/L) (6) 0,76 1,36 2,7 3,2 4,0 NO 2 -NO 3 (mg N/L) 16,2 4,3 s. o. s. o. s. o. Coliformes fécaux (UFC/100 ml) (5) (8) s. o ph 7,1 0,2 s. o. s. o. s. o. Transmittance UV (%) 45,5 12,3 s. o. s. o. s. o. Température ( o C) 11,4 4,5 s. o. s. o. s. o. (1) Données basées sur 31 résultats d analyse, sauf pour les coliformes fécaux (93 résultats), NH 4, NO 2 -NO 3 et transmittance (29 résultats chacun), et la température (59 résultats). (2) Limite de rejet en moyenne annuelle (LRMA) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 12 résultats. (3) Limite de rejet en moyenne saisonnière (LRMS) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 6 résultats. (4) Limite de rejet en moyenne périodique (LRMP) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 3 résultats. (5) Selon une distribution lognormale. (6) Selon une distribution normale. (7) Échantillons du surnageant après une heure de décantation en cône Imhoff. (8) Moyenne géométrique. Le Comité d évaluation des nouvelles technologies de traitement des eaux usées (Comité) considère que le calcul des LRMA, LRMS et LRMP n est valable que pour des conditions d application similaires à celles observées lors des essais. 6 de 9
7 4- EXPLOITATION ET ENTRETIEN Un manuel d exploitation et d entretien complet pour l équipement de procédé Ecoprocess TM MBBR (édition du 30 mai 2013) et un guide d entretien des infrastructures et des composantes mécaniques doivent être fournis au propriétaire lors de la mise en service du système. Les recommandations sur l utilisation, l exploitation, l inspection et l entretien des équipements qui proviennent de ces manuels et qui visent à obtenir la performance technologique attendue engagent la responsabilité du fournisseur et de l ingénieur. La performance attendue des bioréacteurs dépend de l utilisation, de l exploitation et de l entretien des équipements. L ingénieur concepteur et l entreprise de fabrication ou de distribution ne peuvent être tenus responsables si le système n est pas utilisé selon les recommandations formulées dans le manuel du fournisseur et le manuel complémentaire de l ingénieur. 5- DOMAINES D APPLICATION Les conditions observées à l installation expérimentale correspondaient aux conditions d essai spécifiées pour les domaines d application suivants : Commercial, institutionnel et communautaire 6- CLASSE DE PERFORMANCE Comme il est indiqué dans le document intitulé Procédure de validation de la performance des nouvelles technologies de traitement des eaux usées d origine domestique préparé par le Comité, aucune classe de performance n est établie pour la performance d un équipement de procédé. La moyenne et l écart type indiqués pour les paramètres de suivi à la sortie des bioréacteurs sont donnés à titre indicatif. Les limites de rejet (LRMA, LRMS et LRMP) indiquent la capacité de l équipement de procédé à respecter les objectifs de traitement ou les exigences de rejet dans 99 % du temps avec un degré de confiance de 95 % pour les taux de charge observés lors des essais. Lorsque cela est applicable, les LRMA, LRMS et LRMP peuvent être comparées aux exigences de rejet édictées par le ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs et par le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire pour la sélection des équipements. S il y a lieu, dans le cas de la DBO 5 C, la DBO 5 C particulaire doit être ajoutée à la DBO 5 C soluble pour définir la capacité de l équipement de procédé ou de la chaîne de traitement à respecter une exigence de rejet exprimée en DBO 5 C totale. 7- VALIDATION DU SUIVI DE PERFORMANCE Le Comité a vérifié le rapport d ingénierie de l équipement de procédé qui a été préparé par Premier Tech Aqua suivant les prescriptions du document intitulé Procédure d évaluation de la performance des nouvelles technologies de traitement des eaux usées d origine domestique. 7 de 9
8 Le Comité a jugé que les données obtenues au cours des essais de démonstration effectués à la station expérimentale de Premier Tech Aqua répondaient aux critères d évaluation définis dans les procédures pour la publication d une fiche d information technique de niveau «standard». L équipement de procédé doit être conçu, installé, exploité et entretenu de manière à respecter les performances épuratoires visées. Cette description de performance pourra être révisée, à la hausse ou à la baisse, à la suite de l obtention d autres résultats. La présente fiche d information technique est une description de la performance de l équipement de procédé dans une station existante. Elle ne constitue pas une certification ou une autre forme d homologation. Le Comité ainsi que le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire et le ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs ne peuvent être tenus responsables de la contre-performance d un système de traitement d eaux usées conçu suivant les renseignements contenus dans cette fiche d information technique. L entreprise demeure responsable de l information fournie. De plus, les vérifications effectuées par le Comité ne dégagent en rien l ingénieur concepteur et l entreprise de fabrication ou de distribution de leurs obligations, garanties et responsabilités. 8- RECOMMANDATIONS DU FOURNISSEUR Prétraitement et traitement primaire Selon l application visée, le concepteur jugera de la pertinence de prévoir un dessablage ou une décantation primaire. Un dégrilleur sur un tamis d au plus 6 mm doit être prévu pour éviter le colmatage des grilles de retenue du garnissage dans les bioréacteurs. RBGS Ecoprocess TM MBBR Nombre de réacteurs en série : 1 ou 2 La surface spécifique protégée (disponible pour la croissance du biofilm) de garnissage requise est déterminée en calculant le taux de charge organique soluble superficiel (TCO), à l aide de l équation suivante : Surface spécifique totale de garnissage = (DBO 5 C soluble dans l affluent débit moyen de conception)/tco L ingénieur doit fournir des données en DBO 5 C soluble afin d établir la surface spécifique requise et de comparer les résultats présentés dans cette fiche avec les rendements requis pour son projet. La surface spécifique protégée de garnissage requise pour la nitrification est déterminée en calculant le taux de charge en azote ammoniacal superficiel (TCN), à l aide de l équation suivante : Surface spécifique totale de garnissage = (N-NH 4 dans l affluent débit moyen de conception)/tcn Le volume de garnissage requis est obtenu en divisant la surface spécifique protégée de garnissage requise (la plus élevée des surfaces requises pour la DBO 5 C ou pour la nitrification) par la surface volumique effective du garnissage (590 m 2 par mètre cube). 8 de 9
9 Le volume utile du bioréacteur nécessaire est obtenu en divisant le volume de garnissage requis par le taux de remplissage de garnissage sélectionné (en pourcentage). Le taux de remplissage utilisé lors de l essai expérimental était de 35 %, mais il est possible d utiliser un taux variant de 35 à 70 %. Charge appliquée lors des essais : Charge organique soluble superficielle moyenne : 1,7 g DBO 5 C soluble/d par mètre carré de garnissage sur le premier réacteur et 0,85 g DBO 5 C soluble/d par mètre carré de garnissage sur les deux réacteurs Charge appliquée favorable à la nitrification lors des essais : Charge organique soluble superficielle moyenne : 0,85 g DBO 5 C soluble /d par mètre carré de garnissage sur l ensemble des deux réacteurs Charge superficielle moyenne en azote ammoniacal : 0,22 g N-NH 4 /d par mètre carré de garnissage sur l ensemble des deux réacteurs Note : Pour les projets nécessitant une nitrification des eaux usées, il faut respecter un ratio de 7,1 mg/l d alcalinité totale sous forme CaCO 3 pour 1 mg/l d azote ammoniacal à nitrifier afin d atteindre les objectifs de rejet. Aération et mélange Mélange : le taux d aération doit être suffisant pour assurer le brassage et un mélange uniforme ainsi que pour maintenir une épaisseur adéquate des biofilms sur les garnissages. Il dépend de la charge à traiter et de la géométrie du système. Oxygénation : minimum de 4 mg/l d oxygène dissous dans l eau. Contrôles et alarmes Alarme de haut niveau dans le bioréacteur Alarmes de défaut de fonctionnement du ou des surpresseurs Contrôle optionnel de la concentration d oxygène dissous pour l optimisation de la consommation énergétique Traitement subséquent Le concepteur doit sélectionner les unités de traitement additionnelles requises selon l application visée. Afin de respecter les exigences de rejet relatives aux matières en suspension à l effluent du système de traitement, un dispositif adéquat pour la séparation des solides et des liquides doit être prévu. Il devient alors essentiel de prévoir les équipements de décantation, de flottation ou de filtration nécessaires. Si une décantation secondaire est planifiée dans le cadre d un projet, il faut prévoir les équipements de décantation nécessaires. Divers facteurs peuvent influencer la performance de ces équipements, surtout s il s agit de petits décanteurs, notamment les processus de dénitrification (surtout lorsque le temps de rétention des boues dans le décanteur augmente), divers problèmes de court-circuitage, etc. Il faut donc prévoir des déflecteurs pour dissiper l énergie à l entrée du décanteur, des déflecteurs de sortie, des systèmes de récupération des écumes, une extraction automatisée des boues à intervalles rapprochés, ainsi que des équipements de dosage de sels métalliques ou de polymères pour faciliter la décantation, le tout selon les règles de l art. 9 de 9
PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailCONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,
Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR
Plus en détailGuide d installation Agrément n 2010-018
Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation
Plus en détailCollecteur de distribution de fluide
Collecteur de distribution de fluide Guide des applications Un sous-système prêt-à-monter Des sous-systèmes prêts-à-monter, disponibles en quelques semaines et non en quelques mois. Une conception testée
Plus en détailLe point en recherche
Le point en recherche Octobre 2005 Série technique 05-110 Télésurveillance et commande à distance des installations sur place de traitement et de recyclage des eaux usées, et de réutilisation de l eau
Plus en détailDémarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée
Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée L application de la circulaire Voynet-Le pensec et la mise en place des programmes
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailVILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES
VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES
Plus en détailLa consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.
Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailRetours d expérience du SATESE 37
Les filières d épuration pour les petites collectivités Retours d expérience du SATESE 37 Syndicat d Assistance Technique pour l Epuration et le Suivi des Eaux d Indre et Loire Domaine d activité papillon
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailLES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION
LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailPROJET D INVERSION DE LA CANALISATION 9B ET D ACCROISSEMENT DE LA CAPACITÉ DE LA CANALISATION 9
Page 1 of 7 PROJET D INVERSION DE LA CANALISATION 9B ET D ACCROISSEMENT DE LA CAPACITÉ DE LA CANALISATION 9 RAPPORT SOMMAIRE DE L ANALYSE DES TRANSITOIRES SUR LE RÉSEAU PRINCIPAL Préparé par : Enbridge
Plus en détailTheta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe
heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,
Plus en détailChoisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos.
entreposage Choisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos. Un détecteur de gaz contribue à déterminer les mesures de prévention et l équipement de protection nécessaires dans le
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailCarat. Assainissement Micro-stations d épuration. UNE GAMME COMPLèTE MICRO-STATIONS CARAT TRAITEMENT BIOLOGIQUE SBR FOSSES TOUTES EAUX
Assainissement Micro-stations d épuration 2011 UNE GAMME COMPLèTE Carat MICRO-STATIONS CARAT TRAITEMENT BIOLOGIQUE SBR FOSSES TOUTES EAUX TUNNELS D EPANDAGE GRAF - Le spécialiste de l épuration Nouveau
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailSéparateurs d huile/eau
Les Systèmes Customeng, Conception, R&D et manufacturier d équipements spécialisés 10717 Rue Waverly, Montréal, Québec, H3L 2W7, T : 514331-5121, F : 514-331-5292 Séparateurs d huile/eau Préparé par: Gilles
Plus en détailSystème de sécurité de périmètre INTREPID
TM Système de sécurité de périmètre INTREPID La nouvelle génération de systèmes de sécurité de périmètre MicroPoint Cable combine la technologie brevetée de Southwest Microwave, la puissance d un micro
Plus en détailVincent SAVIGNAC. Mise en route d un Décanteur Primaire Pilote. Tests traceurs sur une installation pilote. Projet primeau
Université Laval Pavillon Adrien Pouliot Dép. Génie Civil et Génie des Eaux 1065, Avenue de la Médecine G1V 0A6 Québec, Canada Institut National des Sciences Appliquées Dép. Génie des Procédés et Environnement
Plus en détailEDFR/AC/KP/A4/030215
Solutions rotomoulées pour le stockage et la distribution de gazole, de lubrifiants et d AdBlue. Systèmes de récupération des eaux de pluie et systèmes d assainissement non-collectifs. Solutions de stockage
Plus en détailInstallations d assainissement jusqu à 12 Equivalents Habitants
Installations d assainissement jusqu à 12 Equivalents Habitants Version du 10 septembre 2014 Félicitations pour votre choix 2 GUIDE DE L UTILISATEUR S O M M A I R E 1 - Constitution de votre installation...p.4
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailUne onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailGUIDE UTILISATEUR. Microstation dʼépuration à culture fixée. Gamme SIMBIOSE. www.simbiose.fr SB 4 - SB 5 - SB 6 - SB 8 - SB 13 23/01/2015
GUIDE UTILISATEUR Microstation dʼépuration à culture fixée Gamme SIMBIOSE SB 4 - SB 5 - SB 6 - SB 8 - SB 13 www.simbiose.fr 23/01/2015 Station SIMBIOSE, marque déposée par le fabricant ABAS - Reproduction
Plus en détailUne production économique! Echangeur d ions TKA
Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION
Plus en détailCommune de la Tène Viabilisation de la zone du casino
Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire
Plus en détailLes Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe. Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants
Les Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants Version du 5 Juillet 2010 révisée le 15 Janvier 2014 INTRODUCTION AUX STATIONS COMPACTES EPARCO
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailDIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR
COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailUne solution parfaitement adaptée
INFORMATIONS ANALYSE EN CONTINU DES NITRATES NISE SC / NITRATAX SC NOUVEAU! ME SU RE DES N I T R AT ES EN LIGNE Une solution parfaitement adaptée Sondes de nitrate utilisant les technologies UV et électrodes
Plus en détailVotre installation septique l essentiel à savoir!
Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi
Plus en détailLes rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012. TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB
Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012 TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB 1 Dispositifs agréés Typologie et principe Procédés à écoulement saturé
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailINDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT
INDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT DIRECTION DES ACTIONS INDUSTRIELLES Directeur de publication : Jean-Marc Picard - Directeur des Actions Industrielles Agence de l Eau Seine-Normandie.
Plus en détailLe béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures
TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications
Plus en détailMesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles
Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise
Plus en détailVILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ
VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ Ce document regroupe, sous forme de fiches, les informations nécessaires à la réalisation des travaux de
Plus en détailCONSOMMABLES. Tubes polarimètres. Cuves spectrophotomètres. Lampes spectrophotomètres
CONSOMMABLES Tubes polarimètres Cuves spectrophotomètres Lampes spectrophotomètres Chemin des Abeils.30110 BRANOU LES TAILLADES. Tél. : 04.66 30.57. 75 Fax : 04.66.30.46.21 Spectrophotomètres SECOMAM CONSOMMABLES
Plus en détailRETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif
RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif DOCUMENT DE TRAVAIL EVOLUTIF mai 2011 - VERSION1 Res'eau ASNC "Réseau Rhône Alpes des acteurs de l'anc" GRAIE Version 1 - février 2011
Plus en détailL'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère?
février 2015 L'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère? L essentiel Document rédigé par Elodie Sanchez-Collet (Graie) Relecteurs : le réseau des acteurs de l ANC du Graie et
Plus en détailSolar Heating System Factsheet (SHSF) - Dossier guide
Solar eating System Factsheet (SSF) - Dossier guide Les Factsheets (feuille de données) publiés sur la page Internet de SPF résument les résultats des tests des systèmes solaires pour la production d eau
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP)
Institut National de la Recherche Agronomique Etablissement Public à caractère Scientifique et Technologique Centre INRA de LILLE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP) Réalisation, Fourniture
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détailL assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés SCIENCES ET TECHNIQUES / COLLÈGE ET LYCÉE LIVRET PÉDAGOGIQUE
L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés LIVRET PÉDAGOGIQUE Préambule L assainissement se définit comme l ensemble des techniques de collecte, de transport et
Plus en détailManuel d utilisation du détecteur Monitox plus
Manuel d utilisation du détecteur Monitox plus 1 Table des matières Page Présentation du Monitox plus 3 1. Description du produit 3 1.1 Application 3 1.2 Test fonctionnel 3 1.3 Ecouteur 4 1.4 Stockage
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailLa gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société
La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailFiche d exploitation n 1 : QUELQUES PARAMETRES CARACTERISTIQUES DES BOUES ACTIVEES
Fiche d exploitation n 1 : QUELQUES PARAMETRES CARACTERISTIQUES DES BOUES ACTIVEES Le Débit (Q) : C est un volume par unité de temps (m 3 /j - m 3 /h - l/s). Débit de pointe : débit horaire maxi reçu par
Plus en détail"COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE"
"COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE" La loi d'épuration expérimentale TILLIÉ-TURCO Deux chercheurs niçois, spécialistes de la valorisation des Déchets Industriels Réutilisables - les "D.I.R" comme
Plus en détailAperçu des 37 principes directeurs
Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d
Plus en détailC 248-02. Nias Dual. Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire. chaleur à vivre. Nord Africa
C 248-02 made in Italy Nias Dual Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire chaleur à vivre FR Nord Africa Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon
Plus en détailAide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007
Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière
Plus en détailVANNE PAPILLON 1100 avec servomoteur type UVC-15
VANNE PAPILLON 1100 avec servomoteur type UVC-15 CARACTERISTIQUES DE LA VANNE La vanne papillon 1100 à montage entre brides est une vanne papillon en PVC. Elle possède une étanchéité en ligne et au presse-étoupe
Plus en détailLes sous stations de transfert. Alain Heeren. Ing. de Projets
Les sous stations de transfert Alain Heeren Ing. de Projets Les sous stations de transfert Sous stations de transfert indirect connectées au réseau de chaleur : Principe Dimensionnement adéquat d une sous
Plus en détailTOPAS PMW-basic Compteur d eau chaude
TOPAS PMW-basic Compteur d eau chaude Application L assortiment TOPAS PMW-basic couvre un large champ d applications dans le secteur d eau chaude. Sa technologie novatrice vous offre une foule de possibilités,
Plus en détailSolutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables
Solutions laboratoires Solutions pour les laboratoires Tampons ph Étalons de conductivité Solutions de mesure redox et O 2 dissous Solutions de mesure ISE Solutions de maintenance Solutions pour le calibrage
Plus en détailOxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse
XII ème Colloque AQUATECH LIMOGES 13 octobre 2005 Oxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse Merzak BELKHODJA Direction Technique Veolia Water Principe Principe Oxydation thermique en phase liquide
Plus en détailGesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS)
Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS) PROGRAMME DE GESTION DURABLE ET INTEGREE DE L EAU (SWIM) MISSION POUR L ETUDE D EVALUATION DE LA SITUATION
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailPARTIE 1 CHAMP D'APPLICATION MARQUAGE NF
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF Tubes en polyéthylène pour réseaux de distribution de gaz combustibles, réseaux de distribution d'eau potable, irrigation et applications industrie, eau non potable et
Plus en détailCOLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant
COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif 20 FÉVRIER 2013 : EUREXPO SALON DES ENR François GIBERT directeur EKLOR Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant 1 2 2 3 3 Les fonctions d
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailMÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE
MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailPROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS
PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment
Plus en détailLe confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire
Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailMesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15
Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailSondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques
Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications
Plus en détailOù investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite
Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Optimisation de la politique de placement : vers quelles classes d actifs se tourner? Stéphan Lazure Conseiller principal
Plus en détail