R2c Digestif Cancer du Rectum. Cancer du rectum
|
|
- Angélique Martineau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cancer du rectum
2 Où finit le Rectum? Où commence le Côlon? Pôle inférieur de la tumeur situé dans les 12 premiers cm à partir de la marge anale Cancer du bas et moyen rectum situé en dessous du péritoine viscéral et se projetant dans la cavité sacrée Question de la radiothérapie pré-opératoire Dans les "cas limites", réaliser un cliché baryté de profil pour vérifier que la tumeur se projette dans la concavité sacrée. Cancer du Côlon Pôle inférieur de la tumeur situé au-delà des 12 premiers cm à partir de la marge anale dont le cancer de la charnière recto-sigmoïdienne (12 à 15 cm)
3 I-Arbres de Décision R2c Digestif I.1-Le cancer du rectum non métastatique I.1.1. Choix du traitement initial en fonction du bilan d extension locorégional Traitement initial US T1N0 < 3 cm différencié US T1N0 3 cm, non diff US T2N0 US T2N1 US T3/T4N0N1 (non fixée) US T4N0N1 (fixée) Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3 Niveau 4 Trt local : Mucosectomie ou RTA Résection chirurgicale avec exérèse complète du mésorectum RT pré-op + Résection chirurgicale avec exérèse complète du mésorectum Option : Résection chirurgicale avec exérèse complète du mésorectum si T3N0 Ht rectum sus-péritonéal Option : Essai RTCT pré-op + Résection chirurgicale avec exérèse complète du mésorectum
4 I.1.2. Choix du traitement post-opératoire en fonction de l analyse de la pièce d exérèse R2c Digestif Traitement post-opératoire Niveau 2 Niveaux 3 et 4 Résidu R0 Résidu R1 Résidu R0 Résidu R1 N0 N+ Nx N0 N+ Nx Pas de traitement CT post-op RTCT post-op Pas de trt post-op Chimiothérapie LV5FU2 Option : FUFOL Complément de RT post-op LV5FU2
5 I.2-Cas particulier : polype dégénéré R2c Digestif Traitement endoscopique POLYPE PEDICULE OU SESSILE POLYPE PLAN (Mucosectomie) Axe non envahi Axe envahi Musc muq non franchie Musc muq franchie ou résection incomplète Facteurs de bon pronostic : ADK bien ou moyen diff. Pas d embole lymphatique Résection complète Marge de résection > 1 mm Si facteurs = 4 Si facteurs < 4 Pas de chirurgie complémentaire Pas de chirurgie complémentaire Chirurgie complémentaire Pas de chirurgie complémentaire Chirurgie complémentaire
6 I.3-Cas particulier : cancer du rectum avec métastases synchrones R2c Digestif Métastases synchrones Résécables Niveau 5A Non résécables Niveau 5B Résécables en un temps Hépatectomie mineure Résécables en 2 temps Tumeur résécable par RAR Tumeur résécable par AAP RT pré-op RT 45 Gy Option : RT Palhmann RTCT (LV5FU2) RTCT Chirurgie en 1 temps Résection rectale RAR Si contrôle local : RTCT Sinon AAP Chimio post-op LV5FU2 FOLFIRI ou FOLFOX Option : LV5FU2 Option : Essai Poursuite CT LV5FU2 Option : FOLFIRI Option : FOLFOX Option : XELODA Option : Essa i Poursuite CT Option : FOLFIRI Option : FOLFOX Option : XELODA Option : Essai Hépatectomie Chimio post-op si réponse Option : Surveillance Option : Essai
7 II-Présentation des Options et Niveaux Thérapeutiques R2c Digestif II.1-Bilan diagnostique et pré-thérapeutique Une étape décisive pour le choix du traitement initial II.1.1. Bilan d extension loco-régional Standard Options Recommandation Examen clinique avec toucher rectal Coloscopie complète avec biopsies Echographie endorectale TDM du pelvis si gros cancer étendu IRM du pelvis si grosse tumeur bas située Réalisation pluridisciplinaire II.1.2. Bilan d extension à distance Standard Options Radio thorax Echographie abdominale Scanner abdominal si malade obèse ou se prêtant mal à l échographie ACE II.1.3. Classification basée sur l'échographie endorectale Tumeur Précision diagnostique de 80 à 85 % US T1 US T2 US T3 US T4 Tumeur localisée à la muqueuse et à la sous-muqueuse Tumeur envahissant la musculeuse Tumeur dépassant la séreuse ou atteignant la graisse péri-tumorale Tumeur envahissant un organe de voisinage Adénopathies régionales Précision diagnostique de 50 à 75 % US N0 US N1 Pas d'adénopathie Adénopathies visibles
8 II.2-Traitement endoscopique des polypes dégénérés La mucosectomie endoscopique ou la résection transanale (pour les lésions rectales basses) sont un traitement peu invasif de ce type de lésions. Néanmoins, les biopsies endoscopiques de telles lésions peuvent souvent méconnaître un foyer de transformation maligne et surtout n apprécient pas le degré d infiltration de ce foyer. En effet en cas de polype sessile transformé, le franchissement de la muscularis mucosae avec infiltration de la sous-muqueuse implique la réalisation d une colectomie seconde du fait du risque ganglionnaire non négligeable (10-15% de N+). Polype villeux sessile du rectum Le traitement local peut être réaliser si la lésion mesure moins de 3 cm et si l histologie est en faveur d un adénocarcinome bien différencié. L échographie endo-rectale (EER) a une place importante, en effet elle précisera avec une fiabilité d environ 90% si la tumeur est localisée à la muqueuse ou à la sous-muqueuse ou bien si elle atteint déjà la musculeuse. Un geste local (résection trans-anale ou mucosectomie endoscopique) ne sera réalisé qu en cas de tumeur classée UST1. Par ailleurs, l attitude thérapeutique sera guidée par l étude de la pièce de résection et notamment par le franchissement ou non de la muscularis mucosae et l infiltration de la sous muqueuse. II.3-Traitement chirurgical Niveau 1 et 2 II.3.1. Synthèse du protocole chirurgical Cancer du 1/3 supérieur Résection antérieure avec anastomose colo-rectale Cancers sous péritonéaux Cancer du 1/3 moyen Cancer du 1/3 inférieur Résection antérieure avec ablation du mésorectum et anastomose colo-rectale Résection antérieure avec ablation du mésorectum et anastomose colo-rectale ou colo-anale Autres cas Amputation abdomino-pelvienne Si tumeur du bas ou du moyen rectum : exérèse de la totalité du mésorectum. La conservation des nerfs érecteurs est une priorité pour la qualité de vie des patients. En cas d'anastomose basse colo-rectale ou colo-anale : confection d'un réservoir colique.
9 II.3.2. Protocole chirurgical CANCER DU RECTUM NON COMPLIQUE Les techniques recommandées en fonction de la localisation. Le geste pourra être réalisé soit par chirurgie conventionnelle soit par coelio chirurgie (voir protocole chirurgical cancer du côlon). Cancer du 1/3 supérieur L'intervention de référence est la résection antérieure avec anastomose colo-rectale. Cancers sous péritonéaux - Cancer du 1/3 moyen Il est préconisé une résection antérieure avec ablation du mésorectum et anastomose colo-rectale. - Cancer du 1/3 inférieur Il est aussi préconisé une résection antérieure avec ablation du mésorectum et anastomose colo-anale, avec ou sans réservoir, chaque fois qu'une marge de sécurité suffisante ( 2 cm) entre le pôle inférieur de la tumeur et la recoupe peut être obtenue. Dans tous les autres cas il faut pratiquer une amputation abdomino-périnéale. Cas particuliers des petits cancers Les traitements locaux (exérèse par voie transanale, mucosectomie endoscopique) n'occupent qu'une place marginale car négligeant totalement le problème ganglionnaire. Ils ne peuvent s'adresser qu'à des tumeurs de petite taille (< 3 cm de diamètre), bien différenciées classées US T1 N0 après examen clinique et échographie endorectale, situées en sous péritonéal sur les faces latérales ou postérieures du rectum. L'analyse de la pièce doit confirmer que les marges sont saines, la tumeur bien différenciée sur toute la pièce, l'absence de contingent colloïde, d'emboles vasculaires et lymphatiques ou d'engainement périnerveux. Dans le cas contraire, une chirurgie rectale traditionnelle devra être réalisée. Les autres recommandations En cas d'amputation abdomino-périnéale, un comblement de la plaie périnéale par une épiplooplastie avec fermeture du périnée de première intention paraît souhaitable. En cas de tumeur du bas rectum ou du moyen rectum accessible au toucher rectal, l'exérèse de la totalité du mésorectum diminue les risques de récidives loco-régionales. Actuellement, rien ne permet de recommander un curage ganglionnaire pelvien pour diminuer le risque de rechute tumorale.
10 La conservation des nerfs érecteurs est une priorité pour conserver la qualité de vie des patients à résultat carcinologique identique. En cas d'anastomose basse colo-rectale ou colo-anale, la confection d'un réservoir colique pour suppléer à l'absence de réservoir rectal améliore les résultats fonctionnels. Le comblement du pelvis au décours de l'exérèse chirurgicale doit être effectué chaque fois que possible, pour éviter l'interposition de l'intestin grêle, afin de diminuer le risque de complications radiques majeures si le patient devait bénéficier d'une radiothérapie postopératoire. CANCER DU RECTUM COMPLIQUE Occlusion Fistule recto-vaginale Perforation Hémorragie Face à une complication locorégionale, l'attitude standard est de proposer : - une dérivation, - puis la conduite thérapeutique habituelle.
11 II.3.3. Anatomopathologie de la pièce d exérèse Classification ptnm de l'ajcc Etude des marges latérales Mesure de la marge circonférencielle Evaluation du résidu tumoral (R0 ou R1)
12 II.4-L'association des traitements : Les stades US T3,4 N0 ou US N1 Une graduation dans l association des traitements II.4.1. Radiothérapie pré-opératoire Cancer du rectum non compliqué - Niveau 3 La récente étude randomisée (Kapiteijn et al) publiée dans le New England Journal of Medicine (Vol 345 N ) a comparé l exérèse totale du mésorectum versus radiothérapie + exérèse totale du mésorectum. Ce travail a confirmé l impact de la radiothérapie sur la diminution du taux de récidive locale. En effet à 2 ans, le taux de récidive locale était de 8,2 % dans le bras chirurgie seule versus 2,4 % dans le bras radiothérapie + chirurgie (p < 0,001) Les indications et contre-indications Le standard Tumeurs localement avancées du rectum sous péritonéal ( 10 cm de la marge anale) US T3 T4 N0 Tous T, US N1 Les antécédents d'irradiation pelvienne sont une contre-indication absolue. Les options Les tumeurs moins avancées, à savoir les US T2 volumineux (> 3 cm), ou s'il y a doute sur la classification US T2 T3. Les contre-indications relatives sont les troubles psychiatriques, le grand âge ou les antécédents de laparotomie. Les techniques d'irradiation Les critères d'une radiothérapie de qualité Accélérateurs linéaires de hautes énergie > 6 MV Décubitus ventral en réplétion vésicale Technique des faisceaux multiples (3 ou 4 faisceaux) Caches focalisés personnalisés Irradiation de tous les champs tous les jours, 5 jours /semaine Contrôle hebdomadaire de l'irradiation Dosimétrie informatisée Opacification du rectum et repérage de la marge anale Préparation du patient Le patient est allongé en décubitus ventral, les mains croisées sous le menton ou en décubitus dorsal si le volume abdominal est trop important rendant la position instable. Un coussin est installé sous la tête, les pointes des pieds sont tournées vers l intérieur. Il est réalisé une opacification du rectum avec 30 cc de baryte puis un double contraste avec 30 cc d air injecté.
13 La vessie doit être pleine de préférence pour diminuer le volume d intestin grêle irradié. La marge anale est repérée par une bille. Chez la femme pour les tumeurs à développement antérieur, un repérage du vagin est effectué à l aide de la sonde vaginale. Volume cible Il comprend la tumeur avec une marge de sécurité de 5 cm vers le haut et le bas et, de 30 mm par ailleurs, ainsi que les aires de drainage ganglionnaire +/- les adénopathies repérées à l écho endoscopie (les adénopathies régionales sont les adénopathies pré-sacrées, celles de la gaine rectale et les iliaques internes). Description des faisceaux Photons de très haute énergie avec possibilité de photons de 6 MV pour le faisceau postérieur. La technique habituelle en DSA utilise 3 faisceaux : un faisceau postérieur et 2 faisceaux latéraux. Limites des champs : - faisceau postérieur : limites latérales au niveau du cadre osseux du bassin, limite inférieure et supérieure à 5 cm au delà de la tumeur (marges de 30 mm latéralement par rapport à la tumeur). La limite supérieure doit inclure les chaînes hypogastriques (L5-S1). - faisceaux latéraux : mêmes limites supérieures et inférieures que le champ postérieur, limite antérieure 3 cm au delà de la tumeur, limite postérieure en arrière de la convexité sacrée, à mi-sacrum ou en arrière du sacrum en cas de tumeur fixée. Dans le cas d une tumeur très antérieure, un 4 ème faisceau antérieur peut être rajouté pour optimiser la répartition de la dose. Pour les tumeurs dont le pôle inférieur est situé à moins de 5 cm de la marge anale, il est nécessaire d inclure en totalité la marge anale. En cas d atteinte de la marge anale ou de tumeur T4, il faut discuter d une irradiation des aires inguinales. Des caches personnalisés (ou MLC) sont confectionnés afin de protéger l intestin grêle, les parties molles en arrière de l arrière de la convexité sacrée ainsi que les têtes fémorales. Dose La prescription de dose se fait selon les recommandations I.C.R.U.(rapport n 50). Tous les champs sont traités tous les jours. La dose quotidienne est de 1,8 Gy dans le cas d une irradiation type E.O.R.T.C. : 45 Gy en 25 fractions sur 5 semaines. Il est préférable de réaliser le geste chirurgical après un délai de 4 semaines (2 à 6 semaines) En urgence uniquement, une dose de 25 Gy/5 F/1 semaine sera proposée. Dosimétrie Le scanner est réalisé en position de traitement. Trois coupes au minimum sont effectuées permettant d étudier la répartition de la dose dans le volume cible (une coupe par l axe et deux coupes passant à 2 cm à l intérieur des limites des faisceaux). La pondération des faisceaux est choisie lors de l étude dosimétrique mais on peut proposer d emblée une répartition de la dose de type 50% par le champ postérieur, 25% par les champs latéraux. L usage de filtres en coin sur les faisceaux latéraux est nécessaire pour homogénéiser la dose.
14 Irradiation conformationnelle Une première simulation permet de définir un point de référence pour le scanner dosimétrique et la dosimétrie. Ce point de référence doit être choisi de façon à s assurer de son bon repositionnement au scanner. Le marquage des lasers latéraux (sur les flancs du patient) permet en outre de s assurer de l absence de bascule lors de la réalisation des coupes scanner. Des coupes de 10 mm jointives sont réalisées, débutant 5 cm au dessus de la partie supérieure de la tumeur (tumeur à proprement parler ou adénopathie pathologique) et finissant 5 cm au dessous de la tumeur. Il est indispensable de s assurer du bon repositionnement du patient au scanner. Un repère plombé est disposé au point de référence défini lors de la simulation initiale. Un contourage du volume cible est réalisé en incluant les marges de sécurité. Ceci permet de définir le PTV. Les faisceaux d irradiation sont déterminés à partir du PTV de façon conformationnelle afin de traiter celui-ci dans l isodose 95% et avec une dose maximale inférieure à 110%. Cas particulier Pour les tumeurs US T3 du haut rectum sus-péritonéal, une résection chirurgicale avec exérèse complète du mésorectum sans radiothérapie première pourra être réalisée. Dans les autres cas, une radiothérapie pré-opératoire est indispensable. L association radiothérapie et chimiothérapie pré-opératoire- Niveau 4 Elle est actuellement évaluée dans le cadre d un essai thérapeutique pour les tumeurs US T3-T4 du bas rectum accessible au doigt. Elle est recommandée, hors essai, dans les tumeurs du bas rectum fixées, jugées non résécables : 45GY / 25F / 5 semaines et Léderfoline 20 mg/m²/j 5FU 350 mg/m²/j en 15 de J1 à J5 Semaine 1 et 5 ou 5 FU Continu 225 mg/m²/j Semaine 1 et 5 ou LV5FU2 Elvorin 350mg H0H2 J1 5FU Continu 2 mg/m² H2-H48 Semaine 1, 3 et 5 Réévaluation de la résécabilité de 2 à 3 semaines après, aboutissant soit à l intervention, soit à un surdosage jusqu à environ 60 Gy.
15 II.4.2. Radiothérapie post-opératoire Elle se pratique : - En l absence de radiothérapie pré-opératoire pour une lésion classée pt3, T4 ou pn1ou N2 (lésion sous stadée en pré-opératoire). Après amputation abdomino-périnéale, la cicatrice périnéale est incluse dans le volume cible et est matérialisée lors de la simulation par un fil de plomb. Après résection antérieure du rectum, le volume cible inclut la concavité sacrée ainsi que la zone anastomotique visible par la chaînette qui la constitue. Une marge de sécurité est alors prise de l ordre de 5 cm. Dans la mesure du possible, on exclut le canal anal des champs d irradiation. La dose est de 50,4 Gy en 28 fractions et 5,5 semaines sauf en cas de chimiothérapie concomitante où elle est alors de 45 Gy /25 fractions (protocole O CONNELL). - En cas de résection incomplète ou non passée en tissu sain soit R1 (marges inférieures ou latérales). Le complément de radiothérapie post-opératoire sera fonction de la dose délivrée en pré-opératoire.
16 Standard II.4.3. Chimiothérapie En association à une radiothérapie post-opératoire (chez les patients non irradiés en pré-opératoire et présentant une tumeur localement avancée pt3, T4 ou pn1, N2). 5FU continu 225mg/m²/jour pendant toute la durée de l irradiation. La radio-chimiothérapie concomitante est précédée et suivie de 2 cures de type FUFOL. Option Chimiothérapie systémique recommandée dans les stades N+ LV5FU2 12 cures
17 II.4.4. Résultats attendus : littérature TME = exérèse complète du mésorectum RT = Radiothérapie -REF SWEDISH RECTAL 2000 TME RT + TME UPSALLA 9,3% 2,6% STOCKOLM 10,7% (18/168) 1,4% (3/213) - Essai KAPITEIJN comparant RT+ TME versus TME seule 1861 Patients inclus 1805 Patients éligibles TME RT + TME RLR 8,2% 2,4% p < 0,001 Pourcentage de RLR à 2 ans selon le stade STADES TME RT + TME I 0,7% 0,5% NS II 5,7% 1,0% S III 15,0% 4,3% S IV 23,8% 10,1% NS Pourcentage de RLR à 2 ans selon la distance à la marge anale DISTANCE TME RT + TME MARGE ANALE 5cm 10,0% 5,8% S 5,1 à 10cm 10,1% 1,0% S 10,1 à 15 cm 3,8% 1,3% NS
18 II.4.5. Résultats : base Institut Paoli-Calmettes (*Le suivi de l ensemble des patients inclus dans le réseau depuis 1997 n ayant pas encore été effectué, les courbes présentées dans ce référentiel sont réalisées à partir des patients de l IPC entrant dans le cadre du réseau) Courbe de survie globale Niveaux 1 et décès non liés au cancer Temps en mois 52 patients correspondant aux critères de niveaux 1 et 2 (US T1 N0 ou T2 N0) ayant bénéficié d une résection chirurgicale avec TME, d une RTA ou d une mucosectomie entre 1997 et Suivi médian 14 mois [1,89] Age médian 67 ans [48,87]
19 Courbe de survie globale Niveau Temps en mois 214 patients correspondant aux critères de niveau 3 (US T2 N1, US T3 ou T4 N0 N1 non fixée) ayant bénéficié d une radiothérapie pré-opératoire suivie d une chirurgie ou d une chirurgie seule avec TME (pour les tumeurs sus-péritonéales), entre 1997 et Suivi médian 31 mois [4,90] Age médian 65 ans [32,90] Courbe de survie globale Niveau Temps en mois 17 patients correspondant aux critères de niveau 4 (US T4 N0 N1 fixée) ayant bénéficié d une radio-chimiothérapie concomitante avant chirurgie, entre 1997 et Suivi médian 8 patients vivants en fin de suivi ; 5 à 66 mois de suivi Age médian 67 ans [38,87]
20 II.5-Les formes particulières du cancer du rectum : II.5.1. Patients inopérables pour raisons générales R2c Digestif Désobstruction rectale ou Colostomie traitement endoscopique et/ou radiothérapie II.5.2. Métastases synchrones résécables Niveau 5A Métastases hépatiques ou pulmonaires Chirurgie d exérèse du rectum et des métastases en 1 temps si résection hépatique mineure en 2 temps si résection hépatique majeure ou si la métastase synchrone est pulmonaire. Radiofréquence hépatique Techniques de radio-fréquence - monopolaire avec aiguilles refroidies ou parapluie - bipolaire avec possibilité d insertion multiple d aiguilles Indications Lésion de moins de 3 cm de diamètre située à distance de gros vaisseaux et de la bifurcation biliaire Contre indication formelle Antécédent d anastomose biliodigestive ou de sphinctérotomie biliaire Intérêt de la radio-fréquence per-opératoire Permettant d augmenter significativement le taux de patients réséqués R0 pour des métastases hépatiques bilobaires. Taux de complication faible, inférieur à 10%. Radiothérapie pré-opératoire selon le stade local Chimiothérapie en option Entre la chirurgie rectale et la résection métastatique si celle-ci est jugée difficile Options FOLFIRI FOLFOX LV5FU2 Essai thérapeutique Réévaluation après 3 mois Post-opératoire Options LV5FU2 Essai thérapeutique En cas de chimiothérapie pré-opératoire Si réponse, même chimiothérapie Sinon, surveillance
21 II.5.3. Métastases synchrones non résécables Niveau 5B Radiochimiothérapie première (LV5FU2) Suivant la localisation tumorale Résection antérieure du rectum puis poursuite de la chimiothérapie seule En cas de tumeur bas située si contrôle local, radio-chimiothérapie exclusive sinon, amputation abdomino-périnéale puis poursuite de la chimiothérapie seule Chimiothérapie systémique Options Poursuite LV5FU2 FOLFIRI FOLFOX XELODA Essai Thérapeutique II.5.4. Résultats : base Institut Paoli-Calmettes Courbe de survie globale Niveau Temps en mois 83 patients correspondant aux critères de niveau 5 (métastatiques) ayant été traités entre 1997 et Suivi médian 25 mois [6,68] Age médian 64 ans [30,81]
22 III-Protocoles particuliers III.1-Protocole EMR Cf référentiel «cancer du côlon» III.2-Protocole GERICO 02 Protocole commun avec R2c senior (Cf référentiel «senior») III.3-Protocole EMR EVEREST Titre Etude multicentrique de phase I/II, randomisée, contrôlée, du cétuximab plus irinotécan, comparant la pharmacodynamie, la pharmacogénomique, la pharmacogénétique ainsi que la tolérance et l efficacité d un schéma avec escalade de dose de cétuximab avec celle du schéma d administration standard à dose fixe chez des patients atteints de cancer colorectal métastatique exprimant l EGFR et résistant à l irinotécan
23 IV-Documents de Référence R2c Digestif IV.1-Classification A.J.C.C. des cancers colorectaux Tumeur primitive (T) Tx T0 TIS T1 T2 T3 T4 Evaluation de la tumeur primitive impossible Pas de signe de tumeur sur le prélèvement Carcinome in situ : intra-épithelial ou envahissant la muqueuse Atteinte de la sous-muqueuse sans la dépasser Atteinte de la musculeuse Atteinte de la sous-séreuse Atteinte de la séreuse (revêtement endothélial) ou d un organe de voisinage Adénopathies régionales (N) Nx N0 N1 N2 Evaluation de l'atteinte ganglionnaire impossible Absence de signe d'envahissement ganglionnaire régional 1 à 3 adénopathies envahies 4 adénopathies envahies Métastases à distance (M) Mx M0 M1 Evaluation impossible de l'extension métastatique Absence de métastase à distance Présence de métastase à distance
24 Tumeur résiduelle (R) R0 R1 R2 Berges de résection microscopiquement indemnes de tumeur résiduelle Berges de résection microscopiquement envahies Tumeur résiduelle macroscopique (constatation chirurgicale) Remarque : Nodule tumoral > 3 mm situé dans les tissus périrectaux ou péricoliques ( avec ou sans tissu ganglionnaire résiduel) = ganglion métastatique Nodule tumoral 3 mm : à classer en T comme une extension discontinue Stade AJCC Stade 0 Tis N0 M0 Stade I T1 N0 M0 T2 N0 M0 Stade II T3 N0 M0 T4 N0 M0 Stade III tous T N1 M0 tous T N2 M0 Stade IV tous T tous N M1
25 IV.2-Fiche d'anatomie pathologique R2c Digestif Fiche Cancer Colorectal Données administratives NOM PRENOM N Enregistrement N Congélation Laboratoire - Type d intervention : Colectomie droite transverse gauche sigmoïdectomie rectum résection antérieure rectum amputation abdomino-périnéale colectomie totale non précisé MACROSCOPIE sur pièce fraîche sur pièce fixée épinglée sur pièce fixée non épinglée - Localisation tumorale caecum - colon droit - colon transverse colon gauche, sigmoide - rectum - multifocal non précisé - Longueur de la pièce de résection en cm - Taille tumorale Hauteur en cm : Largeur en cm : Epaisseur en cm : % envahissement / circonférence 1/4-1/2-3/4-4/4 - Marges longitudinales proximales cm, distales cm ou entre le pôle de la tumeur et la limite de résection la plus proche cm - Pour les cancers du colon droit : distance /valvule de Bauhin cm - Pour les cancers du rectum : distance /ligne pectinée cm - Aspect : bourgeonnant ulcérant infiltrant plan - Perforation absente présente - Polype (s) absent présent - Métastase(s) absente présente - Autre HISTOLOGIE - Adénocarcinome bien différencié moyennement différencié peu différencié - Composante colloïde muqueuse : % - Envahissement en profondeur : Tis
26 T1 T2 T3 T4 R2c Digestif - Résection chirurgicale : Limites longitudinales : non envahies envahies NP Marge circonférencielle mm: - Extension Nombre de ganglions prélevés : Nombre de ganglions envahis : Emboles vasculaires : absents présents Engainements périnerveux : absents présents - Autre CONCLUSION - Stade ptnm Tis T1 T2 T3 T4 Nx N0 N1 N2 Mx M0 M1 Pour les cancers du rectum : Résidu tumoral R0 R1 R2
27 IV.3-Plan de surveillance N0 ou N1 sans facteur de risque : - Absence de révélation par une complication - Pas d envahissement d organe de voisinage - T. différenciée, composante colloïde muqueuse < 50% N1 ou N2 avec facteurs de risque (nombre 1) - Mode de révélation par une complication - T. indifférenciée ou composante colloïde muqueuse 50% - Envahissement d un organe de voisinage Cas particulier : Résection transanale ou mucosectomie pour une T. rectale p T1N0 (infiltrant la sousmuqueuse) Examen clinique Echographie abdominale Thorax, ACE Coloscopie Examen clinique Echographie abdominale/ TDM Echographie, thorax ACE Coloscopie Echographie endorectale tous les 6 mois pendant 5 ans puis 1 fois par an tous les 6 mois pendant 5 ans puis 1 fois par an 1 fois par an à 1 an (dans les 4 à 6 mois post-opératoire si coloscopie de mauvaise qualité ou incomplète avant la chirurgie) puis tous les 3 à 5 ans en fonction de l existence d adénomes ou tous les 2 ans en cas de risque familial (HPNCC) tous les 4 mois pendant 3 ans tous les 6 mois les 2 années suivantes puis 1 fois par an En alternance tous les 4 mois pendant les 3 premières années Tous les 6 mois les 2 années suivantes puis 1 fois par an tous les 6 mois pendant 5 ans puis 1 fois par an à 1 an (dans les 4 à 6 mois post-opératoire si coloscopie de mauvaise qualité ou incomplète avant la chirurgie) puis tous les 3 à 5 ans en fonction de l existence d adénomes ou tous les 2 ans en cas de risque familial (HPNCC) Tous les 6 mois pendant deux ans
28 V.1-Fiche de RCP Consultations RCP Réf. []/[] V-Dossier Médical Commun REUNION DE CONCERTATION PLURIDISCIPLINAIRE du NOM DE NAISSANCE : NOM D'EPOUSE : PRENOM : NE(E) LE : SEXE : N DOSSIER IPC : Médecin présentant le dossier : [] Médecin généraliste : [] Personnes présentes et fonctions : Type RCP : IPC / Réseau R2C Diagnostic : - pathologie [] ANAPATH : [] - Primaire, Rechute Stade (TNM, Ann Arbor) : [] PROPOSITION DE STRATEGIE [] Traitement (ordre) []Chirurgie []Chimiothérapie []Radiothérapie []Hormonothérapie []Surveillance []Autres (soins palliatifs - soins de supports) Thésaurus (T : en accord avec le thésaurus, E: dans le cadre d'un essai clinique, A : Autre à préciser) [] Dossier RCP : valide / à rediscuter
29 V.2-Fiche de surveillance Fiche de surveillance cancers colo-rectaux Marseille, le Avez-vous eu des nouvelles depuis le? Oui Non Si oui, date : Etat du patient : Cancer colorectal en : Rémission complète Poursuite évolutive Rechute loco-régionale Date Rechute métastatique Siège des métastases (en clair) : Date : Si autre cancer : Siège et date Si patient décédé : Date : Cause du décès (en clair) : Si vous ne l avez pas revu(e) en consultation, merci de nous communiquer les coordonnées de son médecin traitant :
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailM2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailTumeurs rectales Bilan initial et Imagerie
Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Ou en est on plus de 10 ans après? Valérie LAURENT(1) François JAUSSET (1) Laurence CHONE(2) Laurent BRESLER(3) Adeline GERMAIN (3) Thibaut FOUQUET(3) Didier
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer colorectal
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer colorectal Février 2008 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailAPPORT DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION LOCOREGIONALE DES TUMEURS RECTALE
ROYAUME DU MAROC UNIVERSITE SIDI MOHAMMED BENABDELLAH FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE FES UNIVERSITESIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH FES APPORT DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION LOCOREGIONALE DES TUMEURS
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailÉtude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon
Delais-Cancer Sein Poumon:32 pages 6/06/12 12:39 Page 1 Mesure 19 SOINS ET VIE DES MALADES Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon DANS PLUSIEURS RÉGIONS DE FRANCE EN 2011
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailMise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme
Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille
Plus en détailInnovation. Research. Care. Excellence
n e w s l e t t e r 6 - j u i n 2 0 0 8 Innovation Research Care Excellence Dans ce numéro Spécial Cancer colorectal le groupe fête ses 10 ans La chirurgie pour cancer colorectal en 2008 Progrès dans le
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailUTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS
UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailTRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne
TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailRéférentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013
Référentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013 Sommaire Contexte 5 Objectifs... 5 Champ d application... 5 Utilisateurs cibles... 5 Information du patient... 5 Avertissement...
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi?
LA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi? P. Martinive (1), D. Vandaele (2), E. Lennerts (3), M. Polus (2), C. Coimbra (4), L. Kohnen (4), J. Vanderick (1), J. Collignon (5),
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailTraumatismes pelviens
Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailnfocancer Le cancer de l'ovaire www.infocancer.org Une initiative bénévole universitaire
Le cancer de l'ovaire Informations médicales clés Options thérapeutiques et leur suivi Recherche clinique Infos pratiques et carnet d'adresses Démarches à suivre, les administrations Une initiative bénévole
Plus en détail