FR IMPACT DOSIMETRIQUE DES TACHES DE CONTAMINATION 2.1. Introduction

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1 EVALUATIONS DOSIMETRIQUES RELATIVES AUX CONTAMINATIONS DES TRANSPORTS DE COMBUSTIBLES IRRADIES. M. Juanola*, A. Despres*, B. Laurent** Institut de Protection et de Sûreté Nucléaire. Département de Protection de la santé de l'homme et de Dosimêtrie, Service d'evaluation et de Gestion des Risques "Département de Sécurité des Matières Radioactives. Service de Sécurité des Transports Radioactifs BP n 6, Fontenay-aux-Roses Cedex FR CONTEXTE Au mois de mai 1998, les média ont révélé que des mesures effectuées depuis une dizaine d'années au terminal ferroviaire de Valognes montraient qu'une proportion notable des colis et wagons de combustibles irradiés était contaminée à des valeurs dépassant nettement la limite réglementaire de contamination surfacique de 4 Bq/cm 2 pour les émetteurs p,y. Dans ce contexte, l'ipsn a été amené à procéder à différentes évaluations de l'exposition des personnels concernés par les transports de combustibles irradiés, sur la base de scénarios plus ou moins réalistes. L'ensemble de ces évaluations fait l'objet des documents [1] et [2], principales références de cette communication, qui présente uniquement les résultats obtenus pour les travailleurs de l'industrie nucléaire soumis à une exposition externe. 2. IMPACT DOSIMETRIQUE DES TACHES DE CONTAMINATION 2.1. Introduction Sur la base des contrôles effectués à Valognes en 1997 et 1998, les niveaux de contamination suivants ont été retenus pour les évaluations : 3000 Bq/cm 2 au maximum pour un point de contamination mesuré sur le colis ou à l'intérieur du canopy du wagon (lèchefrite) 1, 1200 Bq/cm 2 au maximum pour la moyenne des points de contamination (c'est-à-dire dépassant le seuil de 4 Bq/cm 2 ) relevés sur la surface totale d'un colis ou à l'intérieur du canopy du wagon (lèchefrite) 2, Un quart environ des colis et des moyens de transport associés ont présenté au moins un point de contamination à leur arrivée à Valognes. 1 Transport BUG 5-97/01. 2 Transports BUG 5-97/01 et PAL 1-97/03.

2 En fait, généralement, il a été relevé un ou deux points de contaminations (exceptionnellement, proche de la dizaine de points), pour un contrôle par frottis sur l'ensemble de la surface apparente d'un colis (soit environ 300 points de contrôle) ou du wagon. Les calculs de débit de dose ont été réalisés pour une source de 300 cm 2 (équivalente à la surface d'un frottis) de 60 Co. à l'aide du logiciel MicroShield Impact dosimetrique sur les agents du site de Valognes chargés des contrôles et de la décontamination Les opérations de contrôle de la contamination d'un colis et d'un wagon (réalisation de frottis, decontamination, mesure de l'activité des frottis) peuvent être décomposées de la façon suivante : contrôle et décontamination du colis (placé sur le wagon) : 30 mn (15 mn à 10 cm du colis, 15 mn à 1 m), contrôle et décontamination du wagon (en l'absence du colis) : 30 mn (15 mn à 10 cm du wagon, 15 mn à 1 m). Les doses reçues par rapport à l'exposition aux taches de contamination et les principales étapes du calcul sont indiquées dans le tableau 1. Tableau 1. doses reçues pour le contrôle et la décontamination d'un convoi contaminé. Situations Activité surfacique Débit de dose au contact (10 cm) de la tache Débit de dose à 1 m de la tache Dose reçue par un agent pour un convoi contaminé Situation enveloppe 3000 Bq/cm 2 20 nsv/h 0,27 asv/h 0,01 msv Situation plus réaliste 1200 Bq/cm 2 8 isv/h 0.1 usv/h msv Irradiation du colis A titre de comparaison, une moyenne de mesures de débits de dose auxquels sont exposés les agents, du fait de l'irradiation des colis, a été estimée à 0,15 msv/h au contact du colis et 0.02 msv/h à 1 m. Lors du contrôle du colis, la dose correspondante à cette irradiation est donc de l'ordre de 0,04 msv par emballage, valeur 4 à 10 fois plus élevée que celle due à l'impact de la tache de contamination (cf. Tableau 1).

3 Pour environ 200 colis traités par an, la dose annuelle d'un agent "contrôleurdécontamineur" serait de l'ordre de 8 msv. Les relevés dosimétriques des travailleurs les plus exposés à Valognes confirment l'ordre de grandeur de cette exposition (aux alentours de 4 msv en 1997). 3. INCIDENCES DE LA MISE EN CONFORMITE REGLEMENTAIRE SUR LA DOSIMETRIE 3.1. Introduction Les nouvelles dispositions prises pour prévenir les problèmes de contamination surfacique consistent essentiellement à apporter plus de rigueur dans la maintenance et le nettoyage des matériels et à augmenter le nombre de points de contrôle, avant le départ des convois des Centres Nucléaires de Production d'electricité (CNPE) d'edf, L'ensemble des hypothèses considérées sont explicitées dans le document [2]. Globalement, les données recueillies montrent que le nombre de frottis a considérablement augmenté (facteur 7 environ), essentiellement sur les phases correspondant au contrôle final du convoi avant le départ. Evidemment, cette hausse du nombre de contrôles entraîne un allongement de la durée d'exposition du personnel. Dans cette évaluation préliminaire, cette augmentation est supposée proportionnelle à celle du nombre de frottis. Ces hypothèses, certainement majorantes, devront être affinées ultérieurement. Les personnels susceptibles d'être exposés lors du cycle de transport sont principalement les agents affectés au contrôle et à la décontamination des emballages et des véhicules de transport (2 agents sur les sites d'edf et 2 à Valognes (cf. chap. 2.2)). De plus, les nouvelles dispositions, avec la mise en place d'une contre-expertise externe, conduisent à l'exposition d'une nouvelle catégorie de personnels, ceux de SGS Qualitest (2 agents sur les sites EDF et 2 autres à Valognes). Les débits de dose utilisés dans les calculs sont ceux indiqués au chapitre 2.2 (situation enveloppe pour les taches de contamination). 3 2 Calculs d'impact dosimétrique Les calculs d'impact dosimétrique sont réalisés pour les scénarios suivants : Scénario 1 décontamination du convoi au départ du CNPE, avec dépassement des limites réglementaires à Valognes entraînant une décontamination totale (situation antérieure), Scenario 2 décontamination du convoi renforcée au départ du CNPE avec un contrôle négatif à Valognes et aucune décontamination (mise en conformité réglementaire). Dans ce cas. les travailleurs contamination 3. de Valognes ne sont plus exposés à l'irradiation des taches de les réapparitions de contamination à Valognes ne sont pas à exclure définitivement.

4 Les doses collectives sont évaluées pour le transport d'un colis. Elles sont présentées dans le tableau 2. Tableau 2 Doses collectives pour le transport d'un colis. Dose collective Total (H.mSv) CNPE EDF SGS Qualitest Valognes Scénario 1 0,09 0 0,10 0,19 Scénario 2 1,15 0,68 0,08 1,91 Le tableau 2 met en évidence une augmentation de la dose collective, avec la mise en place des nouvelles dispositions. Le gain théorique maximal réalisé sur la dose collective des agents de la gare de Valognes est trop faible pour compenser la hausse de celle du personnel EDF et SGS Qualitest Pour 200 transports par an, le coût dosimétrique global serait de l'ordre de 400 H.mSv. ce qui représente par exemple environ 0.5 % de la dose collective (EDF + prestataires) pour l'exploitation du parc nucléaire d'edf, II conviendrait que ces estimations dosimétriques sommaires soient validées par un retour dexpénence, en particulier sur les sites EDF, à l'aide des résultats de dosimétrie opérationnelle liés aux évacuations de combustibles irradiés. 3. CONCLUSION Les évaluations dosimétriques réalisées ont mis en évidence que l'irradiation due au combustible irradié est prépondérante pour l'exposition des personnels, devant l'impact éventuel des taches de contamination surfacique. Selon les premières estimations, bien que les dispositions prises augmentent la dose collective des personnels, le coût dosimétrique de cette mise en conformité réglementaire demeure faible par rapport à d'autres opérations du cycle électronucléaire. Par ailleurs, la réglementation des tranports des matières radioactives a pour effet de protéger les personnels non suivis (agents SNCF en l'occurence) ainsi que le public. En conséquence. une logique de respect de la réglementation doit prévaloir dans cette affaire. Il conviendrait cependant d'affiner ces évaluations dosimétriques et de les valider en suivant l'évolution de la dosimétrie des personnels du cycle du transport grâce à la constitution du retour d'expérience dosimétrique correspondant, notamment pour les travailleurs des sites d'edf.

5 REFERENCES [1] Description des contaminations des convois de combustibles irradiés et impact sur les personnels de la SNCF et des terminaux ferroviaires. Rapport IPSN/DSMR/ juillet [2] Incidence sur la dosimétne des nouvelles dispositions relatives aux problèmes de contamination de surface des convois de transport. Note Technique IPSN/DPHD/SEGR/SAER/ Juillet 1998

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