LE DOUBLE MARCHÉ DE FAIT EN CORSE : DISCUSSION À PARTIR DU MARCHÉ FONCIER AGRICOLE. Sauveur GIANNONI* Caroline TAFANI**

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LE DOUBLE MARCHÉ DE FAIT EN CORSE : DISCUSSION À PARTIR DU MARCHÉ FONCIER AGRICOLE. Sauveur GIANNONI* Caroline TAFANI**"

Transcription

1 LE DOUBLE MARCHÉ DE FAIT EN CORSE : DISCUSSION À PARTIR DU MARCHÉ FONCIER AGRICOLE Sauveur GIANNONI* Caroline TAFANI** * Maître de Conférences en économie ** Maître de Conférences en géographie

2 PLAN DE LA PRÉSENTATION 1. Contexte et enjeux de la problématique 2. Données utilisées et démarche méthodologique 3. L observation directe : deux segments de marché foncier différenciés? 4. L analyse économétrique : un double marché de fait 5. Conclusion et discussion 2

3 1. CONTEXTE ET ENJEUX Un contexte de forte pression foncière d origine urbano-touristique Illustration du contexte à partir de l observation de la pression s exerçant sur le foncier agricole (Tafani, 2010) - Une pression liée à la demande urbaine mais aussi à la demande touristique (Tafani, Pieri et Maupertuis; 2012) 3

4 => un effet statistiquement prouvé de l influence de l appartenance à une commune touristique sur l augmentation du prix du foncier 4 agricole (et de la vue mer) (Tafani, Pieri, Maupertuis, Jouve, 2014)

5 1. CONTEXTE ET ENJEUX Un contexte de forte pression foncière d origine urbano-touristique qui pose la question des équilibres territoriaux (socio-spatiaux, environnementaux, patrimoniaux) : Maintien de la vocation «agricole» des terres et de leur mise en valeur ; Renchérissement du coût de la terre ; Problème d accession à la propriété ; Sentiment de dépossession foncière et de mise en danger des patrimoines locaux 5

6 1. CONTEXTE ET ENJEUX Le double marché foncier et immobilier est présenté par différents groupes sociaux et politiques comme L outil à instaurer pour enrayer la pression Double marché : un marché divisé en deux segments qui diffèrent par les droits d accès au bien, ici foncier, (selon le type d acquéreurs) et/ou les caractéristiques des biens 6

7 1. CONTEXTE ET ENJEUX La problématique générale : La mise en œuvre d un double marché foncier, en Corse, serait-elle une mesure opportune pour rétablir un «équilibre» en matière de gestion de l espace? Notre hypothèse : En réalité, le double marché foncier existe déjà! 7

8 2. DONNÉES ET MÉTHODE Travail portant sur l analyse des prix du foncier «agricole» dans les communes littorales Le prix du foncier agricole => Bon indicateur des dynamiques foncières Disponibilité et qualité des données (SAFER CORSE ) Marché foncier agricole Usage résidentiel urbain Usage résidentiel touristique Usage de production agricole Aménités paysagères (usage indirect) 8

9 2. DONNÉES ET MÉTHODE Données utilisées et variables : 1. Caractéristiques des lots échangés sur le marché foncier (renseignées à partir des données SAFER Corse , communes littorales) 2. Caractéristiques des transactions relatives à ces lots (renseignées à partir des données SAFER Corse , communes littorales) 3. Caractéristiques de l environnement géographique de ces lots (renseignées à partir des données INSEE et de requêtes SIG) => 8 variables et près de 6400 individus 9

10 ID_INSEE Identifiant INSEE de la commune dans Variable nominale laquelle a eu lieu la transaction SECTION Code de la section cadastrale dans Variable nominale laquelle a lieu la transaction DATE Date de réception de la DIA Variable polynomiale à 11 modalités : de 1998 à 2008 SURF Surface du lot vendu en m² Variable continue ordonnée en 5 classes : moins de 2500m² ; de 2500 à 5000m², de 5000m² à 1ha, de 1 à 5ha, plus de 5ha NAT Nature cadastrale du lot Variable polynomiale à 7 modalités : pas de nature cadastrale prédominante, prés et terres, viticulture et arboriculture, parcours et maquis, friches et landes improductives, forêt, PRIX_m² Prix de vente du m² en euros constants (année de référence 2008) sols et jardins Variable continue ordonnée en 4 classes : quartiles DESTI Destination du fonds (usage ultérieur) Variable binaire : destination incertaine ou inconnue / destination agricole certaine BATI Présence de bâti sur le lot Variable binaire : vrai / faux PROF Profession de l acheteur Variable polynomiale à 3 modalités : exploitant agricole / autre / inconnue LOCA_ACH Localité de résidence de l acheteur Variable binaire : Corse /autre EXEMP Présence d un cas d exemption à la préemption SAFER Variable binaire : vrai / faux 10

11 3. Caractéristiques de l environnement géographique : Distance au port le plus proche Fonction touristique Distance à l aéroport le plus proche Nombre de lits en rés. secondaires Niveau d équipements de la commune Evolution du nb d agriculteurs Densité de population communale SAU communale Bassin de vie Etc. DIST_MER Distance à la mer du centroïde de la section cadastrale à laquelle appartient le terrain vendu en mètres EN_PROTEC Part de la section cadastrale pour laquelle les espaces naturels sont protégés Variable continue ordonnée en 5 classes : Moins de 500m, m, m, m, au-delà de 5000m Variable continue ordonnée en 4 classes : 0-1.5%, 1.5-9%, 9-25%, plus de 25% 11

12 2. DONNÉES ET MÉTHODE Une démarche en deux temps : i. Analyse empirique observation directe du marché foncier rural à partir des statistiques descriptives : il semblerait qu il existe un double marché. ii. Modélisation économétrique - vérification de l existence d un double marché, toutes choses étant égales par ailleurs. 12

13 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ BIEN DIFFÉRENCIÉS? Nombre de transactions réalisées sur la période % du total 25% du total 13

14 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ BIEN DIFFÉRENCIÉS? Prix médian de la terre agricole Acquéreurs extérieurs 10,1 /m² Acquéreurs locaux 3,7 /m² 14

15 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ BIEN DIFFÉRENCIÉS? Surface médiane des lots échangés Acquéreurs extérieurs Acquéreurs locaux 4800 m² 5720 m² 15

16 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ BIEN DIFFÉRENCIÉS? % de l'effectif de transactions 45,0 40,0 35,0 30,0 25,0 20,0 15,0 10,0 5,0 0,0 Effectifs des transactions selon la nature cadastrale Acquéreurs extérieurs Acquéreurs locaux Nature cadastrale du lot 16

17 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ BIEN DIFFÉRENCIÉS? Effectif en fonction de la présence de bâti * % de l effectif total par type d acquéreurs 88%* 94%* 12%* 6 %* 17

18 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ DIFFÉRENCIÉS? Effectif en fonction de la destination du lot * % de l effectif total par type d acquéreurs 99%* 80%* 20 %* 18

19 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ DIFFÉRENCIÉS? Effectif et prix médian en fonction de la destination du lot 10.2 /m² 5.4 /m² 1.6 /m² 0.5 /m² 19

20 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ BIEN DIFFÉRENCIÉS? Effectifs des transactions offrant une vue mer 18%* 82%* * % de l effectif total par type d acquéreurs 15%* 85%* 20

21 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ BIEN DIFFÉRENCIÉS? Effectifs des transactions à proximité d un espace naturel protégé Absence Présence 59%* * % de l effectif total par type d acquéreurs 45%* 55%* 41%* 21

22 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ DIFFÉRENCIÉS? Peut-on identifier clairement des groupes différents en fonction des caractéristiques des lots et des transactions? 22

23 Résidents extérieurs non agriculteurs Résidents locaux agriculteurs Résidents locaux non agriculteurs 23

24 3. L OBSERVATION DIRECTE DU MARCHÉ FONCIER : DEUX SEGMENTS DE MARCHÉ DIFFÉRENCIÉS? Des prix différents selon le type d acquéreurs (locaux / extérieurs) Des biens aux caractéristiques différentes selon le type d acquéreurs (agriculteurs/autres) qui sous-tendent la différence de prix? A vérifier! 24

25 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT Construction d un modèle de prix hédonistes, on explique le prix d une transaction donnée par les caractéristiques de la parcelle et des acheteurs. Comment une caractéristique donnée influe-telle sur le prix de la parcelle ceteris paribus? 25

26 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT Nous avons choisi une forme fonctionnelle classique. Nous considérons que le prix d une transaction donnée dépend: 1. De la surface 2. De la nature cadastrale du terrain 3. De la présence ou non de bâti sur la parcelle 4. De l année d acquisition 5. De la destination de la parcelle 6. De la proximité d une réserve naturelle 7. De la profession de l acheteur 8. Du lieu de résidence de l acheteur 26

27 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT La différence de prix entre les terrains les plus petits et les terrains les plus grands est colossale (- 91,5% au m²). Cette différence est de près de 70% pour les grandes parcelles et de 30% pour les surfaces moyennes. Plus la parcelle vendue est grande moins son prix au m² est important. (Cf résultats AFCM) 27

28 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT Toutes choses égales par ailleurs, les jardins se vendent 165% plus chers que les prés et terres. Les autres parcelles (viticulture, forêt, etc.) se vendent entre 25 et 62% moins chères que les prés et terres. Par ailleurs, la proximité d une zone classée en réserve naturelle fait augmenter le prix au m² de 40%. 28

29 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT L année d acquisition a un impact très important sur le prix au m². Une même parcelle se négociait en ,5% au dessus de son prix en Une rupture s observe en 2002, les prix commencent à augmenter très rapidement +24% par rapport à 2000 et cette tendance se maintient jusqu à

30 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT L effet bassin de vie est également très intéressant Ceteris paribus, un terrain coûte 93.5% plus cher au m²dans la région Ajacienne que dans le grand Bastia Cette prime s élève à 68,4% dans le Grand Sud et 17,8% en Balagne Au contraire, on observe -11,2% pour la Plaine Orientale et 25,6% pour la région Sevi-Sorru. 30

31 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT Par ailleurs, il existe des effets profession et destination très importants. Un agriculteur paye 67,8% moins cher pour la même parcelle qu un individu exerçant une autre profession. Par ailleurs, les terres dont la destination agricole ne fait aucun doute se payent 66,2% moins chères. Ceci corrobore nos observations précédentes 31

32 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT Enfin, ce qui nous intéresse très directement, existe-t-il un effet de résidence? Oui. Toutes choses égales par ailleurs un résident paye 42,5% de moins au m² qu un nonrésident. Cela semble suggérer l existence d un double marché de fait sur le segment du foncier agricole en Corse. Mais.. 32

33 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT Cet effet, même si nous l attendions, nous semble très élevé. Pourquoi? Meilleure connaissance du marché? Différence de pouvoir d achat? Existence plus fréquente d arrangements informels? Nous ne pouvons pas le dire à ce stade 33

34 4. LA MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE : UN DOUBLE MARCHÉ DE FAIT Ce modèle reproduit des résultats déjà évoqués dans la littérature (Geniaux, Napoléone, 2005, Dachary-Bernard et Lyser, 2011). Nos résultats doivent être affinés car le modèle reste techniquement perfectible mais les indications qu il donne sont, à notre sens très intéressantes. 34

35 5. CONCLUSION ET DISCUSSION Les faits nous montrent donc que le marché foncier agricole est divisible en au moins deux segments différenciés par : D une part, les caractéristiques des biens échangés selon le type d acquéreurs ; D autre part, le prix d acquisition des biens selon le type d acquéreurs (hors caractéristiques différentes) Ce marché semble être, si ce n est double, multiple 35

36 5. CONCLUSION ET DISCUSSION Les résultats présentés précédemment nous montrent en effet : qu il existe surtout une opposition très nette entre les exploitants agricoles et les autres [en prix et caractéristiques des biens] ; Que les locaux non agriculteurs présentent des «préférences» pour le foncier agricole assez proches de celles des acquéreurs extérieurs même si l écart entre les prix d acquisition est net ; 36

37 5. CONCLUSION ET DISCUSSION A noter aussi : Que le foncier agricole sert de réserve foncière à l urbanisation pour des locaux qui cherchent, soit à se loger, soit à faire de l attente spéculative Qu en est-il sur d autres marchés fonciers et immobiliers? (bâti, urbains, périurbains?) 37

38 5. CONCLUSION ET DISCUSSION Ce double marché de fait remet-il en cause l opportunité d une discussion sur l instauration d une mesure (statut du résident) restreignant l accès aux biens selon le type d acquéreurs? Compte tenu de nos résultats, la question reste entière (ment) et politique! 38

39 Principales références bibliographiques utilisées : -- Dachary-Bernard et Lyser, «Analyse comparée des mécanismes des prix des différents marchés agricoles et littoraux», CJRS - Coulomb P., coord. (1987), Le tourisme contre l agriculture? Enjeux fonciers en pays méditerranéens, ADEF : 359p. -Géniaux G. et Napoleone C., (2005), Rente foncière et anticipations dans le périurbain, Economie et Prévisions, vol.2005/2 : p Tafani C., Agriculture, Territoire et Développement Durable : Analyse d une agriculture littorale sous pression touristique, Thèse de doctorat, déc Tafani, Maupertuis et Pieri, 2012, «Impact du tourisme sur le prix du foncier agricole», in Mesini Aménagement durable des territoires méditerranéens, PUAM - Tafani, Pieri, Maupertuis et Jouve., 2014, «Appréhender les littoralités du territoire insulaire corse», in Furt et Tafani Tourisme et Insularité, Karthala à paraître. 39

40 MERCI DE VOTRE ATTENTION

Déclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des droits de préemption prévus par le code de l urbanisme

Déclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des droits de préemption prévus par le code de l urbanisme Ministère chargé de l urbanisme Déclaration d intention d aliéner un bien (1) Demande d acquisition d'un bien (1) Déclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des

Plus en détail

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur

Plus en détail

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets

Plus en détail

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD

Plus en détail

LOI N 98-750 DU 23 DECEMBRE 1998 RELATIVE AU DOMAINE FONCIER RURAL Modifiée par la loi n 2004-412 du 14 août 2004

LOI N 98-750 DU 23 DECEMBRE 1998 RELATIVE AU DOMAINE FONCIER RURAL Modifiée par la loi n 2004-412 du 14 août 2004 LOI N 98-750 DU 23 DECEMBRE 1998 RELATIVE AU DOMAINE FONCIER RURAL Modifiée par la loi n 2004-412 du 14 août 2004 CHAPITRE PREMIER - DEFINITION ET COMPOSITION DU DOMAINE FONCIER RURAL Section première

Plus en détail

Le droit de préemption en matière immobilière

Le droit de préemption en matière immobilière Le droit de préemption en matière immobilière C est le truc le plus grave à louper. I Le preneur à bail rural C est surement le texte le plus ancien dans notre droit positif actuel. Cela date de 1945.

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

N abandonnons pas notre héritage commun.

N abandonnons pas notre héritage commun. N abandonnons pas notre héritage commun. Chaque semaine, 200 fermes disparaissent en France. Disparition des surfaces agricoles, spéculation foncière : nous pouvons agir. Grâce à vous, Terre de liens acquiert

Plus en détail

ASSEMBLEE DE CORSE RAPPORT DE MONSIEUR LE PRESIDENT DU CONSEIL EXECUTIF 1 ERE SESSION ORDINAIRE DE 2014 REUNION DES 24 ET 25 AVRIL

ASSEMBLEE DE CORSE RAPPORT DE MONSIEUR LE PRESIDENT DU CONSEIL EXECUTIF 1 ERE SESSION ORDINAIRE DE 2014 REUNION DES 24 ET 25 AVRIL COLLECTIVITE TERRITORIALE DE CORSE RAPPORT N 2014/O1/051 ASSEMBLEE DE CORSE 1 ERE SESSION ORDINAIRE DE 2014 REUNION DES 24 ET 25 AVRIL RAPPORT DE MONSIEUR LE PRESIDENT DU CONSEIL EXECUTIF PROTECTION DU

Plus en détail

8 Certifications Minergie

8 Certifications Minergie 8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...

Plus en détail

Régime de l utilisation de terres en Chine

Régime de l utilisation de terres en Chine Régime de l utilisation de terres en Chine La première Constitution chinoise en 1954 a stipulé qu en Chine le sol en milieu urbain appartient à l État, en milieu rural il appartient aux collectivités locales.

Plus en détail

uniqué Commu continuité entre la urbaine quartier. La de Elle distingue Aménagement La élaborée avec HQE Aménagement opérations Riche 37).

uniqué Commu continuité entre la urbaine quartier. La de Elle distingue Aménagement La élaborée avec HQE Aménagement opérations Riche 37). Commu uniqué de presse e La Riche, 16 octobre 2013 «ZAC du Plessis-Botanique» : une opératio on de couture urbaine pour assurer la continuité du développement entre la Ville de La Riche la Ville de Tours

Plus en détail

Concrete example of land consolidation connected to motorway passage and development annexes

Concrete example of land consolidation connected to motorway passage and development annexes Concrete example of land consolidation connected to motorway passage and development annexes Exemple concret d un remembrement lié au passage d une autoroute et développements annexes Robert BERGES, Géomètre-Expert

Plus en détail

références ilex [paysageurbanisme]

références ilex [paysageurbanisme] références ilex [paysageurbanisme] Prospective territoriale, urbanisme et renouvellement urbain >> MONTBELIARD [25] Restructuration des espaces publics du quartier de la Petite hollande Ce projet

Plus en détail

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Zone d Aménagement Concerté et Lotissement

Zone d Aménagement Concerté et Lotissement ZAC et Lotissement - Version 1 - Juin 2012 Zone d Aménagement Concerté et Lotissement Définition générale : Il existe deux procédures différentes permettant de réaliser une opération d aménagement : la

Plus en détail

le PARCOURS de vente www.notaires.paris-idf.fr

le PARCOURS de vente www.notaires.paris-idf.fr IMMOBILIER le PARCOURS de vente L acte de vente www.notaires.paris-idf.fr Le parcours de vente LʼACTE DE VENTE Toute vente immobilière doit être constatée par acte notarié. Après la signature de l avant-contrat

Plus en détail

SYMPOSIA 11. Thursday, September 12 th. Room : Salle des conférences à 15h00

SYMPOSIA 11. Thursday, September 12 th. Room : Salle des conférences à 15h00 SYMPOSIA 11 «Offre et accès au système de soins» Thursday, September 12 th Room : Salle des conférences à 15h00 ANISSA AFRITE Town : PARIS, France Job Title : CHARGEE DE RECHERCHE - STATISTICIENNE Company

Plus en détail

MESURES D ACCOMPAGNEMENT

MESURES D ACCOMPAGNEMENT LIVRET VI MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT ET SUIVI DE L ANALYSE DE LA SITUATION 127 Sommaire I DES MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT page 126 HABITAT EQUIPEMENTS

Plus en détail

MASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013

MASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013 MASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013 Le Master 2 Paysage et Aménagement est une spécialité du Master Urbanisme et Aménagement. Celui-ci est

Plus en détail

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Plus en détail

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont

Plus en détail

Finance et performance des jeunes viticulteurs : les conséquences pour l installation

Finance et performance des jeunes viticulteurs : les conséquences pour l installation Finance et performance des jeunes viticulteurs : Julien Cadot, ISG Paris 1 Introduction A un moment ou un autre, le candidat à l installation en viticulture doit se poser la question du revenu qu il va

Plus en détail

Master - Mention histoire et territoires - Dynamique et géographie des territoires (DYGITER)

Master - Mention histoire et territoires - Dynamique et géographie des territoires (DYGITER) Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 04/09/2015. Fiche formation Master - Mention histoire et territoires - Spécialité dynamique et géographie des territoires (DYGITER) -

Plus en détail

VENTE DE BIENS DU PATRIMOINE FINANCIER 11.150

VENTE DE BIENS DU PATRIMOINE FINANCIER 11.150 VENTE DE BIENS DU PATRIMOINE FINANCIER 11.150 Rapport de la commission législative au Grand Conseil à l'appui d'un projet de loi portant modification de la loi sur les finances (vente de biens du patrimoine

Plus en détail

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)

Plus en détail

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES SYNTHESE JUILLET 2004 DATAR - AATEC / ARGUYL - 2-29/07/04 OBJECTIF ET CONTEXTE L immobilier d entreprise est un enjeu

Plus en détail

Ingénierie et action foncière. Janvier 2014

Ingénierie et action foncière. Janvier 2014 ANJOU PORTAGE FONCIER Ingénierie et action foncière dans la Politique Départementale de l Habitat Janvier 2014 Les outils d action foncière et td d urbanisme durable du PDH Une phase d étude préalable

Plus en détail

Présentation des projets de plans directeurs sectoriels

Présentation des projets de plans directeurs sectoriels Présentation des projets de plans directeurs sectoriels Le plan sectoriel logement PSL Sommaire Considérations générales Le PSL, ses éléments réglementaires et la mise en conformité des PAG 3 Considérations

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

Brou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1

Brou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1 1. Avant-propos de Monsieur Bréhaux (adjoint au maire en charge de l urbanisme) : L importance du P.L.U. en tant qu outil législatif permettant une maîtrise de l urbanisme de la commune est rappelée aux

Plus en détail

PLAN LOCAL D'URBANISME COMMUNE DE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER

PLAN LOCAL D'URBANISME COMMUNE DE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER PLAN LOCAL D'URBANISME COMMUNE DE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER Orientations d'aménagement et de Programmation Rapport Agence Urbanités- agence DSM 1 Préambule Dans le cadre de la révision générale du PLU

Plus en détail

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.

Plus en détail

ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE. L expertise foncière au service. de vos projets

ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE. L expertise foncière au service. de vos projets ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE L expertise foncière au service de vos projets Mot du Président Alain LEBOEUF Président de l EPF de la Vendée Les données démographiques nous le rappellent chaque

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

Biens vacants et sans maitre, biens en état d abandon manifeste. Comment récupérer du foncier pas cher et lutter contre vacance et friches urbaines.

Biens vacants et sans maitre, biens en état d abandon manifeste. Comment récupérer du foncier pas cher et lutter contre vacance et friches urbaines. Biens vacants et sans maitre, biens en état d abandon manifeste Comment récupérer du foncier pas cher et lutter contre vacance et friches urbaines. Bouche Double - dec 2012 Biens vacants et sans maitre

Plus en détail

Le CILG Partenaire de votre projet PASS-FONCIER. Réunion d Information DDE 33 PASS-FONCIER

Le CILG Partenaire de votre projet PASS-FONCIER. Réunion d Information DDE 33 PASS-FONCIER Le CILG Partenaire de votre projet PASS-FONCIER En BAIL A CONSTRUCTION Instauré en 2007, afin de contribuer au développement de l accession sociale à la propriété, le PASS-FONCIER vient d être revu par

Plus en détail

AQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~

AQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~ SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

Cartographie & libellés cantonaux

Cartographie & libellés cantonaux Lexique Cartographie & libellés cantonaux Capobianco Sagro-di-Santa-Giulia Corte Venaco Calvi Calenzana Niolu-Omessa Deux-Sevi Deux-Sorru Bastelica Ajaccio Île-Rousse Cruzini-Cinarca Celavo-Mezzana Santa-Maria-Siché

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation

Plus en détail

Les fichiers cadastraux MAJIC et leur exploitation

Les fichiers cadastraux MAJIC et leur exploitation Université Blaise Pascal UFR Sciences et Technologies Département Mathématiques Rapport de stage Les fichiers cadastraux MAJIC et leur exploitation Stage effectué du 07 mars 2011 au 5 août 2011 Maître

Plus en détail

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement

Plus en détail

Les SCPI dans l univers des placements

Les SCPI dans l univers des placements Les SCPI dans l univers des placements La performance des SCPI Les SCPI ont pour vocation de restituer au porteur de parts la performance de l immobilier d entreprise. Par rapport à l acquisition directe

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

Accès au crédit et foncier

Accès au crédit et foncier Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Note d information Accès au crédit et foncier RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger 22 mai 2015 / Rédaction : Florence Bron-Saïdatou

Plus en détail

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion

Plus en détail

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011 Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du

Plus en détail

SCPI Fructipierre EN BREF

SCPI Fructipierre EN BREF SCPI Fructipierre Investissez indirectement dans l immobilier d entreprise et diversifiez votre patrimoine EN BREF FRUCTIPIERRE est une SCPI de taille importante détenant des actifs immobiliers représentant

Plus en détail

COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC

COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques

Plus en détail

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait

Plus en détail

Votre résidence fiscale est en France. B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013)

Votre résidence fiscale est en France. B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013) Votre résidence fiscale est en France B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013) En France, l impôt sur la fortune, appelé Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF), est un impôt qui frappe le patrimoine.

Plus en détail

SPF FIN. Patris Spécification de Use Case: 15-UC01 Obtenir de l'information patrimoniale. Version 1.1

SPF FIN. Patris Spécification de Use Case: 15-UC01 Obtenir de l'information patrimoniale. Version 1.1 SPF FIN Patris Spécification de Use Case: 15-UC01 Obtenir de l'information patrimoniale Version 1.1 Spécification de Use Case: 15-UC01 Obtenir de l'information patrimoniale Date: 17/06/2004 Historique

Plus en détail

L EPF NORMANDIE. re Industriel et Commercial. Cet EPF d Etat d

L EPF NORMANDIE. re Industriel et Commercial. Cet EPF d Etat d L EPF NORMANDIE L Etablissement public foncier de Normandie est Etablissement Public à Caractère re Industriel et Commercial. Cet EPF d Etat d a été crée e en 1968. Il exerce ses missions dans le cadre

Plus en détail

R é g l e m e n t. d Intervention. EPFL Pays Basque. Anticipons... Préparons aujourd hui le Pays Basque de demain

R é g l e m e n t. d Intervention. EPFL Pays Basque. Anticipons... Préparons aujourd hui le Pays Basque de demain R é g l e m e n t d Intervention EPFL Pays Basque Anticipons... Préparons aujourd hui le Pays Basque de demain Adopté par le Conseil d Administration en date du 12 Septembre 2014 : Vu le Code de l Urbanisme

Plus en détail

ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1

ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1 ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1 La publication du CECEI-Banque de France 2 à partir du FIB, recense pour les deux régions 7 265 guichets permanents contre 6 657 agences pour la base du laboratoire C.R.E.T.E.I.L

Plus en détail

Christelle MAZIERE (30 ans)

Christelle MAZIERE (30 ans) Christelle MAZIERE (30 ans) Villa Orcéa, Lieu-dit Pertérato 20212 Favalello di Boziu 06.35.58.13.21 maziere@univ-corse.fr COMPÉTENCES PARTICULIÈRES Enseignement Gestion de corpus de données : recueil,

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Élaboration du volet «éolien» du schéma régional du climat, de l air et de l énergie DREAL Nord Pas de Calais Service ECLAT CCTP volet éolien du SRCAE page 1

Plus en détail

- 2 - La Traduction - 2.1. - La Traduction Spatiale Révision du PLU/Commune de HAMEL

- 2 - La Traduction - 2.1. - La Traduction Spatiale Révision du PLU/Commune de HAMEL - - La Traduction -.. - La Traduction Spatiale Révision du PLU/Commune de HMEL Christophe Laborde, paysagiste - gence E.Sintive, Ludovic Durieux, architecte urbaniste Sept - PGE -. - La Traduction Spatiale

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices. Plateforme Territoriale GUYANE SIG

Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices. Plateforme Territoriale GUYANE SIG Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices Plateforme Territoriale GUYANE SIG 25/02/2014 SOMMAIRE 1. LEXIQUE... 3 2. DEFINITION... 3 3. DOMAINE D APPLICATION... 3 A. Objet... 3 B. Bénéficiaires...

Plus en détail

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2. Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

ANALYSE GEOGRAPHIQUE ET

ANALYSE GEOGRAPHIQUE ET ANALYSE GEOGRAPHIQUE ET EVALUATION ECONOMIQUE DES PAYSAGES PERIURBAINS Rapport final Thierry BROSSARD ß Jean CAVAILHES a (responsable scientifique) Mohamed HILAL a Daniel JOLY ß François-Pierre TOURNEUX

Plus en détail

Débattu en Conseil Syndical le 04 Décembre 2013 1. Débattu en Conseil Syndical le 04 Décembre 2013

Débattu en Conseil Syndical le 04 Décembre 2013 1. Débattu en Conseil Syndical le 04 Décembre 2013 Débattu en Conseil Syndical le 04 Décembre 2013 1 Débattu en Conseil Syndical le 04 Décembre 2013 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 PREAMBULE... 3 RAPPEL DU CONTEXTE LEGISLATIF... 4 ROLE DU PADD... 4 STRUCTURATION

Plus en détail

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA)

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA) Présentation de la pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) et de ses spécialisations Pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) Adeline ALONSO UGAGLIA

Plus en détail

Afi n de permettre aux aménageurs d intégrer l archéologie

Afi n de permettre aux aménageurs d intégrer l archéologie Afi n de permettre aux aménageurs d intégrer l archéologie préventive en amont de leurs projets, l article L.522-4 du Code du patrimoine prévoit une alternative à la prescription de diagnostic qui consiste

Plus en détail

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe

Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe La conjoncture immobilière en Guadeloupe est au vert depuis les 6 dernières années. Ce boom immobilier concerne aussi l immobilier d entreprises

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques.

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques. LE PARC DE LOGEMENTS À PARIS Le parc existant La construction neuve Le marché immobilier Juillet 2007 Préfecture de Paris / DULE / Bureau de l habitat Section analyse et prospective habitat 1. INTRODUCTION

Plus en détail

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre

Plus en détail

La fiscalité française source d attractivité pour les non-résidents propriétaires d une résidence secondaire?

La fiscalité française source d attractivité pour les non-résidents propriétaires d une résidence secondaire? Page 1 sur 5 Communiqué de presse Le 28 août 2014 6ème ÉDITION DE L OBSERVATOIRE BNP PARIBAS INTERNATIONAL BUYERS «Investing & Living abroad» 2014 La fiscalité française source d attractivité pour les

Plus en détail

Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques

Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques Céline Grislain-Letrémy Résumé long - Thèse en sciences économiques sous la direction de Bertrand Villeneuve L objet de cette thèse

Plus en détail

NOTE SUR L APPLICATION DE LA TAXE DE SEJOUR AU REEL ET LES DIFFICULTES LIEES A L INTERPRETATION DU BAREME Mise à jour 15 avril 2008

NOTE SUR L APPLICATION DE LA TAXE DE SEJOUR AU REEL ET LES DIFFICULTES LIEES A L INTERPRETATION DU BAREME Mise à jour 15 avril 2008 NOTE SUR L APPLICATION DE LA TAXE DE SEJOUR AU REEL ET LES DIFFICULTES LIEES A L INTERPRETATION DU BAREME Mise à jour 15 avril 2008 Note réalisée par le Comité Départemental du Tourisme à l attention des

Plus en détail

Dossier de Presse pour la signature de la convention de partenariat

Dossier de Presse pour la signature de la convention de partenariat Dossier de Presse pour la signature de la convention de partenariat entre RFF et la Safer Aquitaine Atlantique le 29 janvier 2013 à Saint Pierre du Mont entre RFF et la Safer Garonne Périgord le 8 mars

Plus en détail

Ordonnance sur le Registre fédéral des bâtiments et des logements

Ordonnance sur le Registre fédéral des bâtiments et des logements Ordonnance sur le Registre fédéral des bâtiments et des logements du 31 mai 2000 Le Conseil fédéral suisse, vu l art. 10, al. 3 bis, de la loi du 9 octobre 1992 sur la statistique fédérale 1, arrête: Section

Plus en détail

Ingénieur Jurisprudences Constantes 2003 2013

Ingénieur Jurisprudences Constantes 2003 2013 Ingénieur Jurisprudences Constantes 2003 2013 Conseil d Etat et Tribunaux Administratifs Les décisions de justice ci-dessous concernent des recours formulés à l encontre de décisions défavorables de la

Plus en détail

Caisse de pension et propriété du logement/

Caisse de pension et propriété du logement/ Encouragement à la propriété du logement (EPL) Caisse de pension et propriété du logement/ Versement anticipé et mise en gage des avoirs issus du 2 e pilier Table des matières Mobilisation des capitaux

Plus en détail

de formation des prix

de formation des prix Le mécanisme m de formation des prix 1 URBANiS 24 janvier 2011 DEUX MARCHES FONCIERS URBAINS Zone AU «stricte» le droit des sols n est pas défini, il est négocié Zone AU indicée et zone U le droit des

Plus en détail

MAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du Puits 27950 SAINT PIERRE D AUTILS

MAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du Puits 27950 SAINT PIERRE D AUTILS DÉPARTEMENT DE L'EURE - ARRONDISSEMENT D ÉVREUX - CANTON DE VERNON-NORD Tel : 02 32 52 22 17 Fax : 02 32 52 94 97 Email : mairie.saint-pierre.autils wanadoo.fr MAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du

Plus en détail

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine

Plus en détail

Synthèse des programmes de travail

Synthèse des programmes de travail Synthèse des programmes de travail Les projets pour 2013 CRIESR - Assemblée générale 2012 Les services d études et observatoires ayant répondu 2 Agile Cellule Europe Réunion Agorah agence pour l observation

Plus en détail

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d

Plus en détail

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef

Plus en détail

BURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE

BURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE COMMUNE DE BOBO-DIOULASSO BURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE PROJET D ARRETE N 2014 /CB/M/SG PORTANT

Plus en détail

L immobilier d entreprise artisanale

L immobilier d entreprise artisanale e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?

Plus en détail

Statut du fermage et Baux ruraux

Statut du fermage et Baux ruraux Dossiers numériques Statut du fermage et Baux ruraux présentation, analyse et commentaires textes et circulaires administratives formulaires et jurisprudences par Francis VARENNES Juriste-Fiscaliste Autres

Plus en détail

LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020

LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie

Plus en détail

DECISIONS A L ORDRE DU JOUR :

DECISIONS A L ORDRE DU JOUR : PROCES VERBAL DE LA SEANCE DU BUREAU DE LA COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU 20 SEPTEMBRE 2007 Le Bureau de la Communauté d Agglomération du Haut Val-de-Marne, légalement convoqué le 14 septembre 2007, conformément

Plus en détail

ESSEC Cours Wealth management

ESSEC Cours Wealth management ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique

Plus en détail

3 place Vauban 75007 Paris

3 place Vauban 75007 Paris 3 place Vauban 75007 Paris Appartement exceptionnel situé au rez-de-chaussée www.immobilier-avocat.com Avertissement Ce document a été préparé dans le seul but de fournir à des acheteurs potentiels des

Plus en détail

Information de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur

Information de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur Information de l acquéreur ou du locataire Obligations du vendeur ou du bailleur Introduction La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation

Plus en détail

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER CONVENTION DE PORTAGE FONCIER ---------------------------- Entre LE CONSEIL GENERAL DES D YVELINES, ayant son siège à l Hôtel du Département 2 Place André Mignot 78012 VERSAILLES CEDEX Représenté par son

Plus en détail

MANDAT DE GESTION ISF 2015

MANDAT DE GESTION ISF 2015 MANDAT DE GESTION ISF 2015 1 AVERTISSEMENT Ce document n est pas contractuel et est réservé aux professionnels de la gestion de patrimoine (CIF) souhaitant obtenir des informations sur le mandat de gestion

Plus en détail

PLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations

Plus en détail