Concerne l année 2011 et les évolutions par rapport à 2010
|
|
- Adrien Audy
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Concerne l année 2011 et les évolutions par rapport à
2 Le questionnaire Il permet l analyse détaillée du Chiffre d Affaires, des principaux postes de charges, Les liasses fiscales et les balances détaillées Ces documents permettent d approfondir l analyse économique et financière. Les fichiers PMSI Les fichiers PMSI permettent l analyse de l activité. Le chiffre d affaires retraité Les activités de revente sans marge (médicaments facturés en sus, prothèses, ) sont déduites, le cas échéant, du chiffre d affaires et des achats. Les charges retraitées La méthodologie Outre la déduction des achats facturés en sus, le travail intérimaire et la sous-traitance sont déduits des charges externes et reclassés. 2
3 Chiffre d'affaires moyen Évolution 2010/ (en K ) (en %) Groupe ,5% Groupe ,7% Groupe ,8% Groupe ,1% Moyenne Échantillon ,8% Panel 50 : Evolution du Chiffre d'affaires 6,2% 3,9% 7,0% 6,0% 2,6% 5,0% 3,0% 4,0% 3,0% 0,0% 2007/ / /2010 2,0% 2010/2011 1,0% Les échantillons de comparaisons L échantillon Il présente cette année les résultats de 122 établissements, soit 20% des établissements et couvre l ensemble du territoire. Le panel 50 Il permet de présenter les résultats sur 5 ans d un même groupe d établissements Les données nationales corrigées Cette analyse tient compte du poids respectif réel de chaque groupe, ce qui corrige le caractère aléatoire de l échantillon des dossiers reçus. Les retraitements Les retraitements évoqués précédemment(chiffre d affaires, charges ) ne sont possibles que grâce aux informations fournies par les établissements. En contrepartie, les résultats atteignent une précision qu aucune autre étude ne peut égaler. 3
4 4
5 + 1,7% Le chiffre d affaires La progression du chiffre d affaires en 2011 est de 1,7%. Depuis 2005, le taux de progression est d un niveau extrêmement faible! 12% Evolution du chiffre Chiffre d'affaires d affaires depuis % Remarques : Bien que positive, cette croissance reste à un niveau extrêmement bas. Les gros établissements (+30M de CA) continuent de tirer les résultats vers le haut. 8% 6% 4% 2% 0% 01/ / / / / / / / / /
6 88,6% du chiffre d affaires La composition du chiffre d affaires L assurance maladie représente 88,6% du chiffre d affaires. Remarques : Dans sa structure, le chiffre d affaires est toujours composé d une part importante de l assurance maladie (88,6% en Données nationales corrigées en 2011, contre 88,8% en 2010). Les recettes annexes représentent 11,4% du chiffre d affaires. Les ventes directes aux malades stagnent Les chambres particulières prennent par contre une place plus importante (90,3% des ventes aux malades en 2011) et représentent 3,9% du chiffre d affaires. Composition du Chiffre d'affaires depuis % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 87,6% 87,8% 88,4% 88,3% 89,3% 89,3% 89,8% 88,6% 90,3% 88,8% 88,6% 30% 20% 10% 0% Facturation clinique Ventes directes aux malades Ventes aux accompagnants Refcaturation au Corps médical Autres prestations 6
7 Les principaux postes de charges Achats médicaux: Frais de personnel : Dotations aux amortissements: Impôts et taxes : 23,1% en ,6% en ,5% en ,4% en
8 53,6 % du chiffre d affaires Les coûts du personnel Le coût moyen du personnel (y compris la sous-traitance) est de 44,7 K. Les frais de personnel représentent 53,6% du CA. Remarques : Une augmentation du coût moyen de 1,2% Une tendance à la hausse constatée depuis % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Le poids des frais de personnel depuis ,0% 54,0% 52,0% 50,0% 50,1% 50,5% 50,1% 51,0% 52,9% 53,0% 54,6% 54,6% 53,6% 53,6% 48,0% 46,0% Evolution du poids des frais de personnel sur CA depuis ,6% 54,6% 53,6% 53,6% 52,9% 53,0% 50,1% 50,5% 51,0% 50,1%
9 80,2% du chiffre d affaires La marge brute La marge brute représente 80,2% du chiffre d affaires en Depuis 2005, elle ne cesse de baisser! Taux de Marge brute depuis 2001 Evolution de la Marge brute depuis % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 89,0% 87,0% 85,0% 83,0% 81,7% 82,1% 82,3% 83,8% 84,6% 83,6% 83,4% 82,4% 81,6% 80,9% 80,2% 81,0% 79,0% 77,0% 75,0%
10 4,6% du chiffre d affaires La marge brute d autofinancement La MBA représente 5,28% du chiffre d affaires en Remarques : En 2011, la MBA baisse. 5% des établissements de l échantillon passent d une MBA positive à une MBA négative. 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Taux de Marge Brute d'autofinancement depuis ,9% 4,6% 4,8% 6,3% 6,9% 7,5% 6,4% 4,5% 5,3% 4,5% 4,6% Evolution de la Marge Brute d'autofinancement depuis ,0% 6,9% 7,5% 7,0% 6,3% 6,4% 6,0% 4,6% 4,8% 5,3% 4,5% 4,5% 4,6% 5,0% 3,9% 4,0% 3,0% 2,0% 1,0% 0,0%
11 4,8% du chiffre d affaires Remarques : Le niveau de L E.B.E. est d autant plus élevé que la taille de l établissement est importante Même s il reste positif, l E.B.E. devient trop faible pour permettre d investir et de rémunérer les actionnaires. L E.B.E. (Excédent Brut d Exploitation) L E.B.E. représente 4,8% du chiffre d affaires en % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% L'E.B.E. / CA depuis ,5% 6,1% 8,4% 8,5% 5,5% 2,3% 2,9% 2,3% 4,8% Evolution de l'e.b.e. / CA depuis ,0% 8,4% 8,5% 8,0% 6,1% 6,0% 5,5% 4,5% 4,8% 4,0% 2,3% 2,9% 2,3% 2,0% 0,0%
12 1,9% du chiffre d affaires Remarques : Le résultat d exploitation de l échantillon s établit à 1,9% du chiffre d affaires pour 2011, contre 0,5% pour Ce sont toujours les établissements du Groupe 4 qui tirent le résultat vers le haut. La marge brute baisse alors que le résultat d exploitation augmente. Est-ce logique? NON! L examen des comptes de résultat dans le détail fait apparaitre une particularité inquiétante : les dotations aux amortissements et provisions s essoufflent! 7,0% 6,0% 5,0% 4,0% 3,0% 2,0% 1,0% Le résultat d exploitation 0,9% Evolution du Résultat Exploitation / CA depuis ,52% 1,67% 3,70% 6,40% 3,10% 3,00% 0,25% 2,10% 0,50% 1,90% 0,0%
13 Cette analyse s appuie sur les chiffres du Panel 50 Remarques : Essoufflement général des dotations aux amortissements et provisions 2007/2008 : + 9% 2008/2009 : + 8,3% 2009/2010 : + 10,1% 2010/2011 : + 0,8% Le poids des dotations aux amortissements et provisions chute nettement entre 2010 et 2011 Le détail des dotations aux amortissements et provisions ,8% 4,6% 4,4% 4,2% 4,0% 3,8% 3,6% Evolution des Dotations en valeur absolue (en K ) moyen ,5% Evolution des Dotations en % du CA 4,7% 4,7% 4,6% 4,0%
14 0,3% Du chiffre d affaires Le Résultat net Le Résultat net représente 0,3% du chiffre d affaires en Remarques : Les résultats 2011 ne permettent pas aux établissements d investir L Observatoire CTC Conseil / FHP-MCO écarte du Résultat net les produits et charges exceptionnels qui dépassent 2% du CA. Cette année, si l on ne tient pas compte de ces paramètres le Résultat net de l échantillon s élèverait à 5,7% du chiffre d affaires, ce qui est loin de refléter la réalité économique puisqu il s agit en général de plus-values immobilières par nature exceptionnelles. Evolution du Résultat net / CA depuis ,0% 3,20% 3,0% 1,80% 1,90% 2,0% 1,50% 1,0% 0,25% 0,31% 0,10% 0,30% 0,0% ,0% -1,00% -1,60% -2,0% -1,40% 14
15 16
16 88,6% Le chiffre d affaires généré par l assurance maladie est inférieur au total des charges 93,2% Un déséquilibre fondamental 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Structure du compte de résultat en données nationales corrigées Charges 0,3 6,5 93,2 Charges Coût de revient des produits annexes Bénéfice 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 11,4 88,6 Produits Assurance maladie Produits annexes Les remboursements de l Assurance Maladie ne couvrent pas les charges engagées 17
17 : des indicateurs préoccupants 10,00% 8,00% 6,00% 4,00% Evolution du CA E.B.E. / CA Résultat net / CA 2,00% 0,00% ,00% 18
18 50,00% 45,00% 40,00% 35,00% 30,00% Un niveau toujours élevé du nombre d établissements en déficit % d'établissements déficitaires (Résultat net négatif) 2005 / ,00% 20,00% % d'établissements déficitaires (Résultat net négatif) 15,00% 10,00% 5,00% 0,00%
19 Des impacts préoccupants! 35% en déficit 35% des établissements de l échantillon sont en déficit. 72% ne peuvent pas investir 72% des établissements se situent en dessous du seuil de résultat net minimum préconisé par les experts financiers (à savoir 3%). 20
20 Un secteur condamné à faire des gains de productivité (12% sur trois ans) Taux d évolution des charges des établissements privés MCO en 2012 L évolution des charges structurelles des établissements, à activité constante, prévue pour 2013 est 3,40%, hors effet activité (hors impact de l accord salarial LMD pour les infirmières). Avec la prise en compte de l impact LMD pour l année 2013, cette évolution est estimée à 3,94%. A comparer avec un ONDAM hospitalier de + 2,5% Et demain à 2,4%, voir à 2,3% 21
21 Mais cette démarche de gains de productivité trouve aujourd hui ses limites Des taux d évolution tarifaires insupportables : 1 er mars 2005 : Mise en place de la T2A 1 er mars 2006 : -1% 1 er octobre 2006 : -3% 1 er janvier 2007 : +3% 1 er mars 2007 : +1% 1 er mars 2008 : +0,8% (1,2% si maternité) 1 er mars 2009 : 0,47% 1 er mars 2010 : 0% 1 er mars 2011 : -0,05% 1 er mars 2012 : +0,16% (+ 0,5% maternité) 22
22 face à un financement discriminatoire Un différentiel de tarifs hospitaliers public/privé de 22% en moyenne au détriment des cliniques Une enveloppe MIGAC de 8,5 milliards d euros distribuée à 99% aux hôpitaux (1,1% pour les cliniques) La fin du gel des MIGAC et son corollaire le gel des tarifs pourrait entraîner une absence d évolution tarifaire, voire une baisse (article 47 bis du PLFSS) = manque de visibilité + accélération de l effet ciseaux Une plainte contre l Etat français est en cours devant la direction de la concurrence de la Commission européenne Des procédures semblables en Belgique : arrêt du 7 novembre 2012 du tribunal de première instance de l Union européenne 23
23 Une profession contrainte à une restructuration permanente pour survivre 1992 : 1014* établissements MCO 2009 : 579* établissements MCO 2010 : 570 établissements 44% d établissements en moins en 20 ans * Source: DRESS 24
24 Seul le privé, contraint et forcé, assume sa part de restructuration Evolution du nombre d'établissements PRIVE / 2001 = - 21% PUBLIC / 2003 = - 2% ESPIC / Association / 2001 = -16%
25 26
26 Sortir de l effet ciseau Coût/Tarif Sortir du dogme Prix / Volume Pour redonner des marges de manœuvre tarifaires! 1 ) Donner du lien entre qualité et financement des établissements de santé 2 ) Imaginer des financements en lien avec le développement des parcours patients 27
27 Le paiement à la performance : solution pour redonner des marges de manœuvre? Octroyer un bonus de ressources pour les établissements exemplaires (critères objectifs, mesurables et connus de tous) Assurer un système de financement promotionnel et incitatif et non pas répressif de sanctions Développer une véritable politique de benchmarking sur les indicateurs servant à allouer les ressources 28
28 Le paiement à la performance : solution pour redonner des marges de manoeuvre? S appuyer sur des indicateurs existants afin de ne pas créer une charge de travail supplémentaire Soutien de la FHP-MCO à la démarche du Ministère de la santé : projet IFAQ malgré un impact limité à 0,5%... Mais un début pour un modèle à construire. 29
29 D autres réformes à venir? Parcours de soins : quel financement adapté? Comment concilier et renforcer un système de financement transversal et non en «tuyau d orgue»? Quelles incitations tarifaires à l optimisation du parcours de soins? 30
30 En conclusion Un secteur d excellence menacé d asphyxie économique Des résultats 2011 en «trompe-l œil» une amélioration du résultat net due à un ralentissement des investissements Un vrai danger : la maîtrise de l ONDAM par les tarifs publics / privé Innover sur les systèmes de tarification : IFAQ, parcours de soins, etc 31
31 Merci de votre attention Session Questions / Réponses 32
32 Pacte de compétitivité : la situation ( Source DRESS/DGOS 2010) Ensemble hors médecin Privé Ex DGF Privé Public FEHAP UNICANCER FHP FHF titulaires FHF contractuels Net Brut Charges patronales Charges salariales Coût Total - Brut Chargé Coût Total / net 2,07 2,03 2,02 1,90 1,93 Coût Total / Brut 1,58 1,58 1,57 1,59 1,58 Charges salariales / Brut 0,24 0,22 0,22 0,16 0,18 Charges patronales / Brut 0,58 0,58 0,57 0,59 0,58 33
33 Pacte de compétitivité : la situation ( Source DRESS/DGOS 2010) Ensemble hors médecin Privé Ex DGF Privé Public FEHAP UNICANCER FHP FHF titulaires FHF contractuels Net Brut 130,79 128,71 128,94 119,28 122,00 Charges patronales 75,84 74,47 73,05 70,56 71,11 Charges salariales 30,79 28,71 28,94 19,28 22,00 Coût Total - Brut Chargé 206,63 203,18 201,99 189,84 193,11 Coût Total / net 2,07 2,03 2,02 1,90 1,93 Coût Total / Brut 1,58 1,58 1,57 1,59 1,58 Charges salariales / Brut 0,24 0,22 0,22 0,16 0,18 Charges patronales / Brut 0,58 0,58 0,57 0,59 0,58 34
ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailEvolution des dépenses de fonctionnement en par habitant
Evolution des dépenses de fonctionnement en par habitant R1 Autres Intérêts Personnel 239 +8% 259 +130% 104 +157% 202 +6% 213 95 7 +90% 5 4 +509% 30 9% +28% 8 38 Depuis 2004, le conseil régional a considérablement
Plus en détailLe nouveau tableau de bord de gestion
Formation Rencontre thématique CTC Conseil 2013 Le nouveau tableau de bord de gestion Contrôler Décider Communiquer CTC Conseil a été créé en 1992, à l initiative de Claude CHEZAUD, son Directeur Général,
Plus en détailPACTE DE RESPONSABILITÉ
PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ Loi de finances rectificative pour 2014 Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 10 septembre 2014 1 LES PRINCIPALES MESURES SOCIALES DU
Plus en détailCFP 059M C.P. Rapport D Amours
Mémoire du Régime de retraite de l Université du Québec (RRUQ) sur le rapport du Comité D Amours Mémoire déposé à la Commission des finances publiques le 22 août 2013 CFP 059M C.P. Rapport D Amours Table
Plus en détailAudit financier rétro-prospectif 2009-2018
Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Commune de Pierre-Olivier Hofer Directeur associé Ludivine Louette Consultante Toulouse, le 20 mai 2014 E14-0514 EXFILO Tél : 01.83.62.86.35 Fax : 01.83.62.86.34
Plus en détail11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014
11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité
Plus en détail- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -
- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailAudit financier & budgétaire de la Ville de Clamart
Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détail2.8. État des lieux de la protection sociale complémentaire d entreprise
2.8. État des lieux de la protection sociale complémentaire d entreprise La généralisation de la complémentaire santé d entreprise prévue par l accord national interprofessionnel (ANI) à compter du 1 er
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailINTITULE DU POSTE (1) EXPERT MEDICAL évolution des modèles de financement des établissements de santé (MCO et SSR)
Ministère des affaires sociales et de la santé Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative Ministère des solidarités et de la cohésion sociale Ministère de la ville Ministère
Plus en détailCommune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014
Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires
Plus en détailAvis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014
Paris, le 12 juin 2014 Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Délibération n CONS. 13 12 juin 2014 Projet de loi de financement rectificative de la
Plus en détailLes évolutions de vos régimes au cours des prochaines années
Les évolutions de vos régimes au cours des prochaines années La généralisation de la couverture complémentaire santé à tous les salariés La loi relative à la sécurisation de l emploi du 14 juin 2013 prévoit
Plus en détailFINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS. CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE»
FINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE» Intervenant : Jean-Jacques LANTONNET Expert Tarification AT-MP Direction des Risques Professionnels Caisse
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailBILAN 2011. - Le résultat comptable est en bonne évolution après avoir été limité en 2010 et 2009
BILAN 211 - Le résultat comptable est en bonne évolution après avoir été limité en 21 et 29 - Les dépenses de fonctionnement sont en baisse et les recettes augmentent - Ainsi la capacité d autofinancement
Plus en détailDans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer ce qui est comparable.
Réunion du 12 mai 2011 1 Premiers éléments de caractérisation financière du territoire Dans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer
Plus en détailobservatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr
observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr Edito Marc Basset, Associé, Responsable du secteur Transport sanitaire C est avec un grand plaisir que nous vous présentons l Observatoire du Transport
Plus en détailCompétitivité française : Quelques constats
Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis
Plus en détailCPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France
CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3
Plus en détailNote d actualité : Analyse de la loi de finances 2013
Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailDébat d Orientation Budgétaire 2013
Débat d Orientation Budgétaire 2013 Rappel Les échanges de ce débat d orientation budgétaire permettront de préciser les grands axes du budget 2013 en préparation qui sera soumis au vote lors de la présentation
Plus en détailUne distinction peut être faite entre différents types de plans de pension en fonction de la méthode de financement.
boulevard du Souverain 280-1160 Bruxelles - Belgique T +32 2 761 46 00 F +32 2 761 47 00 info@claeysengels.be Avocats Date : Août 2015 Sujet : L assurance de groupe I QU EST UNE ASSURANCE DE GROUPE? Pour
Plus en détailRetraite 83 euro. Retraite 83 euro. La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité
Retraite 83 euro La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité Retraite 83 euro Les contrats de retraite article 83 sont désormais ouverts aux versements individuels et facultatifs des salariés.
Plus en détailGUIDE FONCTIONNEL. Réaliser une analyse prospective à l aide du tableau financier de Mairie-conseils
GUIDE FONCTIONNEL Réaliser une analyse prospective à l aide du tableau financier de Mairie-conseils SOMMAIRE I - Objectifs 1 - Calculer des indicateurs financiers 2 - Animer la réflexion prospective II
Plus en détailGUIDE DE PRESENTATION FEVRIER 2003
GUIDE DE PRESENTATION TABLEAU DE BORD DES INDICATEURS FINANCIERS DES ETABLISSEMENTS PUBLICS DE SANTE - TBFEPS FEVRIER 2003 Ministère de la santé, de la famille et des personnes handicapées Direction de
Plus en détailDCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER
DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailwww.pwc.com 20 novembre 2014 Le Taillan-Médoc Analyse organisationnelle RH et financière Rapport Final
www.pwc.com Le Taillan-Médoc Analyse organisationnelle RH et financière Rapport Final Table of Contents Section Overview Page 1 Etat des lieux de l organisation 1 2 Audit Financier 5 2.1 Etat des lieux
Plus en détailDélibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013
Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013 1 CONSEIL GENERAL DU JURA Réunion du : 4ème trimestre 2013 Type : DOB 2014 Service : DMI/FINANCES Rapporteur : Christophe PERNY Thème : FINANCES - GARANTIES D'EMPRUNT
Plus en détailLes infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus
Communiqué de presse 2 ème édition du Baromètre Appel Médical des salaires de la santé Les infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus
Plus en détailLe salaire des internes en DES de Médecine Générale
Le salaire des internes en DES de Médecine Générale *************** «Le salaire est la contrepartie du travail fourni» Guide pratique du droit au travail, La Documentation Française. **************** (I)
Plus en détailProjet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014
Projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Article liminaire La prévision de solde structurel et de solde effectif de l ensemble des administrations publiques pour 2014
Plus en détailPrésentation des indicateurs techniques du Budget Général
Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne Février 2015 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est contrôlé par
Plus en détailLes Matinales de l Entreprise Jeudi 17 novembre 2011
Les Matinales de l Entreprise Jeudi 17 novembre 2011 Pôle Formation CCI COLMAR SOGEX Thème du jour animé par Giovanni TERRANA Consultant en droit social Associé INTRODUCTION Présentation du cabinet SOGEX:
Plus en détailQuestions générales sur le Pacte
QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en
Plus en détail4 Choix d investissement
cterrier 1/8 26/01/2011 Cours Mathématiques financières Auteur : C. Terrier ; mailto:webmaster@cterrier.com ; http://www.cterrier.com Utilisation : Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailPrésentation des indicateurs techniques du Budget Général
Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne conseil du 17 octobre 2014 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est
Plus en détailrelatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation»
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2004-11 du 23 novembre 2004 relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» Le Comité de la réglementation comptable,
Plus en détailPROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT
PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.
ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailNote commune N 3 / 2014
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET DE LA LEGISLATION FISCALES Note commune N 3 / 2014 Objet : Commentaire des dispositions de l article 77 de la loi n 2013-54
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailLes coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique
Les coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique 2012 Sommaire Introduction 3 Notes de lecture 4 1. L ENC : objectifs et modalités de l étude 6 1.1. Qu est-ce que l Etude
Plus en détailAnnexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION
FINANCE D ENTREPRISE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailLa balance des paiements et la position
La balance des paiements et la position extérieure globale selon le BPM6 1. Introduction La balance des paiements de la Belgique est l état statistique qui récapitule de façon systématique les transactions
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3255 Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES ACCORD DU 28 FÉVRIER 2014 RELATIF AU TEMPS
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailSystème de bonus-malus SBM 07 Assurance contre les accidents non professionnels
Système de bonus-malus SBM 07 Assurance contre les accidents non professionnels Principes de base et application du SBM 07 Le SBM 07 détermine le montant des primes des moyennes entreprises en tenant compte
Plus en détailUNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE
UNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE Partant d une situation déjà défavorable au financement des entreprises par fonds propres, les mesures fiscales
Plus en détailwww.gouvernement.fr Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l emploi
PREMIER MINISTRE Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l emploi 6 novembre 2012 Contact Service de presse de Matignon 57, rue de Varenne 75007 Paris Tél. : 01 42 75 50 78/79 www.gouvernement.fr
Plus en détailLivret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire
Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014
Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit
Plus en détailCompte d exploitation 2012. Assurance vie collective.
Compte d exploitation 2012. Assurance vie collective. 2012 Votre assureur suisse. 1/12 Compte d exploitation Assurance vie collective 2012 2012: des résultats positifs et encore plus de transparence. Chère
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailEléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.
Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.D et proposition Le contexte Une absence de concurrence «réelle» lors de la procédure
Plus en détailUne distinction peut être faite entre différents types de plans de pension en fonction de la méthode de financement :
boulevard du Souverain 280-1160 Bruxelles - Belgique T +32 2 761 46 00 F +32 2 761 47 00 info@claeysengels.be Avocats Date : Août 2015 Sujet : Le fonds de pension L Institution de Retraite Professionnelle
Plus en détailLes principales dispositions de la loi de finances pour 2014 publiée au Journal officiel le 30 décembre 2013
Les principales dispositions de la loi de finances pour publiée au Journal officiel le 30 décembre 2013 IMPÔT SUR LE REVENU Barème CGI. art.197 Décote CGI. art. 197 Barème non revalorisé en 2012 et 2013
Plus en détailMédecine étatique vs autonomie tarifaire. Exposé Dr Werner Kübler
Médecine étatique vs autonomie tarifaire Exposé Dr Werner Kübler FMH Tarifs et conventions pour la médecine ambulatoire en Suisse Journée des délégués tarifaires Ernst Gähler 20 mars 2013 Dr Werner Kübler,
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailPROSPECTIVE FINANCIERE 2014-2017 DE LA VILLE VERSION 16 AVRIL 2014!
PROSPECTIVE FINANCIERE 2014-2017 DE LA VILLE VERSION 16 AVRIL 2014! Christian Escallier Cabinet Michel Klopfer 6 bis, rue de Larminat 75015 Paris Tél. : 01 43 06 08 10 Fax : 01 47 34 15 83 cescallier@cabinetmichelklopfer.fr
Plus en détailAvalanche de mesures sur le front social : Pourquoi les entreprises doivent elles s adapter à la nouvelle donne?
DOSSIER : Mesures sociales Avalanche de mesures sur le front social : Pourquoi les entreprises doivent elles s adapter à la nouvelle donne? Philippe Lobet Directeur associé plobet@ +33 6 08 71 07 04 Contrat
Plus en détailUne majorité au travail
La lettre d émeric bréhier Le député de votre circonscription Assembléwe nationale-2012 Une majorité au travail Madame, Mademoiselle, Monsieur, Il y a 6 mois maintenant, le pays a donné une majorité au
Plus en détailOptimisez la passerelle
www.ca-els.com Optimisez la passerelle de l épargne temps vers le PERCO La loi du 9 novembre 2010 vous offre une opportunité fiscale et sociale Un cadre fiscal et social attractif... La loi n 2010-1330
Plus en détailINTRODUCTION Événements importants survenus au cours de l année
RÉGIME DE RETRAITE À L INTENTION DU GROUPE MANOEUVRES, HOMMES DE MÉTIER ET DE SERVICES DES DISTRICTS SCOLAIRES DU NOUVEAU-BRUNSWICK Rapport de l administrateur pour l année 2006 Décembre 2007 TABLE DES
Plus en détailL euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité
L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité Université citoyenne d Attac Toulouse, 22 août 2008 Jean-Marie Harribey et Dominique Plihon Les principes néolibéraux Théories de Hayek, Friedman
Plus en détailLa solution santé et prévoyance modulable de Generali.
La solution santé et prévoyance modulable de Generali. 2 Pour faire face aux aléas de la vie La Prévoyance Entreprise 6-20 de Generali est un contrat de prévoyance/santé qui vous permet d apporter à vos
Plus en détailANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010
ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE () SICTOBA Mai 2010 Pascal HEYMES Stratorial Finances Agence de Montpellier 2, rue des Arbousiers 34070 MONTPELLIER Tél. : 04 99 61 47 05 - Fax : 04 99 61 47 09 www.stratorial-finances.fr
Plus en détailDétermination des primes Assurance contre les accidents professionnels et non professionnels
Détermination des primes Assurance contre les accidents professionnels et non professionnels Les branches d assurance LAA La loi fédérale sur l assurance-accidents (LAA) pose le principe de trois branches
Plus en détailSystème de bonus-malus Assurance contre les accidents professionnels
Système de bonus-malus Assurance contre les accidents professionnels Principes de base et application Le système de bonus-malus pour l assurance contre les accidents professionnels (SBM 03) détermine le
Plus en détailEn collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL. Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité?
HSBC Intervention du 18 janvier 2011 En collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité? Les enjeux sociaux et patrimoniaux
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailDeuxi&me Forum Halieumétrique, Nantes, 1995 Session III : Modélisation et représentation des connaissances
Deuxi&me Forum Halieumétrique, Nantes, 1995 Session III : Modélisation et représentation des connaissances UNE ILLUSTRATION DU PROBLEME DE TRADUCTION DES GAINS DE PRODUCTIVITE EN GAINS DE RENTABILITE DANS
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailProspective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010
Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre
Plus en détailLA LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2012
LA LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2012 CONSEIL La loi 2012-958 du 16 août 2012 consistant en la deuxième loi de finances rectificative pour 2012 a été publiée au JO du 17 août 2012. C est la première
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailCOMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE
COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE SOYEZ PRO ACTIF! Anticipez et transformez cette contrainte en opportunité SALON DES ENTREPRENEURS 2015 5 février 2015 LA GENERALISATION DE LA COMPLEMENTAIRE SANTE DANS
Plus en détail