Structure d'une bactérie

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2 Structure d'une bactérie La paroi cellulaire est une enveloppe rigide de pep>doglycanes plus ou moins épaisse présente chez toutes les bactéries. Elle cons>tue le squelehe externe et est responsable de la forme de celle- ci. La paroi évite donc l'éclatement de la cellule. La membrane plasmique semi- perméable contrôle l'entrée et la sor>e de différentes substances. Le passage des substances à travers la membrane s'effectue par diffusion, osmose et transport ac>f. Il est à noter qu'une bactérie ne possède pas de noyau, de centriole, de ré8culum endoplasmique, de mitochondries, d'appareil de Golgi et de lysosomes. La capsule est une substance visqueuse, plus ou moins épaisse qui entoure la paroi. Elle permet à la bactérie d'adhérer plus facilement aux autres êtres vivants tout en la protégeant de la phagocytose. Les flagelles sont des filaments longs et très fins servant au déplacement de plusieurs sortes de bactéries. Le nombre et la posi>on des flagelles cons>tuent un critère de classifica>on des bactéries à flagelles. Les pili sont des filaments rela>vement courts possédés par beaucoup de types de bactéries. Il y a les pili communs, rigides et servant de moyen de fixa>on à différentes surfaces, d'où la bactérie peut >rer sa nourriture. Les pili sexuels servent au transfert de matériel géné>que entre bactéries au cours d'un processus appelé conjugaison.

3 Collège Calvin On classe les bactéries en trois grandes formes : 1. forme sphérique ou ovale : les cocci ( ou coques) Les streptocoques causent des angines blanches. 2. forme allongée ( en bâtonnet) : les bacilles Le bacille de Koch provoque la tuberculose. S. Piguet- Collet 2012/2013

4 3. forme spiralée ou hélicoïdale : les spiridilles. La borrelia burgdorferi cause la maladie de Lyme, transmise par les >ques.

5 Le pouvoir pathogène des bactéries Rela>ons symbio>ques bactérie - hôte 1 Mutualisme Le mutualisme est une rela>on équilibrée entre un micro- organisme et son hôte: chacun profite de cehe associa>on et apporte quelque chose à l'autre. Exemples : Des ruminants et des bactéries celluloly>ques qui vivent dans la panse de ces animaux. On observe des milliards de bactéries dans l'estomac. Ces bactéries transforment la cellule en glucose (énergie), grâce à des enzymes qu'elles fabriquent. Les bactéries profitent de l'alimenta>on du ruminant pour se développer. Les plantes ont besoin d'engrais azotés sauf les légumineuses parce que les bactéries (Rhizobium) sont capables de transformer le N2 en ammoniac ou en nitrate.

6 Le pouvoir pathogène des bactéries 2 Parasi>sme C'est une rela>on déséquilibrée entre un micro- organisme et son hôte : seul le micro- organisme (le parasite) profite de cehe rela>on et l'hôte n'a aucun intérêt, il peut même souffrir de cehe rela>on (infec>on chez un individu). Exemples : Il existe 2 types de bactéries pathogènes bactéries pathogènes spécifiques : bactéries qui provoquent une maladie dès son entrée dans n'importe quel organisme. (vibrion du choléra! diarrhées, vomissements ). bactéries pathogènes opportunistes : ce sont des bactéries qui sont pathogènes seulement chez une personne affaiblie (personne âgée, malade, immuno déprimée, ). 3 Saprophy>sme C'est le mode d'existence des micro- organismes qui se développent aux dépens des ma>ères organiques inertes (cadavres d'animaux, de végétaux, ) " bactéries de décomposi>on de la ma>ère organique. 4 Commensalisme C'est une rela>on au cours de laquelle le micro- organisme (le commensal) profite de son hôte sans être nuisible. Quelques fois le commensal peut être bénéfique pour son hôte. Ex : la flore commensale de la peau chez l'homme.

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