Protocole de gestion d une épidémie de gastro-entérite

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Protocole de gestion d une épidémie de gastro-entérite"

Transcription

1 Protocole de gestion d une épidémie de gastro-entérite Commission de qualité des prestations Internet : Édition : Décembre 2009

2 Remerciements La Commission de qualité des prestations tient à remercier les membres du groupe de travail, les experts associés ainsi que les membres du comité de lecture qui ont participé à l élaboration et la validation de ce protocole ainsi qu aux documents annexes. De plus, la Commission de qualité des prestations remercie les prestataires qui ont partagé les protocoles ou mesures en vigueur dans leur structure d aides et de soins. Groupe de travail Monsieur John SCHUH, Chef de projet, Inspection Sanitaire Dr Pierre WEICHERDING, Inspection Sanitaire Madame Irène DEMUTH, Inspection Sanitaire Madame Tania SCHILTZ, Laboratoire National de Santé - Inspection Sanitaire Madame Claudine KOSTER, COPAS Madame Aline MAHOUT, COPAS Madame Jennifer OLIVAREZ, CEO Comité de lecture Madame Danièle CHRISTEN, Maison de soins «An de Wisen» à Bettembourg Monsieur Robert WILDANGER, SERVIOR Monsieur Alain KOCH, Stëftung Hellef Doheem Experts Dr Elisabeth HEISBOURG, Division de la Médecine Curative Monsieur Joël MOSSONG, Laboratoire National de Santé Monsieur Gérard SCHEIDEN, Inspection Sanitaire Contact : c/o Cellule d évaluation et d orientation de l assurance dépendance (CEO) 125, route d Esch L-2974 Luxembourg Secrétaire administratif : Norbert LINDENLAUB, CEO, Secrétaire technique : Joëlle WAX, CEO, commission.qualite@igss.etat.lu Internet:

3 Les Norovirus sont les principaux agents des gastro-entérites aiguës toutes classes d âges confondues. Ces gastro-entérites, communément appelées «Mogripp» au Luxembourg, sont caractérisées par l apparition brutale de vomissements et/ou de diarrhées après une courte incubation de 24 à 48 heures. La majorité des infections guérissent spontanément en moins de 2 à 3 jours. Cependant, des formes cliniques plus sévères ont été observées avec un risque de déshydratation chez les nourrissons, personnes âgées et personnes immunodéprimées. En Europe les infections à Norovirus circulent surtout pendant l hiver, mais des épidémies ponctuelles au printemps et en été sont souvent observées. Des mesures simples notamment liées à l hygiène des mains et de l environnement constituent les moyens les plus importants pour limiter la transmission. L information et la vigilance de chacun, tant des professionnels, des personnes accompagnées et de leurs proches limitent la propagation et participent à une bonne gestion de l épidémie. C est pourquoi, la Commission de qualité des prestations a souhaité fournir une aide aux professionnels afin de limiter les risques auprès des publics accompagnés par les structures d aides et de soins. Ces recommandations sont destinées aux professionnels et plus particulièrement aux responsables et directeurs de soins qui ont à informer, accompagner et gérer cette période épidémique. Le protocole de gestion d une épidémie de gastro-entérite est complété par différents documents que les structures pourront utiliser selon leurs besoins : un système de questions/réponses ou FAQ (Frequently Asked Questions) à l intention du grand public pour une information simplifiée, reprenant les informations et mesures à suivre une fiche informative qui pourra être imprimée et affichée dans les établissements une présentation sous forme de Powerpoint pour soutenir la diffusion de l information auprès de l ensemble du personnel. Ces diapositives récapitulent les mesures spécifiques à prendre par le personnel soignant et les personnes en charge de l entretien. La Commission de qualité des prestations

4 Table des matières I. Généralités... 5 I.1. Une épidémie c est quoi?... 5 I.2. Spécificités des Norovirus:... 5 I.3. Période ou Temps d incubation... 5 I.4. Voies de contamination... 5 I.5. Voies de transmission... 5 I.6. Contagiosité et évolution... 5 I.7. Traitement... 6 II. Mesures de prévention et de contrôle pour contenir l épidémie... 6 II.1. Hygiène des mains... 6 II.2. Mesures concernant le matériel et l environnement... 8 II.2.1. Matériel... 8 II.2.2. Environnement : locaux, surfaces... 9 II.3. Hygiène hôtelière...10 II.4. Limitation des contacts entre personnes...10 II.4.1. Mesures concernant les personnes prises en charge et leurs proches II.4.2. Mesures spécifiques pour le personnel...10 II.5. Information II.5.1. Contenu de l information...11 Références/Bibliographie...12 Supports d information...12

5 I. GÉNÉRALITÉS 5 / 12 I.1. Une épidémie c est quoi? On peut parler d épidémie de gastro-entérite si plus de 3 personnes présentent pendant la même période des symptômes cliniques dans un même lieu (nausées, vomissements, diarrhées etc.). Les épidémies de gastro-entérites peuvent être causées par différents agents infectieux : (bactéries, virus, protozoaires) Néanmoins, les agents les plus souvent en cause en collectivité sembleraient être des Norovirus (NV). I.2. Spécificités des Norovirus: Les Norovirus sont des virus/ agents pathogènes : - hautement infectieux : quelques particules infectieuses (10-100) suffisent pour causer l infection - très résistants par rapport aux facteurs environnementaux : ils survivent assez longtemps en dehors du corps humain en milieu ambiant et sur des surfaces - résistants contre certains désinfectants avec un temps de contagiosité élevé : les NV restent contagieux pendant plusieurs journées en dehors du corps humain I.3. Période ou Temps d incubation Période entre l instant de la contamination et le début de la maladie: très court, entre 24 et 48 heures I.4. Voies de contamination Les virus sont excrétés par la personne contaminée via : - les matières fécales (selles), - les vomissements, - la voie aérienne (aérosols) est probable notamment lors des vomissements et pourrait participer à la diffusion du virus. I.5. Voies de transmission - manuportée : de personne à personne : mode de transmission le plus fréquent d une personne infectée à une autre - fécale-orale (par exemple par contact cutané avec des surfaces contaminées par des matières fécales contenant des virus) - denrées alimentaires contaminées - eau contaminée. L épidémie ainsi provoquée évolue d abord par paliers, avec un nombre limité de malades au départ. Elle peut ensuite s accélérer par un «effet escalier» si des mesures ne sont pas prises à temps. I.6. Contagiosité et évolution Minimum 48 heures après la disparition des symptômes cliniques, mais l infectiosité et l excrétion de virus peut persister pendant plusieurs semaines.

6 I.7. Traitement 6 / 12 Actuellement, il n existe aucun antiviral actif contre les Norovirus. Les antibiotiques sont sans action. Le traitement se restreint au remplacement de l eau et des sels minéraux perdus et éventuellement à l administration d antiémétiques. Dès qu une épidémie de gastro-entérite d allure virale est suspectée, il est impératif de mettre en place immédiatement les mesures de prévention et de contrôle, sans attendre les résultats de laboratoire afin d éviter la propagation de l épidémie! La disparition des symptômes ne signifie pas que la personne n est plus contagieuse. Les mesures de précaution sont donc à maintenir même après la disparition des symptômes cliniques, à raison de 2 ou 3 jours. II. MESURES DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE POUR CONTENIR L ÉPIDÉMIE Quand une épidémie est identifiée, il faut prendre des mesures immédiates adaptées à la situation et aux circonstances. Il faut définir les compartiments (étages, unités, services) à haute densité virale et ceux à faible densité virale. Il s agit d éviter le transfert de l épidémie de ces compartiments à haute densité virale vers les autres compartiments en appliquant les mesures barrières adaptées! II.1. Hygiène des mains Lors de la poussée épidémique, il s agit de renforcer les mesures d hygiène, particulièrement l hygiène des mains, de façon à réduire la contamination par les selles ou les vomissements et la transmission par les mains. Les responsables doivent s assurer que les usagers et le personnel soient informés de la marche à suivre pour une hygiène et une désinfection correctes des mains. L hygiène des mains est indiquée s il y a une infection à NV pour: les usagers : - après utilisation des toilettes, - à la sortie de la chambre, - avant de manger. les visiteurs : - mêmes indications que pour les usagers, - rappeler l importance de l hygiène des mains notamment lors de la sortie de la chambre, - recommander d éviter l utilisation des sanitaires de l usager. le personnel intervenant auprès du/des usagers : - à l entrée et à la sortie du compartiment (étage, unité, service) à haute densité virale, - avant et après tout contact avec un usager, - avant et après tout soin, - après avoir touché l environnement de l usager ou du matériel contaminé ou potentiellement contaminé, - après tout contact avec des liquides biologiques: selles, vomissements, etc. et tout contact avec des surfaces susceptibles être contaminées par ces liquides, - avant de préparer les repas.

7 7 / 12 HYGIENE DES MAINS En cas de risque de vomissements et souillures, tout le personnel en contact avec les usagers infectés doit porter des dispositifs de protection tels que gants à usage unique, surblouse/tablier, masque chirurgical. Après avoir administré les soins et ôté les dispositifs de protection, la friction des mains avec une solution hydro-alcoolique virucide s impose. Si présence de souillures/salissures visibles à l œil nu ou pas de protection par le port de gants ou gants déchirés 1. Lavage hygiénique des mains : eau chaude et savon (pendant au moins 30 secondes) 2. Séchage soigneux à l aide de serviettes à usage unique un désinfectant alcoolique perd de son efficacité au contact de l eau 3. Désinfection des mains avec désinfectant Pas de présence de souillures/salissures visibles à l œil nu et gants intacts Désinfection hygiénique des mains (sans lavage préalable) avec désinfectant (à efficacité prouvée contre les NV) Produits à utiliser Les produits de désinfection des mains doivent porter la mention suivante : pour les désinfectants en provenance de l'allemagne: «viruzid» ou «Wirkungsbereich AB nach RKI-Liste». pour les désinfectants en provenance d'autres états européens: Norme EN ou mention «virucide» par le fabricant. Définitions «Wirkbereich» selon RKI: A: zur Abtötung von vegetativen Bakterien einschließlich Mykobakterien sowie von Pilzen einschließlich Pilzsporen geeignet; B: zur Inaktivierung von Viren geeignet N hésitez pas à consulter vos fournisseurs qui connaissent ces normes. Suivre scrupuleusement les recommandations du fabricant pour les conditions d utilisation. L hygiène rigoureuse des mains s impose pour toute la période d incubation et même après la disparition totale des symptômes vu la résistance environnementale des NV et la persistance de durée d excrétion du virus de plusieurs jours jusqu à deux semaines après disparition des symptômes. Attention : Il est important d utiliser les produits spécifiques (virucides) uniquement pendant la poussée épidémique.

8 8 / 12 II.2. Mesures concernant le matériel et l environnement II.2.1. Matériel Appareils Lingerie (draps et vêtements) Vaisselle Mobilier Tapis Nettoyer et désinfecter soigneusement les appareils (manchettes de tensiomètres, par exemple) après chaque utilisation. Veiller à utiliser du matériel de soins réservé à la personne malade et qui reste en chambre. Si le matériel doit être utilisé pour d autres usagers, il doit impérativement être soumis à une désinfection après chaque usage (ex : brassard de tension) Tous les objets susceptibles d avoir été contaminés tels que rouleaux de papier hygiénique et mouchoirs doivent également être éliminés. Les sacs poubelle contenant des articles contaminés (accessoires de nettoyage, par exemple) sont à éliminer ou à stériliser séparément (par autoclave). Le linge sale (blouses de protection, vêtements, draps de lit, etc.) est potentiellement contaminé et présente donc un risque infectieux. Le linge est à stocker dans un sac à linge dans la chambre. Le linge sale contaminé est mis dans des sacs adaptés et identifiés comme «linge infecté». Le linge doit être traité à une température > à 60 C. Les textiles ne pouvant pas être lavés à plus de 30 C doivent être trempés dans un produit désinfectant (oxygène actif ou autre désinfectant pour textile) ou entreposés séparément 14 jours dans un sac hermétique avant d être pris en charge. Attention : informer toute personne devant manipuler du linge contaminé des consignes à respecter (famille, personnel soignant, blanchisserie). Il est recommandé de changer les draps de lit et le linge de corps tous les jours. Il est impératif de passer la vaisselle éventuellement contaminée par des Norovirus au lave-vaisselle. Si non disponible, faire la vaisselle avec de l eau très chaude (>60 ). Le mobilier des chambres doit être nettoyé au désinfectant. Il est recommandé de nettoyer préalablement les matelas souillés à l eau et au savon avant de les passer à la machine à vapeur. Le traitement à la vapeur (à au moins 60 C) peut constituer une bonne alternative. Il est déconseillé de passer l aspirateur sur les tapis contaminés et de polir les sols à la machine, car cela comporte un risque de contamination par aérosolisation. Nb : les Norovirus conservent leur pouvoir infectieux dans l environnement pendant plusieurs jours.

9 9 / 12 II.2.2. Environnement : locaux, surfaces Nettoyage - désinfection des surfaces Si présence de souillures visibles à l œil nu : technique en deux étapes - Nettoyage rapide et régulier des surfaces contaminées (visiblement souillées) voire potentiellement contaminées : brassard de tensiomètres, chaises roulantes, sièges et autres aides techniques. - Renforcement du nettoyage et de la désinfection des surfaces fréquemment touchées ou souvent utilisées: lavabos, robinetterie, lunettes et cuvettes de toilettes, sonnettes, poignées de porte, rails de lits, rampes. - Après le passage d une personne malade aux toilettes communes, ces dernières devraient être immédiatement nettoyées et désinfectées. - Augmentation de la fréquence de nettoyage à 2x/jour pour les salles de séjour des personnes malades, la cuisine et les salles de bains communes. - Mettre des gants et éventuellement mettre une surblouse. - Éliminer d abord impérativement les souillures : au moyen d un matériau absorbant de préférence à usage unique. - Procéder à un nettoyage de surface à l eau et au détergent de la périphérie vers le centre (à préciser). - L absorption des souillures et le nettoyage simple sont obligatoires préalablement pour assurer l action du désinfectant de surface. - Procéder ensuite à la désinfection. Produits à utiliser pour le nettoyage des surfaces contaminées: Les produits de nettoyage et de désinfection des surfaces doivent porter la mention suivante : pour les désinfectants en provenance de l'allemagne: «viruzid» ou «Wirkungsbereich AB nach RKI-Liste» pour les désinfectants en provenance d'autres états européens: Norme EN ou mention «virucide» par le fabricant Définitions «Wirkbereich» selon RKI: A: zur Abtötung von vegetativen Bakterien einschließlich Mykobakterien sowie von Pilzen einschließlich Pilzsporen geeignet; B: zur Inaktivierung von Viren geeignet N hésitez pas à consulter vos fournisseurs qui connaissent ces normes. Suivre scrupuleusement les recommandations du fabricant pour les conditions d utilisation. Attention : La plupart des désinfectants de surface sont inactivés en cas de matières organiques d où l importance d absorber toutes souillures visibles à l œil nu. Le nettoyage des locaux et du milieu constitue une mesure essentielle pour lutter contre la dissémination des particules virales, d où l importance de l information au personnel chargé de l entretien des surfaces. Plus on attend pour effectuer un nettoyage selon les règles, plus le risque de transmission de l agent pathogène à des porteurs sains et de perte de contrôle de l épidémie grandit.

10 II.3. Hygiène hôtelière 10 / 12 Mesures concernant le contrôle et la manipulation des denrées alimentaires et de l eau de boisson Pendant une épidémie, même non due aux aliments, il est recommandé : - de mettre en place un régime alimentaire adapté, - de ne pas préparer des repas froids (salades, sandwiches ou du genre «finger-food») vu le risque de contamination, - de renoncer aux buffets, - d éviter que des personnes externes à l institution ne prennent part à des repas communs (services de repas externes, «déjeuners en groupe», etc.), - d écarter les restes d aliments (épluchures, reste de repas, etc.) pouvant avoir été contaminés par aérosolisation. II.4. Limitation des contacts entre personnes II.4.1. Mesures concernant les personnes prises en charge et leurs proches La séparation des personnes malades des personnes saines, l isolement par groupes ou l isolement de la personne malade (dans sa chambre, arrêt momentané de la prise en charge dans un centre d accueil de jour) peuvent stopper ou tout au moins limiter la propagation d une épidémie au plan local. Ces mesures visent à limiter les contacts entre personnes malades et saines. Les personnes symptomatiques doivent si possible être placées dans des chambres avec toilettes. Si des infections se déclarent dans une chambre à plusieurs lits, les personnes malades doivent être regroupées et les personnes saines de préférence transférées dans des chambres individuelles où elles resteront sous observation pendant la durée d incubation sans introduire de nouvelles personnes dans la chambre. Les mesures d isolement des personnes infectées ne seront levées que si aucune nouvelle infection ne se déclare 48 heures après le dernier cas constaté. Dans les lieux de vie, les personnes éviteront l utilisation des sanitaires communs et auront accès si possible à une chambre avec toilettes privatives. Si cela n est pas possible, il est recommandé de séparer les toilettes disponibles entre toilettes pour personnes malades et toilettes pour personnes saines. Pendant une épidémie, il est nécessaire de réduire, voire d éviter les activités en groupe (activités récréatives, sorties) et il est recommandé de servir les repas en chambre si l infrastructure le permet. Il est recommandé de reporter les sorties ainsi que toutes les visites médicales non urgentes (médecin ou hôpital). Enfin, il est recommandé de suspendre ou au moins de limiter les visites aux personnes malades pendant une épidémie. Les visiteurs qui présenteraient des symptômes (nausées, vomissements) éviteront de même de rendre visite à leurs proches et ce pendant au moins 48 heures après la disparition des symptômes. De manière générale, il est recommandé à l ensemble des personnes malades ou pouvant être porteuses de limiter les déplacements le plus possible pour éviter la propagation de l épidémie. II.4.2. Mesures spécifiques pour le personnel Le personnel malade constitue un risque pour l environnement de travail pendant 2 à 3 jours après la disparition des symptômes cliniques.

11 11 / 12 Il est donc recommandé que le personnel qui présente des symptômes de gastro-entérite pendant l exercice de son travail quitte son poste afin d être mis en congé maladie le temps de la disparition du risque infectieux. En cas d épidémie de grande envergure entraînant une réduction notable d effectifs, le travail quotidien d accompagnement et de prise en charge des usagers ainsi que la gestion de l épidémie risquent de ne plus pouvoir être assurée normalement. Dans ce cas, il convient de faire preuve de bon sens pour assurer temporairement les tâches, aides et soins indispensables. Un plan de continuité de l activité en cas d épidémie de grande envergure peut-être établi afin que des priorités dans l accompagnement et la prise en charge soient fixées et afin d anticiper cette situation. Enfin, pour le personnel de retour après un arrêt maladie pour gastro-entérite, il est recommandé pendant 1 ou 2 jours, de conserver une hygiène stricte des mains et de respecter dans la mesure du possible le port de gants et masques lors des soins. II.5. Information La sensibilisation (information et communication efficace et ciblée) de l ensemble des personnes concernées - directement infectées ou simplement en contact avec des personnes malades - constitue un élément-clé de la gestion d une épidémie de gastro-entérite. Importance d échanger des informations - au personnel (de soins, de maintenance, de cuisine et autre) - aux médecins traitants - aux personnes prises en charge (saines et malades) - aux visiteurs - lors de transferts : aux personnes amenées à rentrer en contact avec des personnes malades ou potentiellement contaminées et ce en raison de la période d incubation (cabinet médicaux, hôpital, autre étage etc.) - aux autorités sanitaires : chaque cas confirmé doit être notifié à l Inspection sanitaire, pendant les heures de bureau, via le numéro de téléphone suivant, , afin d effectuer une surveillance épidémiologique du pays. II.5.1. Contenu de l information Il est important d aviser les personnes contaminées, les visiteurs et toute personne en contact avec des personnes contaminées des mesures de prévention à suivre. L accent sera mis sur le renforcement des mesures d hygiène, particulièrement le lavage des mains et toute mesure de protection en fonction des actes à réaliser ou des besoins. Les mesures de limitation des contacts, à savoir la limitation des déplacements, les accès restreints et les isolements, le cas échéant, seront expliquées aux différentes populations concernées. Une information spécifique par voie d affichage peut être mise en place pour les usagers, les personnels et les visiteurs.

12 12 / 12 RÉFÉRENCES/BIBLIOGRAPHIE National Disease Surveillance Centre. National guidelines on the management of outbreaks of norovirus infection in healthcare setting, 2003 Institut National de santé publique du Québec. Mesures de contrôle et de prévention des éclosions de cas de gastro-entérite infectieuse d allure virale (Norovirus) à l intention des établissements de soins, 2006, Direction de la Santé, Division de l Inspection sanitaire. Feuille d information : Infektionen mit Noroviren/Infections au Norovirus (sept 2008) OFSP (Office fédéral de la santé publique). Norovirus. Caractéristiques biologiques, épidémiologie, tableau clinique, prévention, Recommandations pour la gestion des épidémies, 2005, SUPPORTS D INFORMATION FOIRE AUX QUESTIONS - système de questions/réponses ou FAQ (Frequently Asked Questions) à l intention du grand public pour une information simplifiée, reprenant les informations et mesures à suivre FICHE INFORMATIVE qui pourra être imprimée et affichée dans les établissements (format A3) disponible en français, allemand et portugais SUPPORT DE PRÉSENTATION sous forme de Powerpoint pour soutenir la diffusion de l information auprès de l ensemble du personnel. Ces diapositives récapitulent les mesures spécifiques à prendre par le personnel soignant et les personnes en charge de l entretien

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

PROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31

PROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31 Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations

Plus en détail

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009 Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil

Plus en détail

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES 1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en

Plus en détail

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés

Plus en détail

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation

Plus en détail

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures

Plus en détail

Protection du personnel

Protection du personnel PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques

Plus en détail

AMBASSADE DE FRANCE EN BELGIQUE REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA FRANCE AUPRÈS DE L UNION EUROPÉENNE

AMBASSADE DE FRANCE EN BELGIQUE REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA FRANCE AUPRÈS DE L UNION EUROPÉENNE AMBASSADE DE FRANCE EN BELGIQUE REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA FRANCE AUPRÈS DE L UNION EUROPÉENNE APPEL D OFFRE POUR UN MARCHE DE NETTOYAGE Pouvoir adjudicateur Monsieur Bernard VALERO, ambassadeur de

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

CCTP - ANNEXE I Descriptif des opérations d entretien des locaux réguliers et en période estivale

CCTP - ANNEXE I Descriptif des opérations d entretien des locaux réguliers et en période estivale CCTP Annexe I - Page 1 sur 18 CCTP - ANNEXE I Descriptif des opérations d entretien des locaux réguliers et en période estivale 1 Salle Polyvalente Périodes d ouverture : ouvert 48 semaines fermé de mi

Plus en détail

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et

Plus en détail

Construire un plan de nettoyage et de désinfection

Construire un plan de nettoyage et de désinfection Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux

Plus en détail

REPRESENTACION PERMANANTE DE ESPAÑA ANTE LA UNION EUROPEA

REPRESENTACION PERMANANTE DE ESPAÑA ANTE LA UNION EUROPEA CAHIER DES PRESCRIPTIONS TECHNIQUES SERVICE D ENTRETIEN DES LOCAUX DE LA REPRESENTATION (BRUXELLES) 1. LOCAUX À ENTRETENIR Les bâtiments à nettoyer sont ceux situés : Bd. du Régent 50 à 1000 Bruxelles:

Plus en détail

Plateaux de bureau, bureaux

Plateaux de bureau, bureaux LOT 1 Siège central de Fedasil Plateaux de bureau, bureaux SOLS 2x par an Dépoussiérer tous les sols à l aide d un balai muni de voiles imprégnés Enlever les taches éventuelles sur les sols Aspirer à fond

Plus en détail

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen

Plus en détail

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes 1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon

Plus en détail

Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME

Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009 Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage

Plus en détail

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions

Plus en détail

Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance

Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent

Plus en détail

LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012

LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les

Plus en détail

1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux.

1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux. TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON TABLE DES MATIÈRES PAGE TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON... 1 1 GÉNÉRALITÉS... 1 1.1 CONDITIONS GÉNÉRALES ET TRAVAUX CONNEXES... 1 1.2 DESCRIPTION DES

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

Fabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013

Fabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients

Plus en détail

démarche qualité Hygiène

démarche qualité Hygiène démarche qualité Hygiène SALLES DE CLASSE, BUREAUX Chaise, table, bureau, sols, armoire, tableau, portes, interrupteurs, poubelle 1 z LAVETTE z SEAU z BALAI z SYSTEME DE LAVAGE DE SOL 1 z Eliminer tous

Plus en détail

gale - Brochure d information -

gale - Brochure d information - gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et

Plus en détail

Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections

Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections P armi les activités régulières d un service de garde, il y a la désinfection des jouets 1. La technique que vous utilisez est-elle efficace? Les

Plus en détail

Examen visual de la propreté

Examen visual de la propreté L'évaluation visuelle n'est qu'une des diverses méthodes servant à l'évaluation de l'efficacité du nettoyage. L'évaluation visuelle s'applique surtout à la surveillance des méthodes de nettoyage selon

Plus en détail

VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE

VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE A. EQUIPE PANDEMIE... 1 B. ORGANIGRAMME DEGRADE... 2 C. GESTION DES SERVICES DELEGUES... 4 D. FORMATION

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Pandémie & Entreprises

Pandémie & Entreprises Pandémie & Entreprises Dr. Elisabeth Conne-Perréard 29.09.09 28.10.2009 - Page 1 Département Office Qu'est-ce que la grippe et comment se transmet-elle? Comment se protéger contre la grippe? Que faire

Plus en détail

PUNAISES DE LIT. prévention et intervention

PUNAISES DE LIT. prévention et intervention PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle

Plus en détail

Parties communes et services

Parties communes et services Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI

Plus en détail

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l

Plus en détail

La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais

La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais 14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais

Plus en détail

OSIRIS GRIPPE A H1N1

OSIRIS GRIPPE A H1N1 REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations

Plus en détail

Hygiène des véhicules de transport sanitaire

Hygiène des véhicules de transport sanitaire 2 0 0 4 Hygiène des véhicules 2 0 0 4 de transport sanitaire Sommaire Les fiches d enregistrement sont insérées dans le rabat en 3 ème de couverture. Préambule... 3 Étude préliminaire, objectifs... 3 Recommandations

Plus en détail

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques!

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

Demande de devis. Objet : entretien des locaux d Arcadi

Demande de devis. Objet : entretien des locaux d Arcadi Demande de devis (Procédure adaptée à bons de commande articles 28 et 77 du code des marchés publics) Référence à rappeler obligatoirement sur toute correspondance ARCADI MPFCS 12-2012/01 Objet : entretien

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :

Plus en détail

Une pandémie d influenza...

Une pandémie d influenza... Une pandémie d influenza... Que feriez-vous avec seulement le 2/3 de vos effectifs? Ordre du jour Pandémie influenza Dr. Lucie-Andrée Roy, Santé publique Annick Bouchard, M.Sc.Env., Centre de sécurité

Plus en détail

A LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER

A LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER 4 Le Pas du Château 85670 SAINT PAUL MONT PENIT TEL : 02-51-98-55-64 FAX : 02-51-98-59-07 EMAIL : info@medicatlantic.fr Site Internet : http//: www.winncare.fr MANUEL D UTILISATION Des Systèmes d Aide

Plus en détail

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Offre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.

Offre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt. 2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie

Plus en détail

FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION

FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION Domaines : Services à la population Sous domaine : Restauration collective Code fiche du répertoire des métiers territoriaux : 11/D/24 AGENT

Plus en détail

Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?

Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,

Plus en détail

La réglementation quelques incontournables

La réglementation quelques incontournables Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements

Plus en détail

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

Conditions générales de vente

Conditions générales de vente Conditions générales de vente ( Particuliers ) Affichage : Des panneaux spécifiques sont à votre disposition dans la plupart des salles : pas de clou, pas de punaise et pas de scotch en dehors de ces panneaux

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

Infections urinaires chez l enfant

Infections urinaires chez l enfant Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous

Plus en détail

SÉCHAGE L ÉLECTROMÉNAGER CE QU IL FAUT SAVOIR

SÉCHAGE L ÉLECTROMÉNAGER CE QU IL FAUT SAVOIR Suivez le guide! CE QU IL FAUT SAVOIR Votre facture d éléctricité n est pas votre facture de chauffage! Voici comment se répartit votre facture d éléctricité Attention plus vous consommez plus votre facture

Plus en détail

Protégeons-nous ensemble!

Protégeons-nous ensemble! Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD. MISSIONS de l ARLIN Bretagne

Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD. MISSIONS de l ARLIN Bretagne Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD MISSIONS de l ARLIN Bretagne Conseils et assistance aux ES et aux EHPAD FAM MAS Animation

Plus en détail

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire

Plus en détail

LAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.

LAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates. SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9

Plus en détail

RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014

RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Ville de Saint-Palais-sur-Mer Groupe scolaire Lucien Robin RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Préambule Le restaurant scolaire n est pas

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE. Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011

REGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE. Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011 REGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011 Modifié par délibérations des 9 juin et 15 décembre 2011 NOM et Prénom de

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)

Plus en détail

Prépration cutanée de l opéré

Prépration cutanée de l opéré Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de

Plus en détail

Voyage en Chine au mois de Novembre 2013

Voyage en Chine au mois de Novembre 2013 Voyage en Chine au mois de Novembre 2013 Note importante!! : Lors de la remise de vos documents, veuillez vérifier soigneusement les noms, dates de départ etc. S il y a une erreur, veuillez SVP nous en

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

1 Organiser et gérer. son poste de travail

1 Organiser et gérer. son poste de travail 1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans

Plus en détail

LOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1

LOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1 Ref. Ares(2014)4124941-09/12/2014 SN : si nécessaire - : 1x par jour - : 1 x par semaine - 2M : 2 x par mois - : 1 x par mois - 4A : 1 x par trimestre - 2A : 1 x tous les six mois - 1A : 1 x par an techni

Plus en détail

Restauration d entreprise

Restauration d entreprise A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code

Plus en détail

Bureaux et assimilés, locaux techniques, locaux archives ) Vidage des corbeilles. balayage humide des sols

Bureaux et assimilés, locaux techniques, locaux archives ) Vidage des corbeilles. balayage humide des sols BATIMENT A ANNEXE 1 Fréquence des prestations : périodicité Nature des prestations Q H M T A Local dédié au agents d'entretien : chambre F1 ET F20 internat filles ET G18 internat gatçon Bureau et assimilés,

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA

Plus en détail