Une association a-t-elle besoin d'adhérents?

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1 Une association a-t-elle besoin d'adhérents? (Contribution de la commission nationale Vie associative) La commission nationale «Vie associative» a organisé le 4 mars 2004 une journée thématique sur la place des adhérents dans les associations Fnars. La commission a retenu une définition élargie de l adhérent, dépassant le simple cotisant. Dans ce texte, est entendu comme adhérent celui qui s associe à l action de l association (cotisants, administrateurs, donateurs, bénévoles ). Etaient invitées à cette journée les associations qui avaient répondu à un questionnaire diffusé dans la Gazette en Ce questionnaire avait mis à jour le fait que les associations Fnars se présentaient essentiellement dans leur dimension gestionnaire ; centrées sur les services qu elles rendent aux usagers, plus que porteuses d un projet politique de transformation sociale. De fait, les associations Fnars développent peu d actions visant à élargir le cercle de leurs adhérents et quand ils existent, l intérêt de leur présence est valorisé par rapport aux services rendus. Ce sont des personnes qui permettent une meilleure diffusion des services, de mieux les faire connaître ou reconnaître, qui facilitent leur mise en œuvre auprès des personnes accueillies. Rarement les adhérents sont repérés comme membres de l assemblée générale, comme citoyens associés pour défendre un projet politique commun. Dans la plupart des cas, ce dernier n est pas explicite. Se pose alors la question de savoir au service de quel projet se développent les services rendus. Le projet des politiques publiques? Le projet des professionnels chargés de le mettre en œuvre? La commission "Vie associative" a résumé cette situation en disant "les associations Fnars développent leurs jambes mais pas leur tête". Pour elle, l association devrait se définir aussi comme un espace public de débats (entre les adhérents) à partir duquel émerge un projet commun se déclinant en production d actions, de services, d établissements : "L action associative issue de la rencontre entre personnes, ouvre à l espace public, c est-àdire qu elle offre à ces personnes la possibilité de contribuer à la construction d un monde commun indispensable à la démocratie, à travers un engagement volontaire ménageant la pluralité des opinions, la conflictualité des intérêts, et la différence des perspectives". 1 L objet de cette journée était d ouvrir le débat sur ce thème au sein de la Fédération, pour tenter de faire ressortir une certaine conception de la vie associative. La diffusion de ce document est une façon de contribuer à la mise en œuvre de l orientation du projet fédéral : «développer et défendre le mouvement associatif». Engagées dans une réflexion sur leur fonctionnement associatif, les associations représentées à cette journée veillent à ce que leurs dirigeants (administrateurs et directeurs) conduisent un développement coordonné de l espace d élaboration du projet (dimension politique) et de l espace de sa mise en oeuvre (dimension technique). 1 "Sociologie de l association" JL. Laville, R.Sainsaulieu 1

2 Nous nous sommes référés ici à une conception de l association construite autour de deux dimensions : un espace sociopolitique, lieu de débats, d élaboration du projet commun aux acteurs de l association, et un espace sociotechnique, lieu de mise en œuvre de ce projet, de gestion d établissements et de services. Espace Socio-politique Dirigeance associative (Conseil d administration / Direction) Espace socio-technique En effet un développement non coordonné, volontairement ou non, de ces deux espaces, conduit à deux modèles dans lesquels ne se retrouvent pas les associations représentées à cette journée. L'association centrée sur sa dimension "gestionnaire" : Dans ce modèle l espace sociopolitique est quasiment inexistant, réduit à quelques administrateurs. L association est centrée sur la gestion d actions, de services ou d établissements au service d un projet défini ailleurs. C est l association "outil". N'est-ce pas ce modèle sur lequel fonctionnent de nombreuses associations Fnars? L association "mouvement" : Cette association développe un espace sociopolitique important, elle construit un projet commun mais qu elle ne traduit que peu en actions. Elle met l accent sur le rôle de veille, d interpellation des pouvoirs publics sur un certain nombre de questions. 2

3 Ce modèle est peu répandu dans la Fnars ; n'est-ce pas celui sur lequel fonctionne certains de nos partenaires, DAL (Droit au logement), par exemple? Consensus Un accord entre les participants s est dessiné sur le fait que ce qui légitime d'abord l association ce ne sont pas, d abord, les services qu elle rend, mais sa fonction politique ou citoyenne, sa fonction de création de lien social. Les services rendus ne sont que des outils au service de cette fonction citoyenne. La question des adhérents, de leur place et de leur nombre, est alors centrale puisqu elle témoigne de la capacité de l association à mobiliser la société civile à "faire société". La question des adhérents touche également à la représentativité de l association. C'est pourquoi leur nombre et les relations de l'association avec eux sont des indicateurs importants d'une vie associative. Enfin les participants ont mis l accent sur le fait que si la dimension politique et citoyenne de l association ne saurait exister sans une conception large et ouverte de l espace sociopolitique, elle ne peut non plus négliger une relation particulière au territoire local. La communication avec les citoyens de ce territoire est à penser de manière perméable afin d une part, que les idées et positions prises irriguent le tissu local autant que le projet de l association lui-même et d autre part, que cet espace puisse s ouvrir à de nouveaux citoyens de ce territoire, cette perméabilité visant à favoriser l adhésion. Questions Après ce consensus parmi les participants, sur cette conception associative et sur la place des adhérents, deux catégories d acteurs non repérés comme adhérents dans nos débats soulèvent une série de questions qui invitent à poursuivre la réflexion en y associant sans doute d autres commissions de la Fnars, il s agit des usagers ou bénéficiaires des services, et des salariés chargés de la mise en œuvre des projets de l association. Les usagers : si la loi du 02 janvier 2002 prévoit concrètement leur participation au fonctionnement des établissements sociaux, qu en est-il de leur implication dans le fonctionnement associatif? Peut-on voir ces personnes autrement que comme bénéficiaires des services, peut-on les solliciter dans leur dimension citoyenne, peut-on les concevoir comme acteur de l espace sociopolitique, peut-on instaurer avec eux une même relation de réciprocité qu avec les autres adhérents? Dans son projet fédéral, la Fnars veut «affirmer la place des usagers dans le réseau et dans la vie locale» ; ne faut-il pas lier cette orientation avec le développement de la vie associative? Cette question renvoie à la spécificité associative dans la gestion d établissements. En effet les établissements sociaux et médico-sociaux se trouvent désormais dans trois modalités de gestion : le service public, le privé lucratif et le privé associatif. A l avenir, les associations devront pouvoir répondre à la question de la spécificité apportée par la forme associative. Peut-être pouvons-nous la trouver dans le passage de simple statut de l usager au citoyen, dans la possibilité que lui offre l association d exercer sa citoyenneté? 3

4 Les salariés : durant cette journée, comme souvent lorsqu est abordée la question des fonctionnements associatifs, le rapport entre bénévoles de l association et salariés s est présenté sous forme d opposition. Les bénévoles ou plus largement les adhérents revendiquent la paternité associative qui ne saurait se perdre dans des logiques exclusivement professionnelles, la recherche d une identité et la préservation d un espace propre pour équilibrer un pouvoir technique, professionnel réel et important dans les établissements sociaux. Peut-on, comme pour les bénévoles, solliciter la dimension militante des professionnels, au moins de ceux qui le souhaitent? Peut-on se passer de leur contribution à l espace sociopolitique, d autant plus que ce sont eux qui sont chargés de mettre en œuvre le projet de l association? N y a t il pas, là aussi, à faire le lien avec l orientation du projet fédéral qui vise à «promouvoir la place du travail social dans la société»? Autant de questions sur lesquelles nous ne pouvons aujourd hui ressortir avec un consensus et qui devraient faire partie du débat à ouvrir dans la Fnars. En conclusion Si les participants à cette journée sont d'accord sur le fait qu une association d action sociale existe d abord par son espace sociopolitique, c est-à-dire par sa capacité à faire projet, à porter une parole politique, que celle-ci est d abord la question des adhérents, nous ne pouvons affirmer que ce point de vue corresponde à une conception associative partagée au sein de la FNARS. Ce document vise à sensibiliser les adhérents FNARS à cette question et à l enjeu de celleci pour l avenir des associations d action sociale. Cet enjeu associatif renvoie également, au-delà de la place des adhérents, à celle de deux autres acteurs dans le fonctionnement associatif : les salariés et les usagers des établissements. C est en travaillant sur cette coopération entre les différents acteurs de l association (cotisants, bénévoles, salariés, usagers ) que nous pourrons traiter de la spécificité associative et des particularités de sa gouvernance, n'est-ce pas l'un des enjeux du Projet fédéral adopté au congrès de Toulouse? 4

5 Moyens recensés pour mobiliser des adhérents A l occasion ce cette journée, plusieurs moyens pour mobiliser des adhérents ont été recensés. Les voici, classés en 3 rubriques : 1- Rechercher de nouveaux adhérents Il faut ratisser large et en permanence. Importance des contacts personnels Importance de la tenue à jour du fichier des adhérents Campagne de communication 2- Tenir informé les adhérents de la vie associative De nombreux outils existent ; pour les mettre en œuvre, cela suppose qu au sein du conseil d administration, de même qu'au sein du personnel permanent, plusieurs personnes soient chargées de leur mise en œuvre. Le journal de l association. Le mot semestriel ou trimestriel du président. Des articles dans la presse à l occasion des évènements marquants. L invitation systématique aux assemblées générales avec diffusion des rapports d activités. Les invitations à des manifestations dans le cadre de la lutte contre les exclusions. Des rencontres conviviales entre administrateurs/bénévoles/salariés. Des invitations pour des inaugurations ou des évènements importants. L organisation de réunions à thèmes. Des journées "portes ouvertes". Représentation à l extérieur. 3- Confier des missions aux adhérents Cela ne peut se réaliser qu à la condition qu un "référent" soit nommément désigné pour accompagner l action des adhérents bénévoles. Les campagnes de cotisations et de dons. Action humanitaire/accès à la culture et aux loisirs/amélioration des conditions de vie à l intérieur de l association. Accompagnement des personnes accueillies. Organisation de fêtes. Dépannage humanitaire. Participation à des groupes de travail sur des sujets bien identifiés. Association des adhérents à la refonte du projet associatif. Apport de compétences en matière juridique, notariale, droit du travail, gestion comptable, constructions 5

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