«Contradictions entre la recherche de la Vérité et la Tolérance: La Vérité est nécessairement sans contradiction possible».
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- Jean Thomas
- il y a 8 ans
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1 «Contradictions entre la recherche de la Vérité et la Tolérance: La Vérité est nécessairement sans contradiction possible». La recherche de la Vérité est la clé de voûte du travail dans notre atelier, auquel elle n'est toutefois pas circonscrite D'autre part au delà du rappel que chaque société a sa conception morale du Devoir, que chaque âge a la sienne correspondant à son sens moral, on nous exhorte à dépasser ce seul plan moral, exotérique et contingent. Mais rappelez-vous que nous sommes tous soumis à la grande Loi universelle du Grand Architecte. Ainsi l'initié est élevé à un plan métaphysique, ésotérique et spirituel, fondement du Devoir, défini comme la quête de la Vérité. Et notre travail dans ce degré ne cesse de mettre l'accent sur cette orientation, plus résolument spirituelle que dans les degrés antérieurs. Quelques exemples significatifs peuvent en être relevés: «Le Rite Ecossais Ancien et Accepté a vocation spiritualiste... Le désir de vous dépasser dans votre quête initiatique vers la lumière trouvera satisfaction par l'accès à une spiritualité plus haute...» Ainsi dans notre Atelier se profile déjà le changement de plan initiatique qui réside dans le passage du Temple matériel au Temple spirituel. Toute ambiguïté doit être levée quant à la Vérité : Il s'agit au REA A de la «Vérité». Il ne faut pas en effet profaner le mot de Vérité en l'accordant aux conceptions humaines. La Vérité est inaccessible à l esprit humain, il s'en approche sans cesse, mais ne l'atteint jamais. Bien d'autres assertions pourraient nous conforter, mais en premier lieu celle-ci: il ne s'agit pas de l'acquisition d'un savoir ou d'une culture, mais de la recherche d'une connaissance métaphysique. La Vérité n'est pas définie, mais sa nature transcendantale, c'est à dire au-delà de toute contingence exotérique, n'en apparaît pas moins nettement. L'esprit est alors tendu, au-delà des apparences vers une connaissance des choses dans leur essence : la Connaissance. Expression de la Vérité, elle est fondée sur une perfection dont le cosmos est, pour un certain nombre de traditions et de philosophies, l'archétype. Pour le REAA, il est ordonné par le Grand Architecte de l'univers qui en réalise l'unité et se situe dans l'absolu. Aussi Paul Naudon, peut-il écrire que «la connaissance est l'absolu et la Vérité est à la fois, l'absolu et l'unité». Il identifie en fait Connaissance et Vérité, et c'est bien cette identification qui s'établit dans le REAA. En effet la vérité ne réside pas dans l'opinion où la raison cède souvent le pas à la passion ; mais elle ne réside pas non plus dans les sciences, même expérimentales, réputées lieux de certitudes rationnelles, parce que ce que nous avons d'être nous dérobe la connaissance des premiers principes, qui naissent du néant; et le peu que nous avons d'être nous cache la vue de l infini.
2 Nécessaire dans l'initiation, l'élévation au-dessus du plan rationnel n'en exclut pas la raison. Mais elle y est relayée par l'intuition qui en prend la mesure pour la transcender. Ainsi, l'initié est-il élevé vers un degré métaphysique où Connaissance et Vérité sont une seule et même chose: l'unité (ou l'un), L'absolu. La recherche de la Vérité se confond alors avec le progrès sur la voie de la connaissance. Le terme de symbole lui-même porte dans son étymologie grecque l'idée de séparation. Mais la fonction du symbole n'en est pas moins celle du rattachement. S'efforcer de progresser par la voie symbolique, par l'élévation spirituelle, vers le rattachement, c'est s'approcher sans cesse de la Vérité qui doit être recherchée dans un temps et un lieu sacré ; et ce cheminement doit conduire au sacré. La Franc-Maçonnerie se distingue des Eglises par le fait qu'elle ne se prétend nullement détentrice de la Vérité. L'enseignement du REAA ne comporte ni dogmes ni credo d'aucune sorte. Chaque Frère est appelé à construire par lui-même l'édifice de ses propres convictions. C'est dans ce but qu'il est initié à la pratique de l'art de la pensée. S'opposant à l'aliénation, le REAA revendique la liberté de conscience pour ses membres. Mais certaines approches font un contresens fâcheux sur cette notion fondamentale: elles confondent cette attitude avec l'agnosticisme, doctrine selon laquelle tout ce qui est au-delà du donné expérimental, tout ce qui est métaphysique, est inconnaissable. Elles se réfèrent aux données du siècle des lumières, qui accordait la prééminence à l'intelligence naturelle du savoir et qui a abouti au scientisme étroit du 19 ème siècle. D'autres approches, encore plus pernicieuses, s'opposent à toute forme de religiosité sous prétexte de libre pensée (qui n'a aucune commune mesure avec la pensée libre) pour se réfugier dans un athéisme caricatural prônant une liberté absolue derrière la formule «ni Dieu ni Maître» adoptée par les doctrines anarchistes. En réalité, la liberté de conscience est d'une toute autre nature. Il faut savoir que «conscience» est pris dans son sens étymologique de «connaissance» à laquelle on parvient par un acte qui consiste à séparer le vrai du faux, le contingent de l'essentiel. Elle repose sur la connaissance intime des êtres et des choses, à commencer par la connaissance de soi. Le REAA propose une réflexion sur l'homme comme être individuel et social, comme être culturel et spirituel. Cette réflexion traduit les préoccupations permanentes de l'homme confronté à lui-même, à sa nature, à son devenir et à sa destinée face aux problèmes de la liberté et de la justice, de la vie et de la mort, de la beauté et de l'amour. Ainsi le frère peut-il en toute liberté de conscience, c'est à dire en toute connaissance de cause, se livrer à sa quête de vérité et de justice à travers un idéal d'amélioration du bien-être matériel et moral de l'humanité. Un Franc-maçon, du REAA ne peut être ni un athée stupide ni un libertin irréligieux. Grâce à sa liberté de conscience, il est apte à se tourner vers sa vie intérieure Dégagés des liens qui entravent notre liberté de conscience, nous Francs-maçons du REAA en quête de vérité et de justice, ne repoussons rien à priori. Car nous savons que toute prévention, tout parti pris s'opposent à notre liberté de jugement, et donc à notre pensée libre. Le véritable ami de la vérité ne saurait être un esprit borné, systématiquement enfermé dans le cercle étroit de son horizon mental. Ce doit, au contraire, être une intelligence largement ouverte à toutes les idées susceptibles de
3 provoquer une modification des convictions présentes, dans le but de les affiner. Celui qui a des idées arrêtées et qui tient à les conserver n est pas un homme libre, donc pas un homme de lumière et de progrès. C'est un pontife qui croit savoir et qui a foi dans son infaillibilité. Si l'initiation ne parvient pas à le désabuser, c'est qu'il ferme les yeux et qu'il tient à rester profane, donc il n'a rien à faire chez nous. Si nous reprenons le premier chapitre des Constitutions d'anderson de 1723, nous y lisons que le Franc-maçon doit se soumettre seulement à cette religion que tous les hommes acceptent laissant à chacun son opinion particulière qu'elles que soient les dénominations ou croyances qui puissent les distinguer. En d'autres termes, dès le départ, la Franc-maçonnerie spéculative accepte la pluralité des confessions. Pour ce faire, on comprend la nécessité de la tolérance, qui fait de la Franc-maçonnerie traditionnelle un véritable centre d'union entre les hommes. Encore faut-il s'entendre sur le concept de tolérance, car on le rencontre aussi bien en philosophie, en religion, en médecine ou en technologie que dans le langage courant. Sur le plan philosophique, ce terme était à l'origine relié à l'erreur religieuse et à l'immoralité (c'est de là que vient le terme «maison de tolérance»). Ainsi pour Montaigne, la tolérance est la capacité à endurer, elle représente une épreuve et une souffrance portées par celui qui tolère. Au plan théologique, la tolérance représente l'indulgence à l'égard de l'opinion d'autrui sur les points de dogme que l'eglise ne considère pas comme essentiels. Nous sommes ici dans le domaine de la condescendance. Pour le médecin, la tolérance c'est l'aptitude de l'organisme à supporter plus ou moins bien l'action d'un médicament. Le technicien y voit la marge d'écart admise entre les dimensions prévues d'un objet et ses dimensions réelles. Dans le langage courant, la tolérance consiste à ne pas interdire ou à ne pas exiger quelque chose alors qu'on le pourrait (c est donc une forme d'abstention) ou qu'on le devrait dans ce cas, la tolérance est perçue comme une faiblesse, voire d'une lâcheté. Souffrance, indulgence, condescendance, capacité à supporter, écart par rapport à une norme, abstention, lâcheté: voilà des attitudes à caractère négatif. De par l'essence même du Rite on comprend que ces diverses acceptions ne peuvent être retenues par un initié dont la nature est, par nature, positive. Pour le Franc-maçon, la tolérance est une attitude qui consiste à admettre chez autrui une manière de penser ou d'agir différente de celle qu'il adopte pour lui-même. Sa liberté de conscience, de jugement et de pensée le met à même d'accepter la position de son prochain sans pour autant renier ses propres convictions, mais en sachant que de la discussion peut naître la lumière, car nul n'est détenteur de la vérité. Car dans sa quête de la vérité, le Franc-maçon sait qu'il ne pourra jamais atteindre la Vérité absolue. Nous devons faire preuve d'humilité face à notre ignorance mutuelle, et donc ne pas rejeter les autres comme des êtres obstinés ou pervers parce qu'ils ne veulent pas ou ne peuvent pas abandonner leurs opinions pour embrasser les nôtres. La tolérance est tout le contraire du sectarisme et de l'intégrisme, qui sont la négation de la liberté de conscience. Par ailleurs, la tolérance n'est pas l'indifférence.
4 Le Franc-maçon, comme tout homme de cœur, se sent lésé par toute iniquité, même lorsqu'il n'en est pas directement victime. Car se désintéresser du sort d'autrui, c'est rompre le lien de solidarité qui unit tous les membres de la famille humaine. Mais si le Franc-maçon a le sens, inné ou acquis, de la tolérance, il a également le devoir d'intolérance. Et cette intolérance doit d'abord s'appliquer à soi-même. Le maçon écossais possède par l'utilisation des outils symboliques, les armes de la connaissance, de la liberté de conscience et de la tolérance pour combattre en luimême les trois mauvais compagnons que sont l'ignorance, le fanatisme et l'ambition personnelle. Il lui faut aussi rayonner au dehors l'enseignement maçonnique par son action individuelle pour défendre la cause de la justice et les droits de l'homme contre toute autorité usurpée ou abusive et contre tout système oppresseur des libertés. En conclusion, si la recherche de la vérité est inhérente à l'homme, il faut s'entendre sur le terme de vérité. Le développement des connaissances sur un plan profane, par un enseignement exotérique conduit le plus souvent à des vérités recherchées extérieurement à l'homme lui-même. Mais, et ce n'est qu'un paradoxe apparent, ces vérités tendent à le replier sur son être singulier, sur un plan temporel, contingent. Au contraire, l'homme peut s'élever spirituellement, progressant du même pas, par la voie ésotérique spirituelle, vers la connaissance, la Vérité et l'amour. La lumière qui doit le guider est immanente, mais loin de le replier sur son être singulier, elle peut le sublimer dans la transcendance en le reliant à l'absolu, à l'unité, à l'intemporel, c'est à dire à l'etre, le Grand Architecte de l'univers. La vérité est donc d'origine métaphysique alors que la tolérance est plutôt une façon d'essayer de vivre et de se comprendre entre humains. C'est la raison pour laquelle la Vérité est nécessairement sans contradiction possible alors que la tolérance est relative. * * * C est pourquoi nous pourrions, paraphrasant des sentences anciennes, édicter un certain nombre de conseils pourquoi ne pas tenter d imiter Epictète? Et voici, concernant le sujet qui nous intéresse, ce que nous pourrions écrire : «Ne vous forgez point d'idoles humaines pour agir aveuglément sous leur impulsion, mais décidez par vous mêmes de vos opinions et de vos actions» (en insistant sur le mot «idoles», ce qui n empêche pas d avoir des modèles librement et intelligemment choisis ) «Ne prenez pas les mots pour des idées et efforcez-vous toujours de découvrir l'idée sous le symbole.» «N acceptez aucune idée que vous ne compreniez et ne jugiez vraie» c'est-à-dire qu il nous faut développer notre raison et notre intelligence afin de juger sainement
5 «Ne vous payez pas de mots, n'accordez à qui que ce soit une confiance aveugle, mais écoutez tous les hommes avec attention et déférence.» Ce qui suppose auparavant l intention suivante : «Ayez la ferme résolution de les comprendre.» Et également celle-ci : «Respectez toutes les opinions, mais ne les acceptez pour justes que si elles vous apparaissent comme telles après les avoir examinées.» «Ne profanez pas le mot de Vérité en l'accordant aux conceptions humaines.» «La Vérité absolue est inaccessible à l esprit humain. Il s'en approche sans cesse, mais ne l'atteint jamais.» J ai dit. J.S.
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