Lycée Clemenceau. PCSI 1 - Physique. PCSI 1 (O.Granier) Lycée. Clemenceau. Le 2 nd principe Notions d entropie. Olivier GRANIER

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Lycée Clemenceau. PCSI 1 - Physique. PCSI 1 (O.Granier) Lycée. Clemenceau. Le 2 nd principe Notions d entropie. Olivier GRANIER"

Transcription

1 Lycée Clemenceau CI (O.Granier) Le 2 nd principe Notions d entropie Olivier GRNIER

2 I Nécessité d une nouvelle fonction d état ; l entropie hénomènes réversibles et irréversibles : Quelques exemples de transformations irréversibles : Le vieillissement d un être humain La diffusion d une goutte d encre dans de l eau Des oscillations d un ressort en présence de frottements. n ressort n est plus élastique lorsqu il a été étiré en dehors de sa zone d élasticité. Irréversibilité due à un déséquilibre mécanique (différences de pressions) Irréversibilité due à un déséquilibre thermique (différences de températures) : un corps chaud se refroidit au contact d un corps froid (pourquoi pas l inverse?) Olivier GRNIER

3 Le er principe n interdit pas à une transformation irréversible de «fonctionner» à l envers : il «suffit» d inverser le sens du temps. Mais on n a jamais vu un château de cartes s effondrer puis reprendre spontanément sa forme, comme par magie. Dans une machine thermique (un moteur de voiture, par exemple) : l énergie globalement se conserve mais seule une partie de la chaleur dégagée par la combustion se retrouve en travail mécanique. Il apparaît une dissymétrie entre le travail (énergie «ordonnée») et la chaleur (énergie «dégradée»). Olivier GRNIER

4 2 Énoncés historiques du 2 nd principe : «La chaleur s écoule spontanément d un corps de haute température à un corps de basse température. D elle-même, la chaleur ne s écoule jamais d un corps froid à un corps chaud». Énoncé de Kelvin : «ucun processus n est possible, si son résultat est l extraction de la chaleur d une source et sa transformation complète en travail (impossibilité du moteur monotherme)». Énoncé de Clausius : «ucun processus n est possible, si son résultat unique est le transfert d une quantité d énergie thermique d un corps à basse température vers un corps dont la température est plus élevée». Olivier GRNIER

5 3 rincipe d évolution : On considère un système isolé (W 0 et Q 0), donc d énergie interne constante : par exemple, un barreau métallique chaud que l on place dans une piscine. Que dit le er principe? Énergie interne NON E C D NON F C D E F État initial États finaux possibles (de même énergie interne que celle de ) États finaux impossibles (énergie interne différente de celle de ) Olivier GRNIER

6 n seul état est atteint (l état (), par exemple) : par construction, on définit une fonction d état, appelée «entropie» et notée, qui va permettre de choisir le «bon» état final : Entropie OI «bon» état final Que dit le 2 nd principe? NON NON C D ( > ) «our tout système isolé, les transformations spontanées s accompagnent d une augmentation de l entropie, l énergie interne restant constante». C est un principe d évolution Olivier GRNIER

7 4 Relations entre l entropie, la température et la pression : a Relation entre et : On considère deux corps () et () en interaction purement thermique et de volumes constants (paroi fixe). () () On suppose > : la chaleur passe alors de () vers (). Enceinte adiabatique,,,, aroi diatherme fixe (laisse passer la chaleur) Le système (+) étant isolé, lors d une transformation élémentaire : d + d d d 0 > 0 Olivier GRNIER

8 Le système (+) voit son entropie augmenter (principe d évolution) : d d + d 0 ( l' entropie est additive) En considérant l entropie dépendant des variables et : d d vec d d et d d, il vient : d d d d Olivier GRNIER

9 Olivier GRNIER Lycée Clemenceau d d et d d D où : 0 d d Lorsque le système n évolue plus, l entropie a atteint son maximum et d /d 0, alors, à l équilibre du système :

10 Olivier GRNIER Lycée Clemenceau Cette égalité est équivalente à l égalité des températures des deux corps () et () à l équilibre. On pose : s exprime, dans le I, en J.K. ;

11 La variation d entropie du système s écrit ensuite en fonction des températures : d d i >, alors d < 0 : la chaleur s écoule bien du corps chaud vers le corps froid. b Relation entre et : On considère toujours deux corps () et () en interaction thermique mais cette fois les volumes varient (paroi mobile). On a toujours d d et en plus d d (le volume global de l enceinte est constant). 0 Olivier GRNIER

12 Le système (+) voit son entropie augmenter (principe d évolution) : d d + d 0 ( l' entropie est additive) En considérant l entropie dépendant des variables et : d d d d et vec, il vient : d d d + + d d d Olivier GRNIER

13 Olivier GRNIER Lycée Clemenceau D où : l équilibre du système, on aboutit à une nouvelle condition (en plus de celle donnant l égalité des températures) : d d d d d d + d d d +

14 Olivier GRNIER Lycée Clemenceau Cette condition d équilibre doit correspondre à la condition d équilibre des pressions de part et d autre de la paroi mobile. ar soucis d homogénéité, on pose : et

15 Olivier GRNIER Lycée Clemenceau c Identité thermodynamique : partir des deux dérivées partielles : On peut exprimer la différentielle de l entropie : d d d + d d d +

16 On en déduit la différentielle de l énergie interne : d d d Cette relation porte le nom «d identité thermodynamique». partir de cette différentielle, on déduit : et Olivier GRNIER

17 On peut également exprimer la différentielle de l enthalpie : dh d + d + d dh d + d partir de cette différentielle, on déduit : H et H Olivier GRNIER

18 d Cas d une transformation réversible : Lors d une transformation réversible : d δq + δw δq d ar identification avec l identité thermodynamique : d d d Il vient : δq d δq d R N CHEMIN REERILE i δq 0, alors d 0 (adiabatique réversible isentropique) Olivier GRNIER

19 II Exemples de fonctions «entropie» Entropie d un gaz parfait : partir de la différentielle de l entropie : Et en utilisant : d d + d d, nc mold et nr On obtient : d nc, d mol + nr d Olivier GRNIER

20 En intégrant, on obtient l entropie en fonction des variables et : d nc, mold(ln( )) nrd(ln( )) +, ) nc mol ln( ) + nr ln( ) + (, cste nc 2, mol ln + nr ln 2 pplication : retrouver les lois de Laplace Olivier GRNIER

21 partir de la différentielle de l enthalpie : dh d + d On évalue d : d dh d vec (gaz parfait) : dh, nc mold et nr On obtient : d nc, mol d nr d Olivier GRNIER

22 En intégrant, on obtient l entropie en fonction des variables et : d nc, mold(ln( )) nrd(ln( )) (, ) nc, mol ln( ) nr ln( ) + cste nc 2, mol ln nr ln 2 pplication : retrouver les lois de Laplace Olivier GRNIER

23 2 Entropie d un gaz de an der Waals : partir de la différentielle de l entropie : Et en utilisant (pour une mole) : On obtient : d d + d a a C, mol et + 2 ( b) R d C, mol d + a 2 d + R b a 2 d Olivier GRNIER

24 oit : d C, mol d + R b d En intégrant : (, ) C, mol ln( ) + R ln( b) + cste C 2, mol ln + R ln 2 b b Olivier GRNIER

25 3 Entropie d une phase condensée : partir de la différentielle de l entropie : d d + d Et en considérant que le volume de la phase condensée est constant (d 0) : d d vec d mc m d, on obtient : d mc m d ; mc m ln( ) + cste ; mc m ln 2 Olivier GRNIER

26 III Le 2 nd principe, un principe d évolution ariation d entropie d une source de chaleur : ne source de chaleur (ou encore thermostat) est un corps de taille infinie, de volume constant, de température constante 0, échangeant uniquement de la chaleur avec l extérieur. our la source (de volume constant) : d source d source 0 Or (δq représente le transfert thermique reçu par le système) : ystème δq ource de chaleur ( 0 ) d source δq d' où d source δq 0 Olivier GRNIER

27 2 ariation d entropie d un système lors d une transformation élémentaire au contact d une source de chaleur : L nivers (ystème + ource) est isolé, par conséquent : d nivers 0 d nivers d ystème dystème + dource δq 0 δq d ystème ystème L égalité est obtenue lorsque l échange de chaleur est réversible δq ource de chaleur ( 0 ) L nivers (isolé) Olivier GRNIER

28 3 ariation d entropie lors d une transformation adiabatique irréversible : Le système subit une transformation adiabatique irréversible, durant laquelle il peut recevoir du travail (le système est thermiquement isolé). diabatique irréversible EI : ( ; ) EF : ( ; ) On va montrer que la variation d entropie du système est > 0. our le montrer, on réalise le cycle de transformations suivant : Olivier GRNIER

29 D diabatique réversible Isotherme à diabatique irréversible C On définit un cycle monotherme (une seule source de chaleur). i W représente le travail total reçu par le système lors du cycle : diabatique réversible W > 0 (Énoncé de Kelvin : impossibilité du moteur monotherme) ar conséquent, d après le er principe appliqué lors du cycle : Q - W (Q < 0) où Q est la chaleur reçue par le système lors de l isotherme à. Olivier GRNIER

30 D diabatique réversible Isotherme à diabatique réversible diabatique irréversible C Lors du cycle, la variation d entropie est nulle : + C + CD C D CD Q + D 0 0 ( adia rév) (isotherme) ar conséquent : CD Q > 0 ( car Q < 0) Olivier GRNIER

31 4 Énoncé final du 2 nd principe : L entropie est une fonction d état, additive et extensive. Expression élémentaire du 2 nd principe : Le système reçoit travail et chaleur. a variation d entropie d vérifie : d δq ext Ce que l on écrit sous la forme : d δ δq ext échange + δ création δq δ δq ystème δw échange δ + δ et création ext création 0 ource de chaleur ( ext ) Olivier GRNIER

32 d δ δq ext échange + δ création δq δ échange δ + δ et création ext création 0 δ échange : l entropie d échange dépend des échanges de chaleur avec l extérieur ; son signe est quelconque. δ création : l entropie de création (positive ou nulle, uniquement dans le cas d une transformation réversible) est liée aux transformations internes au système et caractérise le degré d irréversibilité de la transformation (hétérogénéité de températures, de concentrations, déséquilibre de pression, ). Olivier GRNIER

33 Expression du 2 nd principe pour une transformation finie : Le système reçoit travail et chaleur. a variation d entropie vérifie : EF EI δq ext ystème Q ource de chaleur ( ext ) Ce que l on écrit sous la forme : W EF δq + création échange + EI ext EF δq échange et création 0 EI ext création Olivier GRNIER

34 En pratique, comment réaliser un bilan entropique? se calcule en imaginant une transformation réversible amenant du même EI au même EF ou directement si l on connaît la fonction entropie (G, par exemple) échange EF EI δq ext se calcule sur le chemin réellement suivi. création se calcule ensuite avec création échange 0 i la transformation est réversible : EF δq échange et création EI ext 0 Olivier GRNIER

35 5 Exemples de bilans entropiques : er exemple : on place un métal chaud à la température (masse m,capacité calorifique massique c m ) dans l eau d une piscine à la température 0 <. Faire un bilan entropique. métal mc m ln 0 création mc m échange ln EF EI δq ext 0 mc 0 mcm ( 0 ) m ( 0 ) 0 création mc m 0 ln 0 > 0 Olivier GRNIER

36 2 ème exemple : Exercice n 3 ème exemple : Exercice n 3 Olivier GRNIER

37 I - Interprétation statistique de l entropie olycopié pdf L entropie du bureau d un étudiant se rapproche-t-elle plutôt de celle du bureau de gauche ou de celle du bureau de droite? Olivier GRNIER

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

Physique : Thermodynamique

Physique : Thermodynamique Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une

Plus en détail

1 Thermodynamique: première loi

1 Thermodynamique: première loi 1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction

Plus en détail

Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique

Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée

Plus en détail

Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES

Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

COURS DE THERMODYNAMIQUE

COURS DE THERMODYNAMIQUE I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique

Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Précis de thermodynamique

Précis de thermodynamique M. Hubert N. Vandewalle Précis de thermodynamique Année académique 2013-2014 PHYS2010-1 Thermodynamique 2 Ce précis a été créé dans le but d offrir à l étudiant une base solide pour l apprentissage de

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX

Plus en détail

COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES

COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES I.U.. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie hermique et énergie COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES Olivier ERRO 200-20 2 Avertissement : Ce cours de machines frigorifiques propose d aborder le principe

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,

Plus en détail

Physique 1 TEMPÉRATURE, CHALEUR

Physique 1 TEMPÉRATURE, CHALEUR hysique EMÉRAURE, CHALEUR rof. André errenoud Edition mai 8 Andre.errenoud (at) heig-vd.ch HEIG-D / AD A B L E D E S M A I E R E S AGE. INRODUCION.... NOIONS DE EMÉRAURE E DE CHALEUR.... LES ÉCHANGES

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

Intérêts. Administration Économique et Sociale. Mathématiques XA100M

Intérêts. Administration Économique et Sociale. Mathématiques XA100M Intérêts Administration Économique et Sociale Mathématiques XA100M 1. LA NOTION D INTÉRÊT 1.1. Définition. Définition 1. L intérêt est la rémunération d un prêt d argent effectué par un agent économique

Plus en détail

de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur

de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de

Plus en détail

8 Ensemble grand-canonique

8 Ensemble grand-canonique Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

Les indices à surplus constant

Les indices à surplus constant Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté

Plus en détail

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de

Plus en détail

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos

Plus en détail

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES

REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES Article 1 Bénéficiaires Le restaurant scolaire municipal accueille les enfants scolarisés dans les écoles DU RPI OZENAY-PLOTTES.

Plus en détail

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100

Plus en détail

Physique - Résumés de cours PCSI. Harold Erbin

Physique - Résumés de cours PCSI. Harold Erbin Physique - Résumés de cours PCSI Harold Erbin Ce texte est publié sous la licence libre Licence Art Libre : http://artlibre.org/licence/lal/ Contact : harold.erbin@gmail.com Version : 8 avril 2009 Table

Plus en détail

La maison Ecole d ' Amortissement d un emprunt Classe de terminale ES. Ce qui est demandé. Les étapes du travail

La maison Ecole d ' Amortissement d un emprunt Classe de terminale ES. Ce qui est demandé. Les étapes du travail La maison Ecole d ' Amortissement d un emprunt Classe de terminale ES Suites géométriques, fonction exponentielle Copyright c 2004 J.- M. Boucart GNU Free Documentation Licence L objectif de cet exercice

Plus en détail

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations

Plus en détail

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :

Plus en détail

1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES

1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES !"#!$# #"%&&&&' 1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES DEMANDES... 5 1.5.1. Du lundi au vendredi

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations

Plus en détail

Mesures du coefficient adiabatique γ de l air

Mesures du coefficient adiabatique γ de l air Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante

Plus en détail

Exercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2

Exercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2 Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la

Plus en détail

Exercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA

Exercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA 75. Un plombier connaît la disposition de trois tuyaux sous des dalles ( voir figure ci dessous ) et il lui suffit de découvrir une partie de chacun d eux pour pouvoir y poser les robinets. Il cherche

Plus en détail

Limites finies en un point

Limites finies en un point 8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

Corrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010

Corrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010 Corrigé du baccalauréat S Asie juin 00 EXERCICE Commun à tous les candidats 4 points. Question : Le triangle GBI est : Réponse a : isocèle. Réponse b : équilatéral. Réponse c : rectangle. On a GB = + =

Plus en détail

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

Cours de Physique Statistique. Éric Brunet, Jérôme Beugnon

Cours de Physique Statistique. Éric Brunet, Jérôme Beugnon Cours de Physique Statistique Éric Brunet, Jérôme Beugnon 7 octobre 2014 On sait en quoi consiste ce mouvement brownien. Quand on observe au microscope une particule inanimée quelconque au sein d un fluide

Plus en détail

Résidence des Badinières

Résidence des Badinières Résidence des Badinières Bienvenue à la 2 ème réunion d information et d échange «chauffage et eau chaude sanitaire» 22 janvier 2010 Réunion "chauffage" des Badinières 1 Sommaire Le contexte général (national)

Plus en détail

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION)

REPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION) REPUBLIQUE FRANÇAISE M A I R I E DE P O N T H E V R A R D 5, PLACE DE LA MAIRIE 78730 PONTHEVRARD TELEPHONE : 01.30.41.22.13 - TELECOPIE : 01.30.88.20.26 EMAIL : PONTHEVRARD@ORANGE.FR REGLEMENT DES SERVICES

Plus en détail

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50 A DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Logement (6.2) Décret n 2006-1114 du 5 septembre 2006, Décret n 2006-1147 du 14 septembre 2006, Arrêtés du 15 septembre 2006 INFORMATIONS GENERALES N de rapport

Plus en détail

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Suivi-animation du PIG Intervention auprès des artisans 10 décembre 2013 SOMMAIRE 1. Qui est URBANiS et quel est son rôle? 2. Qu est-ce qu un PIG? 3. Les types

Plus en détail

Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité

Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité La climatisation des salles informatiques: compréhension et état des lieux Charles Vion, Responsable Service Projet Sylvain Ferrier,

Plus en détail

Rank Xerox (UK) Business Services

Rank Xerox (UK) Business Services Europâisches Patentamt European Patent Office Dffice européen des brevets Numéro de publication: 0 451 672 A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 91105206.6 (g) Int. Cl.5: A47J 31/54 Date de dépôt:

Plus en détail

La médiatrice d un segment

La médiatrice d un segment EXTRT DE CURS DE THS DE 4E 1 La médiatrice d un segment, la bissectrice d un angle La médiatrice d un segment Définition : La médiatrice d un segment est l ae de smétrie de ce segment ; c'est-à-dire que

Plus en détail

Daikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie

Daikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie Pompes à chaleur Air / Eau DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif Inverter 1 ère MONDIALE Daikin» Economies d énergie» Faibles émissions de CO2» Flexible» Technologie

Plus en détail

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3

Plus en détail

Chapitre 5. Le ressort. F ext. F ressort

Chapitre 5. Le ressort. F ext. F ressort Chapitre 5 Le ressort Le ressort est un élément fondamental de plusieurs mécanismes. Il existe plusieurs types de ressorts (à boudin, à lame, spiral etc.) Que l on comprime ou étire un ressort, tel que

Plus en détail

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction

Plus en détail

Pompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies

Pompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies Pompe à chaleur Air-Eau Confort et économies Le système de chauffage réversible de l avenir! Un pas en avant pour réduire les émissions de CO₂. L augmentation des émissions de CO₂ et autres gaz à effet

Plus en détail

Eau chaude Eau glacée

Eau chaude Eau glacée Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

Thermostate, Type KP. Fiche technique MAKING MODERN LIVING POSSIBLE

Thermostate, Type KP. Fiche technique MAKING MODERN LIVING POSSIBLE MAKING MODERN LIVING POSSIBLE Fiche technique Thermostate, Type KP Les thermostats de type KP sont des commutateurs électriques unipolaires dont le fonctionnement est lié à la température (SPDT). Un thermostat

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique 1 ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique G. ALLAIRE 28 Janvier 2014 CHAPITRE I Analyse numérique: amphis 1 à 12. Optimisation: amphis

Plus en détail

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

Chaudières et chaufferies fioul basse température. Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000

Chaudières et chaufferies fioul basse température. Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000 Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000 Chaudières et chaufferies fioul basse température 2 Chaudières et chaufferies fioul basse température Olio 1500 F. La qualité et la robustesse au meilleur prix. Les chaudières

Plus en détail

Le point en recherche

Le point en recherche Le point en recherche D écembre 2011 Série technique 11-101 Suivi du rendement de chauffe-eau sans réservoir ayant remplacé des chauffe-eau avec réservoir Contexte Le chauffe-eau est le plus grand consommateur

Plus en détail

Conteneurs pour le transport

Conteneurs pour le transport Conteneurs pour le transport Chariot de banquet 5 x GN 2/1 Pour que les plats chauds restent frais et appétissants - idéal pour le traiteur, les cantines ou les installations publiques. Chariot de banquet

Plus en détail

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous

Plus en détail

TYBOX PAC. *2701729_rev2* Guide d installation. Thermostat programmable pour pompe à chaleur

TYBOX PAC. *2701729_rev2* Guide d installation. Thermostat programmable pour pompe à chaleur Guide d installation TYBOX PAC Thermostat programmable pour pompe à chaleur TYBOX DELTA DORE - Bonnemain - 35270 COMBOURG E-mail : deltadore@deltadore.com Appareil conforme aux exigences des directives

Plus en détail

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude.

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude. Comment choisir votre douche Le système en place chez vous Lorsque vous choisissez le type de douche dont vous voulez vous équiper, vous devez au préalable vérifier le système de production d eau chaude

Plus en détail

Variantes du cycle à compression de vapeur

Variantes du cycle à compression de vapeur Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct

Plus en détail

ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-2122 rév. 2

ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-2122 rév. 2 Convention N 3018 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-2122 rév. 2 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

Marmites rectangulaires

Marmites rectangulaires La ligne 900 Electrolux, équipements modulaires de cuisson, a été conçue pour répondre aux exigences requises dans une cuisine professionnelle. La flexibilité du design modulaire, avec ses unités monoblocs

Plus en détail

CHARTE D UTILISATION DE L INFORMATIQUE AU COLLÈGE PRE-BENIT

CHARTE D UTILISATION DE L INFORMATIQUE AU COLLÈGE PRE-BENIT CHARTE D UTILISATION DE L INFORMATIQUE AU COLLÈGE PRE-BENIT La présente charte a pour objet de définir les règles d utilisation des moyens et systèmes informatiques du collège PRÉ-BÉNIT. I Champ d application

Plus en détail

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure

Plus en détail

NOTICE DOUBLE DIPLÔME

NOTICE DOUBLE DIPLÔME NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

Différents types de matériaux magnétiques

Différents types de matériaux magnétiques Différents types de matériaux magnétiques Lien entre propriétés microscopiques et macroscopiques Dans un matériau magnétique, chaque atome porte un moment magnétique µ (équivalent microscopique de l aiguille

Plus en détail

Cours de turbomachine à fluide compressible

Cours de turbomachine à fluide compressible Cours de turbomachine à fluide compressible Xavier OAVY CNRS UMR 5509 Laboratoire de Mécanique des Fluides et d Acoustique à l École Centrale de Lyon Plan du cours Cours de turbomachine Xavier Ottavy (CNRS

Plus en détail

ETUDE DETAILLEE DU CALCUL DU PRIX DE L'EAU CHAUDE ET PROPOSITION DE CHANGEMENT

ETUDE DETAILLEE DU CALCUL DU PRIX DE L'EAU CHAUDE ET PROPOSITION DE CHANGEMENT ETUDE DETAILLEE DU CALCUL DU PRIX DE L'EAU CHAUDE ET PROPOSITION DE Copropriété: Les Jardins de la mer - Antibes Année 2008 1/9 Table des matières 1. INTRODUCTION...3 1.1 Portée du document...3 1.2 Objectif

Plus en détail

ELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications

Plus en détail

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums

Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums Rev. Energ. Ren. : Journées de Thermique (2001) 103-108 Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums M. Hazami, C. Kerkeni, A. Farhat, S. Kooli,

Plus en détail

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

O, i, ) ln x. (ln x)2

O, i, ) ln x. (ln x)2 EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521

INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521 INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521 WWW.BURCAM.COM 2190 Boul. Dagenais Ouest LAVAL (QUEBEC) CANADA H7L 5X9 TÉL: 514.337.4415 FAX: 514.337.4029 info@burcam.com Votre pompe a été soigneusement emballée

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS»

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» Sources : CNIDEP et ADEME A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales Que demande t-on à une production d eau chaude sanitaire? Fournir une eau en

Plus en détail

Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur. Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen

Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur. Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen Présentation Avantages de la combinaison pompe à chaleur et chaleur solaire

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail