RNV3P Recherche de pathologies émergentes
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- Stéphanie Nolet
- il y a 5 ans
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1 EPSP Ecole Doctorale Ingénierie Santé Cognition Environnement RNV3P Recherche de pathologies émergentes V Bonneterre, L Faisandier, DJ Bicout, R De Gaudemaris pour les membres du RNV3P Laboratoire Environnement et Prédiction de la Santé des Populations, UJF Grenoble (EPSP-TIMC, UMR CNRS 5525)
2 Comment repérer au sein du RNV3P les pathologies professionnelles qui seraient émergentes? 1. Cliniquement Remontée directe d info depuis l expert CCPP vers une cellule de traitement des alertes coordonnée par l AFSSET (en cours) =veille clinique 2. Fouille systématique des données Plusieurs approches d exploration systématique du RNV3P afin de détecter puis d investiguer ces maladies professionnelles potentiellement émergentes = veille statistique 3. Recherche de cas dans RNV3P suite alerte (NIOSH )
3 Problématique : Origine et volume des données SIE correspondant Med W terrain Med W terrain 58% Médecin du travail Hospitalier Med W terrain Médecin traitant Médecin conseil 6% 0% 5% 5% 5% 6% 15% Médecin spécialiste (ville) Patient lui-même Médecin scolaire Autres Environ 5000 PST annuels et patho. Prof. pour : Intérêt d une fouille systématique de données complémentaire de l approche clinique
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5 Problématique de «l émergence» Qu est ce qu une pathologie potentiellement émergente? Plusieurs définitions possibles = plusieurs méthodes envisageables Ex : Plusieurs cas identiques «pathologie x exposition» non connus précédemment Quelle est la référence pour le «connu» permettant d identifier en négatif le «non connu» (nouveau)? Problème du «bruit de fond» dans la base compte tenu du nombre important d enregistrements, de certaines pathologies très fréquentes, de l utilisation des co-nuisances, etc Problème du codage : la veille statistique nécessite plusieurs cas homogènes d un point de vue des codes utilisés pour faire apparaître un signal Problème de la dynamique temporelle et spatiale Exemples des méthodes actuellement utilisées en recherche
6 Méthode n 1 : couples P x N non connus 1. Identifier les couples «pathologie x 1 exposition prof.», non connus et se démarquant du bruit de fond Pathologie = pathologie principale Nuisance = quel que soit son rang dans l enregistrement Référentiel Connu = tableaux des MPI «Dépasser le bruit de fond» = générer un signal avec les méthodes de pharmacovigilance appliquées au RNV3P 8% pathologies potentiellement émergentes 2. Investigation de ces associations à partir des données internes à la base (co-nuisances, imputabilité ) 3. Investigation externe : niveau de preuve épidémiologique et toxicologique dans la littérature
7 Investigations externes (bibliographie) Etudes épidémiologiques niveau Données Toxicologiques niveau Absence d étude recherchant ce lien de causalité dans la bibliographie EX Absence de données toxicologiques disponibles en faveur d une relation TX Etudes épidémiologiques convergentes et négatives E0 Données toxicologiques animales cohérentes et négatives OU pour les cancers : tests de génotoxicité ou cancérogénicité négatifs T0 Rapport(s) de cas OU études dont les conclusions divergent, sans étude de bonne qualité suggérant un lien significatif E1 Absence de données cohérentes en faveur d une relation. OU effets similaires de molécules apparentées ou ayant des groupements chimiques identiques (cf QSARS) OU pour les cancers : substance mutagène ou cancérogène sur un autre organe T1 Etudes aux conclusions divergentes, avec au moins une étude de bonne qualité avec lien statistiquement significatif E2 Données toxicologique en faveur d une association : études animales plutôt cohérentes sans élément de preuve emportant la conviction OU Forte parenté structurale avec une molécule reconnue pour donner la même pathologie OU substance cancérogène pour l organe étudié T2 Etudes épidémiologiques convergentes et positives, OU méta-analyse en faveur d un lien significatif OU étude de très bonne qualité avec lien significatif et relation dose-effet ou durée-effet E3 Données toxicologiques animales cohérentes et positives OU pour les cancers plusieurs études positives sur l organe considéré avec relation dose-effet ou mutation spécifique sur tumeur humaine T3 Inspiré des 9 critères de Bradford Hill
8 Résultats- Investigation interne des associations PxN émettant un signal n : nombre d observations PxN semblables, N : nombre d observations mentionnant la Pathologie I3 : lien direct et essentiel, I2 : possibl ou direct mais non essentiel, I1 : faible ou douteux, I0 : pas de relation % CoN : pourcentage d observations PxN mentionnant une co-nuisance Nb Co.NI : nombre de conuisances non indemnisables rapportées (Nb CO.I : indemnisables)
9 Résultats- Investigations externes * Codage inadéquat pour biblio ciblée; ** Uniquement pour EBV, HHV8, VHC, VIH; *** Données pertinentes rattachées au benzène, $ surtout leucémies myéloïdes et surtout herbicides phénoxy, $$ mancozèbe uniquement
10 Méthode 2 : associations PxNxN Exemple : 1522 PST cancers du poumon : rapportés avec 158 nuisances Associations indemnisables / non indemnisables
11 Méthode n 3 : Exposome, Thèse Laurie Faisandier Exemple : la sclérodermie
12 Méthode n 3 : Exposome, Thèse Laurie Faisandier Exemple : Exposome des Lymphomes non Hodgkiniens 10/14
13 Conclusion Fouille systématique et modélisation : pas de précédent dans le domaine santé travail Finalité : générer des hypothèses et les soumettre aux experts = se donner la chance de repérer les signaux d éventuelles maladies émergentes le plus tôt possible (pré-alerte). Automatisation Gestion des pré-alertes : Investigation des signaux par les experts RNV3P : toxicologie, biblio, recherche de cas analogues, Prise de décision : alerte, veille renforcée, classement sans suite
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15 ANNEXES
16 Résultats- Investigations internes (suite) Légende n : nombre d observations PxN semblables N : nombre d observations mentionnant la Pathologie I3 : lien direct et essentiel, I2 : lien direct mais non essentiel, I1 : lien possible non direct, I0 : absence de lien % CoN : pourcentage d observations PxN mentionnant une co-nuisance Nb Co.NI : nombre de conuisances non indemnisables rapportées Nb CO.I : nombre de conuisances indemnisables rapportées
17 Résultats- Investigations internes (suite)
18 Résultats- Investigations externes (suite) * herbicides phenoxy contamination probable par dioxines et furanes ; $ Fuels : «Exhausts or diesel emissions» ; $$ Fuels : «oil refinery workers, petroleum distribution workers» ; references concernant le perchlorethylène : Golka 2004, Goebell 2004 ; selon années d utilisation (Hair dyes < 1980 s : léger excès de risque de cancer de la vessie chez les hommes) et polymorphisme génétique bien documenté dans le cancer de la vessie, particulier avec les matières colorantes (Gago-Dominguez 2003, García-Closas 2005) ; dépend du type d amine aromatiques ; cf HAP si chauffées
19 Résultats- Données complètes Etape 1 recodage : Diminution du nombre de codes pathologies de 56% (501 au lieu de 1143), du nombre de codes nuisances de 23% (795 au lieu de 1027), du nombre de codes NAF de 78% (165 au lieu de 761), du nombre de codes BIT de 68% (123 au lieu de 379). Etape 2 : identification des associations PxN et PXNXN observations, 27% comportant plusieurs nuisances, à l origine de: 5178 associations PxN, dont 78% de non indemnisables, 7546 assocations PxNxN (56% indemnisables avec l une ou l autre, 27%indemnisables avec les deux) Etape 3 : identification des associations potentiellement émergentes 8% d associations PxN potentiellement émergentes
20 Introduction RNV3P : Fonctionnement et missions de vigilance Extraction 1- Surveillance programmée & Rapports annuels Contrôle Qualité Mise à jour Bases de données locales standardisées des CCPP RNV3P Entrepôt de données Serveur EPSP 3 Recherche pour la détection de maladies émergentes 2- Emergence clinique
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