III/ Prise en charge des cancers. III.1. Diagnostic III.2. Classifications et pronostics III.3. Dépistage III.4. Traitement III.5.

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1 III/ Prise en charge des cancers III.1. Diagnostic III.2. Classifications et pronostics III.3. Dépistage III.4. Traitement III.5. Rôle du manip

2 Sitographie III.1.

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11 Imagerie

12 Le diagnostic de certitude repose sur l examen anatomo-pathologique L examen anatomopathologique consiste à analyser au microscope des cellules ou des tissus prélevés sur un organe ; on parle aussi d examen histopathologique

13 Biopsie mammaire sous contrôle échographique Objectifs de l anapath : confirmer le diagnostic de tumeur ; confirmer le type de cancer dont il s agit ; déterminer jusqu où les cellules cancéreuses se sont développées. Cela permet de confirmer le stade du cancer. (voir classification TNM) renseigner sur l extension locale de la tumeur en précisant notamment si les marges d exérèse sont envahies ou non ; préciser si les ganglions ont été envahis et leur nombre s il y a lieu ; Le type et le stade du cancer constituent des critères pronostics du cancer : déterminer le grade du cancer ; (degré d agressivité = malignité d une tumeur, basé dur le désordre architectural) donner les caractéristiques des cellules comme la présence de récepteurs hormonaux sur les cellules cancéreuses ou celle du récepteur HER2 (cancer du sein). On parle de facteurs prédictifs de réponse aux traitements. (tumeur hormonodépendante)

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15 Examens biologiques Les marqueurs du cancer Les marqueurs tumoraux sont des substances (protéines) qui sont produites principalement par les cellules cancéreuses et que l'on retrouve dans le sang. La quantité de marqueurs reflète souvent le nombre de cellules cancéreuses présentes dans la tumeur ou le nombre de cellules cancéreuses qui se sont disséminées à distance de la tumeur pour former des métastases. i lls sont aussi présents chez non malade

16 Utilisation des marqueurs Dépistage : très peu Détection précoce (reconnaitre un cancer dès les premiers signes cliniques) Surveillance au cours du traitement et après (pour adapter, suivre efficacité traitement, voir récidive) (dosage toujours dans même laboratoire) Aide à détermination origine cancer

17 Quels sont les marqueurs tumoraux les plus fréquemment recherchés et pour quels cancers? la plupart des marqueurs sont plus utiles pour la surveillance d'un cancer que pour son dépistage ou pour sa détection précoce. les principaux marqueurs tumoraux et les organes qui les produisent (d après M.-F Pichon et coll) Rq : un même marqueur peut être produit par des cellules tumorales d'origines différentes. Par exemple, l AFP est un marqueur qui peut être produit par un cancer du foie ou par un cancer du testicule! De plus, un même organe, par exemple la prostate, possède des cellules différentes qui peuvent sécréter dans le sang des marqueurs différents tels que le PSA ou la chromogranine A (CGA).

18 Marqueurs classiques utiles au suivi thérapeutique en situation métastatique PSA : antigène spécifique de la prostate ; CA : cancer antigen ; CEA ou ACE : antigène carcino-embryonnaire ; α-fp : alpha-fœtoprotéine ; β-hcg : bêtahormone chorionique gonadotrope.

19 Conclusion diagnostic

20 Exemple: diagnostic du cancer du foie

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22 III.2. Classifications et pronostic Pronostic dépend État général du malade (indice Karnofski ou performans status) Phase maladie Type histologique Chimiosensibilité ou hormonosensibilité

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33 avec les stades

34 Exemple du sein

35 5 Year Survival Colon Cancer 6th Ed TNM Stage Stage Survival Stage Survival I 93% IIIa 83% IIa 84% IIIb 64% IIb 72% IIIc 44% IV 8%

36 III.3. Dépistage Dépistage et détection précoce du cancer Détection précoce du cancer augmente considérablement les chances de réussite du traitement. Elle repose sur l éducation en faveur du diagnostic précoce et le dépistage. Savoir reconnaître les signes d alerte éventuels et agir rapidement conduisent à un diagnostic précoce : Une meilleure sensibilisation des médecins, du personnel infirmier et autres prestataires de soins de santé ainsi que du grand public aux signes d alerte éventuelle du cancer peut avoir un impact considérable sur la maladie. Parmi les signes précoces de cancer, on peut citer : la présence de masses, de lésions qui ne guérissent pas, de saignements anormaux, d une petite fièvre chronique, d une indigestion persistante et d une raucité chronique de la voix.

37 Dépistage Utilisation de tests simples dans une population en bonne santé pour recenser les sujets qui présentent la maladie mais pas encore les signes cliniques. Facteurs à prendre en compte pour envisager d adopter une quelconque technique de dépistage:

38 Le succès des programmes de dépistage repose sur un certain nombre de principes fondamentaux: la maladie visée doit être une forme commune de cancer, avec une forte morbidité ou mortalité qui lui est associée; un traitement efficace, capable de réduire cette morbidité et cette mortalité doit être disponible; les méthodes d épreuve doivent être acceptables, sans danger et relativement peu coûteuses. Dix critères de l OMS pour un dépistage organisé

39 le dépistage organisé Il est réalisé dans le cadre d un programme national mis en place par les autorités de santé. Dans ce cas, une action d incitation est mise en place par ces autorités (campagnes nationales de dépistage). Ce dépistage organisé concerne toutes les personnes d une certaine tranche d âge ne présentant pas de risque particulier pour la maladie dépistée. En France, actuellement, il existe un dépistage organisé pour 2 cancers très fréquents : le cancer du sein : mammographie pour les femmes de 50 à 74 ans le cancer colo-rectal : recherche de sang occulte dans les selles + coloscopie aux femmes et hommes de plus de 50 ans.

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42 mammographie

43 La classification ACR en mammographie (American College of Radiology) est une classification internationale en fonction du degré de suspicion. Elle apparaît dans la conclusion des comptes-rendus pour déterminer les conduites à tenir Classification ACR Catégorie Diagnostique Conduite à tenir ACR 0 ACR 1 ACR 2 ACR 3 ACR 4 ACR 5 ACR 6 Lésion mise en évidence à l occasion d un dépistage mais en attente de bilan complémentaire d imagerie Mammographie normale Présence d anomalies bénignes, ne nécessitant ni examen complémentaire, ni surveillance. Anomalies probablement bénignes : en dehors de tout facteur de risque particulier, elles relèvent d une surveillance à court terme. La codification ACR 3 implique d inscrire de façon précise dans le compte-rendu les modalités et le rythme de surveillance. Si les conditions de surveillance d une anomalie de statut ACR 3 ne sont pas réunies, la conduite relève alors d une lésion de statut ACR 4. Lésion indéterminée ou suspecte : elle entraîne de fait la réalisation d un prélèvement cytologique et/ou biopsique. La lésion évocatrice de cancer : elle implique systématiquement une biopsie ou une exérèse. Cancer prouvé histologiquement Conduite à tenir Conduite à tenir Conduite à tenir

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45 le dépistage individuel Cette démarche de détection individuelle concerne les personnes qui ont un risque plus élevé que la moyenne de développer un type de maladie. Il est réalisé dans le cadre de votre suivi particulier, en fonction de votre contexte médical. Il est envisagé à votre initiative et celle du médecin, sur prescription médicale. cancer du col utérin par l examen de frottis vaginaux (test de Papanicolaou). cancer de la prostate. Détection précoce tumeurs de la peau (mélanome) ;

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47 polémique

48 Campagne de prévention : Poumon et tabac Mélanome et UV soleil Parce qu'aujourd'hui, il n'existe pas d'examen qui permette de dépister ce cancer de façon suffisamment précoce. L'examen le plus courant, la radiographie du thorax, détecte des anomalies à un stade trop tardif Lien vers rapport HAS

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