Evaluation des dispositifs innovants et aide à la décision
|
|
- Raphaël Barrette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Evaluation des dispositifs innovants et aide à la décision Docteur Catherine Denis Journée Nationale des Innovations Hospitalières CLERMONT FERRAND - 17 juin
2 I. Innovations II. Textes législatifs III. HAS ses missions IV. CNEDiMTS V. Le remboursement 2
3 Innovation _ Besoins spécifiques Technologies susceptibles d avoir un intérêt majeur pour le patient Intérêt d une mise à disposition précoce Besoin thérapeutique non couvert / affection grave Indispensable de disposer de données de bonne qualité Forcément limitées MAIS : Diffusion contrôlée Eviter une diffusion large pendant la période transitoire Recueillir des données complémentaires Réévaluation à court terme Soit confirmation du bénéfice clinique Soit arrêt de la mise à disposition au vu des données complémentaires 3
4 II. Textes législatifs et/ou réglementaires Actes et dispositifs médicaux innovants Mesures récentes visant à favoriser l accès à des innovations LFSS 2009 (décembre 2008) Possibilité de prise en charge de façon dérogatoire et temporaire (art L du CSS) Loi HPST (juillet 2009) Possibilité de fixer par arrêté des règles visant à encadrer la prescription (art L du CSP) LFSS 2011 Impossibilité de facturer aux patients la différence entre tarif et prix d achat par les établissements pour les DM de la liste en sus 4
5 01 L du Code de la Sécurité Sociale 5
6 L article L du CSS: c est Le financement d une étude objectif: valider l intérêt d un DM à usage individuel et/ou d un acte avant de généraliser sa prise en charge (LPP ou CCAM) Uniquement pour des DM et actes ayant déjà des études cliniques rapportant leur intérêt potentiel, mais dont les résultats sont jugés insuffisants pour envisager d emblée une prise en charge généralisée 01/07/2011 6
7 L article L du CSS: les grandes lignes possibilité de prise en charge, totale ou partielle, de façon dérogatoire et temporaire des produits, prestations ou actes innovants prise en charge conditionnée à la réalisation d une étude financement par l assurance maladie, dans le cadre de l ODMCO forfait incluant la prise en charge de l acte et des frais d hospitalisation associés du produit ou de la prestation le cas échéant 7
8 Article L du CSS: mise en œuvre Article en vigueur depuis le 1 er mars 2010 Procédure en cours d élaboration par le ministère Réunion d information annoncée aux industriels pour début thématiques variées proposées par la CNEDiMTS opérabilité et applicabilité de cet outil législatif 8
9 02 L du Code de la Santé Publique 9
10 L article L du CSP: Dispositif d encadrement Introduit par la loi HPST (juillet 2009) Possibilité, notamment pour les DM et les actes, de fixer des règles relatives à la formation et la qualification des professionnels, aux conditions techniques pour des raisons de santé publique ou économiques => outil important pour faciliter la diffusion de l innovation dans de bonnes conditions Peut concerner des DM innovants financés dans les tarifs des GHS, et pas uniquement ceux financés en sus quelle place? Lorsque l on souhaite uniquement encadrer la diffusion de l innovation sans avoir besoin d étude confirmant le service attendu/rendu des produits/actes innovants 10
11 L article L du CSP: Quel encadrement? 1) Règles - formation et la qualification des professionnels; - conditions techniques de la réalisation. - règles de bonne pratique 2) Liste de centres - Une limitation est possible, pendant une période donnée, à certains établissements de santé. Qui décide? Dispositif d encadrement - Les ministres arrêtent, après avis de la HAS, les règles d encadrement et/ou la liste des établissements - ou précisent les critères au vu desquels les ARS fixent cette liste. 11
12 03 Loi de Finance de la Sécurité Sociale pour 2011 Article 54 12
13 L article 54 de la LFSS 2011 «En aucun cas la différence entre le tarif de responsabilité et le prix de vente aux établissements ne peut être facturée aux patients.» Pour les DM financés sur la liste en sus Vise à faciliter la prise en charge de l innovation pour les DM intégrés dans les GHS pour des DM relevant de la liste en sus et se substituant à d autres financés dans les GHS ex d application: inscription sur la liste en sus d un supplément tarifaire destiné à compenser le surcoût lié à l innovation par rapport au montant du DM déjà financé dans le tarif du GHS 13
14 En conclusion Des mesures... Complémentaires, qui visent à lever de nombreux freins à la diffusion de l innovation Opérationnelles ou proches de l être S inscrivent dans la démarche proposée par la commission d accompagner les technologies innovantes Intérêt des contacts précoces 14
15 Prise de decision Missions de la HAS Recommandations de la CNEDiMTS Prise de décision 01/07/
16 III. HAS ses missions Rôle de la HAS Éclairer les pouvoirs publics sur les décisions de remboursement Améliorer la qualité des pratiques professionnelles et des soins Cette instance répond à deux besoins : Emettre en toute indépendance et à l écart de toutes pressions, des avis et des recommandations faisant autorité Regrouper l ensemble des organismes experts pour assurer une meilleure cohérence opérationnelle 16
17 «Health Technology Assessment» Président du Collège : Pr. Jean Luc HAROUSSEAU Directeur : D Maigne Commission Président Référent Évaluation des produits et prestations (DM) Évaluation des actes professionnels Jean Michel Dubernard Catherine Denis Sun Lee Robin Commission de la transparence Évaluation économique et santé publique Affections de Longue Durée et Qualité du Parcours de Soins Qualité et diffusion de l information médicale Gilles Bouvenot Lise Rochaix Alain Cordier Cédric Grouchka Anne d Andon Catherine Rumeau Pichon Sophie de Chambine Hervé Nabarette Certification des établissements de santé Jean-Paul Guérin Rémy Bataillon 17
18 Dispositifs médicaux Médicaments Actes et technologies de santé Industrie Études cliniques Industrie CHU et professionnels de santé Organisme notifié (marquage CE) Afssaps (autorité compétente) Surveillance du marché Mise sur le marché EMA * AFSSAPS Evaluation de l'efficacité et de la sécurité Commission européenne - AFSSAPS : Autorisation de mise sur le marché (AMM) Évaluation du service attendu ou rendu CNEDiMTS Commission de la Transparence Fixation des prix CNEDiMTS CEPS Fixe le prix des médicaments et des dispositifs après négociation avec les industriels Décision de prise en charge UNCAM Fixe le taux de remboursement des médicaments Fixe les tarifs et les taux de remboursement des actes après négociation avec les représentants des professionnels de santé Ministre de la santé Établit la liste des médicaments et des dispositifs médicaux remboursables UNCAM Établit la liste des actes remboursables 18
19 IV. CNEDiMTS Membres nommés en fonction de leur compétence scientifique 15 experts votants (dont le président JM Dubernard, membre du Collège) 4 experts suppléants Spécialités représentées : Cardiologie, Dermatologie, Chirurgie digestive, Chirurgie orthopédique, Chirurgie thoracique et cardiovasculaire, Chirurgie vasculaire, Gastro-entérologie, Gériatrie, Immunologie, Médecine physique et réadaptation, Neurochirurgie, ORL, Pharmacie, Pneumologie, Radiologie, Réanimation, Urologie / Transplantation. Voix consultatives Afssaps, Assurance maladie, DGOS, DGS, DSS, associations de patients, représentants des fabricants et des prestataires de services 19
20 Modes d inscription sur la LPPR Description générique 1 ligne pour une catégorie de dispositifs définie par : Spécifications techniques minimales identiques les mêmes indications, le même service rendu (même tarif) Auto-inscription par le fabricant, pas de contrôle a priori par la CNEDiMTS, déclaration du code LPPR à l Afssaps Nom de marque 1 ligne par dispositif Dépôt d un dossier (données cliniques) et évaluation par la CNEDiMTS Éventuellement, conditions particulières d utilisation Produit à caractère innovant ou avec nécessité de suivi médical ou économique 20
21 Modes de prise en charge des DM par l assurance maladie Les différentes modalités de prise en charge En ville - Usage individuel : inscription LPPR description générique nom de marque - Lié à l acte: inscription CCAM En établissement de santé - Cadre général : financement dans le cadre des prestations d hospitalisation (Intra GHS) - Liste de DM financés en sus des prestations d hospitalisation (hors GHS) : inscription LPPR uniquement Titre III description générique nom de marque 21
22 De l évaluation à la décision Dépôt du dossier de demande de remboursement Partie médicotechnique Dossier (partie médicoéconomique et partie économique) Arrêté d inscription sur la LPPR Haute Autorité de Santé Commission Nationale d évaluation des Dispositifs Médicaux et Technologies de Santé (CNEDiMTS) Comité Economique des Produits de Santé (CEPS) Ministère de la santé 90 jours 90 jours 22
23 Problématique de l évaluation Service Attendu Amélioration du Service Attendu Population cible Etudes post-inscription 23
24 Critères d évaluation Inscription ou modification de l inscription Service attendu évalué dans chacune des indications : Intérêt du produit et de la prestation : Effet thérapeutique, diagnostique ou de compensation du handicap ainsi que des effets indésirables ou risque liés à son utilisation Place dans la stratégie thérapeutique, diagnostique ou de compensation d un handicap Impact de santé publique attendu : Capacité à répondre à un besoin non couvert eu égard à la gravité de la pathologie ou du handicap, Impact sur la santé des populations en termes de mortalité, morbidité et de qualité de vie Impact sur le système de soin Impact sur les politiques et programmes de santé publique 24
25 Critères d évaluation 2 niveaux : suffisant ou insuffisant (possibilité de demande du ) Condition du service attendu Spécifications techniques minimales Conditions particulières de prescription et d utilisation 25
26 Critères d évaluation Amélioration du service attendu, un des critères de fixation du prix un produit un acte une prestations ou à un groupe d actes, de produits ou de prestations comparables Considérés comme référence selon les données actuelles de la science admis ou non au remboursement 5 niveaux : de «I» apport majeur à «V» pas d amélioration 26
27 Population cible «L estimation du nombre de patients relevant des indications thérapeutiques pour lesquelles la Commission estime fondée l inscription, selon les données épidémiologiques disponibles» Art. R du Code de la Sécurité Sociale 27
28 Population cible CHAMP D APPLICATION INDICATION STRATEGIE THERAPEUTIQUE RECOMMANDEE 28
29 CONCLUSIONS Plusieurs dispositifs législatifs ont pour objectifs de favoriser la mise à disposition rapide pour les patients de dispositifs médicaux ou d actes innovants suffisamment évalué La prise en charge dérogatoire suppose le déremboursement si la ou les études complémentaires effectuées montrent que les attentes ne sont pas confirmées 29
Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailParcours du dispositif médical Guide pratique 2009 011
Parcours du dispositif médical Guide pratique 2009 011 2009 Actualisation 2013 Ce dossier est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service documentation et information des publics
Plus en détailL'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle
L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle Dossier mis à jour le 9 juillet 2013 Les médecins spécialistes libéraux exerçant en établissement de santé peuvent, sous
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau Innovation
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailParticipation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux
Participation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux HAS réunion des gestionnaires d Organismes agréés 25 novembre 2013 Participation à l Assurance
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailJURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé
La loi du 13 août 2004 relative à l Assurance Maladie a instauré la possibilité d une prise en charge partielle de l assurance de responsabilité civile professionnelle (RCP) par la CPAM, pour les médecins
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détail2èmes Journées Avenir
2èmes Journées Avenir Atelier Découverte D en Télé-rhumatologieT Lyon 25 septembre 2010 Pr Louis Lareng * Pr Arnaud Constantin * Dr Monique Savoldelli * * Travaux du GIP Réseau Télémédecine et es@nté Midi-Pyrénées
Plus en détailAinsi plusieurs dispositions ont été prises pour enrichir les informations disponibles sur les médicaments et dispositifs médicaux :
des produits et prestations en sus des tarifs d hospitalisation renforcent la nécessité d une information partagée sur l utilisation de ces produits au sein des établissements de santé. Ainsi plusieurs
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailHaïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT Avril 2015
ETUDE DES COÛTS DES ACTES MEDICAUX EN HAÏTI: Résultats préliminaires et perspectives d utilisation dans la prise de décision Haïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT
Plus en détailEnquête sur la rémunération des médecins et chirurgiens hospitaliers
Inspection générale des affaires sociales RM2008-147P Enquête sur la rémunération des médecins et chirurgiens hospitaliers RAPPORT TOME I Établi par Laurent CHAMBAUD Mustapha KHENNOUF Christophe LANNELONGUE
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative
Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction qualité et fonctionnement des établissements de santé
Plus en détailVincent Péters. Président du GT TICS du SNITEM. Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France
Vincent Péters Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France Président du GT TICS du SNITEM 5 juillet 2013 Colloque industries du numérique et Santé+ Autonomie Contexte Plus de 60 ans Cardiologues
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailSONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE
SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE Société canadienne des médecins de soins palliatifs Association médicale canadienne Collège des médecins de famille du Canada Collège royal des
Plus en détailEVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE
EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE L INR CHEZ LES PATIENTS ADULTES TRAITES PAR ANTIVITAMINES K EN VUE DE LA PRISE EN CHARGE PAR L ASSURANCE MALADIE DES DISPOSITIFS D AUTOMESURE DE L INR OCTOBRE 2008 Service
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailContraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel
Contraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel Jean-Michel Hotton Directeur des relations institutionnelles Laboratoire Pfizer 10 ème Journées Nationales
Plus en détailProgramme d Accueil des Etudiants Internationaux Stages Hospitaliers
Programme d Accueil des Etudiants Internationaux Stages Hospitaliers Fidèle à sa tradition humaniste de partage et d ouverture, la faculté de médecine Paris Diderot propose des programmes d accueil aux
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ADMINISTRATION. Commission nationale de l informatique et des libertés
ADMINISTRATION Autorités administratives indépendantes et établissements sous tutelle CNIL Commission nationale de l informatique et des libertés _ Délibération n o 2013-255 du 19 septembre 2013 portant
Plus en détailà Mesdames et Messieurs les Agents Comptables Médecins Conseils Régionaux Chef de service Pour information
CIRCULAIRE CIR-2/2012 Document consultable dans Médi@m Date : 03/01/2012 Domaine(s) : gestion des prestations en nature à Mesdames et Messieurs les Directeurs CPAM CARSAT UGECAM CGSS CTI Agents Comptables
Plus en détailrait d union Sommaire La culture s invite GHI > N 83 EPP : TOUS CONCERNES
rait d union Bul l e tin d infor m ation > N 83 Mensuel - MAI 2010 Sommaire > ES ÉCHOS DES INSTANCES 2 Vous avez dit évaluation? > HÔPITA EN MOUVEMENT 4 > ES PÔES 6 es pannes informatiques 7 > RENCONTRE(S)
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailLa politique européenne de la Mutualité Française en matière de dispositifs médicaux
La politique européenne de la Mutualité Française en matière de dispositifs médicaux Assises du Médicament GT 6 Sabine Bonnot Chargée de mission Politique des produits de santé 6 avril 2011 Sommaire: -
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailfréquence - Stimulateur chambre ventriculaire Indications retenues : est normale Service Attendu (SA) : Comparateu retenu : Amélioration Nom de marque
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 01 juillet 2014 CONCLUSIONS ELUNA 8 SR-T, stimulateur cardiaque implantable simple s chambre
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailCERTIFICATIONS EN SANTE
CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailPROJET DE LOI. relatif à la modernisation du système des produits de santé ------ EXPOSÉ DES MOTIFS
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi et de la santé NOR: ETSX1119227L/Rose-1 PROJET DE LOI relatif à la modernisation du système des produits de santé ------ EXPOSÉ DES MOTIFS Le présent
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Personne chargée du dossier : Valérie Salomon mél. : valerie.salomon@sante.gouv.fr Sous-direction
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailRESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE
RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle
Plus en détailDIPLOME DE CHIRURGIE ORALE
DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module
Plus en détailCOMPRENDRE VOTRE FACTURE D HOSPITALISATION
VOTRE HOSPITALISATION AU CHwapi COMPRENDRE VOTRE FACTURE D HOSPITALISATION Juillet 2014 www.chwapi.be Composé de quatre sites hospitaliers et d une polyclinique, le CHwapi est l une des plus importantes
Plus en détail«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches»
Synthèse de la table ronde 2- Giens XXI -octobre 2005 «Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Pierre-Henri.Bertoye, Soizic.Courcier-Duplantier,
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailprojet d établissement
projet d établissement Juin 2010 2010-2014 Synthèse générale du projet d établissement C est dans le contexte nouveau créé, d une part, par la loi HPST qui doit permettre de mettre en place une offre de
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailPROJET DE TÉLÉMEDECINE
PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90
Plus en détailPréambule, définitions, limites du sujet :
Télémédecine : Quel cadre, quels niveaux de preuves, quelles modalités de déploiement. XXIX èmes Rencontres Nationales de Pharmacologie et Recherche Clinique, Innovation et Evaluation des Technologies
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailChapitre IX. La dépense de médicament
257 Chapitre IX La dépense de médicament LA DÉPENSE DE MÉDICAMENT 259 PRÉSENTATION La France se caractérise par un niveau de prescription et de consommation de médicaments supérieur à celui de ses voisins
Plus en détailmédecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE ET PROTECTION JURIDIQUE Relevé d Informations - Médecins infirmier kinésithérapeute avocat
2015 RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE PROTECTION JURIDIQUE La mutuelle des professions libérales et indépendantes Professions Libérales & Indépendantes médecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailTOPCHAI. Demandeur. Indications retenues : pour les. Comparateu retenu(s) : Amélioration. raison de. d autonomie. 5 ans - 1 -
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 28 janvier 2014 CONCLUSIONS TOPCHAI IR-S, fauteuil roulant électrique monte-marches Demandeur
Plus en détailDr Delphine LAMOTTE Médecin MPR Hôpital Reine Hortense 73100 AIX LES BAINS
Dr Delphine LAMOTTE Médecin MPR Hôpital Reine Hortense 73100 AIX LES BAINS Conduite Automobile et Handicap Selon l Arrêté du 21 décembre 2005, tout conducteur est supposé s assurer de son aptitude à conduire.
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailINTRODUCTION GENERALE :
DÉPARTEMENT DE MÉDECINE INTERNE La Chaux-de-Fonds Rue de Chasseral 20 2300 La Chaux-de-Fonds tél. 032 967 27 28 / 032 967 27 32 fax 032 967 27 29 PD Dr D. Genné, méd.-chef de service Dr H. Zender, méd.-chef
Plus en détail5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin. Une mutuelle dédiée aux médecins et à leur famille
Complémentaire santé NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Complémentaire santé + 5 raisons de choisir la
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailCOMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE
COMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE L assurance de trouver la meilleure des mutuelles santé! Notre équipe est à votre écoute au : 01 76 29 75 76 du lundi au vendredi de 9h30 à 13h et de 14h à 18h contact@assurance-sante.com
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLes études post-inscription sur les technologies de santé (médicaments, dispositifs médicaux et actes)
UNITE METHODOLOGIE ET ETUDES POST-INSCRIPTION Les études post-inscription sur les technologies de santé (médicaments, dispositifs médicaux et actes) Principes et méthodes Novembre 2011 HAS / DEMESP / Unité
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailThe Brand Market Access Plan
The Brand Market Access Plan La méthode appliquée à la France 1, rue Houdart de Lamotte 75015 Paris France Tel.: +33 6 11 96 33 78 Fax: +33 1 45 57 46 59 E-mail: jmpeny@smart-pharma.com Website: www.smart-pharma.com
Plus en détailCentre Hospitalier de Béziers
Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et
Plus en détailDossier de Presse Mars 2010
Dossier de Presse Mars 2010 www.cegedim-logiciels.com Contacts Presse CEGEDIM LOGICIELS MEDICAUX Christine COURTELARRE Marketing et Communication Tél. : 01 49 09 28 67 christine.courtelarre@cegedim.fr
Plus en détailMutuelle Obligatoire : attention à bien vérifier la conformité de votre contrat
N U M E R O 2 - M A R S 2 0 1 5 LEGISLATION Mutuelle Obligatoire : attention à bien vérifier la conformité de votre contrat Dans le cadre de l Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013, les
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailMinistère des solidarités et de la cohésion sociale
Ministère des solidarités et de la cohésion sociale Direction générale de la cohésion sociale Service des politiques sociales et médico-sociales Sous-direction de l autonomie des personnes handicapées
Plus en détailCentres de santé. lien. créent du. Les Etablissements MGEN. Quand les soins. Kinésithérapie. Services. Accessibles. Innovation.
Services Pas d avance de frais Qualité des soins Médecine spécialisée Accessibles Innovation Mutualiste Kinésithérapie Animateurs Médecine générale Centres de santé Les Etablissements MGEN Quand les soins
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailDe nouvelles organisations et pratiques de soins par télémédecine
Dossier thématique P. Simon Président de l Association nationale de télémédecine (ANTEL), Paris. De nouvelles organisations et pratiques de soins par télémédecine New organizations and healthcare management
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailUne offre de lecture numérique sur liseuses et Smartphones pour les patients de l Assistance Publique-Hôpitaux de Paris
Une offre de lecture numérique sur liseuses et Smartphones pour les patients de l Assistance Publique-Hôpitaux de Paris IFLA 2014 23 août 2014 Claudie GUERIN L Assistance Publique-Hôpitaux de Paris c est
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailTitres et mentions autorisés sur les plaques et ordonnances
Titres et mentions autorisés sur les plaques et ordonnances Juin 2014 TITRES UNIVERSITAIRES ET HONORIFIQUES La loi du 26 janvier 1984 sur l enseignement supérieur permet aux universités de délivrer, sous
Plus en détailPremière prise de position du Conseil d Etat sur le rapport final de la Commission d enquête parlementaire sur le Réseau Santé Valais (CEP-RSV)
Conseil d Etat Staatsrat Première prise de position du Conseil d Etat sur le rapport final de la Commission d enquête parlementaire sur le Réseau Santé Valais (CEP-RSV) 1 Introduction En date du 8 avril
Plus en détailJour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales. 22 octobre 2013. Pause réseautage et visite des exposants
8 : 00 am 9 : 00 am 9 : 00 am 10 : 00 am Jour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales 22 octobre 2013 8 : 00 Inscription et accueil 8 : 30 Ouverture Président
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détailLivret d accueil patient
Livret d accueil patient Sommaire Mot du directeur 03 Notre histoire 04 Nos missions 06 Nos valeurs 07 Le Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph 08 L équipe hospitalière Identification du personnel 10 Assistantes
Plus en détailContribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours
Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant
Plus en détail