PLACE FORTE DE MONT-DAUPHIN

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PLACE FORTE DE MONT-DAUPHIN"

Transcription

1 PLACE FORTE DE MONT-DAUPHIN Eléments d architecture et de décor Dossier enseignant Centre des monuments nationaux Place forte de Mont-Dauphin Place Vauban MONT-DAUPHIN

2 POUR SE SITUER 1

3 LA CONSTRUCTION DE LA PLACE FORTE A la fin du 17 e siècle, la politique de grandeur et de conquête menée par Louis XIV suscite contre la France une coalition européenne. Afin de protéger son royaume le roi charge Vauban, son commissaire aux fortifications, d aménager les frontières par des places fortes. Vauban veut réaliser ce qu il appelle le «pré carré» ou bien encore la «ceinture de fer», c'est-à-dire une frontière facile à défendre. En 1692, à la suite de l invasion du Haut-Dauphiné par le duc Victor-Amédée II de Savoie, Vauban vient inspecter les fortifications des Alpes. Il propose à Louis XIV la construction d une nouvelle place forte à proximité de Guillestre et de la frontière avec les Etats de Savoie. Après avoir visité le plateau des Mille Vents, lieu d implantation de la future place forte, il rédige un mémoire dans lequel il est tout à la fois : Géographe et économiste : il décrit le lieu, ses ressources et ses communications. Urbaniste : il prévoit de bâtir une ville avec un plan en damier à l intérieur des fortifications. Architecte : il dessine les plans des remparts, des bâtiments militaires et donne aussi des instructions pour la construction des maisons civiles. Vauban se préoccupe aussi de savoir comment : Se procurer les matériaux nécessaires à la construction : bois des forêts alentour, ardoises provenant des exploitations de l Embrunais, calcaire rose extrait d une carrière ouverte à Eygliers, galets des rivières, charbon de terre des mines de Saint-Crépin. Les acheminer sur place : chariots et traîneaux tirés par des mulets, des ânes, des chevaux ou des bœufs. Les travailler pour les rendre utilisables : tailler les pierres, préparer le mortier de chaux, couper le bois, fabriquer et entretenir les outils du chantier (pics, pioches, brouettes, grues ). Répartir le travail entre les différents corps de métier : les marchés sont adjugés à des entrepreneurs locaux ou de plus loin qui font appel à des carriers, maçons, forgerons, charpentiers. Outre ces spécialistes, c est une véritable armada d ouvriers qui s emploie sur le chantier. Des hommes mais aussi des femmes et des enfants auxquels il faut ajouter les soldats. Plan de Mont-Dauphin - Vauban 1700 L ORGANISATION DU CHANTIER ROYAL Les documents d archives indiquent que dès le mois de février 1693, Louis Anglart et Pierre Rankin, qui arborent le titre d entrepreneurs généraux des fortifications, s engagent vis-à-vis des services des fortifications à exécuter tous les travaux prévus par ceux-ci à la suite d une première adjudication commanditée par le gouvernement royal et que supervise l intendant du Dauphiné. Pour mener à bien cette vaste entreprise, ils cherchent des soustraitants qui s engagent à effectuer telle partie de l ouvrage à un prix fixé devant notaire et versé par les entrepreneurs généraux. La distribution des travaux se fonde sur le devis établi par Vauban lors de sa visite à Mont- Dauphin et dont le montant s élève à livres. Au printemps 1693, de nombreux corps de métiers soumissionnent devant les notaires royaux de Guillestre et d Eygliers. Les minutes notariales mentionnent la répartition des travaux aux sous-entrepreneurs, la date des premières passations de marchés ainsi que l origine de ces soumissionnaires qui viennent majoritairement des villages de Taninges, Samoëns et Morillon de la province du Faucigny en Savoie, province qui se caractérise depuis longtemps par l émigration de sa population masculine versée dans l art de la maçonnerie (Vauban n hésite pas à faire appel à des maçons originaires d un Etat alors en rupture d alliance avec la France!). Quelques autres viennent des Flandres, de Franche-Comté, de Suisse ou de l Embrunais. La plupart des adjudicataires du marché de Mont-Dauphin ont déjà travaillé sur les chantiers des fortifications de Franche-Comté ou des Flandres et bénéficient d un savoir-faire spécialisé. Certains ont sans doute travaillé sur les chantiers royaux d Embrun et de Briançon. Vauban revient à Mont-Dauphin en 1700 en tournée d inspection. Malgré quelques critiques sur les matériaux employés ou sur les défauts de surveillance du directeur des fortifications du Dauphiné et des entrepreneurs généraux, il remarque néanmoins que les travaux sont bien conduits depuis le remplacement de Louis Anglart et Pierre Rankin par un nouvel entrepreneur. Vauban fait quelques commentaires sur les bâtiments qui sont en voie d achèvement : casernes, pavillons, arsenal Sur ce dernier édifice, il note : «Le grand hangar de l arsenal s achèvera cette année, cet ouvrage sera bon et bien fait». 2

4 Dans les places fortes, Vauban soumet les constructions à des conditions particulières liées à des impératifs de sécurité. Voici ce qu il écrit dans son projet de Mont- Dauphin à propos des maisons privées : «Il faut obliger ceux qui voudront y bâtir à le faire solidement avec le moins de bois qu il sera possible, d élever leur maison à deux étages et d y faire des caves voûtées (pour être à l épreuve de la bombe), des latrines et des citernes avec des façades honnêtes qui fassent une symétrie agréable et le tout sans leur faire trop de contraintes». Réalisées en moellons enduits, les constructions civiles et militaires sont couvertes d une toiture d ardoise (la tôle sera utilisée pour couvrir le bâti civil au 20 e siècle). Les éléments en pierre de taille du bâti confèrent toutefois une note décorative qui tranche avec l aspect massif et austère de l ensemble. LA NORMALISATION DES BATIMENTS MILITAIRES SELON VAUBAN Dans les années 1680, Vauban commence à normaliser les bâtiments militaires. Poudrières, arsenaux, casernes, corps de garde sont conçus selon des plans-types préétablis. La standardisation de l architecture militaire permet à la fois de réduire les délais d exécution et de programmer des projets et des investissements à distance, pour éviter les détournements de fonds et les malfaçons. Dans les constructions sur plans-types, les seules variantes sont apportées par la diversité des matériaux locaux et par les habitudes constructives propres à chaque terroir : toitures, enduits Vauban s intéresse aussi aux constructions civiles. Son mémoire «Plusieurs maximes bonnes à observer par tous ceux qui font bâtir» est un résumé de l ensemble des règles de normalisation, de proportionnalité et d alignement ainsi qu un modèle pour les constructions à l intérieur d une place. Son texte s adresse aux maîtres d ouvrage : ceux qui doivent mener l opération de bâtir jusqu au bout et qui ne sont pourtant que des non professionnels enclins à subir les tromperies, les malversations des gens du bâtiment! LES ELEMENTS D ARCHITECTURE L ARC Les éléments d architecture comme l arc et la voûte requièrent un savoir-faire particulier que des maçons expérimentés ont mis en œuvre à Mont-Dauphin. Pour soutenir et éviter l écroulement de la maçonnerie située au-dessus, fenêtres et portes sont surmontées d un linteau ou d un arc clavé. Le linteau, simple poutre horizontale en pierre, prédomine dans la rue Colonel Cabrié où les maisons conservent l empreinte des activités artisanales et agricoles d antan. Dans la rue Catinat, les arcades des portes d entrée et des anciennes boutiques prédominent. Les arcs sont formés de pierres appelées claveaux qui se bloquent mutuellement. La clef d arc est la pierre qui se trouve au centre et qui bloque l ensemble de l arc. L arc repose sur des piédroits par l intermédiaire d impostes ou de chapiteaux. Construction de l arc en plein cintre Les arcs présentent différentes formes : Arc en plein cintre Oculus En plein cintre (portes d entrée des maisons, porte de la poudrière...) Clé d arc Ancienne arcade En anse de panier (les baies boutiquières) Chapiteau Piédroit Habitation - Place Vauban 3

5 LA VOÛTE La plupart des édifices civils et militaires sont couverts de voûtes pour assurer leur solidité et leur durée en cas de siège. Ces dernières sont construites avec des pierres recueillies aux environs de la place forte. A la poudrière, les maçons ont utilisé le tuf. Une voûte est formée d un assemblage de claveaux qui lui permettent de transmettre son poids en direction de ses points d appui (murs, piliers, colonnes). Elle nécessite également un cintre durant sa construction. A Mont-Dauphin on observe différents types de voûtes : 1. Les maisons civiles : Voûte en plein cintre (caves, couloirs) Voûte d arêtes (rez-de-chaussée) 2. Les bâtiments militaires et religieux : Voûte en cul de four choeur de l église Saint-Louis Voûte en plein cintre (arsenal, église, caserne Rochambeau) Voûte en plein cintre brisé (poudrière) Voûte d arêtes (arsenal) Voûte en cul de four (abside de l église) La poudrière Les voûtes sont très lourdes, elles exercent une force qui écarte les murs sur lesquels elles reposent d où la nécessité de prévoir des obstacles ou forces contraires pour éviter leur effondrement. La solution est d essayer de ramener les forces d écartement (forces obliques) à des charges (forces verticales). Plusieurs moyens ont été adoptés à Mont-Dauphin : L épaississement des murs (poudrière). L épaulement des murs par des contreforts (arsenal et poudrière). La pose de tirants métalliques (arsenal). L utilisation de la voûte en berceau brisé. Les forces exercées sont plus faibles que celles des voûtes en plein cintre (poudrière). Les contreforts - arsenal Le support de la voûte par des arcs doubleaux. Ceux de l arsenal soulagent les voûtes de leur poids (ils sont doublés à l extérieur par des contreforts). Tirant arsenal La concentration des forces en des points précis. Contrairement à la voûte en berceau plein cintre dont le poids s exerce sur toute la longueur des murs, une voûte d arêtes permet de reporter ce poids vers quatre points précis (arsenal). Voûte d arêtes de l arsenal Le contrebutement. Contrairement à un contrefort, il exerce une force active et engendre une poussée qui dévie la force (la construction du remarquable arcboutant de la caserne Rochambeau a permis de renforcer les murs et de contenir les forces d écartement dues au voûtement des chambrées superposées sur trois niveaux). Contrefort de la caserne Rochambeau 4

6 LA CHARPENTE DE LA CASERNE ROCHAMBEAU Construite à la fin du 18 e siècle, la caserne Rochambeau s élève sur le front sud de la place. A l origine elle était protégée par une terrasse constituée d un blindage de terre et de lauzes. Au début du 19 e siècle, le capitaine Massillon, chef du génie, en poste à Mont-Dauphin, ordonne d établir un toit pour arrêter les nombreuses infiltrations dues aux intempéries. Les travaux de la charpente commencent en 1819 et s achèvent en Réalisée selon un procédé original que l on doit à l architecte d Henri II, Philibert Delorme, elle couvre un espace de deux cent soixante mètres de long. La charpente de la caserne Rochambeau Contrairement aux autres bâtiments de la place qui comportent une charpente traditionnelle faite de grandes poutres, la caserne Rochambeau est couverte par des planches courtes assemblées par des chevilles et formant des fermes semi-circulaires. Au nombre de quatre cent trente, ces fermes confèrent à la charpente la forme d une carène renversée. Cette technique est une adaptation à la surexploitation des forêts sous l Ancien Régime qui ne pouvaient plus fournir de grandes grumes. Ce type de charpente permet également de disposer de vastes combles dégagés de tout entrait ou poinçon et propres à tous les usages. Ces combles ont d ailleurs servi de hangar pour stocker du matériel et comme écurie (mulets et ânes y étaient en stabulation au 19 e siècle). Aujourd hui encore cette charpente en mélèze est en parfait état de conservation. Elle supporte une couverture en ardoise. LES ELEMENTS D ARCHITECTURE CLASSIQUE L art classique est un héritage de l architecture grecque et romaine de l Antiquité. Il se développe en France aux 17 e et 18 e siècles. Le classicisme prône les lignes droites (façades rectilignes), les angles droits ainsi que la courbe régulière issue du cercle. Plusieurs règles doivent également présider à toute construction : l égalité des travées, l alignement des baies et la symétrie. L art classique se veut un reflet de la perfection, de la juste mesure et de l ordonnancement élégant (les surfaces sont sobrement décorées). Il se caractérise par l utilisation de différents éléments comme les colonnes, les pilastres, les frontons triangulaires ou curvilignes, les arcs et les arcades. Ces éléments sont détournés de leur fonction structurelle (colonnes, chapiteaux et frontons des monuments antiques) en décor. Le château de Versailles, construit sous le règne de Louis XIV par les architectes Louis Le Vau et Jules Hardouin-Mansart est représentatif de l art classique avec ses façades ordonnancées, ses baies encadrées de pilastres et de colonnes surmontées de chapiteaux. Une balustrade cache le toit très aplati (toit à la Mansart). Les balustres sont surmontés de vases à feu. On retrouve cet élément de décor couronnant les contreforts de l église Saint- Louis de Mont-Dauphin. 5

7 Malgré son caractère robuste et massif, l architecture de la place forte présente des éléments de l architecture classique. Les édifices civils et militaires Les maisons civiles et les bâtiments militaires présentent une unité architecturale et décorative (ouvertures régulières, symétrie ) Dans le village, les façades sur rue sont symétriques. Elles offrent un contraste avec les façades côté jardin qui demeurent cachées au cœur des îlots d habitation et sont moins soignées. La pierre de taille en calcaire rose est utilisée pour les chaînages d angle, les bandeaux horizontaux, les oculi, les arcades à bossage couvrant les boutiques et les portes d entrée. Pavillon de l horloge Les maisons de la rue Cabrié présentent un caractère plus rural : encadrements de baies peints, pas de pierres roses en façade, symétrie moins marquée. Les quelques balcons en fer forgé ou en bois datent tous de la fin du 19 e siècle ou du début du 20 e siècle. Habitation rue Catinat La porte de Briançon : un exemple de décor classique Munie de plusieurs éléments défensifs (pont-levis, herse, vantaux cloutés) chaque porte est également un arc de triomphe par où on pénètre dans le domaine royal et qui cherche à exprimer la puissance et la majesté du souverain. La porte de Briançon date de la fin du 17 e siècle. La façade tournée vers la campagne est encadrée par deux pilastres surmontés de chapiteaux toscans portant un fronton triangulaire. Les sculptures prévues sur le tableau rectangulaire au-dessus du passage sont toujours en attente d exécution! Tympan Corniche Fronton Chapiteau toscan Plate-bande à claveaux rayonnants Fût Pilastre Façade appareillée en bossages Base La porte de Briançon 6

8 RENVOIS BIBLIOGRAPHIE BORNECQUE Robert : Mont-Dauphin place forte de Vauban Editions du Patrimoine 2007 COLE Emily : Grammaire de l architecture Editions Dessain et Tolra/Larousse 2004 COLLECTIF : Vauban la forteresse idéale livre DVD La Maison d à côté 2007 COLLECTIF : Vauban, bâtisseur du Roi-Soleil Somogy éditions DEMARTINI Elena PRIMA Francesca : Petite encyclopédie de l architecture Editions Solar 2006 DENIZEAU Gérard : Le dialogue des arts Larousse FAUCHERRE Nicolas : La place forte de Mont-Dauphin Editions Actes Sud 2007 FAUCHERRE Nicolas : Vauban, les sites majeurs Editions Glénat GIORGI Rosa : L art au 17 e siècle Editions Hazan PEROUSE DE MONTCLOS Jean-Marie : Architecture : méthode et vocabulaire Editions du patrimoine 2007 CARTES IGN : La France de Vauban N 923 IGN : France : forts et citadelles N 907 SITES INTERNET Les fortifications des Alpes : L inscription des sites Vauban au patrimoine mondial de l UNESCO : Le réseau Vauban : L actualité sur les sites UNESCO de Mont-Dauphin et Briançon : Le site du CMN : SITES Les autres fortifications de Vauban classées à l UNESCO : 7

Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente

Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente Définition de la maison C est l abri qui permet aux humains de vivre décemment. Elle se compose de 4 murs et d un toit qui nous apparaissent ainsi : -

Plus en détail

Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs

Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Les rois de France viennent régulièrement chasser à Versailles à partir du XVI ème siècle. Henri IV y amène son fils, le futur Louis XIII. Devenu

Plus en détail

Lexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE

Lexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE ACADÉMIE DE CAEN L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN Lexique Abside Extrémité d'une église, en demi-cercle ou polygonale, entourant le chœur, où se plaçait le clergé.

Plus en détail

Maison, actuellement bureaux

Maison, actuellement bureaux Maison, actuellement bureaux 95 avenue du Grand-Port Chourdy-Pont Rouge Aix-les-Bains Dossier IA73002139 réalisé en 2013 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine

Plus en détail

Dossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon

Dossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique

Plus en détail

communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager

communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager Schéma de restaurationvalorisation du petit patrimoine des communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager SOMMAIRE 1) ÉDIFICE PRÉSENTE... 3 A) DÉNOMINATION ET POSITION GÉOGRAPHIQUE...

Plus en détail

La construction au Moyen Age

La construction au Moyen Age PlÄdÄliac - CÅtes d Armor 02 96 34 82 10 service-educatif@la-hunaudaye.com www.la-hunaudaye.com La construction au Moyen Age A quoi sert un chäteau fort? Les chäteaux forts ont trois usages. Ils servent

Plus en détail

Désignation. Localisation. Description de l édifice. Historique, datation édifice. Protection / Statut juridique. Architecte, auteur

Désignation. Localisation. Description de l édifice. Historique, datation édifice. Protection / Statut juridique. Architecte, auteur Nom : Pont sur La Barberolle Typologie architecturale secondaire : Dénomination : ouvrage d'art / pont Dénomination secondaire : Typologie régionale : Localisation Canton : Bourg de Péage / Pays : Drôme

Plus en détail

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION ARCHITECTURAL ET URBAIN ZPPAUP Montpellier Gambetta Clemenceau Figuerolles Rapport de présentation Juillet 2006 Page 73 Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager SECTEUR GAMBETTA

Plus en détail

Ferme dite la Vieille Cour, actuellement maison

Ferme dite la Vieille Cour, actuellement maison Ferme dite la Vieille Cour, actuellement maison 11 route côtière Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet Dossier IA17045091 réalisé en 2012 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine

Plus en détail

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire

Plus en détail

Chambord. Séminaires & réceptions

Chambord. Séminaires & réceptions Chambord Séminaires & réceptions Emplacements des espaces de location Lille Le Mont-St-Michel Paris Strasbourg Chambord Terrasses 12 Les terrasses Bordeaux 12 Toulouse Nice Corse Sommaire Bras de croix

Plus en détail

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales

Plus en détail

PROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION. Monument Historique. Place de la République 72000 LE MANS

PROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION. Monument Historique. Place de la République 72000 LE MANS PROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION Monument Historique Place de la République 72000 LE MANS 01 PRÉSENTATION DE LA VILLE Le Mans Paris Rennes Nantes Le Mans À seulement 50 minutes

Plus en détail

Un état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel.

Un état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel. L Hôtel du Châtelet L Hôtel du Châtelet Dès le 18 ème siècle, l Hôtel du Châtelet est considéré comme une des plus belles demeures de Paris par les voyageurs qui en font la description à la fin du siècle.

Plus en détail

Villa dite Saint-Cloud

Villa dite Saint-Cloud Villa dite Saint-Cloud 54 boulevard Frédéric-Garnier Royan Dossier IA17046390 réalisé en 2014 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel Enquêteur : Suire

Plus en détail

Hôtel de voyageurs, Hôtel de la Galerie, puis Grand Hôtel de la Galerie, puis Métropole Hôtel, actuellement Hôtel Métropole

Hôtel de voyageurs, Hôtel de la Galerie, puis Grand Hôtel de la Galerie, puis Métropole Hôtel, actuellement Hôtel Métropole Hôtel de voyageurs, Hôtel de la Galerie, puis Grand Hôtel de la Galerie, puis Métropole Hôtel, actuellement Hôtel Métropole 11 place Carnot 179 rue du Casino Centre historique Aix-les-Bains Dossier IA73001168

Plus en détail

Présentation renouveau école Georges Pamart

Présentation renouveau école Georges Pamart MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges

Plus en détail

LA CHARPENTE. Les principales pièces des charpentes traditionnelles

LA CHARPENTE. Les principales pièces des charpentes traditionnelles Les principales pièces des charpentes traditionnelles La charpente (fig. 5.1 et 5.2) : ensemble de pièces en bois qui portent la couverture. Les charpentes présentent diverses formes et différentes pentes

Plus en détail

Ouvrage d'entrée dit Tour de Moingt

Ouvrage d'entrée dit Tour de Moingt Ouvrage d'entrée dit Tour de Moingt Moingt Dossier IA42003629 réalisé en 2006 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel ; Conseil général de la Loire Guibaud

Plus en détail

ETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993

ETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993 ETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993 1 ETAT DES LIEUX AU PRINTEMPS 2010 Végétation Souche effondrée Végétation Parties hautes des murs effondrées Cheminées effondrées Ouverture

Plus en détail

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ; Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,

Plus en détail

Immeuble, Le Square Duvernay

Immeuble, Le Square Duvernay Immeuble, Le Square Duvernay rue Duvernay rue Comte-de-Loche Quartier de la gare Aix-les-Bains Dossier IA73002041 réalisé en 2012 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du

Plus en détail

C0nstruire une mais0n. Sommaire

C0nstruire une mais0n. Sommaire Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire

Plus en détail

(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,

(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE, DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page

Plus en détail

SANDWICH CHEVRONNÉ Détails de mise en œuvre

SANDWICH CHEVRONNÉ Détails de mise en œuvre SANDWICH CHEVRONNÉ Un système de toiture Détail de toiture avec ferme Poinçon Entrait retroussé Échantignolle Panne faîtière Semelle Panne intermédiaire Arbalétrier 2 Détail de toiture avec mur de refend

Plus en détail

Cours de tracés de Charpente, Le TRAIT

Cours de tracés de Charpente, Le TRAIT Page 1/5 Cours de tracés de Charpente, Le TRAIT Recherches de vraies grandeurs, angles de coupes, surfaces. Les Méthodes : Le tracé et les calculs Chaque chapitre ou fichier comportent une explication

Plus en détail

PROGRAMME DE TRAVAUX SUR LA MACONNERIE

PROGRAMME DE TRAVAUX SUR LA MACONNERIE PROGRAMME DE TRAVAUX SUR LA MACONNERIE Une grande partie des désordres constatés sur les murs est due à la charpente, conjuguée à quelques problèmes de tassements différentiels (angle nord-est). De façon

Plus en détail

Menuiseries du bâtiment

Menuiseries du bâtiment D. Mugniery C. Pruvost Menuiseries du bâtiment Portes et fenêtres Volets Parquets Escaliers Revêtements muraux Agencement Graphisme de couverture : Maud Warg Maquette intérieure : Maud Warg Mise en pages

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

Techniques et matériaux

Techniques et matériaux Techniques et matériaux Bois Techniques et matériaux Le savais-tu? L Homme utilise le bois pour se construire un abri depuis la Préhistoire. est employé depuis longtemps en architecture car il peut se

Plus en détail

Histoire de charpente

Histoire de charpente Histoire de charpente Le 15 juin 2012 la restauration de la toiture de l église de Murtin a débuté. Malgré sa hauteur honorable, la grue installée sur la place s est retrouvée bloquée par le coq dominant

Plus en détail

2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts

2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts 2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts DESCRIPTION ET PLAN L église paroissiale de Cernay- La- Ville inscrite à l inventaire des Monuments

Plus en détail

Le Château de Kerjean est classé monument historique

Le Château de Kerjean est classé monument historique restauration du château 7/06/06 18:13 Page 1 restauration du château 7/06/06 18:14 Page 2 Le Château de Kerjean est classé monument historique Ce classement a été effectué en 1911, lorsque le château a

Plus en détail

La Chapelle de la Ferme d Ithe

La Chapelle de la Ferme d Ithe La Chapelle de la Ferme d Ithe Le Tremblay-sur-Mauldre / Jouars-Pontchartrain (78 Yvelines) Une dizaine de jeunes, âgés de 17 à 20 ans, ont inauguré, durant les deux dernières semaines de juillet, une

Plus en détail

Octobre 2007 : pourquoi la réforme des demandes d autorisation d urbanisme?

Octobre 2007 : pourquoi la réforme des demandes d autorisation d urbanisme? Octobre 2007 : pourquoi la réforme des demandes d autorisation d urbanisme? Objectifs : prise en compte de l insatisfaction et de l attente des usagers réduire le nombre d autorisations simplifier les

Plus en détail

LE PARC DE FIGUEROLLES

LE PARC DE FIGUEROLLES LE PARC DE FIGUEROLLES SUR LES RIVES DE L ETANG L DE BERRE A MARTIGUES LE PATRIMOINE RURAL DU SITE Vue aériennea du site de Figuerolles en limite Nord de la Commune de Martigues Le caractère re rural de

Plus en détail

Ywood Les Docks Libres à Marseille

Ywood Les Docks Libres à Marseille Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International

Plus en détail

Murs poutres & planchers

Murs poutres & planchers Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent

Plus en détail

Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires»

Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» é Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» >Un ouvrage conçu en collaboration avec l IRAG (Institut pour la recherche d applications gravées),

Plus en détail

Ossature - Poteaux-poutres

Ossature - Poteaux-poutres Construction Bois Ossature - Poteaux-poutres 2015 Construction de clos-couverts isolés en ossature bois ou système poteaux-poutres Pionnier de la construction bois dans l Ain, ELCC intègre toutes les compétences

Plus en détail

3. DETAILS ARCHITECTURAUX

3. DETAILS ARCHITECTURAUX 3. DETAILS ARCHITECTURAUX ZPPAUP d Aubusson. Synthèse de l étude. C. Guiorgadzé, juillet 2007. page 79 1. La façade 1.1. Les matériaux du mur 1.2. Composition des façades 1.3. Baies : formes, proportions,

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

SOLUTIONS DE CONCEPTION- CONSTRUCTION POUR BÂTIMENTS À NIVEAUX MULTIPLES

SOLUTIONS DE CONCEPTION- CONSTRUCTION POUR BÂTIMENTS À NIVEAUX MULTIPLES SOLUTIONS DE CONCEPTION- CONSTRUCTION POUR BÂTIMENTS À NIVEAUX MULTIPLES Table des matières Présentation de Canam... 3 Approche de conception- construction BuildMaster... 3 Charpentes d'acier et tabliers

Plus en détail

FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE.

FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE. STILE FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE. 2 3 Magia. Une gamme de produits qui facilitera le choix de votre escalier idéal. 4 06 Guide pour la sélection. 16

Plus en détail

PROCES VERBAL DE DESCRIPTION

PROCES VERBAL DE DESCRIPTION SELARL SICARD MORIN Huissiers de Justice Associés près le Tribunal de Grande Instance de SAINTES 15-17, Faubourg Taillebourg BP. 14 17412 SAINT JEAN D ANGELY Tél : 05 46 32 04 98 Fax : 05 46 32 11 28 PROCES

Plus en détail

Pour votre projet de rénovation, BatiMAILAN France Partage avec vous ses

Pour votre projet de rénovation, BatiMAILAN France Partage avec vous ses Tél : 06.20.63.65.35 Pour votre projet de rénovation, BatiMAILAN France Partage avec vous ses 1 10 conseils de pros pour la bonne préparation de votre chantier 1- La première chose à faire est une étude

Plus en détail

90 rue Jean-Jaurès Creil Dossier IA60001641 réalisé en 2006

90 rue Jean-Jaurès Creil Dossier IA60001641 réalisé en 2006 Ancienne fonderie de zinc Allary, puis usine de serrurerie (usine de coffres-forts) Fichet, puis garage de réparation automobile, puis dépôt d'autobus, puis entrepôt commercial 90 rue Jean-Jaurès Creil

Plus en détail

3. Ligne Eaux-Vives - Moillesulaz

3. Ligne Eaux-Vives - Moillesulaz 200 3. Ligne Eaux-Vives - Moillesulaz Se développant sur 3,991 km, la ligne des Vollandes relie Les Eaux- Vives à Annemasse en France par Moillesulaz (carte nationale 1/100000). 201 Bâtiment des voyageurs

Plus en détail

Mieux connaître le secteur du bâtiment

Mieux connaître le secteur du bâtiment iche d animation Compétence B3 Mieux connaître le secteur du bâtiment Objectif Permettre aux élèves de découvrir la diversité des métiers du bâtiment et les caractéristiques de ce secteur. Matériel nécessaire

Plus en détail

PROTECTIONS COLLECTIVES

PROTECTIONS COLLECTIVES PROTECTIONS COLLECTIVES SOMMAIRE PROTECTIONS COLLECTIVES DE RIVES ET TOITURES presse rapide et ses consoles, protections avec poteaux, protection de rive par traversée de mur 3 CONSOLES POUR PLANCHERS

Plus en détail

Etat de conservation : établissement industriel désaffecté ; restauré

Etat de conservation : établissement industriel désaffecté ; restauré Département : IA000251 Aire d'étude : Limoges Adresse : Emile-Zola (rue) 2, 12 Dénomination : usine de chaussures Destinations : immeuble de bureaux ; immeuble à successives et actuelles Appellation et

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement

Plus en détail

Etude technique et historique. Association Culturelle Pierre Abélard -2006 LE PALLET

Etude technique et historique. Association Culturelle Pierre Abélard -2006 LE PALLET Le Pallet Comprendre la chapelle Sainte-Anne Etude technique et historique Association Culturelle Pierre Abélard -2006 LE PALLET SOMMAIRE - Page 2 - La chapelle aujourd hui. Introduction Rappel historique

Plus en détail

La Couverture en laves

La Couverture en laves La Couverture en laves Accorder une place aux matériaux et techniques d autrefois peut paraître un pur archaïsme ou simplement la volonté de sauver de l oubli des pratiques aujourd hui révolues. Pourtant,

Plus en détail

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE S.I.C.A. HABITAT RURAL DE LA SAVOIE 40, rue du Terraillet 73190 SAINT BALDOPH Tél. 04 79 33 06 94 Fax 04 79 85 69 92 E-mail : info@sica-hr.com Dossier 1918-2011 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE ST OFFENGE CREATION

Plus en détail

Villes et pays d art et d histoire. Raconte-moi. le Centre. autour de la place du Théâtre. Livret-découverte

Villes et pays d art et d histoire. Raconte-moi. le Centre. autour de la place du Théâtre. Livret-découverte Villes et pays d art et d histoire Raconte-moi le Centre autour de la place du Théâtre Livret-découverte onjour! Nous te proposons de découvrir la Place du Théâtre de Lille! Bonne visite! Polichinelle

Plus en détail

OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS

OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2 CHAPITRE OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2.1. CAS GÉNÉRAL L installation d un garde-corps est obligatoire lorsque la hauteur de chute comptée à partir de la zone de stationnement normal (ZSN)

Plus en détail

Montant H.T. Montant T.V.A 20,00% Montant T.T.C.

Montant H.T. Montant T.V.A 20,00% Montant T.T.C. PARIS LE 15/07/2015 mario.marques356@gmail.com http://www.cifidf.fr/ REF. CHANTIER M. Mme LAGRAA 44 RUE DE MARINES 95750 CHARS M. Mme LAGRAA 42 AV. HENRI BARBUSSE 92700 COLOMBES DEVIS N 05873635 TRAVAUX

Plus en détail

ACCESSOIRES ET TEMPORAIRES AUTORISÉS DANS LES COURS ET LES MARGES

ACCESSOIRES ET TEMPORAIRES AUTORISÉS DANS LES COURS ET LES MARGES TERMINOLOGIE (RÈGLEMENT 5001, ART.21) ABRI D AUTO PERMANENT (CAR-PORT) Construction accessoire reliée à un bâtiment principal formée d'un toit appuyé sur des piliers, dont un des côtés est mitoyen au bâtiment

Plus en détail

«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.

«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. «Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour

Plus en détail

Ascenseur indépendant : ascenseur incliné 2

Ascenseur indépendant : ascenseur incliné 2 Ascenseur indépendant : ascenseur incliné 2 Flaine Forum Flaine Forêt Arâches-la-Frasse Dossier IA74000939 réalisé en 2006 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine

Plus en détail

Les escaliers nécessitent quelques particularités pour assurer la sécurité de tous.

Les escaliers nécessitent quelques particularités pour assurer la sécurité de tous. SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Marches et contremarches 2. Mains-courantes 3. Dégagement sous une volée d escaliers 4. Surfaces repères et sécurité fonctionnelle Les escaliers nécessitent quelques particularités

Plus en détail

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes

Plus en détail

Elaboration de Fer à Béton

Elaboration de Fer à Béton Elaboration de Fer à Béton Cisailles électriques Combinées (cisailles-cintreuses) Cintreuses électriques Cintreuses à étriers électriques Cisailles électro-hydrauliques manuelles et lieuse de barres d

Plus en détail

les Vorzes Magneux-Haute-Rive Dossier IA42003352 réalisé en 2007

les Vorzes Magneux-Haute-Rive Dossier IA42003352 réalisé en 2007 Ferme les Vorzes Magneux-Haute-Rive Dossier IA42003352 réalisé en 2007 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel ; Conseil général de la Loire Guibaud

Plus en détail

LES MENUISERIES INTÉRIEURES

LES MENUISERIES INTÉRIEURES Les portes intérieures Seuls les ouvrages relatifs aux portes intérieures sont décrits ci-après. Pour la description des pièces de bois (montant, traverse ) et des accessoires de quincaillerie (paumelle,

Plus en détail

Rochecorbon : l église Saint-Georges et sa charpente romane

Rochecorbon : l église Saint-Georges et sa charpente romane ATLAS ARCHÉOLOGIQUE DE TOURAINE IV LES LIEUX Rochecorbon : l église Saint-Georges et sa charpente romane Frédéric Epaud 2013 L ancienne église paroissiale Saint-Georges de Rochecorbon est située à 3 km

Plus en détail

Domaine. à Bayonne. Une nouvelle vie pour un nouveau quartier

Domaine. à Bayonne. Une nouvelle vie pour un nouveau quartier Domaine du Moulin à Bayonne Une nouvelle vie pour un nouveau quartier ** * Ceci n est pas un label. Cet immeuble fera l objet d une demande de label BBC-effinergie, Bâtiment Basse Consommation, auprès

Plus en détail

Restaurant les Covagnes

Restaurant les Covagnes Restaurant les Covagnes Flaine Front de neige Magland Dossier IA74000962 réalisé en 2006 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel ; Ecole d'architecture

Plus en détail

Eveil à la maison paysanne, 11 e chapitre LES CHARPENTES

Eveil à la maison paysanne, 11 e chapitre LES CHARPENTES Eveil à la maison paysanne, 11 e chapitre LES CHARPENTES Ce document peut-être librement utilisé et diffusé, à l exclusion de tout usage lucratif Jean-Yves Chauvet février 2014 Un toit est généralement

Plus en détail

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement

Plus en détail

LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE

LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE II Le toit / Leçon 4 : La charpente 19. Voir Leçon 5. 20. Pour les solins, voir p. 38. LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE On s alarme souvent de la courbe d un arbalétrier ou d un entrait

Plus en détail

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale. Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron

Plus en détail

Ensemble d habitations

Ensemble d habitations Ensemble d habitations C o l l i n e S a i n t - D e n i s à L a g n y s u r M a r n e Une démarche architecturale à l épreuve du temps Ces maisons furent construites au début de la seconde moitié du XX

Plus en détail

PROTECTIONS COLLECTIVES

PROTECTIONS COLLECTIVES PROTECTIONS COLLECTIVES LA SOCIÉTÉ La société REMY voit le jour en 1964 à Dannemariesur-Crête dans le département du Doubs. Hervé REMY prend la succession de son père, Marcel, en 1987. Il développe l entreprise

Plus en détail

La Mayenne, Archéologie, Histoire, 2011 Publié avec le concours des Archives départementales du Conseil général de la Mayenne

La Mayenne, Archéologie, Histoire, 2011 Publié avec le concours des Archives départementales du Conseil général de la Mayenne La Mayenne, Archéologie, Histoire, 2011 Publié avec le concours des Archives départementales du Conseil général de la Mayenne Une architecture rurale de la Renaissance en Mayenne? L exemple du canton de

Plus en détail

ensemble d'édifices à cour commune

ensemble d'édifices à cour commune Ensemble d'édifices à cour commune, dit Cour Wavrans cour Wavrans 134 à 136 rue Denfert-Rochereau quartier Saint-Jean Saint-Quentin Dossier IA02002956 réalisé en 2006 Copyrights Copyrights Auteurs (c)

Plus en détail

MAQUETTE DE MAISON EN BOIS ET EN BRIQUES

MAQUETTE DE MAISON EN BOIS ET EN BRIQUES évolutions possibles Dossier réalisé par Christian BÉGUÉ Cyril LASCASSIES HPY version d' août 00 Table des matières A) IMPLANTATION DE LA MAISON... )Travail à faire :... )Matériel nécessaire :... B & C)

Plus en détail

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE S O M M A I R E CHAPITRE 1 - PRÉSENTATION GÉNÉRALE... 2 CHAPITRE 2 - SÉCURITÉ DES PERSONNES VIS A VIS

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

Mario Botta (1943) Le Musée d'art moderne de San Francisco

Mario Botta (1943) Le Musée d'art moderne de San Francisco Mario Botta (1943) Architecte suisse. De 1961 à 1964, il étudie au Liceo Artistico à Milan puis, jusqu'en 1969 à l'istituto Universitario di Architettura à Venise où il est l élève de Carlo Scarpa. En

Plus en détail

3-5 rue Jean-Quitout Montchat Lyon 3e Dossier IA69001272 réalisé en 2009

3-5 rue Jean-Quitout Montchat Lyon 3e Dossier IA69001272 réalisé en 2009 Usine métallurgique (fabricant de cuivrerie) Rome et étalage pour magasins Ulmo et Wergrove puis Buyret frères et Cie tissage mécanique puis Buyret frères et Lévy plombier puis Electro- Ceres puis S.A.B.

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Grand Palais, Champs-Elysées Paris

Grand Palais, Champs-Elysées Paris Grand Palais, Champs-Elysées Paris Depuis mai 2007: Etablissement Public du grand Palais des Champs Elysées Travaux de confortation (phase 1) - Bureau de contrôle: SOCOTEC - Coordination sécurité et protection

Plus en détail

Organiser, plannifier

Organiser, plannifier Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment

Plus en détail

Ce n est que lorsque ces conditions seront remplies, que vous serez assuré de pouvoir entreprendre les travaux que vous envisagez.

Ce n est que lorsque ces conditions seront remplies, que vous serez assuré de pouvoir entreprendre les travaux que vous envisagez. Nos Conseils : UN ARCHITECTE POURQUOI? Vous avez votre façon de vivre et vos goûts personnels. Le rôle de votre architecte est avant tout de vous écouter ; à partir de vos besoins, de vos goûts, de votre

Plus en détail

Le maçon à son poste de travail

Le maçon à son poste de travail Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison

Plus en détail

Typologie de la charpente rurale en Lorraine

Typologie de la charpente rurale en Lorraine Typologie de la charpente rurale en Lorraine 54 Loromontzey Photographie : G. André, M B. Bouvet, A. George, J F. Georgel, J. Guillaume, L. Gury, J Y. Henry, C. Zeller Belleville. Dessin : J Y Henry Jean

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers

Plus en détail

Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois

Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Cette vous permettra d appréhender les principes fondamentaux du système constructif ossature bois selon les normes et DTU en vigueur. Elle

Plus en détail

Inventaire du patrimoine bâti de Sainte-Anne-des-Plaines Rapport synthèse

Inventaire du patrimoine bâti de Sainte-Anne-des-Plaines Rapport synthèse Inventaire du patrimoine bâti de Sainte-Anne-des-Plaines Clocher avec son campanile coiffé d un bulbe, église de Sainte-Anne-des-Plaines. IMG_8396.JPG Ville de Sainte-Anne-des-Plaines Inventaire du patrimoine

Plus en détail

MACONNERIE/GROS OEUVRE

MACONNERIE/GROS OEUVRE GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage

Plus en détail

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE ETUDE DE L EXISTANT CONSTRUCTION STRUCTURE (Références photos du chantier- 1960) LA GRANDE COURONNE

Plus en détail

Guide des autorisations d urbanisme

Guide des autorisations d urbanisme Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A

Plus en détail

La maison des familles de Franche-Comté

La maison des familles de Franche-Comté La maison des familles de Franche-Comté l F.-X. Cahn, P. Dornier 1 La maison des familles de Franche-Comté François-Xavier Cahn Architecte DPLG Atelier de la Rue Neuve FR-Besançon Pierre Dornier président

Plus en détail