SYNTHÈSE DES QUESTIONNAIRES D ÉVALUATION
|
|
- Micheline Fabienne Bernard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 THÉMATIQUE DÉPRESSION SYNTHÈSE DES QUESTIONNAIRES D ÉVALUATION ÉVALUATION INTERNE 2013 Une évaluation interne visant à apprécier l utilisation des contenus des mallettes mises à disposition des professionnels de santé a été conduite fin 2012/début Pour la thématique Dépression, cette évaluation porte sur la version de la mallette antérieure à avril Sur une période de 2 mois, 237 questionnaires d évaluation relatifs à la thématique de la dépression chez la personne âgée ont été adressés à l équipe de coordination du programme MobiQual. Les réponses ont été apportées par les professionnels référents des structures engagées dans la démarche. Ce document présente la synthèse des réponses aux questions portant sur : le nombre de professionnels concernés par l action de sensibilisation conduite (question 1) les outils de la mallette utilisés (question 2) les personnels utilisant les outils (question 3) les informations contenues dans la mallette et permettant d éclairer les connaissances (question 4) l aide à la pratique offerte par l utilisation des outils (question 5) les recours extérieurs à disposition (question 6) l impact de l action en termes de repérage et de suivi systématiques de la dépression (question 7) la présence d une fiche de suivi dans le dossier patient (question 8) l aspect agréable de la mallette (question 9) les améliorations à apporter aux contenus (question 10) l utilisation d autres outils de repérage, d évaluation et de suivi (question 11)
2 PRINCIPAUX RÉSULTATS 232 QUESTIONNAIRES D ÉVALUATION ANALYSÉS, REPRÉSENTANT PLUS DE 240 STRUCTURES PROFIL DES STRUCTURES DE L ÉCHANTILLON : o EHPAD : PRÈS DE 80 % DES RÉPONDANTS, SOIT 185 ÉTABLISSEMENTS o STRUCTURES SANITAIRES : 15 %, SOIT 35 STRUCTURES PROFESSIONNELS CONCERNÉS ET UTILISANT LES OUTILS o PROFESSIONNELS, SOIT EN MOYENNE 12 PERSONNES PAR ÉTABLISSEMENT (83 % RÉPONDANTS) o OUTILS UTILISÉS PRINCIPALEMENT : LES MÉDECINS COORDONNATEURS (MENTIONNÉS PAR PRÈS DE 2/3 DES STRUCTURES) LES PERSONNELS INFIRMIERS (PRÈS DE 50 %)) LES PSYCHOLOGUES (PLUS DE 40 %) OUTILS DE LA MALLETTE LES PLUS UTILISÉS o OUTILS DE REPÉRAGE EN L ABSENCE DE TROUBLES COGNITIFS SÉVÈRES : MINI GDS EN PRÉSENCE DE DÉMENCE SÉVÈRE : NPI ES o ÉVALUATION COGNITIVE GLOBALE MMSE UTILISÉ DANS PLUS DE 80 % DES STRUCTURES ÉCLAIRAGE DES CONNAISSANCES ET AIDE À LA PRATIQUE GRÂCE AUX CONTENUS DE LA MALLETTE o ÉCLAIRAGE DES CONNAISSANCES DANS PLUS DE 90 % DES CAS o ACTUALISATION DES CONNAISSANCES EN TERMES DE REPÉRAGE, DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE ET DÉMARCHE GLOBALE DE PRISE EN SOINS : PLUS DE 8 FOIS SUR 10. RECOURS EXTÉRIEURS À DISPOSITION o DANS PLUS DES 2/3 DES STRUCTURES : PSYCHIATRE HOSPITALIER, PSYCHOLOGUE ET MÉDECIN GÉNÉRALISTE o DANS UN PEU MOINS D UNE STRUCTURE SUR DEUX : L INFIRMIER PSYCHIATRIQUE o DANS MOINS DE 40 % DES CAS : LE CMP, PSYCHIATRE DE VILLE ET CHS IMPACT DE L ACTION SUR LE REPÉRAGE ET LE SUIVI o REPÉRAGE ET SUIVI DE LA DÉPRESSION ENVISAGÉS À L ENTRÉE DANS PLUS DE 50 % DES STRUCTURES o REPÉRAGE ET SUIVI QUASI SYSTÉMATIQUES EN PRÉSENCE DE SIGNES D APPEL - 2 -
3 PROFIL DES STRUCTURES AYANT RÉPONDU AU QUESTIONNAIRE Les structures ayant renvoyé les questionnaires d évaluation sont : en majorité des EHPAD (78 %) ; des centres hospitaliers et cliniques (15,1 %, dont des ex hôpitaux locaux, services de soins de suite et réadaptation (SSR), et unités de soins de longue durée (USLD)) ; d autres structures et organismes : organismes de formation, services intervenant aux domiciles, structures handicap et réseaux. Graphique 1 Profil des structures ayant renvoyé le questionnaire d évaluation Source : SFGG Programme MobiQual Août
4 QUESTION 1 : NOMBRE DE PROFESSIONNELS CONCERNÉS PAR L ACTION DE SENSIBILISATION CONDUITE 2260 professionnels de 192 établissements ont été concernés par les actions de sensibilisation conduites, soit en moyenne près de 12 personnes par établissement. QUESTION 2 : OUTILS DE LA MALLETTE UTILISÉS L outil de repérage le plus utilisé en l absence de troubles cognitifs sévères est le Mini GDS et, en présence de démence sévère, l inventaire neuropsychiatrique version soignant. Les autres outils utilisés et cités sont : les échelles de Dubois, Cohen Mansfield, Hamilton, Cornell. Des entretiens cliniques sont également mentionnés. Des fiches de repérage sont utilisées dans la moitié des établissements.et l arbre décisionnel est employé dans moins de 30 % des structures. Le MMSE, test permettant une évaluation cognitive globale, est utilisé dans plus de huit structures sur dix. Par ailleurs, le CD contenant l ensemble des documents papier réunis dans la mallette est utilisé dans 30 % des établissements. Graphique 2 outils de la mallette utilisés % réponses exprimées : 80.2 % Source : SFGG Programme MobiQual septembre
5 QUESTION 3 : PROFIL DES PROFESSIONNELS AYANT UTILISÉ LES CONTENUS Les contenus de la mallette Dépression ancienne version ont été principalement utilisés par les médecins coordonnateurs (cités dans 64,1 % des cas), puis les personnels infirmiers (48,1 %) et psychologues (43,1 %), les autres personnels soignants (32 %) ainsi que par le médecin salarié de l établissement (16 %) et les médecins extérieurs à l établissement (6.1 %). Les autres professionnels mentionnés sont : les cadres de santé, ergothérapeutes, orthophonistes, psychomotriciennes, AMP et kinésithérapeutes. Graphique 3 Professionnels ayant utilisé les contenus % réponses exprimées : 78 % Source : SFGG Programme MobiQual septembre
6 QUESTIONS 4 ET 5 : ÉCLAIRAGE DES CONNAISSANCES ET AIDE À LA PRATIQUE Plus de neuf répondants sur dix déclarent que leurs connaissances en matière de repérage et prise en soins de la dépression ont pu être éclairées grâce aux contenus de la mallette. Plus de 80 % d entre eux estiment que cela leur a permis d actualiser leurs connaissances, autant en termes de repérage et démarche diagnostique (82 %) qu en matière de démarche globale de prise en charge (83 %), mais également de faciliter le repérage des épisodes dépressifs (84 %). L impact sur l aide à la pratique passe également par un suivi plus systématique de la dépression pour 70 % d entre eux. Graphique 4 Éclairage des connaissances grâce aux contenus de la mallette % réponses exprimées : 78 % Source : SFGG Programme MobiQual septembre
7 QUESTION 6 : RECOURS EXTÉRIEURS À DISPOSITION Les recours extérieurs à disposition des structures sont en premier lieu le psychiatre hospitalier, le psychologue, le médecin généraliste (cité respectivement dans 69,5 %, 69,5 % et 66,5 % des cas). L infirmier psychiatrique constitue un recours pour un peu moins d une structure sur deux, et le centre médico psycho pédagogique, le psychiatre de ville et le centre hospitalier spécialisé pour moins de quatre structures sur dix. Les autres structures auxquels les répondants ont recours et qui ont été cités ( 9 %) sont : le gériatre, l unité mobile de gériatrie, l équipe mobile de psycho gériatrie, l équipe spécialisée Alzheimer, l Unité Cognitivo Comportementale (UCC), la consultation mémoire, le médecin prescripteur de l EHPAD, le CMP adulte, le neurologue de ville ainsi que les urgences psychiatriques. Graphique 5 Recours extérieurs disponibles % réponses exprimées : 86,2 % Source : SFGG Programme MobiQual septembre
8 QUESTIONS 7 ET 8 : IMPACT DE L ACTION SUR LE REPÉRAGE ET LE SUIVI Après l action de sensibilisation/formation conduite, les répondants ont observé une évolution en matière de repérage et de suivi de la dépression : ils sont dorénavant envisagés à l entrée en établissement dans près de six structures sur dix (56,5 %), et presque systématiques en présence de signes d appel (96,2 %). Cependant, une fiche de suivi figure dorénavant dans le dossier résident/patient que dans un peu plus de trois structures sur dix (34,4 %). Graphique 6 Impact de l action sur le repérage et le suivi % réponses exprimées : 80,2 % Source : SFGG Programme MobiQual septembre 2013 QUESTIONS 9 ET 10 : AMÉLIORATIONS SOUHAITÉES 70 % des répondants déclarent que la mallette est agréable à utiliser tandis que 27 % d entre eux souhaitent que des améliorations soient apportées aux contenus. La prochaine version de la mallette devrait intégrer : des supports vidéo afin de sensibiliser davantage aux symptômes dépressifs à partir de situations concrètes ; - 8 -
9 des supports plus pratiques permettant des formations courtes : diaporamas, fiches pratiques (comme dans la mallette Nutrition), cas cliniques, des contenus davantage accessibles aux soignants termes moins complexes, plus de synthèses et de concision et adaptés aux équipes de soins intervenant à domicile ; la possibilité d intégrer les contenus de la mallette aux outils informatiques utilisés dans l établissement. QUESTION 11 : AUTRES OUTILS DE REPÉRAGE, D ÉVALUATION ET DE SUIVI UTILISÉS 29 % des répondants déclarent utiliser d autres outils de repérage, d évaluation et de suivi, et en particulier : les observations cliniques quotidiennes et entretiens individuels, souvent réalisés par une psychologue ; l échelle GDS (Gériatrique Dépression Squale) à 15 items et, dans une moindre mesure, à 30 items ; les transmissions écrites, sinon orales ; l échelle d évaluation de l état dépressif MADRS (Montgomery Amberg Dépression Rating Squale) ; les échelles d évaluation de la douleur et du statut nutritionnel ; des outils internes, élaborés parfois à partir des outils MobiQual. Sont également mentionnés une voir deux fois par les répondants : le projet de soin, les consultations psychiatriques, l échelle d agitation de Cohen Mansfield, l échelle de dépression de Beck, l échelle d Hamilton, l échelle EDDI (Échelle de Dépistage de la Dépression en Institution), l inventaire des raisons de vivre de Linehan, la lecture des revues médicales d actualités, le test BREF (Batterie Rapide d Evaluation Frontale), un questionnaire d évaluation du risque suicidaire
10 UTILISATION DE L OUTIL DEPRESSION NOM DE LA STRUCTURE : ADRESSE : TEL : FAX : NOM DU DIRECTEUR : NOM DU MEDECIN REFERENT (ETAB SANITAIRE) NOM DU MEDECIN COORDONNATEUR (EHPAD) NOM DU PROFESSIONNEL REFERENT POUR L OUTIL E mail de liaison pour le programme MobiQual : 1/ Combien de professionnels ont été concernés par l action de sensibilisation que vous avez conduite? 2/Quels sont les outils de la mallette que vous utilisez dans votre établissement? o Fiches de repérage et démarche diagnostique o Outils de repérage et démarche diagnostique en l absence de troubles cognitifs sévères En l absence de troubles cognitifs En cas de troubles cognitifs Mini GDS Inventaire Apathie o Outils de repérage et démarche diagnostique en présence de démence sévère NPI Autres Autres à préciser o o o Arbre décisionnel MMSE CD Rom
11 3/ Par qui ces outils sont ils utilisés? Médecin salarié de l établissement Médecin coordonnateur Médecins extérieurs à l établissement Personnels infirmiers Personnels soignants Autre(s) Autre(s) à préciser 4/ Les informations contenues dans la mallette permettent elles d éclairer vos connaissances? Oui Non Si oui, vous ont elles permis d actualiser vos connaissances o en termes de repérage et de démarche diagnostique? Oui Non o en termes de démarche globale de prise en charge? Oui Non 5/ L utilisation des outils vous offre t elle une aide à la pratique : o pour repérer plus facilement des épisodes dépressifs? Oui Non o pour suivre de façon plus systématique la dépression? Oui Non 6/ De quel(s) recours extérieur(s) disposez vous? Médecin généraliste Psychiatre de ville Psychiatre hospitalier ou Psycho gériatre Psychologue Infirmier(ère) psychiatrique CMPP CHS Autre(s) À préciser
12 7/Dorénavant, le repérage et le suivi de la dépression est il systématique pour chaque résident : o à l entrée dans l établissement? Oui Non o en présence de signes d appel? Oui Non 8/Dorénavant, une fiche de suivi pour la dépression figure t elle dans le dossier patient? 9/ La mallette est elle agréable à utiliser? (aspect visuel et toucher) Oui Oui Non Non 10/ Quelles améliorations souhaiteriez vous voir apporter à la mallette? 11/ Utilisez vous d autres outils de repérage, d évaluation et de suivi? Dans l affirmative, lesquels? Oui Non 12/ Quels outils du programme MobiQual utilisez vous? Outil Douleur Outil Soins palliatifs Outil Bientraitance Outil Nutrition Outil Alzheimer Questionnaire à retourner de préférence par courriel : suivi.mobiqual@sfgg.org Ou à renvoyer par courrier à l adresse suivante : Délégation générale de la Société Française de Gériatrie et Gérontologie Suivi du programme MobiQual Outil Douleur 60, rue des Cherchevets Suresnes Ou par fax :
I. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détail15 janvier 2014 * PROGRAMME MOBIQUAL
15 janvier 2014 * PROGRAMME MOBIQUAL PRÉSENTATION DE LA DÉMARCHE ET DES OUTILS * Sébastien DOUTRELIGNE responsable diffusion nationale, suivi et évaluation Éléments constitutifs Une action nationale initiée
Plus en détailBilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010
Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Le suivi de l activité des établissements ayant une activité d accueil de jour et
Plus en détailUn de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider
Guide d aide à l orientation des malades et des familles Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailLaissez-nous. prendre soin. de vous. Recrutement - Intérim - Services
Laissez-nous prendre soin de vous Recrutement - Intérim - Services affirmer Nos différences Adecco Medical, filiale santé du leader mondial des solutions RH, a bâti une relation de confiance avec ses clients,
Plus en détailRetours d expériences ATELIER EQUILIBRE. Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes
Retours d expériences ATELIER EQUILIBRE Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes Soirée- Débat Sport-Santé - DRJSCS Poitou-Charentes 23/02/2012 viviane.granseigne@gmail.com
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailHôpitaux de Jour. Accueils de Jour. Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour. «Un programme pour la Gériatrie»
Hôpitaux de Jour Accueils de Jour B. Durand-Gasselin Capacité de Gériatrie Janvier 2007 Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour Hôpitaux de Jour Historique Définition Les HJ en France : l AP HJ PA Preuves
Plus en détailIntroduction :... 5. Première partie : la prise en charge de la personne... 9
1 Sommaire Introduction :... 5 Première partie : la prise en charge de la personne... 9 B. Le traitement des demandes auxquelles il ne peut pas être répondu de manière immédiate.... 10 C. Le traitement
Plus en détailLes troubles spécifiques des apprentissages
Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLes différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire
Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un
Plus en détailO R M A T I O N PLAN D ACTIONS RÉGIONALES 2015 EN 7 AXES CENTRE WWW.ANFH.FR
WWW.ANFH.FR CENTRE PLAN D ACTIONS RÉGIONALES 2015 F O R M A T I O N S EN 7 AXES ANFH Centre - Programme Régional 2015 ASSOCIATION NATIONALE POUR LA FORMATION PERMANENTE DU PERSONNEL HOSPITALIER EDITO Dans
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailPROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE
1 PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE Le Centre Hospitalier de SOMAIN a achevé sa restructuration en 1999 avec la fermeture de plusieurs services actifs (maternité,
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailProgramme de développement. Comité plénier du 10 janvier 2012
Programme de développement des soins palliatifs (2008-2012) Comité plénier du 10 janvier 2012 Axe 1: Poursuivre le développement de l offre hospitalière et favoriser l essor des dispositifs extrahospitaliers
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailDiaporama de présentation. Présentation de l outil
Diaporama de présentation Présentation de l outil Le programme MobiQual Le programme MobiQual est une action nationale élaborée par la SFGG et soutenue par la Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailDes dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer
La lettre de L observatoire Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer Novembre 203 - Numéro double 28-29 La fin de vie suscite depuis plusieurs années des questionnements
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS
ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailRéunion régionale. avec les établissements de santé. 4 Avril 2013
Réunion régionale avec les établissements de santé 4 Avril 2013 1 Ordre du jour Introduction par Michel LAFORCADE, Directeur Général de l ARS Aquitaine 1 ) Optimiser les parcours de santé: place des établissements
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL
ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailÀ l écoute des personnes touchées par la SP. Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP
À l écoute des personnes touchées par la SP Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP Notre mission : «Être un chef de file dans la recherche sur le remède de la sclérose
Plus en détailPlace des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes
Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Nathalie CHATILLON FNMF Direction des Affaires Publiques Département International Sommaire
Plus en détailEtablissements de prise en charge des seniors
Etablissements de prise en charge des seniors Claudine Fabre I. Introduction Qui est vieux? Dans le langage courant, le terme de personnes âgées sousentend un individu retraité ou > 65 ans Sous cette étiquette
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailL articulation Hôpital de jour Accueil de jour
les hôpitaux de jour dans les filières de soin : un dispositif en marche L articulation Hôpital de jour Accueil de jour Dr Nathalie SCHMITT Dr Jacques HILD CH Colmar L articulation Hôpital de jour Accueil
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE
CE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE SE SOIGNER A MOINDRE FRAIS... 2 La CMU de BASE... 3 LA CMU COMPLEMENTAIRE... 5 L ACS... 7 TABLEAU... 8 L'AME... 9 LE CMP...
Plus en détailAccompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux
Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailRAPPORT DEFINITIF Mars 2008
ETAT DES LIIEUX DE L EMPLOII ET DE LA FORMATIION DANS LES SECTEURS SANIITAIIRES ET MEDIICO--SOCIIAL RAPPORT DEFINITIF Mars 2008 SOMMAIRE SOMMAIRE AVANT PROPOS... 3 INTRODUCTION... 4 CHAPITRE I : SYNTHESE
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailMUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ;
MUTUELLE DE NATIXIS Résumé des garanties du contrat obligatoire de complémentaire santé de la Mutuelle de Natixis «Régime unifié» des salariés mis en place le 1 er juillet 2010 Concerne les salariés de
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailTroubles «dys» de l enfant. Guide ressources pour les parents
Troubles «dys» de l enfant Guide ressources pour les parents Troubles «dys» de l enfant Guide ressources pour les parents Direction de la collection Thanh Le Luong Édition Jeanne Herr Institut national
Plus en détail1. Procédure d admission
Direction générale de l action sociale SD2/SD3 Document de travail MESURE 18 : HEBERGEMENT DES MALADES JEUNES ADMISSION D UNE PERSONNE AGEE DE MOINS DE 60 ANS DANS UN ETABLISSEMENT POUR PERSONNES HANDICAPEES
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détaildans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR
DES PROFESSIONNELS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE proches de chez vous Roanne 31-33 rue Alexandre Raffin 42300 Roanne Autonomie 53 rue de la République 42600 Montbrison 23 rue d'arcole 42000 Montbrison
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailLes seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement
Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailCatalogue. Salon de recrutement des métiers de la Santé, de l Action Sociale & de l Industrie Pharmaceutique
Catalogue Salon de recrutement des métiers de la Santé, de l Action Sociale & de l Industrie Pharmaceutique Le 11 Avril 2012 10h/18h - Espace Champerret - Hall B - Paris 17 e EDITO Cher visiteur, Nous
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailEvaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine
Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine A partir du lundi 28 octobre, vous devrez évaluer votre stage d externe du premier trimestre effectué entre le 01/08/2013 et le 27/10/201.
Plus en détailFeedback de l enquête sur les besoins en formation continue du personnel des équipes soignantes
Feedback de l enquête sur les besoins en formation continue du personnel des équipes soignantes Un questionnaire concernant les besoins en formation continue du personnel des équipes soignantes a été envoyé,
Plus en détailService de Formation Continue Développement Professionnel Continu FORMATIONS 2O15
Service de Formation Continue Développement Professionnel Continu FORMATIONS 2O15 Service de Formation Continue Développement Professionnel Continu Notre engagement Proposer des formations de qualité en
Plus en détailProjet clinique express
d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DGAS - DIRECTION GENERALE DE L ACTION SOCIALE 14 avenue Duquesne 75350 PARIS 07 SP
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DGAS - DIRECTION GENERALE DE L ACTION SOCIALE 14 avenue Duquesne 75350 PARIS 07 SP DESCRIPTION DE L ACCUEIL EN ETABLISSEMENTS ET SERVICES DES PERSONNES AVEC DES
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013
ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détail3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées
3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailMASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ
MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent
Plus en détailHospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour
CENTRE HOSPITALIER de BOURG-EN-BRESSE CS 90401 900 route de Paris 01012 BOURG-EN-BRESSE CEDEX 04 74 45 44 08 Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires
Plus en détailFormulaire de demande(s) auprès de la MDPH Enfants/Jeunes (0-20 ans)
Tampon dateur de la Formulaire de demande(s) auprès de la Enfants/Jeunes (0-20 ans) Vous formulez une demande auprès de la pour votre enfant Nom de naissance : I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailSOINS DE SUITE ET READAPTATION FONCTIONNELLE CAHIERS DES CHARGES SSR ADULTES
République Française Agence Régionale de l'hospitalisation de l'ile de France SOINS DE SUITE ET READAPTATION FONCTIONNELLE CAHIERS DES CHARGES SSR ADULTES Socle commun général (adultes et enfants) Cahiers
Plus en détail