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1 ILE INSEE DE FRANCE INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ETUDES ECONOMIQUES ILE-DE-FRANCE àlapage Population, logement, activité à Paris Au mars 99, Paris compte 2 00 habitants. Première capitale européenne, Paris est aussi un département. Le premier d Ile-de-France en termes de population, il occupe le deuxième rang au niveau national, derrière celui du Nord. Paris accueille, % de la population francilienne sur moins de 1 % du territoire régional. De ce fait, ce département affiche la densité la plus élevée du pays ( 10 habitants au km2). Sept arrondissements situés à la périphérie comptent plus de résidents, regroupant ainsi près de 0 % de la population parisienne. Seul à dépasser habitants, le 1e arrondissement est le plus peuplé. Léger rajeunissement La stabilisation de la population se confirme après une longue période de fort dépeuplement. Entre 90 et 99, Paris a perdu 2 00 habitants, soit une variation annuelle moyenne de - 0,1 %. Ce rythme est identique à celui observé entre 2 et 90. Cette baisse modérée est due Figure Pyramides des âges en 90 et Hommes Femmes Effectifs MENSUEL N 3 OCTOBRE 00 - F / 2, 99 RECENSEMENT à une légère accentuation du déficit migratoire, qui s était fortement réduit entre 2 et 90. Au cours de la dernière période intercensitaire, la capitale perd 1 00 personnes par an par le jeu des entrées et sorties. Le e arrondissement, qui affiche une hausse de population significative, est le seul à connaître un solde migratoire positif. Tandis que le e qui connaît la plus forte baisse, est celui où le déficit migratoire est le plus important. Malgré une légère augmentation, l excédent des naissances sur les décès ne suffit pas à compenser les pertes migratoires. Paris enregistre en effet la plus petite variation naturelle de la région (+ 0, % par an), mais néanmoins supérieure à celle de la France. Ce dynamisme relativement faible est lié à la structure par âge. La population parisienne se caractérise en effet par une présence importante des personnes âgées et une faible proportion d enfants. Toutefois, la population tend à rajeunir, dans un contexte de vieillissement régional et national. Cette tendance s observe depuis. Entre 90 et 99, la part des personnes de plus de 0 ans est passée de, % à, %, tandis que celle des moins de ans est restée stable. Ces caractéristiques se traduisent par une pyramide des âges étroite à la base, très large pour les classes d âge de à 3 ans et peu rétrécie aux âges avancés (cf. figure 1). En 99, près d un habitant sur cinq est âgé de plus de 0 ans et un sur huit de moins de 1 ans (cf. figure 2).

2 Figure 2 Répartition par sexe et âge de la population Hommes Femmes Ensemble Hommes Femmes Ensemble De 0 à ans De à 39 ans De 0 à 9 ans De 0 à ans ans et plus Total Figure 3 Part des 0 ans ou plus En % de la population totale moins de 1,1 de 1,1 à, de, à 23,9 23,9 ou plus Les personnes âgées sont plus nombreuses, relativement, dans les e, e et e arrondissements où elles représentent un résident sur quatre (cf. figure 3). Depuis 90, nouveaux résidents se sont installés à Paris, soit 30 % de la population (cf. figure ). Au recensement précédent, ils représentaient 3 % des habitants Figure Structure par âge des nouveaux arrivants Nouveaux arrivants Effectifs % De 0 à 1 ans 0, De 1 à 2 ans 3 2 1,9 De 2 à 39 ans , De 0 à 9 ans , De 0 à ans 90 3,2 ans et plus 9 1, Total ,0 Cette moindre attractivité peut s expliquer en partie par la récession économique du début des années 90, les mouvements migratoires étant fortement liés à la situation économique. La part des jeunes adultes de 2 à 39 ans a nettement augmenté dans les arrivées. En 99, près de la moitié des nouveaux arrivants appartiennent à cette tranche d âge, signe d une mobilité essentiellement professionnelle. A Paris, la taille moyenne des ménages est nettement inférieure à celle de la banlieue. Après une période de stabilisation, elle diminue de nouveau : 1, en 99 contre 1,92 en 90. Tous les arrondissements sont concernés. Seul le e, qui compte de nombreux logements neufs, conserve une taille moyenne supérieure à 2. En effet, le nombre moyen d occupants est beaucoup plus élevé dans les logements achevés après 90 (2,3), que dans les plus anciens (1, dans les logements construits entre 1 et ). En 99, plus de la moitié des résidences principales parisiennes sont occupées par une personne seule. Cette proportion est en constante progression (2, % en 99 contre 9, % en 90). Elle est plus élevée dans les arrondissements du centre où les petits logements sont plus nombreux. Les personnes seules représentent 2 % de la population parisienne. Plus du tiers sont de jeunes adultes âgés de à 39 ans. La communauté étrangère continue à diminuer (- 10 % entre 90 et 99) et de façon plus rapide qu au cours de la période précédente (- %). Ainsi en 99, étrangers résident à Paris, soit 1, % de la population, contre 1,9 % en 90. Les deux tiers d entre eux sont âgés de 2 à 9 ans (cf. figure ). Contrairement au reste de la population, la population étrangère vieillit : la proportion des 0 ans ou plus est passée de 9 % en 90 à, % en 99. Dans le même temps, la part des jeunes de moins de 2 ans est passée de 2 % à 21 %, sous l effet conjugué d une diminution de la fécondité et d une augmentation des naturalisations. Les effectifs masculins se réduisent (- 1 %) tandis que la population féminine augmente légèrement (+ 3, %). Les étrangers sont plus nombreux dans le nord-est et au centre, où leur part dans la population atteint 22 %. Trois sur dix sont originaires de l Union Européenne, dont la majorité du Portugal.

3 Figure Part des étrangers par classe d âge Effectifs totaux Effectifs d'étrangers Part des étrangers De 0 à 2 ans , De 2 à 39 ans ,0 De 0 à 9 ans , De 0 à ans ,0 ans et plus 9 01, Total , En revanche, le nombre de logements vacants s est accru, ainsi que leur part. En 99, un logement parisien sur dix a été recensé vacant (cf. figure ) contre un sur neuf en 90. Cette proportion, plus élévée que dans les autres départements d Ile-de-France, est comparable à celle qui est observée dans la plupart des grandes villes de France. Comme en 90, le taux de vacance est plus fort dans le Figure Part des logements construits depuis 90 Plus de logements confortables En 99, logements ont été recensés à Paris, soit 0 de plus qu en 90. La progression du nombre de logements est continue depuis, mais de moindre ampleur pour la dernière période (+ 1, %). L accroissement le plus important a lieu au sud et à l est, où les nouvelles constructions sont les plus nombreuses. Les résidences principales ont suivi la même progression que l ensemble du parc. Au dernier recensement, elles représentent toujours % des logements. Figure Répartition des logements par type En % moins de 1,2 de 1,2 à 2, de 2, à,0,0 ou plus Type de logement Nombre % Ensemble des logements ,0 Résidences principales 1 0 9,0 Logements occasionnels 2 9 3,3 Résidences secondaires , Logements vacants 13 10,3 Figure Résidences principales par type et statut d occupation Statut d'occupation et type Nombre % Nombre % Ensemble des résidences principales , ,0 Dont par statut d'occupation : Propriétaire , , Locataire 9 3, ,1 - d'un logement loué vide non HLM 1 22, , - d'un logement loué vide HLM 13,3 32, - d'un meublé ou d'une chambre d'hôtel 1 2 3, 1 0, Logé gratuitement 9 9, 0,3 Dont par type : Maison individuelle ou ferme , ,0 Logement dans un immeuble collectif , ,9 Autres*,1 30,1 * Logement-foyer pour personnes âgées, chambre d hôtel, construction provisoire, habitation de fortune, pièce indépendante louée, sous-louée ou prêtée, autres. centre de la capitale. En effet, les logements vacants sont souvent de petite taille, anciens et inconfortables. Le parc immobilier parisien se caractérise en partie par son ancienneté : les deux tiers des logements ont été construits avant 9, dont près de la moitié avant 1. C est particulièrement vrai au coeur de Paris. Dans les 1er et 2e arrondissements, plus de neuf logements sur dix ont été achevés avant 1. A l opposé, la part des logements de moins de neuf ans est plus élevée dans les arrondissements situés à l est, où les livraisons de logements en opérations publiques (HLM) ont été les plus importantes (cf. figure ). Dans l ensemble de ces arrondissements (e, 13e, e, e et e), 2 % des résidences principales neuves sont des logements sociaux. Une autre caractéristique de l habitat parisien est d être majoritairement de petite taille. En 99, les logements d une ou deux pièces représentent % du parc (0 % en 90). Les résidences principales sont de plus en plus souvent confortables. Entre 90 et 99, la proportion de logements ne possédant ni douche ni baignoire ou avec

4 toilettes à l extérieur est passée de 1 % à 10 %. Elle est néanmoins toujours très élevée pour les logements d une seule pièce (3 %). En 99, 30 % des ménages parisiens sont propriétaires de leur résidence principale (cf. figure ). Ce taux est beaucoup plus faible que dans les autres départements franciliens. Parmi les logements loués vides, la part des logements HLM est également très inférieure à celle observée dans le reste de la région : 2, % à Paris, de % à % en banlieue. Au sein de la capitale, les disparités sont très fortes d un arrondissement à l autre. Dans cinq arrondissements du centre, cette proportion est inférieure à %, tandis qu elle atteint 0 % ou plus dans trois arrondissements périphériques. Ainsi, le taux de logements HLM est trente fois plus élevé dans le 13e que dans le e. Globalement, le nombre de logements HLM a augmenté assez fortement entre les deux derniers recensements (+ 3, %). Faible taux d activité En 99, Paris compte environ 1 00 actifs. La population active a légèrement diminué entre les deux recensements (- 0, %), mais de façon moins rapide que la population en âge de travailler (- 1,1 %). De ce fait, le taux d activité a crû légèrement, pour atteindre 1, % (cf. figure 9), alors que dans tous les autres départements, il a diminué ou est resté stable. Malgré tout, la capitale affiche un des taux d activité les plus faibles de la région. Cela tient essentiellement au poids important des personnes âgées et de la population estudiantine à Paris. Les taux d activité sont les plus bas dans les arrondissements où la part des 0 ans ou plus est la plus importante (moins de % d actifs dans les e, e et e). Inversement, les taux sont les plus élevés dans ceux qui comptent le moins de personnes âgées (2e, 3e et 10e) (cf. figure 10). Figure 9 Actifs et inactifs Figure 10 1 En % de la population de 1 ans ou plus moins de 9, de 9, à,1 de,1 à,3,3 ou plus Taux d activité par arrondissement La hausse du taux d activité est due essentiellement à la progression de l activité féminine : en 99,,1 % des femmes de plus de 1 ans sont actives contre,3 % en 90, tandis que chez les hommes, le taux d activité passe de,9 % à, % (cf. figure ). Cette baisse touche les hommes à tous les âges. En revanche, le développement de l activité féminine concerne les femmes de 2 à 9 ans (cf. figures et 13). Globalement, le taux d activité des jeunes a fortement chuté entre 90 et 99. En 99, un quart des Parisiens de 1 à 2 ans sont actifs. Ils étaient un tiers neuf ans plus tôt. Parmi les -2 ans, la proportion d actifs est de 3, %. Ce taux est nettement inférieur à celui des autres départements d Ile-de-France où il dépasse 0 %, excepté dans les Hauts-de-Seine ( %). Dans la capitale, qui accueille un nombre important d étudiants de province et de banlieue, les jeunes poursuivent souvent des études plus longtemps. Chez les personnes de plus de 0 ans, l activité continue à diminuer, les départs à la retraite s effectuant toujours plus tôt. Toutefois, le taux d activité des 0 ans ou plus est beaucoup plus élevé à Paris que Figure Taux d activité par sexe et âge Type d'activité des 1 ans et plus Effectif % Effectif % Actifs dont : , , Ayant un emploi , , Chômeurs* 10 9, 13 9,0 Inactifs , , Total , ,0 * Chômeurs au sens du recensement Taux d'activité Hommes Femmes Hommes Femmes Ensemble,9,3,,1 dont : de 1 à 2 ans 33, 33, 2, 2, de 2 à 39 ans 92,1 3, 91,, de 0 à 9 ans 9,1, 92,9 2,0

5 Figure Taux d activité des hommes par âge Figure 1 Part des chômeurs dans la population active Taux d'activité à ans à 2 ans 2 à 29 ans 30 à 3 ans 3 à 39 ans Source : Insee, recensements 90 et 99 Figure à ans à 9 ans 0 à ans à 9 ans Taux d activité des femmes par âge 0 à ans En % moins de 9, de 9, à,3 de,3 à 1, 1, ou plus Au dernier recensement, 9 % des actifs parisiens travaillent dans leur commune de résidence. Ce taux est très élevé, Paris étant le principal centre d emploi de la région. Néanmoins, un nombre croissant de Parisiens vont travailler dans les autres départements franciliens, où l emploi augmente. Taux d'activité à ans à 2 ans 2 à 29 ans 30 à 3 ans 3 à 39 ans 0 à ans à 9 ans 0 à ans à 9 ans 0 à ans Au cours de la dernière période, le nombre d actifs se déclarant au chômage a crû de façon sensible. En 99, chômeurs ont été recensés à Paris, soit de plus qu en 90. Le nombre de chômeurs a augmenté plus rapidement qu au cours de la période précédente : + 2, % de variation annuelle moyenne contre + 2,3 % entre 2 et 90. Cependant la comparaison de ces évolutions est délicate en raison d un léger changement dans le mode de calcul des chômeurs et des actifs entre les deux derniers recensements (cf. encadré : définitions). dans le reste de la région. Cela s explique par la part importante, dans la capitale, des cadres et des non-salariés, qui restent plus longtemps actifs que l ensemble des salariés. Entre les deux recensements, le travail à temps partiel se développe largement, surtout chez les femmes. En 99, 21 % des femmes actives occupent un emploi à temps partiel. Dans le même temps, la part des salariés travaillant à durée déterminée a presque doublé (, % en 99), tandis que la proportion d intérimaires demeure inchangée (1,2 %). Paris affiche un des taux de chômage les plus forts de la région après la Seine-Saint-Denis. Ce taux, au sens du recensement, est passé de 9, % en 90 à % en 99. Les hommes sont plus touchés que les femmes par cette évolution (+ 3,1 points pour les premiers, + 2,1 pour les secondes). La proportion d hommes au chômage est maintenant plus élevée que celle des femmes, situation unique dans la région. En revanche, la durée du chômage s est allongée comme dans toute l Ile-de-France. La moitié des chômeurs parisiens déclarent rechercher un emploi depuis plus d un an. Ils étaient 3 % en 90. La part des chômeurs dans la population active est plus importante dans le nord-est de la capitale (cf. figure 1). Ces arrondissements comptent une grande proportion de jeunes et d étrangers, populations habituellement plus exposées au chômage. Nadine Laroche

6 Source Ces chiffres sont issus de l exploitation principale du recensement de la population de mars 99. Celle-ci traite sur tous les bulletins toutes les questions sur les logements et les trois quarts des questions sur les individus (âge, sexe, activité, formation, lieu de travail, lieu de résidence antérieure,...). Ne sont pas analysées dans cette exploitation les questions relatives aux catégories socioprofessionnelles, à l activité économique et à la description des familles. Ces thèmes feront l objet de l exploitation complémentaire (2e semestre 01). Définitions : l âge indiqué est l âge atteint par chaque génération au cours de l année de recensement. La classe «0» ne comprend pour le recensement de 99 que les enfants nés du 1er janvier 99 au mars 99. Arrivants dans le département : personnes dont le département de résidence au 1er janvier du recensement de 90 était différent du département de résidence au recensement de 99. Les enfants nés depuis le 1er janvier 90 sont considérés comme «arrivants» (en 99) si la personne de référence du ménage est elle-même «arrivante». Chômeurs : personnes (inscrites ou non à l ANPE) qui se sont déclarées «chômeurs» sauf si elles ont déclaré explicitement par ailleurs ne pas rechercher du travail. Cette définition diffère légèrement de celle utilisée en 90. Les personnes sans emploi et à la recherche d un emploi qui ne se déclaraient pas chômeurs étaient alors aussi comptabilisées comme chômeurs. Ils sont désormais comptabilisés parmi les inactifs. Ce basculement concerne notamment des mères de famille et des femmes au foyer. La comparaison entre les deux recensements des données relatives au chômage, à la population active et aux taux d activité est donc légérement biaisée. Logement : local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. On distingue les logements occupés (résidences principales) et les logements inoccupés (occasionnels, secondaires ou vacants). Population active : elle comprend la population active ayant un emploi (y compris les apprentis), les chômeurs et depuis le recensement de 90, les militaires du contingent. Les actifs ayant un emploi sont les personnes qui ont une profession et l exercent au moment du recensement. La population active est composée de personnes âgées de 1 ans ou plus. Les personnes qui déclarent aider un membre de leur famille dans son travail y sont également comptabilisées si la personne aidée n est pas salariée (exploitant agricole, artisan, commerçant, profession libérale, etc.). La population active étudiée ici est localisée au lieu de résidence. Résidence principale : logement ou pièce indépendante où le ménage demeure la plus grande partie de l année. Une chambre louée par un étudiant sera sa résidence principale. N 3 INSTITUT NATIONALE DE LA STATISTIQUES ET DES ETUDES ECONOMIQUES Direction régionale d Ile-de-France, rue Stephenson Montigny-le-Bretonneux Saint-Quentin-Yvelines cedex Directeur de la publication : Alain Charraud Comité Editorial : Odile Bovar Rédactrice en chef : Corinne Benveniste Secrétaire de rédaction : Josette Siriostis Rédaction Service Etudes Diffusion Taux d activité : proportion de personnes actives dans la population totale en âge d être active. Taux de chômage au sens du recensement : dans la population active, proportion de personnes se déclarant explicitement chômeurs sur le bulletin du recensement. Ce taux diffère par construction du taux de chômage au sens du BIT, défini selon des critères internationaux plus restrictifs. Maquette : Muriel Granet Taux de natalité : rapport entre le nombre de naissances enregistrées dans l état-civil pendant une période donnée et la population moyenne correspondante. Taux de mortalité : rapport entre le nombre de décès enregistrés dans l état-civil pendant une période donnée et la population moyenne correspondante. Impression : Imprimerie nationale Voussouhaitezdesrésultats plusdétaillés RECENSEMENT 99 Le site internet rubrique le recensement de 99 : tableaux départementaux et communaux gratuits L'ouvrage documentaire de référence Tableaux références et analyses pour le département (0 F/, ) Le Cédérom Communes...profils : toutes les communes d'un département sous forme de base de données. L'outil indispensable pour l'analyse d'un territoire. (00F/91, ) Abonnement : Françoise Charbonnier numéros par an, France : 0 F/2,39 Europe : 0 F/30,9 Reste du monde : 2 F/32,93 Le numéro : F/2, Vente sur place et par correspondance : Direction régionale d Ile-de-France Division InformationCommercialisation, rue Stephenson Montigny-le-Bretonneux Saint Quentin Yvelines cedex Tél. : Fax : INSEE Info Service Tour Gamma A, rue de Bercy 2 Paris cedex Tél. : Fax : N ISSN 09-2 Dépôt légal : 2ème semestre 00 Code SAGE : I 0032 Commission paritaire n 2133 AD INSEE - Ile-de-France à la page figure dès sa parution sur le site internet de l insee : INSEE 00

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