CH1 : LA CONVERGENCE LITHOSPHÉRIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CH1 : LA CONVERGENCE LITHOSPHÉRIQUE"

Transcription

1 INTRODUCTION : CH1 : LA CONVERGENCE LITHOSPHÉRIQUE La lithosphère océanique se crée aux dorsales, limites divergentes des plaques tectoniques, évolue en s éloignant de la dorsale puis disparaît au niveau des fosses marines. Les failles normales localisées dans les dorsales attestent d une extension. Les marges océaniques passives contenant ces failles normales témoignent de l expansion de la lithosphère à partir de la dorsale. Dans les zones convergentes, les limites de plaques sont très actives. Quels indices témoignent d une subduction? Quel mécanisme est à l origine de la subduction? Quelle est la conséquence de la subduction sur l activité interne de la lithosphère? Comment la subduction est à l origine de la collision de continents? Plan I. LES MARQUEURS DE LA SUBDUCTION A. Reliefs et déformations B. Volcanisme C. Séismes D. Anomalies thermiques II. MÉCANISME DE SUBDUCTION A. La lithosphère s alourdit B. La lithosphère casse disparaît C. Mécanisme thermique III. ACTIVITÉ INTERNE DÉCLENCHÉE PAR LA SUBDUCTION A. Nature de la croûte : Granite, Rhyolite, Diorite, Andésite B. Formation et refroidissement des magmas C. Origine de l eau dans la plaque chevauchante: Hydratation ; Déshydratation IV. LA COLLISION CONTINENTALE A. Traces d ouverture de l océan Alpin : rift ; océan ; lithosphère océanique B. Traces de fermeture de l océan alpin : Schistes bleus, éclogites, répartition C. Traces de collision continentale : en surface, en profondeur, évolution tardive CONCLUSION

2 I LES MARQUEURS DE LA SUBDUCTION La subduction est l enfoncement et la disparition d une plaque lithosphérique sous une autre plaque. Quels indices révèlent l existence d une subduction? A. RELIEFS ET DÉFORMATIONS CARACTÉRISTIQUES 1. Reliefs négatifs Fosses (Japon, Tonga) : témoin d enfoncement de la plaque Bassin arrière-arc (mer du Japon) : témoin d amincissement de la lithosphère près d un arc volcanique. 2. Reliefs positifs Cordillère (Andes) : témoin de compression de deux plaques arc volcanique (Japon Antilles) : témoin d activité magmatique 3. Déformations des sédiments Les sédiments de la marge océanique sont plissés et cassés par des failles inverses : ils forment un prisme d accrétion : témoin du passage de la plaque océanique sous la plaque chevauchante (effet rabot). B. VOLCANISME PARTICULIER Les volcans de type explosif s alignent parallèlement au bord de l océan : témoins d activité interne et de modification des conditions géophysiques. C. SÉISMES CARACTÉRISTIQUES D UN ENFONCEMENT Des séismes compressifs, alignés parallèlement au bord de l océan et répartis en profondeur suivant un plan dit de Bénioff : témoin de l existence d une lithosphère rigide à grande profondeur (100km / 700 km ; profondeur supérieure à l épaisseur de la lithosphère (10km/80km) D. LES ANOMALIES THERMIQUES CONFIRMENT LA SUBDUCTION 1) Fosse : Anomalie - : témoin de l existence d une plaque froide profonde 2) Arcs et cordillères : Anomalie + : témoin de remontée de magma 3) Bassins arrière-arc : Anomalie + : témoin de remontée d asthénosphère BILAN : Les zones de subduction sont marquées par des reliefs positifs et négatifs, des séismes explosifs alignées suivant le plan de Bénioff, des anomalies thermiques négatives et positives et du magmatisme. Retour plan

3 II MÉCANISME DE SUBDUCTION Quel mécanisme est à l origine de l enfoncement de la lithosphère océanique sous une autre plaque lithosphérique? A. LA LITHOSPHÈRE OCÉANIQUE S ALOURDIT Lors de l expansion, le refroidissement de la lithosphère provoque : son épaississement : la partie supérieure du manteau asthénosphérique se refroidit aussi et adhère au manteau lithosphérique son augmentation de densité jusqu à dépasser celle de l asthénosphère Densité du manteau lithosphérique près de dorsale = 3.24 Densité du manteau lithosphérique loin de dorsale = 3.3 Densité de l asthénosphère = 3.25 B. LA LITHOSPHÈRE CASSE ET DISPARAÎT Refroidie, elle devient rigide et cassante à partir de 30 MA, mais elle peut résister à la cassure jusqu à 150/180 MA. A l occasion de fissures dues aux mouvements de la plaque, la partie la plus dense s enfonce dans l asthénosphère. A 700 Km, la plaque lithosphérique entre en fusion et disparaît en se mêlant au manteau. (parfois, elle descend à 3.000Km) C. MÉCANISME THERMIQUE La subduction, enfoncement et disparition de la lithosphère océanique sous une autre lithosphère (océanique / Guadeloupe ou continentale Chili), résulte de la traction de plaque plongeante sous l effet du refroidissement, et secondairement des mouvements horizontaux de convection mantellique. BILAN : l enfoncement de la lithosphère résulte de son augmentation d épaisseur et de densité, conséquence de son refroidissement. RETOUR PLAN

4 III ACTIVITÉ MAMGATIQUE DÉCLENCHÉE PAR LA SUBDUCTION Les reliefs sont constitués d arcs volcaniques et de cordillères ayant un magmatisme très actifs. D où provient le magma puisque la lithosphère subduite est froide? Comment peut-il se former? A. NATURE DE LA CROÛTE AUX ZONES DE SUBDUCTION Type de roche magmatique : Roche plutonique de structure cristalline, car refroidie en profondeur. Granite = beaucoup de Q et F (PL+OR), peu de Mica et Amphibole Diorite granite mais plus forte proportion d Amphibole Roche volcanique de structure hémicristalline, car refroidie en surface Rhyolite = même minéraux que le granite, englobés dans du verre. Andésite = mêmes minéraux que la diorite, englobés dans du verre. Composition chimique Leur grande proportion de quartz et de feldspath signifie qu elles sont riches en silice (andésite et diorite) ou très riche en silice (granite et rhyolite), contrairement au gabbro et au basalte La silice visqueuse rend explosive l éruption volcanique, caractéristique des volcans des zones de subduction. Leur composition chimique diffère aussi par la présence d eau (amphibole et mica) et la faible quantité de ferro-magnésiens.

5 B. FORMATION ET REFROIDISSEMENT DES MAGMAS 1) Fusion dans les zones de subduction Position géographique de la fusion : Les roches volcaniques ou plutoniques viennent des profondeurs, dérivent d un magma : ce magma de faible densité remonte à la verticale : la zone de fusion se situe donc à l aplomb des volcans et des montagnes. Conditions géophysiques de la fusion : le géotherme de subduction est toujours inférieur au solidus de la péridotite sèche : elle ne peut pas fondre. Mais le solidus de la péridotite hydratée recoupe le géotherme de subduction vers 100 km/1000 C. elle entre en fusion partielle. La présence de micas et d amphiboles indique que le magma contient de l eau. Lieu de fusion : Seule, la lithosphère chevauchante peut entrer en fusion : Température supérieure à 1000 C à l aplomb des volcans et montagnes Hydratation possible apportée par la lithosphère plongeante Résultat de la fusion : La fusion partielle de la péridotite asthénosphérique hydratée fournit un magma andésitique, riche en eau et en silice. 2) Cristallisation lors de la remontée dans la plaque chevauchante Le magma chaud, moins dense, remonte en surface soit rapidement par des failles, soit lentement par diapirs volumineux. Dans une lithosphère océanique La remontée rapide aboutit à la formation d andésite hémicristalline. Si le magma andésitique est bloqué en profondeur, le refroidissement lent aboutit à la formation de diorite cristalline. Dans une lithosphère continentale : Le magma andésitique traverse une croûte continentale épaisse qui le refroidit et le contamine Ce magma refroidit plus longtemps et devient très siliceux et se transforme en magma granitique cristallin. La croûte continentale, déjà siliceuse, enrichit le magma en silice. La fraction encore liquide de ce magma peut remonter en surface et former de la rhyolite hémicristalline. La cristallisation profonde aboutit à la formation des plutons de granite cristallins

6 C. ORIGINE DE L EAU DANS LA PLAQUE CHEVAUCHANTE 1) hydratation de la lithosphère océanique Lors de son expansion océanique, la lithosphère s hydrate : en présence d eau, à basse température et basse pression (BT/BP), basaltes et gabbros se transforment en métabasaltes et métagabbros de type schiste vert. BP/BT : Basalte / Gabbro + H2O schiste vert Plagioclase + pyroxène augite + péridot olivine + H 2 O plagioclase + pyroxène augite + amphibole hornblende 2) déshydratation de la lithosphère Dans la lithosphère subduite, pression et température augmentent : les schistes verts perdent leur eau et se transforment en métabasaltes et métagabbros de type schistes bleus puis en éclogite : MP/MT: schiste vert schiste bleu + H 2 O Plagioclase + pyroxène augite + amphibole brune Hornblende Plagioclase + pyroxène jadéite + amphibole glaucophane + H 2 O HP/MT : schiste bleu éclogite + H 2 O Plagioclase + pyroxène jadéite + amphibole glaucophane Plagioclase + pyroxène jadéite + GRENAT L eau sort des minéraux hydratés de la plaque plongeante, remonte dans la l asthénosphère et lithosphère chevauchantes. BILAN : Lorsque la plaque plongeante hydratée entre en subduction, elle perd son eau vers la plaque chevauchante. La péridotite asthénosphérique hydratée entre en fusion partielle vers 100 KM malgré le géotherme bas 1000 C. Le magma andésitique cristallise en andésite ou en diorite suivant sa vitesse de remontée. L épaisse croûte continentale ralentit la remontée du magma et le transforme en magma granitique à l origine de granite ou de rhyolite. RETOUR PLAN

7 IV : COLLISION DE CONTINENTS INTRODUCTION : Si les plaques lithosphériques possèdent une croûte continentale, la subduction entraîne la collision des continents plus légers. Comment retrouver les traces de subduction et de collision dans les chaînes de montagne actuelles? A. TRACES D OUVERTURE DE L OCÉAN ALPIN 1) Témoins d un rift : Failles normales et blocs basculés dans des roches granitiques ou métamorphiques = témoin de mouvements d écartement dans un continent 2) Témoins d océanisation : Evaporite, gypse = témoin de l inondation d un ancien continent Calcaire avec ammonite : témoin de la présence d une ancienne mer Radiolarite = sédiment à radiolaires siliceux : témoin de mer profonde > 3km Sédiments sur failles normales : témoins d une ancienne marge passive Le rift s inonde et devient un océan de plus en plus profond, les marges s écartent et reçoivent des sédiments 3) Témoins d une lithosphère océanique : Ophiolites = basalte sur gabbro sur péridotite : témoin de la présence d une lithosphère océanique Serpentinite = olivine hydratée ; Méta-gabbros : hornblende, actinote, chlorite : témoin d expansion et d hydratation d une lithosphère océanique L océan recouvre la lithosphère océanique.

8 B. TRACES DE FERMETURE DE L OCÉAN ALPIN a. Schistes bleus : le schiste bleu provient de la transformation en MP/MT de schistes verts : témoin d une subduction commençante. b. Eclogites : les éclogite proviennent de la transformation des schistes bleus en HP/MT : témoin d une subduction en profondeur. c. Répartition des roches : elles se localisent en zones parallèles d est en ouest : éclogite, schiste bleu, schiste vert : cette répartition correspond à la transformation progressive de la lithosphère en subduction : témoin du plan de subduction, reconstitué horizontalement, plongeant vers l ouest. La plaque européenne est subduite sous la plaque africaine C. TRACES DE COLLISION CONTINENTALE Les plaques océaniques en subduction entraînent les croûtes continentales, qui, moins denses, restent en surface et se compriment. 1) Traces de collision en surface : prisme d accrétion remonté en surface Les roches sédimentaires souples se plissent, les dures se cassent et présentent des failles inverses. Les roches plastiques comme le gypse s étalent sur de grandes nappes de charriage. Plis, failles inverses et nappes de charriage témoignent d une compression. 2) Traces de collision en profondeur : Plis et écailles Les roches sédimentaires profondes sont réchauffées et se déforment sans casser. Les minéraux se transforment et migrent dans les charnières des plis. La racine de la crustale compression provoque la formation d une en écailles, révélée par le profil sismique. Les plis anisopaques associés aux transformations minéralogiques témoignent d une compression en profondeur. 3) Evolution tardive : L érosion (eau, glace, vent ) rabote le relief ; la croûte continentale s allège ; la racine de la lithosphère, avec granite et roches métamorphiques, remonte Bilan : dans les alpes, les traces d ouverture d un océan, de sa fermeture par subduction et de collision témoignent de la convergence existant entre les lithosphères européenne et africaine. Retour plan

9 CONCLUSION CONVERGENCE : SUBDUCTION ET COLLISION La subduction est marquée par des «marges actives» animés de séismes répartis selon le plan de Bénioff, et de volcanisme explosif, par des reliefs positifs et négatifs contenant des prismes d accrétion ainsi que des anomalies de répartition de chaleur correspondant aux zones d enfoncement de plaque froide ou aux zones de remontée de magma. La subduction a pour origine la différence de densité entre la lithosphère âgée, épaisse et froide et l asthénosphère plus chaude. L augmentation de pression et de température en profondeur transforme les métagabbros ou métabasaltes en schiste bleu puis en éclogite. Cette transformation déshydrate la plaque plongeante et expulse l eau dans la plaque chevauchante, abaissant ainsi le solidus de la péridotite du manteau. Le magma issu de la fusion partielle, de nature andésitique remonte grâce à sa densité plus faible, soit dans une croûte océanique fine où il cristallise en diorite en profondeur et andésite en surface, soit dans une croûte continentale épaisse où il cristallise en granite en profondeur et en rhyolite en surface. Plus légers, les continents entraînés par les plaques lithosphériques convergentes, entrent en collision sans entrer en subduction. Les traces de rift, d océanisation, de subduction et de collision retrouvées dans les reliefs alpins, signent le mécanisme et les étapes de leur formation.

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

Séquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.

Séquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1. Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

L E BILAN DES ACTIVITÉS

L E BILAN DES ACTIVITÉS L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,

Plus en détail

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

Séquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques

Séquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques

Plus en détail

Documents sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole

Documents sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole Laboratoire de Sciences de la Vie et de la Terre Mise à l épreuve de l idée d une dérive des continents Première S Au début du XXe siècle, les premières idées évoquant une mobilité horizontale des continents

Plus en détail

L océan, un Eldorado pour les ressources du futur?

L océan, un Eldorado pour les ressources du futur? Les ressources minérales du futur sont-elles au fond des mers? «Il existe au fond des mers des mines de zinc, de fer, d argent, d or, dont l exploitation serait très certainement praticable.» Jules Verne

Plus en détail

[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang)

[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [2] La quantité de mouvement et le moment angulaire [3] Calcul de l énergie de liaison des nucléons dans le noyau d un élément [4] Les

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Introduction. Henri Poincaré

Introduction. Henri Poincaré Introduction «On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n est pas plus une science qu un tas de pierres n est une maison.» Henri Poincaré Après

Plus en détail

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses) L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est

Plus en détail

GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités

GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités Google Earth est un logiciel, permettant une visualisation de la Terre (et d autres astres!) avec un assemblage de photographies aériennes

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

La technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs

La technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs Déroulement du mouvement 1. Position Position des pieds Jambes Hanches Buste Tête 2. Bras d arc Main d arc Point de pression Coude Bras de l arc Epaule 3. Bras de corde Prise de corde Position des doigts

Plus en détail

Poser un carrelage mural

Poser un carrelage mural Thierry Gallauziaux - David Fedullo Poser un carrelage mural Deuxième édition 2012 Groupe Eyrolles, 2012, 978-2-212-13490-2 Poser un carrelage mural Le carrelage est un revêtement de sol ou mural indémodable.

Plus en détail

Questionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE

Questionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez

Plus en détail

Que savons-nous de notre planète?

Que savons-nous de notre planète? Que savons-nous de notre planète? par Jacques Deferne et Nora Engel Née en même temps que le Soleil de la contraction d'un immense nuage d'hydrogène, d'hélium et de poussière, la Terre est la seule planète

Plus en détail

Où sont les Hommes sur la Terre

Où sont les Hommes sur la Terre Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

Comment les Alpes se sont-elles formées? Jacques Deferne et Nora Engel

Comment les Alpes se sont-elles formées? Jacques Deferne et Nora Engel Comment les Alpes se sont-elles formées? Jacques Deferne et Nora Engel Jacques Deferne & Nora Engel, 7 mai 2014 2 Avant-propos Ce petit ouvrage sur les événements géologiques qui ont modelé les paysages

Plus en détail

Presque tout sur le Quartz

Presque tout sur le Quartz Presque tout sur le Quartz Jacques Deferne Gerbe de quartz imitant des chrysanthèmes, Bombay, Inde (Muséum de Genève) Jacques Deferne, 3 mai 2014 2 La vision que l'oeil enregistre est toujours pauvre et

Plus en détail

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint

Plus en détail

Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.

Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

IFFO-RME. Informations. Si la France est un pays de. LLa terre a tremblé le 21 novembre 2004 en Guadeloupe et aux Saintes, www.iffo-rme.

IFFO-RME. Informations. Si la France est un pays de. LLa terre a tremblé le 21 novembre 2004 en Guadeloupe et aux Saintes, www.iffo-rme. 4 Informations Brèves L y était En partenariat avec l, l association Prévention 2000 organise une grande commémoration de la crue de la Loire de 1856 sous la forme d une rencontre francophone des «Ambassadeurs

Plus en détail

Manuel. Tome 1 : Fondements. de Mécanique des Roches. par le Comité français de mécanique des roches Coordonné par Françoise Homand et Pierre Duffaut

Manuel. Tome 1 : Fondements. de Mécanique des Roches. par le Comité français de mécanique des roches Coordonné par Françoise Homand et Pierre Duffaut Manuel de Mécanique des Roches Tome 1 : Fondements par le Comité français de mécanique des roches Coordonné par Françoise Homand et Pierre Duffaut!"#$%" '() +,$" #. /.01). Pierre BÉREST Pierre BÉREST Daniel

Plus en détail

Travaux pratiques de pâtisserie CFA Avignon http://cfa84patis.free.fr

Travaux pratiques de pâtisserie CFA Avignon http://cfa84patis.free.fr Brioche Farine de force type 45 500g Sel 10g Sucre 50g Levure 25g Œufs 7 Eau pour délayer la levure beurre 300g Pétrir doucement en hydratant la pâte petit à petit Eviter de chauffer la pâte en pétrissant

Plus en détail

LA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE.

LA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE. LA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE. 3 - La partie externe de la Terre est formée de plaques mobiles 4 - Les mouvements des

Plus en détail

ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE

ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ETAPE 1 LE PLAN DE TRAVAIL 1.a Repères Repères Mettez en place provisoirement le plan de travail et tracez au crayon effaçable deux repères qui correspondent

Plus en détail

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire?

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire? Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires

Plus en détail

Les calottes polaires Isostasie Champ de température

Les calottes polaires Isostasie Champ de température 1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité

Plus en détail

Chapitre 5 Mesures géophysiques

Chapitre 5 Mesures géophysiques Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable

Plus en détail

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan : Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE

AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE Ne laissez pas vos tickets reçus vous coûter du temps et de l argent Un livre blanc NCR Vos applications d impression thermique direct ne

Plus en détail

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel

Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Liens utiles pour les prévisions météorologiques http://meteo.chamonix.org/ 0900 55 21 65 (Haute Savoie) 0900 55 21 68 (Alpes romandes) Par SMS au numéro

Plus en détail

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):

Plus en détail

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à

Plus en détail

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

MOINS DE CONSOMMATION, PLUS DE SECURITE, AVEC IVECO DRIVER TRAINING (la formation conducteur IVECO).

MOINS DE CONSOMMATION, PLUS DE SECURITE, AVEC IVECO DRIVER TRAINING (la formation conducteur IVECO). MOINS DE CONSOMMATION, PLUS DE SECURITE, AVEC IVECO DRIVER TRAINING (la formation conducteur IVECO). IVECO S.p.A. Via Puglia 35,10156 Torino - Italia www.iveco.fr Pubblicazione A103504 Iveco donne une

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

Généralités. Front froid

Généralités. Front froid Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,

Plus en détail

NOTICE DE POSE DE PORTE BASCULANTE 101RH

NOTICE DE POSE DE PORTE BASCULANTE 101RH NOTICE DE POSE DE PORTE BASCULANTE 0RH AFIN D EVITER TOUTES BLESSURES ELOIGNER VOS MAINS DU PERIMETRE DE FONCTIONNEMENT DU SYSTEME D EQUILIBRAGE DE LA PORTE (Ressorts + bras) COMPOSITION DU COLIS Un sachet

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

Les composites thermoplastiques

Les composites thermoplastiques Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état

Plus en détail

ATTENTION! Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière.

ATTENTION! Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière. Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière. En effet, l ordinateur est un appareil qui consomme de l électricité dont une partie importante

Plus en détail

Document réalisé par :

Document réalisé par : Ce document permet de situer le niveau des élèves en fin de module d apprentissage. Il peut être aussi utilisé pendant les séances d apprentissage pour aider à mesurer les acquisitions. Il donne des indications

Plus en détail

3.3. Techniques d installation. 3.3 Installation à bord du VSL. Quand Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger.

3.3. Techniques d installation. 3.3 Installation à bord du VSL. Quand Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger. L auxiliaire ambulancier 3e édition 3.3. Techniques d installation 3.3 Installation à bord du VSL Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger. A Malgré que le transport en VSL soit destiné

Plus en détail

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme

Plus en détail

APPLICATION DE LA PROSPECTION ÉLECTRIQUE A L'ÉTUDE DES NIVEAUX D'ALTÉRATION

APPLICATION DE LA PROSPECTION ÉLECTRIQUE A L'ÉTUDE DES NIVEAUX D'ALTÉRATION APPLICATION DE LA PROSPECTION ÉLECTRIQUE A L'ÉTUDE DES NIVEAUX D'ALTÉRATION Yves ALBOUY Section Géophysique du Ce&e 0 RSTOM de M Bow JeanClaude PION Section Géologie du Ceiztse ORSTOM de DakarHum JeanMarie

Plus en détail

FORMULAIRE DE REPONSE

FORMULAIRE DE REPONSE Lot 1 : Item 2 : Table d Etudiant Dimensions : 70 X 50X75 cm - Piètement en tube acier carré type «serrurier» de 30X30X1.5 mm - Traverses du cadre en tube acier rectangulaire tube «serrurier» de 30X15X1.5

Plus en détail

HEBERGEMENT DANS LE DATACENTER GDC2 DE VELIZY

HEBERGEMENT DANS LE DATACENTER GDC2 DE VELIZY HEBERGEMENT DANS LE DATACENTER GDC2 DE VELIZY Présentation des infrastructures Date: 30/08/2013 Version : 1.0 Toute utilisation ou reproduction même partielle est interdite. Page 1 Sommaire 1. PRESENTATION

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com

Plus en détail

LES MENUISERIES INTÉRIEURES

LES MENUISERIES INTÉRIEURES Les portes intérieures Seuls les ouvrages relatifs aux portes intérieures sont décrits ci-après. Pour la description des pièces de bois (montant, traverse ) et des accessoires de quincaillerie (paumelle,

Plus en détail

AVEC ARDEX, vous MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX

AVEC ARDEX, vous MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX AVEC ARDEX, vous pouvez regarder de pres! MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX ARDEX EG 8 Joint hybride Protection longue durée contre les agents agressifs. Nous sommes fiers de vous présenter ARDEX EG 8, le

Plus en détail

WILLCO Aventi - Directives d application

WILLCO Aventi - Directives d application WILLCO Aventi - Directives d application Recouvrement de façade non ventilé Plaque d appui pour crépi 1 Généralités Ces instructions d application sont spécialement destinées à l application des panneaux

Plus en détail

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,

Plus en détail

Visite de la cité des Sciences et de l industrie.

Visite de la cité des Sciences et de l industrie. Nom :. Prénom :. Classe :. Visite de la cité des Sciences et de l industrie. Organisation de la journée. Heure Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3 Groupe 4 Groupe 5 Groupe 6 8h30 Départ de la gare Arrivée à la

Plus en détail

L Ecole des Sourciers À la Tour Lombarde du Bourg de Conthey

L Ecole des Sourciers À la Tour Lombarde du Bourg de Conthey L Ecole des Sourciers À la Tour Lombarde du Bourg de Conthey Programme d avril à septembre 2016 8 ateliers 27 heures avec l examen final Effectif limité à 4 personnes Eau de source provenant du glacier

Plus en détail

GKR. Geological Knowledge Representation Base de connaissances métallogéniques

GKR. Geological Knowledge Representation Base de connaissances métallogéniques GKR Geological Knowledge Representation Base de connaissances métallogéniques Objets Organiser un ensemble d informations complexes et hétérogènes pour orienter l exploration minière aux échelles tactiques

Plus en détail

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit

Plus en détail

Retrouvez l ensemble des productions et services Gipen sur www.gipen.fr. Ferme comble perdu (EV : avec débord queue de vache) Ferme comble habitable

Retrouvez l ensemble des productions et services Gipen sur www.gipen.fr. Ferme comble perdu (EV : avec débord queue de vache) Ferme comble habitable Echelle de pignon Chevêtre Ferme comble habitable (A entrait porteur (AEP)) Ferme comble perdu (EV : avec débord queue de vache) Ferme pignon Ferme comble perdu (W : avec débord entrait long) Pénétration

Plus en détail

Activité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique

Activité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,

Plus en détail

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

Ressources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech

Ressources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux

Plus en détail

DECLARATION DES PERFORMANCES N 1

DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 Résistance mécanique C18 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES N 2 Résistance mécanique C24 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES

Plus en détail

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification 4 1 CHAPITRE 4 MÉTHODES D EXAMEN ET D ÉVALUATION Il existe un certain nombre d essais d intégrité du contenant qui peuvent être effectués sur les sachets stérilisables en autoclave. Il convient de demander

Plus en détail

Comprendre l efflorescence

Comprendre l efflorescence Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé

Plus en détail

Le séchage des ateliers :

Le séchage des ateliers : Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr

Plus en détail

design: nielsen innovation EN FR IT ES DK DE NL

design: nielsen innovation EN FR IT ES DK DE NL design: nielsen innovation EN FR IT ES DK DE NL FR Veuillez lire les mises en garde p.7 avant d utiliser votre machine Handpresso. Bienvenue dans le monde de Handpresso! Soucieux de qualité et de design,

Plus en détail

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition

Plus en détail

Yaris. Guide Express

Yaris. Guide Express Yaris Guide Express Index Accéder à votre véhicule 2 3 Vitres électriques et verrouillage des vitres (selon version) 4 Réglage du volant 4 Réglage des sièges et des ceintures de sécurité 5 Présentation

Plus en détail

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions

Plus en détail

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

DISS. ETH NO. 17198 LINKING SERPENTINIZATION, FLUID FLUXES, MASS TRANSFER AND MICROBIAL ACTIVITY AT LOST CITY: GEOCHEMICALAND ISOTOPIC CONSTRAINTS

DISS. ETH NO. 17198 LINKING SERPENTINIZATION, FLUID FLUXES, MASS TRANSFER AND MICROBIAL ACTIVITY AT LOST CITY: GEOCHEMICALAND ISOTOPIC CONSTRAINTS DISS. ETH NO. 17198 LINKING SERPENTINIZATION, FLUID FLUXES, MASS TRANSFER AND MICROBIAL ACTIVITY AT LOST CITY: GEOCHEMICALAND ISOTOPIC CONSTRAINTS A dissertation submitted to ETH ZÜRICH for the degree

Plus en détail

Sommaire buses. Buses

Sommaire buses. Buses Sommaire buses Buses Pour tous types de machines hautes pression Pour des canalisations jusqu au Ø 600 mm Efficacité maximale Pour toutes sortes d obstruction Radiales ou rotatives Avec ou sans jet avant

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

La hernie discale Votre dos au jour le jour...

La hernie discale Votre dos au jour le jour... La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées

Plus en détail

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...

Plus en détail

B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction

B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.1.- Caractéristiques d absorption B2.1.1.- Coefficients d absorption de surfaces couvertes par différents éléments Maçonnerie et enduits

Plus en détail

FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)

FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg

Plus en détail

Lecture graphique. Table des matières

Lecture graphique. Table des matières Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

CONSIGNES D'UTILISATION ET D'ENTRE TIEN VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT LES CONSIGNES DE CE DOCUMENT AVANT D UTILISER VOTRE MACHINE À ESPRESSO.

CONSIGNES D'UTILISATION ET D'ENTRE TIEN VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT LES CONSIGNES DE CE DOCUMENT AVANT D UTILISER VOTRE MACHINE À ESPRESSO. The Else CONSIGNES D'UTILISATION ET D'ENTRE TIEN VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT LES CONSIGNES DE CE DOCUMENT AVANT D UTILISER VOTRE MACHINE À ESPRESSO. www.adrianos.ch Hey! Ces consignes contiennent toutes

Plus en détail

Parc national du Toubkal Randonnée muletière dans Atlas de Marrakech et ascension du djebel Toubkal 4167m 10 jours / 9 nuits

Parc national du Toubkal Randonnée muletière dans Atlas de Marrakech et ascension du djebel Toubkal 4167m 10 jours / 9 nuits Réf: Toubkal 1 Parc national du Toubkal Randonnée muletière dans Atlas de Marrakech et ascension du djebel Toubkal 4167m 10 jours / 9 nuits Le parc national du Toubkal Au sud de Marrakech, à soixante kilomètres

Plus en détail

Exemples de Projets SAFI

Exemples de Projets SAFI Exemples de Projets SAFI Analyse sismique simplifiée (CNB-95) Société Informatique SAFI Inc. 3393, chemin Sainte-Foy Ste-Foy, Québec, G1X 1S7 Canada Contact: Rachik Elmaraghy, P.Eng., M.A.Sc. Tél.: 1-418-654-9454

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail