CHAPITRE III : Synthèse Protéique. ADN ARN Protéines
|
|
- Hubert Morency
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE III : Synthèse Protéique Introduction : L information contenue dans l ADN, c'est-à-dire le matériel génétique, se présente sous forme de séquences nucléotidiques précises, alignées sur les brins d ADN. La nature du flux d information dans les cellules fut d abord décrite par Francis Crick comme le dogme central de la biologie moléculaire : L information passe dans un sens du gène (ADN) à une copie d ARN du gène et cette copie contrôle l assemblage progressif d une chaine d acides aminés en protéine ADN ARN Protéines Mais comment s opère le lien entre cette information et les caractères d un organisme donné? C est en dictant la synthèse de certaines protéines que l ADN d un organisme produit des caractères spécifiques. Donc, les protéines représentent le lien entre le génotype et le phénotype. Le processus par lequel l ADN régit la synthèse des protéines, l expression génique, comporte deux étapes appelées : la Transcription et la Traduction Le premier mécanisme, transcrit l information contenue dans l ADN (le gène) en une séquence d ARN contenant l information correspondante. Le second mécanisme, traduit l information contenue dans l ARN en une séquence d acides aminés spécifiques d un polypeptide donné. 1- La transcription chez les eucaryotes : Synthèse d ARN à partir d ADN C est la synthèse d ARN sous la direction d ADN. L information est transposée d une molécule à l autre. La formation d un ARN spécifique sous le contrôle d un ADN spécifique, nécessite une enzyme, l ARN polymérase II. Elle nécessite aussi des ribonucléotides triphosphate appropriés (ATP, GTP, CTP et UTP), une matrice d ADN et l ion Mg2+. 1
2 Rq : Dans une région donnée de l ADN, telle qu un gène, seul un des brins «le brin matrice» est transcrit, il est appelé brin antisens ou brin non codant ; l autre brin complémentaire reste non transcrit, il est appelé brin sens ou brin codant. L ARNm n est pas le seul ARN synthétisé lors de la transcription. Le même processus est responsable de la synthèse de l ARNt (de transfert) et l ARNr (ribosomique) qui constitue une fraction essentielle du ribosome. Ils sont transcrits mais non traduits Donc, l énoncé un gène une enzyme ou un gêne un polypeptide n est pas tout à fait exact. Chez les eucaryotes, il existe 3 sortes d ARN polymérases : Pol I. Synthétise les ARNr sauf 5S. Dans le nucléole. Pol II. Synthétise les précurseurs d ARNm. Dans le noyau. Pol III. Synthétise les ARNt et autres petits ARN nucléaires (snrna), et ARNr 5S. Dans le noyau Chez les procaryotes, il existe une seule ARN polymérase On distingue trois étapes lors de la transcription : a- L initiation : L initiation de la transcription par l ARN polymérase II, débute par la fixation sur le promoteur (séquences particulières : boite TATA) de plusieurs facteurs généraux de transcription, appelés : TFIIA, TFIIB, TFIID, TFIIE, TFIIF, TFIIH et TFIIJ, en plus de l enzyme elle-même La fixation du facteur TFIID sur la boite TATA est la première étape de la constitution du complexe d initiation de la transcription. TFIIH possède une activité hélicase qui lui permet d ouvrir la double hélice d ADN au point d initiation de la transcription (+1). - La transcription commence au site +1, à environ 25 à 30 nucléotides de la boite TATA 2
3 Figure 1 : formation du complexe d initiation de transcription Figure 2 : Structure Promoteur chez les Eucaryotes Figure 3 : Structure Promoteur bactérien 3
4 +1 TFIID, TFIIB Figure 4 : Initiation de la transcription (Eucaryotes) Un promoteur, étant une séquence spécifique d ADN indiquant à l ARN poly où commencer, et quel est le brin d ADN à lire. Une partie de chaque promoteur correspond au site d initiation (+1), où commence la transcription. L ARN polymérase lit le brin d ADN matrice et se déplace dans la direction 3' 5' et synthétise le transcrit d ARN dans la direction 5' 3'. b) L élongation «les ARN poly allongent le transcrit» : Comme les ADN poly, les ARN poly ajoutent de nouveaux nucléotides à l extrémité 3' (OH) de la chaîne d ARN croissante, c'est-à-dire que le nouvel ARN s allonge de son extrémité 5' (P) vers son extrémité 3'. Chaque nucléotide triphosphate est sélectionné en fonction de sa complémentarité 4
5 avec la base du brin ADN matriciel. L ARN polymérase construit un ARN hybridé avec le brin antisens de l ADN dont la séquence primaire est la copie du brin sens mais composée de ribonucléotides à la place de désoxyribonucléotides et d Uracile à la place de la thymine La transcription utilise, comme dans la réplication, l énergie libérée à la fois par le retrait et par la rupture du groupement pyrophosphate de chaque nucléotide ajouté. ARN polymérase peut ajouter à peu prés 50 nucléotides / sec Un gène peut être transcrit simultanément par plusieurs ARN polymérases Brin(Matrice) Figure 5: Elongation c) La Terminaison «la transcription s achève à des séquences de bases particulières» : Vers la fin du gène, les facteurs liés à l ARN poly II reconnaissent sur le brin matrice, une séquence 3 TTATTT 5 (premier signal) suivie dans la plupart des gènes d un autre signal 3 ATACAAAC 5 qui libèrent l ARN poly II. La transcription s arrête peu après le premier signal. L ARN poly II se détache, libère le transcrit primaire et la double hélice se referme. Chaque molécule d ARN est libérée de la matrice d ADN sous forme d une molécule libre, simple brin, longue de à nucléotides. 5
6 . Les mécanismes de terminaison sont complexes et divers. a. Pour certains gènes, le transcrit nouvellement formé se détache simplement de la matrice d ADN et de l ARN polymérase. b. Pour d autres gènes, il faut une autre protéine pour détacher le transcrit. Les ARN synthétisés par l ARN polymérase II, sont appelés Pré-ARNm ou transcrits primaires. Modification de l ARN apres avoir été transcrit : Dans le noyau de la cellule eucaryote, des enzymes apportent des modifications (maturation) spécifiques à l ARN pré-messager avant que l information génétique soit envoyée vers le cytoplasme a) Coiffe 7-méthylguanosine triphosphate (Me-G-ppp-5 ) Les ARNm sont exposés à des ribonucléases dans le cytoplasme. Leur hydrolyse libère des nucléotides qui seront utilisés pour la synthèse de nouveaux ARN. Chaque extrémité du pré-arnm subit une transformation. L extrémité 5 crée en premier au cours de la transcription est recouverte d une coiffe, coiffe 5, constituée d un nucléotide de Guanine méthylée (-CH3) après la transcription des 20 à 40 premiers nucléotides La coiffe (cap) des ARNm protège les ARNm d éxonucléases et permet la liaison de l extrémité 5 au niveau des ribosomes. La coiffe Me-G-ppp-5 est caractéristique de tous les ARNm. Les ARNm des procaryotes sont directement traduits sans modifications. b) Queue poly(a) Aussitôt que le transcrit primaire libéré, une endonucléase clive la fin du transcrit 10 à 15 nucléotides environ, après une séquence (AAUAAA) appelée boite polya considérée comme un signal. Après le clivage, une polya-polymérase incorpore un grand nombre de ribonucléotides, tous à Adénine,(polyA) à l extrémité 3 du transcrit. Le transcrit primaire se trouve allongé d une queue polya de plus de 50 à 250 nucléotides. Cette queue est indispensable à la maturation et à l activité de l ARNm qui la porte. Elle facilite leur transport vers le 6
7 cytoplasme, inhibe leur dégradation et facilite leur attache aux ribosomes. Les séquences 5 UTR et 3 UTR (Un Translated Region) aux extrémités de ARNm correspondent aux régions non traduites, elles ont une fonction dans la liaison aux ribosomes ; 5 UTR 3 UTR Figure 6 : Modification post-transcriptionnelle c) Excision et Epissage L étape suivante de la maturation de l ARN est l élimination d une grande partie de la molécule d ARN nouvellement synthétisée. Cela se fait grâce à un processus d excision et d épissage du pré-arnm. La plupart des gènes d eucaryotes et leurs transcrits d ARN ont des séquences codantes (exons) et des séquences non codantes (introns) Figure 7 : ADN : Introns et Exons Le Splicéosome (en anglais, splicing) : est un complexe dynamique de particules ribonucléoprotéiques (composées d'arnsn et de protéines) et localisé dans le noyau des cellules. Son rôle est de s'associer à l'arn pré-messager et d'en assurer la maturation, avant son exportation dans le cytoplasme, pour être traduit en protéines. Les différentes particules du 7
8 splicéosome sont aussi appelées snrnp, pour small nuclear RiboNucleoProteins. Le splicéosome majeur se compose de 5 snrnps : snrnp U1, U2, la di-snrnp U4/U6 et la snrnp U5. Ces particules sont formées d'un petit ARN (snrna) auquel s'associent des protéines Pratiquement tous les introns commence par GU et se terminent par AG (voir figure cidessous), extrémités ou le spliceosome va se fixer. 2- La traduction : Figure 8 : Excision et Epissage Au cours du processus de la traduction, la cellule construit une protéine à partir des instructions contenues dans le message génétique. Celui-ci consiste en une série de codons alignés sur l ARNm, et il est interprété par un autre type d ARN, appelé ARNt qui a pour rôle d acheminer vers le ribosome, les acides aminés qui se trouvent dans le cytosol. Les ARNt ne sont pas tous identiques. Chacun traduit un certain codon d ARNm en acide aminé particulier. Lorsque l ARNt atteint le ribosome, il porte un AA donné a l une de ses extrémités (3 ) dont la séquence terminale est toujours CCA et, à l autre extrémité 5, se trouve un triplet de nucléotides appelé anticodon qui se lie au codon complémentaire de l ARNm. Au moment du contact, l ARNt et l ARNm sont antiparallèles anticodon-codon 8
9 Chaque ARNt possède un seul anticodon, lui permettant de s unir à un codon particulier grâce à l appariement de bases complémentaires qui rend la traduction si spécifique La structure tridimensionnelle des ARNt leur permet de se fixer spécifiquement aux sites de liaison sur les ribosomes. La structure des molécules d ARNt est clairement liée à leurs fonctions : ils transportent des acides aminés, s associent aux molécules d ARNm et interagissent avec les ribosomes Les étapes de la traduction : Figure 9 : Structure de l ARNt a- L initiation : Elle commence par la formation d un complexe constitué d un ARNt portant le premier acide aminé et une petite sous unité ribosomique, les deux sont liés au point d initiation sur la chaîne d ARNm. L anticodon d un ARNt chargé en méthionine se lie au site approprié de l ARNm par appariement des bases complémentaires avec l AUG, le codon d initiation. Après cette liaison, la grande sous-unité du ribosome se joint au complexe. Rq : Le ribosome a trois sites de liaison pour l ARNt : 9
10 Le site A (aminoacyl) : qui fixe une molécule d ARNt portant un prochain acide aminé qu il faut ajouter à la chaine polypeptidique. Le site P (peptidyl) : qui retient une molécule d ARNt portant la chaîne polypeptidique en cours de synthèse. La première molécule d ARNt chargée, portant la méthionine, se lie au site P du ribosome Le site E (Exit) : site de sortie, l ARNt libéré se détache du ribosome par le site E Rq : Un groupe de protéines appelées facteur d initiation, contribuent à diriger le processus, en utilisant le GTP comme apport énergétique. b- L élongation «Le polypeptide s allonge à partir de l extrémité N- terminale» Au cours de l élongation, les acides aminés sont ajoutés un à un, à la suite l un de l autre. Le ribosome et l ARNm bougent en sens inverse l un par rapport à l autre et, codon par codon. Un ARNt chargé entre dans le site A ouvert. La grande sous-unité catalyse la formation d une liaison peptidique entre l acide aminé présent sur le site P et celui du site A de sorte que le premier acide aminé soit l extrémité N- terminale de la nouvelle protéine, tandis que le second reste attaché à son ARNt par son groupement carboxylique (-COOH). Après avoir libéré son acide aminé, le premier ARNt se dissocie du complexe, retournant vers le cytosol pour se charger d un autre acide aminé identique. Le second ARNt, portant alors un dipeptide, se dirige vers le site P du ribosome qui se déplace d un autre codon le long de l ARNm. L énergie nécessaire à ce mouvement provient de l hydrolyse d une autre molécule de GTP c- La terminaison : Quand un codon stop (UAA, UAG, UGA) entre dans le site A, la traduction s achève. 10
11 Aucun ARNt ne possède d anticodon correspondant à ces codons qui servent de signal de fin de traduction. Une protéine appelée facteur de terminaison, «facteur de relargage» reconnaît ces séquences, se lie directement au codon de terminaison du site A et ajoute une molécule d eau au lieu d un acide aminé à la chaine polypeptidique enfin terminée. L ARNt est relargué, puis le ribosome est déstabilisé et se sépare en sous-unité, libérant l ARNm Note : un seul ribosome peut synthétiser un polypeptide de taille moyenne en moins d une minute. Cependant, un même ARNm sert en général à synthétiser simultanément un grand nombre de copies d un polypeptide donné. Cela est possible parce-que plusieurs ribosomes (polyribosomes ou polysomes) traduisent le message en même temps. Grace à eux, une cellule à la capacité de synthétiser de nombreuses copies d un polypeptide rapidement. Pendant sa synthèse, la chaine polypeptidique s enroule et se replie spontanément en formant une protéine fonctionnelle dotée d une conformation spécifique. Donc elle devient une molécule tridimensionnelle possédant une structure secondaire et tertiaire. C est le gène qui détermine la structure primaire. La protéine doit parfois passer par des modifications post-traductionnelles avant de pouvoir remplir sa fonction dans la cellule : certains acides aminés sont modifiés chimiquement par l ajout de glucides ou de lipides, de groupements phosphates ou d autres substances, des enzymes peuvent détacher un ou plusieurs acides aminés de l extrémité amine de la chaine polypeptidique, dans certains cas une chaine polypeptidique est découpée en plusieurs morceaux par voie enzymatique ; exemple : l insuline est d abord synthétisée sous forme d une chaine polypeptidique, toutefois, elle ne devient active que lorsqu une enzyme enlève un segment situé au centre de la chaine. 11
12 2- Le code génétique : On peut considérer l information génétique transcrite dans une molécule d ARNm comme une série de mots composés de trois lettres. Chaque séquence de trois nucléotides le long de la chaîne code un acide aminé particulier. Le mot à trois lettres est un codon. Ce codon est complémentaire de son codon correspondant dans la molécule d ADN à partir de laquelle il a été transcrit. Les combinaisons de ces quatre lettres (bases) dans des codons à trois lettres donnent 64(4 3 ) codons différents qui ne déterminent que 20 acides aminés. AUG qui code la méthionine est le codon de départ et le signal de l initiation pour la traduction. Les 3 codons : UAA / UAG / UGA sont des codons stop, ou terminaison de la chaîne. Rq : Quand le mécanisme de la traduction atteint l un de ces codons, la traduction s interrompt et un polypeptide est libéré du complexe de traduction. On dit que le code est dégénéré ou redondant, c'est-à-dire qu un acide aminé peut être représenté par plusieurs codons ; mais cette dégénérescence n existe par pour tous les acides aminés, par ex : la méthionine et le tryptophane sont représentés par un seul codon tandis que la leucine est représentée par six codons différents En d autres termes, un acide aminé peut être codé par plus d un codon, mais un codon ne peut coder qu un seul acide aminé. Rq : Les codons du brin d ADN transcrit pour synthétiser les ARNm sont complémentaires et antiparallèles aux codons représentés dans le tableau du code génétique. 12
13 Ex : AAA dans le brin matrice d ADN correspond à la phénylalanine qui est codée par le codon UUU de l ARNm. Le code génétique est non ambigu, et est universel mais pas à 100% car il existe des différences chez les mitochondries et les chloroplastes. 13
14 Expression génique chez les procaryotes Les procaryotes ont une seule enzyme ARN polymérase. Elle est constituée de quatre sousunités : deux chaines alpha, une chaine beta et une chaine beta. Lorsqu elle participe à la transcription, il y a addition d une autre sous-unité sigma. Etape 1 : Initiation Il y a trois sites de l ADN : promoteur en amont, site d initiation ou unité de transcription et site de terminaison en aval. La première base transcrite est désignée comme +1, et cette numérotation se poursuit en aval jusqu'à la dernière base transcrite. Toutes les bases situées en amont du site de départ reçoivent des valeurs négatives -1. Sur le promoteur, deux séquences de six bases sont communes aux promoteurs bactériens : l une est située 35 nucléotides en amont du site d initiation (-35) et l autre se trouve à 10 nucléotides de ce site (-10). C est sigma qui reconnait la séquence -35 du promoteur et positionne l ARN pol au site de départ correct pour transcrire dans la bonne direction. L ARN pol commence à dérouler l hélice ADN au site -10. Etape 2 : Elongation La transcription débute un ribonucléotide triphosphate. La chaine s allonge dans le sens 5 vers 3 par l addition de ribonucléotides. La région contenant ARN pol, l ADN modèle et ARN en croissance est appelée «bulle de transcription. 14
15 Etape 3 : Terminaison L extrémité de l unité de transcription bactérienne est marquée par des séquences de terminaison. Le transcrit d ARN de cette région peut former une structure bicaténaire dans une région riche en GC, une épingle à cheveux suivie d au moins quatre ribonucléotides U. la formation de l épingle à cheveux arrête ARN pol en la plaçant sur la série des quatre uraciles. La transcription chez les procaryotes est couplée à la traduction. L ARNm produit commence à être traduit avant la fin de la transcription. Des que l extrémité 5 est disponible, des ribosomes s y fixent pour entamer la traduction (identique à celle des eucaryotes). 15
16 Une autre différence entre l expression génique des procaryotes et des eucaryotes provient du fait que les ARNm des procaryotes renferment plusieurs gènes. Les gènes procaryotes sont souvent organisés groupés pour ceux qui codent des fonctions apparentés. Ce groupements de gènes fonctionnellement apparentés est un opéron. Un opéron est une unité de transcription unique codant plusieurs enzymes nécessaires à une voie biochimique (nous y reviendrons dans le chapitre opéron lactose). 16
CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailModule 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes
Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes Où trouver l'information complémentaire? MCB -11, GVII-5, 22, 23. La maturation des ARNm chez les eucaryotes Les
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailContrôle de l'expression génétique :
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et les protéines? gène protéine L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et
Plus en détailTableau 1. Liste (non exhaustive) des protéines se localisant dans les P-Bodies
NOM FONCTION EFFET DE L ABSENCE OU DE REFERENCES LA SUREXPRESSION SUR LES P- BODIES XRN1 exonucléase 5 3 Absence : augmente la taille et le Bashkirov et al. 1997 Shet et Parker 2003 Cougot nombre des P-bodies
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailUniversité d Evry-Val d Essonne Ecole Doctorale des Génomes Aux Organismes. Thèse
Université d Evry-Val d Essonne Ecole Doctorale des Génomes Aux Organismes Thèse Présentée pour obtenir le grade de Docteur en sciences de l université d Evry-Val d Essonne Spécialité Bioinformatique par
Plus en détailCHAPITRE 3 LES TASQ COMME PLATEFORME POUR LA CATALYSE PSEUDO-ENZYMATIQUE
L. Stefan Chapitre 3 CHAPITRE 3 LES TASQ COMME PLATEFORME POUR LA CATALYSE PSEUDO-ENZYMATIQUE Nous avons démontré dans le chapitre précédent que les TASQ hydrosolubles développés au cours de cette thèse
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailLes outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques
Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Sommaire Preparation des acides nucléiques Extraction / purification Les enzymes agissant sur les acides nucléiques Les enzymes
Plus en détailIlliS. Le ribosome bactérien : structure et fonctions SYNTHÈSE
IlliS SYNTHÈSE médecine! sciences 1989 ; 5: 662-69 Le ribosome bactérien : structure et fonctions Le ribosome est une particule ribonucléoprotéique, complexe jouant le rôle d'«unité centrale» de la synthèse
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailTD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT
TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification
Plus en détailDétection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots
Université Toulouse 3 Paul Sabatier(UT3 Paul Sabatier) Informatique Spécialité Bioinformatique Eric AUDEMARD lundi 28 novembre 2011 Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailLuca : à la recherche du plus proche ancêtre commun universel Patrick Forterre, Simonetta Gribaldo, Céline Brochier
MEDECINE/SCIENCES 2005 ; 21 :???-??? > L application des méthodes de la biologie moléculaire à l étude des premières étapes de l évolution a montré que le monde vivant pouvait être divisé en trois domaines
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailUniversité de Montréal. Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription
Université de Montréal Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription par Eloi Mercier Département de bioinformatique Faculté de médecine
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX
ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX La thérapeutique antivirale progresse avec lenteur car elle s'attaque à des micro-organismes ne se multipliant qu'à l'intérieur des cellules vivantes dont ils détournent
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailUE : GENE 2208. Responsable : Enseignant : ECUE 1. Enseignant : ECUE 2. Dr COULIBALY Foungotin Hamidou
UE : GENE 2208 Responsable : Enseignant : ECUE 1 Enseignant : ECUE 2 Dr COULIBALY Foungotin Hamidou Spécialités : Génétique Humaine Biologie de la Procréation Cytogénétique Spermiologie Essais Cliniques
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailLa gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST.
La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST. Gaël Le Mahec - p. 1/12 L algorithme BLAST. Basic Local Alignment Search Tool est un algorithme de recherche
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailleurs produits respectifs, et production d'anticorps spécinques. Mémoire présenté Département de biochimie Université Laval
Philippe Garneau Étude de la régulation de l'expression des gènes cyse et cyss de Batcillus subtitis : Surproduction et puriffcation de leurs produits respectifs, et production d'anticorps spécinques.
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailJournée SITG, Genève 15 octobre 2013. Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR Doctorant, Laboratoire de systèmes d information géographique
Monitorint spatio-temporel intégré de la mobilité urbaine Monitoring spatio-temporel de l ADN urbain Une réponse aux défis, problèmes, enjeux et risques des milieux urbains Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailL universalité et la variabilité de l ADN
L universalité et la variabilité de l DN Unité 4 3 μm hromosomes observés en microscopie électronique à balayage. Les chromosomes, présents dans le noyau, sont constitués d acide désoxyribonucléique (DN).
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détaildes nombreuses formes d hépatite virale chez l homme. La prévalence de ce type d hépatite est particulièrement
SYTHÈSE médecine/sciences 1997 ; 13 : 662-9 Le motif autocatalytique d R du virus delta de l hépatite humaine Stéphane Mercure Daniel Lafontaine uylaine Roy Jean-Pierre Perreault Le virus delta de l hépatite
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailLES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS
CHAPITRE 1.1.7. LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS INTRODUCTION Les méthodes de biologie moléculaire ont de plus en plus d applications dans
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailCombinaison de modèles phylogénétiques et longitudinaux pour l analyse des séquences biologiques : reconstruction de HMM profils ancestraux
Combinaison de modèles phylogénétiques et longitudinaux pour l analyse des séquences biologiques : reconstruction de HMM profils ancestraux Jean-Baka Domelevo Entfellner To cite this version: Jean-Baka
Plus en détailConcours. Annales corrigées. 17 sujets d annales. Épreuves d admission
PARAMÉDICAL CONCOURS 2014/2015 Concours Masseurkinésithérapeute Annales corrigées Plannings de révision Autoévaluation Méthode 17 sujets d annales Corrigés détaillés Épreuves d admission Biologie (1 re
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailVue d ensemble de la vie microbienne
Vue d ensemble de la vie microbienne C HAPITRE D EUX I Structure cellulaire et évolution 22 2.1 Les structures cellulaires et virales 22 2.2 L organisation de l ADN dans les cellules microbiennes 24 2.3
Plus en détailPARTIE I Compte pour 75 %
PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux
Plus en détailCATALOGUE DES PRESTATIONS DE LA
1/23 La plate-forme Biopuces et Séquençage de Strasbourg est équipée des technologies Affymetrix et Agilent pour l étude du transcriptome et du génome sur puces à ADN. SOMMAIRE ANALYSE TRANSCRIPTIONNELLE...
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailVieillissement moléculaire et cellulaire
Vieillissement moléculaire et cellulaire Yves Courtois Lorsque, en 1961, Léonard HAYFLICK, aux USA, re - mit en cause le concept général de l'immortalité des cellules, il apportait à la recherche en gérontologie
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailL'interférence (1935) L'interféron (1957) Les interférons. 1 - les interférons de type I : α, β, λ et ω. (to interfere = empêcher, gêner, s'opposer à)
- JC Lemahieu et A. Decoster, Antiviraux, FLM, p. 1 - LES INTERFÉRONS L'interférence (1935) (to interfere = empêcher, gêner, s'opposer à) Dès 1935, on avait constaté que l'infection expérimentale d'un
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailDystrophies Musculaires Thérapie génique et Thérapie cellulaire
Dystrophies Musculaires Thérapie génique et Thérapie cellulaire Pr. François Rivier Service de Neuropédiatrie CHU de Montpellier EA 701 - Université Montpellier I Plan q Les dystrophies musculaires q Prise
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailLa PCR en temps réel: principes et applications
Reviews in Biology and Biotechnology By The Moroccan Society of Biology in Canada Vol.2, No 2, December 2002. pp.2-11 Printed in Canada La PCR en temps réel: principes et applications Elyse Poitras et
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailSKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband
SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailStéphane Priet. Research Group Viral Replicases: Structure, Function & Drug Design. Architecture et Fonction des Macromolécules Biologiques (AFMB)
Stéphane Priet Research Group Viral Replicases: Structure, Function & Drug Design Architecture et Fonction des Macromolécules Biologiques (AFMB) CNRS UMR 7257- Aix-Marseille Université stephane.priet@afmb.univ-mrs.fr
Plus en détailProduction d une protéine recombinante
99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.
Plus en détailPortrait du Groupe Roquette
Portrait du Groupe Roquette «Servir les femmes et les hommes en offrant le meilleur de la nature» Vision Devenir, sur des marchés identifiés, un acteur leader à l échelle mondiale en solutions et produits
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailprésentée DEVANT L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 pour obtenir le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 PAR Emilie GUÉRIN TITRE DE LA THÈSE :
N Ordre de la Thèse 3282 THÈSE présentée DEVANT L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 pour obtenir le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 Mention : BIOLOGIE PAR Emilie GUÉRIN Équipe d accueil : École Doctorale
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Série : Sciences et Technologies de Laboratoire Spécialité : Biotechnologies SESSION 2015 Sous-épreuve écrite de Biotechnologies Coefficient de la sous-épreuve : 4 Ce sujet est
Plus en détail