Table ronde Rôle du référent. G. Bénistand PGS Nîmes C. Lechiche CHU Nîmes
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- Martial Abel Sénéchal
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1 Table ronde Rôle du référent G. Bénistand PGS Nîmes C. Lechiche CHU Nîmes
2 Qui êtes vous???
3 Enquête référents SPILF réponses (5e journée des référents Montpellier) Qui sont ils? : cliniciens 79%, microbiologistes 11%, Pharmaciens 10,9%, hygiénistes 8,7% Quelle formation? : DU ATBttt 47%, DESC 43,5%.rien 9% Rôle / circulaire 2002 : Alfandari, MMI 2010
4 CirculaireDHOS/E 2 -DGS/SD5A n du 2mai2002 relative au bon usage des antibiotiques dans les établissements de santé et à la mise en place à titre expérimental de centres de conseil en antibiothérapie pour les médecins libéraux 1. Commission des antibiotiques et médecin référent Missions du médecin référent. La mission de ce médecin est de promouvoir sur le terrain les actions de bon usage définies par la commission. Ceci nécessite une étroite collaboration avec le pharmacien chargé de la dispensation des antibiotiques et le biologiste/microbiologiste de la commission. La mission La synergie de existant ce médecin au sein cette est équipe de promouvoir représente le meilleur sur garant le terrain de réussite de ce plan. En lien avec la commission des antibiotiques : Le médecin référent intervient comme conseil sur le bon usage des antibiotiques pour l'ensemble de l'hôpital les lorsque actions son avis de est bon sollicité usage par les définies prescripteurs. par Le conseil la commission. porte sur le choix de l'antibiotique, mais aussi sur les modalités de traitement, éléments qui permettent de réduire la fréquence des bactéries résistantes. Le médecin en charge du patient reste, bien entendu, responsable de la prescription, le médecin référent intervenant comme consultant auprès de celui-ci. Il veille à la qualité des traitements antibiotiques prescrits dans les différents services, intervenant sur des alertes générées par le pharmacien chargé de la dispensation, ou par le biologiste/microbiologiste, notamment en cas d'isolement de bactérie dans le sang (bactériémie) ou le LCR (méningite). Il organise des actions de formation sur le bon usage des antibiotiques pour les personnels médicaux (en particulier les internes et les résidents au début de chaque semestre) et paramédicaux. Il s'assure de la diffusion aux services cliniques des recommandations locales et du suivi des consommations le médecin d'antibiotiques référent assuré intervenant réalisé par le service comme de pharmacie. Il consultant mène auprès des actions de d'évaluation celui-ci. (audits de pratiques) et de recherche clinique en collaboration avec les services cliniques, les services de pharmacie et de microbiologie médicale et l'équipe opérationnelle d'hygiène. Il rend compte de son activité à la CME/Conférence médicale dans le cadre du rapport annuel de la commission des antibiotiques. Le médecin référent est un médecin formé à l'antibiothérapie, titulaire de DESC de pathologie infectieuse. A défaut, il sera titulaire, au minimum, d'un diplôme d'université formateur en antibiothérapie ou aura une compétence reconnue attestée par une expérience clinique et éventuellement des publications scientifiques dans le domaine. Sa discipline d'origine peut être diverse : infectiologie, réanimation, médecine interne, pédiatrie... Il est désigné par le directeur de l'établissement sur proposition de la CME/Conférence médicale. La reconnaissance de la compétence de ce praticien par l'ensemble des prescripteurs est un élément important de l'acceptabilité des conseils en matière d'antibiothérapie. Le médecin en charge du patient reste, bien entendu, responsable de la prescription, La reconnaissance de la compétence de ce praticien par l'ensemble des prescripteurs est un élément important de l'acceptabilité des conseils en matière d'antibiothérapie.
5 Date de nomination
6 Prescripteurs Pharmacie Commission antibiotique Serv.adm. DSI Médecin référent Laboratoire CME / CLIN / EOH C.CLIN Tutelles
7 Quel rôle, dans quelle commission
8 Comment envisagez vous votre rôle? Diagnostique Clinique Microbiologique (interprétation des ATBgrammes,..) Conseil thérapeutique Enseignement/formation Indicateur de suivi Hygiène, Ecologie
9 En pratique
10 Décret n du 20 septembre 2013 modifiant les dispositions relatives à la commission médicale d'établissement et aux transformations des établissements publics de santé et à la politique du médicament dans les établissements de santé Chapitre III : Actions de bon usage des antibiotiques Article 6 A la section 1 du chapitre Ier du titre Ier du livre Ier de la sixième partie du code de la santé publique, l'article R est ainsi modifié : 1 Au 1 du I, après les mots : «de bon usage des médicaments», sont ajoutés les mots : «notamment des antibiotiques» ; 2 Au 4 du I, après les mots : «et des médicaments,», sont ajoutés les mots : «notamment les antibiotiques.» ; 3 Après le II, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : «III. En vue d'assurer la mise en œuvre du programme men onné au 1 du I et des préconisations men onnées au 4 du I, le représentant légal de l'établissement de santé désigne, en concertation avec le président de la commission médicale d'établissement dans les établissements de santé publics ou la conférence médicale d'établissement dans les établissements de santé privés, un référent en an biothérapie. Ce référent assiste la commission médicale d'établissement ou la conférence médicale d'établissement dans la proposition des actions de bon usage des antibiotiques et l'élaboration des indicateurs de suivi de mise en œuvre de ces mesures ; il organise le conseil thérapeutique et diagnostique dans l'établissement. Une me me personne peut assurer cette fonction au sein de plusieurs établissements de santé dans le cadre d'une action de coopération.»
11 Rôle et actions du référent sur le BU des antibiotiques T.LEVENT-SF2H 2013 session SPILF - La charge imputée aux CHG (établissements) semble lourde. En effet, il faut dégager des ressources et une expertise locale en infectiologie (conseil, évaluation, formation (EPU)), des moyens mis à disposition (informatique, bureau, secrétariat, téléphone/fax/ internet...), du temps de formation (DU) et d entretien des connaissances (congrés, colloque, EPU...). La discussion confraternelle demeure un point fondamental dans une politique de rationalisation de la prescription. Il s agit donc de mettre en place un encadrement des prescriptions consenties par le plus grand nombre. Il convient, pour un clinicien référent non infectiologue, de travailler en réseau. Plus particulièrement en étroite collaboration avec le(s) service(s) d infectiologie des établissements référents (CHU et CH) du secteur ou de la région
12 Quelles sont vos difficultés? Formation Disponibilité Communication Responsabilité Autres
13 Vos réponses
14 Quelle légitimité et comment l acquérir Vis-à-vis des collègues Aide Les suppléer Via les patients
15 Revendication active du LIEN depuis quelques années, le référent antibiotique est créé par voie de décret et sera désigné dans chaque établissement de santé voir le JORF n 0221 du 22 septembre 2013 DECRET n du 20 septembre 2013
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