Diagnostic Immobilier : bilan et perspectives. Diagnostic Immobilier : bilan et perspectives Etude préliminaire
|
|
- Marc Lamarche
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Diagnostic Immobilier : bilan et perspectives Etude préliminaire Avril
2 1. RESUME Consciente de la nécessité de capitaliser sur le retour d expérience des 15 dernières années, la Fneci a engagé avec ses partenaires de l immobilier, de la construction et de la certification ainsi qu avec les consommateurs, une étude préliminaire du dispositif dont la vocation est d éclairer l ensemble des acteurs concernés sur les actions et réflexions à engager pour consolider et développer le dispositif du diagnostic technique immobilier en France. Pourquoi le diagnostic immobilier? Le diagnostic technique immobilier résulte de la volonté des Pouvoirs Publics d organiser la sécurité des transactions immobilières et de promouvoir l amélioration globale du bâti. Il constitue le pendant naturel pour le bâti existant des évolutions réglementaires pour la construction neuve. A la sécurité des biens et des personnes qui a constitué le premier objectif du dispositif s est adjointe dès 2006 avec le Diagnostic de Performance Energétique et l incitation fiscale aux rénovations «vertes» la nécessité d améliorer la performance énergétique globale du parc immobilier, premier consommateur d énergie. Aujourd hui le diagnostic technique immobilier est devenu une composante obligatoire de la transaction immobilière, vente et location, favorisant l implication du consommateur dans l évolution qualitative de la qualité de son bien. Le rôle du diagnostiqueur immobilier La création d un corps de métier spécifique n est qu une conséquence des obligations réglementaires. Pour répondre aux enjeux et aux contraintes du diagnostic technique immobilier, la nécessité de professionnels qualifiés et indépendants s est imposée. Elle a conduit à réglementer l accès à l activité au moyen de la certification de compétences et de la mise en place de normes de réalisation pour chaque diagnostic du Dossier de Diagnostic Technique. Aujourd hui, la branche du diagnostic technique se trouve confrontée à des problématiques touchant à la fois ses missions (leurs périmètres, leurs techniques) mais plus largement à la profession, à sa définition et à ses perspectives (compétences, formations, responsabilités, etc.) et à son positionnement par rapport aux professions connexes du bâtiment et de l immobilier (respect de l indépendance, place du diagnostic dans la transaction, etc.). 4
3 Des attentes convergentes Les attentes du consommateur, des Pouvoirs Publics et des acteurs du diagnostic technique immobilier convergent vers la sécurité. Le consommateur, comme l intermédiaire immobilier, veut être rassuré quant à la qualification et l indépendance des professionnels et quant à la qualité des diagnostics ; les Pouvoirs Publics recherchent la protection des biens et des personnes ; la profession veut être assurée de sa viabilité. Enfin, le consommateur exprime un besoin fort d accompagnement quant à la compréhension des rapports. Cette attente porte essentiellement sur les états relatifs aux installations Gaz et Electricité dont les restitutions paraissent difficiles à appréhender par des profanes. L attente est plus forte encore vis-à-vis du DPE dont les finalités et limites lui paraissent insuffisamment claires. Consommateur Fiabilité du diagnostic Assurance quant à la qualification du diagnostiqueur Indépendance et impartialité Pédagogie SECURITE TRANSPARENCE Intermédiaires Réactivité dans la réalisation Fiabilité du diagnostic REACTIVITE QUALITE Pouvoirs publics Sécurité des biens, des personnes et des transactions Information du consommateur et incitation à engager la rénovation Connaissance du parc de logements PROTECTION INCITATION Profession Sécurité dans l exercice de ses missions Appartenance à une véritable profession, reconnue Des perspectives d évolution SECURITE VIABILITE L évolution nécessaire du dispositif Le dispositif du diagnostic immobilier s est construit progressivement depuis 1996 en réponse aux priorités d action définies par les Pouvoirs Publics. L évolution parallèle des enjeux et de la réglementation associée ainsi que la professionnalisation de l activité rend nécessaire aujourd hui une remise à plat de l ensemble du dispositif pour assurer non seulement sa fiabilité et sa cohérence pour le consommateur comme pour le diagnostiqueur, mais aussi la viabilité et le développement de la profession du diagnostic immobilier. 5
4 L étude préliminaire menée par la Fneci a identifié des axes de progrès forts tant sur le dispositif du diagnostic technique immobilier que sur la profession. Objectif Action Harmoniser et mettre en cohérence les diagnostics Clarification Cadrer les conditions d intervention Le dispositif La profession Qualification Maîtrise Vision Structuration Mieux informer le consommateur Adapter la formation aux impératifs et aux enjeux Accroitre l efficacité du dispositif de certification et de surveillance Mettre en place un dispositif d exploitation des diagnostics Positionner la profession Définir les conditions d évolution de la profession Indépendance Cadrer les conditions d exercice de la profession Améliorer le dispositif global de diagnostic technique immobilier Harmoniser et mettre en cohérence les diagnostics L harmonisation et la mise en cohérence de l ensemble des diagnostics, réglementés et non réglementés, constitue une garantie d efficacité et un préalable à la maîtrise du dispositif. Ce sont les premiers outils d une clarification du dispositif, de ses attendus et de son fonctionnement, vis-à-vis du consommateur. Cadrer les conditions d intervention des diagnostiqueurs Le diagnostiqueur qui engage sa responsabilité personnelle doit pouvoir réaliser sa mission dans des conditions de sécurité et d indépendance normales pour répondre aux attentes de fiabilité du consommateur. Cela suppose une compréhension partagée de la chaîne de responsabilité pour la prestation de diagnostic technique immobilier. De la même manière, le consommateur doit pouvoir s assurer aisément de la qualification du prestataire. 6
5 La Fneci propose la mise en place des outils de base pour ce faire tels que la carte professionnelle, l ordre de mission et une évolution de la base de données des certifiés pour intégrer l ensemble des informations utiles au consommateur et à tous les acteurs concernés. Mieux informer le consommateur Le diagnostic technique immobilier constitue un instrument de crédibilisation du discours de l intermédiaire immobilier dans son appréciation du bien. L inclusion dans le corpus du mandat de l intermédiaire immobilier d une fiche de présentation des diagnostics et du rôle de l intermédiaire dans leur réalisation favoriserait l appropriation de cette démarche par les acteurs concernés. La Fneci propose également la mise en place d une fiche récapitulative du DDT pour faciliter l accès à l information du consommateur ; les rapports nécessairement techniques n étant pas forcément compréhensibles par un consommateur non aguerri et le DDT ne restituant pas une vision synthétique et claire sur l état du bien. Adapter la formation aux métiers de la profession L enjeu technique majeur du métier de diagnostiqueur immobilier est une maîtrise du système constructif lui permettant d appréhender un bâtiment dans sa globalité. Toutefois, la nature même des missions en fait un métier de généraliste plutôt que de spécialiste ; il s agit en effet pour le diagnostiqueur de maîtriser un périmètre large mais pas nécessairement profond. L enjeu social pour la profession est de ne pas freiner trop fortement le flux de nouveaux diagnostiqueurs, salariés ou entrepreneurs individuels, en plaçant à l entrée la barrière que constituerait un prérequis élevé de diplôme. La Fneci propose de placer en prérequis aux certifications un cursus de formation court, plus approfondi que les formations existantes, constituant le socle de connaissances indispensables sur le système constructif. Dans le même esprit, la Fneci propose également que l amélioration continue soit non seulement une exigence déontologique pour tout diagnostiqueur immobilier mais aussi rendue obligatoire sous la forme d un module court de mise à niveau sur le système constructif et les évolutions réglementaires favorisant davantage l approfondissement des compétences que la validation ponctuelle du savoir-faire initial. Accroître l efficacité du dispositif de certification et de surveillance La certification constitue la meilleure garantie des compétences acquises par le diagnostiqueur immobilier ; la surveillance garantit la bonne application des compétences et l exercice effectif du métier. Or la disparité des modalités d examen et de surveillance entre les organismes de certification fragilise ces garanties de qualification apportées au consommateur. De la même manière, la vente conjointe de formation + certification par certains organismes certificateurs fait peser un soupçon sur la qualité de la certification. 7
6 La Fneci propose un renforcement du cadre imposé par le Cofrac aux organismes de certification visant à : harmoniser les modalités d examen et de surveillance entre organismes certificateurs ; disposition permettant d éviter les ruptures dans la continuité du suivi des certifiés, interdire la vente conjointe de formation + certification Mettre en place un dispositif d exploitation des diagnostics Le diagnostic technique immobilier est une formidable base de connaissance sur l état du bâti et son évolution en France. Faute de moyens techniques adaptés, ces données ne sont pas encore exploitables. La Fneci propose la constitution d un groupe d étude dans le cadre du Plan Bâtiment du Grenelle II pour instruire l opportunité d outiller cette base de connaissance en une base globale qui permettrait aux professionnels de remonter les informations requises sur les différents diagnostics plus aisément et offrirait aux instances publiques concernées l accès constant à une information complète. Ce groupe d étude devra travailler en étroite collaboration avec le groupe de travail sur l harmonisation et la mise en cohérence des diagnostics (Cf. proposition n 1) ainsi qu avec l ADEME qui a engagé des travaux de centralisation pour le DPE. Mettre en place les conditions de viabilité et de développement de la profession Une évolution choisie, porteuse de visibilité et garantie de viabilité pour les professionnels, est au cœur de nos préoccupations car le rôle que l on souhaite voir jouer à la profession demain conditionne les décisions d aujourd hui. Positionner la profession Née de la règlementation et placée à la confluence des secteurs de l immobilier et du bâtiment sans appartenir ni à l un ni à l autre, la profession de diagnostiqueur manque de visibilité non pas sur sa pérennité, assurée par la règlementation, mais sur son avenir. La réponse à cette question conditionnera le développement et la structuration de la profession. Définir les conditions d évolution de la profession Ses spécificités en font une profession à part entière mais ces mêmes spécificités l on conduite à grandir sans se structurer. L expérience acquise lors de la dernière décennie doit désormais lui permettre de sortir de son rôle passif, de devenir force de proposition et de discussion sur son évolution vis-à-vis des Pouvoirs Publics, des consommateurs et des professions connexes de l immobilier et du bâtiment. 8
7 Cadrer les conditions d exercice de la profession L indépendance du diagnostiqueur, attente forte du consommateur, est également une volonté de la profession. L exercice de la profession de diagnostiqueur en parallèle d une profession connexe (intermédiaire immobilier, notaire, artisan ou entreprise du bâtiment, ) est un facteur d inquiétude pour le consommateur et de difficulté de positionnement pour les professionnels. La volonté de la Fneci est de voir offerte à la profession et à l Etat, par le biais des instances paritaires d une convention collective de branche, l opportunité d accompagner l évolution de cette profession vers ses attendus en lui apportant un cadre opérationnel évolutif adapté. CONCLUSIONS Le dispositif et la profession du diagnostic technique immobilier ont atteint le palier de la maturité et entament le palier de la structuration. Presque à son insu, tracté par les évolutions réglementaires, le diagnostic immobilier est passé du statut d activité secondaire, exercée en complément d une activité principale, au statut de métier à part entière, exercé à temps plein par la grande majorité des diagnostiqueurs. Un métier fortement réglementé et porteur d ambitions pour les Pouvoirs Publics en termes de santé, de sécurité, de transparence et de maîtrise de la consommation énergétique. Sa viabilité est désormais conditionnée à sa capacité à devenir une véritable profession, positionnée, structurée et outillée. La question essentielle pour la profession, son développement et les évolutions de ses missions, porte en définitive sur la place et les objectifs que les Pouvoirs Publics souhaitent véritablement voir assumer par les diagnostics techniques et les professionnels qui les réalisent. Notre profession se trouve à un carrefour d opportunités. Evoluer pour faciliter le contrôle de l État, sur les dispositifs de subventions en faveur de l amélioration de l habitat. Son indépendance et sa connaissance générale du bâti la positionnent comme un garant efficace de ces mesures qui sont une charge publique non négligeable et dont l octroi doit être réalisé à bon escient. Evoluer vers un statut de diagnostiqueur «global» du bâti et ainsi accroître la transparence des transactions et la qualité du parc privé. Pour cela, il faudrait qu elle occupe réellement la place qui lui revient dans l acte de transaction et dans les dispositifs de contrôle. Evoluer, au-delà du diagnostic, vers le conseil et l accompagnement dans le cadre des transactions mais également de l amélioration volontaire de la qualité des biens immobiliers. Les objectifs fixés par le Gouvernement en matière d amélioration de la performance énergétique des bâtiments nécessiteront un nombre important de professionnels aptes à conseiller, en toute indépendance, les 9
8 particuliers dans ces démarches. La montée en compétence des diagnostiqueurs sur ce sujet peut les amener à devenir des acteurs majeurs pour l Etat sur ce marché. L importance et l étendue du questionnement nous conduit à proposer la constitution d un groupe de travail dans le cadre du Plan Bâtiment du Grenelle II dont la mission sera de revisiter l ensemble du dispositif pour porter légitimement auprès des Pouvoirs Publics tout à la fois une vision de l état cible recherché et des mesures concrètes pour améliorer le dispositif global et lui donner les moyens de ses ambitions : Analyse des diagnostics du bâti pour rechercher les possibilités d amélioration et de convergence en regard de l expérience acquise et en perspective d une appréhension globale du bâti dans toutes ses dimensions : technique, énergétique et sociale, Analyse prospective du marché du diagnostic : évolutions intrinsèques mais aussi du périmètre de la réglementation, Adéquation du dispositif aux attentes des Pouvoirs Publics, des consommateurs, des acteurs de l immobilier et de la construction, Positionnement et développement de la profession Les diagnostiqueurs sont à même de réaliser cette mutation de compétences s ils sont épaulés par les Pouvoirs publics. 10
«INTÉGRER NOTRE RÉSEAU, C EST DÉVELOPPER VOTRE ENTREPRISE EN TOUTE SÉCURITÉ»
«INTÉGRER NOTRE RÉSEAU, C EST DÉVELOPPER VOTRE ENTREPRISE EN TOUTE SÉCURITÉ» Présentation d ODE DIAGNOSTIC 3 De solides références qui nous font confiance 5 Une equipe de professionnels à votre service
Plus en détailDIAGNOSTIC IMMOBILIER
DIAGNOSTIC IMMOBILIER SOMMAIRE LE MARCHÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 2 LA RÉGLEMENTATION DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 5 L'ACTIVITÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER...
Plus en détailLa réforme : une opportunité pour la fonction formation
Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon
Plus en détailE.D.I. La garantie d une expérience au service de la qualité et du juste prix. Votre expert depuis plus de 10 ans dans les diagnostics immobiliers.
La garantie d une expérience au service de la qualité et du juste prix Votre expert depuis plus de 10 ans dans les diagnostics immobiliers. 1 Le DPE 2011, comment ça marche? 2 Un DPE à quoi ça sert? Un
Plus en détailLe métier de diagnostiqueur ne s'improvise pas!
Le métier de diagnostiqueur ne s'improvise pas! DOSSIER DE PRESSE www.agendaexpertises.fr Tél. : 04 42 54 43 27 Fax : 04 42 54 31 15 LE MARCHÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER 14 diagnostics sont liés à la transaction,
Plus en détailValoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique.
Valoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique. L audit de performance énergé Gérer son patrimoine, c est anticiper, analyser et agir! L immobilier représente
Plus en détailPÉRENNISER LA PERFORMANCE
PÉRENNISER LA PERFORMANCE La recherche de performance est aujourd hui au cœur des préoccupations des organisations : succession des plans de productivité et de profitabilité, plans de reprise d activités,
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailTechnicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants
PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détail...... en quelques mots 1
... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant
Plus en détailMaster Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation
Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailAssurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013
Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Depuis 2009, les sociétés d assurance de la FFSA et du GEMA ont engagé une démarche volontaire de réflexion et d actions en matière
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Marketing et vente de l Université Paris-Est Créteil Val de Marne - UPEC Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section
Plus en détailMESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES
MESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES MESURER EN CONTINU TOUTES VOS CONSOMMATIONS D ÉNERGIE ET DE FLUIDES POUR PERMETTRE UNE OPTIMISATION DE VOS PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES Instrumenter vos immeubles à
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détail2009 - Présentation de la société. Notre métier, c est de rendre le votre plus facile
Notre métier, c est de rendre le votre plus facile 2009 - Présentation de la société Le leader de l infogérance sélective et de l évolutivité des systèmes distribués Notre seul et unique métier, c'est
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section
Plus en détailAnalyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré
Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré Considérations générales Ce rapport synthétique est issu de l étude d une organisation
Plus en détailAPPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective
APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective POEC CONSULTANT D ENTREPRISE EN PORTAGE SALARIAL Une opération cofinancée par le FPSPP Date
Plus en détailImplantation économique, foncier et immobilier d entreprise
Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de
Plus en détailLES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS
ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.
Plus en détailL ENTREPRISE FACE A SA RESPONSABILITE FORMATIVE APRES LA REFORME DE LA FORMATION :
CHRONIQUE 88. L ENTREPRISE FACE A SA RESPONSABILITE FORMATIVE APRES LA REFORME DE LA FORMATION : Bonne foi contractuelle, Co-investissement, fin de la logique fiscale «d imputabilité», pilotage stratégique,
Plus en détailLe capital-risque est-il une option viable pour financer les projets innovants en matière d énergie? Le point de vue d un entrepreneur
Clubs Mines-Energie et Mines-Finance - Le capital-risque est-il une option viable pour financer les projets innovants en matière d énergie? Le point de vue d un entrepreneur Franck Rabut - NovaWatt Président
Plus en détailGénie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité
Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Préambule Venir chez SE2M, c est vous faire profiter de notre expertise de plus de 10 ans d expérience dans l exercice de notre
Plus en détailREFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :
REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailMANIFESTE POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000 EMPLOIS À LA CLÉ! DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DU PORTAGE SALARIAL
MANIFESTE DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DU PORTAGE SALARIAL POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000 EMPLOIS À LA CLÉ! POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000
Plus en détailCYCLE DIRIGEANT FEDESAP/HEC
CYCLE DIRIGEANT FEDESAP/HEC «POUR UNE ENTREPRISE DES SERVICES A LA PERSONNE PROFESSIONNELLE ET PERENNE» FEDESAP : TOUR CIT, 3 rue de l Arrivée 75749 PARIS CEDEX 15 Tél : 01 45 38 44 11 contact@fedesap.org
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER
OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des
Plus en détailOrganisme de certification de personnes et d entreprises. Certification en technologies de l information et monétique. www.it-cert.
Organisme de certification de personnes et d entreprises Certification en technologies de l information et monétique www.it-cert.eu Eric LILLO Directeur Général d IT CERT Fort de plus de vingt ans d expérience
Plus en détailwww.pwc.lu/secteur-public Gestion des risques, contrôle interne et audit interne
www.pwc.lu/secteur-public Gestion des risques, contrôle interne et audit interne Contexte Depuis plusieurs années, les institutions publiques doivent faire face à de nouveaux défis pour améliorer leurs
Plus en détailCODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME
CODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME MAI 2006 LES ARTICLES > ARTICLE 1 ER périmètre et objectifs page 2 > ARTICLE 2 soutien de l esprit d entreprise en favorisant la création ou la reprise d entreprises
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailLa dévolution du patrimoine aux établissements d enseignement supérieur. Contribution à la mission de contrôle du Sénat
La dévolution du patrimoine aux établissements d enseignement supérieur Contribution à la mission de contrôle du Sénat Avril 2010 Avant-propos La présente contribution est issue des travaux effectués par
Plus en détailDossier d adhésion. Photo d identité. Cadre réservé à la FIDI Suivi du dossier. Société :... Date de réception. Adresse :.. N Adhérent. Email :..@.
Dossier d adhésion A compléter de façon lisible et à retourner à l adresse ci-dessous : CINOV FIDI-Diagnostics 4 Avenue du Recteur Poincaré - 75782 PARIS Cedex 16 Société :.... Adresse :.. Photo d identité
Plus en détailITSM - Gestion des Services informatiques
Chapitre 1 - COMPRENDRE LE MARCHÉ ITSM - Gestion des Services informatiques Copyright 2011 CXP. 1 ITSM - Gestion des Services informatiques L'étude a été réalisée par : Dalila Souiah OBJECTIF DU DOCUMENT.
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE -2014
RESEAU DE CONSEILLERS EN IMMOBILIER INDEPENDANTS Compétences des conseillers - Sécurité absolue des transactions DOSSIER DE PRESSE -2014 Pour en savoir plus : www.optimhome.com Contact presse Agence Shan
Plus en détailEVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET
EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET La notion de «fonds libéral», instituée par la Cour de Cassation il y a quelques années simplifie juridiquement la cession des cabinets libéraux. Auparavant, les juristes
Plus en détailMISE EN PLACE D UNE DEMARCHE CQP / CQPI AU SEIN D UNE BRANCHE
MISE EN PLACE D UNE DEMARCHE CQP / CQPI AU SEIN D UNE BRANCHE Guide méthodologique à usage des CPNE Guide validé par le CPNFP du 16 mars 2012 1 PLAN De quoi parle-t-on? Synthèse du processus d élaboration
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailLES ÉVOLUTIONS RÉCENTES DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER
LES ÉVOLUTIONS RÉCENTES DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER AMIANTE Réorganisation des listes de produits et matériaux amiantés (listes A, B et C) Augmentation du nombre des matériaux à repérer Annexion obligatoire
Plus en détailEn fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007.
NOTE AU LECTEUR Fondée en 1961, l Association provinciale des constructeurs d habitations du Québec (APCHQ) est une référence en matière de construction et de rénovation résidentielles. Regroupant quelque
Plus en détailLE DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DPE
LE DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DPE Mars 2008 Qu'est-ce qu'un DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE? P1 S o m m a i r e Quelles opérations nécessitent un DPE? Le contenu du DPE Validité et valeur
Plus en détailBLANC MIQUEL IMMOBILIER
Achat - Vente - Location - Gestion - Syndic - SALES - RENTAL - MANAGEMENT - TRUSTEE www.bordeaux-agence-immobilier.com UN CABINET DES MOYENS ET DES VALEURS Depuis 1972, le Cabinet Miquel gère un portefeuille
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Management des organisations de l économie sociale et solidaire de l Université de la Réunion Vague E 2015-2019
Plus en détailSage 30 pour les petites entreprises
Informations France : 0 825 825 603 (0.15 TTC/min) Informations Export : +33 (0)5 56 136 988 (hors France métropolitaine) www.sage.fr/pme Sage 30 pour les petites entreprises Abordez votre gestion en toute
Plus en détailAssessment & development center
LEROY Consultants Assessment & development center Apporter une appréciation objective sur les potentiels et les développer Un lieu une démarche Le capital humain est reconnu comme un enjeu stratégique
Plus en détailNovembre 2013. Regard sur service desk
Novembre 2013 Regard sur service desk édito «reprenez le contrôle grâce à votre service desk!» Les attentes autour du service desk ont bien évolué. Fort de la riche expérience acquise dans l accompagnement
Plus en détailHySIO : l infogérance hybride avec le cloud sécurisé
www.thalesgroup.com SYSTÈMES D INFORMATION CRITIQUES ET CYBERSÉCURITÉ HySIO : l infogérance hybride avec le cloud sécurisé Le cloud computing et la sécurité au cœur des enjeux informatiques L informatique
Plus en détailGUIDE PRATIQUE POUR MES TRAVAUX D ÉCONOMIE D ÉNERGIE
GUIDE PRATIQUE POUR MES TRAVAUX D ÉCONOMIE D ÉNERGIE POUR MON BUDGET, MON CONFORT ET MA PLANÈTE : JE ME LANCE, AVEC LE CRÉDIT AGRICOLE. Les travaux d éco-rénovation sont-ils vraiment rentables? À quelles
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailMISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE
MISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE ETAPE 2.3 : PLAN D ACTIONS ET PLANNING Novembre 2014 Jean-Philippe
Plus en détailRÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014
RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION INC - 27 janvier 2014 DIAGNOSTIC DU RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION SOMMAIRE La formation et le RIF : constats Les engagements de la COG Ucanss 2013-2016 La création
Plus en détailPRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.
cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations
Plus en détailLancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC)
Lancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC) Cafpi, leader historique en matière de courtage en crédit immobilier, Meilleurtaux.com dont le développement s est appuyé
Plus en détailPLAN DE RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE DE L HABITAT
PLAN DE RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE DE L HABITAT Quel rôle pour les collectivités locales? MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE L'ÉGALITÉ DES TERRITOIRES MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE
Plus en détailGUIDE PRATIQUE POUR MES TRAVAUX D ÉCONOMIE D ÉNERGIE POUR MON BUDGET, MON CONFORT ET MA PLANÈTE : JE ME LANCE, AVEC LE CRÉDIT AGRICOLE.
GUIDE PRATIQUE POUR MES TRAVAUX D ÉCONOMIE D ÉNERGIE POUR MON BUDGET, MON CONFORT ET MA PLANÈTE : JE ME LANCE, AVEC LE CRÉDIT AGRICOLE. Les travaux d éco-rénovation sont-ils vraiment rentables? À quelles
Plus en détailAnnexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF
Annexe - document CA 118/9 Termes de référence Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Index 1 Description de l organisation... 3 2 Contexte de la mission... 4 3 Objet de la mission... 4 3.1 Objectif
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Un portail énergie / climat parisien
DOSSIER DE PRESSE Un portail énergie / climat parisien «En vue de la grande Conférence de l ONU Paris Climat 2015, le dispositif Solutions COP 21 lancé par le Comité 21 avec le Club France Développement
Plus en détailAVENANT DU 3 NOVEMBRE 2011
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3161 Convention collective nationale IDCC : 2120. BANQUE AVENANT DU 3 NOVEMBRE 2011 À L ACCORD DU 10 JUIN 2011 RELATIF
Plus en détailContributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions
Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Présentation Rassemblant les syndicats et associations
Plus en détailNos Solutions PME VIPDev sont les Atouts Business de votre entreprise.
Solutions PME VIPDev Nos Solutions PME VIPDev sont les Atouts Business de votre entreprise. Cette offre est basée sur la mise à disposition de l ensemble de nos compétences techniques et créatives au service
Plus en détailCHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE
CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Sommaire CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE VOUS SOUHAITEZ VENDRE LA SOLUTION ADAPTÉE Sélectionner et argumenter pour réussir
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailLa Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements
La Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements Intervenants Véronique AUDRAIN Consultante Serge ANOUCHIAN Expert-comptable Sommaire Le contexte La mission
Plus en détailGroupements d employeurs
Groupements d employeurs Rapport d étude Sommaire Objectifs de l étude.. Page 3 Déroulement de l étude. Page 4 Les 3 groupements.. Page 5 Méthodologie.. Page 6 Caractéristiques des 3 groupements.. Page
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailson offre Executive Education
Destinée aux cadres supérieurs, dirigeants d entreprises et entrepreneurs menée en partenariat avec CentraleSupélecParis Lancée en Octobre 2015 Casablanca, le 2 juin 2015 L Ecole Centrale Casablanca annonce
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailGéomètres-Experts, simplifiez-vous la vie!
Géomètres-xperts, simplifiez-vous la vie! Septembre 2012 Pour découvrir les services de votre syndicat, cliquez sur les applications. CO FO TIO MA C U C CO M MU TIO ICA O -B UT IQ U S I S FA AF CIAL SO
Plus en détailFaire de l infrastructure informatique une source de valeur ajoutée pour l entreprise.
IBM Global Services Faire de l infrastructure informatique une source de valeur ajoutée pour l entreprise. Les services d infrastructure et d intégration IBM Pour une infrastructure informatique qui participe
Plus en détailClément ALBRIEUX (69)
Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet
Plus en détailDIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE. Ensemble, agissons pour des achats responsables
DIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE Ensemble, agissons pour des achats responsables CONVICTIONS De l intention à l action systématique André SÉPANIAK Directeur des achats Le
Plus en détailCODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE
CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS ET CHARTE DE DÉONTOLOGIE 26 AVENUE VICTOR HUGO 75116 PARIS Tél.: 01-53-64-91-91 Fax.: 01-53-64-91-92 www.snpi.com PRÉAMBULE Le SNPI, organisme professionnel national
Plus en détail- 1 - Calendrier 2016 des Formations Diagnostiqueur immobilier Titre II
- 1 - Calendrier 2016 des Formations immobilier Titre II 01/02/2016 au 15/04/2016 01/02/2016 AU 03/02/2016 750 04/02/2016 AU 05/02/2016 ODI-PB DIAGNOSTIC PLOMB 500 08/02/2016 AU 12/02/2016 ODI-DPE DPE
Plus en détailComment réussir la mise en place d un ERP?
46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on
Plus en détailHABITAT. Mondial Assistance, c est : Vous souhaitez en savoir plus? De l urgence au confort : assurez la tranquillité et la sécurité de vos clients
Mondial Assistance, c est : Un engagement qualité fort Mondial Assistance est une société certifiée ISO 9001 : 2000 Des équipes dédiées Un pôle Habitat spécialiste : - Plus de 30 chargés d assistance -
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. www.synaphe.fr
DOSSIER DE PRESSE www.synaphe.fr Contacts presse Agence Yucatan Céline BERNARD Nicolas MOUTIER cbernard@yucatan.fr nmoutier@yucatan.fr Tél. 01 53 63 27 27 SYNAPHE Bruno REBILLE Responsable Communication
Plus en détailNewsletter n 10 Mars 2012
Newsletter n 10 Mars 2012 La SHOB et la SHON sont remplacées par la surface plancher depuis le 1er Mars 2012. À l occasion de l adoption de la loi Grenelle 2 en juillet 2010, le Parlement a autorisé le
Plus en détailDe vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités
De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom
Plus en détailL audit de communication interne
A faire suivre à : retour à : L audit de Problématique La décision de lancer un audit répond à une volonté politique. Celle-ci s inscrit souvent dans le cadre d une conjoncture spécifique : restructuration
Plus en détailLe challenge du renforcement des compétences. La qualité du service après vente : un enjeu stratégique. Un partenariat ambitieux avec l OFPPT
SOMMAIRE Le challenge du renforcement des compétences 2 La qualité du service après vente : un enjeu stratégique 2 Un partenariat ambitieux avec l OFPPT 3 Une meilleure adéquation entre la formation et
Plus en détailINTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE
INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de
Plus en détailComité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée
Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert
Plus en détailQuels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations
Quels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations Associations (artistiques et culturelles), quels liens avec l ESS Les associations font donc automatiquement partie du périmètre de l ESS
Plus en détailprotection consommateurs commerce électronique Principes régissant la dans le Le cadre canadien des
Principes régissant la protection consommateurs des dans le commerce électronique Le cadre canadien Groupe de travail sur la consommation et le commerce électronique Principes régissant la protection
Plus en détailChargé(e) d Accueil. La filière certifications de l afpols
Chargé(e) d Accueil La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailRapport technique n 8 :
Modernisation de l action publique Groupe de travail interministériel sur les agences et opérateurs de l Etat Rapport technique n 8 : L'appui des têtes de réseau interministérielles en matière de fonctions
Plus en détailMesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance
Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance Deux outils d Amélioration Continue en Facilities Management chez Merck Millipore à Molsheim Thèse professionnelle présentée
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détail