Essonne. Baromètre des affaires. Note méthodologique. N 48 Août 2016

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1 Essonne Baromètre des affaires N 48 Août 2016 Note méthodologique Le baromètre des affaires a pour objectif de refléter l opinion des chefs d entreprise du département de l Essonne sur la conjoncture économique, ainsi que sur des sujets d actualité (cette année, l ubérisation et la transformation numérique). Cette publication repose sur une enquête, menée tous les ans, auprès d un échantillon raisonné d établissements inscrits au registre du commerce et des sociétés. Afin d assurer la représentativité du tissu économique départemental, les résultats présentés ont fait l objet d un redressement selon deux critères : le secteur d activité (industrie, construction, commerce, services) et la taille (petites et moyennes entreprises) des établissements. Pour cette édition, 437 chefs d entreprise ont été interrogés par téléphone par l institut Tryom entre le 10 et le 17 juin Cinq indicateurs de conjoncture sont étudiés : la situation économique de la France, le niveau d activité (évalué par le chiffre d affaires), l investissement, les effectifs et la trésorerie. Pour chacun d entre eux, il est demandé aux dirigeants de s exprimer sur l évolution constatée, via trois modalités (stable, améliorée, détériorée) au cours des six derniers mois et de se prononcer sur la tendance envisagée lors des six prochains mois. Un est calculé sur les six derniers mois, correspondant à la différence entre la proportion de répondants ayant exprimé une opinion positive et la proportion de répondants ayant exprimé une opinion négative. On retrouve la même méthodologie pour un (six prochains mois). Un indice de retournement est compris entre [- 1 ; 1] et s analyse de la façon suivante : s il est proche de 1, cela indique une anticipation positive concernant un indicateur, s il est proche de - 1, une anticipation négative, lorsqu il est à 0, cela signifie que l indicateur est prévu de se stabiliser dans les prochains mois. Pour chacun des résultats présentés, les réponses du type «Ne se prononce pas» n ont pas été prises en compte dans l analyse. Fotolia

2 Questions de conjoncture Analyse globale : les prémices d une amélioration de la conjoncture en Essonne pour les mois à venir D après une enquête réalisée par l Insee en juin 2016, l optimisme des chefs d entreprise recule, le climat des affaires en France était de 100, à savoir son niveau moyen de long terme, soit deux points de moins que les résultats obtenus début janvier. De plus, les chefs d entreprise sont plutôt pessimistes quant à la conjoncture économique nationale, avec un indice de retournement proche de - 0,7 qui laisse penser que les chefs d entreprise anticipent une dégradation dans les mois à venir. Pourtant, sur le 1 er trimestre de l année 2016, l investissement a augmenté de + 0,3 % par rapport au 4 e trimestre 2015, le PIB a été en hausse de + 0,6 % par rapport au trimestre précédent, et l emploi salarié de l ensemble des secteurs marchands non agricoles a augmenté de unités au 1 er trimestre Qu en est-il aujourd hui pour l Essonne? selon les différents indicateurs auprès d un échantillon représentatif de 437 entreprises essonniennes. 2 Les soldes d anticipation sur les six prochains mois sont nettement supérieurs au sur les six derniers mois. Les chefs d entreprise sont donc plus optimistes en ce qui concerne l avenir (cf. graphique ci-dessus). Ceci est d autant plus marqué pour le niveau d activité où le est positif (26,4 % pensent que le niveau d activité va s améliorer contre 23 % des chefs d entreprise pensent qu il va se détériorer), alors que sur les six derniers mois il était négatif (- 10,7 %). Dans une moindre mesure, c est également vrai pour l investissement puisque le pour les 6 prochains mois est nul tandis que le est en recul sur les six derniers mois (- 3,4 %). Ainsi, sur ces deux indicateurs (activité et emploi), l Essonne apparaît un peu plus en recul qu au niveau national (hausse du PIB et de l investissement au 1 er trimestre 2016). En revanche, la hausse de l emploi au niveau national se retrouve dans la tendance du département, avec un positif de + 4,7 % sur les derniers mois et un positif de + 9,2 % sur les six prochains mois. La forte proportion de chefs d entreprise pessimistes quant à l avenir de la situation économique de la France est une tendance générale : en effet, ici 48,1 % des chefs d entreprise interrogés voient la situation économique de la France se dégrader (contre seulement 12,9 % qui la voient s améliorer), ce qui va de pair avec un indice de retournement de - 0,7 au niveau national. En ce qui concerne la trésorerie, même si le a été meilleur sur les six prochains mois que le sur les six derniers mois, celui-ci reste négatif (- 0,5 %).

3 Industrie un secteur qui embauche et investit Dans le secteur de l industrie au niveau national, le bilan est mitigé. En effet, on observe une baisse de l emploi sur le 1 er trimestre, accompagnée d un indice de retournement inférieur à 1. Des anticipations à la baisse et un recul de l emploi indiquent que les chefs d entreprise de ce secteur sont plutôt pessimistes en ce qui concerne les perspectives de ce secteur. On note tout de même un indice de climat des affaires légèrement supérieur à 100 (102), même s il est en baisse d un point par rapport au début de l année. dans le secteur de l industrie auprès de 100 entreprises essonniennes du secteur de l industrie. Au niveau essonnien, les chefs d entreprise sont plutôt optimistes pour les six mois à venir en ce qui concerne leur activité, puisque l on retrouve des soldes d anticipation positifs et plus élevés que les soldes d opinion constatés sur les six derniers mois. C est le cas des indicateurs d activité (+ 10,1 % contre 0 % sur les six derniers mois), d investissement (+ 16,9 % contre + 13,8 %), des effectifs (+ 18,6 % contre + 4 %) et de trésorerie (+ 5,6 % contre - 12,6 %). On remarque par ailleurs que les soldes d anticipation sont systématiquement meilleurs qu au niveau global (tous secteurs confondus). Quant aux soldes d opinion, ils sont également nettement au-dessus de la moyenne pour les indicateurs d activité et d investissement. Cependant, encore une grande partie des chefs d entreprise est pessimiste en ce qui concerne la situation économique de la France pour les six prochains mois avec un négatif de - 26,7 %, même s il est meilleur que le sur les six derniers mois (- 41,1 %). 3

4 Construction prévision d un dynamisme à concrétiser dans les mois à venir Au niveau national, le secteur de la construction suit une tendance plutôt à la baisse : en effet, malgré une hausse de emplois dans le secteur pour le 1 er trimestre 2016, l indice de climat des affaires s établit à 95, avec un indice de retournement légèrement inférieur à 1 (- 0,1), selon une enquêtre réalisée par l Insee en juin dans le secteur de la construction auprès de 105 entreprises essonniennes du secteur de la construction. 4 En ce qui concerne la construction, comme pour le secteur de l industrie, les chefs d entreprise sont assez pessimistes quant à la situation économique de la France dans les six mois à venir. En effet, 44,2 % des chefs d entreprise pensent qu elle va se détériorer pour seulement 18,9 % qui pensent qu elle va s améliorer (soit un négatif de - 25,3 %). Cependant, contrairement à la tendance nationale, les chefs d entreprise dans le secteur de la construction sont plutôt optimistes en ce qui concerne le niveau d activité et les effectifs. En effet, on obtient respectivement des soldes d anticipation positifs de 10,2 % et 9,6 %. L investissement devrait s améliorer. En effet, même si le reste négatif (- 2 %), il est meilleur que le sur les six derniers mois (- 7,8 %). Même constat pour la trésorerie, où le est nul, mais plus élevé que sur les six derniers mois où 18,4 % des chefs d entreprise avaient constaté une baisse de leur trésorerie, établissant le à - 14,4 %. Même si les indicateurs d emploi et d activité indiquent une perspective de dynamisme du secteur dans les prochains mois à venir sur le territoire essonnien, les chefs d entreprise restent prudents en ce qui concerne l investissement (plus de 70 % des chefs d entreprise interrogés anticipent une stabilisation de leur investissement sur les six prochains mois).

5 Commerce un bilan positif, mais moins prononcé que dans les autres secteurs Au niveau national, le secteur du commerce suit plutôt une tendance positive. En effet, on observe un climat des affaires de 101 pour le commerce de gros en juin 2016 (le même qu en début d année) et de 103 pour le commerce de détail (+ 4 points par rapport au début de l année) avec un indicateur de retournement positif (+ 0,2) en mai dans le secteur du commerce auprès de 111 entreprises essonniennes du secteur du commerce. Comme pour les deux premiers secteurs, les chefs d entreprise dans le secteur du commerce sont assez pessimistes en ce qui concerne la situation économique de la France dans les six prochains mois : on obtient un négatif de - 33,7 % résultant de 49 % des chefs d entreprise qui pensent qu elle va se détériorer dans les six prochains mois contre seulement 15,3 % qui pensent qu elle va s améliorer. On constate que les chefs d entreprise dans le secteur du commerce anticipent une amélioration pour les prochains mois à venir, même si cette amélioration reste peu conséquente. En effet, on observe un meilleur, même s il reste négatif, que le pour le niveau d activité (- 4 % contre -10,2 %), des soldes d anticipation positifs pour l investissement et la trésorerie (respectivement, + 3 % et + 1 %) alors que les soldes d opinion associés sont négatifs, et enfin, un meilleur pour les effectifs (+ 5,6 %) que le constaté (+ 0,9 %). Au final, même si les indicateurs sont en amélioration entre le passé et l avenir, cette tendance est nettement moins marquée que pour l industrie et la construction, avec notamment un négatif pour l activité contrairement aux deux autres secteurs, et une perception de la situation économique de la France plus négative. 5

6 Services des perspectives de légères améliorations Au niveau national, le climat est assez mitigé dans le secteur des services. En effet, on observe une hausse de emplois sur le 1 er trimestre Cependant, les chefs d entreprise ne sont pas vraiment optimistes : on constate un climat des affaires de 98 au mois de juin, soit - 3 points par rapport au début de l année, accompagné d un indice de retournement négatif de - 0,5, qui indique des anticipations à la baisse sur les prochains mois à venir. dans le secteur des services auprès de 121 entreprises essonniennes du secteur des services. 6 Une fois de plus, les anticipations en ce qui concerne la situation économique de la France ne sont pas très optimistes de la part des chefs d entreprise dans le secteur des services : seulement 9,7 % pensent que la situation va s améliorer, contre 50,4 % qui pensent qu elle va se détériorer, soit un très négatif à - 40,7 %. En ce qui concerne les investissements et la trésorerie, les avis négatifs sont majoritaires (respectivement des soldes d anticipation négatifs de - 2,6 % et - 2,7 %), cependant les soldes d anticipation sont meilleurs que les soldes d opinion constatés sur les six derniers mois (respectivement - 5,2 % et - 14,4 %). En ce qui concerne les effectifs dans les entreprises, comme au niveau national, les avis sont plutôt optimistes : on obtient un positif de + 7,6 %, légèrement meilleur que le (+ 6,7 %). On constate que les chefs d entreprise anticipent une forte amélioration du niveau d activité, avec un bien supérieur au sur les six derniers mois (+ 4,3 % contre - 13,4 %).

7 Question d actualité L ubérisation une tendance qui divise les opinions Pour la majorité des chefs d entreprise (50,4 %), l apparition de l ubérisation représente une opportunité pour l économie, et c est aux entreprises dites «traditionnelles» de s adapter, en réinventant leur business model pour 57,8 % des chefs d entreprise. Pour quelles raisons faut-il que les entreprises se mobilisent pour un cadre juridique plus contraignant? Autres Augmenter les recettes de l État et des organismes de protection sociale 0,9 % 11,3 % auprès d un échantillon représentatif de 437 entreprises essonniennes. Dans l intérêt du consommateur 16,7 % Préserver l emploi dans les entreprises 23,1 % Lutter contre une concurrence déloyale 48,0 % Cependant, pour près d un tiers des chefs d entreprise interrogés (30,5 %), l ubérisation représente une menace pour l économie et les entreprises issues de l ubérisation doivent se plier à un cadre juridique plus contraignant pour 35,2 % des chefs d entreprise interrogés. De plus, parmi les chefs d entreprise qui se représentent l ubérisation comme une opportunité, près d un tiers d entre eux pensent également que les entreprises issues de l ubérisation doivent être mieux régulées. Parmi les entreprises qui se prononcent pour un cadre juridique plus contraignant, 48 %, soit la grande majorité, invoquent la lutte contre une concurrence déloyale, 23,1 % la préservation de l emploi dans les entreprises et 16,7 % l intérêt du consommateur. Parmi les chefs d entreprise interrogés, 71,8 % pensent que les entreprises de l ubérisation vont entraîner la disparition de certains secteurs d activités traditionnels, et en même temps, presqu autant (71,4 %) pensent qu elles font jouer la concurrence dans l intérêt du consommateur. En outre, 55,3 % des chefs d entreprise interrogés pensent qu elles ne favorisent pas la baisse du chômage, et 64,6 % pensent qu elles favorisent la précarisation de l emploi, vers un monde sans CDI (cf. graphique ci-après). 7

8 Questions d actualité : l ubérisation, une tendance qui divise les opinions (suite de la page 7) Diriez-vous que les entreprises de l ubérisation tout à fait plutôt plutôt pas pas du tout auprès d un échantillon représentatif de 437 entreprises essonniennes.? Questions flash Transformation numérique, pas facile de s y mettre Pour 27,4 % des chefs d entreprise interrogés, la transformation numérique induit une nouvelle organisation du travail et, pour 25,6 % d entre eux, de nouvelles façons de travailler. Ainsi, pour les chefs d entreprise interrogés, la transformation numérique c est d abord une question d organisation au sein de l entreprise. Concernant la transformation numérique au sein des entreprises, la majorité des chefs d entreprise (65,4 %) ont entamé la réflexion ou ont démarré la mise en place concrète de cette transformation. Cependant, parmi les chefs d entreprise interrogés n ayant pas encore envisagé la transformation numérique au sein de leur entreprise, 68,9 % d entre eux n envisagent pas d entamer sur le long terme une réflexion sur ce thème. Achevé de rédiger le 5 juillet 2016 > Contacts : e.bacholle@essonne.cci.fr 2, cours Monseigneur Romero - CS Evry cedex Ayez le réflexe CCI Informations légales - Éditeur : CCI Essonne, 2 cours Monseigneur Romero - CS Évry cedex - Représentant légal : Didier Desnus - Directeur de la publication : Bruno Malecamp - Rédaction : Emmanuel Bacholle, Sophie Remond - Mise en page : communication CCI Essonne - Dépôt légal à parution août 2016.

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