La protection juridique des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et syndromes apparentés
|
|
- Raymond Croteau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La protection juridique des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et syndromes apparentés 4ième Colloque Maladie d Alzheimer et syndromes apparentés Anglet 14 avril 2015
2 Quelques chiffres clés D après l enquête réalisée en octobre 2014 par la fondation Médéric 13 % des mesures exercées par les MJ sont des personnes atteintes de la M.A. 84% ont plus de 75 ans 86% sont sous tutelle 82% des MJ ont déclaré que la mesure répondait toujours à 1 besoin d aide pour gérer l argent et le budget Lors de la 1ère rencontre avec une personne protégée atteinte de la M.A., 37% des MJ répondent être toujours accompagnés SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 2
3 INTRODUCTION La loi du 3 janvier 1968 a mis en place un régime de protection des majeurs incapables. Cette loi crée trois mesures de protection : la Sauvegarde de Justice, la Curatelle et la Tutelle. La loi du 5 mars 2007 vient rénover ces régimes de protection. Elle est entrée en vigueur le 1er janvier La protection concerne désormais la personne et son patrimoine. Le texte précise les droits de la personne protégée. La volonté et l expression du consentement de la personne sont au centre du dispositif prolongeant ainsi l esprit de la loi du 2/01/2002 portant sur les droits des usagers et la loi du 11/02/2005 sur l égalité des droits et des chances des personnes handicapées. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 3
4 La loi de 2007 réaffirme les piliers de la loi de 1968 : les principes de nécessité, de subsidiarité et de proportionnalité. Elle reprend tout en les aménageant les trois mesures de protection que sont la sauvegarde de justice, la curatelle et la tutelle. Dans le cadre de ces mesures elle crée de nouveaux outils : le document individuel de protection des majeurs (DIPM) et la notice d information. Cette loi innove en créant une nouvelle mesure de protection, le Mandat de Protection Future. La loi de 2007 crée également un volet «social» destinée aux personnes qui sans présenter d altérations de leurs facultés personnelles ont besoin d une aide spécifique pour surmonter leurs difficultés sociales ou financières. Deux mesures d aides voient le jour, la Mesure d Accompagnement Social Personnalisé (MASP) et la Mesure d Accompagnement Judiciaire (MAJ). SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 4
5 LES 3 GRANDS PRINCIPES Nécessité : la mesure de protection juridique ne peut être ordonnée que si elle est indispensable Proportionnalité : la mesure de protection juridique doit être adaptée à la situation du majeur. Le choix de la mesure doit dépendre du degré d altération des facultés de la personne à protéger et son contenu devra être individualisé en fonction de cette altération. Subsidiarité : Le juge devra vérifier qu il n existe aucun autre mécanisme alternatif plus souple et moins contraignant pour protéger suffisamment la personne. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 5
6 Présentation de la loi du 5 mars 2007 De nouvelles mesures, des règles nouvelles Altération des facultés personnelles médicalement constatées Santé ou sécurité compromise en raison des difficultés à gérer les prestations sociales Sauvegarde de justice Curatelle Tutelle Mesure d Accompagnement Social Personnalisé NON Mesure d Accompagnement CUMULABLES Judiciaire SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 6
7 Procédure d ouverture d une mesure de protection Certificat circonstancié* (rédigé par un médecin expert) accompagne la demande sous peine d irrecevabilité Coût : 160 Requête indique l identité de la personne à protéger énonce les faits qui appellent la nécessité d une mesure de protection Au Juge des Tutelles Demandeurs personne à protéger conjoint partenaire PACS concubin parent ou allié personne entretenant des liens étroits et stables mandataire judiciaire à la protection des majeurs Au Procureur de la République Demandeurs soit d office soit à la demande d un tiers (assistante sociale etc..) * Modification loi Taubira février 2015: il est inscrit dans la loi que le médecin traitant peut être consulté SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 7
8 Procédure devant le juge des tutelles la personne à protéger est entendue ou appelée la personne à protéger peut être accompagnée par un avocat ou toute personne de son choix (accord juge) audition du demandeur le juge peut ordonner toutes mesures d informations qu il juge utiles (ex : enquête sociale) audition possible des proches ou parents Jugement Refus ouverture mesure de protection pas besoin de protection protection suffisamment assurée par droit commun Jugement prononcé sauvegarde de justice curatelle tutelle âpossibilité de faire appel de la décision dans les 15 jours du jugement ou de sa notification auprès du greffe (sauf pour la sauvegarde SEAPB de justice) Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 8
9 Présentation des différentes mesures de protection ALTERATION DES FACULTES PERSONNELLES Sauvegarde de justice Curatelle Tutelle mesures judiciaires Mandat de protection future mesure contractuelle SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 9
10 La sauvegarde de justice (Art. 433 à 439 du Code civil) OBJET MODE DE DECISION MISSION DU MANDATAIRE JUDICIAIRE DUREE DE LA MESURE Mesure prononcée pour toute personne majeure qui a besoin d être protégée de manière temporaire ou d être représentée pour l accomplissement de certains actes déterminés, lorsqu une altération de ses facultés mentales ou corporelles empêchant l expression de sa volonté est médicalement constatée. Saisine du procureur ou déclaration médicale faite au procureur de la République juge des tutelles Accomplir un ou plusieurs actes déterminés, même de disposition, rendus nécessaires par la gestion du patrimoine de la personne protégée. 1 an maximum Renouvelable 1 fois (2 ans maximum) FIN DE LA MESURE A l échéance de l ordonnance Mainlevée (prononcée à tout moment par le Juge) SEAPB Service Mandataire Judiciaire à Ouverture la Protection des curatelle Majeurs - Bayonne ou tutelle 10
11 La curatelle (Art. 467 à 472 du Code civil) Mesure prononcée lorsqu une personne qui, sans être hors d état d agir elle-même, a besoin d être assistée ou contrôlée de manière continue dans les actes importants de la vie civile et ce, en raison de l altération médicalement constatée de ses facultés mentales ou corporelles empêchant l expression de sa volonté pour pourvoir seule à ses intérêts. OBJET Le juge peut diviser la mesure de protection entre un curateur chargé de la protection de la personne et un curateur chargé de la gestion du patrimoine. Il peut confier ces deux missions au même curateur. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 11
12 MISSION DU MANDATAIRE JUDICIAIRE Le mandataire doit : veiller à la protection de la personne et de ses biens. conseiller, informer de manière générale sur l ensemble des actes de la vie civile et assister pour certains actes déterminés. Curatelle renforcée : le mandataire perçoit seul les revenus de la personne protégée sur un compte ouvert au nom de cette dernière. Il assure lui-même le règlement des dépenses auprès des tiers. DUREE DE LA MESURE 5 ans maximum Renouvelable selon la situation FIN DE LA MESURE Au terme de la mesure Mainlevée (prononcée à tout moment par le juge) Dessaisissement Décès SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 12
13 3 types de curatelle Curatelle simple (Art. 467 du Code Civil) La personne protégée effectue seule les actes d administration de son patrimoine ; elle est par contre assistée du mandataire pour les actes de disposition du patrimoine Curatelle modulée (Art. 471 du Code civil) Le juge peut énumérer certains actes que le majeur protégé aura la capacité de faire seul ou à l inverse ajouter d autres actes à ceux pour lesquels assistance du curateur est exigée. Curatelle renforcée (Art. 472 du Code civil) Le curateur perçoit seul les revenus du majeur protégé sur un compte ouvert à son nom et assure lui-même le règlement des dépenses auprès des tiers. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 13
14 La tutelle (Art. 473 à 476 du Code civil) OBJET Mesure prononcée lorsqu une personne, dans l impossibilité de pourvoir seule à ses intérêts, en raison de l altération médicalement constatée de ses facultés mentales ou corporelles empêchant l expression de sa volonté, doit être représentée d une manière continue dans les actes de la vie civile. Le juge peut diviser la mesure de protection entre un tuteur chargé de la protection de la personne et un tuteur chargé de la gestion du patrimoine. Il peut confier ses deux missions au même tuteur. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 14
15 MISSION DU MANDATAIRE JUDICIAIRE Représentation de la personne protégée dans tous les actes de la vie civile : actes de dispositions, conservatoires. Représentation dans les actes nécessaires à la gestion de son patrimoine Représentation dans les actions en justice pour faire valoir droits patrimoniaux de la personne protégée Acceptation d une succession à concurrence de l actif net Actes de disposition : actes faits avec l autorisation du juge DUREE DE LA MESURE minimum 5 ans sans dépasser 10 ans renouvelable selon la situation SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 15
16 FIN DE LA MESURE Au terme de la mesure Mainlevée (prononcée à tout moment par le juge) Dessaisissement Décès TUTELLE MODULEE (Art. 473 du Code civil) Enumération dans le jugement de certains actes que le majeur pourra effectuer seul ou avec l assistance de son tuteur. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 16
17 Le mandat de protection future (Art. 477 du Code civil) Une mesure judiciaire - contractuelle OBJET Permettre à toute personne majeure de nommer, à l avance et par mandat, une ou plusieurs personnes (personne physique ou morale), pour la représenter dans le cas où elle ne pourrait plus pourvoir seule à ses intérêts. Permettre aux parents qui ont à leur charge un enfant majeur handicapé de faire désigner un mandataire pour le cas où leur enfant ne pourrait plus pourvoir seul à ses intérêts. Protection juridique possible sur le patrimoine et/ou sur la personne SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 17
18 La protection de la personne La loi de 2007 affirme le principe de la protection de la personne. Le juge va déterminer la portée de cette protection en l adaptant à la situation de la personne. Dans le cadre d une mesure de curatelle ou de tutelle, le principe est que la personne prend seule, dans la mesure ou son état le permet, les décisions relatives à sa personne. La personne choisie librement son lieu de résidence, son mode de vie, entretient librement des relations avec toutes personnes. Si son état ne lui permet pas de prendre une décision éclairée, le juge pourra prévoir les actes ou la personne devra recevoir l assistance de son curateur ou tuteur. Si cela ne suffit pas, il pourra autoriser le tuteur à la représenter. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 18
19 Le mariage, le PACS, le divorce : possible avec l accord du curateur ou autorisation du juge si mesure de tutelle. Le droit de vote : maintien en curatelle ; si tutelle le juge doit préciser dans le jugement si la personne conserve ou pas ce droit (principe du maintien). Le droit à l image : autorisation systématique de la personne protégée, si elle refuse sa décision doit être respectée. Pour la tutelle à la personne, autorisation préalable du juge des tutelles SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 19
20 La santé Choix du médecin è è è Information de la personne protégée Information complète, précise et adaptée à la personne En tant que tuteur même information, En tant que curateur, information donnée que si la personne protégée l autorise SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 20
21 La santé Consentement de la personne protégée Urgence vitale Consentement aux soins En cas d urgence vitale ou d impossibilité de recueillir le consentement du majeur et du tuteur, le médecin a obligation d intervenir Mesure Inconnue, sauvegarde de justice, curatelle (CS/CR) La personne a donné son consentement OUI NON L autorisation du curateur n est pas nécessaire, le patient garde sa capacité à consentir aux soins Refus de soins En cas de refus des soins par le majeur protégé ou le tuteur (exerçant la représentation) risquant d entrainer des conséquences graves pour la santé du majeur protégé : le médecin délivre les soins indispensables Tutelle OUI/NON L autorisation du tuteur est nécessaire Lorsque l acte envisagé est de nature à porter atteinte gravement à l intégrité corporelle ou atteinte à l intimité de la vie privée autorisation du juge des tutelles SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 21
22 La santé L accès au dossier médical è Personne seule en Sauvegarde et en Curatelle è En tutelle, demande avec mandataire, (possibilité de consulter le dossier pour le tuteur sans l accord de la personne ) La personne de confiance è En Sauvegarde et en Curatelle, à n importe quel moment è En tutelle, pas de désignation, si avant mise sous mesure confirmation ou révocation du choix par le juge des tutelles SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 22
23 La protection des biens l inventaire du patrimoine : La personne chargée de la protection devra dans les trois mois du prononcé de la mesure établir un inventaire du patrimoine de la personne, le transmettre au juge et l actualiser au cours de la mesure. Cet inventaire doit être réalisé en présence de la personne protégée, de deux témoins ou d un officier ministériel ou public (huissier ou commissaire priseur). La vente d un immeuble : Avec l accord du curateur ou du juge si tutelle. Si il s agit du domicile principal de la personne, accord du juge et ce quelque que soit la mesure. La vente de meubles : Avec l accord du curateur ou du juge si tutelle. Si il s agit du mobilier du domicile principal, accord du juge quelque que soit la mesure. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 23
24 La donation : Avec l assistance du curateur. Si tutelle, accord du juge et assistance du tuteur (avant 2007, possible en tutelle qu envers le conjoint, descendants et frères et sœurs). Le testament : La personne teste librement en curatelle ; en tutelle accord du juge mais sans assistance du tuteur. Compte de gestion : Le curateur ou le tuteur est tenu d établir chaque année un compte de gestion qu il soumet au greffier en chef pour vérification et approbation. Un exemplaire est adressé à la personne protégée. Un compte de gestion est également établi lors de la fin d une mesure de protection. Dans ce cas, les cinq derniers comptes de gestion sont transmis à la personne redevenue capable, au nouveau curateur ou tuteur, aux héritiers de la personne. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 24
25 PARTICIPATION DE L USAGER AU FINANCEMENT DE SA MESURE Loi du 05/03/2007 Décret du 31/12/2008 Une seule tarification quelle que soit la situation de la personne Participation financière pour toutes les mesures S.E.A.P.B. / 32 SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 25
26 Le service d aide aux tuteurs familiaux La loi du 05 mars 2007 précise que la protection juridique des majeurs est un devoir des familles et de la collectivité publique. Elle réaffirme le principe de priorité familiale : - rôle prépondérant de la famille dans le dispositif de protection des majeurs - mise en place de mécanismes d informations et de soutien pour accompagner la famille dans l exercice de sa mission. C est un droit nouveau pour les tuteurs et curateurs familiaux qui bénéficient à leur demande d une information qui est dispensée dans des conditions fixées par décret : Décret du 30/12/2008 relatif à l information et au soutien des personnes appelées à exercer ou exerçant une mesure de protection juridique des majeurs en application de l Article 449 du Code civil. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 26
27 Public concerné Le service d aide aux tuteurs familiaux a pour but d informer et de soutenir des personnes appelées à exercer ou exerçant des mesures de protection juridique des majeurs, en application de l Art 449 du Code civil. L information vise également : - un parent non désigné comme tuteur ou curateur qui souhaite obtenir des informations légales sur le dispositif de protection des majeurs - une personne susceptible de solliciter une mesure pour lui-même ou un tiers - tout professionnel ou bénévole en lien direct ou indirect avec des personnes protégées ou à protéger : ils sont des relais auprès des familles. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 27
28 Domaines d intervention Ecoute de la personne : Préalable nécessaire à l examen de la demande. Elle permet d appréhender le contexte familial et de prendre en compte la dimension humaine de la situation. Information générale : Elle peut porter sur le cadre juridique, les conséquences de la protection pour la personne protégée ainsi que les obligations liées à l exercice familial du mandat de protection. L information en amont d une mesure de protection permet de rassurer les familles, l information en cours de mesure permet de les accompagner dans l exercice de leur mandat. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 28
29 Soutien technique : Il consiste en une information personnalisée et une aide technique dans la formalisation des actes de saisine de l autorité judiciaire et dans la mise en œuvre des diligences nécessaires à la protection des intérêts de la personne. Cadre éthique et déontologique L information aux tuteurs familiaux ne peut en aucun cas comporter la réalisation d actes pour le compte du tuteur ou du curateur. En outre, quel que soit la forme retenue, l information et le soutien doivent être objectifs et impartiaux. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 29
30 OBLIGATIONS DU TUTEUR FAMILIAL Inventaire de l ensemble du patrimoine du majeur protégé et transmission au juge (obligatoire en curatelle renforcée et tutelle). Il en assure l actualisation au cours de la mesure. Comptes de gestion : transmis chaque année au juge avec les pièces justificatives. Fin de mesure : mainlevée, dessaisissement ou décès : dans les 3 mois qui suivent la fin de la mesure, le tuteur familial remet une copie des cinq derniers comptes de gestion plus celui en cours à la personne redevenue capable, au nouveau mandataire ou aux héritiers. SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 30
31 ROLE DU JUGE DES TUTELLES SURVEILLANCE ET CONTROLE Surveillance générale des mesures de protections avec le procureur de la République Pouvoir de convoquer les tuteurs familiaux et de se faire communiquer toute information requise Pouvoir de sanction à l égard des tuteurs : exemple dessaisissement si le tuteur ne rend pas les CRG SEAPB Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs - Bayonne 31
Les aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne
guide pratique Les aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE SECRÉTARIAT D'ÉTAT CHARGÉ DES AÎNÉS eslégalesà
Plus en détailGuide. du curateur ou du tuteur familial
Guide du curateur ou du tuteur familial PREAMBULE La France compte aujourd hui plus de 700 000 personnes sous mesure de protection et ce nombre est en constante augmentation. Dans l Oise, environ 10 000
Plus en détailIV. Les mesures d accompagnement. Le rôle du Conseil général La mesure d accompagnement social personnalisé La mesure d accompagnement judiciaire
Sommaire I. les mesures de protection juridique Les différentes mesures de protection juridique L ouverture d une mesure de protection juridique Présentation du mandat de protection future Mise en œuvre
Plus en détailProcédure relative à la protection juridique des majeurs vulnérables
Procédure relative à la protection juridique des majeurs vulnérables 1/ Objet et domaine d application date de mise à jour : 31 juillet 2012 - harmoniser les pratiques et améliorer la coordination entre
Plus en détailLes dispositions à prendre en cours de fonction
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction de Curateur dans le cadre d une curatelle dite renforcée (article 472 du code civil) Ces dispositions ne concernent
Plus en détailLes dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détailTRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS. Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si
Plus en détailUn de vos proches devient inapte
Un de vos proches devient inapte Comment le protéger? Le Curateur public du Québec À la rencontre de la personne Table des matières Qu est-ce que l inaptitude?... 4 Qu est-ce que le besoin de protection?....
Plus en détailSOMMAIRE. Réalisé par le collectif : ATMP - CMBD - SPES - UDAF de Seine-Maritime
SOMMAIRE 1 S ADRESSER AU JUGE DES TUTELLES 2 LES RECOURS 3 OBLIGATIONS ET RESPONSABILITES DU TUTEUR FAMILIAL 4 DISPOSITIONS À PRENDRE A L OUVERTURE D UNE MESURE 5 PROCEDURE INVENTAIRE 6 PROCEDURE ELABORATION
Plus en détailVOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE
VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE LES PREMIÈRES DÉMARCHES Devenir tuteur familial Une gestion prudente et avisée Vous venez d être nommé tuteur d un majeur à protéger La tutelle est un régime de
Plus en détailles axes majeurs de la loi (1)
1 les axes majeurs de la loi (1) 1- Pas en cause les principes fondamentaux de la protection judiciaire des majeurs vulnérables 2- Introduction de mesures de prise en compte sociale des mesures 3- Professionnaliser
Plus en détailF I N D E M E S U R E : C O M P T E D E G E S T I O N D É F I N I T I F
F I N D E M E S U R E : C O M P T E D E G E S T I O N D É F I N I T I F La mesure de protection de la personne protégée a pris fin. En application de l'article 514 du Code civil, vous devez remettre un
Plus en détailFICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE
FICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE A QUI INCOMBE LE RECOUVREMENT DES CHARGES? Le rôle du syndic : Le non-paiement des charges par un ou plusieurs copropriétaires oblige
Plus en détailInformation DES CURATEURS (Curatelle Renforcée)
Commentaire [1]: 308entetead.wp d Entête de lettre avec destinataire (intégrant charte graphique) Tribunal d instance de RAMBOUILLET Service de la Protection des majeurs Information DES CURATEURS (Curatelle
Plus en détailCurateur ou tuteur familial. Suivez le guide!
Curateur ou tuteur familial Suivez le guide! Curateur ou tuteur familial Suivez le guide! Vous aider à protéger vos proches Une personne de votre famille ou parmi vos proches est en difficultés ; vous
Plus en détailPersonnes et familles. Vie à deux. www.notaires.paris-idf.fr
Personnes et familles LE DIVORCE Vie à deux LA PRESTATION COMPENSATOIRE www.notaires.paris-idf.fr Vie à deux LE DIVORCE - LA PRESTATION COMPENSATOIRE Au fil du temps, le divorce a été simplifié et pacifié.
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLa protection juridique
Entre le fort et le faible, c est la loi qui libère et la liberté qui asservit. juridique de la personne âgée dépendante Tome 1 Henri Lacordaire IAL-08-06/10 Signatures : contact@signatures.eu Dr Carol
Plus en détailPROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT
PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT Thème ANCIENNES DISPOSITIONS NOUVELLES DISPOSITIONS Appellation Hospitalisation sur demande d un tiers Soins psychiatriques sur demande d un
Plus en détailDIVORCE l intérêt du consentement amiable
Conférence-débat du jeudi 2 octobre 2014 DIVORCE l intérêt du consentement amiable Depuis le 1 er janvier 2005 (date d entrée en vigueur de la loi sur le divorce du 26 mai 2004), les époux ont le choix
Plus en détailFICHE 1 L INVENTAIRE
FICHE 1 L INVENTAIRE Vous avez été nommé curateur (curatelle renforcée) ou tuteur d un de vos proches. A ce titre, vous avez l obligation de réaliser un inventaire de ses biens mobiliers et immobiliers
Plus en détailI - Effets de la mesure de protection :
NOTICE à L USAGE du TUTEUR d un parent ou d un proche sous tutelle Vous venez d être nommé en qualité de tuteur d un parent proche. La tutelle est une mesure destinée à protéger sa personne et ses biens.
Plus en détailSIMPLIFIE ET PACIFIE LA PROCÉDURE. À TOUTES LES ÉTAPES DE LA PROCÉDURE ET SUR TOUTES LES QUESTIONS LIÉES À LA LIQUIDATION DU RÉGIME
Le Divorce LA LOI DU 26 MAI 2004 RÉFORMANT LE DIVORCE EST ENTRÉE EN VIGUEUR LE 1 ER JANVIER 2005. CETTE LOI SIMPLIFIE ET PACIFIE LA PROCÉDURE. ELLE RENFORCE LE RÔLE DU NOTAIRE. CE DERNIER PEUT INTERVENIR
Plus en détailLOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés?
LOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés? La loi du 24 Mars 2014 dite «loi ALUR», publiée au J.O. du 26/03/2014 a apporté quelques modifications notables dans le domaine du droit de la copropriété.
Plus en détailLES CONDITIONS REQUISES POUR CREER UNE SARL
LES CONDITIONS REQUISES POUR CREER UNE SARL Hôtel Consulaire Nouveau-Port 20293 BASTIA Tél : 04.95.54.44.44 Fax : 04.95.54.44.47 DIRECTION DES SERVICES AUX ENTREPRISES CCI Bastia Haute Corse DSE Sous réserve
Plus en détailLA DONATION ENTRE VIFS
Avec la collaboration des Instituts du C.S.N LA DONATION ENTRE VIFS La donation entre vifs est l acte par lequel le donateur se dépouille actuellement et irrévocablement d un bien ou d un droit au profit
Plus en détailAssociation SYNADEC. Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC
Association SYNADEC Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, le décret du 16
Plus en détailCatherine Olivier Divorcer sans casse
Catherine Olivier Divorcer sans casse Groupe Eyrolles, 2004, ISBN 2-7081-3511-2 Chapitre 2 Le divorce accepté Cette procédure concerne actuellement environ 15 % des divorces. Le divorce accepté, autrefois
Plus en détailMarseille 12 13 Octobre 2006. Table ronde n 6 : La famille
1 er COLLOQUE DES NOTARIATS EUROMEDITERRANEENS Marseille 12 13 Octobre 2006 Table ronde n 6 : La famille Rapporteur Général : Monsieur Umberto Morello, Professeur de droit à l Université de Gênes (Italie).
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailÉdition 2012-2013. Le Guide de la Protection Juridique des Majeurs. www.capretraite.fr
Édition 2012-2013 Le Guide de la Protection Juridique des Majeurs www.capretraite.fr 0800 891 491 ÉDITO Comme de nombreuses familles faisant face à l'altération des facultés de leur proche, vous vous interrogez
Plus en détailIntroduction 5. larcier 347
TABLE DES MATIÈRES Introduction 5 Chapitre I L accès à la profession : l autorisation d établissement 7 Section 1. Le champ d application de la loi d établissement 8 A. Les personnes nécessitant une autorisation
Plus en détailNOTICE D'INFORMATION
04 Union Départementale des Associations Familiales des Alpes de Haute-Provence NOTICE D'INFORMATION 39 Boulevard Victor Hugo Le Florilège 04000 DIGNE LES BAINS 1/14 Présentation du dispositif de protection
Plus en détailL acte de naissance permet au greffier de vérifier si les futurs partenaires sont majeurs ou non.
04/2012 Note d'information des missions diplomatiques et consulaires allemandes en France concernant la conclusion d un PACS (Pacte civil de solidarité) - note d information rédigée en concertation avec
Plus en détailBarème indicatif des honoraires
Barème indicatif des honoraires Tarifs applicables à compter du 01/01/2010 MARC TELLO-SOLER Avocat 160 Gde Rue St. Michel 31400 Toulouse www.mts-avocat.net tello-soler@mts-avocat.net Sommaire Notice du
Plus en détailG uide M éthodologique
MESURES DE PROTECTION DES MINEURS Suivez le guide!!! AVRIL 2015 G uide M éthodologique Document actualisé le 07 avril 2015 par Le Service en charge des Mesures de Protection des Mineurs de l UDAF de la
Plus en détailLa loi du 21 août 2007 et ses opportunités pour l Assurance Vie. Incidences de la réforme de la fiscalité successorale
La loi du 21 août 2007 et ses opportunités pour l Assurance Vie Incidences de la réforme de la fiscalité successorale Sommaire Grandes lignes de la réforme : - Exonération des successions entre époux ou
Plus en détailLe Tuteur Familial. Comment assurer la protection d un membre de sa famille ou d un proche 3 ème édition - 1 er semestre 2005
Les Guides Conseils de la Caisse d Epargne N hésitez pas à contacter : Votre agence Caisse d Epargne Web:http://www.caisse-epargne.fr www.associatis.com CNCEP RCS PARIS B 383 680 220 - Photo Comstock/Alto/Goodshoot
Plus en détailVous divorcez, vous vous séparez?
Service Com&Doc - Crédit image : drx - Fotolia.com - Imprimerie Caf35 - Mars 2014 Vous divorcez, vous vous séparez? 5 questions pour mieux comprendre Vous informer et vous aider dans vos démarches Vous
Plus en détailGuide du curateur ou du tuteur familial
L e s G u i d e s C o n s e i l s d e l a C a i s s e d'epa r g n e Guide du curateur ou du tuteur familial 4 ème trimestre 2009 4 ème édition préambule 1 L e grand âge, la maladie, le handicap, les accidents
Plus en détailAlgérie. Loi relative aux associations
Loi relative aux associations Loi n 90-31 du 4 décembre 1990 [NB - Loi n 90-31 du 4 décembre 1990 relative aux associations (JO 1990-31)] Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi a pour
Plus en détailLa Faculté de Droit Virtuelle est la plate-forme pédagogique de la Faculté de Droit de Lyon www.facdedroit-lyon3.com
La Faculté de Droit Virtuelle est la plate-forme pédagogique de la Faculté de Droit de Lyon www.facdedroit-lyon3.com Fiche à jour au 12 novembre 2010 FIICHE PEDAGOGIIQUE VIIRTUELLE Matière : Droit de la
Plus en détailF I C H E 57: L A RÉCUPÉRATION DES CRÉANCES D AIDE SOC I ALE
F I C H E 57: L A RÉCUPÉRATION DES CRÉANCES D AIDE SOC I ALE Code de l action sociale et des familles Articles L 132-8 et suivant Articles L 132-9 R 132-13 à R 132-16 Article L 344-5 Article L 351-1 Code
Plus en détailL Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 décembre 1996 1995 ;
Loi n 96-022/ Régissant la mutualité en République du Mali. L Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 décembre 1996 1995 ; Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur
Plus en détailLOI N 013-2013/AN BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT AU BURKINA FASO
BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- UNITE-PROGRES-JUSTICE CINQUIEME LEGISLATURE ----------- ASSEMBLEE NATIONALE LOI N 013-2013/AN PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret n o 2014-736 du 30 juin 2014 pris pour l application de l ordonnance n o 2014-326 du 12 mars 2014 portant réforme de la prévention
Plus en détailS T A T U T S du GOLF CLUB DE SION CHAPITRE I. Article 1. Nom
S T A T U T S du GOLF CLUB DE SION CHAPITRE I DISPOSITIONS GENERALES Article 1 Nom Sous la désignation Golf Club de Sion (en abrégé : GCS) est constituée une association au sens des articles 60 et suivants
Plus en détailTitre I Des fautes de Gestion
Base de données Loi n 85-74 du 20 Juillet 1985 relative à la définition et à la sanction des fautes de gestion commises à l égard de l Etat, des établissements publics administratifs, des collectivités
Plus en détailDécès et succession LE DECES
Décès et succession Des Services ou organismes accompagnent les personnes et familles à vivre leur deuil. Ci-dessous, nous nous limiterons à présenter quelques conseils et informations pratiques concernant
Plus en détailLe Diplôme d Etudes Supérieures Spécialisées de Droit Notarial de l Université Montesquieu-Bordeaux IV
Le Diplôme d Etudes Supérieures Spécialisées de Droit Notarial de l Université Montesquieu-Bordeaux IV sous la direction de M. Philippe DELMAS SAINT-HILAIRE Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux
Plus en détailREQUÊTE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES. ( article 1675 /4 du Code judiciaire)
1 REQUÊTE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES ( article 1675 /4 du Code judiciaire) Au Juge du Tribunal du travail de Mons et de Charleroi Division Tournai A/ ONT L HONNEUR D EXPOSER : (* biffer les mentions
Plus en détailCe texte peut être retrouvé maquetté dans la Revue du Praticien, 20, 50, Décembre 2000, 2285-2294
Hospitalisation à la demande d un tiers et hospitalisation d office, tutelle, curatelle, sauvegarde de justice : principes d application et principes d utilisation Ce texte peut être retrouvé maquetté
Plus en détailDES MEUBLES INCORPORELS
de meubles incorporels (aussi appelée saisie-arrêt) est une procédure au moyen de laquelle il est possible pour un créancier d appréhender les biens dématérialisés constituant le patrimoine de son débiteur
Plus en détailGuide pratique genevois. Guide sur les successions
Guide pratique genevois Guide sur les successions Edition janvier 2011 Sommaire Sommaire Préambule 3 Compétence de la Justice de paix 4 Qui sont les héritiers? 5 Comment s acquiert la successions? 6 Quels
Plus en détailDécret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France
Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France TITRE I er : HAUT CONSEIL DES MUSEES DE FRANCE Art. 1 er. - Le Haut Conseil
Plus en détailLIVRET D ÉPARGNE SALARIALE
LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale 2 - Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale Sommaire Les dispositifs de participation
Plus en détailGrands principes du droit du divorce
Grands principes du droit du divorce En Belgique, il existe deux procédures de divorce: - la procédure DCM ( Divorce par Consentement Mutuel) - la procédure DDI ( Divorce pour Désunion Irrémédiable) 1.
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 11 mars 2015 relative à la communication aux administrations publiques et aux organismes exerçant une prérogative de puissance publique d informations ou copies de pièces issues des procédures
Plus en détailListe des pièces à fournir pour une demande de prise en charge des frais d hébergement en maison de retraite au titre de l aide sociale
Centre Communal d Action Sociale 01.34.90.89.73 Liste des pièces à fournir pour une demande de prise en charge des frais d hébergement en maison de retraite au titre de l aide sociale - Livret de Famille
Plus en détailL inventaire de patrimoine et les comptes rendus de gestion
L inventaire de patrimoine et les comptes rendus de gestion 1/ L inventaire de patrimoine : L inventaire est une pièce d une réelle importance qui sert de référence pour apprécier l évolution du patrimoine
Plus en détailTABLEAU DE FONCTIONS ET ACTIVITES COMPATIBLES AVEC LE STATUT D EXPERT-COMPTABLE
TABLEAU DE FONCTIONS ET ACTIVITES COMPATIBLES AVEC LE STATUT D EXPERT-COMPTABLE L activité principale de l expert-comptable doit être l expertise comptable telle que définie à l article 2, alinéas 1 et
Plus en détailLA FISCALITE DES SUCCESSIONS
LA FISCALITE DES SUCCESSIONS La succession est assujettie à une fiscalité et peut générer des droits de succession. Les droits de succession sont calculés sur l actif net recueilli par chaque héritier
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE Arrêté du 4 avril 2012 portant approbation des programmes de formation des intermédiaires en opérations
Plus en détailPOINT PATRIMONIAL : La transmission par la donation dans le cadre d un démembrement de propriété
POINT PATRIMONIAL : La transmission par la donation dans le cadre d un démembrement de propriété Tout actif peut faire l objet d une donation. L intérêt d associer le mécanisme de la donation et celui
Plus en détailEXERCICE DU DROIT D ACCES AU FICHIER DES COMPTES BANCAIRES ET ASSIMILES (FICOBA)
Vous êtes : le titulaire du compte Vous pouvez avoir accès au fichier FICOBA : - soit directement auprès du centre des impôts dont dépend votre domicile lorsque vous souhaitez connaître les données d identification
Plus en détailCONVENTION DE COMPTE DE DEPOT EN DEVISES
La convention de compte de dépôt en devise, ci-après dénommée la «Convention», se compose des présentes Conditions Générales, des Conditions Particulières et des Conditions tarifaires applicables à la
Plus en détailVous orienter pour la gestion des capitaux du défunt
Vous orienter pour la gestion des capitaux du défunt Les obligations fiscales Droits de succession à régler dans les 6 mois La déclaration de succession est une étape importante du règlement d une succession.
Plus en détailREQUÊTE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES. ( article 1675 /4 du Code judiciaire) Au Juge des Saisies près le Tribunal de 1 ère Instance de Bruxelles.
REQUÊTE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES ( article 1675 /4 du Code judiciaire) Au Juge des Saisies près le Tribunal de 1 ère Instance de Bruxelles A/ ONT L HONNEUR D EXPOSER : (* biffer les mentions inutiles)
Plus en détailCHARTE ETHIQUE ACHATS
Page : 1/5 CHARTE ETHIQUE ACHATS LES ENJEUX Les conflits d intérêts sont aujourd hui un thème essentiel du débat de société. Il convient de garantir l intégrité des achats et la saine concurrence entre
Plus en détailLA DÉVOLUTION SUCCESSORALE LÉGALE AU QUÉBEC
Edition 2014 LA DÉVOLUTION SUCCESSORALE LÉGALE AU QUÉBEC Auteur : Michel BEAUCHAMP, Notaire, chargé de cours à la faculté de droit de l Université de Montréal Ouverture de la succession Dévolution légale
Plus en détailL huissier de justice
L huissier de justice Introduction Si vous devez faire appel à un huissier de justice ou si vous êtes confronté à son intervention, vous vous posez peut-être quelques questions sur ce qui vous attend.
Plus en détailEtablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -
Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association
Plus en détailSTATUTS BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION
STATUTS BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION ARTICLE 1 er : L arrondissement, constituée sous le régime de la Loi du 1 er juillet 1901 et en conformité avec le Code de la Famille et de l Aide Sociale, groupe
Plus en détailEXAMEN DE CERTIFICATION. Unité de valeur 1. Droit et fiscalité du patrimoine. Durée : 2 heures. Coefficient : 1. Documents à disposition : Néant
Association Française des Conseils en Gestion de Patrimoine Certifiés CGPC Membre du Financial Planning Standards Board (FPSB) Association déclarée loi du 1 er juillet 1901 (et textes subséquents) EXAMEN
Plus en détailRecommandations de bonnes. pratiques professionnelles. Participation des personnes protégées dans la mise en œuvre des mesures de protection juridique
Recommandations de bonnes pratiques professionnelles Participation des personnes protégées dans la mise en œuvre des mesures de protection juridique Ce document a reçu l avis favorable du Comité d orientation
Plus en détailBAREME INDICATIF DES HONORAIRES
BAREME INDICATIF DES HONORAIRES Tarifs applicables à compter du 01/01/2014 Maitre MAIRET Christophe Avocat 1 Sommaire Notice du barème p.03 Consultations et postulations p.04 Droit Civil p.05 Droit du
Plus en détailBULLETIN D ADHÉSION INDIVIDUEL SANTÉ ET PRÉVOYANCE
BULLETIN D ADHÉSION INDIVIDUEL SANTÉ ET PRÉVOYANCE ORIGINE ADHÉSION AGENCE CONSEILLER INFORMATION ADHÉSION INTERNET ZONE TARIFAIRE Nouvelle adhésion Modification adhésion GARANTIES RETENUES EN SANTE ADHÉRENT
Plus en détailS I M O N, D A C O S T A & C A T R O U
S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U N O T A I R E S OUVERTURE DE SUCCESSION LISTE DES PIECES A FOURNIR AU NOTAIRE Concernant le défunt : - Deux extraits de son acte de décès, - Livret de famille et
Plus en détail3 e pilier, prévoyance privée. Assurance vie
3 e pilier, prévoyance privée Assurance vie La prévoyance privée est facultative. Elle complète les prestations des 1 er et 2 e piliers et comble les lacunes en matière de prévoyance individuelle. Table
Plus en détailASSOCIATION «HABITER ENFIN!» Loi de 1901 STATUTS
1 ASSOCIATION «HABITER ENFIN!» Loi de 1901 STATUTS ARTICLE 1 - DENOMINATION La présente Association a pour dénomination : «Habiter Enfin!». ARTICLE 2 - SIEGE Le siège de l association est fixé au : 14
Plus en détailLa gestion de patrimoine des personnes protégées : enfants mineurs, majeurs incapables
La gestion de patrimoine des personnes protégées : enfants mineurs, majeurs incapables Par Henry Royal, juillet 2011 I. - Actes d administration, de disposition, de conservation II. - L enfant mineur III.
Plus en détailDemande d aide juridictionnelle
1 Cerfa n 12467*02 Demande d aide juridictionnelle (Loi n 91-647 du 10 juillet 1991 et décret n 91-1266 du 19 décembre 1991) Vous-même : Avez-vous un contrat d assurance de protection juridique ou un autre
Plus en détailCODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE
CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS ET CHARTE DE DÉONTOLOGIE 26 AVENUE VICTOR HUGO 75116 PARIS Tél.: 01-53-64-91-91 Fax.: 01-53-64-91-92 www.snpi.com PRÉAMBULE Le SNPI, organisme professionnel national
Plus en détailREGLEMENT MUTUALISTE. Règles Générales
REGLEMENT MUTUALISTE Le présent règlement mutualiste est régi par le nouveau Code de la mutualité tel qu institué par l ordonnance N 2001-350 du 19/04/2001, complétée par les directives communautaires
Plus en détailTHEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL
THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL DÉFINITION DE L ACCIDENT DU TRAVAIL Il faut rappeler que tout ce qui arrive sur le lieu du travail n est pas constitutif d un accident du travail au sens légal du terme. La
Plus en détailREFORME DE LA FISCALITE DU PATRIMOINE (communication du 18/07/2011)
REFORME DE LA FISCALITE DU PATRIMOINE (communication du 18/07/2011) En l absence d un accord sur le projet de réforme du patrimoine, le Gouvernement a convoqué une commission mixte paritaire afin d établir
Plus en détailFOCUS: CONFLITS ENTRE MEDECINS : CONCILIATION OU ARBITRAGE?
FOCUS: CONFLITS ENTRE MEDECINS : CONCILIATION OU ARBITRAGE? Fort heureusement, tous les litiges entre médecins ne se terminent pas par une procédure judiciaire. Il existe des moyens juridiques souvent
Plus en détailRAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ
RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ Instructions: 1. Le rapport doit être renvoyé au REFJ (exchanges@ejtn.eu) dans le mois suivant le stage. 2. Veuillez utiliser le formulaire ci-dessous pour rédiger votre rapport
Plus en détailLA COMMISSION DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA)
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission ~ UEMOA RÈGLEMENT D'EXECUTION N~(t..~.:.~.9.1 RELATIF AUX REGLES PRUDENTIELLES PORTANT SUR LES RISQUES COURTS, AUX MECANISMES DE GARANTIE ET
Plus en détailCONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame...
CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame... domicilie actuellement a... ci-apres denomme locataire
Plus en détailLE CONSEIL GÉNÉRAL VOUS PRÉSENTE. Constitution du dossier de demande d agrément
LE CONSEIL GÉNÉRAL VOUS PRÉSENTE haute-garonne.fr Le dossier de demande Constitution du dossier de demande d agrément Les pièces à communiquer à la confirmation de la demande : u Le formulaire «ADOPTION-Demande
Plus en détailCouverture Frais de Santé et Prévoyance. dédiée aux franchisés et managés ACCOR. Franchisés
Couverture Frais de Santé et Prévoyance dédiée aux franchisés et managés ACCOR Franchisés Septembre 2013 LE GROUPE ET SES SERVICES DÉDIÉS AUX FRANCHISÉS ACCOR Le Groupe JP COLONNA - CGAM, créé en 1972,
Plus en détailProjet de loi n o 30 (2003, chapitre 25)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25) Loi concernant les unités de négociation dans le secteur des affaires sociales et modifiant la Loi sur le régime de
Plus en détailhttps://pastel.diplomatie.gouv.fr/editorial/francais/familles/fiches/algeri... LES PENSIONS ALIMENTAIRES A L'ETRANGER
1 sur 5 09/06/2010 12:21 LES PENSIONS ALIMENTAIRES A L'ETRANGER ALGERIE Imprimer cette page Textes de référence : - Code de la famille du 9 juin 1984 1. Les formes de dissolution du mariage - La répudiation
Plus en détailAteliers Santé Ville de Marseille
Ateliers Santé Ville de Marseille QUESTIONS-REPONSES SUR LES DROITS A LA COUVERTURE MALADIE Dernière mise à jour : 30 janvier 2008 Ce document est destiné aux professionnels concernés par les questions
Plus en détailGrille indicative des honoraires
Cabinet TISSEYRE - VIDAL Avocats "Le Jacques Cartier" 394, rue Léon BLUM 34000 MONTPELLIER Grille indicative des honoraires Tarifs applicables à compter du 1 er janvier 2012 Tél. : 04 67 66 27 25 Fax :
Plus en détailCabinet d avocat Leduc-Novi. Indemnisation du préjudice corporel des. personnes victimes d un accident de la route
Cabinet d avocat Leduc-Novi Indemnisation du préjudice corporel des personnes victimes d un accident de la route Aout 2013 1. Avant-propos Permettre à tout justiciable de connaitre clairement et facilement
Plus en détailCongo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo
Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Loi n 19-2005 du 24 novembre 2005 Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi définit les conditions d exercice
Plus en détail