Théorie Niveau 2. Les accidents de plongée Décembre Yann Marechal 1

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1 Théorie Niveau 2 Les accidents de plongée Décembre Yann Marechal 1

2 Introduction Niveau 2 = autonomie dans l espace médian (jusqu à 20 mètres). Vous devez donc connaitre les différents accidents possibles. Afin de : Les prévenir Savoir les détecter, chez vous ou chez les autres Savoir comment réagir face un accident (sur soit ou sur un binôme) Yann Marechal 2

3 Plan Les barotraumatismes Les accidents biochimiques Les accidents de décompressions Yann Marechal 3

4 Plan Les barotraumatismes Les accidents biochimiques Les accidents de décompressions Yann Marechal 4

5 Les barotraumatismes C est quoi? Baro : pression Traumatisme : blessure Blessures dues à la pression Ils se produisent là où il y a une cavité contenant de l air. Signes d alerte : gêne puis une douleur. Faciles à éviter. Yann Marechal 5

6 Barotraumatismes : Rappel La loi de Boyle-Mariotte : «A température constante, le volume d un gaz est inversement proportionnel à la pression qu il reçoit» Donc : Lorsque la pression augmente, le volume de gaz diminue. Lorsque la pression diminue, le volume de gaz augmente. Profondeur Pression 0 mètre 1 bar 10 mètres 2 bar 20 mètres 3 bar 30 mètres 4 bar 40 mètres 5 bar Yann Marechal 6

7 Barotraumatismes : généralité Les accidents barotraumatiques sont causés par les variations de pression. Ils sont dus aux nombreuses poches d air présentes dans le corps. Ils sont plus fréquents entre 0 et 10 mètres car la variation de pression y est plus importante. Ils peuvent se produire à la descente ou à la remontée. Yann Marechal 7

8 Barotraumatismes : localisation Yann Marechal 8

9 Barotraumatismes : les oreilles Yann Marechal 9

10 Barotraumatismes : les oreilles A la descente Yann Marechal 10

11 Barotraumatismes : les oreilles A la remontée Yann Marechal 11

12 Barotraumatismes : les oreilles C est l accident le plus fréquent. Quand : à la descente, parfois à la remontée. Cause : équilibrage des oreilles impossible à faire. Symptômes : Douleur dans l oreille pouvant aller jusqu à une perte de connaissance. Vertiges. Nausées. Yann Marechal 12

13 Barotraumatismes : les oreilles Prévention : Avant la plongée : Ne pas plonger enrhumé ou avec une otite. Pendant la plongée : Descendre lentement, équilibrer dès la sensation de gênes, ne pas attendre d avoir mal. Ne pas forcer : stopper la descente. Pas de Valsalva à la remontée. Après la plongée: Se rincer les oreilles pour éviter les infections. Yann Marechal 13

14 Barotraumatismes : les oreilles Conduite à tenir : Si le problème survient lors de la descente, stopper la descente, remonter légèrement, essayer de passer les oreilles. Sinon arrêter la plongée. Si le problème survient lors de la remontée, redescendre légèrement, puis remonter doucement. Ne pas rester seul : risque de vertige. En cas de douleur persistante après la plongée : consulter un ORL. Yann Marechal 14

15 Barotraumatismes : surpression pulmonaire Barotraumatisme le plus grave! Yann Marechal 15

16 Barotraumatismes : surpression pulmonaire Quand : à la remontée Cause : Non expiration lors de la remontée. 3 facteurs aggravants : Poumons remplis. Blocage de la glotte. Vitesse de remontée rapide. Proximité avec la surface. Symptômes : Sous l eau : forte douleur thoracique. En surface : insuffisance respiratoire, douleur thoracique, toux, sensation d étouffement, perte de connaissances. Yann Marechal 16

17 Barotraumatismes : surpression pulmonaire Prévention : Ne jamais bloquer sa respiration. Ne jamais donner d air à un apnéiste. Conduite à tenir : Contacter les secours, caisson hyperbare. Traiter l insuffisance respiratoire (Oxygène à 15 l/min). Noter les paramètres de plongée. Proposer de l eau. Proposer de l aspirine. Cet accident est souvent doublé d un accident de décompression. Yann Marechal 17

18 Barotraumatismes : sinus Cavités osseuses : Au niveau du front Au-dessus des maxillaires supérieurs Ces cavités sont recouvertes d une muqueuse. Leurs rôles est d humidifier l air respiré avant son passage dans les poumons et de le «nettoyer». Yann Marechal 18

19 Barotraumatismes : sinus Quand : A la descente, parfois à la remontée. Cause : les canaux d accès aux sinus sont bouchés en empêchant l équilibrage des pressions. Symptôme : Douleur au front, sous les yeux ou dentaire. Risque de saignement de nez (parfois crachat sanglant). Yann Marechal 19

20 Barotraumatismes : sinus Prévention : Ne pas plonger enrhumé, sinusite, Ne pas utiliser de décongestionnant en cas de nez bouché (action limité dans le temps). Se rincer les sinus avant de plonger. Conduite à tenir : A la descente : stopper, remonter légèrement et reprendre une descente lente, tête en haut. A la remontée : ralentir, se moucher. Yann Marechal 20

21 Barotraumatismes : Le masque Quand : à la descente. Cause : équilibrage de l air dans le masque. Le masque se trouve en dépression par rapport à la pression ambiante. Symptôme : Lors du retour en surface, saignement de nez, hématome, yeux rouges (éclatement bénin de petits vaisseaux dans l œil, consulter un ophtalmologiste). Yann Marechal 21

22 Barotraumatismes : Le masque Prévention : Souffler dans le masque à la descente. Conduite à tenir : En cas d incident, contacter un ophtalmologiste. Yann Marechal 22

23 Barotraumatismes : les dents Quand : à la descente ou à la remontée. Cause : Dents mal soignée peut présenter une cavité interne. Symptôme : Douleur dentaire pouvant être très importante. Yann Marechal 23

24 Barotraumatismes : dents Prévention : Avoir une bonne hygiène dentaire. Visite biannuelle chez le dentiste. Conduite à tenir : A la descente : interrompre la plongée. A la remontée : stopper la remontée, si nécessaire redescendre pour atténuer la douleur puis reprendre une remontée lente. Yann Marechal 24

25 Barotraumatismes : Intestins Quand : à la remontée. Cause : Air avalé dans l estomac. Fermentation alimentaire. Lors de la remontée il se produit une dilation de l air dans les intestins. Symptôme : Douleur aigues dans l abdomen. Envie d évacuer les gaz sans y parvenir. Yann Marechal 25

26 Barotraumatisme : intestin Prévention : Avant de plongée : éviter les boissons gazeuses et les aliments fermentant. Pendant la plongée : ne pas hésiter à évacuer les gaz. Conduite à tenir : Essayer d évacuer les gaz. Bonne alimentation. Yann Marechal 26

27 Barotraumatisme : conclusion Les barotraumatismes sont généralement bénins. Règles de prévention générale : A la descente : ne pas forcer, descendre lentement. A la remontée : vitesse contrôlée, expiration. Ces règles suffisent à éviter ces accidents. Yann Marechal 27

28 Question? Yann Marechal 28

29 Plan Les barotraumatismes Les accidents biochimiques Les accidents de décompression Yann Marechal 29

30 Composition de l air Azote (N2) : 79 % (on retiendra 80%) Oxygène (O2) : 20,9 % (on retiendra 20%) Dioxyde de carbone (CO2) : 0,03 % (Gaz carbonique) Gaz rares : xénon, krypton : 0,07 % Yann Marechal 30

31 Toxicité des gaz Les gaz sont toxiques suivant leur quantité dans le sang. La toxicité d un gaz augmente avec la pression. Un gaz toléré en surface peut devenir toxique à une pression plus élevée. Les seuils de toxicité : sont différents selon les gaz. varient en fonction de la durée d exposition. varient en fonction des conditions de plongée (température de l eau, visibilité, descente rapide). Yann Marechal 31

32 Expérience Réservoir de 100 L Réservoir de 100 L Réservoir de 100 L 100 litres occupé d azote Les 80 l de N2 se comportent comme s ils étaient seuls. 20 litres d oxygène 80 litres d azote Les 20 l d O2 se comportent comme s ils étaient seuls. 100 litres occupé d oxygène P2 =? Bar P1 = 1 bar P3 =? Bar P1 x V1 = P2 x V2 1 x 80 = P2 x 100 P1 x V1 = P3 x V3 1 x 20 = P3 x V3 P2 = 1 x 80 0,8 bar + 0,2 bar = 1 bar 100 = 0,8 bar P2 + P3 = P1 P3 = 1 x = 0,2 bar Yann Marechal 32

33 La loi de Dalton «A température donnée, la pression d'un mélange gazeux est égale à la somme des pressions qu'auraient chacun des gaz s'il occupait seul tout le volume.» Pression partielle (Pp) : c est la pression exercé par chacun des gaz au sein du mélange. Yann Marechal 33

34 La loi de Dalton PpO2 : pression partielle de l oxygène. PpN2 : pression partielle de l azote. Pabs : pression absolue (ambiante). Pp Gaz = Pabs x % de gaz Exemple, pression partielle de l N2 dans l air au niveau de la mer : PpN2 = 1 x 80% = 1 x = 1 x 0,8 = 0,8 b Yann Marechal 34

35 Toxicité du dioxyde de carbone Le CO2 est aussi un gaz créé par l organisme. Inspiration = air (oxygène + azote) L oxygène est transporté par le sang jusqu aux cellules. Les cellules rejettent du dioxyde de carbone (CO2). Le CO2 est transporté par le sang jusqu aux poumons. Expiration de CO2 Yann Marechal 35

36 Toxicité du dioxyde de carbone Gaz responsable de l essoufflement. Intoxication par le CO2 : Elimination insuffisante du CO2 par l organisme. Pollution de l air (rare). Due à une PpCO2 élevée. Yann Marechal 36

37 L essoufflement : facteurs favorisants Effort inadapté. Manque de maitrise technique (palmage, lestage). Facteurs émotionnelles (stress, angoisse ). Le froid. La résistance du détendeur à l inspiration. La pollution de l air des bouteilles. Yann Marechal 37

38 L essoufflement : Mécanisme L augmentation de la Pp de CO2 entraine : Augmentation du rythme respiratoire. Diminution de l amplitude entres les inspirations et les expirations. Le CO2 est mal évacué et commande à l organisme d inspirer davantage au lieu d expirer pour éliminer le CO2. Augmentation du rythme cardiaque. Augmentation de la production de CO2. Yann Marechal 38

39 L essoufflement : symptômes Ventilation de plus en plus rapide : Sensation de suffocation. Un chapelet de bulle sort du détendeur. Consommation d air excessive. Nausées et maux de tête. Perte de connaissance possible. Yann Marechal 39

40 L essoufflement : Prévention Eviter les efforts non maitrisés pendant la plongée. Etre correctement lesté. Pas d immersion si essoufflé en surface. Plonger en forme, sans stress. Ne pas faire d apnée. Yann Marechal 40

41 L essoufflement : conduite à tenir Le signaler. Cesser tout effort. Se calmer et forcer sur l expiration. Remonter de quelques mètres (diminution PpCO2). Vérifier le manomètre de l essoufflé. Arrêter la plongée (facteur favorisant l ADD) Risque de panique de l essoufflé : remontée catastrophe => risque de surpression pulmonaire. Yann Marechal 41

42 Toxicité de l azote C est un gaz non utilisé par l organisme, mais il peut être toxique. Apparition des premiers symptômes vers 30 mètres : La narcose; aussi appelée l ivresse des profondeurs. Yann Marechal 42

43 La narcose : causes L azote se dissout très bien dans les tissus nerveux et en empêche un bon fonctionnement. Lié au seuil de toxicité de l azote : Très variable entre les individus. Accoutumance. Variable pour un individu en fonction des conditions de plongée. Yann Marechal 43

44 La narcose : facteurs favorisants Susceptibilité individuelle. Rapidité de la descente. Absorbation d alcool. Appréhension, angoisse. Etat de fatigue (physique, psychologique). L essoufflement. Yann Marechal 44

45 La narcose : symptômes Troubles du comportement : Euphorie. Augmentation du dialogue intérieur et fixation d idée. Baisse de l attention. Augmentation des délais de réponse. Trouble de la mémoire. Angoisses. Yann Marechal 45

46 La narcose : prévention Plonger en bonne condition physique. S entrainer progressivement à la profondeur. Descendre lentement. Yann Marechal 46

47 La narcose : conduite à tenir Remonter. Surveiller la personne narcosée (risque de perte d embout, d ADD, de surpression pulmonaire ou de noyade). Yann Marechal 47

48 Toxicité de l oxygène L oxygène est toxique si sa Pp dépasse 1,6 bar. La profondeur «limite» dépend donc : De la pression ambiante (= la profondeur). Du pourcentage d oxygène dans la mélange respiré. Exemple : (rappel PpO2 = Pabs x %O2) Air : 1,6 bar = P x 20% P = 1,6 x 100 = 8 bar 70 mètres. 20 Pure : 1,6 bar = P x 100% P = 1,6 x 100 = 1,6 bar 6 mètres. 100 Autres mélanges (Nitrox) : dépend du % d oxygène. Yann Marechal 48

49 Toxicité O2 : l hyperoxie Hyper : trop Oxie : oxygène trop d oxygène La crise d hyperoxie peut apparaitre lorsque la pression partielle d oxygène est supérieur à 1,6 bar. Yann Marechal 49

50 Toxicité O2 : Hyperoxie Yann Marechal 50

51 Hyperoxie : prévention Avoir une bonne condition physique. Entrainement progressif à la plongée profonde à l air. Ne pas dépasser 1,6 de PpO2. Yann Marechal 51

52 Hyperoxie : conduite à tenir Baisser la PpO2, donc remonter. Traitement médical. Si plongée au nitrox : Contrôler la teneur en O2 des bouteilles. Identifier les bouteilles concernées. Respecter les profondeurs maximales d évolution. Yann Marechal 52

53 Question? Yann Marechal 53

54 Plan Les barotraumatismes Les accidents biochimiques Les accidents de décompressions Yann Marechal 54

55 Accident De Décompression L air que nous respirons est composé de : 20% d Oxygène : qui est consommé par l organisme. 80% d Azote : gaz inerte. Cet accident est lié à la loi de Henry et ne concerne que l Azote. Cause principale : Non respect des procédures de décompression (Vitesse de remontée et/ou des paliers). Yann Marechal 55

56 ADD : Loi de Henry «A température constante et à saturation, la quantité de gaz dissout dans un liquide est proportionnelle à la pression qu'exerce ce gaz sur le liquide.» Le corps humain est en majeur partie composé de liquide (70%). On modélise le corps humain avec la notion de tissu : Tissus courts apparentés au sang, système nerveux central. Tissus moyens apparentés aux les muscles. Tissus longs apparentés aux os. Yann Marechal 56

57 ADD : en plongée! Yann Marechal 57

58 ADD : les bulles Yann Marechal 58

59 ADD : Facteurs favorisants Mauvaise utilisation des procédures de décompressions. Les profils type yo-yo. Ne pas aller en altitude après une plongée (ou en avion). Pas d effort expiratoire à la remontée (Valsalva ou gonfler le gilet à la bouche). Yann Marechal 59

60 ADD : Facteurs favorisants Eviter les efforts violents (pendant et après la plongée). Le froid. L essoufflement. La fatigue (physique et moral). L alcool, prise de médicaments. Age, surpoids, tabac Yann Marechal 60

61 ADD : Les symptômes Dépendent des tissus atteints. Accident sournois car les effets ne sont pas forcement immédiats : Les premiers symptômes peuvent apparaitre jusqu à 12 heures après la sortie de l eau. Généralement dans la première demi-heure. Pour les accidents les plus aigus, les symptômes peuvent apparaitre au palier. Yann Marechal 61

62 ADD : Les symptômes Accidents cutanés : puces et moutons Démangeaisons et boursoufflures (bénins). Accident articulaire : Bends Douleur lancinante à une articulation, un membre ou un muscle. Peut déboucher sur une immobilisation due à la douleur. Calcification des articulations. Yann Marechal 62

63 ADD : Les symptômes Accidents neurologique : Fatigue intense. Etourdissement (vertige) ou perte de connaissance. Trouble de motricité. Trouble de la sensibilité. Confusion, désorientation. Trouble du comportement, sensation d angoisse. Convulsion. Maux de tête. Trouble de l élocution. Amnésie. Yann Marechal 63

64 ADD : Les symptômes Accident médullaire : bulle dans la moelle épinière. Douleur dorsolombaire en coup de poignard. Sensation de fourmillement dans un ou plusieurs membres. Engourdissement. Faiblesse d un ou plusieurs membres. Monoplégie, paraplégie, tétraplégie. Rétention d urine. Yann Marechal 64

65 ADD : Les symptômes Accident respiratoire : Difficulté à respirer. Crachats sanglants. Accident vestibulaire : bulle dans l oreille interne. Vertige. Nausées et vomissement. Perte d audition, bourdonnement d oreille. Somnolence inhabituelle. Yann Marechal 65

66 ADD : Conduite à tenir Prévenir une personne compétente (le DP) afin d alerter les secours. Inhalation d Oxygènes (15 litres/min). Proposer de l aspirine (max 500mg). Faire boire de l eau douce plate si la personne est consciente. Relever le profil de la plongée (et des précédentes). Assister la personne (réchauffer, réconforter, ). Surveiller le reste de la palanquée. Yann Marechal 66

67 ADD : Prévention Avant la plongée : Avoir une bonne condition physique. Avoir envie de plonger. Pas plus de 2 plongées par 24 heures. Yann Marechal 67

68 ADD : Prévention Pendant la plongée : Respecter les procédures de décompression. Limiter les efforts. Pas de «yo-yo». Pas de Valsalva à la remontée, ni au palier. Palier de sécurité en cas d efforts pendant la plongée ou de froid (si les conditions le permettent!). Yann Marechal 68

69 ADD : Prévention Après la plongée : Pas d avion avant 12 heures (plus suivant la procédure de décompression choisi). Pas d altitude. Pas d efforts physiques importants. Pas d apnée (risque de malaise en surface ou de syncope à la remontée). Yann Marechal 69

70 ADD : Conclusion Bien respecter les procédures de décompression. Ne pas penser que ça n arrive qu aux autres. On les appelle aussi accidents biophysiques. Yann Marechal 70

71 Question? Yann Marechal 71

72 Planning des cours théoriques 20 Novembre 2010 : Présentation physique 18 Décembre 2010 : Accidents 7 Janvier 2011 : Matériel 22 Janvier 2011 : Les tables 1 5 Février 2011 : Réglementation Les tables 2 5 Mars 2011 : Le milieu Date de l examen 18 mars Yann Marechal 72

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