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1 Evaluation de la maîtrise de la diffusion des bactéries multi-résistantes* dans les établissements de santé. * Staphylococcus aureus résistants à la méticilline, Enterobacteries productrice de béta-lactamase à spectre étendu, Acinetobacter baumannii multirésistant aux béta-lactamines Exemple de compte-rendu des résultats : Résultats de l analyse du scénario clinique dans le service de médecine B du CH de XXX Date de l analyse : 23 janvier 2007 à 14h30 Participants : - Médecin : B. C - Cadre de santé : S. S - Infirmiers : E. B, C. E, H. G - Aide-soignants : M. A, S. L Scénario retenu Une épidémie à Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM) est survenue dans un établissement hospitalier. L investigation de cette épidémie a montré que cette souche bactérienne a diffusé à partir d un premier cas d infection à 17 patients, 3 professionnels de santé et 12 items dans l environnement hospitalier (dossiers, téléphones, stéthoscopes). Le premier isolat a été identifié chez un patient transféré d un autre établissement où il existe une endémie avec cette bactérie multirésistante. Avant que ce patient soit identifié comme infecté, il a eu des contacts avec le personnel médical et d autres patients.

2 I - Analyse du scénario survenu dans un autre établissement Le principal défaut de soins cité par l équipe est un défaut de communication d information entre le service qui envoie le patient et celui qui le reçoit. En fait, il s agit plutôt d une des causes possibles du principal défaut de soins qui est en fait un défaut d identification d un patient porteur de SARM à son admission. Les autres défauts de soins identifiés étaient les suivants : Un non respect des précautions standard entre chaque soin, entre chaque patient ; Un non respect des recommandations sur l isolement en particulier en chambre seule, sur l hygiène des mains, sur le nettoyage-désinfection des dispositifs médicaux, sur l entretien des locaux ; Un facteur contributif a été identifié : La contamination possible de l environnement par des professionnels de santé porteurs du SARM. Plusieurs défenses auraient pu éviter cet événement. Les participants ont cité : Le signalement par l établissement adresseur du portage de SARM du patient transféré grâce à la lettre du médecin, à la fiche de liaison infirmière ; La notification plus rapide de la situation épidémique par le laboratoire de bactériologie ; L existence et la mise en place rapide d un protocole d isolement septique.

3 II - Evaluation du risque dans le service Les participants ont estimé qu un tel scénario pouvait probablement survenir dans le service. EVALUATION DES PRATIQUES détection et notification - délai court entre détection et mesures d isolement signalisation - signalisation à l entrée de la chambre - signalisation au niveau du dossier patient système d information - document d information pour autre service ou établissement Non - information par le médecin prescripteur du patient et/ou sa famille de la décision d isolement - information du patient et/ou sa famille et/ou les visiteurs par le médecin prescripteur, ou par un personnel paramédical, des mesures à respecter Prescription et levée d isolement - prescription médicale pour l isolement du patient - prescription médicale pour la levée de l isolement? Mesures d isolement - chambre équipée d un point d eau conforme avec Non évalué distributeur de savon doux distributeur de savon antiseptique distributeur d essuie-mains à usage unique Non Des essuie-mains à usage unique sont disponibles, mais ils ne sont pas placés dans un distributeur - distribuetur de solution ou gel hydroalcoolique? - gants à usage unique disponibles devant la chambre du patient dans la chambre du patient Non évalué - tabliers ou surblouses disponibles dans la chambre du patient - stéthoscope individualisé - tensiomètre individualisé - petit matériel de soins individualisé Non Le matériel pour les pansements est individualisé. - sacs déchets (norme NF X ) à disposition dans la chambre - déchets emballés dans la chambre Non évalué - conteneur à déchets (norme NF X ) individualisé - sacs permettent d identifier le linge du patient

4 Plusieurs défenses pour le respect des bonnes pratiques de prévention ont été identifiées: Une information écrite sur le dossier médical et infirmier ; une information écrite au patient et à sa famille ; L existence dans le service d un classeur «Hygiène» contenant des protocoles «précautions standards» et «isolement septique» pour la maîtrise de la diffusion du SARM ; La notification effectuée par le laboratoire de bactériologie avec appel téléphonique du service clinique et photocopie des résultats du prélèvement adressée systématiquement à l équipe d hygiène ; Mise à disposition de présentations de solutions hydro-alcooliques (supports muraux, format «poche», format «flacon pompe») facilitant leur utilisation au lit du malade. La principale vulnérabilité identifiée dans le service est la méconnaissance possible du risque lié à l admission de patients venant d un autre établissement en situation endémique. Plusieurs propositions ont été formulées par les participants afin de renforcer la maîtrise de la diffusion des bactéries multi-résistantes (BMR) : - Améliorer l organisation et la transmission d informations concernant le risque de transmission de BMR lors du transfert de patients pour la réalisation d examens, par exemple de radiologie ; - Sensibiliser toutes les catégories professionnelles sur le risque de diffusion des BMR. L achat de matériel, en particulier de surblouses à usage unique, de lingettes désinfectantes pour les stéthoscopes et le petit matériel, de supports mobiles, a été aussi discuté.

5 III - Conclusion Cette évaluation, par analyse de scénario clinique s est déroulée dans de bonnes conditions avec une participation active de tous les professionnels présents. Elle a mis en évidence un bon niveau de connaissance de l ensemble de l équipe soignante du service concernant la maîtrise de la diffusion des SARM. Cette évaluation montre aussi des pratiques déclarées globalement conformes aux bonnes pratiques. Malgré cette situation plutôt favorable, les professionnels considèrent que le risque de survenue d un tel scénario est probable et qu il est nécessaire de sensibiliser tout le personnel sur l importance de la maîtrise de la diffusion des BMR. Cependant, il réside une difficulté majeure liée à la possibilité d identification tardive des patients porteurs de BMR provenant d un établissement extérieur au CH de XXX. L absence de document consensuel facilitant une information systématique inter établissement, peut justifier une stratégie de dépistage ciblée en cas d identification de profils à risque. La mise en place d un système d information pour la prise en charge dans un autre service ou dans un autre établissement renforcerait la maîtrise de la diffusion des BMR. Une attention particulière devra être portée à la prescription médicale de la levée de l isolement qui n est pas systématique. Cette démarche évaluative qui a permis d analyser à partir des pratiques déclarées les défenses et les vulnérabilités du service, pourra être complétée à l avenir par une observation des pratiques réelles plus susceptible de révéler les difficultés de terrain liées à la prise en charge d un patient porteur ou infecté par une BMR (observance de l hygiène des mains et du respect des précautions complémentaires, approvisionnement en matériel). Enfin les professionnels présents ont souligné l intérêt de ce type d évaluation qui permet de réfléchir sur sa pratique.

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