Chapitre 4: Les dérivés halogénés. I) Rappels et définitions
|
|
- Michele Thomas
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 UNIVESITE DES ANTILLES Faculté de médecine ours de Mr PELMAD obert ag.fr UE 15 hapitre 4: Les dérivés halogénés I) appels et définitions Tout composé portant un ou plusieurs atomes d halogènes sur sa chaîne hydrocarbonée est un dérivé halogéné appelé également halogénures. On rappele que les halogènes sont : ( F ; l ; ; I). Les halogénures prennent les noms suivants : F l I Fluorure hlorure omure Iodure Fluoropropane hloropropane omopropane Iodopropane a) lassification des halogénures On les classe en trois grandes classes : - Un halogénure primaire : Le carbone qui porte l halogène est fixé à un seul carbone : alogénures primaires F 3 I l - Un halogénure secondaire : Le carbone qui porte l halogène est fixé à deux autres carbones : alogénures secondaires F
2 - Un halogénure tertiaire : Le carbone qui porte l halogène est fixé à trois autres carbones : alogénure tertiaire 3 3 I 3 3 l b) Propriétés physiques Les halogénures naturels sont très rares. On n en trouve surtout dans le milieu marin. En revanche, les halogénures de synthèse sont très nombreux : Le DDT, le chlordécone, les insecticides, les fongicides, les fréons ( fluide des climatiseurs) etc La plupart des halogénures sont liquides à l exception des fréons à un ou deux carbones. Les halogénures peuvent être synthétisés en additionnant un hydracide sur un alcène ( onfère chapitre 1 UE 15) ou par voie radicalaire ( alcane réagit en présence de peroxydes avec du dichlore, du dibrome). c) Propriétés chimiques 1) Polarisation et polarisabilité La polarisation d une liaison chimique est basée essentiellement sur la différence d électronégativité des atomes qui constitue cette liaison. Plus la différence d électronégativité sera importante, plus la liaison sera polarisée. L électronégativité des halogènes augmente de l iode au fluor : Atome Electronégativité Iode 2,7 ome 3 hlore 3,2 Fluor 4 L électronégativité du carbone est 2,5. Par conséquent, la liaison la plus polaire sera carbone- fluor qui sera suivie de carbone- chlore, puis carbone- brome et enfin carbone- iode. Notion déjà traitée à l UE1 La polarisabilité est la déformation du nuage électronique qui constitue la liaison sous l action d éléments extérieurs. En d autres termes, les éléments extérieurs tels que : solvant, autres réactifs vont agir sur la polarisation naturelle de la liaison en la modifiant.
3 Finalement, la polarisation est le facteur à prendre en compte lors d une réaction chimique. Plus les atomes sont gros, plus ils sont polarisables. L halogénure le plus volumineux est l iode, le plus polarisable suivi du brome, puis le chlore et enfin le fluor. La liaison carbone- iode est plus polarisable que la liaison carbone- fluor, alors la liaison carbone- iode sera la plus réactive. La liaison carbone- fluor sera la moins réactive. Pour des raisons financières, on utilise les dérivés bromés et chlorés car les dérivés iodés sont plus chers. La polarisation de la liaison carbone- halogène va influer sur les liaisons avoisinantes : δ+ ydrogène partiellement acide qui peut-être arraché par une base réactions d'éliminations carbone en α δ δ arbone électrophile qui peut-être δ+ attaqué par un nucléophile réactions Substitution Nucléophile Le dessin ci- dessus montre clairement que les halogénures vont réagir par deux types de réactions qui seront les réactions d éliminations et les réactions de substitutions nucléophiles : Nucléophile Nu + Nu - éaction de substitution nucléophile= SN X Nu - 2 B - Base 2 X + B + X - éaction d'élimination: E= réaction d'élimination 2
4 La voie couleur violette est la réaction d élimination. La voie couleur verte est la réaction de substitution nucléophile. On rappelle qu une base est un doublet électronique capable d attaquer un proton. Un nucléophile est égalelement un doublet électronique capable d attaquer un noyau. Se référer à l UE1. II éactivité chimiques des halogénures 1) les réactions de substitutions nucléophiles on rappelle qu il existe des nucléophiles forts peu basiques: ( un nucléophile attaque un noyau) I - N 3 N Les nucléophiles encombrés qui ne peuvent pas attaquer un noyau mais qui sont très basiques : 3 3 O - K + 3 très peu nucléophile, base forte. es bases attaqueront des protons à caractère acide Le schéma général d une réaction de substitution nucléophile est : δ + δ δ δ X + + Solvant E Nu Nu + X E de réaction Groupe partant ou nucléofuge Nucléophile Suivant la nature du substrat, la nature du solvant, la nature du réactif nucléophile et les conditions expérimentales, deux types de substitutions nucléophiles peuvent se produire : La SN1 ou la SN2. 1-2) éactions de substitutions d ordre 1 ou SN1 La substitution nucléophile d ordre 1 ou SN1 est réalisée sur des carbones tétraédriques. Le départ nucléofuge précède l attaque nucleophile :
5 50% Nu X Etape lente Etape déterminante Ionisation + X - arbocation plan Nu - Etape rapide 50% Nu Nucléophile attaque 50% par le haut et 50% par le bas. Obtention d'un mélange racémique L étape déterminante est la formation du carbocation. Le nucléophile est spectateur, par conséquent ne participe pas à la réaction. La vitesse d une SN1 dépend uniquement de la concentration de l halogénure. V = k ( X ). La vitesse est d ordre 1. La molécularité de cette réaction est 1. Divers facteurs peuvent influer sur la SN1 : Un solvant protique polaire favorisera la réaction SN1 ( eau, alcool etc.) Un substrat tertiaire favorisera la SN1 car le carbocation formé lors de l étape déterminante est stabilisé par effet inductif donneur des substituants. Un catalyseur type acide de LEWIS favorisera la formation du carbocation, donc la SN1.
6 Le profil énergétique est le suivant : La flèche bleue indique la formation du carbocation. La flèche bleue indique l intermédiaire réactionnel. Les états de transition X et Nu sont visibles également. Un exemple de SN1 : O Solvolyse 3 3 O S N 1 3 alogénure tertiaire 1-3 éactions de substitutions nucléophiles d ordre 2 ou SN2 La réaction de substitution nucléophile bimoléculaire s éffectue en une seule étape. Le nucléophile attaque le substrat du côté opposé au nucléofuge. ette attaque est accompagnée d une inversion de WALDEN, ce qui peut entrainer un changement de configuration d un éventuel carbone asymétrique :
7 Nu - + X Nu + X - Inversion de WALDEN Nucléophile attaque du côté opposé Inversion de configuration à l'électrifuge X Le nucléophile attaque l halogénure, c est une réaction qui se produit en une seule étape, par conséquent, la vitesse de la réaction dépendra du nucléophile et du substrat : V = k (Nu - )(X). La vitesse de réaction est d ordre 2. La molécularité de la réaction est 2. La réaction SN2 se fera principalement avec les halogénures méthylés et primaires. Les halogénures tertiaires ne réagiront pas en faisant une SN2. Le profil énergétique de la SN2 : La flèche bleue indique l état de transition de la réaction. La SN2 est favorisée si on utilise un solvant aprotique polaire. e solvant stabilisera le cation qui accompagne le nucléophile, ce qui rendra le nucléophile plus agressif. Exemple de SN2 : 3 + O - 3 O + - 2) Les réactions d éliminations Avec les halogénures, on peut facilement effectuer des réactions d élimination, l halogénure perd 2 atomes ou 2 groupes d atomes :
8 X Base Δ Δ = en chauffant + X ydrogène partiellement acide ydrogène attaqué par la base 2 types de mécanismes peuvent se produire : - La base attaque l hydrogène et de manière concertée, le nucléofuge X - s en va. e sera une E2 - L autre type sera E1, l halogénure se tranformera en carbocation ( première étape) avec le départ de X - qui sera suivi du départ rapide d un proton +. e sera une E1. Lors de l élimination E1 d ordre 1, on assiste au départ du nucléofuge (étape déterminante, suivi du départ d un proton (étape rapide) et ainsi une insaturation est crée. 2-1 éaction d élimination E1 Le schéma général d une E1 : 4 X Etape déterminante 4 ionisation 4 + X - rapide B - + B 4 Alcène Z et E Les alcènes Z et E sont obtenues en proportions équivalentes à cause de la libre rotation de la liaison carbone- carbone. L élimination E1 est d ordre 1. La vitesse de la réaction d élimination dépend uniquement de la concentration en halogénure, v = k (X). Un solvant polaire favorisera la réaction E1, il stabilisera le carbocation formé. Une base non nucléophile favorisera la E1. Un réarrangement du carbocation peut intervenir (UE1).
9 2-2 éaction d élimination E2 La réaction d élimination E2 est d ordre 2. Elle se fait de manière concertée, c est à dire, de manière simultanée. La base attaque l hydrogène partiellement acide et le nucléofuge commence à partir : La E2 se fait que si les atomes,, et X sont dans le même plan On dit que et X sont en positio antipériplanaire X 4 4 B - + B + X - un seul isomère si 1 2 emarque : La E2 est favorisée quand la base est forte et non nucléophile. La E2 est favorisée également si la base est concentrée et on opère à chaud. Exemple de E2 : 3 NaO attaque le 3 3 Δ NaO attaque le Δ 3 Alcène majoritaire Alcène minoritaire ette réaction est régiosélective car on obtient un alcène majoritaire et un alcène minoritaire. emarque pour les E1 et E2 :
10 égle de Zaïtzev : Lors d une réaction d élimination E1 ou E2, le produit majoritairement formé est le plus stable, donc le plus substitué 3- ompétition SN et E. Une réaction de substitution nucléophile SN est généralement en compétition avec la réaction d élimination. Une réaction SN2 est favorisée si le nucléophile est fort Une SN2 est favorisée si l halogénure est primaire ou méthylée Une SN2 est favorisée si on augmente la concentration du nucléophile Une réaction E2 est favorisée si la base est forte et généralement on opère à chaud. Une réaction SN1 est favorisée si l halogénure est tertiaire Une réaction SN1 est favorisée si le solvant solvate fortement le carbocation formé. Une réaction SN1 est favorisée si le nucléophile est faible à modéré. Une E1 est favorisée si la base est forte Les quatres réactions E1, E2, SN1 et SN2 peuvent coexister avec l halogénure secondaire. Les organo- magnésiens Les halogénures réagissent avec les métaux anhydres dans l éther pour donner des composés organo- métalliques. Si le métal est le magnésium, l organo- métallique est appelé un organo- magnésien : Mg Mg Ether Organo-magnésien La polaristion de l halogénure est : δ + δ Le carbone est électrophile
11 Sur l organo- magnésien, on observe une inversion de polarité car un métal est toujours positif : δ + δ Mg Le carbone est nucléophile L organo- magnésien est une base très forte qui réagit instantanément avec les molécules protiques ( molécules à hydrogènes labiles telles que eau, alcool etc ) : Mg δ δ + δ + δ O Le carbone est nucléophile Les organo- magnésiens sonr de bons intermédiaires de synthèse et sont capables de réaliser des réactions de SN et des réactions d addition : 1) éaction de SN avec les organo- magnésiens Un organo- magnésien est capable de réagir avec un halogénure : δ + δ Mg δ + δ + X + 1/2 Mg(O) 2 + 1/2 MgX 2 2) éactions d addition avec les organo- magnésiens Les organo- magnésiens sont capables de réagir avec les systèmes insaturés : dérivés carbonylés, les imines, les nitriles, etc : 2-1 éaction avec les dérivés carbonylés
12 δ δ + MgX + O O Mg + 2 O O + 1/2 Mg(O) 2 + 1/2 Mr 2 Un organo- magnésien réagit avec : - le dioxyde de carbone pour donner un acide carboxylique - le formaldéhyde pour donner un alcool primaire - un aldéhyde pour donner un alcool secondaire - une cétone pour donner un alcool tertiaire 2-2 éaction avec les nitriles : MgX + N N Mg + 2 O O 2 O + N cétone imine instable en milieu 3 O éaction avec les époxydes :
13 MgX 1 O O O 3 majoritaire 2 O O La position 1 est moins encombrée que la position 2 ( le groupe méthyle en 2) les organo- magnésiens réagissent avec les chlorures d acides, les esters etc. Entrainez- vous. 3 minoritaire
LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailRésume de Cours de Chimie Organique (Prof. M. W. Hosseini) Notions acquises Définitions et conventions : Ordre de grandeur de longueur d'une liaison
ésume de ours de himie rganique (Prof. M. W. osseini) Notions acquises Définitions et conventions : Liaison : mise en commun de 2 éléctrons (.. ) Déplacement de deux électrons Déplacement d'un électron
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailFiche professeur. L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN
Fiche professeur L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN Thème : Observer, ondes et matières Analyse spectrale Type de ressource : Documents de formation en spectroscopies IR et RMN, pistes d activités
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailMarine PEUCHMAUR. Chapitre 4 : Isomérie. Chimie Chimie Organique
himie himie Organique hapitre 4 : Isomérie Marine PEUMAUR Année universitaire 200/20 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. . Isomérie plane 2. Stéréoisomérie de configuration (chiralité)
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailCHIMIE ET ENVIRONNEMENT : LA «CHIMIE VERTE»
CHIMIE ET EVIEMET : LA «CHIMIE VETE» A.1. Liaison chimique et structure du monoxyde d azote A.1.1. Donner la configuration électronique de l atome d azote et de l atome d oxygène dans leur état fondamental
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailCIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010
CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL PHYSIQUE-CHIMIE
BAALAURÉAT GÉNÉRAL SESSIN 2015 PYSIQUE-IMIE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 oefficient : 6 L usage de la calculatrice est autorisé e sujet ne nécessite pas de feuille de papier millimétré Le sujet
Plus en détailComment déterminer la structure des molécules organiques?
Comment déterminer la structure des molécules organiques? Quelques notions de Résonance Magnétique Nucléaire RMN du «proton» 1 H et d infrarouge IR. En accompagnement de la vidéo disponible sur le site
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailEXERCİCE N 1 : «Synthèse de l éthanamide» (7 pts)
Terminale S Lycée Massignon DEVİR MMUN N 4 Durée : 2h Les calculatrices sont autorisées. Il sera tenu compte de la qualité de la rédaction et de la cohérence des chiffres significatifs. EXERİE N 1 : «Synthèse
Plus en détailQuelques aspects de la chimie des cosmétiques. Correction
Quelques aspects de la chimie des cosmétiques Correction 1. montage à reflux : schéma : ballon + réfrigérant à boules + alimentation en eau + 2 pinces + potence montage en hauteur ; support élévateur +
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailSTÉRÉOISOMÉRIE CONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE COMPOSÉS OPTIQUEMENT ACTIFS À UN SEUL CARBONE ASYMÉTRIQUE
Pr atem BEN ROMDANE Structures des Molécules Organiques Stéréoisomérie optique Faculté des Sciences de Tunis et Stéréochimie composés à * STÉRÉOISOMÉRIE ONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE OMPOSÉS
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailSCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE
Banque «Agro-Véto» Technologie et Biologie AT - 0310 SCIECES PYSIQUES Durée : 3 heures L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailSéquence 4. Les liquides et la conduction électrique. 1 Qu est-ce qu une «solution aqueuse»? 2 Tous les liquides ne sont pas des solutions aqueuses.
Sommaire Les liquides et la conduction électrique Séance 1 Quels liquides utilisons-nous dans la vie quotidienne? 1 Qu est-ce qu une «solution aqueuse»? 2 Tous les liquides ne sont pas des solutions aqueuses.
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailPHYSIQUE CHIMIE. Notions de première indispensables. Table des matières. pour la Terminale S 1 LE PHOTON 2 LES SOLUTIONS COLORÉES
Table des matières 1 LE PTN 2 LES SLUTINS CLRÉES 3 AVANCEMENT D UNE RÉACTIN CIMIQUE 4 STRUCTURE DES MLÉCULES PYSIQUE 5 INTERACTINS FNDAMENTALES 6 RADIACTIVITÉ ET RÉACTINS NUCLÉAIRES 2 CIMIE 7 MATIÈRE ET
Plus en détailFiche professeur. Rôle de la polarité du solvant : Dissolution de tâches sur un tissu
Fiche professeur TEME du programme : Comprendre ous-thème : Cohésion et transformations de la matière Rôle de la polarité du solvant : Dissolution de tâches sur un tissu Type d activité : Activité expérimentale
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL
BACCALAURÉA GÉNÉRAL SUJE PHYSIQUE-CHIMIE Série S DURÉE DE L ÉPREUVE : 3 h 30 COEFFICIEN : 6 L usage d'une calculatrice ES autorisé Ce sujet ne nécessite pas de feuille de papier millimétré Ce sujet comporte
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailCLASSE DE PREMIÈRE Série : Science et technique de laboratoire Spécialité : Chimie de laboratoire et de procédés industriels
CLASSE DE PREMIÈRE Série : Science et technique de laboratoire Spécialité : Chimie de laboratoire et de procédés industriels COURS DE CHIMIE (4 heures hebdomadaires) L'horaire hebdomadaire est réparti
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailEN AMONT DE LA DÉLÉGATION ACCUEIL ET FORMATION GÉNÉRALE À LA SÉCURITÉ FORMATION AU POSTE DE TRAVAIL
EN AMONT DE LA DÉLÉGATION Elaborer un livret d'accueil Etablir la liste des postes à risques particuliers (annexe 1) Prendre en compte la liste des travaux interdits aux intérimaires (annexe 2) Désigner
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailAnimations. Liste des 114 animations et 145 vidéos présentes dans la Banque de Ressources Physique Chimie Lycée. Physique Chimie Seconde
Animations Physique Chimie Seconde Extraction de l'eugénol La nature inspire les hommes Identification de principes actifs Identification d'une espèce chimique Support de l'exercice - Colorants alimentaires
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailSPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE
18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailConception de Médicament
Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack
Plus en détailLes isomères des molécules organiques
Les isomères des molécules organiques René CAHAY, Jacques FURNÉMONT I.- INTRODUCTION Le terme isomérie tire son origine du grec ίσος (isos = identique) et µερος (meros = partie). Le phénomène d isomérie
Plus en détail5 >L énergie nucléaire: fusion et fission
LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailRéduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique
Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détail