Pourquoi l étanchéité à l air dans les bâtiments
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- Xavier Bonin
- il y a 8 ans
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1 Source Cab JL2C Source Cab JL2C Source Cab JL2C Source Cab JL2C Source Cab JL2C Pourquoi l étanchéité à l air dans les bâtiments Jean-Louis CAPOU Président de Syneole 93 Rue Jean Jaurès Libourne jlc.consult@orange.fr S y n d i c a t P r o f e s s i o n n e l d e la P e r m é a b i l i t é à l A i r Source JL2C Sarl Contrôle - Conseil - Formation 1
2 JL2C - Le syndicat Jean-Louis CAPOU Président du 1 er Syndicat Professionnel des Opérateurs de Mesure Membre du Club Perméa et différentes commissions Contrôle - Conseil - Formation 2
3 Le syndicat 1 er Syndicat professionnel des opérateurs de mesure de la Perméabilité à l Air des bâtiments 117, rue de Charenton Paris Contrôle - Conseil - Formation 3
4 L étanchéité à l air MEDDTL LE CETE DE LYON SYNEOLE LES ORGANISMES DE FORMATION LES CERTIFICATEURS LE CSTB DES MESUREURS EFFINERGIE LE CLUB PERMEA QUALIBAT XELLA THERMO-PIERRE ALDES ATLANTIC BOUYGUES LES ARCHITECTES La commission d Autorisation des Mesureurs La réglementation de la perméabilité au niveau QUALIBAT Contrôle - Conseil - Formation 4
5 Devenir Mesureur Suivre une formation reconnue par le ministère: A ce jour 5 Organisme peuvent diffuser la formation : - Sirteme - Ubat Contrôles - Cetii - Global Earth - Afordex Module de formation théorique (QCM) Formation pratique Qualification de la formation Validation ( pratique et correction d un rapport Présentation d un dossier à Qualibat Dossier soumis à une commission Qualification Contrôle - Conseil - Formation 5
6 Etanchéité à l air de l enveloppe des bâtiments 1. Causes et conséquences des infiltrations d air parasite En préambule, Ne pas confondre bonne étanchéité à l air absence de renouvellement d air. L intérêt de l étanchéité à l air est de maîtriser les flux d air qui circulent à travers des orifices volontaires (bouches de ventilation et entrées d air) et de limiter les infiltrations d air parasite. Contrôle - Conseil - Formation 6
7 Eviter les erreurs de préjuger Ne pas confondre Etanchéité à l air et maison Thermos L étanchéité se gère au niveau des points de liaisons L étanchéité et la migration de la vapeur d eau sont deux phénomènes physiques différents Contrôle - Conseil - Formation 7
8 Eviter les erreurs de préjuger S assurer d une certaine étanchéité à l air à l enveloppe d un bâtiment neuf présente un certain intérêt à différents niveaux. S assurer d une certaine étanchéité à l air à l enveloppe d un bâtiment ancien constitué de matériaux pleins et ne disposant pas de système de coupure des remontées capillaires, peut être très risqué. Contrôle - Conseil - Formation 8
9 La démarche pour des bâtiments performants Par le contrôle en phase chantier Seul contrôle dynamique Par la mesure de fin de chantier Prise en compte dès la conception du projet Sensibilisation & formation Respect des règles de construction et Mise en œuvre soignée La réalisation d un bâtiment performant Contrôle - Conseil - Formation 9
10 Cadre réglementaire Les valeurs Etanchéité en m 3 /(h.m²) Maison individuelle Habitat Collectif Bureaux Hôtellerie Enseignement Autres usages Valeur de 0,8 1,2 2,5 référence Valeur Par défaut 1,3 1,7 3,0 Maison individuelle Habitat Collectif Bureaux Hôtellerie Enseignement Autres usages Exigence du label dans le neuf 0,6 1,0 - - Démarche qualité étanchéité à l air suivant Annexe 7 RT 2005 et convention entre MEEDDM et EFFINERGIE du mois d octobre 2009 Exigence du label en rénovation Mesure Mesure Autres usages que habitation Pas d obligation de contrôle ou mesure Contrôle - Conseil - Formation 10
11 Cadre réglementaire Les valeurs Réglementation Q 4 Pa-surf Maison individuelle Habitat Collectif Bureaux Hôtellerie Enseignement Autres usages Exigence seuil dans le neuf 0,60 1, Démarche qualité étanchéité à l air suivant Annexe VII RT 2012 Contrôle - Conseil - Formation 11
12 Les facteurs physiques Trois mécanismes principaux permettent le passage de l air de part et d autre de l enveloppe du bâtiment et sont à l origine d infiltrations ou d exfiltrations d air : L action du vent La ventilation Le tirage thermique Contrôle - Conseil - Formation 12
13 Les Facteurs d Amélioration Les 3 facteurs qui influencent le plus la consommation d énergie Une exellente isolation thermique Une ventilation contrôlée VENTILATION ISOLATION Source Cabinet JLC.Consultant Une enveloppe étanche à l air ETANCHEITE Source Aactime Contrôle - Conseil - Formation 13
14 Constructions Les différents principes Les constructions bois (ossature, panneaux plein, madriers ) Les constructions en bloc creux (terre cuite, béton ) Les constructions en béton cellulaire Les constructions en béton banché Les constructions avec bardage et/ou remplissage Contrôle - Conseil - Formation 14
15 Constructions en bois (ossature, panneaux ) Les résultats constatés sont assez mitigés : Avec des performances correctes au vu de la réglementation actuelle De 0,01 à 12,00 (m 3 /(h.m²) à la pression d essai de 4 Pa Les principaux points de faiblesse sont dus à : La mise en œuvre Les menuiseries et leur pose L installation électrique La plomberie Source Cabinet JLC Consultant Source Cabinet JLC Consultant Les principaux freins aujourd hui : Les limites de la conception actuelle Les matériaux Les équipements Source Cabinet JLC Consultant Contrôle - Conseil - Formation 15
16 Constructions en bloc creux (terre cuite, béton ) Les résultats constatés sont assez mitigés : Avec des performances correctes au vu de la réglementation actuelle De 0,20 à 8,00 (m 3 /(h.m²) à la pression d essai de 4 Pa Les principaux points de faiblesse sont dus à : La mise en œuvre Les menuiseries et leur pose L installation électrique Source Cabinet JLC Consultant La plomberie Les principaux freins aujourd hui : Les limites de la conception actuelle Les matériaux Les équipements Source Cabinet JLC Consultant Source Cabinet JLC Consultant Contrôle - Conseil - Formation 16
17 Constructions en bloc de béton cellulaire Les résultats constatés sont intéressants : Avec des performances très correctes au vu de la réglementation actuelle De 0,20 à 3,30 (m 3 /(h.m²) à la pression d essai de 4 Pa Les principaux points de faiblesse sont dus à : Les menuiseries et leur pose L installation électrique Source Cabinet JLC.Consultant La plomberie Les principaux freins aujourd hui : Les limites de la conception actuelle Les équipements Contrôle - Conseil - Formation 17
18 Constructions en béton banché Les résultats constatés sont assez mitigés : Avec des performances correctes au vu de la réglementation actuelle De 0,20 à 2,5 (m 3 /(h.m²) à la pression d essai de 4 Pa Les principaux points de faiblesse sont dus à : La mise en œuvre Les menuiseries et leur pose L installation électrique La plomberie Les principaux freins aujourd hui : Les limites de la conception actuelle Les matériaux Les équipements Source Cabinet JLC Consultant Source Cabinet JLC Consultant Source Cabinet JLC Consultant Source Cabinet JLC Consultant Contrôle - Conseil - Formation 18
19 Les constructions en bardage et/ou remplissage Les résultats constatés sont plutôt médiocres, mais pourraient être très bons (très comparables aux constructions bois) : Avec des performances correctes au vu de la réglementation actuelle De 1,30 à 8,00 (m 3 /(h.m²) à la pression d essai de 4 Pa Les principaux points de faiblesse sont dus à : La mise en œuvre Les menuiseries et leur pose L installation électrique La plomberie Source Cabinet JLC Consultant Les principaux freins aujourd hui : Les limites de la conception actuelle Les matériaux Les équipements Source Cabinet JLC Consultant Contrôle - Conseil - Formation 19
20 La mesure Etanchéité à l air Test d infiltrométrie (Norme EN 13829) Et son guide d application le GA P50-784) Qui? Et Quand?. La préparation Etat des lieux, relevés de mesures et calculs Installation de la porte ventilateur Conditionnement (obturation ventilation) Contrôle de sécurité Intégration des données Contrôle - Conseil - Formation 20
21 Etanchéité à l air de l enveloppe Test d infiltrométrie (Norme EN et son guide d application le GA P50-784) Déroulement du contrôle Création d une différence de pression, entre l intérieur et l extérieur du bâtiment clos, à l aide d un dispositif technique associant un ou plusieurs ventilateurs, et un système de gestion et d enregistrement des données. Le contrôle comporte, de préférence, deux séquences de mesure, l une en dépression, l autre en surpression, chacune de huit à dix paliers. Contrôle - Conseil - Formation 21
22 Les différents matériels Contrôle - Conseil - Formation 22
23 La mesure des grands volumes La majorité des mesures sont réalisées sur des maisons individuelles ou sur des logements d immeubles collectif, dans ces cas un seul ventilateur est suffisant Il est tout à fait possible de réaliser des mesures sur des bâtiments grand volume en utilisant conjointement plusieurs ventilateurs Contrôle - Conseil - Formation 23
24 Les maisons individuelles diffus Permis diffus (maison individuelle) : Un permis de construire, 1 maisons mesurée. Chaque maison doit faire l objet d une mesure, les constructeurs peuvent s engager dans une démarche qualité, démarche Iso 9000 v2008 (annexe VII de la réglementation thermique Contrôle - Conseil - Formation 24
25 Les maisons individuelles groupées Permis groupé (maisons individuelles) : Quelque soit le nombre de maison dans l ensemble ou le sous-ensemble, 3 maisons seront mesurées. Le choix des 3 maisons est fait par l opérateur selon la règle d échantillonnage suivante : Echantillonnage : Quelque soit le nombre de maisons dans l ensemble ou le sous-ensemble, on retient les 3 maisons pour lequel le rapport : Contrôle - Conseil - Formation 25
26 Les maisons individuelles groupées Attention dans le cas où le projet inclut plusieurs permis de construire (parcelles distinctes, par exemple), l échantillonnage se défini par permis de construire. Les résultats doivent démontrer que l ensemble de l échantillon soit les 3 maisons présentent une étanchéité < ou = au seuil exigé (0,60 m3/(h.m2) sous une différence de pression de 4Pa) : Dans le cas ou 1 ou plusieurs mesures présenteraient un résultat supérieur, le MO se doit les mettre à niveau (à justifier) et de refaire procéder à un nouvel essai sur un échantillon de 3 nouvelles maisons Dans le cas ou ce nouvel essai n est pas concluant, il sera procédé à la mesure de l ensemble des maisons du projet. Contrôle - Conseil - Formation 26
27 Les Logements Collectifs Un immeuble collectif jusqu à 10 logements, jusqu à R+3, sans ascenseur, peut être mesuré dans son ensemble. Au-delà, application d une règle d échantillonnage : Immeuble inférieur ou égal à 30 logements, 3 logements mesurés Immeuble supérieur à 30 logements, 6 logements mesurés Le choix des 3 ou 6 logements est fait par l opérateur selon la règle d échantillonnage suivante : Contrôle - Conseil - Formation 27
28 Les Logements Collectifs Les mesures sont réparties sur les différents niveaux en retenant en priorité les extrêmes. L opérateur effectue une moyenne pondérée des résultats de l échantillon pour obtenir une valeur pour l immeuble Le résultat doit présenter une étanchéité < ou = au seuil ex<<igé (1,00 m3/(h.m2) sous une différence de pression de 4Pa) : Attention l échantillonnage est appliqué par bâtiment, défini par l étude thermique et le permis de construire. En aucun cas l immeuble. la mesure d un seul logement peut être comparée à l ensemble de Dans le cas ou le résultat serait supérieur, le MO se doit de mettre les échantillons à niveaux (à justifier) et de refaire procéder à un nouvel essai sur un échantillon de 3 ou 6 nouveaux logements. Contrôle - Conseil - Formation 28
29 Localisation des sources d infiltrations potentielles Les infiltrations que l on peut potentiellement rencontrer se situent principalement aux endroits suivants : Source JLC Consultant Les liaisons façades et planchers Contrôle - Conseil - Formation 29
30 Les Solutions pour bâtiments performantes Source Cabinet JLC.Consultant Les trous de banche : Bouchage soigné des trous de banche. Pose de joints et joint enduit, pour assurer la liaison des planchers intermédiaires. Source Cete /Mininfil Contrôle - Conseil - Formation 30
31 Les Solutions pour bâtiments performantes Les briques à colonnes verticales peuvent présenter certains inconvénients, l ensemble des colonnes sont en communication verticale, les liaisons périphériques ne tolèrent aucune discontinuité Il est impératif de veiller à traiter et limiter les éclats sur l ensemble des surfaces Porter un soin particulier aux liaisons périphériques Le moindre éclat de façade peut engendrer un point d infiltration Contrôle - Conseil - Formation 31
32 Les Solutions pour bâtiments performantes Contrôle - Conseil - Formation 32
33 Les Solutions pour bâtiments performantes Combles perdus Planfond BA 13 Zone habitable Contrôle - Conseil - Formation 33
34 Localisation des sources d infiltrations potentielles Les infiltrations que l on peut potentiellement rencontrer se situent principalement aux endroits suivants : Les menuiseries extérieures Source JLC Consultant Contrôle - Conseil - Formation 34
35 Les Solutions pour bâtiments performantes Seuil de menuiserie Garniture d étanchéité Source Aactime Tableau de menuiserie Menuiseries (fenêtre) : Joint mastic extrudé ou moulé S assurer de la bonne préparation du tableau et de l appui bas, de la bonne mise en œuvre de la menuiserie dans sa réserve, ainsi que des garnitures et des joints d étanchéité. Source Aactime Contrôle - Conseil - Formation 35 Source Cabinet JLC.Consultant
36 Les Solutions pour les bâtiments performantes Contrôle - Conseil - Formation 36
37 Les Solutions pour les bâtiments performantes Contrôle - Conseil - Formation 37
38 Localisation des sources d infiltrations potentielles Les infiltrations que l on peut potentiellement rencontrer se situent principalement aux endroits suivants : Les trappes et les éléments traversant les parois Source JLC Consultant Contrôle - Conseil - Formation 38
39 Les points sensibles POINTS FAIBLES PAS D INFILTRATION Contrôle - Conseil - Formation 39
40 Les points sensibles Contrôle - Conseil - Formation 40
41 Les points sensibles Contrôle - Conseil - Formation 41
42 Les points sensibles Contrôle - Conseil - Formation 42
43 Les points sensibles Contrôle - Conseil - Formation 43
44 Les points sensibles Contrôle - Conseil - Formation 44
45 Les points sensibles Contrôle - Conseil - Formation 45
46 Les points sensibles Contrôle - Conseil - Formation 46
47 Les Solutions pour bâtiments performantes Source Cete /Mininfil Trappe d accès de gaine technique. Contrôle - Conseil - Formation 47
48 Localisation des sources d infiltrations potentielles Les infiltrations que l on peut potentiellement rencontrer se situent principalement aux endroits suivants : Source JLC Consultant Les équipements électriques Contrôle - Conseil - Formation 48
49 Les Solutions pour bâtiments performantes Dans la mesure du possible faire circuler l ensemble de l installation dans la zone chauffée. Limiter au maximum les traversées de paroi. Source Cabinet JLC.Consultant Source Cete /Mininfil Contrôle - Conseil - Formation 49
50 Les Solutions pour bâtiments performantes Contrôle - Conseil - Formation 50
51 Localisation des sources d infiltrations potentielles Les liaisons façades et planchers Les menuiseries extérieures Source JLC Consultant Les équipements électriques Les trappes et les éléments traversant les parois Contrôle - Conseil - Formation 51
52 Outils de visualisation 15% Dont 4% Combles Liaisons 2% 38% Dont 14% Débouché de conduits 10% Tableau 41% Dont 15% CVR 16% PORTE Contrôle - Conseil - Formation 52
53 Les exemples à suivre Production Hall Volume: m³ BlowerDoor-Systems: 3 n 50 : 1,3 1/h Q 4 : 0,30 m 3 /(h.m²) Source Blower door Administration Building Volume : m³ BlowerDoor-Systems: 4 n 50 : 0,8 1/h Q4 : 0,20 m 3 /(h.m²) Contrôle - Conseil - Formation 53
54 Les exemples à suivre Production Hall Volume: m³ BlowerDoor-Systems: 3 n 50 : 1,3 1/h Q 4 : 0,30 m 3 /(h.m²) Source Blower door Hall for storage Volume: m³ BlowerDoor-Systems: 1 n 50 : 0,014 1/h Q4 : 0,003 m 3 /(h.m²) Contrôle - Conseil - Formation 54
55 Quand procéder aux mesures Le test de perméabilité à l air de l enveloppe d un bâtiment doit être la dernière intervention technique sur ce bâtiment. Le résultat de ce test est implicitement lié à la phase de programmation, de mise en œuvre et de formation des différents acteurs. La perméabilité à l air doit donc être intégrée dans le projet dès son origine. Compte tenu de ces éléments, nous orientons nos clients vers la réalisation de deux tests, dont un intermédiaire (avant les finitions), afin de permettre les ultimes corrections avant le test final. Source Cabinet JLC.Consultant et Proclima Contrôle - Conseil - Formation 55
56 En conclusion De la conception à la réalisation, jusqu à la réception, tous les acteurs de la construction sont impliqués. Un test d étanchéité à la réception est nécessaire, mais un test en cours de chantier, pour validation de mise en œuvre, avant les finitions, est fortement conseillé. Maîtriser aujourd hui l étanchéité à l air des bâtiments, de la conception à la réalisation, c est prendre de l avance sur l avenir, et les objectifs ambitieux et valorisants du Grenelle de l Environnement. C est une vraie démarche QUALITE - Faire bien dès aujourd hui, c est gagner du temps pour demain. Contrôle - Conseil - Formation 56
57 Le mot de la fin Merci de votre attention et bon courage Contrôle - Conseil - Formation 57
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